Cours Trotech Trous 08 PDF
Cours Trotech Trous 08 PDF
Cours Trotech Trous 08 PDF
ELECTROMAGNETISME
Semestre 1
I – HISTORIQUE
La pierre d’aimant découverte dans l’antiquité dans une région d’Asie Mineure
appelée Magnésie a la propriété naturelle d’attirer le fer.
Ce minerais de fer Fe2O3 s’est ainsi appelé Magnétite et ses propriétés physiques
sont le magnétisme.
Au XIème siècle les marins chinois utilisaient les premières boussoles (des aimants
flottants) pour s’orienter.
La première étude sur les aimants date de 1269. Elle est due à Pierre de Maricourt
qui utilisa une aiguille magnétisée pour tracer les lignes de forces autour d’une pierre
aimantée sphérique. S’apercevant que ces lignes se refermaient sur deux régions
privilégiées de chaque côté de la sphère, il nomma ces deux régions les pôles par
analogie avec les lignes de longitude de la terre.
En 1600 William Gilbert émet l’idée que la terre est un gigantesque aimant.
En 1820, Le danois Hans Christian OERSTED découvre qu’un courant produit un
effet magnétique.
En tout point, on peut définir une direction, un sens et une intensité à ce champ
magnétique.
V. Chollet - Magnetisme-a trous.doc - 25/08/2008 Page 2 sur 62
N
B
On remarque ainsi que le pôle Nord géographique de la terre est en fait actuellement
un pôle Sud magnétique. Notons que le champ magnétique terrestre varie dans le
temps (de la minute à plusieurs millions d’années selon les causes) et s’inverse.
dM
Produit vectoriel :
2 régions privilégiées d’où partent et arrivent les lignes de champ apparaissent sur le
spectre. Ce sont les pôles.
Les pôles ne sont pas des points précis, ces régions mal définies sont proches des
extrémités du barreau aimanté.
M B
Cette loi donne l’expression générale du champ magnétique dB créé par un fil
élémentaire de longueur dl parcouru par un courant I.
dB
R M dB doit être en 1/r2 puisque
θ l’intégration ramène au cas du fil infini
Idl dont l’expression de B est en 1/R.
r
Cette loi permet par intégration de calculer le champ d’induction magnétique créé par
n’importe quelle forme de conducteur parcouru par un courant.
I
Les sens des vecteur B dessinés
sur les lignes de champ sont
donnés par la règle du tire
bouchon.
Au centre de la bobine on a :
B = µ 0 I / (2R)
N nombre de spires
Pour une bobine comportant N spires, on a R rayon de la bobine
4°/ SOLENOIDE
a) Spectre du solénoïde
b) Force magnétomotrice
I
I
M α1 α2
Les matériaux ayant de telles propriétés sont dits ferromagnétiques : alliages à base
de fer, cobalt, nickel.
NI / l
Lorsque i varie entre –Imax et + Imax, on voit apparaître une courbe fermée appelée
cycle d’hystérésis.
H
Excitation coercitive : celle qu’il
faut appliquer pour annuler B
Lorsque l’amplitude Imax des variations de I varie, le sommet du cycle se déplace sur
la courbe de 1ère aimantation.
B
Ainsi à 50 Hz, pour un acier doux dont la constante k = 100, la puissance perdue par
hystérésis dans un champ magnétique variable d’amplitude 1 Tesla sera de 5000
W/m3.
On considère un vecteur A.
L’élément de longueur considéré étant petit, on considère que ce vecteur est
constant (direction, sens et intensité).
A dC =
dl
Rappel de Maths : Produit scalaire .
On a donc dC =
θ
A cos θ
b) Sur un arc
A n’est pas constant le long de l’arc MN. On calcule donc la circulation élémentaire et on fait
la somme intégrale.
N
N N
M A C= dC = A . dl
M M
dl
I2 I3
I1 On entoure ces conducteurs par un
n
contour fermé orienté s’appuyant sur une
surface hachurée.
Le vecteur unitaire n perpendiculaire à la
surface est orienté selon la règle du tire
bouchon.
H . dl = ΣI
4°/ EXEMPLE
Cas d’un conducteur rectiligne infini parcouru par I placé dans le vide.
dl H
B = µ0 H =
I – FORCE DE LORENTZ
1°/ MISE EN EVIDENCE
v Trajectoire de l’e- si B = 0
B
Trajectoire de l’e- si B non nul
Quand B=0, l’écran fluorescent montre le spot (pont d’impact des e-) en O.
