Référentiel BTSM - PGEM - Màj - 30 - Juin - 2014 - GM1 - 0
Référentiel BTSM - PGEM - Màj - 30 - Juin - 2014 - GM1 - 0
Référentiel BTSM - PGEM - Màj - 30 - Juin - 2014 - GM1 - 0
SPÉCIALITE
La mise à niveau maritime est une année d’études indispensable à tout lycéen titulaire d’un
baccalauréat général, technologique ou professionnel (autre que le baccalauréat professionnel
maritime « Conduite et gestion des entreprises maritimes ») qui souhaite préparer le Brevet de
Technicien Supérieur Maritime Pêche et Gestion de l’Environnement Marin (BTSM PGEM).
La classe de mise à niveau maritime est partie intégrante du BTSM PGEM pour tout lycéen titulaire
d’un baccalauréat général, technologique ou professionnel.
Horaires
Matières Volumes annuels
hebdomadaires
MODULE 1
NAVIGATION (groupe de 12 élèves) 105 3,5
STAGE RADAR (groupe de 6 élèves) 30 1
METEOROLOGIE 15 0,5
REGLES DE BARRE / TENUE DU QUART 30 1
MANŒUVRE EMBARCATION (groupe de 8
60 2
élèves)
TOTAL 240 8
MODULE 2 (groupe de 12 élèves) 0
DESCRIPTION - CONSTRUCTION 45 1,5
STABILITE 60 2
ENTRETIEN ET REPARATION 30 1
SECURITE 30 1
ANGLAIS SMCP ET TECHNIQUE 45 1,5
TOTAL 210 7
MODULE 3 0
MATELOTAGE / ENGINS DE
120 4
PECHE/RAMENDAGE. (groupe de 12 élèves)
ARRIMAGE ET MANUTENTION 15 0,5
TOTAL 135 4,5
MODULE 4
GESTION 75 2,5
ENVIRONNEMENT PROFESSIONNEL 60 2
TOTAL 135 4,5
MODULE 5
MACHINES MARINES (groupe de 12 élèves) 75 2,5
ELECTRICITE (groupe de 12 élèves) 30 1
TOTAL 105 3,5
TOTAL
825 27,5
ENSEIGNEMENTS PROFESSIONNELS
MODULE 6
ANGLAIS (groupe de 12 élèves) 75 2,5
MODULE 7
FRANCAIS 45 1,5
TOTAL 120 4
ENSEIGNEMENT GENERAL
TOTAL GENERAL
945 31,5
HORS STAGES
Module 1.
Fonction STCW : NAVIGATION
NAVIGATION
(105h)
1. La sphère terrestre.
Contenu Capacités attendues
Définitions fondamentales : ligne des pôles, Déterminer la position d’un point sur la sphère terrestre
équateur, méridien origine, méridiens et
parallèles
Coordonnées géographiques d’un point Mesurer les coordonnées d’un point.
Porter et relever un point sur des cartes de différentes échelles
Mesure des distances, des vitesses et du Mesurer les distances et les vitesses en utilisant les unités appropriées
temps. sur des cartes de différentes échelles.
Définir l’heure universelle (UTC), l’heure civile de l’observateur (TCO),
l’heure du fuseau (TCF), l’heure civile locale (TCG) et l’heure légale.
Calculer l’heure du fuseau (TCF) et l’heure civile locale (TCG) en
fonction de la longitude G.
Retrouver dans les documents adéquats, l’heure légale en vigueur, pour
un pays déterminé.
Principe de fonctionnement des sondeurs écrire le principe de fonctionnement des appareils de détection
acoustiques. acoustique.
Interprétation des signaux. Interpréter correctement les images des sondeurs et des sonars.
Définitions fondamentales Définir les termes liés à la marée : pleine mer, basse mer, flux, reflux,
étale, marnage, durée, vive eau, morte eau, coefficient, courbe de marée.
Citer les correspondances entre les coefficients (120, 95, 70, 45 et 20) et
les marées.
Utilisation de l’annuaire des marées des ports Utiliser l’annuaire des marées des ports de France pour les ports
de France et du site informatique géré par le principaux et les ports rattachés.
SHOM. Utiliser le site informatique du SHOM pour un calcul de marée.
Annuaire des marées. Déterminer par les courbes types pour les ports principaux, par les
formules et par l’abaque pour les ports rattachés :
- la hauteur d’eau à tout moment en un point donné ;
- la profondeur en un point de sonde connu, à un instant donné ;
- le moment où la hauteur d’eau sera atteinte en un point donné ;
- l’heure d’échouage ou de déséchouage ;
- l’heure limite de passage en un point donné.
Exploitation
- Catalogue Exploiter le catalogue du SHOM
- Livre des feux Exploiter le livre des feux et signaux de brume du SHOM
- Instructions nautiques Exploiter les instructions nautiques du SHOM
- Ouvrages de radiosignaux Exploiter les ouvrages de radiosignaux du SHOM
- Guide du navigateur (volumes 1, 2 et 3). Exploiter le guide du navigateur.
- Livre des pavillons Exploiter le livre des pavillons
- Ouvrages des courants. Exploiter les ouvrages des courants
Mise à jour Effectuer la mise à jour des documents nautiques (SHOM) par fascicules
de corrections, Internet…
Tenue à jour Effectuer la mise à jour des cartes marines papier par fascicules de
corrections, Internet.
7. La navigation à l’estime
Contenu Capacités attendues
Action du vent Faire valoir une route
Corriger un cap
Problème de chasse. Déterminer le cap à adopter pour rallier un navire qui est stoppé.
Déterminer le cap à adopter pour rallier un navire qui fait route.
Déterminer l’heure et la position du point de rencontre pour rallier un
navire en route ou stoppé.
Programmation de route : Déterminer un point tournant en respectant une marge de sécurité (règle
du pouce).
Enregistrer une liste de points tournants.
Programmer un plan de route.
Supprimer un plan de route.
Suivre la route fond.
Marquer un événement.
Alarmes et fonction homme à la mer (MOB). Utiliser les fonctions d’alarmes, d’arrivée, d’écart de route et de
mouillage. Utiliser la fonction « homme à la mer » (MOB).
Système ECDIS Expliquer les particularités du système ECDIS (Electronic Chart Display
and Information System).
Utiliser les principales fonctions de visualisation des cartes électroniques
(modifier l’échelle, conserver le bateau à l’écran, déplacer la carte …).
Citer les normes réglementaires d’emport de l’ECDIS.
Définitions : routes, courant, vitesses, vecteurs. Définir les routes et vitesses relatives des échos.
Position par relèvements ou par relèvement et Se positionner par relèvements ou par relèvements et distance.
distance. Critiquer la fiabilité des relèvements radar utilisés pour faire un point.
Pointage en mouvement relatif non stabilisé, Analyser les échos en mouvement relatif stabilisé et non stabilisé et en
stabilisé, mouvement vrai. mouvement vrai.
Détermination des caractéristiques cinétiques Déterminer la plus courte distance de passage des échos et l’heure de
d’un écho (PRM ou CPA, TPRM ou TCPA), ce passage.
route et vitesse surface. Evaluation du risque Déterminer les routes et vitesse surface d’un écho.
d’abordage. Déterminer les changements de route et vitesse surface des autres
navires.
Conséquence d’un changement de route ou de Evaluer toutes les conséquences d’un changement de route ou de
vitesse du navire sur les éléments relatifs ou vitesse du porteur et de la cible.
vrais de l’écho : prévisions de manœuvre. Déterminer les nouveaux éléments relatifs des échos.
Effets produits par ce changement de route sur Manœuvrer conformément au règlement international pour prévenir les
les autres échos. abordages en mer.
La météorologie marine
Contenu Capacités attendues
Les instruments utilisés en météorologie Lire les instruments de mesure
1. baromètre,
2. thermomètre,
3. anémomètre,
4. girouette
Les unités de mesure
Paramètres atmosphériques Définir les principaux termes du vocabulaire météorologique
Pression barométrique
Isobares
dépression,
anticyclone
échelle de Beaufort
Le vent - direction du vent par rapport aux isobares
Action du vent sur le navire : la dérive
Phénomènes météorologiques Phénomènes accompagnant la dépression : pression barométrique, vent,
nuages, pluie, ...
Nuages : classification.
Brume et brouillard : formation.
REGLES DE BARRE
(20 h)
Feux et marques de navire Identifier, de jour et de nuit, les marques et feux d’un navire
Signaux sonores et lumineux (manœuvre, Identifier, de jour et de nuit, les signaux phoniques et optiques d’un navire
avertissement par visibilité réduite, détresse) ;
Balisage (système de balisage maritime de la Reconnaître les marques du balisage selon la zone géographique
région A et B), signalisation maritime. concernée, de jour et de nuit.
Manœuvre / embarcation
Contenu Capacités attendues
Accostage, mouillage et autres opérations Décrire la fonction des aussières d'amarrage et des câbles de
d'amarrage remorquage et le rapport entre chaque amarre et remorque et le système
d'ensemble auquel elle appartient
Donner les capacités, charges maximales utiles et résistance à la rupture
du matériel d'amarrage, y compris amarres, filins en acier, aussières en
fibres synthétiques et naturelles, treuils, guindeaux, cabestans, bittes,
chaumards et bollards (en complément du cours de matelotage)
Mettre en oeuvre les procédures et l'ordre à suivre pour amarrer et
larguer les amarres, les câbles de remorquage et les filins, y compris les
remorques
Mettre en oeuvre les procédures et l'ordre à suivre pour utiliser les ancres
dans diverses opérations
Connaissance pratique des procédures et de l'ordre à suivre pour
l'amarrage sur un ou plusieurs coffres
Manœuvre pratique d'une embarcation Utiliser les machines et la barre ;
Gouverner au compas en suivant un cap
Suivre un alignement par l’avant ou par l’arrière
Faire évoluer une embarcation à la godille
Estimer une dérive
Effectuer les manœuvres suivantes en respectant les règles de sécurité
qui leur sont liées :
1. accostage ;
2. amarrage ;
3. mouillage ;
4. échouage volontaire ;
5. prise de coffre ;
6. appareillage d’un quai, du mouillage, d’un coffre ;
7. manœuvre de repêchage d’un homme tombé à la mer.
Lancement et stoppage d'un moteur pannes Lancer un moteur - régler l'allure – stopper
élémentaires Détecter les pannes élémentaires et y remédier
1. Description du navire
Contenu Capacités attendues
Les différents types de navires de commerce Reconnaître les différents types de navires.
et de pêche Connaître leurs caractéristiques essentielles et leurs principales
spécificités
Définitions Définir les éléments et les caractéristiques d'un navire : coque, œuvres
vives, œuvres mortes, carène, superstructures, pont, bouge, tonture,
ligne de flottaison, dimensions, tirants d'eau, marques de franc-bord,
navire lège, navire en charge, déplacement, port en lourd, jauge brute,
jauge nette, assiette, ...
Lire un plan.
Rôle des sociétés de classification. Citer les principales sociétés de classification et décrire leur rôle.
Généralités sur les différents matériaux de Connaître les matériaux utilisés en construction navale
construction
Construction de la coque d'un navire en acierConnaître les différents systèmes de construction
1. Système transversal.
2. Système longitudinal.
3. Construction mixte
Citer les particularités de chaque type de construction
Définir et situer les différents éléments de la structure d'un navire,
notamment :
- Bordé
- Raidisseurs
- Eléments longitudinaux
- Eléments transversaux
- Structure de l’avant
- Structure de l’arrière
Le compartimentage Justifier le compartimentage - En définir les modalités
Définir et situer les différents éléments du compartimentage d'un navire :
peaks, ballasts, cales, entreponts, machines, cloisonnement et répartition
des compartiments - cloisons et portes étanches.
Les emménagements. Identifier les différents locaux et en définir les règles de conception et
l'usage, notamment :
Locaux de l’équipage (emplacement des cabines, avantages et
inconvénients. Conception des postes).
Passerelle (aménagement et ergonomie).
Cales (froid positif, froid négatif).
Cuisine.
Réserves, cambuses sèche et à froid positif.
Compartiment machine.
Magasins et soutes.
Les équipements de propulsion et de gouverne Identifier les différents équipements et en définir l'usage, notamment:
Arbre propulsif
Tube d’étambot
Hélices
Appareil à gouverner
Gouvernails
Propulseurs
Les accès aux espaces Identifier les différents équipements et en définir l'usage, notamment:
Panneaux de cales
Rampes
Portes étanches
Systèmes de ventilation et dégagements d’air
Echelles de coupée ;
2. Stabilité
Contenu Capacités attendues
Définitions générales
Documents hydrostatiques. Elaborer un tableau de chargement.
Stabilité transversale. Exiger d’un chantier des informations claires, complètes et exploitables
Dossier de stabilité. par le capitaine.
Cahier d’assiette et de stabilité. Exploiter les documents hydrostatiques fournis par les chantiers.
Rayon, hauteur et distance métacentrique, Calculer et évaluer les éléments de la stabilité du navire dans une
métacentre. situation donnée d’exploitation.
Equilibre d’un navire (instable, stable et Calculer la position du métacentre et le rayon métacentrique.
indifférent). Placer graphiquement les différents centres, de gravité, de carène et de
métacentre du navire. En déduire la nature de l’équilibre.
Module de stabilité initiale transversale. Calculer le moment du couple de stabilité.
Moment du couple de stabilité. Déterminer la position d’équilibre transversal du navire.
Déplacement transversal de charges. Déterminer le nouveau centre de gravité après déplacement de charges.
Déplacement du centre de gravité.
Couple de redressement. Calculer le couple de redressement.
Couple inclinant (givrage, croche, croche sur Evaluer un couple inclinant.
câble, tassement des passagers, vent).
Courbe des bras de levier de redressement Tracer et exploiter la courbe des bras de levier de redressement.
Réserve de stabilité. Courbe des KG limites Evaluer la gîte prise sous l’effet d’un couple inclinant en utilisant la
Equilibre statique. courbe.
Stabilité dynamique Enoncer le principe de l’équilibre dynamique à l’aide de la courbe
Couple et angle de chavirement statique. Déterminer graphiquement l’angle de chavirement statique et le moment
Angle de début d’envahissement. du couple correspondant.
Charges suspendues et carènes liquides. Calculer la perte de stabilité due à une charge suspendue ou à une
carène liquide.
Calcul de l’assiette à partir de documents Exploiter les documents fournis par les chantiers.
hydrostatiques.
Critères de stabilité à l’état intact. Enumérer et vérifier le respect des critères réglementaires.
Rétablir une situation sûre.
Enumération des critères.
Respect des critères
Cas particulier : échouage en cale sèche. Maîtriser l’assiette du navire pour un échouage.
Utilisation des documents réglementaires. Exploiter les documents fournis par les chantiers.
Prendre en compte les éléments pouvant affecter la stabilité du navire.
Utilisation des courbes des bras de leviers. Exploiter le navire dans les conditions prévues dans son dossier de
Lecture des documents hydrostatiques. stabilité.
Influence des modifications de structures et Etre à même d’utiliser judicieusement tous les documents mis à
d’exploitation des implantations d’apparaux et disposition des armateurs, patrons et capitaines, par les bureaux d’étude
de matériels sur la stabilité. et les chantiers.
Discussion d’un projet avec un bureau Pouvoir défendre un projet en CRS (Commission Régionale de Sécurité).
d’ingénierie navale.
Etudes de cas ;
Etude des rapports du BEA Mer (Bureau des
Enquêtes des Accidents de Mer).
3 Maintenance des équipements (contrôle, équipements de contrôle, fréquence, personnes habilitées, mesures à
prendre, résultats).
Contenu Capacités attendues
Inspection des treuils, enrouleurs, guindeaux, Apprécier l’état général des engins de manœuvre, de leur usure et
cabestans, mâts de charge, grues, palans, ordonner les travaux à effectuer.
poulies motrices, vire-caliornes, vire-filets, vire-
casiers, vire- lignes, vire-palangres.
Coupées et passerelles, filières, échelles de Vérifier l’absence de risques pour les passagers ou l’équipage.
pilote.
Appareils de production d’eau. Décider des interventions préventives évitant les pannes.
Appareils de production de chaleur. Décider des interventions préventives évitant les pannes.
Centrale hydraulique et générateur électrique. Décider des interventions préventives évitant les pannes et supprimant
les risques d’incendie.
Appareils pour le travail des captures. Décider des interventions préventives évitant les pannes, la détérioration
des produits et supprimant les risques d’accident.
Différentes possibilités de lutte contre les voies Citer et mettre en œuvre les différents moyens de lutte contre les voies
d’eau. d’eau.
Assurer la sécurité des personnes et la protection des équipements.
Prévention de la pollution par les navires Exposer les principales règles relatives à la prévention de la pollution par
les hydrocarbures, par les eaux usées et par les ordures des navires
(convention MARPOL et directives OMI)
Analyse des incidents et des accidents au sein Mettre en place un dispositif de collecte relatif aux circonstances des
de l’entreprise. accidents ou des « presque – accidents ».
Evaluation des risques. Mettre en œuvre une analyse des situations de travail
Les différentes causes d’accident. Identifier les différents risques encourus et mettre en œuvre une
Les risques de chute. stratégie, des procédures afin de les supprimer ou de les réduire.
Les risques de choc.
Les risques d’accrochage par l’engin de pêche.
Les risques liés aux vireurs et aux treuils.
Les risques de chute par-dessus bord.
Les risques engendrés par les postures et les Prévenir les lombalgies.
manutentions.
Les équipements de protection individuelle Citer et mettre en œuvre les procédures visant au port des EPI.
(EPI).
Le stockage des matières. Identifier les produits à risques afin d’assurer leur stockage, leur suivi et
leur utilisation.
Les locaux à risques. Identifier les locaux à risques et mettre en œuvre les procédures qui
permettent d’y accéder avec la sécurité optimale.
Les radiations électromagnétiques. Identifier les zones à risques et mettre en œuvre les dispositifs de
sécurité appropriés.
Connaissances de la langue anglaise pour Pratique du vocabulaire normalisé OMI dans les parties du document
l’exercice de la fonction d’officier pont. SMCP : General, glossary, A I External communications phrases à
Connaissances minimales écrites et orales l’exception de la partie Specials, B I Operative shiphandling, B IV
pour les radiocommunications. Passenger care.
Connaissances minimales écrites et orales
pour les navires à passagers autres que
rouliers.
