Veille Juridique
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VEILLE JURIDIQUE
Sommaire :
Un contrat est une convention ou un accord ayant pour but d’engendrer une
obligation d’une ou de plusieurs personnes envers une ou plusieurs autres. Il y a
quatre conditions nécessaires pour la validité du contrat :
Un contrat ne peut être considéré comme valablement formé que lorsque sont réunis
les conditions essentielles pour sa validité après concordance entre l’offre et
l'acceptation :
- La capacité de contracter
- Le consentement libre des partie
- L’objet
- La cause
Aujourd’hui la notion de cause à disparu.
Le nouvel article 1128 remplace donc l’article 1108 et prévoit désormais 3 conditions
de validité et non plus 4.
- La capacité de contracter
- Le consentement des parties
- un contenu licite et certain
A) La capacité
Toute personne peut contracter si elle n’est pas déclarée incapable par la loi.
- Une incapacité est dite générale lorsque tout contrat passé par la personne visée
peut être annulé.
- Une incapacité est dite spéciale lorsque la loi interdit à certaines personnes de
passer certains avec telles autres personnes déterminées.
- L’individu frappé d’incapacité d’exercice ne peut contracter seul sans
l’assistance de son représentant légal.
B) Le consentement
Toute personne peut contracter si elle n’est pas déclarée incapable par la loi.
- Une incapacité est dite générale lorsque tout contrat passé par la personne visée
peut être annulé.
- Une incapacité est dite spéciale lorsque la loi interdit à certaines personnes de
passer certains avec telles autres personnes déterminées.
- L’individu frappé d’incapacité d’exercice ne peut contracter seul sans
l’assistance de son représentant légal.
- Consentement des parties :
En matière contractuelle, le consentement est souvent la condition nécessaire et
suffisante à la formation du contrat. Au sens étymologique, le consentement
correspond à l’accord des volontés des parties sur le contrat projeté, au sens restrictif,
c’est l’acquiescement donné par les parties au conditions du contrat projeté.
Ils existent plusieurs vices du consentement :
- L’erreur :
En matière contractuelle, l’erreur se définit comme une idée fausse et inexacte que se
fait le contractant d’un des éléments du contrat. L’erreur peut donc concerner la valeur
des prestations, la personne avec laquelle on contracte ou encore l’objet de
l’obligation. (Articles 1132 à 1134 du code civil)
- Le dol :
Le dol est le fait pour un contractant le consentement de l’autre par des manoeuvres ou
des mensonges. Constitue également un dol dissimulation intentionnelle par l’un des
contractants d’une information dont il sait le caractère déterminant pour l’autre partie.
(Article 1137 du code civil)
- La violence
En cas de violence, le consentement est vicié puisqu'il n’a pas été libre.
(Article 1140 à 1143 du code civil)
- La lésion
La lésion est un préjudice subi par un contractant en raison du défaut d’équivalence
des prestations menées du contrat.
(Article 1674 à 1685 du code civil)
https://www.definitions-marketing.com/definition/b-to-b/
2) Définition de B to C
Le terme B to C pour Business to consumer, désigne l’ensemble des relations
qui unissent les entreprises et les consommateurs finaux, ainsi que les moyens
techniques ou logiciels utilisés pour faciliter leurs interactions, ce type de commerce
recouvre les marchandises ou les prestations conçues pour le grand public.
Les entreprises déterminent leur stratégie B to C en fonction de la nature de leurs
produits, du degré de personnalisation apportée et du nombre de clients visés.
L’attraction du consommateur varie en fonction du prix, de la marque et de la
réputation de l’entreprise.
http://www.journaldunet.com/business/dictionnaire-economique-et-financier/1199123-b-to-c-ou-b2c-definition/
II Les différents types de contrat concernés
Contrat de maintenance :
Il existe plusieurs types de contrat de maintenance : maintenance de progiciel, de
logiciel, maintenance du système. La plupart du temps le contrat de maintenance est
un contrat accessoire au contrat principal dont il dépend, si le second est résilié le
contrat de maintenance devient caduc. Par exemple : le contrat de maintenance du
système. On distinguera :
-La maintenance préventive : le prestataire, sur qui pèse une obligation de moyen,
vise à prévenir les défaillances du système par mise à jour des logiciels, purge du
système,
-La maintenance corrective : le prestataire sur qui pèse une obligation de résultat,
cherché à corriger des dysfonctionnements signalés par le client dans son journal des
incidents,
-La maintenance évolutive : permet d’adapter le matériel du client en fonction des
innovations technologiques.
Contrat de franchise
Contrat de franchise. Ce contrat, une entreprise du secteur informatique (SSII,
SS2L) s’engage à travailler, à proposer ses services informatiques aux clients,
professionnels ou particuliers, sous l’enseigne d’un franchiseur comme Informatique
Minute, Airria… Le franchiseur doit fournir dans un document d’information
précontractuelle (DIP) des indications relatives à la franchise de sorte à permettre au
franchisé de s’engager en toute connaissance de cause.
Contrat de location
Contrat par lequel une société informatique loue du matériel à son client
professionnel. C’est une option d’autant plus intéressante que l’obsolescence frappée
rapidement les matériels informatiques : ordinateurs, serveurs, routeurs…. Il peut
s’agir de location courte, longue durée ou de location évolutive.
