RT 18
RT 18
RT 18
DE
TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
EGYPTIENNES ET ASSYRIENNES
POUR SERVIR DE BULLETIN A LA MISSION FRANAISE DU CAIRE
PUBLI SOUS L DIRECTION DE
G. MEMBRE DE
MASPERO
l'
INSTITUT
PROFESSEUR AU COLLGE DE FRANCE, DIRECTEUR d'TUDES A l'COLE PRATIQUE DES HAUTES TUDES
(Une
au. fascicule
suivant,
PARIS
LlimAllUt; EMIMi BOUILLON, EDITKUK
67,
M DCCC XCVl
Tous droits rseros.
Le Recueil
parat par
Les abonnements
se font
fascicules spars.
francs.
Paris
30 32
OUVRAGES
relatifs
ABBADIE (A. d'). Dictionnaire de la langue Amarinfia. 1 fort vol. in-8. ABOU'L-WALID MERWAN IBN DJANAH. Le livre des parterres Heuris. Grammaire
arabe, publie par
J.
Derenbourg,
membre de
Le mme
ouvrage,
traduit en
par
le
rabbin
M.
Gr. in-8".
Metzger. ^^ "'
.
AL-FAKHRI
AMARAKOCHA.
et
la chute du khalifat abHistoire du Khalifat et du Vizirat depuis leurs origines jusqu' 632-1258 de notre re) avec des prolgomnes sur les baside de Bagddh (11-656 de l'hgire texte arabe par H. Derenprincipes du aouvernement par Ibn at Tiktak. Nouvelle dition du bourg. Gr. in-o des not|s Vocabulaire d'Amarasinha, publi en sanscrit avec une traduction franaise,
gr. in-8".
'
if-
l'criture
sainte
(Ancien Testam^ent).
7 fr. 50 l'homme de Dieu. 1 vol. gr. in-8. VezirEl fille de la de et monde), AMOURS (les) et les aventures du jeune Ons-el-Oudjoud (les dlices du une arabe et Nuits, traduit de Ouard Fi-1-Akmam (le bouton de rose). Conte des Mille et
AMIAUD
(A.).
La lgende syriaque de
Saint-Alexis,
la
premire
fois
"
AURS
numration et du systme mtnque (A.). Trait de mtrologie assyrienne ou tude de assyrien considrs dans leurs rapports et.dans leur ensemble. In-8".
le
Essai sur
systme
ratri(|ue assyrien,
1" fascicule.
In-4.
''
BAILLET
Damanhour.
BARBIER DE MEYXARD
BARTHELEMY
BEREND
Perse et des (C). Dictionnaire gographique, historique et littraire de la a 1 aide de docucontres adjacentes, extrait du Modjora-el-Bouidan de Yaqout et complt ^^ " ments arabes et persans pour la plupart indits. Gr. in-8\ Calife le par prside (A.) Gujastak Abalish. Relation d'une confrence thologique lexique. Mraoun. Texte ijehlvi publi pour la premire fois avec traduction, commentaire et o ir. oU Ou r. in-o bas-reliefs Stles, partie l"' Florence, de Principaux monuments du Muse gyptien
G.
(W.
BERGAIGNE
Manuel pour
in-is".
tudier
la
langue sanscrite.
et
grammaire. Gr.
fr. fr.
La
BERGAIGNE
HENRY
(V.).
60
'^
_
sanscrit vdique.
Prcis de grammaire^^'
Chiestomathie-Lexique. Gr.
de BERTHELOr. Histoire des Sciences. La Chimie au moyen ge. Publi avec la collaboration arabe. M. Rubens Duval pour l'alchimie syriaque, et celle de M. O. Houdas pour 1 alchimie ^^ f*"3 vol. in-4", avec figures dans le texte. la prepour publi sanscrit Texte BHAMINI VILASA. Recueil de sentences du Pandit Djaganntha. r. mire fois en entier avectraduction en franais et des notes par A. Bergaigne. Gr. m-8
.
BOISSIER
(A.).
Documents assyriens
relatifs
I".
:
1"
liv.
ln-4.
12
fr.
BRUGSCH
^
(H.).
fj.
Examen
en
Phnicie,
en
critique du Palestine,
livre de
etc.,
M. Chabas intitul Voyage d'un Egyptien en au xiv" sicle avant notre re. Gr. in-8". Au
Syrie,
lieu ae
del Anis-el-'Ochchaq, trait dos termes figurs relatifs la description ^ " ^" Huart. Gr. in-8". beaut. Traduit du persan et annot par d'une CHRONIQUE DE GALWDWOS, roi d'Ethiopie. Texte thiopien traduit, annot et prcd l" '"introduction historique par William El-Conzelman. Gr. in-8". et texte le dans CLERMONT-GANNEAU (C). tudes d'archologie orientale, t. L In-4" avec figures
...
CHEREF-EDDIN-RAMI.
'*
3 pi. photograves.
CERCUEILS DE MER
BOIS D'IF
Cliclis
de M. Beauvisage
Phlolypie
J.
Sjlveslro, Lyon.
PL.
-iS^i^^i'f
'.-
'.">
.-"hDtotypie ht-rthauii,
l'hototyp
PL.
rhototyfit- liLith
^,
,L
i.c-, l'aiLi
RECUEIL
DE TRAVAUX RELATIFS A LA PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
1896
Contenu
:
Fascicules
et II
2) Inscripiion de 1) Quelques Monuments gyptiens du Muse d'Athnes, p;ir D. Mam,f.t. Nabonide, pjir le P. Sciikil (avec trois plancbes). o) AlCDgyptischt Maasse, von HioE. Aug. EisicNi-OHK. 4) Inscriptions indites de la XXI 1 dynastie, par G. Daukssv. 5) A travers la vocalisation gyptienne, par G. Maspicuo. 6) Le culie de Guda sous la !! dynastie d'Ur, par le S) Inscription vaniiique do MelasP. ScniiL. 7) Tablette cappadocienne, par le P. Sciikii,. D) Quelques corre'-iions h l'inscripiion de Nabonide, par le P. Schkil. gert, par le P. Sciimi.. 10) Reclierchcs sur quelques bois pharaoniques, par Georges IiicAUvis\(iii (avec une planche). 11) Trois Inscriptions de la reine Hatshepsou (avec trois planches), par Edouard Navii.i.i;. \'2) Sarcophage Cretois reprsentations isiaques (avec une planche), par Andr Joubin et Pierre Jougukt.
13)
Muitallu's
D.
Mallet
M. Dmtrio, a t donne
La
grande
de
M ycnes.
les
Charg de dresser
de publier
ici
d'abord
STLES
ii<u^
^^^O*^^!)
i
"^-^
dasOc^^laa
<3
(=H
E
o
to
-3
"
3)
0:
n
qq
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13
E = 5
S
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1=^
}0
&f01-i^>i!^DI-^"l
NOUV.
SKIl., H.
UECUEII,, XVIII.
fixes au
mur
cle la
premire
salle,
comme
appartenant l'Ancien-
Empire par
0 56)
est dispose
comme
le
ci-
dessus.
se trouve pas
l'et
dans
Diction-
Noms pi'opres
rencontre jusqu'ici.
IL
(A gauche de
Le dessin de
la stle est le
mme
le
que celui de
la
milieu de
sens vertical
OO
y///////,rm'y////m
aaaaaa
y//
'//////////^
C<Uod,.oU:Q]^/\Xfi
^-j.-l
le
Au-dessus de
la petite
scne reprsentant
personnage
assis
OWDCZZD
c,
droite
.
D
"i
largeur,
0'"
gauche
^m\
:
III.
Hauteur, 0'"8();
I
05.
En
m\ 2^^^ <=>
et
f^
c>
la
le
sens Vertical
la
prcdente
Ct. gauche
dessous de ces derniers mots, qui terniinenl debout, tourne vers la droite.
^^1 TTf^C^l- ^^ ^fC A^T ^^^1 la partie verticale de l'inscription, une femme
le l)ras
f^auche pendant,
la
le
droit
ramen vers
la poitrine,
tourn vers
la
gauche
et faisant
pendant
dame
Meriti-mnitt-s.
est divise
\\\\
gauche,
sculpte une
et plus bas.
femme
mots
assise
fois,
en sens
debout,
inverse, les
d'une
femme
droite,
le
prcdent, reprsentant un
homme
tion,
assis
les
porte, divise
comme
la
amakh
Pl.ak-iicliht, et suivie
fois
d'une
figure
d'homme
le
debout,
les
Ainsi,
deux per-
sonnes, un
homme,
degr de parent
Hauteur,
la
0"^
87; largeur.
0'"
51.
:
Dans
^^
:
iTjr'
'
'^
''^~
V^ a I
Au
fois vers
bas, de
chaque
ct,
les
la droite, et l'autre
la
vers la gauche.
Au-dessous de
assise
tourne vers
les
la droite.
deux oudjas.
du_miljeu est
droite, verticalement
"^
1^^
Ic^c);
gauche, de
Au
femme
debout,
la
seconde
salle
du Muse gyptien,
gauche de
0'"
la porte, se
18) reprsentant
un
homme
debout, vtu de
le
la schenti, et
marchant vers
la droite.
De
la
main gauche
il
s'ap-
puie sur
la
main
:
u
iiiiimi
En
Ce
gauche du personnage,
que
voici
(j (^
__n.
monument
parat dater de la
XVllP ou
de
la
XIX^
dynastie.
STELE DE TAFNAKHT
Le morceau
le
plus intressant de
la collection est
nom du
roi sate,
dans la partie
cintre,
J'ai fait
monu-
ment; mais,
comme
je
n'en
ai
oblig de remettreplus
Le haut
mots
:
un disque
ail,
1^
deux scnes
pendant
et
A
'j
droite, le dieu
le
dieu
le
S
|)
est leve
en
signe d'adoration. Entre le dieu et l'adorant, se tient un personnage beaucoup plus petit,
dont
la tte atteint
seulement
la
il
tient,
de sa main gauche,
un
main
dieu.
inscri])1ion. qui
y^^
^^
commence
8D
et
A^j'^^^Xl
au-dessus du
roi
.^^Q^^OC^^r^ lAffa'
Au-dessus de
2
la tte
au-dessous de ses
:
bras:A||
nn
du
i)etit
jxMsonnage
'i
^il
'^
porte,
A gauche, le mme adoiant olre ^ H une desse, comme Toumou, l et --. Entre eux. reparait le
dont
petit
la
le
nom
homme,
tourne
le
en arrire vers
le roi, la
la
desse,
gauche portant
bton
comme prcdemment
la
desse
A' "T
"^3^.
le
le
nom
et le
prnom de Tafnakht,
et
si
fr(|uente dans
du souverain
sate. aucpiel se
.sa
rattachent
s'il
la
XXIV^
et la
XXVI"
domination,
Nous trouvons
On
ici,
pour
la
premire
fois, le
cartouche-prnom {Ra-khoui)' du
roi
1. Alhne, 1, 418, citant Alexis. Us.p\ aTapy-eia, dsigne, par le nom de NeoyaS'.;. le pre de Bocchoris. peut retrouver, dans la dernire moiti du mot, une pariie du prnom de Tafaakht; mais, si le commen-
la
(jul-
le
nom, sous
les
formes
De
la date
de
l'an 8, suivie
l;i
d'un
premire
li<ine
trnns-
^> 41
La
dame de Saut
menaces
quiconque violerait
Dans l'hypothse o
porter (ju'au
teiiips
la ville
la stle
ne peut se rapet
de l'Egypte
soumis
la
valle
il
du
Nil.
de Pinkhi,
n'aurait pas t en
les
mesure de donner
la
plus importantes de
Haute-
Egypte. Le nombre des annes de son rgne doit avoir t calcul depuis son avnement
en qualit de
roi
de Sais, quoique ce
et
si
moment
il
n'et
les titres
oiTiciels
de
Ci
^^,
Ci
roi
du Midi
du Nord. Mais
la flatterie
comptrent
les
annes de
rgne de Psamitik
P'"
Les
titres
mme
autorit, exercer le
les
mme
pouvoir.
Un
certain
nombre des
il
poque, gouvernaient
nomes de l'Egypte,
portent,
est vrai,
dans l'inscription
ils
mme
de Pinkhi,
le titre
de
si,
du Midi
et
Il
du Nord, quand
les
mme
la
Mditerrane
pouvait,
qu'il avait
ceraeiu de ce prnom est bien Ra, je ne vois pas comment expliquer, autrement que par quelque erreur, la Diodore, I. 45, donne seulement le nom Tvc&a/S'o;, substitution, cbez l'auteur grec, des deux syllabes Neo. que le De Iside et Oair., racontant la mme anecdote, transforme en Tiyvay.xt;.
