Sociologie de La Communication

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Sociologie de la communication

La sociologie : on parle des individus (terme dans la science social), il y a des actions
social (interaction) interaction causé par l’interrelation. L’interaction fait naitre quelque chose
et cela dépend de la culture. Il faut prendre en compte les origines et les classes sociales, la
manière de parler.

Il se situe aussi avec le statut, il y a une valeur et une importance dans la société. Il y a
un impact au niveau de la société.

1 Qu’est-ce que la communication de masse


Dans le langage quotidien, on a tendance à mélanger le terme « communication de
masse » et « mass média » pourtant, il est essentiel de voir clairement la différence entre les
deux.

Les mass média :

- Presse écrite
- Radio
- Télévision
- Magazine
Ce ne sont que des instruments dans la communication de masse. Cette dernière est
un processus social qui fait usage de ses outils. La transmission d’une nouvelle par une
chaine de télévision national est une instance de communication de masse. Par contre
regarder un film sur un magnétoscope ou un DVD ne l’est pas. La communication de
masse et le processus particulier qui se réalise à la masse de l’audience, aux
communicateurs et à la pratique communicationnelle.
largeur

masse de l'audience hétérogénéité

communication de communicateurs anonymat


masse (processus
social)

publique

pratique
communicationnelle

rapide

Le terme mass média est formé par les anglo-saxons du mot latin média (moyen) et du
mot mass (grande quantité). Habituellement, on range parmi les mass média l’affiche, le
cinéma la radio, etc…

La sociologie de la communication privilégie avant toutes autres formes


communicationnels la communication de mass média au détriment de la communication
interpersonnelle, la raison est lié à l’importance des mass média dans la société.

- Ils constituent une institution ayant ses propres lois, ses règlements, et ses normes
qui les relient à l’ensemble de la société et aux autres institutions. L’institution des
médias, à son tour est ordonnée par la société.
- Les mass média instaurent une industrie grandissante qui fournit de l’emploi,
produit des biens et services et nourrit d’autres industries qui lui sont rattachés.
- Ils fournissent une scène où se déroule le spectacle de la vie publique au niveau
national et international. Sur cette scène déferle la culture, se relance le mode, les
nouvelles manières, les nouveaux styles et les normes de la vie.
- Les mass média sont devenus parti intégrante de la vie quotidienne, privée et social
des individus. Ils expriment des valeurs et des jugements qui sont liés aux
informations et aux distractions
- Les mass média sont des moyens puissants de contrôles, de direction et
d’innovation dans la société
2 La masse et l’audience
Le concept de masse est très difficile et incomplet si on veut le définir d’une manière
purement quantitative : à partir de quel nombre peut-on appeler un groupe d’individus
« masse » ? une nation par exemple n’est pas une masse. Dans la pensée sociale, le mot
possède une signification à la fois négative et positive. Sa signification négative s’apparente à
sa connotation de foule (populace) au sens où il s’agit d’une cohorte d’individu rude et
ignorant. Dans sa connotation positive, elle désigne la force et la solidarité qui unit les
travailleurs organisés. Dans ce contexte, la quantité est associé à une force positive :
mouvement de masse, pouvoir de masse, etc…

Dans le langage sociologique actuel, on fait appel le plus souvent à la notion de masse
lorsque sous l’effet de certaine circonstance les structures particulaires d’un groupe tendent à
s’estomper et que les individus perdent leurs caractères distinctifs. Dans ce cas ce qui
caractérise essentiellement les individus rassembler ce n’est pas autant leurs quantités que
leurs homogénéités.

Quand on parle de sociologie il n’y a pas de signification précise car elle depend de
plusieurs paramètres. Max weber à parler des actions sociales, il parle d’individu. Faire une
action sociale c’est une action qu’on attend des autres on parle donc ici de subjectivisme.
Emile Durkheim parle de fait social et d’objectivisme c’est donc la société globale et
conscience collective.

Le sociologue Herber Blumer isole quatre composant essentiel qui caractérise la


masse. En premier lieu ces membres peuvent avoir n’importe quelle origine sociale,
indépendamment de leur position sociale, de leurs vocations, de leurs niveaux culturels et de
leurs richesses. En deuxième temps, elle désigne un groupe d’individu anonyme.
Troisièmement, il existe peu d’interaction ou d’expérience entre eux, ils sont généralement
séparés dans le sens physique et ils n’ont guère l’occasion de milité ensemble. Et enfin, elle
est très peu organisée et ainsi se montre incapable de mener une action avec détermination. Le
fait que dans la masse, les individus appartiennent aux diverses couches sociales est
particulièrement important car il signifie que l’objet d’intérêt de ce qui forme la masse n’est
pas lié à un arrière-plan social ou culturel commun mais il se situe quelque part ailleurs.

