Corrige Exercice Les Fonctions PDF
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1/ Mettez dans une 1re colonne les verbes ; - et, dans une 2e colonne, en les faisant
correspondre sur chaque ligne, les sujets et les groupes sujets.
Et voici qu’il montait vers des champs de lumière. Il s’élevait peu à peu, en spirale, dans le
puits qui s’était ouvert, et se refermait au-dessous de lui. Et les nuages perdaient, à mesure
qu’il montait, leur boue d’ombre, ils passaient contre lui, comme des vagues de plus en plus
pures et blanches. Fabien émergea.
Sa surprise fut extrême : la clarté était telle qu’elle l’éblouissait. Il dut, quelques secondes,
fermer les yeux. Il n’aurait jamais cru que les nuages, la nuit, pussent éblouir. Mais la pleine
lune et toutes les constellations les changeaient en vagues rayonnantes.
4. Déjà le ciel blanchit ; bientôt le soleil paraîtra et les oiseaux commenceront leurs
concerts.
2. Parurent alors entre les piliers de longues files d’enfants des écoles.
5. L’eau courait le long du trottoir, boueuse, avec cette ondulation particulière que
lui imprimait la forme des pierres.
6. Les poutrelles du plafond étaient vermoulues, les murailles noires de fumée, les
carreaux gris de poussière.
Sur le conseil même du curé d’Abrecave, avec son aide aussi, l’enfant fut mis au collège
d’une petite ville des environs. Sa mère et son protecteur l’y allaient visiter parfois, aux jours
de marchés, grimpés sur une charrette surchargée d’agneaux et de fromages. Et le décor
glissait doucement avec ses chaumières, ses arbres, ses pâtres, ses bêtes, ses œillets. On
dételait dans une auberge. On allait acheter des gâteaux pour renforcer le petit paquet de
saucisson. Et l’on causait à trois dans le parloir du collège, et l’on était bien content, car les
professeurs faisaient l’éloge de leur élève, qui, presque à son insu, dans une habitation
médiocre et sublime, s’engageait dans cette voie éternelle que son premier maître lui avait
tracée.
5/Même exercice.
Calme et silence
Le ciel était blanc, sans nuages, mais sans soleil. Sa courbe pâle s’étendait au large, couvrait
la campagne d’une monotonie froide et dolente. On n’entendait aucun bruit, les oiseaux ne
chantaient pas. L’horizon même n’avait point de murmure, et des sillons vides ne nous
envoyaient ni les glapissements des corneilles qui s’envolent ni le bruit doux du fer des
charrues.
6/ Formez de courtes phrases en prenant comme sujets les mots ou groupes de mots
suivants :
b) Chanter – lire – nous – chacun – pourquoi – quiconque s’élève – qu’on nous reprenne de
nos fautes.
1. La beauté… plaît.
2. La critique… est aisée, mais l’art… est difficile
3. Chacun… récoltera ce qu’ il… aura semé
4. Le vrai… peut parfois n’être pas vraisemblable.
5. Combattre… pour la patrie est un noble sort
6. Que vaut la richesse… sans la sante ?
7. Rien ne sert …de courir
8. Qui veut voyager loin… ménage sa monture
8 / Vocabulaire :
Les travailleurs
Pendant que le cultivateur… sème le blé, le boulanger… cuit le pain, le tisserand… tisse le
drap, le tailleur… confectionne les habits, l’architecte… trace des plans, le maçon… construit
des murs , le forgeron… forge des outils, l’ébéniste… fabrique des meubles, le cordonnier…
fait des chaussures, le mineur… extrait la houille, le facteur… distribue les lettres, le paveur…
pave la rue, l’instituteur… instruit les enfants. Tous ces travailleurs accomplissent une
besogne utile à leurs semblables ; chacun… travaille pour tous, et tous… travaillent pour
chacun. Ainsi …les hommes ont besoin les uns des autres.
10/ Inventez trois phrases où le sujet sera repris par un pronom personnel.
A peine mon amie est-elle levée, qu’elle prend son petit déjeuner.