Nœuds usuels, épissures Effectuer et défaire rapidement les noeuds couramment utilisés et
dire en quelles occasions ils sont utilisés
Épisser un œil sur cordage
Matelotage Lover, bosser et choquer un cordage
Élinguer du matériel
Saisir du matériel
Gréer et dégréer des chaises de calfat et des plates-formes volantes
Gréer et dégréer des échelles de pilote, des engins de hissage, des
garde-rats, des passerelles
Comprendre et utiliser les signaux élémentaires pour manœuvrer le
matériel, notamment les treuils, guindeaux, grues et appareils de hissage
Hisser et abaisser un pavillon et connaître les principaux signaux
Effectués avec des pavillons à lettre unique (A, B, G, H, O, P, Q).
Le chalut de fond.
- Nommer les différentes pièces et ralingues constitutives d’un chalut.
- Décrire les différents gréements de remorque.
- Décrire au plan théorique le réglage du gréement de remorque et des
panneaux.
- Citer et appliquer les règles de sécurité.
Le chalut pélagique.
- Décrire le fonctionnement du chalut et du sondeur de silet.
- Décrire les différents gréements de remorque.
- Citer et appliquer les règles de sécurité.
.
Ramendage Lacer et régler des mailles (le nœud d’écoute est solide et ne glisse pas
et la taille des mailles est homogène et régulière).
Réparer une déchirure dans les coupes (ailière, corde dos, corde de
bète) du chalut en respectant le plan du chalut initial.
Le code IMDG Classer les marchandises dangereuses selon le code IMDG. Savoir
appliquer ce code pour charger un navire.
Relations d’autorité. Définir les niveaux hiérarchiques, les fonctions et les différents postes.
Etablir les liaisons hiérarchiques et fonctionnelles.
Internationalisation des échanges, influences Analyser les grandes lignes des échanges commerciaux.
et contraintes.
Analyse des grandes composantes Dresser un compte de résultat, un SIG, un bilan, un budget
comptables.
Amortissements linéaire et variable. Etablir un tableau d’amortissement linéaire sans valeur résiduelle,
exercice comptable sur l’année civile
Eléments juridiques et obligations fiscales Citer, devoirs liés à la fiscalité : déclarations fin d’exercice et impôt selon
nécessaires à la gestion. le statut
Notions de TVA
Statut juridique de l’entreprise. Justifier le choix d’un statut pour l’entreprise. Différencier l’entreprise
individuelle de la société (EURL, SARL)
Projet d’installation Enumérer les différentes procédures et démarches pour une installation
.
Le capitaine Définir
- Les attributions de capitaine.
- Les responsabilités de puissance publique du capitaine.
- Les différents aspects des responsabilités civiles et pénales du
capitaine.
- Les responsabilités du capitaine vis-à-vis de l’armateur
- Les sanctions encourues par le capitaine
Définir les formalités obligatoires à accomplir en cas d'événement de mer
ou d'accident à bord.
Définir les obligations du capitaine armateur et les diverses formes
sociales d’activité.
Les gens de mer Énoncer les conditions nécessaires pour être marin
Énumérer les procédures et les documents de constatation et de tenue à
jour des services embarqués (Le livret professionnel maritime – le rôle
d'équipage)
Définir les notions de catégories de classement et de salaires forfaitaires
Apprécier leurs incidences sur les niveaux de cotisations et de
prestations
Énoncer les principales dispositions de la Convention internationale sur
les normes de formation des gens de mer, de délivrance des brevets et
de veille (STCW).
Énoncer les modalités de la formation professionnelle maritime
(différentes filières, différents brevets et certificats, revalidations)
Décrire l’organisation et le rôle du Service de santé des gens de mer.
Le régime disciplinaire et pénal de la marine Expliquer l'existence d'un régime disciplinaire et pénal dérogatoire du
marchande. droit commun.
Préciser les différentes catégories d'infraction et les juridictions
compétentes.
Préciser les catégories d'infractions concernées (délits nautiques) et les
tribunaux compétents.
Préciser l'étendue des pouvoirs disciplinaires du capitaine et de l'autorité
maritime.
Auxiliaires du transport maritime. Enumérer les différents auxiliaires du transport maritime et préciser leur
rôle.
conventions internationales et locales Définir le rôle l’importance de l’OMI et des autres organisations.
Définir les modalités des conventions internationales et locales et
notamment :.
- Convention sur la Sauvegarde de la Vie Humaine en Mer (SOLAS).
- Convention MARPOL.
- Convention STCW
- Code international de gestion de la sécurité (ISM).
- Code ISPS (International Ship and Port facility Security).
Agence Internationale des Câbles Sous-Marins (DTRE).
Assurances maritimes.
Expertises maritimes.
MACHINE
Formation conduisant à la délivrance du diplôme de mécanicien 250 kW.
Moteurs Diesel et les moteurs à allumage Décrire les différences entre les moteurs Diesel et les moteurs à
commandé. allumage commandé.
Décrire les conséquences pratiques, le calage et les systèmes
d’avance :
- à l’allumage commandé
- à l’injection sur Diesel
Expliquer quels sont les risques en cas de mauvais calage ou de
mauvais réglage.
Description des moteurs Diesel quatre Décrire le principe de fonctionnement d’un moteur Diesel quatre temps.
temps Décrire schématiquement les organes d'un moteur Diesel, les nommer
et donner leur rôle :
• Éléments de structure fixe : éléments de fixation, bloc moteur,
chemise, culasse, paliers.
• Éléments mobiles : pistons, bielles, vilebrequin.
• Éléments du circuit d'alimentation en air.
• Éléments du circuit d'évacuation des gaz brûlés.
• Distribution et arbre à cames. Risques en cas de défaut de
maintenance.
• Éléments du circuit d'alimentation en combustible.
• Dispositifs d'injection (mécanique HP- calage et principe du
tarage des injecteurs, électronique, BP common rail).
• Éléments du circuit de réfrigération.
• Éléments du circuit de lubrification (types de pompe à huile,
clapet de décharge, sondes pression d’huile, radiateurs
d’huile, sondes de température huile et réfrigérant).
Repérer sur un moteur les différentes parties le constituant.
Ligne propulsive Décrire, nommer et donner le rôle des constituants d'une ligne
propulsive :
• Réducteurs, embrayeur, inverseur (niveaux d’huile et vidange),
• Divers types de transmission ligne d’arbre, U drive, S drive, Z
drive, Sail drive, Hydrojets et précautions d’entretien
spécifiques,
• Accouplements (divers types),
• Supports moteur, silent blocks,
• Étanchéité de la ligne d'arbre au passage de la coque (divers
types, précautions de remise en eau),
• Principes de l'hélice à pales fixes, divers types d’hélices
repliables (plusieurs modèles et constructeurs).
Identifier des défauts d’alignement et leurs risques selon les types de
transmission, rectifier un mauvais alignement.
Identifier et prévenir les avaries et pertes de pales ou d’hélice.
Contrôler les chaises d’arbre.
Changer les bagues hydrolubes.
Objectifs :
- Appréhender les dangers de l'électricité ;
- Maîtriser le fonctionnement des installations électriques d'un navire de commerce
d'une puissance propulsive de 250 kW et dépanner l'installation
Fondamentaux de l'électricité Définir ce qu'est un courant électrique, donner son sens, définir son
intensité.
Définir ce qu’est la résistance électrique d’un circuit.
Définir ce qu'est une différence de potentiel et une force électromotrice.
Donner les fonctions des différents éléments : générateurs, conducteurs
de liaison, récepteurs, appareils de mesure et de sécurité, symboles.
Définir ce qu'est un courant alternatif et un courant continu.
Nommer les applications navales des différents types de courant.
Décrire le fonctionnement des récepteurs purement thermiques, la loi
d'Ohm, effets joules : effets nuisibles et applications pratiques.
Connaissant le voltage et la puissance d’un appareil électrique, calculer
l’ampérage du fusible ou du disjoncteur de protection.
Le courant alternatif. Mesurer les paramètres électriques d'un courant alternatif monophasé.
Démonter et repérer les pièces et circuits d'un alternateur monophasé.
Donner le rôle, décrire et expliquer le principe de fonctionnement d'un
transformateur. Mesurer les résistances des enroulements.
Distribution de l'énergie électrique à Relever et dessiner le schéma d'une installation électrique en courant
bord continu.
Décrire une distribution de l'énergie électrique à bord en courant
continu.
Relever et dessiner le schéma d'une installation électrique en courant
alternatif BT.
Décrire une distribution de l'énergie électrique à bord en courant
alternatif BT.
Mettre en œuvre les appareils usuels de mesure et de protection.
Utiliser un contrôleur universel.
Réaliser une soudure à l’étain sur circuit électrique
Confectionner et utiliser une lampe témoin 12 ou 24 V.
Mesurer un défaut d'isolement et expliquer les dangers que cela peut
entraîner. Protéger contre l’humidité et l’oxydation les raccords et
connexions.
Effectuer une recherche de court-circuit ou de coupure.
Décrire le principe des disjoncteurs thermiques.
Réalisation de dépannages simples en toute sécurité (échange
standard d'un fusible, d'une ampoule, d'un composant, maintenance de
1er niveau).
Expliquer les effets galvaniques, et décrire les moyens de protection
contre l’électrolyse. Plaques, tresses et rubans de masse.
Dangers présentés par le courant Décrire les dangers de l'électricité relatifs à l'homme.
électrique Définir les caractéristiques électriques limites (résistance du corps
humain, intensité de non lâcher et tension limite)
Définir les domaines de tensions (TBT, BT, HT)
Mettre en œuvre la conduite à tenir face à un électrisé.
Décrire les risques d'incendie et d'explosion liés à l'électricité, en
particulier pour les installations à faible voltage et fort ampérage.
Décrire les opérations d’urgence avant d’engager la lutte contre
l’incendie.
Décrire les dangers dus au manque accidentel d'énergie électrique à
bord.
Préambule :
L’enseignement dispensé lors de l’année de mise à niveau maritime doit répondre à plusieurs
exigences. Dans la continuité du lycée, il est important que les élèves issus de séries générales ne
perdent pas la maîtrise des savoir-faire et des savoirs au niveau de leurs connaissances générales,
de leur esprit critique et des techniques littéraires.
A cela doivent s’ajouter des aspects méthodologiques plus pratiques que l’on retrouve davantage
dans les programmes d’enseignement professionnel à savoir le travail de l’oral et des écrits
professionnels (lettres de motivation, CV, compte rendu, dossiers thématiques, recherches
bibliographiques, rapports de stage) et dont la maîtrise semble indispensable en classe de BTSM.
Enfin le français doit être un support aux disciplines plus techniques pour l’accompagnement à la
découverte du monde maritime. Il serait donc pertinent dans ce cadre de mettre en place des activités
pluridisciplinaires lors de visites, rencontres, réunions professionnelles, salons, durant lesquelles les
apprenants développeraient leur esprit de synthèse, mais aussi d’oral (interview, restitution).
Objectif 1. - le CV et la lettre de -Partie essentielle afin d’ouvrir les élèves aux domaines maritimes et
S’insérer dans motivation les accompagner dans la recherche de stage et le contact avec les
le monde - l’entretien professionnel acteurs du milieu maritime.
professionnel - l’interview -Objectif qui peut favoriser la pluridisciplinarité avec les matières
- le compte rendu de visite techniques et professionnelles.
- L’entretien et l’entrevue professionnelle : L’accent sera mis sur l’usage d’un vocabulaire adapté à
son interlocuteur, l’élocution, les postures, la compréhension avec des mises en scènes et des
exercices d’improvisation.
- Le compte rendu et les fiches métiers: Apprentissage de la synthèse d’informations à travers des
dossiers thématiques (faits de société, maritimes, environnementaux) où les élèves seront surtout
impliqués dans la recherche documentaire (activité au CDI, salle informatique, médiathèque…). De
même, pour compléter la découverte du milieu maritime et en complément de l’interview, il peut être
bénéfique de faire réaliser des fiches métiers autour des différents acteurs des secteurs maritimes
rencontrés durant l’année.
- La présentation orale : L’exercice oral doit être pratiqué toute l’année et pas seulement pour la
présentation du rapport de stage (qui logiquement interviendra en fin d’année scolaire). Pour cela,
l’enseignant mettra en place des exercices de restitution orale de dossiers thématiques tout au long
de l’année. Le travail se basera principalement sur des dossiers de presses et des documents de
vulgarisation ayant rapport avec des thématiques d’actualités (sociales, politiques, culturelles…) mais
aussi maritimes (gestion de la ressource, développement du tourisme littoral, algues vertes et
pollution, projet des énergies nouvelles, économie et société maritimes, régions maritimes…) et que
les élèves devront problématiser et exposer durant l’année à leur camarade ou critiquer sous forme
de dissertation à l’écrit.
- La dissertation : exercice de base à la réflexion écrite, la dissertation ne doit pas être négligée car
elle peut être un élément de sélection lors de concours et examen. Normalement parfaitement
maîtrisée par des élèves accédant à la classe MAN, cette pratique doit être maintenue autour de
problématiques d’actualité. Elle peut venir en complément de l’étude d’un dossier thématique (objectif
2).
1. Objectifs.
La période de formation en milieu professionnel de la classe de mise à niveau du B.T.S. PGEM doit
permettre à l’étudiant de découvrir l’entreprise dans son ensemble et de se familiariser avec elle.
2. Organisation générale
La période de formation en milieu professionnel est effectuée dans une entreprise à terre ou
embarquée.
La formation en milieu professionnel est placée sous le contrôle des autorités académiques dont
relève l’étudiant.
Cette formation en milieu professionnel est organisée par l’établissement fréquenté par l’étudiant et
l’entreprise d’accueil. La convention de stage devra être établie conformément aux dispositions en
vigueur (références réglementaires conventions stages « terre » et « mer » à insérer). Durant la
période de formation en milieu professionnel, l’étudiant a obligatoirement la qualité de stagiaire.
Cette formation en milieu professionnel est placée sous la responsabilité pédagogique des
professeurs assurant les enseignements professionnels. Cependant, l’équipe pédagogique dans son
ensemble est associée à l’explicitation de ses objectifs, à sa mise en place, à son suivi et à
l’exploitation qui en est faite. Elle doit veiller à informer les responsables de l’entreprise des objectifs
visés et plus particulièrement de son importance dans la confirmation de la vocation de l’étudiant.
A l'issue de cette période de formation en milieu professionnel, et à des fins d'évaluation, un rapport
sera établi par l'étudiant et remis aux membres de l'équipe pédagogique.
3. Durée
La scolarité de la classe MAN est organisée en trimestres. L'établissement d'accueil de la classe MAN
fixe les dates de début et de fin de trimestre et établit le calendrier des conseils de classe.
Les membres des conseils de classe sont les professeurs ayant délivré les enseignements de la
classe de MAN.
Les conseils de classe du premier et second trimestre ont pour mission de traiter les questions
pédagogiques intéressant la vie de classe, les modalités d'organisation du travail personnel des
étudiants et d'examiner les résultats scolaires individuels des étudiants en proposant un bilan et des
conseils. Le conseil de classe du troisième trimestre émet un avis sur l'admission de l'étudiant en
classe de BTSM PGEM 1ère année prenant en compte la note obtenue à chaque épreuve et établit
une liste, par ordre de mérite.
Les modalités de contrôle en cours de formation prévoient la communication régulière des notes et
résultats à l’étudiant.
2. Épreuves
Le stage radar APRA fait l’objet d’une évaluation indépendante (acquis ou non acquis).
ANNEXE IIa
RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES
1.1. Définition.
Le titulaire d'un BTSM Pêche et Gestion de l'Environnement Marin est un marin breveté a
minima Patron de Pêche ou Capitaine 500, qui, après expérience, peut encadrer, ou assurer les
activités suivantes :
animation et encadrement d'une activité dans le cadre d'une activité de Pêche en milieu
maritime ;
sens marin ;
autonomie ;
disponibilité ;
rigueur ;
sens du relationnel ;
relations humaines ;
travail en équipe ;
autorité ;
adaptabilité.
Le titulaire du BTSM Pêche et Gestion de l'Environnement Marin peut occuper les emplois
suivants :
Technicien océanographique ;
Animateur nature ;
Conservatoire du littoral ;
Organismes professionnels ;
Organisations de producteurs ;
Coopératives maritimes ;
Criées ;
Armements à la pêche ;
Syndicats d'initiative ;
Armements offshore
Centres de loisirs
Selon la nomenclature d'activités et produits de l'INSEE (NAF 2008), cette activité entre dans la
classe :
- 03.11 Z "Pêche en mer" :
- 50.10 "Transports maritimes et côtiers de passagers" ;
- 74.90 B "Activités spécialisées, scientifiques et techniques diverses" ;
- 81.132 "Administrations publiques".
- Ports de plaisance Nautisme.
Le titulaire du BTSM "Pêche et Gestion de l’Environnement Marin" bénéficie d'une formation qui
lui assure une autonomie dans la gestion de son activité.
Il accomplit ses travaux, seul ou en manageant une équipe, sous les ordres d'un cadre dirigeant
du secteur public ou du secteur privé qui définit avec lui ses missions, les moyens humains et
matériels nécessaires ainsi que les normes d'exigence et de qualité.
La préservation de la biodiversité ;
Conduite de la pêche ;
Application de la règlementation ;
Communication et pédagogie ;
Observations subaquatiques.
Ces activités et tâches seront accomplies majoritairement en pleine autonomie sur le terrain
dans le respect strict de la règlementation et des règles de sécurité. Ces activités feront l'objet d'un
compte rendu aux autorités hiérarchiques.
Activité professionnelle :
Exploitation rationnelle et durable des ressources marines.
Activité professionnelle :
Traitement, valorisation et commercialisation des captures et produits.
1. Contrôler l'altération des captures
2. Manipuler des captures à bord avant traitement.
3. Conserver les captures par séchage ou salage.
4. Conserver les captures par le froid.
4. Conserver les captures à l'aide de produits chimiques.
5. Produire des sous-produits à bord.
6. Manipuler et stocker des captures à bord.
7. Stocker et transformer des produits à bord.
8. Valoriser des produits.
9. Etudier le marché.
10. Négocier.
11. Promouvoir des produits.
12. Commercialiser des produits
Activité professionnelle :
Observation du milieu marin et des espèces océaniques.