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/ecogestion/legt/spip.php?article649
III Lois et règle ou droit des contrats, nouveauté 2016
https://fr.wikipedia.org/wiki/Contrat_en_France
https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_des_contrats_en_France
http://www.net-iris.fr/veille-juridique/actualite/35183/la-reforme-du-droit-des-contrats-que-faut-il-retenir.php
IV Droit et obligation des parties
https://www.droit-technologie.org/contentieux/contentieux-lies-aux-contrats-informatiques/
Le prestataire de services doit exécuter le travail promis ainsi que toutes les autres
prestations convenues dans le contrat. Le prestataire informatique peut être tenu à une
obligation de résultat et une obligation de délivrance. Un procès-verbal de recette
permet de matérialiser le respect de cette obligation. Quand le prestataire conseille son
client dans le choix de son matériel informatique, il est aussi tenu de surveiller le bon
déroulement de l’installation technique de ce matériel. Une obligation de
confidentialité peut également être exigée par le client.
Enfin, lorsque le prestataire est tenu à une obligation de délivrance d’un logiciel, de
matériel ou d’une prestation informatique, le client a une obligation de réception. Ce
devoir consiste à accuser réception de l’élément et de donner son approbation au
prestataire informatique après avoir vérifié que l’élément livré est conforme à ce qui a
été convenu.
https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/contrat-de-prestation-informatique-redaction-contenu/
V Conclusion, exécution, rupture d’un contrat (jurisprudence pour illustrer)
L’exécution de la rupture de contrat peut être aussi un litige entre les deux
parties mais les deux parties ont la possibilité de prévoir un arbitrage ou une
conciliation avant d’entamer une procédure judiciaire.
https://www.lecoindesentrepreneurs.fr/contrat-de-prestation-informatique-redaction-contenu/
2) Conclusion
On peut en conclure que le contrat peut être rompu n’importe quand si une des deux
parties fait une faute grave ou si le demandeur ne veut pas renouveler cette demande à
ce prestataire
VI Responsabilités et sanctions
1) Responsabilités
Les clauses de responsabilité sont destinées à préciser les conditions
dans lesquelles le débiteur des obligations contractuelles se verra tenu de
réparer les préjudices subis par son cocontractant du fait de la mauvaise
exécution ou de l'inexécution des prestations objet du contrat. Le droit commun
français pose deux principes simples : la réparation du préjudice subi pour
autant que ce dernier soit prévisible, la réparation des seuls préjudices directs,
c'est-à-dire ceux qui présentent un lien de causalité direct avec le fait
générateur.
http://www.indexel.net/article/les-clauses-de-responsabilite-dans-les-contrats-informatiques.html
2) Sanctions
Lorsque le contrat ne satisfait pas à l’ensemble des conditions, il
convient d’examiner son sort. Le contrat affecté d’un vice éventuel existe mais peut
faire l’objet d’une annulation prononcée par le tribunal. On distingue les nullités
relatives ou des nullités absolues. Cette distinction se fait sur plusieurs plans :
La prescription, le délai pendant lequel la personne a le droit d’invoquer la nullité
varie selon si elle est relative (10 ans) ou absolue (30 ans).
En droit, est frappé de nullité un acte invalide, soit qu'il n'ait pas été formé avec le
formalisme imposé par la loi, soit qu'il lui manque un élément essentiel. Un acte nul
est détruit et ses conséquences sont, dans la plupart des cas, supprimées
rétroactivement, comme s'il n'avait jamais été formé. La nullité sanctionne les
conditions de formation d'un contrat tandis que la résolution sanctionne l'inexécution
ou la mauvaise exécution de l'obligation.
La confirmation, il s’agit de l’acte unilatéral par lequel la partie protégée par la nullité
renonce à se prévaloir de celle-ci, seulement pour nullité relative. Si une nullité est
prononcée, elle opère de manière rétroactive, c’est-à-dire qu’elle dissout le contrat et
replace les deux parties dans leur situation initiale, le vendeur rembourse le prix,
l’acheteur restitue le matériel, et ce en nature ou équivalent. De plus, l’annulation du
contrat peut s’accompagner de dommages et intérêts pour la personne lésée.
faculty.ksu.edu.sa/dr.reda/.../Le%20droit%20des%20contrats%20informatiques.pdf
VII La responsabilité de la sous-traitance
Exemple de litige :
Dans les contrats informatiques, les obligations de chacune des parties sont
essentielles en cas de litige. D’un côté, le prestataire doit remplir une obligation de
conseil envers son client et de l’autre, le client doit collaborer avec le prestataire pour
atteindre les résultats escomptés. La livraison et la recette doivent correspondre aux
besoins exprimés par le client dans son cahier des charges.
https://www.usine-digitale.fr/article/les-obligations-du-fournisseur-de-solutions-informatiques-de-la-rigueur-technique-au-ri
gorisme-juridique.N661709
2) L'infogérance
https://fr.wikipedia.org/wiki/Infog%C3%A9rance
VIII Obligation de moyen de résultat
1) L’obligation de moyen
2) L’obligation de résultat
http://www.cliquedroit.com/si-t-as-2-minutes-j-t-explique-la-diffrence-entre-obligation-de-moyen-et-obligation-de-rsultat-c1
0-f29.html