11/ Distinguez les sujets apparents et les sujets réels des verbes impersonnels.
5. N’est-il pas juste que tout dommage soit réparé par celui qui l’a causé ?
12/ Tournez les phrases suivantes par la forme impersonnelle, avec sujet apparent et sujet
réel :
2. Chercher un abri sous un arbre pendant un orage est imprudent. Il est imprudent…
3. Louer quelqu’un comme il veut être loué est difficile. Il est difficile…
4. Se tirer d’un tel embarras eût été impossible. Il eût été impossible…
3. Il ne suffit pas toujours de quelques efforts pour réussir. Quelques efforts ne suffisent…
5. Il se trouvera toujours des ânes pour braire contre la science. Des ânes pour braire contre
la science se trouveront toujours.
14/ Soulignez les sujets ou groupes sujets des infinitifs ou des participes en gros.
4. Nous allons, toutes précautions prises, nous engager dans cette affaire.
2. La prière finie, nous revînmes tristement vers le coin de l’île où la baraque était
amarrée.
4. Je regardais au loin toutes les petites clartés des maisons s’éteindre une à une dans le
bourg.
5. Moi je suis resté seul, toute joie ayant fui, Seul avec ce pédant qu’on appelle l’ennui.
15/ Vocabulaire
1. Par quel nom général désigne-t-on : celui qui creuse des puits ? – qui apprend un
métier ? – qui cultive la vigne ? – qui s’occupe de la culture des jardins ? – qui fait des
statues ?
Le puisatier, l’apprenti, le vigneron, le jardinier ou horticulteur , le statuaire
16/ Ecrivez dans une 1re colonne les verbes en gros du texte d’Henri Bosco, - dans une 2e
colonne, en les faisant correspondre à chacun d’eux, les compléments d’objet directs.
La Péguinotte, qui devait bien friser la soixantaine, rouge, râblée, le poil gris, raide comme
crin, avait accaparé les gros travaux domestiques. Elle lavait les carreaux, coupait le bois,
allumait le feu, coulait la lessive, cassait les olives, salait le jambon, fumait le lard, repassait
le linge, cuisait les confitures, servait la pâtée aux chiens, étrillait la mule, bêchait le potager
et ne refusait jamais de donner un coup de main, quand on battait le blé en juillet, sur l’aire
brûlante. Moyennant quoi elle s’était arrogé le droit de tout dire, et particulièrement ce qui
lui semblait désagréable à entendre. Le plus souvent elle se plaignait. Rien ne pouvait la
satisfaire. Elle avait un haut sentiment de la perfection. C’est pourquoi elle grondait le
cochon, gourmandait la chèvre, morigénait la volaille et couvrait le chien de reproches.
Parfois même, s’en prenant avec violence à l’invisible, elle insultait les vents qui ne
soufflaient pas à son gré.
17/Relevez les compléments d’objet directs ; dites quel verbe chacun d’eux complète.
Avoir de la rancune contre quelqu’un, c’est garder, d’une façon tenace, le souvenir des
offenses qu’il nous a faites et désirer, en même temps, en tirer une vengeance qu’on
attendra patiemment. Considérez bien la laideur d’un tel sentiment, où l’on trouve à la fois
de l’hypocrisie, de la poltronnerie et de la méchanceté. Elle prend, à l’occasion, des
apparences aimables, elle suit des sentiers tortueux, elle épie sa victime sans oser la frapper
en face.
7. …Que cherchez-vous ?
8. Notre patrie nous est chère : nous …la défendrons si on …l’ attaque.
19/ Soulignez les compléments d’objet directs et, quand le complément est un groupe de
mots, encadrez le centre du groupe.
2. Qu’attendez-vous de la vie ?
3. Notre histoire nationale atteste la vaillance de nos aïeux.
20/ Soulignez les noms compléments d’objet directs et encadrez chaque fois le pronom de
reprise.
6. Cet immense bourdonnement des étés de mon enfance, je ne l’entends plus qu’au-
dedans de moi.