Quand B non nul, le pont d’impact se déplace en O’.
2°/ INTERPRETATION
Force subie par une particule de charge q se déplaçant à la vitesse v dans un champ
magnétique B :
F=qv B
pouce : qv F
index : B
majeur : F
e-
i v
S
dFe
B
dFe- = qe v B
Si n est le nombre d’électrons par unité de volume, la force totale agissant sur
l’élément de conducteur de section S est :
dF = n S dl qe v B
dF = n S dl qe (dl / dt) B
= dq / dt dl B
pouce : dl dl B
index : B
majeur : F
F
B
I
F2 I
B
F4
Forces de Laplace :
Avec N spires :
dS
dS
n n
θ
n
dS
Si S diminue, B augmente
I – LES PHENOMENES
S
B B
B
N
fem
fem
fem ROTATION TRANSLATION fem
Attention : une force électromotrice n’est pas une force mécanique en Newton, mais
une tension en Volts.
II – LA LOI DE FARADAY
Variation de flux : ( Φ = B . S )
Fem induite : e = - d Φ / dt
1°/ ENONCE
2°/ EXEMPLES
S
Bi B B B
i fem
fem
fem fem
3°/ POURQUOI ?
Fonctionnement en génératrice :
Génératrice : Alternateur
3°/ TRANSFORMATEUR
I – FLUX PROPRE
II – AUTOINDUCTION
L’apparition d’une fem induite aux bornes d’un circuit subissant une variation de flux
à travers sa surface. Cette fem s’oppose par ses effets à la cause qui lui donne
naissance.
2°/ AUTOINDUCTION
B extérieur
variable i
B
Créé par le
circuit
fem induite Source de tension
considéré
extérieure
e<0
K + -
Remarque :
i(t)
e(t)
e >> 0
K + -
On retient qu’il ne faut jamais couper brutalement le courant dans un circuit inductif
i(t)
e(t)
Danger !!
On place une diode en parallèle et dans le bon sens pour court-circuiter cette fem
induite lors de la coupure du courant :
K + -
uL
uL
B φ
Formule de Boucherot :
a) Modèle série
i i I
r r
u u U
jLω
e = - L di/dt
Modèle
Série
Régime Régime
quelconque Sinusoïdal
« Bonne » bobine :
r faible par rapport à Lω
donc Q >> 1
Régime Sinusoïdal
i I I
r
u U U
jLω
rp jLpω
Modèle Modèle
Série Parallèle
ω ) = [ 1/rp + 1 / jLp ω ]
1 / ( r + jLω
En identifiant les parties réelles et parties imaginaires des deux membres de cette
équation, on obtient les relations entre les deux modèles :
rp = r ( 1 + Q2 )
Q = Lω / r = rp / (Lpω)
Lp = L ( 1 + (1/Q2) )
Lp = L
rp = Q2 r
dW = r i2 dt + L i (di/dt) dt = r i2 dt + L i di
Quand I augmente :
Quand I diminue :
I – RAPPELS
Soit un dipôle alimenté par un générateur de tension sinusoïdal.
I
U Z
Expressions instantanées : i(t) = Im sin (ωt + ϕ1) u(t) = Um sin (ωt + ϕ2)
Ueff
ϕ2
Référence de phase
U = (Ueff ; ϕ2 )
U=Z I
Module : | Z | = Ueff / Ieff
Argument : arg(Z) = ϕu/I
Z est l’impédance complexe : Z = U / I
Ré(Z) est une résistance (en Ω) et Im(Z) est une réactance (en Ω)
U
I
U
I
Condensateur parfait : |Z| = 1/Cω ϕu/i = -π/2 => Z = -j/Cω = 1/jCω Im pur
I
U
U
Dipôle Inductif : Z = R + jX avec X = L ω > 0 XI
ϕu/i
|Z| = √(R2 + X2 )
ϕu/i = tan-1(X/R) > 0 I
RI
Par définition :
2,5
2
1,5
1
0,5 i
Bobine u
0
ϕ = 90° -0,5 0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05
p
P
-1
-1,5
-2
-2,5
t(s)
P UISSANCE INSTANTANEE
P UISSANCE INSTANTANEE
2
i
1 u
Résistif p
0
ϕ = 0° 0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05 P
-1
-2
-3
t(s)
V. Chollet - Magnetisme-a trous.doc - 25/08/2008 Page 29 sur 62
P UISSANCE INSTANTANEE
2,5
2
1,5
1
0,5 i
Capacitif u
0
ϕ = -60° -0,5 0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05
p
P
-1
-1,5
-2
-2,5
t(s)
P UISSANCE INSTANTANEE
2,5
2
1,5
1
0,5 i
Condensateur u
0
ϕ = -90° -0,5 0 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05
p
P
-1
-1,5
-2
-2,5
t(s)
Bobine parfaite : P = 0
Inductif : P > 0 => Puissance consommée par la partie résistive du dipôle.