1.
Ramss
mais
ainsi
il
Nit,
0^7|
fil
sur le Nil;
lIIIIII^^i/
de ceiie
ville est crit
le
deux
fois
Z^.^
^^^
v\
(cf.
Brucsch.
Dict.
fjorjr.,
p.
6G1);
il
La mention d'une Nit de Svoul ne s'est pas rencontre jusqu'ici; mais '^ n tk adore ct de l'Hathor locale, appele M <2 U ^\ et de l'Anubis. ouvreur des
fi
,
chemins du Midi. Le nom du bourg appel Hdi-i-nt Ramses ne se trouve pas dans
et
il
est impossible
le
dans
le Dictionnaire gographique de Brugsch, de songer la ville de Ramss-Miamoun, qu'il identifie avec Tanis, et que d'autres placent Ouady-Toumilat. Du reste, il devait exister en Egypte de nom.breux chteaux portant le nom de Ramss.
lui barrer le
il
la
soumission de Syout
la
c'tait
pour
le
vainle
mme
remont
le
Nil un peu au del, puisque sa flotte rencontra pour la premire fois celle de Pinkhi au
la
est vraisemblable
huitime
anne de son rgne. Ce point spcial pourra tre dtermin plus exactement par quelque
dcouverte nouvelle. Ds prsent du moins, notre stle apporte une donne probable
sur
la
Il
mme
en ad-
mettant que
la
nom
de
de Syout
l'histoire
(et
non
celui
conqute de Pinkhi,
a.
dans
de l'Egypte,
a|)rs
succde. Puis,
nous voyons Bok-en-ran-f (Bocchoris) rgner sur l'Egypte entire. Rien n'empche d'admettre que, peu aprs
le
ait
nomes
qu'il avait
prcdemment soumis,
soit
St|)hinats,
Nchepso
et
les
dpart des
thiopiens, et les huit annes dont tmoigne la stle comprendraient peu prs l'en-
serait
del. Touteles
ces huit
car
il
.sa
ambitionn
ouvertement
la
qui ait pu
lui
1068.
largeur,
le
en bas-
en relief dans
disque
creux sur
postrieure.
Face antrieure.
n|o3P^x^jS]|gi,p
Plus bas, dans toute
la
largeur du
monument,
:
le ciel toile.
Ma, pose
J\
au dieu
Amon,
|, assis sur
un trne,
1.
4* dit., p. 411.
du
psrlKMit.
la
et -, et
Chonsou
;'i
1(Me d'[)Ci'vier
surmonte du
lunaii'c,
tenant | dans
la
main
droite.
La
bande orneuKMilale.
De
1"
du
roi.
Au-dessus
Au-dessus
A/V\A/V\
/^ y1
tC^
C^
^^^
c^
'
o d
Art/VVV\
VU
ni
de3"
Au-dessus
vant
elle,
une co:
V
(SU)
lonne verticale
^?
de Chonsou, deux
colonnes
vertica-
a
I
AAAAAA
/VV\AAA AA/VNAA
les
s'agit
Entre
le
Cadre.
Sur
la
bande du haut
est figur
un
ciel toile; la
bande du
Sur
gravs
:
la
trs
mal
\\]
m^z-m^mMx
">
\
bande de droite, de
mme
?l!
ilIX
^m^A'^^imim
STATUES
assis, les
II
jp<;
<;
918.
la
les
genoux,
gauche ouverte,
ferme,
le
pouce en dessus.
La perruque
partage au milieu de
la tte, et
passant derrire
de l'Ancien-Empire.
Travail assez bon, mais lourd, les os des genoux fortement indiqus.
Sur
droit,
le sige,
le
deux sur
le
ct
une sur
ct gauche
cl.e:ffiyf^^(]|^J
Une nomme
stle
(1
,.
de Boulaq, iMariette, Cat., 930 (Lieblein, Dict., n" 1867), cite une
femme
p. 532.
^.
^^
rl|
niais
le
nom Amem-ba.
Proceedings,
t.
dans
les
X,
Granit
genoux
est
rose.
assis, les
jambes croises
la
l'orientale.
Sur
et la
ses
main gauche
all<3nge
mode de l'Ancien-Empire.
le
Hli
H?
OD
a.'
917.
les
0""
43.
Homme accroupi,
les
les oreilles;
devant de
la
A--
ra'
=^-
nnn.
nom
se font suite, dans le sens horizontal^
;iu
1. Les colonnes tant disposes verticalement, les deux parties du bas des deux colonnes.
ti-o
du rgne do Psaniitik
ou de colui
d'Amasis,
trente ans.
les
de
la stolo
I/isc/\
II,
du
62
la
collection
(dans les
Proceedings de
X,
Wiedemann
t.
XI,
p. 221).
en traduit
la fin
30 ans
920.
le
0'"
52.
Homme
la tte
appuye sur
Klaft ray.
La main gauche
tient
une bandelette
:
i
^^
|
Sur
K\
>r^
/wwvaI
'"^^
lu
/wwNA -
-/1
iSQ ^ Il
'indits, n 2,
dans
les
Proceedings,
t.
X,
Nous appellerons
(t.
11^^'
^^'^
:
^- Erman
XXX,
Ilofe
appartenant
La phrase de notre
d.
inscription
h.
rendue
gross gemacht
vom Knig,
am
auferzogen.
921.
0"^ 79.
Homme
le dos.
assis,
la
Sur
le
devant de
:
la ro1),\
dopuis
I
la
ligne verticale
<=>
^
hmmm^
,
A'^^
^
\>
La
donner
cznzD \^_=/]
est plus ^
faut-il lire
^^
7*^^/7, il
est
personnages
cits
ne porte de
titre
la
4^n^
VSf
Un
autre
2165) est
%^
Personnage agenouill,
klaft
tombant en
arrire.
Il
tient
devant
lui
un
un Osiris-momie, debout,
2
RECUKIL, XVIII.
QUELQUES MONUMENTS GYPTIENS
de
10
coiff
o,
.
avec
le fouet et le
pedum.
Au
uranis ^Qs
^^^^^fj3 F
Sur
le
verticale
[1
:f:
Sur
l\N^J\/\/\
le
montant de droite
(I
\i
2>Ar\fVW\
^ m -..^M
Sur
le pilier,
le
personnage
[1
q^
"
Sans
les
rnuni'o.
Granit
gris.
Hauteur,
()'"3?.
Homme
les oreilles et
tombant sur
la
nuque.
Il
tient
devant
lui,
entre ses jauibes, une petite statue d'Osiris debout, pose sur un socle
(sans naos).
Par derrire,
le
1267.
les
le
devant de
deux
il
A Aj] colonnes verticales d'hiroglyphes U Ci ITUJoU-U2i H T V_^ ^ Q /wwv\ S-^ /& nu <=* '^:3> ff U 6\ U ^s>- 1. Par derrire, sur le pilier auquel est adosse
\YW)^^_^lf
I
|U
I
-=:!
/www T
le i)er-
:
|
|q
4^|'^7
dans
le
@ X^
se trouve pas
Dictionnaire de Lieblein,
premier
nom
^^.
O"
2011.
longueur du socle,
20.
Homme
la
assis, les
faon de
l'Ancien-Empire, quoique
l'poque sate.
surnom
d'Oua/i-ib-ri, soit de
Derrire
debout. Sur
horizontale:
le sige,
le plat
du
devant
les
#^'
S)
m o
R.
Sur
du
courant sur
AA/vw\
I
les
1
quatre cts
in
-
AAAAAA
M.
II!
(')
1
(')
/wvw^
f^cro
<;>Qn
I
o-|
/w^AA^
_^j"
11
Calcaire. Hauteur,
le
()"':Uk
un naos, qui
au bas du
devant du socle
:
Au
Sur
bas du naos
z:i='
^"^ /
'
2"
le socle
ac-.
200'J.
Calcaire. Hauteur,
47.
gauche
La chevelure
est
front,
L'homme porte devant lui un petit naos, dans l'intrieur duquel se momie debout. En haut du naos, le disque ail. Sur un des montants de
L'autre montant est cass.
un Osiris-
la porte, l'per-
vier momifi, couronn des grandes plumes et pos sur une colonnette fleur de lotus.
Par
tion en
derrire,
un
pilier
deux colonnes
verticales.
Sur
le
pyramidion,
roi, coiff
le
disque
ail,
puis le ciel
surmondes
Un
un dieu barbu,
Amon
^
'
(?), coiff
le l
et,
derrire lui.
:
l
ment Maut. Au-dessous, cette inscription r Ensuite, commence une inscription, qui couvre
verticales
:
'Il
tout
le pilier
Premire colonne
/^"^"^ ^
mT^^ ^^^^E
AAAAAA
^P^
tJjLT
I
*^
/VSAAAA
-'ItWM
I I
i<
<^
'III
i^=^ni
antrieure.
Face
AAAVNA
nn\
I
II
n
Ml
c=:^
Jl u
'a 21'
III
T
.(')
(0
^^
I
'J^^Px
I
7\I/V
ArW^/V^
r~\ /V\AA/V\
'
1
S r\-^^ ^^
I
n'
o w
l
n
^
'O
ili
/VAAAA
"^nDSji
ryn
mVW\ ^
le
UT)'
V'
trs
12
^^
(1 (l
^-^"mI
<=
poque romaine.
GROUPES
546.
Calcaire. Hauteur,
il
0'"21.
Deux hommes
sa
et
deux femmes
assis sur
un sige
l'paule de
l'homme
la
assis
Pour
main gauche
femme.
main
Les deux
hommes
Ils
XIX'^ dynastie.
portent, de la
droite,
une
fleur.
Les
femmes ont
la
la cuisse.
crit verti-
calement sur
1"
le tablier
ou sur
:
la robe.
T
r
La femme
iauche
2
3
L'homme
L'honnne
plac sa droite
assis la di'oitc
i) U
i]
du prcdent
:
A^ ^^
^
la
La femme place
sa droite
UV\00mle
Par derrire,
est sculpt,
dans
hommage
aux morts
assis sur
col.
Tous ont
signe de prire.
1
Le premier,
lui,
droite, a
le klaft et
:
ture.
Devant
cette inscription
^->^
_/-J
AAAAA^
^^^
Ci
.^
2 Ensuite, vient
et
une femme, de
la tte le
taille
la
du
on
Devant
elle,
"^v.
.sa^'^:
Une
la fleur
de lotus au lieu du
vase. Inscription
4"
"^^^ ^^^^
iTl
Jr
Un homme
et
comme
celle des
femmes,
main
i>auche. Inscription
'ww /wwsa
(^t
M\
Les noms
du monument ont dj
lit le
M. Lieblein
premier
"^"^
:
i|"J)-
^^^ repro-
la
face postrieure.
trois
les
Grs.
et
personnages.
Deux
hommes
U
La
foninio, placcio
dos paules
ils
j)ar (lovant.
pondants,
los
conmie
colle d'Iiathor
de
sistre.
le
Des
lii(''roglyphos sont
<''lat.
gravs dans
les
personnages; mais
ils
sont en mauvais
homme
gaueho
et \o
deuxim?
-^ ^^
^^^.
:
^(-^
i5lH
J;?"
Entre
le
second lionmKMt
la
femme
ti
\\
W
un
^
est
6"
droite de la
lemme,
du.
insciij)tmn illisible.
Face postrieure
assis
inonumeitt.
Au bas.
homme
devant une table d'olrandes; de l'autre ct, une femme debout, de proportions
petites, l'iie inscription
beaucoup plus
la
On ne
ffii
seulement, dan s
==^
derH H
les
fragments suivants
^8 1
\\^^
\^A/W~
O ^^^^ ^^W.
BCEUF APIS
930.
Granit gris.
entre
les
cornes; pas de marques sur le dos. Travail trs sommaire. Entre les jambes de
le granit,
un peu vid,
est aplani
2"
Du
1
:
i
'
Ui<**^'
'|\o,
tf
A/WVV\ A
'
AAAAAA
-I-C\>-
,^
il
Ci
d \-l
de derrire, trois lignes
U'
I
3*^
Du mme
jambes de devant
et celles
horizontales:
^/^f^[g
AA/VvAA t^ _2::gj
I
k^^
f_^;^|
le
I
Du
*'""'^''''-\]L'iZK
5
>
AAAAA^
Ci
'
1^1
Du mme
H4
u
I
jambes de devant
et celles
horizontales:,]^^
^^11
fois, le
il
l'tre
La seconde
.
fois (ct
gauche),
se
lit
N'eh-smen.
lion peut se
*?