1. Identifier les principales espèces animales et végétales marines.
2. Identifier les espèces de l'avifaune et interpréter leur comportement
3. Identifier les mammifères marins et interpréter leur comportement.
4. Identifier les reptiles chelonioidés (tortues marines) et interpréter leur comportement.
5. Participer aux campagnes de marquages et de suivi des espèces marines.
6. Capturer des espèces en difficulté
7. Identifier ou mettre en évidence des pathologies ou des stress
8. Prendre des mesures de prévention, de protection ou palliatives.
Activité professionnelle :
Organisation et conduite de missions de collecte de paramètres océanographiques
1. Analyser un cahier des charges, une commande et un plan de campagne.
2. Définir et approvisionner les moyens techniques et humains nécessaire à la réalisation de la mission.
3. Vérifier et corriger les protocoles.
4. Planification de l'itinéraire du bateau.
5. Se positionner sur les points de prélèvements.
6. Mettre en œuvre des apparaux de prélèvements.
7. Prélever des échantillons et mesurer des paramètres.
8. Acquérir des données.
9. Conditionner des échantillons.
10. Rendre compte d'une mission.
Activité professionnelle :
Prévention et lutte contre la pollution.
1. Observer et surveiller la qualité du milieu, identifier les pollutions marines et donner leur origine.
2. Identifier les hydrocarbures et leurs caractéristiques.
3. Suivre et mesurer l'évolution d'une nappe d'hydrocarbure.
4. Identifier les SNPD (Substances Nocives et Potentiellement Dangereuses) et leurs caractéristiques.
5. Identifier les contaminants d'origine tellurique ou marine et leurs effets sur la biocénose sur la réseau
trophique et sur le consommateur.
6. Alerter les services compétents.
7. Prélever des échantillons de polluant et des échantillons contaminés.
8. Protéger l'environnement et les installations avant lutte contre des pollutions.
9. Lutter contre des pollutions.
10. Organiser la collecte de déchets sur le littoral, dans des ports ou en mer.
11. Informer le public sur la prévention des pollutions.
12. Appliquer ou faire appliquer la réglementation relative à la protection du milieu marin et du
consommateur.
Activité professionnelle :
Organisation et conduite d'une expédition maritime.
1. Conduire un navire.
2. Planifier un voyage.
3. Positionner un navire.
4. Manœuvrer un navire de commerce ou de pêche.
5. Communiquer.
6. Analyser des évènements de mer.
7. Analyser les documents techniques.
8. Assurer la stabilité des navires de commerce et de pêche en fonction des masses et du
comportement du navire à la mer.
Activité professionnelle :
Application du droit et de la règlementation maritime.
ANNEXE IIb
RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION
Les tâches recensées dans le référentiel des activités professionnelles permettent de définir les
compétences professionnelles d'un technicien supérieur maritime pêche et gestion de l’environnement
marin. Ces compétences résultent de situations de travail définies.
ACTIVITES
CAPACITE COMPÉTENCES TERMINALES
PROFESSIONNELLES
Organisation de missions
d'observation de campagne
de pêche.
Application du droit et de la
réglementation maritime
ACTIVITES PROFESSIONNELLES
de prélèvements et d 'études
document ou un message
Les compétences identifiées dans le tableau récapitulatif mobilisent des savoirs qui renvoient à
des disciplines d'enseignement général ou scientifique et technologique.
L’analyse des différentes situations de travail, liées aux tâches, permet de lister les savoirs
indispensables associés aux compétences.
Pour les savoirs relevant du domaine technologique, un niveau taxonomique précise le degré
de maîtrise pour ce BTSM.
Les compétences professionnelles s'appuient sur des savoirs classés dans les domaines
relevant :
S3 : Mathématiques.
Configuration géométriques et calcul vectoriel
Analyse.
Statistiques et probabilités.
Mots clés : vecteurs, trigonométrie, analyse, statistiques.
S18. Navigation.
Problème sur carte (carte 6990).
Mesure et calcul de passerelle.
Radio navigation.
Les règles de barre et de route.
Pratique de la navigation.
Mots clés : navigation.
S19. Stabilité.
Définitions générales.
Définitions relatives à la stabilité transversale (critères de stabilité relatifs aux navires
de pêche).
Documents techniques de stabilité.
Stabilité transversale des navires de pêche.
Stabilité longitudinale des navires de pêche.
Modification de la stabilité des navires de pêche.
Comportement du navire à la mer.
Mots clés : stabilité du navire.
Objectif général :
Le but de l'enseignement de ce savoir dans la section de technicien supérieur "Pêche et gestion
de l'environnement marin" est de donner aux étudiants la culture générale et maritime qui leur
sera utile dans leur vie professionnelle et citoyenne et de les rendre à aptes à une communication
efficace en développant notamment leurs capacités de compréhension, recherche de
l'information et d'expression écrite et orale.
La mémorisation, la composition de fiches de travail, des lectures rapides, la composition d'un fond
documentaire adapté sont les outils indispensables à l'étudiant pour atteindre l'autonomie requise.
Une communication efficace à l'oral et à l'écrit suppose la maîtrise d'un certain nombre de capacités
et de techniques d'expression. Cette maîtrise suppose, à son tour, une connaissance suffisante de la
langue (vocabulaire et syntaxe) et une aptitude à la synthèse pour saisir avec exactitude la pensée
d'autrui et exprimer la sienne avec précision.
Des exercices variés concourent à cette maîtrise: débat oral, exposé oral, analyse des interactions
verbales ; analyse et résumé d'un texte, comparaison de textes plus ou moins convergents ou
opposés, étude logique d'une argumentation, constitution et analyse d'une documentation, compte-
rendu d'un livre lu, composition d'une synthèse à partir de textes et de documents de toute nature,
rédaction d'un compte-rendu, d'une note, d'une réponse personnelle à une question posée, d'une
argumentation personnelle mettant en évidence l’évolution du monde maritime français et européen.
La période d’étude s’échelonne de l’Antiquité au début du XXIème siècle.
Chaque année, après consultation des équipes pédagogiques concernées, une note de l'IGEM fixera
le(s) thème(s) abordé(s) et proposera les œuvres étudiées ainsi que les axes de réflexion pour
atteindre les objectifs généraux suivants :
- créer une culture maritime commune chez des étudiants arrivant d’horizons scolaires variés, leur
permettant une intégration réussie dans le milieu maritime et la réalisation de leurs tâches
d'encadrement ;
- développer la curiosité ainsi que la compréhension du fonctionnement du monde maritime ;
- développer le sens de la réflexion par les techniques de l'argumentation écrite et orale, la précision
des informations et des arguments, ceci afin de construire l’expression d’un jugement personnel.
Cet ensemble se présente sous la forme d’un répertoire des capacités et techniques dont la maîtrise
constitue l’objectif du module Culture Maritime et Expression Française dans cette section de
technicien supérieur maritime.
Les situations proposées sont des situations de formation. Certaines d’entre elles peuvent servir de
supports à une évaluation. D’autres ne figurent pas en tant que telles dans les épreuves de
certification mais sont essentielles dans un parcours de formation.
Chaque professeur conserve la responsabilité de définir son projet pédagogique, en déterminant ses
priorités et sa progression. Il prend en charge, selon les horaires dont il dispose, les exigences
professionnelles propres au brevet de technicien supérieur maritime et répond aux besoins recensés
chez ses étudiants. Chaque fois que cela est possible, il veille à favoriser l’interdisciplinarité.
Le milieu professionnel du technicien supérieur maritime est marqué par des caractéristiques
spécifiques alternant des périodes embarquées et des périodes à terre.
Les embarquements sont marqués par des équipages fortement hiérarchisés, à forte diversité sociale,
linguistique et culturelle, fonctionnant sur des périodes plus ou moins longues en huit clos.
Même embarqués, les techniciens supérieurs maritimes sont en relation professionnelle avec une
entreprise terrestre et des acteurs divers.
Une communication efficace, à l’oral comme à l’écrit, dans cet environnement, suppose la maîtrise
d’un certain nombre de savoirs et donc, afin de les transmettre dans les meilleures conditions, de
capacités et de techniques d’expression.
Communiquer.
- La communication orale :
- La communication écrite :
Comprendre
La langue orale
La langue écrite
3. Les thèmes
De par son fonctionnement biologique, l'homme n'est pas un mammifère aquatique. L'évolution sur
mer constitue donc une aventure et nécessite le développement de savoirs et de savoir-faire et ceci
sur des milliers d'années :
Dans l'histoire de l'Europe, les activités maritimes (commerce, pêche, constructions navales...) ont
toujours joué un rôle si considérable que la politique et l'économie ne peuvent se comprendre sans
elles. Cependant, ces activités -et leurs liens- sont victimes de malentendus qui les emprisonnent
dans des idées fausses et préconçues. Elles restent ainsi largement délaissées -sauf rares
exceptions – par l'enseignement français.
Les recherches internationales ont montré l'importance de ces activités, de cette « économie »
maritime dans le développement européen.
Le commerce intra-européen, commerce colonial, pêches, courses, pour ne citer qu'eux, étaient liés.
Ils constituaient des secteurs amont (pour permettre) ou aval (pour écouler des produits) du vaste
commerce maritime européen.
- Le commerce maritime intra européen du XIV ème au XXème siècle : la Hanse (principaux ports et
hinterland).
- Les pêches : l'aventure de la pêche morutière de début du XVIème à la fin du XXème siècle.
- La marine de commerce française : évolution économique et stratégique des origines à nos jours.
- La marine royale, corsaires et trafic dans l'Atlantique de Louis XIV à nos jours.
La mer exerce une fascination indéniable et peut donner lieu à des représentations fantastiques. Elle
prend alors tour à tour l’aspect d’une mère nourricière, maternelle voire salvatrice mais elle peut
également se transformer en marâtre destructrice. En effet, la littérature française offre nombre
d’images de tempêtes où la mer se déchaîne et peut mener la vie dure aux marins. Ainsi il est
intéressant d’étudier les aspects du marin (extension possible du thème de la piraterie) à savoir un
marin menant une vie de « galère » ou une vie calme ; le marin tantôt courageux faisant preuve de
sang-froid, tantôt gagné par la peur…
Par ailleurs, il est intéressant de percevoir, à travers la littérature, les différents progrès de la
navigation dans un souci d’interdisciplinarité avec la partie historique du module. En effet, ces
progrès sont non seulement alimentés par les sciences, mais aussi par l’imaginaire.
L'homme et la mer.
De l’Antiquité au Moyen-Age, ce sont notamment les récits mythiques qui développent les
connaissances et alimentent les inquiétudes et les fantasmes de cet espace inconnu
comme ce pouvait être le cas pour les massifs montagneux lors de ces mêmes périodes.
Toujours en lien avec la fascination il est évident que la mer, et par extension l’eau et ses
corollaires, laissent souvent place à la rêverie poétique. Les badauds deviennent parfois
sensibles à sa beauté et s’abandonnent à leur imagination ainsi qu’à leur plume.
Lieu de déplacements, de mouvements fictifs ou réels la mer peut apparaître comme simple
vecteur. Mais elle est en réalité un vecteur générateur ou destructeur de lien social
(échanges marchands ; conquêtes ; rencontres au cours de voyages d’aventure,
initiatique… « bouteille à la mer »…) et par conséquent favorise les avancées techniques,
technologiques, culturelles, personnelles, ...
La mer au cinéma.
Le thème de la mer depuis l’invention du cinéma marque sa présence dans le 7 ème art à
travers différents genres. Ainsi, ces œuvres pourront être aussi bien des fictions que des
documentaires.
Pour les œuvres de fictions il est intéressant de constater que celles-ci sont souvent
l’adaptation d’œuvre littéraire. Il pourrait alors être judicieux d’envisager une étude croisée
de ces différents supports sans que cela soit pour autant une obligation pédagogique.
Mer et philosophie.
Enfin, il arrive parfois que ce sujet suscite quelques réflexions philosophiques, des plus
sérieuses aux plus cocasses…
Le littoral est tout autant un espace marqué par une empreinte physique naturelle forte, voire
contraignante que par l’homme et son action sur cet espace de transition, interface du terrestre et
du marin en interaction perpétuelle.
Connaissances générales :
- Le littoral de nature (Géophysique des littoraux -littoral d'ablation, littoral d'accumulation-,
paysages côtiers, zonation biogéographique, écotone littoral) ;
- le littoral d'œkoumène (espace anthropisé).
Développement par thèmes (le déroulé suivant ne se veut pas exhaustif et peut très bien être
enrichi par d’autres entrées construites par le professeur) :
- Littoraux et développement durable ;
- Littoraux riches, littoraux pauvres : quelles inégalités ? ;
- Mondialisation et insularité.
4. Les situations.
Auditoire professionnel.
Recherche, de tri et de traitement d'informations (écrites, orales, visuelles) sur des ensembles
organisés ou non.
Audition d'un message oral (revue de presse, exposé, discours argumenté, etc.).
Atelier d'écriture.
Autoévaluation.
Objectif général :
Le but est de développer une culture du monde maritime moderne et contemporain et
mobiliser ses savoirs langagiers et culturels pour communiquer en langue anglaise.
Ces deux objectifs sont indissociables l'un de l'autre. On s'abstiendra donc de travailler la
communication en langue anglaise sur des thématiques qui ne seraient pas en rapport avec
le monde maritime, de la même manière que l'on s'abstiendra de tout enseignement culturel
maritime qui ne serait pas donné en langue anglaise.
1. Introduction.
La prise en compte du domaine professionnel ne signifie pas pour autant que l’enseignement doive se
limiter à l’apprentissage d’une communication utilitaire réduite à quelques formules passe partout
dans le monde du travail ou au seul accomplissement de tâches professionnelles ou encore à l’étude
exclusive de thèmes étroitement liés à la section. Tout thème qui permettra aux étudiants de mieux
comprendre la culture du pays dont ils étudient la langue pourra être abordé à condition qu’il reste
pertinent à la section.
Le niveau visé est le niveau B2 du Cadre Européen Commun de Référence pour les langues.
Cependant le professeur pourra tenir compte de la diversité des étudiants en se fixant pour objectif la
consolidation du niveau B1 avant de viser le niveau B2.
Dans le Cadre Européen Commun de Référence (CECRL), le niveau B1 est défini de la façon
suivante.
Un étudiant devient capable de comprendre les points essentiels quand un langage clair et
standard est utilisé à propos de choses familières dans le travail, à l’école, dans la vie
quotidienne. Il est en mesure dans la plupart des situations rencontrées en voyage dans une
région où la langue est parlée, de produire un discours simple et cohérent sur des sujets
familiers. Il peut relater un événement, décrire un espoir ou un but et exposer brièvement un
raisonnement.
Outre les particularités culturelles liées au domaine professionnel (écriture des dates, unités
monétaires, unités de mesure, sigles, abréviations, heure, code vestimentaire, modes de
On s'attachera donc à développer chez les étudiants la connaissance des grandes nations maritimes,
connaissance indispensable à une communication efficace qu'elle soit limitée ou non au domaine
professionnel.
L'enseignement des compétences de communication en langue anglaise devra donc être réalisé à
partir de dossiers thématiques maritimes. Chaque dossier thématique devra former un ensemble
cohérent autour d'une problématique maritime. Il devra comprendre des documents écrits, oraux ou
visuels, à partir desquels les étudiants pourront développer les compétences de compréhension et
d'expression, écrites et orales, en langue anglaise.
De deux à cinq thématiques pourront être abordées chaque année. Le choix des thématiques
retenues est laissé à l'initiative de l'enseignant.
A titre indicatif, et de manière non-exhaustive, les thématiques suivantes pourront être choisies :
• la culture côtière et l'héritage maritime ;
• la pêche commerciale ;
• la construction navale ;
• la navigation ;
• les ports ;
• les sciences marines ;
• les lettres et les arts maritimes ;
• l'environnement marin et sa protection ;
• la sécurité maritime ;
• le commerce maritime ;
• les espaces géographiques maritimes.
Il est bien entendu possible aux enseignants de créer d'autres thématiques, en précisant ou en
croisant les thématiques énoncées ci-dessus. Cela permettrait par exemple d'aboutir à des
thématiques du style : « Le saumon d'élevage en Mer du Nord : enjeux commerciaux et
environnementaux ».
Il est important est que les dossiers thématiques retenus soient suffisamment fournis en documents
de toute nature que les étudiants puissent exploiter. Une instruction de l'Inspecteur Général de
l'Enseignement Maritime, détaillera à titre d'exemple des listes bibliographiques, cinématographiques,
iconographiques, enregistrements audio et vidéo, etc., pouvant servir de base à la constitution de
dossiers thématiques.
3.1 Objectifs
L’accès à un cycle BTSM se traduit pour l’étudiant par une double nécessité:
• S’entraîner de façon de plus en plus autonome car le volume horaire imparti ne permet
qu'imparfaitement une exposition suffisante, en fréquence et en durée, à la langue.
La primauté de l’oral est par ailleurs rappelée : l’essentiel du temps de « face à face» doit
être consacré à la pratique de la langue orale dans ses deux composantes (expression et
compréhension).L’importance du lexique et de phonologie pour la communication doit être
réaffirmée, mais la morphosyntaxe ne doit pas pour autant être négligée.
On l'a vu, le développement des compétences langagières nécessite une exposition importante des
étudiants, en fréquence et en durée, à la langue. La programmation des enseignements devra donc
prévoir, autant que possible, une séance quotidienne d'enseignement en langue anglaise.
Selon les possibilités offertes par la programmation annuelle des semaines d'enseignement, un
voyage à l'étranger d'une durée d'une semaine permettant une immersion linguistique et
professionnelle pourra être réalisée judicieusement en début de 2deuxième année.
On dénombre 5 objectifs de deuxième niveau ; chacun d’eux correspond à une activité langagière.
Dans la présentation, les activités langagières sont dissociées les unes des autres; dans une séance
d’enseignement, comme dans la réalité, elles s’imbriquent constamment. Pour toutes les activités, le
niveau d’exigence attendu, en référence au CECRL, est le niveau B2.
Objectif 4 : Lire avec un grand degré d’autonomie des « écrits » de tous ordres.
Objectif 5: Ecrire des textes clairs et détaillés sur une gamme étendue de sujets relatifs aux
domaines d’intérêt de l’étudiant (professionnel ou non).