21/Ecrivez dans une 1re colonne les verbes en gros du texte ci-dessus, et dans une 2ème
colonne, en les faisant correspondre sur chaque ligne, les compléments d’objet indirects.
Comment ne vouerions-nous pas à nos aïeux un amour filial quand tout nous
rappelle les bienfaits que nous leur devons, quand tout nous inspire des pensées de
reconnaissance envers eux, qui nous ont légué tant de choses dont nous jouissons ? Ces
champs fertiles, ces maisons, ces ponts, ces routes, c’est eux qui nous en ont transmis la
possession ou l’usage ; ces connaissances, cette langue, ces libertés, trésors que nous
préférons à n’importe quels biens, c’est eux encore qui en ont assuré à chacun de nous le
bénéfice.
Qui pourrait en douter et qui n’obéirait pas à ces élans profonds qui nous poussent à leur
rendre un filial hommage ?
2. Nous pardonnons à ceux qui nous ont nui. (COI de « ont nui » : nous.)
3. Témoignez à vos parents une tendre affection ; gardez-leur une profonde
reconnaissance.
4. Par votre application vous me prouvez que vous avez compris les recommandations que
je vous ai faites ; je ne douterai pas de votre succès.
3. A la psalmodie succédait un silence qui ne règne aussi complet qu’au désert et sur les
cimes.
25/ Distinguez parmi les mots en gros les compléments d’objet directs et les compléments
d’objet indirects.
1. Nous aimons les livres (COD) qui nous ( COD) instruisent et nous (COI) ouvert l’esprit.
26/ Mettez en colonne les verbes en gros du texte de Mérimée ; faites correspondre à
chacun d’eux, dans une 2e colonne, les compléments circonstanciels s’y rapportant (
encadrez chaque fois le centre du groupe ).
La troupe errante vient de planter ses tentes sur la rive du fleuve. Entre les roues des
chariots, derrière des lambeaux de tapis, on voit briller le feu. La horde alentour apprête son
souper. Sur le gazon, les chevaux paissent à l’aventure. Un ours apprivoisé a pris son gîte
auprès d’une tente. On part demain à l’aube et chacun fait gaiement ses préparatifs. Les
femmes chantent, les enfants crient, les marteaux font résonner l’enclume de champagne.
Mais bientôt sur la bande vagabonde s’étend le silence du sommeil et le calme du steppe
n’est plus troublé que par le hurlement des chiens et le hennissement des chevaux. Tout
repose : les feux s’éteignent, la lune brille seule dans le lointain des cieux, versant sa lumière
sur la horde endormie.
27/ Vocabulaire :
29/ Vocabulaire :
1. Quel est le nom général désignant : celui qui peint des portraits ? – l’ouvrier qui
travaille le zinc ? – celui qui fait métier de prendre des oiseaux ?
Le portraitiste. Le zingueur. L’oiseleur
30/ Analyse : Soulignez les compléments circonstanciels dans : « Hier un incendie éclata
subitement dans mon quartier. «
31/ Dans les phrases suivantes, relevez les compléments d’agent et dites quel verbe passif
ils complètent :
a) 1. Quoi que nous fassions, nous serons loués par ceux-ci, blâmés par ceux-là.
2. Nous oublions aisément nos fautes lorsqu’elles ne sont sues que de nous- mêmes.
3. Ô flots, que vous savez de lugubres histoires ! Flots profonds redoutés des mères à
genoux !
4. Il est plus honteux de se défier de ses amis que d’en être trompé.
32/ Tournez par l’actif les phrases suivantes et observez bien que le complément d’agent
devient le sujet du verbe actif :
1. Jérusalem a été prise par les croisés. Les croisés ont pris Jérusalem
2. Honneur à ceux par qui ont été soulagés les maux de l’humanité ! Honneur à ceux qui
ont soulagé l’humanité de ses maux !
3. Le poète est charmé par les forêts. Les forêts charment le poète.
4. La boussole a été inventée par les Chinois. Les Chinois ont inventé la boussole.
5. Les Géorgiques de Virgile ont été traduites en vers français par Delille. Delille a traduit
les Géorgiques de Virgile.