I
,
mme
Le
en
effet
neb; mais
je
ne connais pas
14
TABLE D OFFRANDES
(Sa/is numro),
2'^
salle.
Longueur,
0"^667; hauteur,
0'"
433,
et,
avec
la partie
avance, o se trouve
la rigole
d'coulement, 0 63.
relief trs bas diverses espces
de pains, des
gauche de
:
I
la rigole et
sur
le ])lnt.
commence
du monument
A
AAAAAA Ll\
CZ^
T U O
AAAAAA
AAAAAA
^
n #
y^iO AAAAAA p
"
vil
ij
if
iks,..
..'li
t.
X,
p.
532-533, n
5.
0'"
Sans numro.
Calcaire. Longueur,
la
:
0"'
46; hauteiu*.
305
paroi
1"
dans
1
o o
I I
devant
les
lui,
UNI
infrieur
gulaires,
5
comprend
six
compartiments rectan-
raires
.=S
:
STATUETTES
95.
Homme agenouill,
la tte
ses
genoux
la
plume, qui
surmontait
excut.
de
la desse, a disparu,
mais l'attache
reste. Travail
adroitement
Deriire
le
pai- le
^^ S\^ ^^
^^^
MS-
I
I I I
'
AAA/VSA
i T
iAAA/^V\
1
V.
Homme
la ceinture,
:
sur
i
la schenti,
v l
i
c=.
III
V\ J^
J^
v\
_M^ a
^ %?
1180.
Bronze. Hauteur,
0'"05.
Homme
mdiocre.
:
Sur
o
le
sens vertical
Dci
c.^
^
I
<
INSClllPTlON DE NABONIDL:
15
55^9.
Bois.
Ilaulcui',
()'"
18.
Fcmnu imc
ouvcite;
la
(l(l)()ul,
los
pieds
i'a])[)rocli(''s,
bras pcn-
danls
le
long du cori^s,
main
,uaiicli(>
droite,
i'(M'ni('(\
portail
un
ol)j(>t
dispau.
aux
("paulcs.
derrire
comme
Sur
plat
du
socle,
lo
devant
les pieds,
(lu
une inscription en
: |
cin(| lign es
ho ri/ontales.
,
coIrgm.H,,.
sHo
l^/\l| ^-|
li^^f
T|'
INSCRIPTION
Dli
PAR
NABONIDE'
Fr.-V. Schkil, 0. P.
Cette nouvelle inscription de Xabonide fut rencontre par des entrepreneurs en
qute de
vieilles
Mudjellibeh, proche de
elle
Hilleb. Elle est grave sur une stle de basalte, demi-circulaire: quatre colonnes sur la
partie plate, et sept sur la partie circulaire.
pouvait
Un
un
socle.
L'importance de ce
monument
aussitt
Important,
il
l'est
en
effet,
ce
s'y rvle
le
un peu
diffrent
a quelque peu
rcit
de
la destruction
le
de ce
roi, c'est
que
mme texte
Marduk
la
fut
emmen
Babylone,
premire anne
de Sama.s-sum-ukin.
En
somme
de
Sennachrib, par
des meurtriers.
la
Chron. babyl. B,
III,
Assur
Kl.
PAL-TI-LA-KI
la
plus facile
lire
que
PAL >
premire
la
SU-GA-BUR-KI. Ce nom
Des
trois
et
la
Accad,
troisime,
1.
planches adjointes,
les
16
INSCRIPTION DE NABONIDE
signifiait
probablement yjar/s
les
liant
(SU-GA
usit
que chez
de
la
leur pays.
le
pendant de
la
premire, et relate
la
ruine de l'Assyrie
Ummaii-Manda
la
du
roi
comme
allis
de ce
roi.
rcit
de
la
Umnian-Manda, comme pour eux Astyage est un Mde, alors qu'il est un UmmanManda pour Nabonide (V. R. G4, L 32). En fait, c'est Iriba-Tukt qui est dit dtruire
l'Assyrie, ])ar ordre de Nabopolassar, et le mrite en est
nanmoins attribu au
.
roi
de
Babylone qui
accomi)lit
amplement
la
l'dHivre de
vengeance de Marduk
En comme
fameux temple de
en songe,
la
on
rf'ut l'ordre
1),
pre-
mire anne de
sible
s"on
dit-il
(V. R. G4,
les
que
la
Umman-Manda. Or
la
dans
de
restauration
la
du du
est dit
Umman-Manda. 553
D'aprs
la
-f-
rgne de Nabopolassar.
mme
colonne,
il
y eut des
villes
en Accad
(KI-BUR-BUR)
qui
demeu-
fin; et ainsi
la
de ces
mmes
villes, la
de Nin{\i\), sige de
sous
le
la
desse RI ou Istar,
le sanctuaire,
de dire
ne
s'agit
pas de Ninive.
La quatrime colonne nous apprend que Anunit d(^ S'ippar-Anunit avait ttran.sporte Arrapha; (ju'il existait un Sippar (an) Amnanu. Amnanu nous tait dj connu
nous
de rgner,
et qu'il
monta sur
Il
le
trne, contre
un
rival. Il
ne se
le
sar-usur, dont les armes n'ont pas dmrit ni dgnr entre ses mains.
contre, rien avoir de
ne veut, par
commun,
semble-t-il, avec
Amil-Marduk
et
Lbasi-Marduk, deux
ou politiques.
INSCRIPTION DE NABONIDE
17
Colonne
[ki]-inU-ta-iU
[as-]a-pu-tuni limnu-tim
[//]-/'/
rub Marduk
KALAMA
lib-ba-sn
21 santi
ki-rib
i-ta-tna-a
ir-tu-ma
ki-ti ki
iil
PAL-TI-LA-KI
25
ir-ia-me su-bat-su
[t\-aa-ru
li-qa
[irta]
ar-ku-u urne
ik-su-da a-dan- nu
bO
i-nu-uh-ma
u^-:;a-su
u-na-cim-ini
es-ri-e-ti epiri
sa sarru ilni bl
10
u-sa-ah-Jii
u-su-ra-a-ti
bil-lu-di-e
-SAG-GIL u KA-DINGIR-RA-KI
ih-su-us
u-sa-al-pi-it
ga-ti riib
su-bat be-lu-ti-su
Marduk
35
sarru
sa
15
is-ba-at-ma
u-sc-ri-ib
ki-rib
sa-al -pu-ut-iim
PAL-TI-LA-KI
uz-:;i
mati
nu
ki-ma
20
ili-ma
mru
40
i-na
si-it lib-bi-su
i-te-pu-u
lil
matu
kakku
ip-u-ur
u-ra-as-si-ip-su
Colonne
II
15
1
ri-su id-di/i-su[ni-ma]
la a-di-ru
u-sa-al-pi-it
es-ri-it-:;u-un
tap-pa-a u-sar-si-is
sa ilu mt
SU-GA-BUR-KI
ka-la-su-nuni
u-sa-ak-ni-is
20
u alni pa-ad mt
ki-bi-iu-us-su
u-sa-lik ri-su-ut-zu
[e-li-]is
sa
it-ti
sarru
KI-BUR-BUR mt KI-BUR-BUR
na-ak-ru-ma
la il-li-ku
ri-su-ut-:^a
u sap-lis
[ininu] u
su-me-lu
25
10
a-bu-ba-nis is-pu-un
u-tir gi-mil-lu
u-sa-al~pi-it-ma
mi-e-si-su-un
TIN- TIR-KI
I-ri-ba tuk-te-e
ma-na-ma
la
i-:;ib
u-sah-ri-ib
ma-ha-^i-Su-u/i
A
Nouv. SER., n.
18
INSCRIPTION DE NABONIDE
30
u-a-ti-ir
a-bu-b'-is
la u-bil qai-zu
a-na bil-lu-di-e
ilni ka-la-na
sarru
si-pi-ir
TIN-TIR-KI Marduk
40
is-lim-ma la-a
sa
si-il-la-ti
ma-a-a-al
i-na-al
NI-GAR
35
iq-qib-su
Colonne
III
ip-tu-ru si-mi-id-ku
1
ilm-[su]-nu
li-il
i-no.
uz-zi
is-tu ki-rib
-an-na
hi-su-un
25
tu-su-ma
tu-si-bu la su-bat-su
sa
5
Mavduk
har-bu-tum
30
ini-bu-u-ni-is-su
til
na-du-ti
Anunnaki
u-al-lini
ad-man-su
es-ri-e-ti ilni
u-kin-su 7 la-ab-ba
10
is-ku-nu qa-tu-us-su
si-mat i-lu-ti-su
is-mi-id-su
Anunnaki
35
is-tu ki-rib
la
si-ma-a-tum
ad-nia-nu hursi
E-an-na
sa sa-an-da-ii
15
7
u-se-si-ma
la-ab-bu
(an) In-nin-na
u-tir
sa i-na pal-e
a-na E-an-na
ki-is-si-su
Amil Uruk-(ki)-a-a
su-luh-hi-u
40
(an) Is-tar
be-lit
NIM-ma-ki
20
us-pi-el-lu
ru-ba-a-tim
a-i-bat Su-si-ki
ad-ma-an-su id-ka-nia
Colonne IV
la ip-pa-al-su-us
a
bi
10
sa ki-ma -mi
it-ta-na-an-bi-it
a-sib
sa ki
5
[}ib
u hursu russ
u-kin su-bat-sa
sa si-tu
-mu
15
ru-qu-u-ti
(an) A-nu-ni-tum
a-si-bat Sippar(ki)
ma-am-ma-an
INSGRIPTION DE NABONIDE
19
(an) A-iu-ni-tum
sa
i-iia
30
naix/'it
an Ani-na-nu
su-ub-ti
pa-ni amilu
u-ar-mi-su-ma
u-kin ni-id-ba-u
i-tu -iun
Ar-ra-ap-ha-ki
20
u-na-ak-ki-ru-ma
Gu-tu-iiin-ki
35
im-lu-u is-ba-tii
u-a-al-pi-tu
me-e-si-su
u-ru-uh
si-ini-tl
La-a-ba-i
Marduk
Nergal-sar-usur
25
mcu'-su sa-ah-ri
la a-hi- ri-id-di
ud-di-is-ma
te-di-iq ilu-u-ti
40
kma
la libbi ili-ma
ud-di-iq-su
E Su-na-mi-nia
ina ki-rib Sippar(ki)
u-si-im-ma
Colonne
V
dan-nu a-na-ku
a-iia ki-rib
'
-PA
20
uni-ma-n a-ti-su-n u
ga-tu-u-a paq-da
ub-lu- u-in-7ii-nia
[bi-]Iat-zu-nu a-na spi-ya
a-na
la
ki-bit-su-nu
is-sap-ku-nini-ma
e-ga-ku-ma
u-sa-as-si-qu se-pa-a-a
ka-bat-ta- su-nu
iq-ta-na-ar-ra-bu
sarru-u-ti
su-tu-ub-ba-ak
25
i-na a-mat
Marduk
mti
bli
Amil-Marduk mr Nabu-kudur-usur
u La-a-ba-si Marduk mr Nergal-sar-usur
at-su-nu
a-na
10
be-lu-ti
an-na-si-ma
e-ina u-:;a-am-nia-ru
a-bi niti-ma
30
ma
ti
sa-ni-ni ul
i-si
sa Nabu-kii-dur-ri-usur
su-nu
u-pa-at-ti-ru
15
u Nergal-sar-usur
sarrni a-lik mah-ri-ya
na-as-pa-ar-su-n u
a]-ma-a-ti-su-nu
Colonne VI
nu-ti-ma
u-sal-li-su-nu-ti
ana idi-ya
iz-zi:^-ma i-ta-ma-a
20
INSCRIPTION DE NABONIDE
a-na ya-a-ti
lu-sa-an- ni
el
KA-KA-a
su
iim-ma di-hu- ti
10
i-da-ti lum-ni
ul i-ba-as-si
Nabu-kudur-usur
25
is-me-e-su-ma
i-ta-me
it-ti-ya
i-na sutti-im-ma
su-a-ii Nabu-kiidur-usiu"
u amil akkannak-u
ina kakke u-zu-uz-zu
30
aq-bi-is
um-ma
i-na utti-ya
amil akkannak-u
a-na Nabu-kiidur-usur
i-ta-me
sa-ma-me su-lu-tum
um-ma
35
da-am-qi-is
ap-pa-lis-su-nu-ti
20
itti
Nabu-na'id
du-bu-ub-ma suttu
si-i
sa
it-tu-lu
Colonne VII
a-na
1
-SA-PA KALAMA-SUMNab
...(an)
DIL-BAT SAG-US
.kak]kab
.rabu a
si-ib
an
LU-BAT25
MU
e-ru-ub-ma ina ma-har
mu-sa-riq pa-li-e-a
hatti i-sar-ti
u-pa-ru ki-i-nu
as-tak-kan-su-n u-ti-ma
um
30
u-sat-mi-hu qatu-u-a
su-bat (an) Tas-me-tum
kun-nu
du-um-mu-qa a-ma-tu-u-a
ina ma-har
Marduk be-U-ya
10
u-sa-al-U-su-nu-ti
um ru-qu-tu
sum-qut sarru-u-iu
35
ina ma-har
Marduk
bli
mu-bal-li-ta-at mi-i-tu
li-dam-mi-iq
a-ma-tu-u-a
i-nu-ut-na
pa-al-hi-is
15
ap-pa-li-is-ma
Marduk blu
40
at-ta--id-ma
ina te-mi-qi u ut-nin-ni
as-te--a as-ri-su
20
as-bat-ma su-pi-e-ka
tas-ri-im-mi
ra-am-ma
um-ma
lu-u a-be-lu-ma
INSCRIPTION DE NABONIDE
21
sarrn
nii-iia lib-bi-ka
eli
saiTni lis-tani-bu-nia
du-su-u ya-a-ti
inu-da-a-ka
55
be-lu-tu su-ri-ku
um-ya
ina
iil-si
sa-na-ti-ya
50
m at-ta bel bl
tu-tnal-lu-u qatii-u-a
la la u
ma
a ni nu tam
Colonne VIII
30
1
... ilu-u-tuni
.