• rédiger en respectant les formes liées à la finalité du document écrit
• maîtriser la morphosyntaxe pour garantir l’intelligibilité
Degré 4 (B2)
Compréhension Écrite Stratégies et maîtrise linguistique
- Peut lire des articles et des rapports sur des - Possède une bonne gamme de vocabulaire
questions contemporaines, un texte littéraire en permettant de comprendre des textes relatifs à son
prose domaine et aux sujets les plus généraux
- Peut identifier une attitude ou un point de vue - Possède une assez large gamme de vocabulaire en
- Peut comprendre des instructions longues et général mais pourra connaître des difficultés avec
complexes dans son domaine à condition de pouvoir des expressions peu courantes
relire certains passages - Peut contrôler sa compréhension grâce à des
- Peut lire une correspondance courante dans son indices contextuels
domaine et en saisir l'essentiel du sens
Compréhension Orale Stratégies, maîtrise lexicale et syntaxique
- Peut comprendre les idées principales - Possède une bonne gamme de vocabulaire
d'interventions complexes dans une langue permettant de comprendre des messages sur les
standard, y compris professionnelle sujets relatifs à son domaine et aux sujets les plus
- Peut suivre une intervention d'une certaine longueur généraux
et une argumentation complexe si le sujet est - Possède un bon contrôle grammatical évitant les
familier et que le plan général est indiqué malentendus
- Peut suivre l'essentiel d'une conférence, d'un - Peut utiliser différentes stratégies de
discours, d'un rapport ou d'un exposé professionnel compréhension dont le repérage des points forts et
- Peut comprendre des annonces et des messages les indices contextuels
courants sur tous les sujets si la langue est standard
et le débit normal
- Peut comprendre la plupart des documents
radiodiffusés en langage clair
- Peut identifier l'humeur ou le ton de l'interlocuteur.
Degré 4 (B2)
Production Écrite Intelligibilité et recevabilité linguistique
- Peut écrire des textes clairs et détaillés, des - Ne fait pas de fautes conduisant à des malentendus
descriptions élaborées - Peut utiliser des périphrases pour masquer des
Peut faire la synthèse et l'évaluation d'informations et lacunes, peut varier pour éviter les répétitions, même
d'arguments empruntés à des sources diverses au prix de confusions ou incorrections mineures
- Peut exposer les avantages et les inconvénients - Possède une bonne gamme de vocabulaire sur les
- Peut exprimer son point de vue, apporter des sujets relatifs à son domaine
justifications - Possède une variété de mots de liaison et un nombre
- Peut développer une argumentation, indiquer les limité d'articulateurs
relations entre les idées, mettre en valeur les points
importants
- Peut faire une critique, exprimer ses émotions.
B2 : Peut méthodiquement développer une présentation, une description ou un récit soulignant les points
importants et les détails pertinents à l’aide d’exemples significatifs. Peut s’exprimer de façon claire et détaillée
sur une grande gamme de sujets relatifs à ses centres d’intérêt. Peut utiliser un nombre limité d’articulateurs
pour lier ses phrases en un discours clair et cohérent, bien qu’il puisse y avoir quelques sauts dans une longue
intervention.
Compétence phonologique.
Le tableau 1 ci-après met en parallèle des tâches de la vie professionnelle auxquelles les futurs
techniciens supérieurs pourront être confrontés dans l’exercice de leur métier, le niveau attendu pour
la réalisation de ces tâches dans la langue obligatoire, ainsi que quelques apprentissages qu’il
conviendra de mettre en place. Ces derniers sont signalés en complément de savoirs, savoir faire et
stratégies à maîtriser quelle que soit la tâche de production orale :
• Planifier ce qu’il veut dire et mobiliser les moyens linguistiques indispensables;
• S’exprimer de façon intelligible en respectant prononciation, accents de mots, de phrase,
rythme, intonation;
• Utiliser périphrases et paraphrases pour compenser des lacunes lexicales et structurales;
• Reformuler une idée pour la rendre plus claire;
• Corriger lapsus et erreurs après en avoir pris conscience ou s’ils ont débouché sur un
malentendu.
Annoncer une décision B2 : peut faire des Parmi les apprentissages à maîtriser pour mener à bien une
prise par un cadre annonces sur la tâche de production orale, certains seront particulièrement
dirigeant ou le chef plupart des sujets utiles ici :
d’entreprise avec clarté et > respecter l’information à transmettre
spontanéité > adapter l’annonce au contexte et à l’auditoire
Présenter oralement une B2 : Peut faire une Parmi les apprentissages à maîtriser pour mener à bien une
entreprise, son offre description claire, tâche de production orale, certains seront particulièrement
commerciale, son structurée et utiles ici :
organigramme, une détaillée > utiliser des auxiliaires de présentation divers (diaporamas,
activité spécifique, un vidéos…)
poste de travail, un >rendre le propos clair par des synthèses partielles, la mise en
produit, une machine, un évidence des parties de l’exposé, le recours à des illustrations
règlement intérieur, un CV ou graphiques
>rendre l’auditoire actif en suscitant des demandes
Rendre compte d’un d’élucidation, d’explication complémentaire ou une discussion
travail réalisé ou d’un à des moments précis de l’exposé
stage à l’étranger
Argumenter une décision B2 : peut Parmi les apprentissages à maîtriser pour mener à bien une
personnelle dans le cadre développer une tâche de production orale, certains seront particulièrement
de son activité argumentation utiles ici :
professionnelle, un choix, claire avec >faire une présentation organisée : mettre en évidence les
un point de vue. arguments avantages et les inconvénients d’une option
Justifier une façon de secondaires et >savoir s’exprimer à partir de notes succinctes
faire exemples >savoir rapporter des données chiffrées (proportions, dates...)
pertinents. Peut >savoir hiérarchiser les informations de manière à établir un
Expliquer à des enchaîner des plan cohérent
collègues les raisons arguments avec >savoir souligner les relations logiques dans le discours:
d’une décision prise par logique changement d’orientation, compléments, exemples,
un cadre dirigeant ou le Peut expliquer un illustrations
chef d’entreprise, de point de vue sur un >connaître les formes linguistiques utiles pour argumenter :
l’acceptation ou du rejet problème en expression de l’opinion, de l’accord/désaccord, du contraste,
d’une proposition, les donnant les de la cause, de la conséquence etc.)
avantages et les avantages et les
inconvénients d’un inconvénients
produit, d’une option, d’options diverses
d'une façon de faire,
d'une solution à un
problème de conception
*Les types de discours figurent en gras. Le professeur veillera à prévoir un entraînement pour ces types de discours, par le biais de tâches
scolaires qui, tout en prenant en compte le domaine professionnel ne s’y limitent pas étroitement. On pourra tout aussi bien entraîner les
étudiants à la présentation orale d’une activité spécifique par une simulation ou par un entraînement systématique à la présentation orale
d’une tâche scolaire, d’un dossier ou d’un document étudié en classe
B2 : Peut communiquer avec un niveau d’aisance et de spontanéité tel qu’une interaction soutenue avec des
locuteurs natifs soit tout à fait possible sans entraîner de tension d’une part ni d’autre. Peut mettre en valeur la
signification personnelle de faits et d’expériences, exposer ses opinions et les défendre avec pertinence en
fournissant explications et arguments.
Le tableau 2 ci-après met en parallèle des tâches de la vie professionnelle auxquelles les futurs
techniciens supérieurs pourront être confrontés dans l’exercice de leur métier, le niveau attendu pour
la réalisation de ces tâches dans la langue obligatoire, ainsi que quelques apprentissages qu’il
conviendra de mettre en place.
Participer à un B2 : Peut répondre aux - savoir intervenir sur des sujets appropriés de façon à
entretien dans le cadre questions avec aisance entretenir une conversation informelle n’entraînant aucune
d’une recherche de Peut prendre l’initiative tension
stage ou de formation à lors d’un entretien en - savoir intervenir de manière adéquate en utilisant les
l’étranger résumant ce qu’il a moyens d’expression appropriés
compris et en - savoir commencer un discours, prendre la parole au bon
approfondissant les moment et terminer la conversation quand on le souhaite
réponses intéressantes même si c’est parfois sans élégance
- savoir varier la formulation de ce que l’on souhaite dire
- savoir expliciter une idée, un point précis, corriger une
erreur d’interprétation, apporter un complément d’information
- savoir formuler une demande, donner une information,
exposer un problème, intervenir avec diplomatie
- savoir poser des questions pour vérifier que l'on a compris
ce que le locuteur voulait dire et faire clarifier les points
équivoques
- savoir utiliser des expressions toutes faites pour gagner du
temps, pour formuler son propos et garder la parole
- savoir donner suite à des déclarations faites par d’autres
interlocuteurs et en faisant des remarques à propos de
celles-ci ; pour faciliter le développement de la discussion
- savoir soutenir la conversation sur un terrain connu en
confirmant sa compréhension, en invitant les autres à
participer etc.
-savoir s’adapter aux changements de sujet, de style et de
tons rencontrés normalement dans une conversation.
B2 : Peut comprendre les idées principales d’interventions complexes du point de vue du fond et de la forme,
sur un sujet concret ou abstrait et dans une langue standard, y compris des discussions techniques dans son
domaine de spécialisation. Peut suivre une intervention d’une certaine longueur et une argumentation complexe
à condition que le sujet soit assez familier et que le plan général de l’exposé soit indiqué par des marqueurs
explicites.
Le tableau 3 ci-après met en parallèle des tâches de la vie professionnelle auxquelles les futurs
techniciens supérieurs pourront être confrontés dans l’exercice du métier, le niveau attendu pour la
réalisation de ces tâches dans la langue obligatoire ainsi que quelques apprentissages
particulièrement pertinents pour les tâches annoncées Ces derniers sont signalés en complément de
savoirs, savoir faire et stratégies à maîtriser quelle que soit la tâche de compréhension de l’oral :
Bien que les activités langagières de compréhension et de production écrites ne soient pas
prioritaires, les textes donnés à comprendre ou à produire ne doivent pas disparaître de
l’enseignement. En effet, selon le poste qu’il occupera, le technicien supérieur pourra avoir besoin de
comprendre des notices, règlements, brefs articles relatifs à un sujet dans son domaine de spécialité
ou à rédiger des notes, des messages, des courriers.
Comprendre une B2 : peut comprendre en Parmi les apprentissages pertinents pour toute tâche de compréhension,
information ou une détail les explications certains seront particulièrement utiles comme :
demande d’information en données au téléphone ainsi - anticiper la teneur du message à partir d’indices situationnels ou de la
face à face ou au téléphone que le ton adopté par connaissance préalable que l’on a du sujet de la conversation à tenir de
pour se renseigner, s’informer l’interlocuteur et son humeur. façon à t orienter son écoute ;
ou réagir en conséquence Peut suivre une conversation - déduire des informations des éléments périphériques (bruits de fond, voix,
dans le cas par exemple qui se déroule à vitesse ton, …).
d’une réclamation*. normale mais doit faire
efforts.
Comprendre des annonces B2 : Peut comprendre en Parmi les apprentissages pertinents pour toute tâche de compréhension,
et des messages oraux détail annonces et messages certains seront particulièrement utiles comme :
dans un lieu public ou sur courants à condition que la
un répondeur pour langue soit standard et le Pour les annonces.
s’orienter, obtenir des débit normal - repérer les informations essentielles dans un environnement sonore
renseignements ? bruyant (cas d’annonces dans des lieux publics) ;
Comprendre des consignes - repérer les marqueurs indiquant un ordre d’exécution (tout d’abord,
pour effectuer une tâche ensuite, après avoir fait ceci, enfin, …) ;
- repérer les données chiffrées (dates, heures, porte, quai, numéro de train
ou de vol.) ;
Comprendre des émissions B2 : peut comprendre le Parmi les apprentissages pertinents pour toute tâche de compréhension,
de radio ou de télévision contenu factuel et le point de certains seront particulièrement utiles comme :
par exemple en relation avec vue adopté dans des - déduire des informations des éléments périphériques (bruits de fond, voix,
le domaine professionnel émissions de télévision ou ton, images, …).
pour s’informer. des vidéos relatives à son - repérer les différents locuteurs et leurs relations.
domaine d’intervention.
*Dans cette tâche d’interaction c’est la partie compréhension qui est traitée ici. Pour la partie expression, se reporter à la tâche
correspondante dans le tableau : interaction orale.
B2 : Peut lire avec un grand degré d’autonomie en adaptant le mode et la rapidité de lecture à différents textes
et objectifs et en utilisant les références convenables de manière sélective. Possède un vocabulaire de lecture
large et actif mais pourra avoir des difficultés avec des expressions peu fréquentes .
Le tableau 4 ci-après met en parallèle des tâches de la vie professionnelle auxquelles les futurs
techniciens supérieurs pourront être confrontés dans l’exercice de leur métier, le niveau attendu pour
la réalisation de ces tâches dans la langue obligatoire, ainsi que quelques apprentissages
particulièrement pertinents pour les tâches annoncées. Ces derniers sont signalés en complément de
savoirs, savoir faire et stratégies à maîtriser quelle que soit la tâche de compréhension de l’écrit:
Lire de courts écrits B2 : peut comprendre On insistera sur les apprentissages suivants :
quotidiens, des documents dans le détail des > adapter la méthode de lecture au texte et à l’objectif de lecture (informations
d’entreprise, des notices, instructions longues et recherchées par exemple)
des instructions, la complexes (mode > repérer les phrases clés afin d’accéder à l’essentiel par une lecture survol
correspondance d’emploi, consignes de > retrouver les phrases minimales afin d’accéder rapidement à la compréhension de
professionnelle, la publicité sécurité, description l’essentiel
pour trouver une d’un processus ou d’une
information exécuter une marche à suivre)
Pour la correspondance :
tâche ou réagir en
> repérer expéditeur, destinataire
conséquence
Peut exploiter des > identifier le problème posé
sources d’information
Parcourir de la multiples afin de
documentation pour sélectionner les
trouver des informations informations pertinentes
pour accomplir une tâche et en faire la synthèse.
ou faire une synthèse
B2 : Peut écrire des textes clairs et détaillés sur une gamme étendue de sujets relatifs à son domaine d’intérêt
en faisant la synthèse et l’évaluation d’informations et d’arguments empruntés à des sources diverses. Peut
utiliser avec efficacité une grande variété de mots de liaison pour marquer clairement les relations entre les
idées. Peut relater des informations et exprimer des points de vue par écrit et s’adapter à ceux des autres.
Le tableau 5 ci-après regroupe les activités de production et d’interaction écrites. Il met en parallèle
des tâches de la vie professionnelle auxquelles les futurs techniciens supérieurs pourront être
confrontés dans l’exercice de leur métier, le niveau attendu pour la réalisation de ces tâches dans la
langue obligatoire, ainsi que quelques apprentissages particulièrement pertinents pour les tâches
annoncées.
Rédiger des documents B2 : peut rédiger des > connaître les différents types de courriers : structure, présentation, mise en
professionnels de base courriers de façon page
(courriel, lettre) pour structurée en soulignant > disposer de modèles textuels de référence intériorisés
communiquer avec des ce qui est important et > savoir écrire les dates
clients, fournisseurs, ou en faisant des > savoir utiliser les formules d’usage
des prestataires commentaires. > savoir développer une argumentation claire avec arguments secondaires et
exemples pertinents, savoir enchaîner des arguments avec logique, savoir
faire une contre proposition,
Peut également rédiger
> contrôler sa production a posteriori
une lettre de motivation
Rédiger des notes et des B1* peut prendre un > formuler de façon concise
messages à destination message concernant > mettre en évidence l’essentiel
d’un collègue, d’un service, une demande
d’un cadre dirigeant ou du d’information,
chef d’entreprise pour l’explication d’un
transmettre des problème
informations, donner des
consignes
Peut laisser des notes
qui transmettent une
information simple et
immédiatement
pertinente à des
employés, des
collaborateurs, des
collègues, un
supérieur… en
communiquant de
manière
compréhensible les
points qui lui semblent
importants.
Préparer des supports de B2 : descriptions claires >analyser les consignes afin d’identifier les mots clés qui vont renseigner sur
communication et détaillées. Les le type d’écrit à produire (décrire, argumenter, comparer, expliquer, raconter),
erreurs de syntaxe sont et l’objectif de la description (présenter de façon neutre, convaincre…)
rares et corrigées à la >mobiliser ses connaissances afin de prévoir la structure du texte à produire,
relecture les idées, les moyens linguistiques pertinents
>contrôler sa production a posteriori pour corriger les erreurs, utiliser des
reformulations en cas de difficulté
Objectif général :
L’enseignement des mathématiques en section de technicien supérieur maritime PGEM vise à
atteindre trois objectifs :
- fournir aux étudiants des compétences spécifiques, des connaissances et des savoir-faire qui
sont directement liés aux besoins induits par les formations scientifiques et techniques qui y
sont dispensées ;
- développer l'usage des TIC (technologies de l'information et de la communication), pour
répondre aux exigences d’une formation axée sur l'entrée dans la vie professionnelle qui
nécessite une aptitude à saisir et communiquer des résultats scientifiques, économiques, …
- élargir la formation des apprenants pour leur permettre une éventuelle poursuite d'études.
La formation à dispenser en mathématiques en classe de BTS PGEM ne doit pas se borner à la seule
présentation d'un savoir spécifique. Elle doit favoriser le développement de compétences plus
générales comme « s’informer », « chercher », « modéliser », « raisonner », « argumenter »,
« calculer », « illustrer », « mettre en œuvre une stratégie », « communiquer » et permettre une
évolution des capacités des étudiants (acquisition de méthodes de travail, maîtrise des moyens
d'expression écrite et orale ainsi que des méthodes de représentation).
La démarche mathématique, qui consiste face à un problème posé, à le modéliser, choisir une
méthode de résolution, la mettre en œuvre puis analyser la pertinence des résultats obtenus, doit être
exploitée dès que possible.
Toute virtuosité technique ou calculatoire est exclue. L’apprentissage des mathématiques donne
l’opportunité aux étudiants de s’entraîner à utiliser les moyens modernes de calcul et des applications
informatiques spécifiques. Ainsi, les problèmes nécessitant des compétences élevées en calcul, hors
de portée des étudiants, doivent être traités à l’aide d’une calculatrice ou d’outils logiciels. Cette
démarche permettra de centrer l’activité mathématique sur l’essentiel et favorisera le développement
de l’usage des TIC , dont la maîtrise constitue un véritable atout.