33/ Distinguez les attributs du sujet ( écrivez dans une 1re colonne les sujets, et dans une 2e
colonne, en face de chacun d’eux, son attribut ).
5. Que sont les richesses ? Ceux qui les possèdent paraissent heureux, mais souvent ils ne
le sont pas.
4. Tel est l’aveuglement de certains hommes qu’ils ne voient pas qu’ils vivent malheureux
par leur faute.
7. Les apparences sont souvent …trompeuses : tel personnage qui semblait …factice est en
réalité …pertinent
35/Dans les phrases suivantes, soulignez les attributs du complément d’objet et encadrez le
mot auquel chacun d’eux se rapporte.
2. Votre vie vous la voulez noble ; vous la rendrez telle en vivant en gens d’honneur.
4. Des personnages que leurs contemporains avaient crus grands, la postérité parfois les
juge médiocres.
3. Bien des gens se jugent dignes des plus hauts emplois ; comme la nature ne les en a pas
rendus capables, on les voit contents dans les emplois médiocres.
4. Certaines gens veulent garder intacts leurs instincts bons et mauvais ; on les trouverait
meilleurs s’ils extirpaient leurs qualités.
5. Des prisonniers, se servant d’un canif comme outil, ont fabriqué des objets qui sont de
vrais chefs-d’œuvre.
2. Vous trouvez sans doute …difficile la vie de ceux qui travaillent à rendre …meilleur le
sort de l’humanité.
3. Une nation qui a produit beaucoup de grands hommes, nous la jugeons …profonde
5. L’épreuve nous laisse parfois …pantois , mais elle peut nous rendre …pugnace
37/ Distinguez les attributs du sujet et les attributs du complément d’objet et dites de
chacun d’eux à quel mot il se rapporte.
Les feuillage sont encore vigoureux, mais on devine la sève déjà moins généreuse. Les arbres
prennent des teintes qu’on croirait invraisemblables, tant elles sont riches et variées. Les
feuilles des tilleuls deviennent blondes ; celles des chênes, on les voit d’abord cuivrées, puis
elles paraissent rouillées et elles resteront telles durant tout l’hiver. Elles sont étrangement
tenaces et restent attachées aux branches jusqu’à ce que la poussée de la sève nouvelle
vienne, au printemps, les jeter bas.
38/ Vocabulaire :
1. Donnez 4 mots de la même famille que doigt. Digital, digitale, digitigrade, prestidigitateur
2. Par quel mot général désigne-t-on les habitants : de Paris ? – de Londres ? – de Milan ? –
de Moscou ? – de Liège ? – de Genève ? – de Bordeaux ? – de Madrid ? – de Québec ?
39/ Analyse : Analysez les mots en gras : « Les arbres prennent des teintes qu’on croirait
invraisemblables ».
40/ Relevez, dans le texte ci-dessus, les épithètes des noms en gras.
Le village était à gauche de la route, un village des Flandres, largement éparpillé sur une
terre plate et riche en eau. On l’atteignait par une chaussée, sinueuse et plantée de hauts
tilleuls. Elle formait une espèce de digue, et dominait les champs humides, coupés de
watergangs. L’hiver, souvent, la Lys montait et les couvrait. Et la chaussée demeurait seule,
reliait villages et maisons comme un isthme, à travers l’inondation.
43/ Soulignez les appositions et encadrez le mot auquel chacune d’elle se rapporte.
2. Les jardins du château de Beloeil ont été dessinés par Le Nôtre, célèbre architecte
français.
3. Attila, roi des Huns, fut vaincu en 451 par Aetius, général romain, dans la célèbre
bataille des champs Catalauniques.
b) 1. Le lion, terreur des forêts, Chargé d’ans et pleurant son antique prouesse, Fut attaqué
par ses propres sujets.
2. Mon père avait une passion : l’achat des vieilleries chez les brocanteurs.
3. Un jour, j’étais monté au sommet de l’Etna, volcan qui brûle au milieu d’une île.
4. De son temps, un Cérinthe, un hérésiarque, ne voulait pas croire qu’un Dieu eût pu se
faire homme.