ka-at
Marduk
si]-ma-ti
(abnuj-
[?)
u Zar-pa-ni-tum
u dalti
nu-uni-mu-ru ^i-mu
5
-HAR-SAG (?)
(?)
^
a-na (an) -a
be-li
35
ki-la-at
-ta-an
mu-ar-bu- u sarru-ti-ya
sa
kisal-mah
ilti
Nab pa-qid
ame-e u
kis-at
u 5 abidli
belti-ya
irsi-tim
sa mas-da-hu Zar-pa-ni-tum
na-ra-am-ti
Marduk
Tas-me-tum na-si-rat
40
mu-sar-si-da-at isid
gis gu-za sar-ru-ii-ya
na-pis-ti-ya
a-na te-di-qu
il-u-ti-su-nu rabu-ti
as-mi-is u-sa-lik
E kisal-mah
sa dalti- su daltu
15
45
en-na-hu us-sa-a
sa sarru mah-ri
la-u i-pu-su-us
e-ma-ra-a
50
aJi-hi-i:^
20
u-nam-mir u-mi-is
lu-bu-us-ti
-UTU-KALAMA
(?)
mt
ki-ma si-ma-a-ti-si-na
ri-es-ta-t.um u-kal-lim
Ha-na
ina si-ma-ak-ki-su u-kin
ana
55
kibsi
an
Bau
u-rat-ta-a
a-na mu-sa-bi-su
25
as-ru-us-si-in
mus-rus
w ? u
e-ri-i
-SAG-GIL
u-mi-sa-am
la
-ZI-DA
ga-ga-da pu-tuk-ku-ma
BIR UM
na-par-ku-u a-na-ku.
1.
Sur
am
ou
bi.
22
INSCRIPTION DE NABONIDE
Colonne IX
30
1
u-se-rib-su-7iu-ti
SAB-NI
la-ti
us-me-e
sa blu
e-li
Marduk
m
5
10 kam e-nu-ma
sarrni
6a/' ilni
Marduk
irsiti
35
a-lik mah-ri-is-su
u ilni u-ut am
u-sa-tir-an-ni-ma
ina SIGISSE-AMAR
bit iq-ri-bi
bit
u-mal-la-a qatu-u-a
10
as-ru-uq
istu
e-pu-su
sa ka-al saitu 1
kam
45
u-sar-mu-u
su-bat-zu-nu
i-gi-si-e
ta-ab-ti
15
a ana u-liin-ni-e
i-na i-pat ma-ti-ya
sur~ru-hu
hi-m-ib matti
ir-bi kal
da-ad-me
sarrni
lu-pu-ut-tc-e
20
bu-se-e sa-ad-lu-ti
50
sa rub Alarduk
i-qi-pa-an-ni
ya-a-ti a-na ilu Bel
u
(an)
55
(abnu) ir-ma-ti
(an) 25
Nab
u Nir-uru-gal
Samas
u (an) Is-tar
ilni ra-bu-ti
u-sc-ri-ib
ra--im pal-e-a
na-sir na-pis-ti-ya
purussu (an)
ina i-te-it-tu-qi-ya
ri-{?)-ti
ti
a-na
da-cr-a-ti
Colonne
X
u-sa-as-kin qatu-u-a
sa
is
zu-ul-lu-mu
ilni zi-nu-tu
i-si-id-su-iui
la ir-mii-u su-bat-su-nu
su-ur-ma-a su-bat-zu-un
10
inapi-i-su el-lu i-ta-mu
Marduk
u-ga
-'-
beli ya-ti
a-na pa-li-e-a
Har-ra-n u-(ki)
ili
,
an-ni-ma
-HUL-HUL
u-te-id-du-su me-si
sa in-na-du-u 54 santi
INSCRIPTION DE NABONIDE
23
c-ri-ti
35
a-na
^i-ki-ir sunii-su
a-dan-nu sa-li-ma
u-sa-ap-pu-u-ma
ib-nu-u ab-ru-us-su
ta-nit-ti
54 santi AN-NA-MES
20
e-nu-nia (an) Sin
i-tu-ru as-ru-us
(an) Sin
40
i-na-na-na
a-na as-ri-su
i-tu-ra-ani-ma
i-du-ur-ru-u-ma
ina kisad (an) Sin u-ki/i-nu
sa ina
um
ul-lu-ti
25
mu-lu-niu bu-un-na
45
an-ni-e-su
u ilni
it-ti-su
ma-la
u-su
AS ku-uni-mi-su
sar ilni
30
Marduk-ma
iq-ta-bi
ina
-SAG-GIL
rabti
pa-har-u-un
50
bit na-si-ir
na-ti-ti ilni
ilni zi-nu-ti
it-ti
.....NIR-Ka
amelu DI(=.sul)-mu
uban sa
5
si
10
En SIGISSE-AMAR i-ha{^)-sal (?) um GID-DA mes summa KI-BIR 2,30 BIR {?) > S U amilu nakru sal ma ti > BIR - (?) DUG lib {?) summa kakku BIR y|< {?) (?) SAB-NI AH-UD (?) |y _ ^ SAB-NI amilu nakru iq-rib
sum-ma ti-gi-ib 1000, 4, 15 2 kakku na-an-du-ru-ti
sa ut sa sigiss
m,u-gir-ri
4 ma-na
25
us-ki
summa gi-ib-su 15 SI-BIR summa > BI-DUP u SAG-AH umu SAG-AH TIM-TIK summa AN-TA DU-NIR (?)
su us
30
ma
eli
ti
SAB-NI HAR-SI
amilu >
di-i-ni
5
mu
su-nu
<
J[
^a )
is-mu sa ri
15
ir-ta-a-mu
> ni-gar nu-kur-ti
mu SAB-NI
. .
35
zu sa ur a u
si
(?
uk)
Samas
i-ki-mu
eliKI-KI
UT^
ul-lu-us
summa mu SAG-AH 15
24
INSCRIPTION DE NABONIDE
40
Dl-mu
kam
4
HAR 4,
15
summa
uban
Colonne i
de merci,
il
cur maudit
le
pays
il
vint Babylone,
statuts, prit la
la colre
il
entrer Assur.
Il
traita le
pays selon
ans,
du
dieu.
et la colre
du
roi des
seigneurs-dieux
s'apaisa, et
se souvint d'Esaggil et de
Marduk
issu
de son cur,
le
Colonne 2
le
donnacomme
il
alli, il
en
fit
fit
un compagnon. Le
roi des
Umman-
le
soumit et le
il
marcher comme
alli
il
En
vengea Babylone.
Umman-manda,
lui
d'Assyrie; et les villes des confins d'Accad qui avaient fait opposition au roi d'Accad,
et n'avaient point
march avec
villes.
comme
allies,
il
Nul
n'chappa,
il
ruina leurs
Comme
un ouragan,
le roi
Il
les
les
sauvegarda,
il
n'tendit aucun
Colonne 3
Lui, que
ils
Marduk
et
dieux. (Ainsi
fit-il
d'Erba-Marduk
les
:
gens d'Uruk
elle
avaient viol
tait sortie
Il
le
rompu
l'attelage
en colre,
d'anna
demeurer dans un
lieu impropre.
Il
restaura
le
groupe des
Anunnaki,
fit
sortir
mit dans sa demeure, y attacha les sept lions, apanage de sa divinit. Il d'anna, les Anunnaki qui n'y taient pas leur place, et fit rentrer dans son
dame d'Elam,
de
la
la
Colonne 4
[Le disque?] qui est dans.... et que depuis les temps reculs, per-
il le
remit en son
lieu, sur
comme
le
etsur de
l'or fauve(?).
Anunit, qui demeure Sippar-Anunit, dont l'ennemi nagure avait chang la rsi-
les
Gutu avaient
dtruite),
Nergal-sar-usur
fit
habiter dans
-sunamima, Sippar-Amnanu,
chemin de
sa destine,
fils
trne royal.
Colonne 5
Ils
me
conduisirent
pa,
INSCRIPTION DE NABONIDE
25
mes pieds, acclamrent ma royaut. Par la volont du seigneur Marduk, promu la principaut du pays, pendant qu'on chantait le pre de la patrie et
: !
le
et
de Nergal-
mes prdcesseurs. Je
ma
main,
j'ai
de Nabuchodonosor, et
Lbasi Marduk,
de Nergal-sar-usur
ils
violrent les
commandements
de
mon cur sur le dclin de la grande mon ct et me dit Ce dclin n'a pas trait un mauvais prsage. Dans ce mme songe Nabuchodonosor, roi, mon prdcesseur, et le Sakkannak se tenaient en armes. Le Sakkannak dit Nabuchodonosor Parle Nabonide et qu'il te fasse le rcit du songe qu'il a vu. Nabuchodonosor l'entendit et me dit: Dis-moi ce que tu as vu de favorable. Je lui dis: Dans mon songe, j'ai vu propicement
(>
Colonne
mditai dans
toile et
monter dans
les cieux,
une grande
toile, la
Il
m'appela par
mon nom
Colonne 7
... (Je fis faire)
....
toile
U-PA, une
dimensions
toile
un grand ....habitants
je leur fis
donner de grandes
(?)
en prsence de
la
mon
seigneur Marduk, en
fermet du trne,
dure de
la dynastie,
l'exaucement
de mes vux.
Je
me
et
couchai et au milieu
(?)
de
morts
donne
la longvit, je la priai
me
tournt sa face (en signe de faveur). Elle se tourna donc vers moi, avec un aspect brillant,
elle
me
J'entrai
les
donc dans
il
-SA-PA-KALAMA-SUMMU,
m'investit
et
devant
Nab
qui prolonge
annes de rgne,
du sceptre de
justice,
de
la fidle
usparu, du
la
nom
:
royal, de la juridiction
du pays. Je
visitai aussi la
demeure de Tasmetum,
grande
dsirs
Marduk
favorable
mes
je
rendis
je
mes
prsentai
mes
mon
1
cur
cur royal
mien
Ne me prodigue pas, si je suis ingrat, ce que, seigneur des seigneurs, tu confies mes mains mon dieu de tout temps, dcrte-moi la souverainet sur les rois; prolono-e
!
mes
jours,
l'allgresse!
Colonnes
plifie
Des.... en pierre....
au brillant
clat,
pour a,
le
ma
royaut; pour
les jours
de
ma vie
fis
Nab qui prside aux lgions du ciel et de la terre, qui prolonge pour Tasmetum qui garde mon me; pour le vtement de fte de leur
divinit je
les
faire
mon
comme
elle tait
auparavant. Je
-UTU-KALAMA,
4
au
pays de Hana,
RECUKIL, XVIII.