Enfin, les moyens de documentation, qui contribuent au développement des aptitudes d'autonomie
des apprenants sont à faire utiliser également (documents écrits réalisés par les professeurs, manuels
scolaires, revues, tables, formulaires, supports informatiques, Internet, …).
Le programme de mathématiques en section de technicien supérieur PGEM est bâti sur trois
modules, à travers lesquels les étudiants peuvent développer conjointement des savoirs
mathématiques spécifiques et des compétences liées à l’utilisation des TIC. Chaque module se
découpe en plusieurs savoirs associés.
Module 2 : Analyse
Objectif /conseils: Renforcer la vision dans l’espace et les acquis sur les configurations géométriques
de l’espace. Mobiliser les acquis sur les configurations géométriques du plan en étudiant des figures
planes extraites d’objets constitués de solides connus. Sensibiliser les étudiants à différents types de
repérage.
Prendre appui sur des situations issues du domaine maritime et étudier des problèmes issus des
enseignements scientifiques et technologiques.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
Objectif /conseils: Consolider les acquis de calcul vectoriel des années précédentes. Apporter des
compléments de calcul vectoriel, qui pourront être utiles pour étudier des situations rencontrées dans
les autres disciplines.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
Barycentre.
Barycentre de deux points pondérés du Construire le barycentre de deux On peut introduire la notion de
plan ou de l’espace. Coordonnées dans points pondérés. barycentre en la reliant à l’équilibrage
un repère. de masses ou à la moyenne pondérée.
Extension de la notion de barycentre à Utiliser, sur des exemples simples Selon les besoins, on étudie des
trois points pondérés. liés aux enseignements réductions d’une somme de la forme
technologiques, la notion de
avec .
barycentre partiel.
On fait remarquer que le barycentre de
deux points distincts appartient à la
droite définie par ces deux points.
Sur des exemples issus des
enseignements technologiques, on met
en place le théorème du barycentre
partiel.
Produit scalaire.
Expressions du produit scalaire : Choisir l’expression du produit On exploite des situations issues des
- à l’aide d’une projection orthogonale ; scalaire la plus adaptée en vue de la domaines scientifiques et
- à l’aide des normes et d’un angle ; résolution d’un problème. technologiques.
- à l’aide des coordonnées. Calculer un angle ou une longueur à On illustre en situation quelques
l’aide d’un produit scalaire. propriétés du produit scalaire.
Produit vectoriel.
Orientation de l’espace. Calculer une aire à l’aide d’un produit La découverte du produit vectoriel, de
Produit vectoriel de deux vecteurs de vectoriel. ses propriétés et de ses applications
l’espace : est à mener en liaison étroite avec les
- définition ; autres enseignements.
- calcul des coordonnées dans une base Les notions de vecteur glissant, de
orthonormale directe ; torseur et le produit mixte sont hors
- application à l’aire d’un triangle et d’un programme.
parallélogramme.
Objectif /conseils: Consolider les acquis en trigonométrie et fournir les bases nécessaires à la
résolution de triangles en géométrie euclidienne ainsi qu’en trigonométrie sphérique.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
Trigonométrie sphérique
Grand cercle
Triangle sphérique et ses éléments. Déterminer, en appliquant les Les formules pourront être établies
formules, différents éléments comme des applications du calcul
Excès sphérique. Aire d’un triangle d'un triangle sphérique. vectoriel et du produit scalaire dans
sphérique. l'espace. Les formules ne sont pas
exigibles.
Relations entre les angles et les côtés
d'un triangle sphérique : On exploitera des situations issues du
formule fondamentale, analogie des domaine professionnel (navigation, …)
sinus, formule aux cotangentes
Objectif /conseils: Introduire les nombres complexes . Fournir des outils spécifiques utilisés dans le
domaine scientifique.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
Formule de Moivre
Formule d’Euler
Objectif /conseils: Etudier des phénomènes discrets. Aucune difficulté théorique ne doit être soulevée
à leur propos (le programme se place dans le cadre des suites définies pour tout entier naturel ou
pour tout entier naturel non nul). Donner les bases nécessaires pour aborder les séries de Fourier et
les équations récurrences.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
Expression du terme général. Écrire le terme général d’une suite Une expression de la somme de n termes
arithmétique ou géométrique définie consécutifs d’une suite arithmétique ou
par son premier terme et sa raison. géométrique est donnée si nécessaire.
Limite d’une suite géométrique Étant donné une suite géométrique Approche expérimentale de la notion de
limite en utilisant les outils logiciels et en
utiliser un tableur ou un
programmant des algorithmes.
algorithme pour déterminer, lorsque
cela est possible :
Selon les besoins, on peut résoudre un
- un seuil à partir duquel
problème de comparaison d’évolutions et
, a étant un réel donné ; de seuils pour des situations ne relevant
- un seuil à partir duquel pas d’une modélisation par une suite
géométrique.
, p étant un entier
naturel donné.
Objectif /conseils: Etudier des fonctions à valeurs réelles, définies sur un intervalle ou une réunion
d’intervalles de ℝ qui servent à modéliser des phénomènes continus issus de situations scientifiques
ou professionnelles. Consolider les acquis sur les fonctions et apporter des compléments qui peuvent
être utiles pour aborder de nouveaux concepts.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
Fonctions affines. Représenter une fonction de référence En fonction des besoins, on met
Fonctions polynômes de degré 2. et exploiter cette courbe pour retrouver l'accent sur les fonctions de référence
Fonctions logarithme népérien et des propriétés de la fonction. les plus utiles, comme la fonction
exponentielle de base e.
exponentielle de base par exemple.
Fonction racine carrée.
Dérivation
On privilégie des exemples de fonctions
Dérivée des fonctions de référence. Calculer la dérivée d’une fonction : issues de problématiques abordées
Dérivée d’une somme, d’un produit et - à la main dans les cas simples ; dans les autres disciplines.
d’un quotient. - à l’aide d’un logiciel de calcul formel
Dérivée de fonctions de la forme : dans tous les cas. Il s'agit de compléter et d'approfondir
Étudier les variations d'une fonction les connaissances antérieures sur la
avec entier naturel non
simple. dérivation. En particulier, il est
nul, important de rappeler et de travailler
et . l’interprétation graphique du nombre
Exploiter le tableau de variation d’une
dérivé.
fonction f pour obtenir :
- un éventuel extremum de f ;
Les solutions d’une équation du type
- le signe de f ;
- le nombre de solutions d’une sont déterminées
équation du type . explicitement dans les cas simples et
de façon approchée sinon.
.
Fonctions trigonométriques
réciproques
Tracer et exploiter la courbe On privilégie des exemples issus de
représentative d’une fonction problématiques abordées dans les
Fonctions arcsinus, arccosinus et trigonométrique réciproque. autres disciplines.
arctangente
Objectif /conseils: Veiller aux connaissances sur les primitives et les intégrales acquises
antérieurement. Mettre l’accent sur la diversité des approches (numérique, graphique et
algorithmique) pour favoriser l’appropriation du concept d’intégrale. Se placer dans le cadre de
fonctions à valeurs réelles définies sur un intervalle ou une réunion d’intervalles de ℝ.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
Intégration
Déterminer une intégrale :
Calcul intégral : - à la main dans les cas simples ;
- à l’aide d’un logiciel de calcul formel dans
tous les cas.
On étudie le cas où f (resp. g) est la
Déterminer l’aire du domaine défini par: fonction nulle.
où F est une primitive de . On familiarise les étudiants avec
quelques exemples de mise en
où f et g sont deux fonctions telles que pour œuvre d’algorithmes liés à des
Propriétés de l’intégrale : relation
tout réel de méthodes élémentaires
de Chasles, linéarité et positivité.
d’approximation d’une intégrale
[a, b
(point-milieu, trapèzes, Monte-
Calcul d’aires.
Carlo).
Valeur moyenne d’une fonction sur Déterminer et interpréter la valeur moyenne Cette notion est illustrée par des
un intervalle : définition, d’une fonction sur un intervalle. exemples issus de la voie
interprétation géométrique. professionnelle (moment d’inertie,
Calculer une intégrale par intégration par valeur moyenne, ..)
Formule d’intégration par parties. parties.
Objectif /conseils: Montrer l'importance de l'étude de phénomènes continus définis par une loi
d'évolution et une condition initiale. Donner une vision plus large de ces notions en présentant des
équations différentielles dont on ne peut donner qu’une solution approchée tout en faisant saisir des
principes généraux comme la notion de famille de solutions.
Les nombres complexes et les résolutions d’équations du second degré à coefficients réels sont
prérequis pour disposer de l’équation caractéristique d’une équation différentielle linéaire du second
ordre.
NB : L’utilisation des outils logiciels est sollicitée. Elle a pour finalités :
- de mettre en évidence, expérimentalement, la signification ou l’importance de certains paramètres
ou phénomènes ;
- de dépasser la seule détermination des solutions d’une équation différentielle en donnant la
possibilité de visualiser des familles de courbes représentatives de ces solutions ;
- de permettre, avec l’aide du calcul formel, de donner une expression des solutions dans certains
cas complexes.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
Objectif /conseils: Renforcer et approfondir les connaissances acquises les années antérieures.
Etudier des situations en relation avec la voie professionnelle (économie, gestion, ...). Faire travailler
les étudiants sur des données réelles et variées, issues des disciplines scientifiques et
professionnelles ou de fichiers mis à disposition sur des sites institutionnels.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
NB : L’utilisation des TIC est indispensable. Il faut entraîner les étudiants à traiter des données en
grand nombre et à communiquer des résultats (synthétiser l’information, proposer des résumés
numériques ou graphiques pertinents, …).
Objectif /conseils: Approfondir le travail sur les probabilités mené au lycée, en s’adaptant au parcours antérieur
des étudiants. Traiter des problèmes simples (issus de situations scientifiques, économiques, ..) mettant en
œuvre des probabilités conditionnelles ou des variables aléatoires dont la loi figure au programme.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
NB : L’utilisation des TIC est indispensable, aussi bien pour la compréhension et l’acquisition de concepts par
l’expérimentation réalisée à l’aide de simulations, que pour les calculs de probabilités.
Conditionnement par un événement de Construire un arbre et/ou un tableau On représente une situation à l’aide
probabilité non nulle. des probabilités en lien avec une d’un arbre pondéré ou d’un tableau de
Notation PA(B). situation donnée. probabilités.
Indépendance de deux événements.
Exploiter l’arbre et/ou le tableau des Un arbre de probabilités correctement
probabilités pour déterminer des construit constitue une preuve.
probabilités.
La formule des probabilités totales n’est
Calculer la probabilité d’un événement pas un attendu mais sa mise en œuvre
connaissant ses probabilités doit être maîtrisée.
conditionnelles relatives à une partition
de l’univers. Exemples de thématiques pouvant faire
l’objet d’une étude : contrôle qualité,
Utiliser ou justifier l’indépendance de fausses alertes, tests biologiques.
deux événements.
Variable aléatoire associée au nombre Simuler un schéma de Bernoulli. Aucun développement théorique n’est
de succès dans un schéma de attendu à propos de la notion de
Bernoulli. Reconnaître et justifier qu’une situation variable aléatoire.
relève de la loi binomiale.
Loi binomiale. On utilise une calculatrice ou un logiciel
Représenter graphiquement la loi pour calculer directement des
binomiale à l’aide d’un logiciel. probabilités et représenter
graphiquement la loi binomiale.
Calculer une probabilité dans le cadre
de la loi binomiale à l’aide de la La connaissance d’une expression
calculatrice ou d’un logiciel. explicite de la loi binomiale n’est pas
attendue.
Loi uniforme sur [a, b]. Concevoir et exploiter une simulation Toute théorie générale des lois à
dans le cadre d’une loi uniforme. densité est exclue. Pour les lois
étudiées, on représente et on exploite
Espérance, variance et écart type de la Interpréter l’espérance et l’écart type la fonction de densité et la fonction de
loi uniforme. d’une loi uniforme dans le cadre d’un répartition.
grand nombre de répétitions. La définition de l’espérance et de la
variance constitue un prolongement
dans le cadre continu de celles d’une
variable aléatoire discrète.
Loi normale d’espérance et d’écart Utiliser une calculatrice ou un tableur Toute théorie sur les intégrales
pour calculer une probabilité dans le impropres est exclue. La loi normale est
type . cadre de la loi normale. introduite à partir de l’observation, à
l’aide d’un logiciel, du cumul des
Connaître et interpréter graphiquement valeurs obtenues lors de la répétition à
une valeur approchée de la probabilité l’identique d’une expérience aléatoire
des événements suivants : dont le résultat suit une loi uniforme.
L’utilisation d’une table de la loi
,
normale centrée réduite n’est pas une
et nécessité.
Objectif /conseils: Développer les compétences des étudiants sur les méthodes et les raisonnements
statistiques permettant d’induire, à partir de faits observés sur un échantillon, des propriétés de la
population dont il est issu.
Travailler et faire percevoir, à partir d’exemples ce que sont les procédures de décision en univers
aléatoire, ainsi que leur pertinence. Eviter les situations artificielles : il faut privilégier des problèmes
issus de la vie économique et sociale ou du domaine professionnel (la validité d’une méthode
statistique est liée à l’adéquation entre la réalité et le modèle qui la représente). Approfondir, dans la
continuité des programmes de lycée, la prise de décision en formalisant la notion de test d’hypothèse
et en se centrant sur la notion de risques d’erreur.
TIC : Exploiter les possibilités offertes par les applications informatiques et la calculatrice.
NB : L’utilisation des TIC est indispensable pour exécuter des algorithmes, réaliser des calculs, faire
des simulations…
Entraîner les étudiants à mettre en œuvre une méthode statistique et interpréter les résultats obtenus.
Tests d'hypothèse Déterminer la région de rejet de On souligne le fait que la décision prise,
Tests bilatéraux et unilatéraux relatifs à l’hypothèse nulle et énoncer la règle de rejet ou non, dépend des choix faits a
: décision. priori par l’utilisateur : choix de
- une proportion dans le cas d’une loi l’hypothèse nulle, du type de test et du
binomiale puis dans le cas d’une loi Utiliser les tests bilatéraux et seuil de signification. Ces choix sont
binomiale approximable par une loi unilatéraux relatifs à une proportion ou fournis à l’étudiant dans les cas
normale ; à une moyenne ainsi qu’à la délicats.
- une moyenne. comparaison de deux proportions ou de
deux moyennes.
Tests bilatéraux et unilatéraux de Mettre en évidence simplement les
comparaison de deux proportions ou de risques d’erreur de première et de
deux moyennes dans le cadre de la loi seconde espèce. La notion de
normale. puissance d’un test est abordée.
Objectif général :
Appréhender et mettre en œuvre les techniques d'acquisition des paramètres physico-chimiques du
milieu marin nécessaires au technicien supérieur maritime Pêche et gestion de l'environnement marin.
L'approche expérimentale des dosages devra se faire en lien direct avec la partie océanographie
physique du savoir S5.
Les notions relatives aux forces sont à mettre en relation avec le cours de stabilité.
Analyse et mesure des paramètres physico- Utiliser les appareils et les protocoles de mesure
chimiques in situ et en laboratoire : des principaux paramètres physico-chimiques
- température ; océaniques : température, salinité, oxygène
- salinité ; dissous, nitrates, phosphates, pH, turbidité.
- pH ; Utiliser un disque de Secchi et des appareils de
- oxygène dissous ; mesures de la quantité d'énergie lumineuse
- sels nutritifs ;
- turbidité, matières en suspension.
Enregistrement et exploitation des mesures Organiser les données et les présenter sous
forme de tableaux, graphiques, tests
statistiques, ...
Salinité d'une eau par la méthode de Mohr- Doser les ions chlorure par les ions argent
Knudsen. Ag+.
Déterminer la chlorinité d'une eau et calculer
sa salinité.
Capteurs.
Capteurs électronique et optoélectroniques Définir un capteur actif et un capteur passif.
en océanographie. Distinguer un capteur d’un appareil de mesure.
Les gaz parfaits. Citer le modèle théorique du gaz parfait ainsi que
les variables d'état du gaz parfait : pression,
volume, température.
Citer l'équation d'état du gaz parfait.
Statique.
Objectif général :
Ce savoir doit apporter au technicien supérieur maritime les connaissances exigées du module
« environnement des pêcheries » du brevet de capitaine de pêche d’une part et d’autre part les
connaissances pour effectuer des échantillonnages des paramètres physico-chimiques du
milieu marin en autonomie en maitrisant les protocoles expérimentaux mis en œuvre.
- L'océanographie.
Définition. Donner une définition de l'océanographie.
Décrire le principe de fonctionnement des
- Les services météorologiques et leur services météorologiques.
organisation.
Citer les principaux organismes
- La recherche océanographique : océanographiques français et étrangers et leurs
recherche fondamentale et la recherche moyens.
appliquée, les organismes de recherche
français, étrangers et internationaux. Expliquer le rôle des principaux organismes
- Les navires océanographiques. océanographiques français, étrangers et
internationaux dans le secteur des pêches
maritimes et dans la gestion de l'environnement.
2. L'atmosphère.
- Définition. Citer les principales caractéristiques mesurées
- Limites. pour définir l'état de l'atmosphère en un point.
- Moyens d'étude. Citer les différentes couches de l'atmosphère.
Citer les principaux moyens utilisés pour étudier
l'atmosphère.
Variations dans le temps et dans l’espace. Décrire et donner les causes et les modalités des
Origine de ces variations. variations spatio-temporelles de la salinité de
Influence de l’atmosphère sur ce paramètre. l’eau de mer.
Variations dans le temps et dans l’espace. Décrire et donner les causes et les modalités des
Origine de ces variations. variations spatio-temporelles de la température
de l’eau de mer.
Influence de l’atmosphère sur ce paramètre.
Identifier un front thermique et une thermocline.
Mesurer un gradient thermique.
Les eaux types, les masses d’eau. Expliquer l’influence des seuils sur la circulation
L’influence des seuils sur l’écoulement des des eaux océaniques.
eaux : les bassins à seuils à bilan négatif et Décrire le cas de la Méditerranée Eurafricaine.
les bassins à seuil à bilan positif.
- Les vagues.
Caractéristiques des vagues au large et à la Citer les caractéristiques de la houle.
côte. Citer les méthodes de mesure de la houle.
Identifier les conditions propices au déferlement
des vagues.
Déterminer la longueur d’onde d’une houle.
Définir la hauteur significative des vagues.
Ondes solitaires. Déterminer la hauteur probable de la plus grande
vague.