Quand nous parlons de foule c’est la connotation négative de la masse. Une foule est
une masse mais une masse n’est pas une foule.
Dans la pensée sociale, le mot possède une signification à la fois négative et positive.
Sa signification négative s’apparente à sa connotation de foule (populace) au sens où il s’agit
d’une cohorte d’individu rude et ignorant. Dans sa connotation positive, elle désigne la force
et la solidarité qui unit les travailleurs organisés. Dans ce contexte, la quantité est associé à
une force positive : mouvement de masse, pouvoir de masse, etc…

Dans le langage sociologique actuel, on fait appel le plus souvent à la notion de masse
lorsque sous l’effet de certaines circonstances les structures particulaires d’un groupe tendent
à s’estomper et que les individus perdent leurs caractères distinctifs. Dans ce cas ce qui
caractérise essentiellement les individus rassembler ce n’est pas autant leurs quantités que
leurs homogénéités

Tableau 1: la "masse" comparée à la foule

Masse Foule
Situation dans l’espace Dispersée Rassemblée
Interaction Inexistant Important
Organisation Pas du tout ou très Peu ou momentanément
faiblement
Objet d’intérêt Focalisé sur un objet précis Lié à un évènement du
moment
Niveau de conscience Bas Haut, mais momentané
Comme les membres d’une masse à cause de leurs éloignements physiques ne peuvent
pas communiquer entre eux, ils sont donc forcés d’agir séparément en tant qu’individu. Ce qui
distingue la masse de la foule c’est que celle-ci est également constituer d’individu sans liens
sociaux entre eux mais rassemblé dans un même lieu pour une action commune. La foule a
pour caractéristique principale, la fusion des individus dans un esprit et un sentiment partagé
qui estompent les différences individuelles. En outre, la foule contrairement à la masse est
dotée d’une sorte d’âme collective. D’après ces caractéristiques il apparait clairement que la
masse est dénuée des qualités d’une communauté. En d’autre terme, elle manque
d’organisation sociale, n’a pas de coutume, de tradition, de règle établie, de sentiment
d’appartenance ni de chef. Elle est simplement composée d’individus séparés et anonymes, le
comportement de masse n’obéit à aucun règlement. On assiste à une massification, c’est-à-
dire aux mélanges de catégories sociales. Personne cultivé ou ignorant, les mêmes causes
produisent les mêmes effets.
Les caractéristiques essentielles de la masse sont donc : l’ampleur, l’hétérogénéité et
l’anonymat. Ces trois caractéristiques s’appliquent également à l’audience des mass média.
En effet il s’agit de grand nombre d’individus dispersés dans l’espace et qui sont inconnus
l’un pour l’autre. L’ampleur peut toutefois demander une définition plus précise. Nous
pouvons considérer une audience comme large quand elle se compose d’individu trop
nombreux pour qu’un communicateur puisse s’entretenir avec eux pendant un temps
raisonnable.

Quant au critère d’hétérogénéité, l’audience de communication de masse concerne des


individus dont les caractéristiques sociales sont très diverses. Les membres de l’audience
appartiennent à des âges, économiques, et des lieux et classes sociales différents. Le terme
d’anonymat ne signifie pas que les individus sont totalement inconnus les uns pour les autres
mais qui sont inconnus pour les communicateurs. Cependant, cela ne veut dire pas qu’il s’agit
d’individu isoler ou anonyme, au contraire, les gens assistent aux médias en famille ou
entourer par des amis ou des collègues.

3 Qui sont les communicateurs ?


La communication de masse est un processus social organisé par ceux qui travaillent
pour les médias (journal, radio, chaine de télévision) font partie d’une entreprise règlementée
et organisé. Chaque journaliste appartient à l’ensemble des travailleurs de l’entreprise. Ces
traits d’organisations et de financements ont une répercussion importante sur la définition de
la communication de masse dans son ensemble. Il touche de près les communicateurs dans le
processus de la communication et ont également des conséquences considérables sur le
public.

3.1 La pratique communicationnelle

La communication de masse se distingue des autres types de communication par


quelques points essentiels : elle est publique et rapide, les messages sont destinés à une masse
de gens qui sont parfaitement conscient de la nature publique des messages, la rapidité est une
autre caractéristique essentielle puisque le but est de touché le plus rapidement possible le
plus grand nombre de gens. Cela est valable tout particulièrement quand il s’agit d’évènement
exceptionnellement important pour la société mais d’une manière générale, la rapidité est
capitale pour les médias. Ces quelques traits de la communication de masse ont des
conséquences sociales. Sa nature publique est en rapport avec le phénomène de contrôle, de la
censure, la rapidité met en jeu la crédibilité du message présenté et la nature éphémère peut
encourager à accentuer le côté sensationnel des évènements.

Dans l’histoire des masses médias, on a à faire à 4 éléments principaux : un contexte


social, politique, économique et culturel d’une société donnée, un ensemble d’activité,
fonction ou besoin, et enfin des gens qui peuplent la dite « société ». Ces 4 éléments sont en
interaction de différente manière dans chaque cas.