NOUV. SR.,
II.
26
INSCRIPTION DE NABONIDE
proccup du ravitaille-
Je suis
un
roi
l'esprit est
ment de
du temple du dieu de
ciel et terre, la
et
Zarpanit,
les
portes
d'-HAR-SAG,
aux deux cts de T-KISAL-MAH, les cinq grandes portes de la desse ma dame, de la procession de Zarpanit, la chrie de Marduk, qui afermit les fondements de mon trne
royal, je les revtis d'or brillant; sur la
les
portes taient faites battant revtement de bois, je refis neuf leur battant en forme
les
garnis de
et les
fis
briller
comme
le
soleil
je
paratre leur revtement, en leur manire d'tre primitive, et les fixai en leur lieu,
la
pour
le
pav de l'-KlSAL-M AH
les
Colonne 9
dieux.
grands
de
la
-SIGISSE-AMAR, la maison
de prire,
,
la
maison de
fte
de
(?)
Bel,
annuelles, qui, titre d'hommage, (sont prlevs) sur les produits de mon pays, l'abondance
des provinces,
les trsors
que
le
prince
Marduk m'a
Bel.
Nab
et
ma
dynastie et gardent
mon me
que
le
seigneur
Marduk m'avait
fis
octroys et confis, en
mes prdcesseurs.
de la maison de l'Akit,
j'installai
les
Bel et
le fils
grandes
villes,
comme
Samas
et
Istar.
l'oracle
du dieu
HAR,
le
conseil
du dieu
MAH.
et ils n'habi-
Colonne 10
et
me
chargea de renouveler
manda de sa bouche auguste, mon gouvernement. A Harran, pour le temple -HUL-IIUL, qui tait renvers depuis 54 ans, dont le sanctuaire avait t dvast, lors des ravages des Umman-manda, il pressa avec les dieux l'heure du salut. 54 ans s'taient
il
Marduk,
le roi
en souvenir de
cachet
il
lui,
il
avait grav les titres de gloire de Sin, qu'il avait mis au cou de Sin; cet objet
d'art qui, depuis de longs jours, avait t cach (?), lors des ravages de l'ennemi, je
vis
les oracles,
dans l'Esaggil,
la
Colon ne 11
...
(Divers prsages. )
INSCRIPTION DE NABONIDE
27
NOTES
Col. I.
2.
La
restitution irriest au
5.
saurait avoir
ici
s'agit peut-tre
ou sur
litt.
les
murs {usurtiy>
Cf. Jensen,
Col. II.
13. Iribatukt
note.
a fait crotre
les
membres,
les os.
K. B.,IL264,
synonyme depar.su, R.
n, 25, 5;
msi a donc
le
sens d'appartement
Sa
.
vengeance, de chtiment
l toutefois
en retour
prcis.
40.
Cf. Zimm..
BP.
73, 67.
Asurb.,
qu'il
un sens
L maial
de repos, ou
NI-KAR
resterait
mme
Col. III.
19. Suluhhu
(cf.
K. B.,
III, 2,
1.
17) est
un
autre
sens spcifique.
Ku
de Nabonide, K. B,
Au-dessus de
la
page 88,
43.
le
symbole phnicien
IV.
rigueur
Dans -
demeurer
le
dieu
Amnanu.
Mais
la
mention de Sippar
me parat suspecte. Il a d exister un Sippar-Amnanu, et un dieu Amnanu. Il y a eu des villes de ce nom en Elam, Dru-Amnani, Dru-Amnanima(^4.sM/"6., V, 45). Arrapha nomm plus haut dans notre
sans spcification, aprs qu'on vient de citer Sippar-Anumit,
texte est une ville voisine de l'Elam.
le
Pour
pays d'Amnanu,
cf.
Lehmann, Sama.ss,
Ift.
///;
76.
de rad, rid.
Kma
la libbi
5.
comme
Col. V.
11.
ma
dans
a certainement
sens de
pendant que
Col. VI.
ailleurs,
3.
les inscriptions
de cette poque.
28
INSCRIPTION DE NABONIDE
15.
Sakkannaku
'^*"*"|.
est crit
^/??7-GIR-SE-TAH-U au
lieu de
l'idogramme ordinaire
Amil-GIR
>-^y
se
lit
NITAH,
NITA
et
SE-TAH
NI-TAH, comme
je l'ai
23.
Le
sens de
KA-KA-a-su
VIL
1.
il
Et
seq.
Pour /<://6-6a^SAG-US
cf.
kakkabu SV-PA,
ibid., 1A7.
Le dernier signe de
la 2 ligne est
probablement pour
URU-
GAL. Cependant,
17.
est fait
comme nous
l'indiquons.
Suhriru
ligne 19
est
;
videmment de 5a/ira
tourner
ramma,
2.2.
n'a rien de
quadrilittre
Il
"Tint:^.
:
faudrait turimmi
peut-tre
JtJ
Col. VIII.
22.
3.
Mme
Mt Hana;sQ
l'ouest de
III. 1,
l'lam. Sur la
p. 134, note.
mme mot
317)
que Ki-sa
crit
KI-DI. Delitzsch
Bien
tort.
lit
toujours ce
dernier
58.
mot
X/(i
(HWB.,
dansNabon.-Ur,
III, 34.
Le deuxime signe
;
se rapproche de
^V^
^^ Guda Cyl. A,
9.
15; 18.
H t^^lj, comme
je le
montrerai
Col. IX.
7.
SIGISSE AMAR. Le
7,
dernier signe ne
R. 55,
fois
SIGISSE. La
Ici, le
deux signes
on a pu se tromper, dans R.
sens est
9.
le
nom
de
Marduk
{an)
Bel Kittu,
Seigneur du Droit
13.
est difficile de
le
le
sens
^^ 1^ qui signifie
aussi ese/a,
lier.
Entre
irbi,
31.
Le signe
du
cription
12, 10.
SAB dans SAB-ni [umma-ni) est fait diffremment dans cette inssigne UT CT^- ^^ ressemble entirement celui de Guda ^, Cyl. B, 9. 15;
l'origine,
il
Probablement
J^^^
et "^j
moderne^
SAB
Ku
ton pre, ta
mre
( Bel!),
Bel, Nab...;
ou
bien pour su
nommes
Nin(ki) et Is-tar
Larsa
et
Samas, Uru
et Sin.
III.
Col.
X.
16.
um
iml ukkipa
ALTJiGYPTISCIlE MAASSE
29
adannu
crtiillt,
die Zeit
war hcrbeigekommcn
intransitif
(d'aprs Del.,
HWB.,
19.
p. 58).
ici
un sens verbal,
le
pass
comme
aa-<ic6'.s's
de l'avenir. C'est
que
AN-TA
KI-TA, en
signe >
et
crivit^,
les
deux signes
37.
44.
Mulunm,
Malgr
la
ou
45.
51. Natiti,
pour
VK.
65.
I.
33. Bit
nmnunu, nasir
piriti ilni
rabti. Rac.
Col.
nriK.
Mot mot
les
XL 3.
De nouveau SIGISS
AMAR.
SAG-HAR.
le
Ici
toujours
38-39.
Se trouvent
II
les
sa transcrits sont
signe
SA,
GAR
ALTJEGYPTISCHE MAASSE
VON
Prof.
AUG. ElSENLOHR.
A. Hohlmaasse.
Seitdem ich zu Beginn des Jahres 1875^ auf Grund meiner Studien des mathema-
Rhind das System der altsegyptischen Hohlmaasse darzulegen mich bemht und dasselbe in eingehender Weise in meinem mathematischen Handbuch der alten ^gypter (siehe besonders S. 11, S. 204 ff.) begrndethabe, sind von verschiedenen
tischen Papyrus
J^T^T
"^
sa genannt
(N""
Verwendung
Weise zu
vonWich-
sionen der Fruchtspeicher genannt wird und sich daraus vermuthlich ein bestimmtes einfches Verhltniss zwischen altagyptischem l^ngenist ja
und Hohlmaass ableiten liess. Es und die gev^hnliche begrndete Annahme, dass zwischen Lngen- und Hohlmaass,
ja
zwischen diesen und Gewicht und selbst den Miinzen bei gebildeten Vlkern ein ein1.
^g.
Zeitschri/t, 1875, S. 40
ff..
mit Tafel.
30
ALT.EGYPTISCHE MAASSE
dem
franzsiscliem Meter-
und Gramrasystem
in seiner lichsten
u.
511)
Nach Hultsch (Griec/i. und rin. Mtrologie war ein 9 Chn haltendes Gefiiss gleich eineni
(griech.
Kspitji'.ov)
Amphora
Hero
dem
und
Rhind Papyrus
war
ein rmischer
Modius
(Scheffel,
= 87,29
ob
Liter.
Herr Oppert,
I,
p. 28; Orient.
Congress, ^u Berlin,
S. 247)
das babylonische Liingenmaass t^yyjt^ imnier noch von der Halbelle, welche er auf der
ist
es brigens
man
die Maassstabe
auf Statuen als genau der Wirklichkeit entsprechend zu denken hat), und nicht von der
ganzen Elle versteht, obwohl die Tafel von Senkereh sicher den Finger
als
^J ^J
ubn
I,
p. 248), das
Maass Epha
pologie, etc.,vom 16
wird baby-
in
307 der erst angefiihrten Abhandlung), dass die schwere Mine von ca. 984 gr. der
sei.
Lehmann's Versuch,
ten, scheint mir nicht gelungen. Fiir die iogyptischen Maasse kennt
dem babylonischen abzuleiman schon lange das Verhiiltniss des Hohlmaasses iiin zum Gewicht tenu = 10 kat. Das Hin Wasser wog wenigstens in ptolemascher Zeit 5 tenu, Der Gewichtsstein aus der Sammlung Harris
andern antiken Maasse, so auch das altagyptische, aus
von 5 kat
das Hin
gr.
also
Wasser
10 mal mehr
d.
i.
in Liter
0,452 bis
als
0,455
Litei'.
den
Cubus der kleinen Elle von 4, 5 dm., geben ihm Bestimmung ziemlich bereinstimmt.
Fruchtspoicher in Ellen gegeben sind, liesscn
das Verhaltniss von ciogyptischem Liingen-
Die genannten Beispiele des mathematischen Papyrus, in welchen die Maasse der
hoft'en fiir dise friihe Zeit (12.
Dynastie)
^g.
mehreren Bei-
43, 45
letzt
wenn
ALT/EGYPTISCHK MAASSE
31
das Fruchthaus fullenden Getrcidemaassezu finden, cinom solchcn Maasse dcn allerdiiigs
sehr betrachtlichen Raiim von 20 agyptisclicn Cubikcllcn oder 2894 Liter zuzuweiseii
B. in
N"\
44
10
10
10
= 1000 +
dem Producte aus don drci 500 = 1500 uiid die dem entspre(luinilich
Dimensionen aus den das Fruchthaus fullenden Maassen) erklarte ich mir durch die
schief ansteigenden Getreidebehlter,
in
nacli
Mahmud
p. 18)
Form.
niclit
unschwer
in
^gypter
{W
47, p. 114,
Zehntel und Hundertel zerlegt wird und weil das Hundertel desselben
Bescha, so kann
nach meiner Ansicht das in den Berechnungen der Fruchtspeicher gebrauchte Maass
kein anderes sein als das Maass von 100 Bescha
= 1000
Liter. Ich
war
desshalb genthigt mich nach einer anderen Erklarung des MissverhiUtnisses zwischen
dem cubischen Inhalt der Fruchthauser und der dafr berechneten Getreidemenge umzusehen und kam so auf die, wie ich selbst zugestehe, mangelhafte Auskunft, dass das
Getreide in Garben eingefhrt, aber nur
in
als
Krner berechnet
sci
um
207 meines
Handbuchs).
erste,
welcher eine bessere Lsung des Problems versuchte, war Paul Tannery
S., T.
in
XLI,
p. 151
ff.
Les
wahrscheinlich
die
entstellte
Aufgabe
An3
nahme
eines krperlichen Maasses zu lsen, welches auf das Quadrat einer Elle nur
In hnlicher
^
Weise
1929^''^ Liter
Damit
und
2
dem 100 Bescha Maasse entsprochen haben msste. Liter, welches dem segyptisclien jacpopEJi;,
in alter Zeit (siehe
ptolem. Artabe gleich kam, und ein Hinmaass von 1,929 Liter; wiewohl wir
mein Math.