5. Naître et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une
goutte amère, Est l’âge du bonheur et le plus beau moment, Que l’homme, ombre qui passe,
ait sous le firmament !
6. Les tout petits dorment, paquets, dans un linge noir accroché au dos des mères.
1. Le chêne, empereur des forêts, résiste généralement aux bourrasques, mais le roseau,
flexible sujet, y résiste mieux encore.
2. La rose, princesse des fleurs, est le plus bel ornement de nos parterres.
5. Comment l’argent, pouvoir des marchands, serait-il à nos yeux plus précieux que
l’honneur ?
45/ Composez de courtes phrases où vous emploierez comme apposition les expressions
suivantes :
1. Emblème de la modestie.
46/ Soulignez les compléments du nom ; encadrez le mot que chacun d’eux détermine.
6. Les jeunes gens d’à présent aiment le sport ; ils en goûtent les bienfaits.
7. La vie des hommes est semblable à un chemin dont l’issue est un précipice.
3. Qui de nous n’a trouvé du charme à suivre des yeux les nuages du ciel ?
1 . L’écurie… du cheval.
2. L’étable… du bœuf.
3. La ruche… de l’abeille.
4. La niche… du chien.
6. Le gîte … du lièvre.
7. L’antre… du lion.
8. L’aire… de l’aigle.
9. La bauge… du sanglier.
1. La loge… du concierge.
2. Le palais… du roi.
3. La roulotte… du forain.
4. La cabane… du berger.
5. La cabine… du passager.
6. La guérite… du factionnaire.
7. La grotte… du sauvage.
8. L’hôtel… de l’ambassadeur.
51/ Analyse : Soulignez les compléments du nom et encadrez chaque fois le centre : « Du
haut de l’escalier j’entendis la voix de ma mère qui répondait aux questions de ma sœur. »
a) 1. Les succès dont je suis fier sont ceux qui m’ont coûté beaucoup d’efforts.
3. Ne négligez pas les intérêts de votre patrie, auxquels les vôtres sont conformes.
4. Bien des gens sons sévères pour les autres et indulgents pour eux-mêmes.
2. Si je savais quelque chose utile à ma patrie et qui fût préjudiciable à l’Europe, ou bien qui
fût utile à l’Europe et préjudiciable au genre humain, je la regarderais comme un crime.
3. Et quant au berger, l’on peut dire / Qu’il était digne de tous maux.
54/ Vocabulaire :
1. Voyez dans le dictionnaire le sens de tendresse et de tendreté. Employez chacun des mots
dans une expression. (sentiment – état de la viande)
2. Donnez 5 verbes composés du verbe tendre et faites suivre chacun d’eux d’un
complément d’objet. Attendre, entendre, étendre…
55/ Analyse : Dites quelle est la fonction des mots en gras : « Nul ne sait s’il est digne
d’amour ou de haine. »
b) 1. Longtemps après que le soleil eut disparu à l’horizon, des nuages dans le haut du ciel
gardèrent une teinte rougeâtre.
3. Il convient que préalablement à toute critique nous examinions si nos observations sont
fondées.
57/ Relevez, dans les phrases suivantes, les mots mis en apostrophe et les mots explétifs ;
analysez-les.
1. Donc, ô pauvres, que vous êtes riches, mais, ô riches, que vous êtes pauvres !
(apostrophes)
2. Ô Temps ! suspends ton vol ; et vous, heures propices ! suspendez votre cours.
(apostrophes)
3. A ces mots, plein d’un juste courroux, Il vous prend sa cognée, il vous tranche la bête,
Il fait trois serpents de deux coups. (Mots explétifs)
5. Âmes des chevaliers, revenez-vous encore ? Est-ce vous qui parlez avec la voix du cor ?
(apostrophe)
6. Poète, prends ton luth ; la nuit, sur la pelouse, Balance le zéphyr dans son voile
odorant. (apostrophe )