Conclusion

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Conclusion

En définitive, il était question pour nous de présenter la soudure autogène, l’un


des deux types de soudage. Pour cela, nous nous sommes appesanti sur la
définition et les généralités de celle-ci ; quelques points forts et faiblesses de ce
type ; et les procédés qui le composent. Il en ressort de cette étude que lors de la
réalisation d’un cordon de soudure avec un métal identique à celui des pièces à
souder, la soudure est aussi fort que les pièces elles-mêmes en plus d’avoir la
même couleur. Toutefois, il apparaît que ce type de soudure est difficile à
réaliser avec un métal très mince, en plus d’être difficile pour certains métaux.
Dès lors, une question évidente nous taraude l’esprit, à savoir : « Que se
passerait-il si l’on soude avec un métal différent de celui des pièces à souder ? ».

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