Handb.
d. a.
^g.,
bestimmen mssen.
dem
wesen beschftigte
gypt.,
II,
(siehe bes.
ss., III,
5
129
ff.
u.
133
ff.;
MnzRevue
1882, p. 165
nimmt {Revue,
II,
p. 193) mit
mir an,
Wnden
des Fruclit-
hauses herrhrt, die Vermehrung mit 20, bezieh. die Theilung des cubischen Inhalts
durch 20 aber ein Maass von 20 Cubikellen bedeute, wie auch ich anfangs dachte. Diesem
grossen Fruchtmaass giebt er in seiner Tabelle
(/.
c,
p. 194)
32
ALT^GYPTISCHE MAASSE
mit
es also
X 320
= 32000
und
Ro
batte
und
eines von
Nun
gyptische grosse
0"^
525
144,7
nimmt
36,175 Liter, was mit der Bestimmung der a^gyptischen Artabe durch Hultsch {Mtrologie, S. 366)
bereinstimmt. Revillout
Nun
N"^
80-82 ganz
Beschamaass
^^
10 Hin
(Eisenlohr,
Math. Handb.,
\
S. 206, nach
timeter
= 0,014
setzt Revillout
dem
sondern
ber 6 Liter, wahrend allerdings bei Epiphanius ein heiliges Hin genannt wird, welches
dem a^gyptischen Be.scha zusammenfiel. Das fcgyptische O^.-"'^ ^P^ (Dmichen, Med. Abu Kal., Taf. II) batte 4 Bescha, also 40 Hin und ist von Revillout richtigeingereiht worden. Von den Maassen von 2, 4 und 5 Artaben, welche auf 72, 144,7 und
mit
180 Liter herauskmen, weiss aber der mathematischen Papyrus nichts.
scheint in
Wohl
aber
den spiiteren Tafeln des Med. Abu Kalenders ein Vierfaches des
ca.
Maass von
fasste.
-H-
geschricben
ist
Ganz andcrs
fasst
Accadcm.
di
Auch
Lngenmaass (der
(S. 427,
/.
Elle)
und Hin
davon aus
^^
,
diesem moggio
1818,4 Liter,
dem
lOOfachen des pt von 4 besa. Dises grosse Maass hat nach ihm
20 [egyptische Cubikellen, aber nicht der grossen, koniglichen von 0,525", sondern
der kleinen von 0,4.5. Der Cubus 20 kleiner
oder Liter, das zwanzigfache 1822,5 Liter, also wenig ber das von Bortolotti ange-
45 cm. berechnet. Die Cubikelle von 90,92 Liter ware das lOOOfache des' uten (an Wassergewicht) und somit eine einfache Verbindung zwischen a}gyptischem Liingenmaass, Hohlmaass und Gewicht hergestellt. Ich gestehe, dass mich dise sehr einleuchtende Auffassung von Bortolotti an fan gs ganz fur sich einnahm, so dass ich ihm
soo-ar
vorschlugnoch
5
Aveitcr zu
mit
nicht wie ich und offenbar auch er aus den nach oben geneigten
Wnden
der
ALT.EGYPTISCIIE MAASSE
33
Fruclitli;iuser,
in
kieinc abzuleitcn, da
= 343
voni
kl(Mn(^
,,faclien
des
Cnbus von G
324
sei,
annahemd
CnbikoUcn kanicn.
si^iiter i'allen
lasscn
und zwar
nur die
^s.
itn
von ^loeicrlei EUen die Rede. Bei dcr Bcrechnung der Pyraniiden
in 7
5G
50
:
u.
:
f.
ist
(1
^^"^
1
MM
an mnli cm op
1
:,
sefc'i
7.
es
lit
vervicltaltige die
Zalil 10
um
zu fnden
Denn
l
eine Elle
I l l
58
5^ mal
'
2 um zu linden die
denn
Handbreiten
i^g.
ZeitHchi'., 1884,
eine Anspielung auf eine andere Elle oder gar auf eine
ist
in frlior Zeit
von 6 Palmen gegeben, beweisen die vorhandencn alten Maassstiibe, von welclien die
Stein Elle in Florenz aus Mempliis und die Holz Elle zu Turin, letztere aus dcr Zeit des
18.
Dynastie
(cf.
I,
6, u.
Taf.
II, b)
EUen
enthielton.
Elle, die
wohl anfangs
ist
allein bestund,
da
scliwer zu
Woche
dem
hebraischen Volke
lasst eine
then, obwolil die Hebriieer eine Elle von 6 Handbreiten hatten; dass daneben auch eine
Elle von 7 Handbreiten bestund, zeigt Ezecli. 40, 5; 43, 13,
wo
Elle vermessen wird, die eine Handbreite melir batte, as die damais gebrauchliche Elle.
Sonst findet sich die Siebentheilung des Liingenmaasses nur bei der Klalter
Ellen), deren Siebentel
{= 4
grosse
sowohl
II
in Kleinasien, als in
Olympia
als
Fussmaass gebraucht
wurde
(Hnltsch, MetroL,
Aufl., S. 567,
Anm.
1,
und
1. Schon'fr das zweite Heft des 18S4 Jahrgangs der yEgijpt. Zeitschrlft batte ich au die Rdaction derselben eineii Arlikel eiugeschickt. in welchem ich den von Lepsius im ersten Hefte 1834 gegen meine Ueber die 6 palmige grosse Elle von 7 kleinen Palmen Lange in dem Aufassung gerichieten Aufsalz Mat/iematisc/icn Handbuche von Eisenlohr zu widerlegen suchte. Der Artikel v^nrde auch zum Druck gebracht, aber von dem damais schon schwer erkrankten und dadurch hchst reizbaren Lepsius belgenommen und von ihm mit einem Gegenariikel voiler unberechiigler Invective begleilet. so dass ich Lepsius, mit dem ich immer auf's Beste gesianden war und dessen hohft Verdiensto um unsere Wissenschaft ich voll
:
anerkannte, bitten musste, die beleidigenden Siellen aus seinem Artikel zu entfernen, worauf Lepsius, um iiicht, wie er mir schrieb, mit einer Disharmonie zu enden , beide Artikel zurckzog. Da aber, wie ich aus Brugsch, yEfjuptolorjie, S. 141 und S. 371 ersche, die Frage nach der Theilung der altrcgyptischen Elle noch nicht als entschieden betrachtet wird, so muss ich hier "wiederhoten, dass von einer Theilung der grossen Elle in 6 sop (Handbreiten) nirgends eine Spur vorhanden ist, dass es also nicht zweierlei sop gegeben hal, wie Lepsius annahm. Der maihematische Papyrus kennt oenbar nur die Elle von 7 sop. Ebenso ist ja die Elle am Nilomeler von Assuan, welche 53 cm. betrgt, nur in 7 Unterabtheilungen getheilt. Keine der noch vorhandencn segyptischen grossen Ellen zeigt eine Ablheilung in 6 Theile, sondern nur in 7 Handbreiten und 28 Finger. Was mit dem Ellen- und sop Maass auf der linken Unierseiie der Tnriner und der ehemaligen Harris Elle (siehe Lepsius, Altg. Elle, Taf. I. b; Taf. II, N" 5) gemeint ist, ist noch nicht erwiesen. Lepsius sah darin [lor.cit., S. 48) Bezeichnungcn der grossen und kleinen Elle mitihren Unterabtheilungen. Aber^. a und ^ bei den Strichen niemals erste und zweile Elle, sondern nur eine Elle, zwei Ellen ll kann ohne bedeuten. Ich dachte daran in dem unter 4 Fingern stehenden 1 Elle 4 .sop (24 16 40 Finger der
I
j^
ist
und
hnlichen Maassbezeichnungen auch auf der Festtafel von Palermo begegnen, wo keine Beziehung zum obeustehenden Texie zu erkenuen ist.
REcuicii., x^III.
Nouv.
siin., ii.
34
ALT^EGYPTISCHE MAASSE
Elle
ist
u t^yyy^
5 Flnger oder 6
Hande
Doppelhiinde)
pi.
getlicilt,
XV,
3) 6
in 2, 3, A, 5
und 6
noch weiter gehende Theilung des Fingers auch auf den tegyptiscben Ellen
I,
II)
antreffen.
von Sirpurla
al s
eine icirkUclie lialbe Elle, so msste die ganze Elle etwa 54 ctm.
und
32 Finger von 1,7 ctm. gebabt haben. Denn 16 Finger sind auf der lialben Elle eingezeicbnet und das Maass eines jeden
ist ca.
17
mm.
Abfassung des matliematisclien Pa-
pyrus (zur Hyksoszeit) oder gar des Originals ans der 12. Dynastie zweierlci Ellen in
so bleibt docli
y^ ^ /"
I
nicht
deutlich
N"^
o o o
400, wie Bortolotti meint, sondern nur 100 Bescliu fasste. Diess erkennt
man
aus der Umsetzung eines Tlieilcs dises Maasses in Bescba und Ro, wie solche in
5, vorgenommen wird. Wenii mir auch (siehe p. 106-109 des Math. Papyrus)
43,
die
Form
nicht moglich
war zu bcstimmen,
g
so
p.
ist
doch
105 die 5
in
geben
z= 22
5 ^
und
sg
von
das
ist j^.
Wenn
hier nicht
wre diess
war, ob er nicht mit eincm viermal so grossen Maasse zu rechnen batte, denn
^'on
400 Bescha
ist
=
ist,
{^
\ \
Fiir diejenigen,
icii
wiedei'hole
6l
dise Rechuuiig
-^
Bescha,
so
= Wi sind 2 Ro =
+ iT
T%
+
in
Bescha
^,"
\
= 1^1
1
Rest
^ oder J.
Da
Ro
Bescha
= 3^,
slij.
Rest
*^^^^*
^^o.
Und
so finden wir
dass,
Getreidemaass ^
I
'"'
..-i^
o o o
f
I
in
Ci
Zehntel, Zwnzigstel bis Hundertstel getheilt wird und in dieser Theilung die aus
dem
ganzen Papyrus und auch aus der Louvrerechnung bekannten Theilzeichen des Bescha
verwendet werden, wornach keinZweifel bestehen kann, dass dises grosse Maass das
100 Beschamaass war. In der Louvrerechnung (Pap. 3226) aus der Zeit Tutmes
V. Chr.)
III
(1500
4facli so grosses
-Ti-
Maass
im mathemawerden durch
Punkie ausgedrckt
tisches
oder
~z.
und entsprechen
den
,."^
Papyrus;
als
\>
^^
g, etc.,
so dass
sel
altj:gyptische maasse
35
selben ZeiduMi
-O-
(III i.)
des
aus der
V.o'xi
Kamses
(1200
v.
maasse
(1
/"
B. Z. 29.
.sind
hin taglich
=4
J,
j^.
pt jahrlich.
:,
= 182,5 gethoilt
-
= 40).
Hier
i,;
!>
ly.^
=*
^A,
ro im Matliematischen
ist, als g^^
Papyrus
aber hier
in
moinem Mathefol-
niatischcfi
Handbuch,
imn
in
Jj,
von welchem
es nicht
j:,
Dise Rcchnun-
mit Decimalbriichen
^,
;,^,
^y
Gedanken kam,
Hohl-
maasses
11
als
l^,
als
~ aufzufassen
und
(S. 12 der
b] als
Gctreidereduiung
,jj
in seinen Opferlisten
4, ^
j^
geltcn
liisst.
er
Da
nach Taf.
Ab-
theilungen des pt (40 hin Maasses) sind, so muss das .^ der spilteren Tafeln das pt
..-^
welches
-O-
geschrieben
ist,
^
ein
Maass von
dises
Wertes
zukam. Es ware
Bescha, im Med.
also das
ro
immer
Abu Kalender
des 3^, aber im Mathematischen Papyrus des 4 mal grsseren pt. Diess lasst vermuthcn, dass
statt hatte
und dass
Bortolotti
U /^rv)
2.
5^
^,
\^
g,
> ^,
\hi'
3.
^^^ gleichen
vielleicht
..t^
[Med. Abu,
Das
auch das
(|)
ist
(resp.
|j)
[Med. Abu,
bemerkenswerten Artikel
XIV
(1802), p. 403
ff.
Supplment, Vol.