Etablir une prévision de l’état de la mer.
Prévisions.
- Les brouillards.
Définition. Décrire les principaux types de brouillards.
Variations. Identifier les circonstances favorables à la
Causes et prévisions des brouillards. formation des brouillards marins.
9. L’information météorologique et
océanographique.
Objectif général :
Appréhender les principales fonctions biologiques des êtres vivants.
Identifier directement les principales espèces et familles animales et végétales marines ou utiliser des
moyens de détermination adaptée permettant leur identification.
- Les échinodermes.
- Les tuniciers.
Objectif général :
Comprendre le fonctionnement de l’écosystème marin pour les prises de décision en matière
d’aménagement du littoral, de lutte contre les pollutions, de recherches des captures
halieutiques et de communication pédagogique.
1 .Introduction à l’écologie.
Définir les termes Ecologie, Biosphère, Biotope,
Biocénose et Ecosystème.
5. Le plancton marin.
Définition. Définir le plancton.
Les adaptations des êtres planctoniques à la vie Décrire les contraintes physiques de la vie
planctonique. planctonique et les adaptations développées par
les organismes planctoniques pour lutter contre
l’enfoncement.
Définir la photosynthèse.
Décrire le bilan de la réaction photosynthétique.
Le plancton indicateur de masse d’eau ou de Donner des exemples du rôle du plancton comme
pêche. indicateur hydrologique ou indicateur biologique.
8. Les migrations.
Définitions. Définir le terme migration.
Objectif général :
Acquérir une connaissance générale des divers élevages marins sans aborder la maîtrise de
techniques.
Objectif général : Identifier les polluants et apprécier leurs nuisances dans la chaîne alimentaire et dans
leur impact sur l'environnement marin. Alerter, mettre en place des mesures préventives et curatives.
3. Les contaminants et les réseaux Citer les principaux contaminants, leur origine
alimentaires. tellurique ou marine : métaux lourds (mercure,
cadmium, plomb), dioxine et PCB; organochlorés,
phycotoxines (DSP, PSP et ASP), autres
contaminants.
Citer leurs actions sur les réseaux
trophiques associés et leurs effets chez le
consommateur.
10. Protection avant la lutte. Citer le matériel de protection à porter par les
personnes en fonction du type de pollution.
Enumérer les dispositifs à prendre pour protéger
l'environnement.
Enumérer les dispositions et les aménagements
à prendre pour protéger le navire et les
installations portuaires.
14. Lutte contre les macro-déchets. Enumérer et préciser le rôle des acteurs
participants à la lutte contre les macro-déchets.
Décrire les modalités de la collecte des macro-
déchets.
Décrire les modalités de recyclage des macro-
déchets.
Objectif général : Identifier et mesurer les paramètres d'une population halieutique et mettre en oeuvre
les moyens principes d'une pêche raisonnée et durable. Appliquer la règlementation.
Eléments de dynamique des populations. Définir classe d'âge, cohorte, mortalité naturelle,
croissance, recrutement, stock, dynamique des
populations, espèces à cycle court, espèces à
cycle long.
Dynamique des populations non exploitées. Décrire le peuplement d’un milieu vierge.
Citer les principaux paramètres caractéristiques.
Donner les facteurs limitants ce peuplement.
Obtention des paramètres biologiques pour Donner des méthodes d'évaluation de la mortalité
la gestion des pêches. naturelle, de la mortalité par pêche.
Donner les méthodes d'estimation du recrutement
et de l'inventaire direct et indirect des populations
dénombrement, marquage, œufs, ....
L'encadrement international des pêches. Citer le rôle de l'ONU, de la FAO et des ORGP
dans la gestion des pêches.
La politique commune des pêches et la Donner les origines de la politique commune des
construction d'une pêche durable. pêches
Citer les grandes étapes de la politique commune
des pêches
Citer les nations adhérentes
Expliquer le rôle du CSTEP, du CIEM, et des
CCR.
Enoncer les principales « composantes » de la
politique européenne des pêches : accès et
conservation des ressources, organisation des
marchés, relations internationales, politique de
contrôle, politique de soutien financier (fonds
structurels et subventions).
Expliquer succinctement les apports du Traité de
Lisbonne en lien avec la politique commune des
pêches.
Objectif général : Mettre en oeuvre les principes de gestion et de protection des espèces et des
espaces naturels.
Objectif général :
Les opérations liées à la gestion des espaces. Réaliser des mesures de paramètres physiques
ou chimiques ou biologiques (analyse de la
qualité de l’eau, des fonds, de l’air,…) et des
suivis de mesure.
Nomenclature CORINE LAND COVER sur les Identifier un les grands types d'occupation du
biotopes. territoire selon la nomenclature CORINE LAND
COVER relatives au milieu marin : zones
humides maritimes (marais maritimes, marais
salants, zones intertidales), eaux maritimes
(lagunes littorales, estuaires mers et océans).
Gestion des risques naturels, énergies Citer les principes de gestion des risques
renouvelables, gestion des plans d’eau, des naturels, des énergies renouvelables, de gestion
espaces marins , gestion du patrimoine côtier et des espaces marins et du patrimoine bâtis côtier
maritime. et maritime (phares, sémaphores, forts,
digues, ....).
Objectif général :
Objectif général : mettre en oeuvre et concevoir des engins de pêche dans un souci de pêche durable et
de respect de l'environnement;
Les matériaux utilisés pour la fabrication Citer la nature et les noms commerciaux des
des filets et des lignes. principales fibres synthétiques utilisées dans les
Nature. engins de pêche.
Dénomination. Donner les caractéristiques physiques des fils
Caractéristiques. synthétiques pour filets (câblées, tressées,
commettage, désignation, résistance, densité, ...).
La nappe de filet.
Définition : sens du filet, sens du laçage, Définir les caractéristiques d'un filet et de la
direction biaise, maille, pattes, .... maille.
Coupe et montage d'une nappe de filet. Définir les divers processus de coupe.
Processus de coupe. Déterminer des processus de coupe pour
concevoir des pièces.
Les chaluts.
Architecture et éléments constitutifs des Décrire les différentes pièces des chaluts.
chaluts. Analyser un plan de chalut.
Assembler les pièces d'un chalut.
Les chaluts de fond et leurs gréements. Décrire les différents types de chaluts de fond et
leurs gréements.
Les chaluts pélagiques et leurs gréements. Décrire les différents types de chaluts pélagiques
et leurs gréements.
Régler l'immersion d'un chalut pélagique.
Les forces agissant sur le gréement et les Décrire les forces agissant sur le gréement.
conditions d'équilibre du gréement. Equilibrer un train de pêche.
La pêche aux filets droits. Définir les types de filets droits et leurs
gréements.
Les filets maillants.
La pêche aux nasses et aux casiers. Définir les différents types de pêche aux nasses
et aux casiers, en lien avec les espèces ciblées.
Décrire les manœuvres de filage et de virage des
nasses et casiers.
Objectif général :
Maîtriser les principes du fonctionnement des appareils de détection acoustique embarqué et d'en estimer
les limites de fonctionnement et de fiabilité.
Détection du plancton et bruits parasites. Interpréter les images de plancton et détecter les
bruits parasites.
Propriétés acoustiques des poissons. Décrire les propriétés acoustiques des poissons
utiles pour la détection.
Objectif général : Maîtriser les facteurs d'altération des captures et appliquer les méthodes de
conservation de façon à fournir un produit alimentaire pour la consommation.
Altération du poisson.
Opérations suivant la sortie du poisson de l'eau. Décrire les opérations de traitement du poisson
dès la sortie de l'eau : tri, lavage, écaillage,
épiautage, éviscération, saignage, filetage,
lavage,....
Stockage et manipulation du poisson avant
traitement. Décrire les conditions de stockage et les
manipulations du poisson avant traitement.
Stockage des produits congelés. Donner les modalités de stockage à terre des
produits congelés.
Objectif général :
Le marin promoteur de ses produits dans le contexte mercatique. le contenu doit être adapté au secteur de
la pêche et aux labels propres à la pêche (MSC, Pavillon France, pêcheurs responsables, démarches
qualité régionales, écolabel national…)
Le rôle des organisations de producteur dans l’organisation du marché et la commercialisation des produits
est mis en valeur.
Caractéristiques techniques :
- qualité organoleptique ; Identifier les différents types de produits et les
- taille ; classer.
- forme ; Identifier les caractéristiques techniques du
- aspect ; produit naturel vivant ou frais.
- aptitude à la transformation et au transport ; Appliquer la réglementation des normes
- facilité de préparation et de transformation en d’hygiène de la capture à la commercialisation.
frais ; Identifier les plages de production en fonction des
- normes, hygiène ; caractéristiques techniques du produit.
- variations saisonnières de l'offre.
2. La demande.
Etudes de marché :
Segmentation du marché : Identifier plusieurs sous-groupes homogènes au
- définition générale ; sein du marché global.
- applications à plusieurs produits des cultures Définir un segment de marché.
marines ; Situer géographiquement les zones de production
- étude quantitative ; et de consommation et décrire leur évolution.
- étude qualitative. Citer des exemples d'application d'une
segmentation de marché.
Extraire les résultats utiles d'une étude de
marché pour l'élaboration du produit technique et
commercial.
4. Négociation commerciale.
Objectif général : Approcher les principes généraux de l'économie des pêches dans le monde et en
France, les circuits et les acteurs de l'activité.
Objectif général : Le Technicien Supérieur Pêche et Gestion de Environnement Marin doit maîtriser les
connaissances managériales, de marché, de projet, d'investissement dans un objectif d’entrepreneuriat ou
de responsabilités au sein d’une entreprise de pêche professionnelle, de tourisme littoral, de centre de
loisirs ou autre, au delà d’un « Business plan ».
Management d’équipe.
Gestion de l'activité.
Etude de marché. Définir les objectifs d’une étude de marché.
Définir la méthodologie.
Analyser des résultats et les mettre en œuvre
en situation simulée et réelle.
Les autres activités de diversification liées au Lister, et rechercher d'autres activités liées au
tourisme pescatourisme ou au tourisme maritime
(dégustation de produits, ....).
Analyser les contraintes et définir le cadre de
l'activité.
Objectif général : Assurer la stabilité d'un navire et plus particulièrement la stabilité d'un navire de
pêche.
Définitions générales.
Déplacement – Carène – Centre de carène. Citer les définitions générales.
Flottabilité.
Ligne de base, perpendiculaires, tirant d’eau,
différence, épaisseur de quille, assiette de projet
Indication sur les plans des formes.
Stabilité transversale.
Moment du couple de redressement. Calculer le moment du couple de redressement.
Métacentre.
Distance métacentrique initiale transversale. Calculer la distance métacentrique initiale et
transversale.
Courbes des bras de levier de redressement.
Calculer les valeurs des bras de levier de
redressement.
Tracer et exploiter la courbe des bras de levier de
redressement.
Une période de stage obligatoire de 8 semaines en milieu professionnel est prévue dans le cadre de
la préparation brevet de technicien supérieur maritime Pêche et Gestion de l’Environnement Marin.
Si le stage en milieu professionnel n’est pas, au sens réglementaire du terme, une période de
formation en entreprise validée par la vérification de nouvelles compétences acquises, il est le lieu
privilégié pour découvrir, observer et comprendre des situations professionnelles qui ne se
rencontrent que très rarement dans le cadre scolaire.
Quel que soit leur niveau de pertinence, les situations professionnelles présentes dans l’entreprise
permettent alors d’illustrer concrètement les fonctions ainsi que les activités définies dans le
référentiel des activités professionnelles.
La période de stage en entreprise peut se dérouler en plusieurs séquences pour découvrir des
structures professionnelles différentes telles des entreprises privées, des collectivités territoriales, des
entreprises ou des établissements publics ou para publics. La diversité et la complémentarité entre
plusieurs structures de stage permet au futur technicien supérieur maritime d’approcher les différents
champs d’activités et secteurs d’emplois préparés par cette formation.
Le choix des structures d’accueil des étudiants et des activités durant le stage doit être validé par
l’équipe pédagogique qui s’assure de la pertinence des activités avec les objectifs de la formation.
Ces périodes de stage peuvent être l’occasion pour l’étudiant de rechercher et arrêter le thème du
projet technique qu’il doit réaliser et présenter en fin de cursus.
A l’issue de ces périodes de stages, l’étudiant élabore un rapport qui donne lieu à une évaluation par
l’équipe pédagogique.
2. Organisation.
Toutefois, cette convention pourra être adaptée pour tenir compte des contraintes imposées par la
législation du pays d’accueil en cas de stage à l’étranger.
Dans le cas d'une période de formation faisant l'objet d'un embarquement à bord d'un navire de mer,
la convention pourra être conforme à une convention type définie l'arrêté du 3 septembre 2013 fixant
les modèles de convention de stage pour les élèves des lycées professionnels maritimes ou
d’organismes de formation.
La recherche des entreprises d’accueil est assurée par les étudiants, sous la responsabilité du chef
d’établissement. Le stage s’effectue dans des entreprises exerçant des activités dans le domaine
maritime, en relation avec les champs technologiques objets du BTSM Pêche et Gestion de
l’Environnement Marin.
Le stage doit être préparé avec soin par l’équipe des enseignants des disciplines professionnelles en
liaison étroite avec tous les enseignements, toute l'équipe pédagogique étant concernée par la
période de stage. Il est important que les étudiants ressentent l'intérêt que leurs professeurs portent à
l'entreprise et puissent s’entretenir avec ces derniers de leurs impressions et découvertes, des
éléments d’analyse à privilégier et des axes forts de leur rapport d’activité en entreprise.
En fin de stage, une attestation de présence est remise au stagiaire par le responsable de l’entreprise
ou son représentant.
Un candidat qui ne présente pas cette pièce ne peut pas être admis à passer à la sous-épreuve E91
(Soutenance du rapport de stage entreprise).
Un candidat, qui, pour une raison de force majeure dûment constatée, n’effectue qu’une partie du
stage obligatoire, peut être autorisé par le président du jury à se présenter à l’examen.
La durée globale du stage est de huit semaines, dont deux semaines prises sur une période de
congés scolaires.
La période du stage, concomitante pour tous les étudiants d’une même promotion, est placée au
cours de la seconde année de formation au BTSM.
A l’issue de ces périodes de stages, l’étudiant élabore un rapport d’une trentaine de pages,
accompagnées éventuellement d’annexes. Il doit privilégier les développements personnels ; les
reproductions de documents disponibles dans l’entreprise doivent être limitées et présentées dans les
annexes.
Ce rapport doit comprendre une description pertinente de la ou des structures d’accueil (contexte
environnemental de l’activité, fonctionnement aspect organisationnel et managérial). Il se complète
par une analyse du fonctionnement, d’une description de ses activités, et d’une réflexion conduisant à
l’élaboration de propositions d’amélioration argumentées.
Ces développements doivent être structurés et doivent permettre d’expliciter les objectifs assignés,
les résultats obtenus ou observés, les contraintes prises en compte et être accompagnés de
commentaires personnels.
Une courte conclusion du stage, fait ressortir les découvertes faites par le candidat et ce qu’il en
retient en liaison avec son projet technique.
Cette fiche est élaborée et mise à jour par l’Unité des Concours et Examens Maritimes (UCEM), elle
est jointe à la circulaire nationale d’organisation des épreuves du BTSM PGEM diffusée chaque
année.
Pour les apprentis, les attestations de stage sont remplacées par la photocopie du contrat de travail
ou par une attestation de l’employeur confirmant le statut du candidat comme apprenti dans son
entreprise.
Les objectifs pédagogiques ainsi que les supports de la sous-épreuve E91 (Soutenance du rapport de
stage entreprise) sont les mêmes que ceux des candidats de la voie scolaire.
La durée normale du stage est de huit semaines. Pour une raison de force majeure dûment constatée
ou dans le cadre d’une formation aménagée ou d’une décision de positionnement, la durée de stage
peut être réduite mais ne peut être inférieure à quatre semaines.
Toutefois, les candidats qui produisent une dispense (notamment au titre de la validation des acquis
de l'expérience) ne sont pas tenus d’effectuer ce stage.
Aucune incapacité physique ou mentale, médicalement constatée, ne peut justifier une dispense du
stage. Si nécessaire, le candidat concerné se voit attribuer un délai supplémentaire afin de pouvoir
réaliser son stage. Le jury sursoit à statuer sur le cas du candidat durant ce délai.
Le président du jury est seul autorisé à valider les aménagements de la durée de stage ou les
dispenses.
Les candidats scolarisés ayant échoué à une session antérieure de l’examen ont le choix entre deux
solutions :
- présenter le précédent rapport d’activité en entreprise éventuellement modifié ;
- élaborer un nouveau rapport après avoir effectué un autre stage.
Techniques de pêche ramendage 1,0 1,5 82,5 1,0 1,0 50,0 132,5
Total 15,5 8,0 7,5 1023,0 12,0 14,5 5,0 787,5 1810,5
ANNEXE Va
La définition des unités constitutives du diplôme a pour objectif de préciser, pour chacune
d’elles, quelles activités et tâches sont concernées et dans quel contexte. Il s’agit à la fois :
- de permettre la mise en correspondance des activités professionnelles et des unités dans
le cadre de la validation des acquis de l’expérience ;
- de préciser le contexte de l’évaluation.
On notera que pour effectuer les tâches demandées, certaines autres compétences peuvent
être mobilisées. En aucun cas ces dernières ne donneront lieu à évaluation.
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes : C11 (Collecter l’information et
observer), C12 (Décoder l’information technique ou scientifique), C22 (Analyser l’environnement d’une
entreprise), C23 Analyser des données environnementales), C23 (Analyser des données
environnementales), C41 (Gérer une entreprise), C51 (Produire et transmettre un document ou un
message), C53 (Transmettre un savoir à un partenaire ou client).
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes : C11 (Collecter l’information et
observer), C12 (Décoder l’information technique ou scientifique), C23 (Analyser des données
environnementales), C41 (Gérer une entreprise), C51 (Produire et transmettre un document ou un
message), C52 (Négocier avec un partenaire), C53 (Transmettre un savoir à un partenaire ou client).
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes : C11 (Collecter l’information et
observer), C12 (Décoder l’information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C23 (Analyser des données environnementales), C31 (Mettre en œuvre des
moyens d'observation et de prélèvement), C51 (Produire et transmettre un document ou un
message), C53 (Transmettre un savoir à un partenaire ou client).