Résistif : P > 0
Capacitif : P > 0 => Puissance consommée par la partie résistive du dipôle.
Condensateur : P = 0
En conclusion :
Puissance active consommée par un dipôle Z = R + j X :
Un dipôle passif ne peut pas présenter une puissance active P < 0 car il est
forcément en moyenne consommateur d’énergie.
Une puissance P<0 signifie que le dipôle fournit de l’énergie au reste du
circuit, il est ou se comporte comme un générateur. C’est par exemple le cas des
dipôles actifs (transistor, ampli op) qui peuvent fonctionner en générateur.
1°/ LE SYMBOLE
i
W
2°/ CONSTITUTION
Calibres d’intensité
Calibres tension
3°/ MESURE
L’appareil mesurant la puissance active P = Ueff Ieff cosφ, pour Ueff et Ieff donnés, la
déviation de l’aiguille dépend de cosφ.
L’aiguille dévie à pleine échelle quand : Ueff mesurée = Ucal la tension du calibre
Ieff mesurée = Ical le courant du calibre
et cosφ = 1
Attention : Même si Ueff et Ieff sont proches des valeurs des calibres
sélectionnés, la déviation de l’aiguille reste faible si cosφ est faible.
i i
W W
- Adapter les calibres des différents appareils selon les valeurs mesurées.
Définition
Ce n’est pas une puissance reçue par le dipôle, c’est pourquoi on ne l’exprime
pas en Watt.
Résistif : Q = 0
Condensateur : Q < 0
En conclusion :
V. Chollet - Magnetisme-a trous.doc - 25/08/2008 Page 33 sur 62
Puissance réactive pour un dipôle Z = R + j X :
Une puissance Q>0 signifie que le dipôle consomme est inductif, il consomme
de la puissance réactive destinée à créer le champ magnétique dans l’inductance.
V – THEOREME DE BOUCHEROT
VI – FACTEUR DE PUISSANCE
1°/ DEFINITION
I
U Z Z = R + jX
I
U Z récepteur inductif
On a : U I’ sinϕ’ = P tanϕ - Cω U2
et : UI’cosϕ’ = UIcosϕ => I’ = I cosϕ/cosϕ’
I - DEFINITION
Considérons deux circuits filiformes indéformables :
1 2
1 1 2
2
II - FLUX
= L1 i1 + M i2 = L2 i2 + M i1
Couplage magnétique
I – INTRODUCTION
2°/ CONSTITUTION
Récepteur Générateur
Ceci est un schéma de principe. En réalité les deux enroulements sont imbriqués
pour un meilleur couplage magnétique et une réduction des fuites magnétiques.
Le circuit magnétique est constitué d’un empilement de tôles isolées entre elles
(feuilletage) afin de réduire les pertes magnétiques dues aux courants de Foucault.
Le dispositif est placé dans l’air ou dans un bain d’huile pour en assurer le
refroidissement.
3°/ SYMBOLE
Tension
primaire U1
sinusoïdale
I1 I2 I1
U1 U2 U1 U2
I2
I1 donne l’orientation de ϕ.
ϕ donne l’orientation de I2.
La borne du secondaire homologue à la borne primaire est celle par laquelle entre le
courant
Propriété : Tout courant entrant par deux bornes homologues tendent à produire des
flux de même sens.