XV
(1893), p. 301
festzustellen.
f.,
kommen. Im Anschluss
mehr
als
an die Betrachtungen von Tannery, Revillout und Bortolotti will ich aber zuerst von
seiner Auffassung der gyptischen Hohlniaasse handeln,
um
so
Hr. Griffith
Papyrus dise Maasse und das \'erhaltniss von a^gyptischen Langen- und Hohlmaass
aufoefunden zu haben.
36
ALT.^ZGYPTISCHE MAASSE
GriiRtli
dem
Pi'of.
frlier in
belndlich
Erman
edirt
Leider bat
u. s.
f.
den
Wert
Worte
scription geben, welcbe aucb durcb den zweitcn internationalen Orientalistencongress zu London angenommen worden ist. Auf Befebl des Sonnengottes Ra {Pap. Westcar IX,
24
ff.)
war
dem
Gotte
Chnum
Isis
die
Wunder
Diadme
sie
in die
dem Hause
des Rauser
sagend
Kammer
liegen lassen.
Nacbdem
sicli
Ordnung
Es wird
Haus mit
sei
(rDoV
liinnu'), die
man
nicbt
gebracbt babe. Darauf fragt Ret-tct, warum man keine T()pfe gebracbt babe. Die Die& "^"^ ^"^5^ smcny-da, was nerin erwiedert T d"^ iieferpu, es ist gut, [1 ^_^| beisstals vollstandig moglicberweise so viel und was konnte Erman nicbt bersetzen
:
"
I
fort
ausser die Gerste jener Tiinzeriimcn (der fliegenden Gttinnen), welcbe sicb in der
Kammer
scbickt
r
an
t) unter
ibrem Vcrscbluss (^
Ret-tet
nun
die Dienerin ab
um
aus
Es bat
ja
/i//t/m Gefiissen
in Aussiciit gestellt.
Kammer und
ibre Scblfe
bort darin Kreiscben nnd Musiciren. Das meldet sie der Ret-tet, die sofort selbst
kommt und
an Af^^vx
die Stelle sucbt, von der das Geruscb ausgieng. Sie legt
nun
'^ V\
4).
dem
sicii
die
es
Kammer,
"^
AAAAAA
C^
_2I
III
hintiu'
mit
5 gescbrieben)
be-
fanden.
Das Wort
welciies
bestimmtes Maass, wie Scbefel bezeichnct, obwobl das Deutbild Maassen ziikmmt,
wie
in "^^^-n- hotcp
z.
(Dumicben, Kal.
I/ischr.,
XXVI,
34, 35;
XXVII,
in
^"^^
15), in
h
tenat
a. 72, 2,
stebt datr
Sack) und
stcbend
liufig
Dumicben, Kal.
aucb
N""
XXIV,
a, 12, b, 15,
und
in
den Be-
41-47, so
41, 3; 43, 3;
ist
bier
^, was auf einen von Tbieren berriibrenden batte dises Wort, welcbes stets in Verbindung
ALT/EGYPTISCHE MAASSE
37
mit
vorkommt, an
'^'\\
yftt
dor MciK^phtali
nnd
Iliindc
^\
'/f^t'u
geschi-icben vorkonimt
Icdoi'nc
Koibo bedcutet.
nun
in
XIV
p.
Getroid(;maass, und lindot dcsscn Inlialt W(\gon des Zuschhiges der Ilalftc zu don be-
rechneten Cubikellen
gloicli
den
.rgyptisclien
l
derselben
= 9G,G
Liter.
Er
Icitct
also,wie .schon
Tannery
(sielie
oben)
tliat,
Fruclitliauses ab. sondetn von der Grosse des :Maasses, fur das er den
Namen
y/wii aufin
fand und dessen 20faclies. also 1932 Liter das grosse Getreidemaass warc, welclics
Verwcndung
kaine.
Er bezeichnet
dises
Maass
Maass
r
I I
1
besa bezeiclmete 100 quadruple he/d, indem er das von mir mit j T^Ti 10 Hin he/d nennt. Dass der Name he/d aber nicht deni 10 Hinmaass, sondern
dem lOOfachen
1
desselben zukam, lehrt N"" 43, Z. 5, und N'' 44, Z. 3, wo das sonst nur 5 '^^ escliriebene Maass ^^^^^^^^l^f""^ o-esdirieben ist. Den Namen
loool^
JS^l
"
aucli
Bulak Papyrus
:
o N^b,
XXIX,
:
als
Name
sorghum
wo
^
es
ist
maclie du den 1
Krug
nun Bescha
g.
Dcm
Zeichen /=r:
kein anderes
Wort
es nicht
71 den
Namen
Lesung AeAi^gefundenhaben. In
/le/d
ccl
68 des
in N*" 47, 3,
1^5=0 o o o
Y
I
cE^R
Aber
Hin
in
fas-
===^5
sende Maass
/le/it
hiess, ist
noch nich
Viel wichtiger
Errterung
ist
Griffith will,
dem
grossen Maass der Fruchtspeicher nicht das Maass von 100 Bescha 10 Hin, sondern
das von 400 Bescha oder 100 vierfacher Bescha fnden.
Er unterscheidet
Elle ausgieng
und
als
tischen
EUen
|
1818,4 Liter annahm, wiihrend Hr. Griffith das 20fache seines yaru
Maasses (zu
EUen
opt
genannte Maass sein musse. Ich habe dagegen schon bei Besprechung der Anschauung
in N'"
Als zweiten Beweisgrund habe ich geltend gemacht, dass in der unmittelbar auf die
N'"
38
ALT/EGYPTISCHE MAASSE
in sein Zelintel,
Zwanzigstel,
etc.,
Nachdruck auf
dem Getreidemaass
auch Dumiclicn
^JIU-
Er
will ini
Y)
|
Hekt
XIV,
S. 428) finden,
den Med.
Abu
Recli-
hervor, dass zu
Tutmes
HT
Maass
als
war und
(1
die
.^
Dumichen
-Cv
hotep)
Wir
wnndern
gegebenen Fruchthauser scheinen ein Maass zu fordern, welches nicht das 100, sondern
das 400fache des Bescha (oder hekt) Maasses war, also das lOOfache des pt von 40 Hin.
Und doch
ist
diess direkt
genthcil nur das lohhnaass von 100 Bescha zu kennen scheint. Eine leise
Andeutung
des Vorhandenseins eines solchen Maasses findet sich aber vielleicht gerade im Texte des oben besprochenen
fallender
N"^
43,
statt
des Bruches
^ in auf-
gesetzt
ist.
100 Bescha hat und dises Fruchtmaass genau so geschrieben wird auch mit Zacken
^,
wie das
Wenn
digend ausgefallen, so
um
Langen- und
FUichenmaasse
eine
V()llin:e
in
den
zeitlich
Die Opfertafel von Palermo und die Graber bei den Pyramiden aus der
(ca. 3.500 v.
4.
und
Dynastie
2) 3)
Chr.)
2200
V.
Chr.);
v.
Chr.);
v.
IJI,
1320
Chr.);
1. Die Urschrift, auf Leder geschrieben, wie solches in der 12. Dynastie geb'ruchlich, wolil zusammeu mit der Copie gefunden, harrt uocli ilirer EntroUung, welche ich schon vor 17 Jahrea den Beamten des British Musums empfahl, entweder durch Aufbewahreu in feuciitera Keller und EinhUen in nasse Tcher oder durca Trnken mit absolutem Alkohol.
ALIVEGYPTISCIIK MAASSE
39
G)
7)
W,
v.
DeiiKniolcr,
III, 22\);
UCA)
v. Clir.);
Die griechisch-dcmotiscliou Crkuiulon /u Turin (d. A. Poyron) ans dcr /fit des
II (ca.
117
Chr.):
Die Sclienkungsurkunde von Edlu und andere Etllutexte ans der Zeil PloleI
mseus XI Alexander
(ca.
100
v. Chr.).
lier
5:3.")
(Lepsius)
(Malmuid-Bey)
l'assle
und
y.uerst in 7
aus der 12. Dynastie stammt. Die noch cthaltcnen alten Maassstabe des
(18.
Amon-em-apt
{r^
mm.
knigliche Elle (1
fl
fiuteii niait)
:
fl
'^^)
\'<^'i
sicli
also
wie G
Elle in alter Zeit aucli in G sop getheilt war, haben wir schon obcn widerlegt.
Welche
von beiden EUen die ursprngliche war, die knigliche von 525
450
mm.
mm.
ist
{^-Erj.
den Pyramiden
und den mit denselben gleichzeitigen Grilbern zu Gize und Sac|qara (Lepsius, Alta>g.
Elle, S. 5
ff.).
Wir
ist
haben
525
mm.
Die Elle
Hauspltze. Schon
Amadeo Peyron
Musei
dem
Young Hieroglyphics
34, 35,
verfentlichten Papyris
Grey A, B, C
p. 64,
XXXIII
und
Grey A, und
p. 74,
Grey C)
maass fur Hauspltze erkannt, wovon das eine das hundei'tfache des andern war. Das
grossere Maass wird im griechischen Texte (Peyron, Pap.
I, p. 5,
Z. 9)
rj.yyc. olv.oT.zcn/Jjz
auch
Ti?;/'-;
allein
III) ist
y>/^
XIV,
\'2--
'
daskleinere //^ CP
n/
,,_i]
ma
^^
Elle
genommen, es ist vermuthlich aus ^7 und ,^n geschrieben wird. Daniit ist im
grsseren Maasse ten, was auch anderswo in der Bedeutung Bode/i vorkommt, ver-
tliun mit
yet,
auch
"^^^^ f^-~^ Q
ye en neiinuh enanut,
welches das in der Feldmessung gebrauchliche Maass war und dessen Lange von
100 EUen zw^ar lngst vermuthet, aber erst vor kurzem
[^g.
Zeitsch.,
XXXII,
S. 64)
von V. Loret aus der Rechnung eines Turiner Papyrus nachgewiesen wurde. Schon
I,
p. 135;
Pap. di Zoide,
p. 37) hat
pa
als Quadratelle,
betrachtet. Die
Congrs
40
ALTyEGYPTISCHE MAASSE
nennuh
das
ye
o(\.q,v
ye en
Da
dises
so
kommt
ib. I, 18,
II,
19;
grossen pcgyptischen
Die Scbenkungen an den Edfuer Tcmpel 13.209 sata belaufen sich damit auf ^^ bis an die Aleereskaste 416 Hectare. Der <>-anze Besitz des Horus von Elepbantine ^ ^ (as
CXVI
j^
= Brugscb,
cz^:^
Thsaurus, S. 004 zu
x:3>-pi
(j
1
_cc^
v^ A o
12700
III
zum
8.
foigenden
XXXII,
werden
Hectare
3;
LI, b,
1;
LXII,
a, 8;
III
LXVII,
An
Stella
die Sclienkungen
Ramses
als
gerecbnet
die
fast
300,000
Scbenkungen an
kommen.
Diess ware etwa der neunte Tlieil der ganzen jetzt bebaubaren Fliicbe von
p. 4).
ist
darum
vielleiclit
dem
Palernio-
stein B, Col. 2
vorkmmt.
der illtesten Texte. Zunaclist
A))er nocli ein grosseres Feldmass, das Zelinfacbe der Arura, oder Sata, ergab sich
aus
wurde Maspero in seiner klassisclien Arbeit iiber das Grab des Amten [Jo urna l Asiat., 1890, und tudes gypt., II, p. 22>) n fur auf ein icgyptiscbcs Wort ^^ ra^^^ aufmerksam, in welchem er ei Ma ss
dem Studium
fi
/a
to
p.
75
ff.)
dem Studium
dem
aUerdings
ist.
Es werden mimlich
PI. 8, Z.
verstan-
dcnen Inscbrift
(Grifth, Sait,
313
dem
Oborprioster 4 Feldmaasse,
(
dem
nemu
^)
2.
je
2 Feldmaasse als
ist
Belobiiunii'
Summe
(=]
,
dieser Felder
'^
"^
2 CD und
8 [^
=T
1
4 H- 2
+ 10
2 sata. Damit
sicb in
den von
Da
das Zeicben T
ya
100 eines
kleineren Maasses
Maass
ist
Hay
Im Grabe des Amten wird [Denk., II, 7 b) ein Haus bescbrieben von 200 Ellen Lnii-e und 200 Ellen Breite. Dazu ucbort vermutblicli die nacb Tafel VI verirrte Stelle =^ = 4 ^-^-^ oder 200. 200 D Ellen.