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes : C11 (Collecter l’information et
observer), C12 (Décoder l’information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C23 (Analyser des données environnementales), C31 (Mettre en œuvre des
moyens d'observation et de prélèvement), C51 (Produire et transmettre un document ou un
message), C53 (Transmettre un savoir à un partenaire ou client).
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes : C11 (Collecter l’information et
observer), C12 (Décoder l’information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C23 (Analyser des données environnementales), C31 (Mettre en œuvre des
moyens d'observation et de prélèvement), C42 (Gérer les moyens de production, de prélèvements et
d'études), C51 (Produire et transmettre un document ou un message), C53 (Transmettre un savoir à
un partenaire ou client).
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes : C11 (Collecter l’information et
observer), C12 (Décoder l’information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C22 (Analyser l'environnement d'une entreprise), C23 (Analyser des données
environnementales), C31 (Mettre en œuvre des moyens d'observation et de prélèvement), C32
Optimiser des moyens et des engins de pêche), C42 (Gérer les moyens de production, de
prélèvements et d'études), C51 (Produire et transmettre un document ou un message), C53
(Transmettre un savoir à un partenaire ou client).
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes :C11 (Collecter l'information et
observer), C12 (Décoder l'information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C22 (Analyser l'environnement d'une entreprise), C23 (Analyser des données
environnementales), C31 (Mettre en œuvre des moyens de production, de prélèvements et d'études),
C32 (Optimiser des moyens et des engins de pêche), C34 (Traiter et valoriser des produits), C35
(Exploiter rationnellement des stocks), C42 (Gérer les moyens de production, de prélèvement et
d'études), C51 (produire et transmettre un message)
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes :C11 (Collecter l'information et
observer), C12 (Décoder l'information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C22 (Analyser l'environnement d'une entreprise), C23 (Analyser des données
environnementales), C31 (Mettre en œuvre des moyens de production, de prélèvements et d'études),
C32 (Optimiser des moyens et des engins de pêche),C32 (Traiter et valoriser des produits), C34
(traiter et valoriser des produits), C35 (Exploiter rationnellement des stocks), C42 (Gérer les moyens
de production, de prélèvement et d'études), C51 (produire et transmettre un message), C52 (Négocier
avec un partenaire).
C Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes :C11 (Collecter l'information et
observer), C12 (Décoder l'information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C23 (Analyser des données environnementales), C31 (Mettre en œuvre des
moyens de production, de prélèvements et d'études), C32 (Optimiser des moyens et des engins de
pêche), C32 (Traiter et valoriser des produits), C34 (traiter et valoriser des produits), C35 (Exploiter
rationnellement des stocks), C41 (gérer une entreprise), C42 (Gérer les moyens de production, de
prélèvement et d'études), C51 (produire et transmettre un message
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes : C11 (Collecter l’information et
observer), C22 (Analyser l'environnement d'une entreprise), C34 (préparer un processus de mise en
marché), C33 (Mettre en marché des produits), C34 (Traiter et valoriser des produits), C41 (Gérer une
entreprise), C42 (Gérer les moyens de production, de prélèvement et d'études), C43 ( gérer le budget
de l'entreprise), C44 (Gérer la commercialisation des produits et des services), C51 (Produire et
transmettre un document ou un message), C52 (Négocier avec un partenaire).
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes :C11 (Collecter l'information et
observer), C12 (Décoder l'information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C22 (Analyser l'environnement d'une entreprise), C23 (Analyser des données
environnementales), C24 (Préparer un processus de mise en marché), C31 (Mettre en œuvre des
moyens de production, de prélèvements et d'études), C32 (Optimiser des moyens et des engins de
pêche), C33 (mettre en marché es produits),C34 (Traiter et valoriser des produits, C35 (Exploiter
rationnellement des stocks), C41 (Gérer une entreprise), C42 (Gérer les moyens de production, de
prélèvement et d'études), C43 (Gérer le budget de l'entreprise), C44 (Gérer la commercialisation des
produits et des services), C51 (produire et transmettre un message), C52 (Négocier avec un
partenaire).
Cette unité concerne tout ou partie des compétences suivantes : C11 (Collecter l'information et
observer), C12 (Décoder l'information technique ou scientifique), C21 (Planifier et programmer des
opérations en mer), C22 (Analyser l'environnement d'une entreprise), C23 (Analyser des données
environnementales), C24 (Préparer un processus de mise en marché), C31 (Mettre en œuvre des
moyens de production, de prélèvements et d'études), C32 (Optimiser des moyens et des engins de
pêche), C33 (mettre en marché es produits),C34 (Traiter et valoriser des produits, C35 (Exploiter
rationnellement des stocks), C41 (Gérer une entreprise), C42 (Gérer les moyens de production, de
prélèvement et d'études), C43 (Gérer le budget de l'entreprise), C44 (Gérer la commercialisation des
produits et des services), C51 (produire et transmettre un message), C52 (Négocier avec un
partenaire).
E1 U1
EPREUVE E1 : CULTURE MARITIME ET EXPRESSION FRANCAISE
Coefficient 3
Cette épreuve est évaluée, en fin de deuxième année, sous forme ponctuelle écrite d’une durée
de 3 heures.
Nature de l’épreuve.
L’épreuve consiste en une production écrite qui s’effectue sur la base d’un corpus de documents. L’un
d’eux, document principal, d’environ 800 à 1200 mots, est de nature argumentative. Les autres
documents présentent des informations ou des points de vue contradictoires ou complémentaires.
L’ensemble de ces documents est lisible en moins d’une demi-heure.
L’épreuve comprend deux parties d'égale importance.
Dans la première partie, l’objectif est de vérifier que le candidat a compris le texte du document
principal en mobilisant ses référents culturels et maritimes. Le candidat répond à des questions
portant sur la compréhension du texte principal.
Dans la deuxième partie, l’objectif est de vérifier que le candidat sait, dans une situation de
communication donnée, s’exprimer par écrit. Le candidat, à partir de documents fournis et de ses
référents culturels et maritimes, expose un point de vue, l’illustre et l’argumente.
Evaluation de l’épreuve
Elle est assurée, à partir d’une grille nationale par, un enseignant d’Histoire-Géographie et un
enseignant en Français selon la grille ci-dessous.
Total 20 points
Les propositions de sujets et de thèmes sont validées chaque année par l'Inspection Générale de
l'Enseignement maritime.
Coefficient 4
1. Finalités et objectifs
Les compétences langagières sont évaluées au cours de deux contrôles en cours de formation : un
en fin de 1e année et un en fin de 2e année. Chaque contrôle comprend plusieurs situations
d'évaluation.
Les supports des situations d'évaluation font appel à des éléments de culture maritime précédemment
abordés lors des séances d'enseignement (les éléments de culture maritime, pas les supports). La
culture maritime ne fait pas l'objet d'évaluation spécifique.
La note de l'épreuve est obtenue en effectuant la moyenne arithmétique des notes obtenues à
chacune des situations d'évaluation.
Un dictionnaire unilingue ou bilingue peut être autorisé. Auquel cas, le sujet le prévoit explicitement
dans son en-tête.
Passation de l’épreuve : Le titre de l’enregistrement est communiqué au candidat (au tableau, par
exemple). On veillera à ce qu’il ne présente pas de difficulté particulière. Trois écoutes espacées de
10 minutes d’un document audio ou vidéo dont le candidat rendra compte par écrit ou oralement en
français. La correction de la langue étrangère ne sera pas évaluée dans cette partie de l’épreuve
l’important étant pour le candidat de faire la preuve qu’il a compris. Des questions pertinentes
permettant d'obtenir des précisions détaillées et significatives sur la compréhension du texte peuvent
être insérées dans le sujet. (Exemples: dates précises, lieux, chiffres...).
Nature des supports : Les documents enregistrés, audio ou vidéo, seront de nature à intéresser un
étudiant maritime sans toutefois présenter une technicité excessive. On peut citer, à titre d’exemple,
les documents relatifs à l’emploi (recherche, recrutement, relations professionnelles, etc.), à la
sécurité et à la santé au travail, à la vie en entreprise ; à la formation professionnelle, à la prise en
compte par l’industrie des questions relatives à l’environnement, au développement durable etc. Il
pourra s’agir de monologues, dialogues, discours, discussions, émissions de radio, extraits de
documentaires, de films, de journaux télévisés.
Il ne s’agira en aucune façon d’écrit oralisé ni d’enregistrements issus de manuels. On évitera les
articles de presse ou tout autre document conçu pour être lu. En effet, ces derniers, parce qu’ils sont
rédigés dans une langue écrite, compliquent considérablement la tâche de l’auditeur. De plus, la
compréhension d’un article enregistré ne correspond à aucune situation dans la vie réelle ou
professionnelle.
Un dictionnaire unilingue ou bilingue peut être autorisé. Auquel cas, le sujet le prévoit explicitement
dans son en-tête.
Cette situation d'évaluation fait suite à la précédente : au cours de l’entretien qui suivra, l’examinateur
s’attachera à permettre au candidat de préciser certains points, d’en aborder d’autres qu’il aurait omis.
Cette partie de l’épreuve durera 10 minutes environ.
La validation des sujets des deux situations d’évaluations écrites destinées aux étudiants est réalisée
dans le cadre d’une commission nationale. Elle a lieu au début du second semestre de la première
année. Les membres de cette commission, constituée de professeurs d'anglais, d'un représentant de
l'Inspecteur Général de l'Enseignement Maritime étudient les exercices des deux situations
d’évaluations proposés par chaque centre d'examen.
D'une durée d'une heure, elle est de même nature que les trois situations d'évaluation orale du CCF
regroupées.
Coefficient 2
- développer une approche mathématique et scientifique par la mise en œuvre des démarches
d'investigation, de résolution de problèmes et d'expérimentation relatives à l’acquisition et à
l’exploitation de séries de données expérimentales et de modélisation de lois statistiques ;
- apprendre à mobiliser les outils mathématiques et scientifiques dans des situations liées à la
profession ou à la vie courante ;
- entraîner à la lecture active de l'information, à sa critique, à son traitement en privilégiant
l'utilisation des TIC ;
- acquérir et entretenir une culture mathématique et scientifique nécessaires à la navigation et
à la stabilité du navire permettant la conduite d’une expédition maritime d’une part et de
poursuivre éventuellement dans des études maritimes supérieures d’autre part.
E31 : Mathématiques
Coefficient 1
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du
programme de mathématiques. Les sujets exploitent des situations issues des disciplines techniques,
professionnelles ou scientifiques (aucune connaissance relative à ces disciplines n’est exigible des
candidats et toutes les indications utiles doivent être fournies).
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve de mathématiques
sont précisés dans le règlement d’examen.
Sont évalués en Contrôle en Cours de Formation les candidats scolarisés dans un établissement
public ou privé sous contrat, dans un CFA ou une section d’apprentissage habilitée ainsi que les
candidats en formation professionnelle continue dans des établissements publics habilités à pratiqués
le CCF.
Chaque situation d’évaluation, d’une durée d’une heure environ, fait l’objet d’une note sur 10 points
(dont 3 points pour les TIC), de coefficient 1.
Il s’agit d’évaluer les aptitudes à mobiliser les connaissances et compétences pour résoudre des
problèmes, en particulier :
- rechercher, extraire et organiser l’information ;
- choisir et exécuter une méthode de résolution ;
- raisonner, argumenter, critiquer et valider un résultat ;
- présenter et communiquer un résultat ;
- utiliser les TIC (calculatrice, logiciel,…) dans le cadre d’une démarche d’investigation.
L’évaluation est écrite et sa durée est voisine de l’évaluation ponctuelle du BTSM PGEM.
L’un au moins des exercices de chaque situation comporte une ou plusieurs questions dont la
résolution nécessite l’utilisation des TIC (logiciels implantés sur ordinateur, calculatrice, …).
Lorsque cette évaluation s’appuie sur d’autres disciplines, aucune connaissance relative à ces
disciplines considérées n’est exigible des candidats pour l’évaluation en mathématiques et
toutes indications et explications utiles doivent être fournies dans l’énoncé.
Cette épreuve porte à la fois sur des applications directes des connaissances du cours mais
aussi sur leur mobilisation au sein de problèmes plus globaux.
L’usage de calculatrices et/ou d’un formulaire de mathématiques agréé par l’IGEM doit être
précisé dans le sujet.
À l’issue de chaque situation d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
- les copies rédigées par le candidat à cette occasion ;
- la fiche d’évaluation de la situation, dont le modèle est fourni par l’IGEM/UCEM.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation écrite ponctuelle d’une
durée de deux heures.
Lorsque cette évaluation s’appuie sur d’autres disciplines, aucune connaissance relative à ces
disciplines considérées n’est exigible des candidats pour l’évaluation en mathématiques et toutes
indications et explications utiles doivent être fournies dans l’énoncé.
Cette épreuve porte à la fois sur des applications directes des connaissances du cours mais aussi sur
leur mobilisation au sein de problèmes plus globaux.
Il convient d’éviter toute difficulté théorique et toute technicité mathématique excessive. La longueur et
l’ampleur du sujet doivent permettre à un candidat moyen de le traiter et de le rédiger posément dans
le temps imparti.
L’usage de calculatrices et/ou d’un formulaire de mathématiques agréé par l’IGEM doit être précisé
dans le sujet.
La clarté des raisonnements et la qualité de la rédaction interviendront pour une part importante dans
l’appréciation des copies.
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du
programme de sciences physiques et chimiques. Les sujets exploitent des situations issues des
disciplines techniques, professionnelles ou scientifiques (aucune connaissance relative à ces
disciplines n’est exigible des candidats et toutes les indications utiles doivent être fournies).
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve de sciences
physiques et chimiques sont précisés dans le règlement d’examen.
Il s’effectue sur la base d'une situation d'évaluation comprenant deux séquences se déroulant en fin
de première année.
Ces deux séquences, de coefficient égal, sont complémentaires et évaluent des connaissances, des
capacités et des compétences différentes.
Elles permettent d'évaluer la maîtrise des compétences expérimentales visées par la formation et sont
donc organisées dans un laboratoire.
Chaque séquence d'une durée d'une heure environ est notée sur 10 points (dont 7 points sur les
activités expérimentales).
À l’issue de chaque séquence d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
- les copies rédigées par le candidat à cette occasion ;
- la fiche d’évaluation de la séquence, dont le modèle est fourni par l’IGEM/UCEM.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation écrite et pratique
ponctuelle d’une durée d'une heure trente minutes. Cette épreuve est constituée de plusieurs parties
pouvant être traitées indépendamment les unes des autres. Le sujet porte sur une situation concrète
du domaine professionnel. On veillera à ce qu'un grand nombre de compétences, de capacités
théoriques et expérimentales visées par la formation soient évaluées. Des documents, des résultats
de mesures ou d'expérience peuvent servir de support à l'épreuve.
Coefficient 6
Elles doivent vérifier l'acquisition des connaissances nécessaires à la prise de décision de stratégies
halieutiques ou de décisions managériales de l'environnement.
E41 : Océanographie
Coefficient 2
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du savoir S5
Connaissance de l’environnement physique et océanique et atmosphérique se rapportant à
l’océanographie régionale et géologique, de l’étude des paramètres physico-chimiques de l’eau de
mer et de la dynamique des océans.
Les sujets exploitent des situations issues de données expérimentales réelles ou simulées et
permettent de rappeler des fondamentaux théoriques ainsi que de développer l’esprit d’analyse
scientifique de situations hydrologiques pouvant être rencontrées dans le cadre professionnel.
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve d’océanographie
sont précisés dans le règlement d’examen.
Cette évaluation en CCF comprend deux situations d'évaluation. La note de l'épreuve est obtenue en
effectuant la moyenne des notes obtenues à chaque situation d'évaluation.
La première situation d'évaluation, comportant plusieurs séquences est réalisée en cours de première
année.
Les diverses séquences, sont complémentaires et évaluent des connaissances, des capacités et des
compétences différentes. Elles comprennent des exercices permettant :
- de vérifier la maîtrise de savoirs fondamentaux :
- d’exploiter des données réelles ou simulées et d’en faire une analyse critique ;
- de proposer des décisions stratégiques ou managériales à une situation donnée.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation écrite ponctuelle d’une
durée d’une heure.
L’épreuve comporte plusieurs exercices mettant en œuvre des analyses de données réelles ou
simulées permettant de vérifier les mêmes capacités qu’en CCF. Cette épreuve porte à la fois sur des
applications directes des connaissances du cours mais aussi sur leur mobilisation au sein de
problèmes plus globaux.
La clarté des raisonnements et la qualité de la rédaction interviendront pour une part importante dans
l’appréciation des copies.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
E42 : Météorologie
Coefficient 2
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du savoir S5
Connaissance de l’environnement physique et océanique et atmosphérique se rapportant à l’étude
des paramètres atmosphérique, de la dynamique de la troposphère et de l’acquisition et l’exploitation
des informations météorologiques pour la navigation, pour la conduite d’une expédition de pêche ou
pour la gestion de l’environnement marin.
Les sujets exploitent des situations issues de données expérimentales réelles ou simulées et
permettent de rappeler des fondamentaux théoriques ainsi que de développer l’esprit d’analyse
scientifique de situations océano-atmosphériques pouvant être rencontrées dans le cadre
professionnel.
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve de météorologie
sont précisés dans le règlement d’examen.
L'évaluation en CCF s’effectue sur la base d'une situation d'évaluation comprenant plusieurs
séquences se déroulant au cours de première année.
Les diverses séquences, sont complémentaires et évaluent des connaissances, des capacités et des
compétences différentes. Elles comprennent des exercices permettant :
- de vérifier la maîtrise de savoirs fondamentaux :
- d’exploiter des données réelles ou simulées et d’en faire une analyse critique ;
- de proposer des décisions stratégiques ou managériales à une situation donnée.
À l’issue de chaque séquence d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
- les copies rédigées par le candidat à cette occasion ;
- la fiche d’évaluation de la séquence, dont le modèle est fourni par l’IGEM/UCEM.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation écrite ponctuelle d’une
durée d’une heure.
L’épreuve comporte plusieurs exercices mettant en œuvre des analyses de données réelles ou
simulées permettant de vérifier les mêmes capacités qu’en CCF. Cette épreuve porte à la fois sur des
applications directes des connaissances du cours mais aussi sur leur mobilisation au sein de
problèmes plus globaux.