II – MODELISATION DU TRANSFORMATEUR
I1 r1 l1 Tranfo parfait r2 l2
I2
Rf L1p e1 e2 U2
U1
a) Résistances
ϕ1
ϕ’2 U2 ϕ’2 =
l1 = N1 ϕf1 / I1 l2 = N2 ϕf2 / I2
d) Inductance principale
I1a I1 = I 1a + I 1r
E1 Courant actif
Courant réacitf magnétisant
I1r
I1 Pertes fer : E1 I1a = Rf I1a 2 => Rf = E1 / I1a
Rf ainsi déterminée est valable pour ω donnée car les pertes fer dépendent de
la pulsation de la tension primaire, généralement fixe (f = 50 Hz).
Fem induites : e1 =
e2 =
Rapport de transformation : m = e2 / e1 =
V. Chollet - Magnetisme-a trous.doc - 25/08/2008 Page 40 sur 62
III – TRANSFORMATEUR A VIDE
1°/ EQUATIONS ELECTRIQUES A VIDE
On a alors I2 = 0.
N1 i1v = R ϕ1v
N1 i1 + N2 i2 = R ϕ
Le flux en charge est légèrement plus faible qu’à vide, mais on néglige cette petite
différence :
N1 i1 + N2 i2 = R ϕ Ζ R ϕ1v = N1 i1v
V – HYPOTHESE DE KAPP
1°/ HYPOTHESE DE KAPP
On néglige le courant primaire à vide : I1v << I1 => On néglige les pertes fer.
En notation complexe : N1 I1 + N2 I2 = 0
m = N2 / N1 ≅ - U2v / U1 = - I1 / I 2
I1 r1 l1 Tranfo parfait r2 l2
I2
e1 e2 U2
U1
Equations électriques :
On a vu que :
I 1 = - m I2 ; U 2v = - m U1 et E 2 = m E1
- E2 = - U2 - r2 I2 - j l2 ω I2
D’où :
Avec : Rs = r2 + m2 r1 et Xs = ( l2 + m2 l1 ) ω
I1 I2 Rs Xs
U1 E1 U2v U2
XsI2 K
U2v H
U2v
ϕ2 ϕ2
RsI2 A
U2 U2
ϕ2
I2 I2
Attention : cet essai est réalisé sous tension primaire réduite !!!
sinon I2CC >> I2nominal => le tranfo fume
I1cc I2cc Rs Xs
c) Rendement
I – TENSIONS SIMPLES
On constate que chaque tension simple est en retard de 2π/3 par rapport à la
précédente.
II – TENSIONS COMPOSEES
Réseau EDF :
i1 + i2 + i3 = iN = 0
i1 = Im sin (ωt - ϕ)
i2 = Im sin (ωt -2π/3 - ϕ)
i3 = Im sin (ωt -4π/3 - ϕ)
On a alors :
i1 + i2 + i3 = iN ≅ 0
Chaque courant de ligne i peut être exprimé en fonction des courant circulant dans
les phases du récepteur.
On peut écrire : i 1 = j 12 – j 31 i 2 = j 23 – j 12 i 3 = j 31 – j 23
I = J √3
Il faut à partir des tensions composées, déterminer les courants dans les
phases du récepteur et en déduire les courant dans les lignes.
De même : Q = √3 UI sin ϕ
De même : Q = √3 UI sin ϕ
3°/ En conclusion
TD ELECTROTECHNIQUE n° 1
Avec l’aide du cours, faire une fiche faisant apparaître les points essentiels du
chapitre 1 et les formules accompagnées de leurs conditions d’application.
-x
1°/ Exprimer le champ magnétique dB créé par un
dl
O élément de longueur dl en fonction de dl et θ.
dl
I
α M
R
dl’
1°/ Sur la figure ci-dessus, représenter les vecteurs dB et dB’ créés par les éléments
de longuer dl et dl’ du fil.
2°/ Que peut-on dire du vecteur champ magnétique dB quand l’élément de longueur
décrit la spire ? En déduire la direction du champ magnétique résultant.
R
P α
0 x
α1 α2
P
TD ELECTROTECHNIQUE n° 2
Avec l’aide du cours, faire une fiche faisant apparaître les points essentiels du
chapitre 2 et les formules accompagnées de leurs conditions d’application.
v0
q B
1°/ Dessiner puis déterminer les caractéristiques de la force agissant sur les
électrons.