3.2 Les médias imprimés

L’histoire des médias modernes débute par l’invention de l’imprimerie en 1440. Cette
découverte représente une révolution en soi bien qu’a son début elle ne signifie guère plus
qu’une simple procédure de reproduction mécanique. Cependant, cette technique va
bouleverser le monde et ouvrir à l’humanité une ère nouvelle. Dès la deuxième moitié du
XVIème siècle, plus de 100ans après l’invention de l’imprimerie, on trouve des journaux mais
il ressemble plutôt au lettre qu’aux journaux/ l’appartition de vrai journaux représente un
tournant dans l’histoire de la communication de masse. C’est la première fois qu’on montre
aux lecteurs anonyme une information générale et détaillé et non un simple organe de
propagande. Il s’agit d’une innovation à la fois sociale, culturel et littéraire. Vers 1780, Didot
avait remplacé le bois du fer et celui du platine par du cuivre. Et multiplié par 2 la vitesse du
tirage.

3.3 Le cinéma et sa naissance

De la même manière que l’histoire de la presse, celle de l’industrie cinématographique


a été influencée par des conflit sociaux et par diverse découverte technique. Toutefois, avec la
différence que ces conflits sont apparus non seulement entre les intérêts divers des
possesseurs de ses nouveaux médias mais également entre ceux qui procèdent le mœurs de la
sociétéet ceux qui n’ont reculé devant aucun interdit, ce type de conflit à jouer un rôle
particulièrement important dans l’histoire du cinéma. A ses début, le cinéma représente en
quelque sorte une réponse à une demande de temps libre. La baisse du temps de travail faisait
naitre un problème nouveau : le loisir. Le cinéma pouvait y répondre autant sur le plan
économique (peu couteux) que sur le plan social que la famille pouvait assister à ce spectacle
mais en somme on s’adresse à un public populaire. La découverte du film ouvre une nouvelle
ère pour cette industrie récente qui n’arrête pas d’attirer une foule de plus en plus diversifier si
à ses débuts le public est issu des milieux modestes, progressivement il a réussi à conquérir
l’ensemble des classes sociales
3.4 La radio

L’avènement de la radio est le fruit de plusieurs innovation technologique et qui ont lié
à la recherche de communication instantané. Ce que l’on appelle aujourd’hui la radio était un
moyen de diffusion connu sous le nom de TSF (Télégraphe Sans Fil). Depuis l‘arrivée de la
télévision, la radio est utilisé d’une manière plus sélective qu’auparavant. Certes, elle n’est
plus le dispensateur. Cependant elle n’en reste pas moins indispensable pour un public très
large. Premièrement grâce à son perfectionnement technique, elle permet une très grande
mobilité, les transistors et la miniaturisation qu’ils entrainent ont rendu la radio encore
infiniment plus mobile. Elle est devenu un objet quotidien, partie intégrante de la vie, dans la
salle de bain comme dans la voiture. Comme moyen d’information, elle fournit des
commentaire plus détaillé que la TV. Dans la mesure où la radio est moins liée à une grille de
programme que la télévision, elle transmet les nouvelles avec plus de rapidité. Dans le
domaine musical, elle dépasse largement la télévision, elle n’a rien perdu de son rôle et reste
privilégié au sein des jeune

3.5 La naissance de la télévision

A ses débuts et même pendant assez longtemps, elle n’a fait que poursuivre la ligne
déjà tracé par la radio, tout en la complétant par son rapport : le visuel. Dans son organisation
et son système de contrôle, il ne se passe rien de vraiment nouveau. Dans la mesure où elle ne
représente pas une véritable nouveauté, elle n’a pas rencontré beaucoup de résistance. Elle est
devenu en peu de temps le moyen de communication familiale. Son succès a été immédiat et
inconditionnel malgré son pris auprès d’un publique modeste. Les classes supérieures, et tout
particulièrement l’élite l’on boudé pendant très longtemps. L’une des plus significative
concerne ses éventuelles fonctions éducatifs. Cependant, les fonctions de la télévision se sont
cristallisé autour de trois pole essentiel : divertir, informer et éduquer dans la mesures où la
télévision est devenue surtout un show business il va de soi que l’accent est mis sur son aspect
divertissant. Les journaux et la radio feront le reste. Chaque fois qu’un nouveau média
apparait, émerges de nouveaux modèles d’utilisation.

Mass media, masse, foule, audience, moyen de communication. C’est pour éduquer. Il
y a les vidéos, les radios, les télévisions. Il y a des masses médias qui essaient de cesser
d’exister. D’autres évoluent,

Cassette video
Internet. Le telephone en ce moment est devenu un moyen de culture

Graphophone

On parle de culture dominante.

Dissertation, intro, conc, develepoment, problematique, plan, exemple dans le


developpement. Repondre la problematique dans la conclusion.

Pourquoi les personnes aisées ils ont donné des valeurs aux anciens outils. Est-ce
qu’ils sont revenus aux anciennes culture ou est-ce que ce sont des cultures qu’ils avaient déjà
avant ?

Cultures et sous-cultures des différentes classes par rapport à l’utilisation des moyens
de communication.

Classes sociales, cultures, moyens de communications utilisés.

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