La clarté des raisonnements et la qualité de la rédaction interviendront pour une part importante dans
l’appréciation des copies.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du savoir S6
Connaissance du monde vivant océanique, S7 Ecologie marine, S8 les cultures et élevages marins et
S11 Gestion environnementale et conservatoire.
Les sujets exploitent des situations issues de données expérimentales réelles ou simulées et
permettent de rappeler des fondamentaux théoriques ainsi que de développer l’esprit d’analyse
scientifique d’écosystèmes marins pouvant être rencontrées dans le cadre professionnel.
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve de biologie et
écologie marine sont précisés dans le règlement d’examen.
Cette évaluation en CCF s’effectue sur la base d'une situation d'évaluation comprenant plusieurs
séquences se déroulant en cours de première année.
Les diverses séquences, sont complémentaires et évaluent des connaissances, des capacités et des
compétences différentes. Elles comprennent des exercices, des observations et des manipulations
permettant :
- de vérifier la maîtrise de savoirs fondamentaux sur les êtres vivants océaniques et leur
comportement naturel ou en situation de stress :
- d’exploiter des données réelles ou simulées et d’en faire une analyse critique ;
- de proposer des décisions stratégiques ou managériales à une situation donnée ;
- d’analyser ou de proposer des plans de protection des espèces, de gestion et de
protection d’espaces naturels.
À l’issue de chaque séquence d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
- les copies rédigées par le candidat à cette occasion ;
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation écrite ponctuelle d’une
durée d’une heure.
L’épreuve comporte plusieurs exercices mettant en œuvre des analyses de données réelles ou
simulées permettant de vérifier les mêmes capacités qu’en CCF. Cette épreuve porte à la fois sur des
applications directes des connaissances du cours mais aussi sur leur mobilisation au sein de
problèmes plus globaux.
La clarté des raisonnements et la qualité de la rédaction interviendront pour une part importante dans
l’appréciation des copies.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Coefficient 2
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du savoir S9
Molysmologie marine.
Les sujets exploitent des situations issues de données expérimentales réelles ou simulées et
permettent de rappeler des fondamentaux théoriques ainsi que de développer l’esprit d’analyse
scientifique d’écosystèmes marins en situation de pollution, pouvant être rencontrées dans le cadre
professionnel.
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette épreuve de molysmologie marine
sont précisés dans le règlement d’examen.
Cette évaluation en CCF s’effectue sur la base d'une situation d'évaluation comprenant plusieurs
séquences se déroulant en cours de deuxième année.
Les diverses séquences, sont complémentaires et évaluent des connaissances, des capacités et des
compétences différentes. Elles comprennent des exercices, des observations et des manipulations
permettant :
- de vérifier la maîtrise de savoirs fondamentaux les polluants marins et leurs modalités
d’action sur le milieu, sur les êtres vivants marins et sur les populations humaines
littorales ;
- d’exploiter des données réelles ou simulées et d’en faire une analyse critique ;
- de proposer des décisions stratégiques ou managériales à une situation donnée ;
- de mettre en œuvre des dispositifs de protection du milieu, des espèces marines et des
populations littorales ;
À l’issue de chaque séquence d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
- les copies rédigées par le candidat à cette occasion ;
- la fiche d’évaluation de la séquence, dont le modèle est fourni par l’IGEM/UCEM.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation orale ponctuelle d’une
durée trente minutes au maximum.
L’épreuve comporte plusieurs exercices mettant en œuvre des analyses de données réelles ou
simulées permettant de vérifier les mêmes capacités qu’en CCF. Cette épreuve porte à la fois sur des
applications directes des connaissances du cours mais aussi sur leur mobilisation au sein de
problèmes plus globaux.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Coefficient 4
Elles doivent également vérifier l'acquisition des connaissances nécessaires à la prise de décision de
stratégie halieutique.
Coefficient 2
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du savoir S12.
Techniques de pêche et S13 Détection acoustique appliquée à la pêche.
Les sujets exploitent des situations issues de données expérimentales réelles ou simulées et
permettent de rappeler des fondamentaux théoriques et de développer la conception d’engins, leur
utilisation, l’analyse et l’interprétation de données et fait une part importante à l’innovation et
l’adaptation des engins de pêche.
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve de météorologie
sont précisés dans le règlement d’examen.
Cette évaluation en CCF comprend deux situations d'évaluation. La note de l'épreuve est obtenue en
effectuant la moyenne des notes obtenues à chaque situation d'évaluation.
La première situation d'évaluation, comportant plusieurs séquences est réalisée en cours de première
année.
Les diverses séquences, sont complémentaires et évaluent des connaissances, des capacités et des
compétences différentes. Elles comprennent des exercices théoriques et pratiques permettant :
- de vérifier la maîtrise de savoirs fondamentaux :
- d’exploiter des données réelles ou simulées et d’en faire une analyse critique ;
- de concevoir des engins ou de les modifier ;
- de proposer des décisions stratégiques à une situation donnée.
À l’issue de chaque séquence d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
- les copies rédigées par le candidat à cette occasion ;
- la fiche d’évaluation de la séquence, dont le modèle est fourni par l’IGEM/UCEM.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation orale ponctuelle d’une
durée de trente minutes maximum.
L’épreuve comporte plusieurs exercices mettant en œuvre des analyses de données réelles ou
simulées permettant de vérifier les mêmes capacités qu’en CCF. Cette épreuve porte à la fois sur des
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du savoir S14
Traitement et conservation des captures.
Les sujets exploitent des situations issues de données expérimentales réelles ou simulées et
permettent de rappeler des fondamentaux théoriques ainsi que de les processus pratiques du
traitement des captures marines à bord et à terre ainsi que de la sécurité sanitaire.
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve de Traitement et
valorisation des captures sont précisés dans le règlement d’examen.
Cette évaluation en CCF comprend deux situations d'évaluation. La note de l'épreuve est obtenue en
effectuant la moyenne des notes obtenues à chaque situation d'évaluation.
La première situation d'évaluation, comportant plusieurs séquences est réalisée en cours de première
année.
À l’issue de chaque séquence d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
- les copies rédigées par le candidat à cette occasion ;
- la fiche d’évaluation de la séquence, dont le modèle est fourni par l’IGEM/UCEM.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation orale ponctuelle d’une
durée de trente minutes maximum.
L’épreuve comporte plusieurs exercices mettant en œuvre des analyses de données réelles ou
simulées permettant de vérifier les mêmes capacités qu’en CCF. Cette épreuve porte à la fois sur des
applications directes des connaissances du cours mais aussi sur leur mobilisation au sein de
problèmes plus globaux.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Coefficient 2
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités du savoir S
10. Gestion et Exploitation durable des ressources biologiques marines.
Les sujets exploitent des situations issues de données expérimentales réelles ou simulées et
permettent de rappeler des fondamentaux théoriques ainsi que l’application à des situations de
connaissances des populations naturelles exploitées ou non, de définir des stratégies d’exploitation
ainsi que d’expliquer, d’appliquer la règlementation en vigueur.
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve de gestion des
ressources marines sont précisés dans le règlement d’examen.
Cette évaluation en CCF s’effectue sur la base d'une situation d'évaluation comprenant plusieurs
séquences se déroulant en cours de deuxième année.
Les diverses séquences, sont complémentaires et évaluent des connaissances, des capacités et des
compétences différentes. Elles comprennent des exercices des analyses et des observations
permettant :
- de vérifier la maîtrise de savoirs fondamentaux de la dynamique des populations
naturelles exploitées ou non exploitées ;
- d’exploiter des données réelles ou simulées et d’en faire une analyse critique ;
- de proposer des décisions stratégiques à une situation donnée ;
- de mettre en œuvre des dispositifs de gestion raisonnée d’une pêche durable ;
- de vérifier la connaissance de la règlementation des pêches et des moyens lui
permettant de l’appliquer.
À l’issue de chaque séquence d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation orale ponctuelle d’une
durée de trente minutes maximum.
L’épreuve comporte plusieurs exercices mettant en œuvre des analyses de données réelles ou
simulées permettant de vérifier les mêmes capacités qu’en CCF. Cette épreuve porte à la fois sur des
applications directes des connaissances du cours mais aussi sur leur mobilisation au sein de
problèmes plus globaux.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Coefficient 2
2. Contenu de l’évaluation
L’évaluation est conçue comme un sondage probant sur des contenus et des capacités des savoirs
S15 Valorisation, commercialisation des produits, S16 Connaissance de l'environnement économique
des pêches maritimes et S17 Gestion d'une entreprise maritime.
3. Modes d’évaluation
Les modes d’évaluation, la nature, la durée, les coefficients de cette sous-épreuve de gestion de
l’entreprise et commercialisation sont précisés dans le règlement d’examen.
Cette évaluation en CCF s’effectue sur la base d'une situation d'évaluation comprenant plusieurs
séquences se déroulant en cours de deuxième année.
Les diverses séquences, sont complémentaires et évaluent des connaissances, des capacités et des
compétences différentes. Elles comprennent des exercices des analyses et des observations
permettant :
- de vérifier la maîtrise de savoirs fondamentaux de la gestion comptable et mangériale
d’une entreprise ;
À l’issue de chaque séquence d’évaluation, le professeur constitue, pour chaque candidat, un dossier,
conforme aux instructions de l’IGEM et de l’UCEM comprenant :
- le sujet ;
- les copies rédigées par le candidat à cette occasion ;
- la fiche d’évaluation de la séquence, dont le modèle est fourni par l’IGEM/UCEM.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Les autres candidats que ceux mentionnés en 3.1 doivent subir une évaluation écrite ponctuelle d’une
durée d’une heure trente minutes.
L’épreuve comporte plusieurs exercices mettant en œuvre des analyses de données réelles ou
simulées permettant de vérifier les mêmes capacités qu’en CCF. Cette épreuve porte à la fois sur des
applications directes des connaissances du cours mais aussi sur leur mobilisation au sein de
problèmes plus globaux.
La clarté des raisonnements et la qualité de la rédaction interviendront pour une part importante dans
l’appréciation des copies.
La note finale est exprimée sur 20, arrondie au demi-point le plus proche.
Coefficient 7
Coefficient 2
Un stage obligatoire en milieu professionnel, d'une durée de 8 semaines, dont deux pendant une
période de congés scolaires, est organisé pour le candidat au brevet de technicien supérieur PGEM
afin de compléter et d’améliorer sa perception du milieu professionnel et des problèmes liés à
l’exercice de l’emploi.
L’épreuve consiste en une soutenance orale du rapport de 30 pages environ (sans annexes) élaboré
à la suite du stage en entreprise. Il s’appuie sur l’activité détaillée dans le rapport.
L’épreuve U91 « Soutenance du rapport de stage en entreprise » permet d’évaluer les capacités
d’immersion, de compréhension et d’action du candidat au brevet de technicien supérieur Pêche et
Environnement marin dans un milieu professionnel de la Pêche et de la Gestion de l’Environnement
Marin.
2. Conditions de réalisation.
Le support de la sous-épreuve E91 est le rapport établi par le candidat à l’issue de sa période de
stage obligatoire.
Ce rapport comprend :
- la présentation de l’entreprise et son organisation ;
- les domaines d’intervention de l’entreprise ;
- la présentation des activités professionnelles auxquelles le candidat a participé ;
- l’analyse critique de ces activités en abordant la mise en œuvre éventuelle de plans d’actions
correctives, préventives ou d’amélioration des résultats.
Le dossier support de l’épreuve est transmis selon une procédure mise en place par l'IGEM et à une
date fixée dans la circulaire d'organisation de l'examen. Le contrôle de conformité du dossier est
effectué selon des modalités définies par l'IGEM avant l’interrogation. La constatation de non-
conformité du dossier entraine l’attribution de la mention « non valide » à l’épreuve correspondante.
Le candidat, même présent à la date de l’épreuve, ne peut être interrogé. En conséquence, le
diplôme ne peut lui être délivré.
La non-conformité du dossier peut être prononcée dès lors qu’une des situations suivantes est
constatée :
- absence de dépôt du dossier ;
- dépôt du dossier au-delà de la date fixée par la circulaire d’organisation de l’examen ou de
l’autorité organisatrice ;
- durée de stage inférieure à celle requise par la réglementation de l’examen ;
- documents constituant le dossier non visés ou non signés par les personnes habilitées à cet
effet.
4. Modes d’évaluation.
Une situation d’évaluation du rapport de stage est proposée au candidat. La période choisie pour
l’évaluation peut être différente pour chacun des candidats, son choix, l’élaboration de la situation
d’évaluation et l’organisation de son déroulement relèvent de la responsabilité de l’équipe
pédagogique.
L’évaluation durant la soutenance orale d’une durée maximale de 30 minutes est menée par un jury
composé de :
Le jury peut s’adjoindre éventuellement toute personne jugée pertinente par le président du jury en
raison de sa qualification.
Le président du jury est un enseignant titulaire d'un corps d'enseignant de la fonction publique de
l'État. Le jury ne peut comprendre plus de cinq personnes. En l'absence de représentant de la
profession, le jury peut néanmoins délibérer valablement
Déroulement de l'épreuve.
Exposé du rapport de stage par le candidat pendant une durée maximale de 15 minutes.
Après avoir présenté l’entreprise, le candidat présente les activités professionnelles auxquelles
il a participé.
Le dossier décrit ci-dessus, relatif aux évaluations, est tenu à la disposition du jury pour la session
considérée et jusqu’à la session suivante.
Le jury pourra éventuellement en exiger l’envoi avant délibération pour les consulter. Dans ce cas, à
la suite d’un examen approfondi, il formulera toutes remarques et observations utiles et arrêtera la
note.
Les candidats devront avoir obtenu l’autorisation de leur responsable de stage ou de leur activité
professionnelle au sein de leur entreprise d’utiliser les informations publiées dans leur rapport écrit. Il
leur sera en outre rappelé que cette épreuve ne saurait les libérer de l’obligation de respecter la
confidentialité.
Les candidats, autres que ceux mentionnés en 4.1. subissent une évaluation ponctuelle d’une durée
de trente minutes. Le candidat dispose de trente minutes de préparation.
Coefficient 5
Au cours de leur formation au BTSM Pêche et Gestion de l’Environnement Marin, les étudiants
doivent mener un projet professionnel. Un volume horaire hebdomadaire est alloué à l’élaboration de
projet selon un volume horaire hebdomadaire défini dans la grille de l’annexe II.
Par projet, on entend une démarche qui consiste à faire des choix, se donner des objectifs et des
moyens pour les atteindre. Un Projet personnel et professionnel signifie qu’un projet professionnel
s’inclut dans un projet personnel plus global en lien avec la place que l’on souhaite occuper dans la
société.
La problématique du projet proposée par les étudiants doit être validée par les enseignants avant sa
mise en œuvre pratique. Les professeurs auront un rôle d’accompagnement et de conseil dans la
délimitation du champ du sujet, la recherche documentaire et le suivi du projet.
Le projet est conduit en établissement de formation. Il peut s'appuyer sur des données recueillies en
milieu professionnel (notamment lors du stage en entreprise). Pour permettre la réalisation du projet,
tant sur le plan de sa conception que de sa mise en œuvre, l’établissement de formation, dans la
mesure de ses moyens, peut mettre à la disposition des candidats ses équipements pédagogiques,
laboratoires, ressources documentaires, moyens de communication (TIC, réseaux intranet et
internet…).
L'ensemble du travail fera l'objet d'une évaluation qui portera sur le degré d'implication de l'étudiant
dans la conduite du projet, la qualité des travaux et de la réflexion ainsi que la présentation orale lors
de la soutenance de projet professionnel.
Les candidats doivent effectuer un stage en entreprise d’une durée de 8 semaines au cours de la
deuxième année de formation qui permet d'envisager un projet technique.
Les dossiers techniques sont transmis à la commission d’examen selon une procédure définie par
l’IGEM.
Dans le cas où, le jour de l’interrogation, le jury a un doute sur la conformité du dossier, il interroge
néanmoins le candidat. L’attribution de la note est alors réservée dans l’attente d’une nouvelle
vérification mise en œuvre selon des modalités définies par l’IGEM. Si, après vérification, le dossier
est déclaré non-conforme, la mention «non valide » est portée à l’épreuve.
La non-conformité du dossier peut être prononcée dès lors qu’une des situations suivantes est
constatée :
- absence de dépôt du dossier ;
- dépôt du dossier au-delà de la date fixée par la circulaire d’organisation de l’examen ou dépôt du
dossier au-delà de la date fixée par la circulaire d’organisation de l’examen ou de l’autorité
organisatrice ».
3. Modalités d’évaluation.
Le jury peut s’adjoindre éventuellement toute personne jugée pertinente par le président du jury en
raison de sa qualification.
Le président du jury est un enseignant titulaire d'un corps d'enseignant de la fonction publique de
l'État. Le jury ne peut comprendre plus de cinq personnes. En l'absence de représentant de la
profession, le jury peut néanmoins délibérer valablement
La première partie consiste en une présentation du projet par le candidat (20 minutes) durant laquelle
il expose à la fois la globalité du projet et son action personnelle dans le projet et de sa mise en
œuvre.
À l’issue de cet exposé, les membres de la commission, qui ont fait un examen approfondi du dossier
technique, engagent un dialogue avec le candidat afin :
- de vérifier que le candidat maîtrise les éléments de son dossier technique et s’assurer que le travail
fourni est bien le résultat d’une réelle autonomie de pensée et d’action ;
- d’apprécier la capacité du candidat à répondre, avec une argumentation rigoureuse et pertinente,
aux questions relatives au contenu du dossier technique
- de vérifier que le candidat maîtrise les éléments de son dossier technique et s’assurer que le travail
fourni est bien le résultat d’une réelle autonomie de pensée et d’action ;
- d’apprécier la capacité du candidat à répondre, avec une argumentation rigoureuse et pertinente,
aux questions relatives au contenu du dossier technique
Pour arrêter la note finale du candidat à cette sous-épreuve, la commission d’évaluation prend en
compte les deux notes proposées lors des revues de projet et la note de soutenance de projet : 3
points de coefficient pour la moyenne des notes attribuées par les professeurs de la section, lors des
revues de projet et 2 points de coefficient pour la note attribuée par la commission d’interrogation, à
l’issue de la soutenance du projet.
Les candidats, autres que ceux mentionnés en 3.1. subissent une évaluation ponctuelle identique à
celle des candidats scolarisés.