I
B
v
L
2°/ La déviation des électrons sous l’action des forces de Lorentz, fait apparaître une
accumulation de charges sur les faces supérieures et inférieures du parallélépipède.
Dessiner le vecteur champ électrique qui apparaît et la force électrostatique agissant
sur l’électron.
3°/ Expliquer pourquoi en régime permanent, la force résultante est nulle. En déduire
l’expression de la différence de potentiels U apparaissant entre les deux faces en
régime permanent.
Exercice 4 – Galvanomètre
Montrer que quand le cadre est en position d’équilibre, l’angle α dont il a tourné est
proportionnel au courant mesuré I.
TD ELECTROTECHNIQUE n° 4
Avec l’aide du cours, faire une fiche faisant apparaître les points essentiels du
chapitre 4 et les formules accompagnées de leurs conditions d’application.
Un cadre carré de 4 cm de côté comporte 125 spires, est placé parallèlement aux
lignes de champ magnétique uniforme B = 0,3 T dans lequel il est plongé. Il est
suspendu à un fil de constante de torsion C.
G B
1°/ Dessiner sur le schéma le sens du courant I pour que la barre dévie sur la droite.
2°/ Calculer l’intensité de la force agissant sur la barre, sachant que I = 1 A.
3°/ On remplace le générateur par une résistance de 10 Ω, et l’expérimentateur
déplace la barre sur la droite parallèlement à elle même à vitesse v constante : 10
cm en 0,25 s.
a) Calculer la fem induite
b) Préciser le sens du courant induit (justifier)
c) Calculer l’intensité du courant induit.
d) Déterminer la puissance mécanique fournie par l’opérateur pour déplacer
la barre.
On place une petite spire plate de 2,5 cm2 de surface à l’intérieur du solénoïde
perpendiculairement à l’axe du solénoïde.
i
Le courant i a l’allure suivante :
5A
10 µs t
-5 A
Une bobine plate de 250 spires, de surface 30 cm2 et de résistance 1,2 Ω, tourne
dans un champ magnétique uniforme B = 0,3 T perpendiculaire à l’axe de rotation, à
une vitesse angulaire ω = 12 rad/s.
On négligera le champ magnétique créé par la bobine.
Exprimer la fem induite en fonction du temps pendant la phase d’entrée dans la zone
de champ magnétique. L’origine des temps t = 0 est l’instant ou le circuit entre juste
dans la zone.
TD ELECTROTECHNIQUE n° 6
Avec l’aide du cours, faire une fiche faisant apparaître les points essentiels des
chapitres 5 et 6 et les formules accompagnées de leurs conditions
d’application.
N2 spires
I2 1°/ Dessiner le sens des fmm
I1 2°/ Calculer le flux magnétique sachant que :
r µr = 1500, S = 10 cm2 et r = 40 cm.
N1 spires
N1 = 50 I1 = 1 A
N2 = 20 I2 = 5 A
N3 spires N3 = 15 I3 = 6 A
I3
µ r1
I l1 et l2 sont les longueurs moyennes des deux portions
r magnétiques constituées de matériaux différents.
N spires
µ r2 Exprimer φ sachant que S = 10 cm2, l1 = 40 cm et l2 = 20 cm.
µr1 = 10000 et µr2 = 1000, I = 5 A, N = 50 spires.
Exercice 4 – Dérivation sur un circuit magnétique
I R
R1 R2
N spires
Exprimer R en fonction de R1 et R2 .
TD ELECTROTECHNIQUE n° 7
Avec l’aide du cours, faire une fiche faisant apparaître les points essentiels du
chapitres 7 et les formules accompagnées de leurs conditions d’application.
Exercice 1
Exercice 2
Exercice 3
Exercice 4
Exercice 6
Exercice 7
TD ELECTROTECHNIQUE n° 8
Avec l’aide du cours, faire une fiche faisant apparaître les points essentiels du
chapitres 8 et les formules accompagnées de leurs conditions d’application.
Dans les exercices qui suivent, la ligne triphasée d’alimentation est un système
triphasé de tension triphasé équilibré :
v1 (t) = Vm sin ωt
v2 (t) = Vm sin (ωt - 2π/3)
v3 (t) = Vm sin (ωt + 2π/3)
Exercice 1
1°/ Calculer la valeur efficace du courant dans chaque phase et dans le fil
neutre.
3°/ Conclusion.
Exercice 2