Ilil
ALT/EGYPTISCHE iMAASSE
41
Intressant
ist aiich
dem
Ronge
(p.
in seinen
Recherches sur
les
monuments des
hahediesen
de Manthon
lit. Icli
Stein 1885 auf meiner Riickkehr ans yEgypten 1885 {yE(j. Zeitschr., 1885, S. 58 sielie
ITr.
verscliafft.
horizontalcn
Columnen
Nur
in
der untersten dieser G Columnen wird zweimal der Knig Snef rn erwhnt,
Stifter,
aber nicht
als
gekronten Knigsrbilder im Norden und Siden. Die andere Seite (B) dagegen enthalt
in
5.
des Aseskaf
(Setiliste
N'
25),
Scdiara (Col.
III),
Raneferka
nach
(nach Sakkaraliste Nachfolger von Sahura, nach der Setiliste liegt Menkauradazwischen)
und
M ^1
|
hiess,
Wiedemann (am
was
in der 2.
Columne zu
f^^p^l
An
geschriebcn
ist,
sind fur
dem gemss
von
kommcn
les
die Stiftungen
I
fiir
die Geister
Obelisk Usertasen
ches sur
monuments des
Manthon,
Ra,
fur
|o Pa-mat-cher (Brugsch,
Dict. hier.,
Sokaris, die Subent, die Uat', die Gotter des koniglichen Hauses.
D Opferkuchen
u. dgl.,
tgliche Opfer
an Stieren und Gnsen, dann aber auch Feldstiicke. Als Ueberschrift derselben dient Jj^- ganz dieselbe Bezeichnung vvie wir sie auch im Grabe des Amtcn "^K
I
{Blatt
VI
u. VII) finden,
dann
zwar
darunter steht nun fur die verschiedenen Gotter einmal 36, 2 i=]. Nur bei der erstenZahl 36 sind auch Unterabtheilungen und
^(^)'
^^"^^'
LLL
- ^^'^
Ausnahme
10).
Unterabtheilungen fur
^ ' s- '
aber, wie oben erwiihnt, als Flchenmaass sowohl in der Aufzhlung der Besitzthumer
II,
Taf. 50 a; de Roug,
'c//bz<,
116; Brugsch,
auch
in
Wie nun
.^^^
Lepsius, Elle), so
(nicht
hier
,^=-n
die Arura und jm- wie bei der Elle identisch nehmen. Da
\)
desselben, nmlich
n -^^ odcr
als
Quadrat
yct oder
Arura
verstanden haben und eines von beiden jedenfalls demselben nicht gleich sein kann.
RECuiai-, xviii.
Nouv.
siin., ii.
42
ALT.EGYPTISCHE MAASSE
Ein ganz besonderes Licht wirft die Auffndungdes Flachenmasses
ya and seiner
Unlerabtlieiluiig sata = n
(N'"
^-=^-^
49-55 meiiier Ausgalje). In den Beispielen 49, 51, 52, wh'd folgender Maassen ver:
faliren
N''
^^-^^^(/t')
auf 2
10.
(soll
wohl
lieissen 1) vo-t^
werden
die 10
^^^^^
zunaclist in
(1
EUen verwandelt
d.
i.
100=
piicirt 10
D Ellen
fasst das
um
Flacliengrundmaass zu brinist,
benamt
bei
Urkunden den Namcn mel.i ten tt-^/u oV/M-tov/Jj:; fiihrt. In gleicher Weise wird der Berechnung des rechteckigen (?gleichschenkeligen) Dreiecks in N'"51 verfahren,
{nierit)
10 ^^^^
lit.
Grundlinie werden
hall)irt =:
verwandelt
= 1000 Ellen und mit 2 multipliziit,anstatt wie oben mit 200 und dann wieder
Das Kcsultat
ist
2000, namlich
aten. Statt
dises 2000 maclit der \'crl'ass('r aixM' iiur zwei lano;e Striche
1000
meh
wird aber
in
d(.'n
alten
Siulgrab) T geschrieben. In
und
\\m\
mit der
/alil 20,
dem
Aus-
Summe
verwandelt
100=
= 500;
die 20 ye der
niei-it
eben
lalls in
2000 Ellen umgewandelt und mit 5 (1+4) 2000 multiplizirt. Das Product sind 10,000
namlich m(>h aten von 100 G Ellen oder 10 (im Texte steht falschlich 20) grosser Feldmaasse, die in Amten,
etc.,
^^ Q
~I
"'^"^^
''^
=c=3 (Amten,
etc.)
a, 1
X,
<,
Auch
BcreclunuKj der
Artikel von Hr. Kevillout {Note sur Vqiierre rjyptieiiiie et son emploi d'aprs le
Papyrus
II,
1882, p. 304
ss.).
pir-em-us von der Kante der Pyramide (siehe S. 138 meines Handbuchs), die uya
von der Diagonale der Grundflache verstanden und die Nothwendigkeit dieser An-
schauung dargelegt
llvxiWout pir-e/it-us von der aus der Spitze der Pyraalso der
Hohc der Pyramide und die uya tebt verstanden haben. Die gleiche Anschauung vertrat, sogar mit
Wiederabdruck dereinzelnen Beispieleausmeinem matlicmatischen Handbuch, llJahre spiiter Hr. Ludwig Borchardt in der ^E(jijplischen ZeitschriJ't, 1893, S. 9 t., indem er
sich nur statt der vermmi'tigeii iriihereii, auf
fest-
ALT/EGYPTISCHE MAASSE
43
gcstcUten Trnnsscriplion
Transscriptioii bediente
(Um" uii,Li'('li(Mi(Mii('li(Mi
iiiid
uiid
uiil<^sl):ir(Mi
voii
Krmnn
(M-ruiulciKMi
.irai).
\\'oi((M'
wic
BcsUmi
Dor
Dia-
golteiid gemaclit
lialbo
Augen springende charai<;teristisohe Linio ist aber die Kantc /)//''n '(s als (Irundlliicho em-us, die wohi der Pyramide auch den Namengegebon liai. morkw irdig, wenn Marc^ sohr Iliiilergrund und sprachlichon os keinen auf/Aifassen bat
Pyramide
in die
in
dem
Beispiel
N'"
60
dem
(Il
/i
nungen kai en
harii (obre
wie wir
aile einverstanden, in
A^erluillniss der
den
recliten
beispielen
wollte.
Winkel umsohliessenden Seiten der Boschung, icli in den Pyramidonvon dem Verhaltniss der Hypotnuse zur untcren Kathete verstehen
Ursprung der ebenen Trigonomtrie sehen. Die Hereinen
Im
der
17 von
ist
weichend.
56 erhalten wir
7"
54 14' 47".
'
N>'57u. 58
N>-59
51 16' 40"
51 16' 40
53 56
7'
47".
18' 35".
Doch stimmen
die frheren
Werte, namentlich
Handbuchs
zeigt.
C.
Zur
Bestiinmunrj des
Wegmasses tur
[1
^(
oder ur
(1
f a.
eigentlich ein
//,:
Das Wegmaass
Herodot
tur,
'^vwva AAAAAA
dem
griechischen
t/o~mo-
(Strick,
als
Seil),
29) den
Weg
12 Schoinien auf
sich
dem
Wasser betragend
bezeichnet, welche
n.
Benennung
Aoo/.j/otvo
Chr. fndet.
Dem
entsprechend wird
Isis
hierogly-
Takompso ^^^
rv/^^
zu 12
[]
ar
suclien haben. Von Assuan bis Takompso beim Dorfe Maharaka oder bei Maharaka sind ungefhr 135 Km., bis Dakke 123 2- Diess gbe fur das r (dxoTvo?) 11^
Dakke zu
resp. 10,3
Hultsch {Mtrologie,
p. 39)
den
d/oTvo;
(l)ei
Km.
Nil
Nach Artemidoros
waren (Hultsch,
Strabo,
XVII,
am
c, S. 58,
Anm.
3),
von
60, 40
44
ALTJiGYPTISCHE MAASSE
und
Nelimen wir mit
Aber auch
die
feststelicnd.
1 f.)
kommen
auf den
Km. Herodot
Km.
dcm
V,
Dodekaschoinos bereinstinimt.
die
Fortfi.,
angefhrten Stellen ber die Breite eines Schlacbtfeldes beim Orte Hut-atech
Abu
(\vo?
und die aus Todtenbac/t (Cp. 110), wie aus dem Buch Le licre de ce qu'il y a. dans l'Hads, p. 51), wo in der
!)
ein
Maasses.
TJies., p.
604
ff.)
entbalt Z. 8-10
atur, die
Baw\\ y
..::2>I
Es
A T
]
o
(d\
betrefend
sein
^gvpten
das Horusauge
in
^T
\oj
r\
1
(1
Hbe (Lange)
Abydos
in seiner
Ausdehnung
^esscMi^ntuick
^P^P^-=|5.&"tn^(1^0ff
p.
y\
Vseine Breite im
aur.
bis
zuni ostHclien 14
100,270 sata.
Summa
(nacb Brugsch,
ei(j.
Tiefe)
^^
Fichenbestimmung
ist)
von 100 Ellen. Also {/Tm aur = \/ m-m oder 38,523 ur = -Jgg, = 8,22 /e oder 822 Ellen. Da aber eine Elle = 0'"525, so sind dise 822 Ellen = 431'" 5, wenigerals^kilometer.
--^--^ z.c
aur
nls
nscbrift von
Musum, wo
Q
5 heisst
MU ^\
/w^v^
'^
f)
"i^^
^J^T
[](|
0^
^
von lani
"^ Q
=^
-.^ifc
macbt
Ein wertlivoUes Mittel zur genaueren Bestimmung des atur schienen die Stelen von
Amarna liefern zu knnen. Dieselben wnrden zuerst bekannt durch Prisse, welcher Monuments de Vgijptc, PI. XII. XIII, Xl\', drei derselben veroffentlicbte, davon ist eine PI. XII bci Tel Amarna selbst die mittlere der Ostseite (H bei Grilbth,
Tel
in seinen
XXXIV),
die
[Tombeaux et Stles-limites de Hagi-Quandl, Recueil XV, p. 36 IT.) Angabe im stlichen Tlial von Hagi-Quandil, die dritte aber PI. XIV auf dcm wesllicben Ufcr von Tne el-Gebel (Tanis superior) bedeutend unterbalb von Tel Amaina etwa in der Hobe von Berscbe. ^clion Lepsius bat auf seiner
de Travaux,
1.
Die Phoiograpliie in
c!e
Houg-13an\ille,
Album
AIT/EGYPTISCHE MAASSE
45
Al)tli.
PI.
();})
aul' d(M'
SiUlseite der
Ebene
\
IndemW'di.welches
St.
Weg
XV,
S. 51
f.,
mit Photographie
durch
(lic>
von Prisse edierten zwei andein Stelen von Aniarna, Prisse XII
= Ptrie U,
XIV
(/.
Ptrie A, erganzt und idxMsetzt hat. Bei siniterer Nachforausser deii beiden von
c,
p. 00)
ihm pubiieirten
gcgen den
Lepsius verzeichnet sind. In der ostlich von der alten Stadt und sudlich der nrdlichen
Felsengraber bei Tel
Amarna gelcgencn
(U
O hib)
Auf
deni linkcn
XIV, ])ubliciertc wiederauffandund deren Schlusstextgab (/. c, S. Gl),welclier sich demText der andcrn Stelen anschliesst. In neuester Zeit hat Flinders Ptrie das Gebiet durchforscht und nach seinen Angaben
ohne
Stle,
wahrend
er bei
Tnedie von
GrilTith ini
Maiheft
behandelt mit Beigabe eines kleiiien Planes der Unigegend von Tel Amarna, auf welchem
9 Stelen des Ostufers (A-I) verzeichnet sind. Einen noch genaueren Plan mit siimmtlichen Stelen beider Ufer
lieferte
Ptrie selbst in
ist
XXXIV.
Fiir die
c, S. 56) gesagt
ist
v\
"^
I
A5\
TV
.11.
l
/SAAAAA "^""^^
"V
ri
/'~\ "^
\.V\
fl
\^
'^~^^
'-^^^
6, /.et 1
-|-
150
-{-
25
-j-
= 179 Ellen.
Die gleiche Entfernung wird zwischen der Nord- und Siidstele auf dera westlichen
aucli
nommen,
so dass das
jede Seite 6 atru 179 Ellen betrug. In der aus obiger Stelle abgeleiteten Grosse des Atur
Griffith
annimmt, dass das beschriebene Gebiet des Chuenaten sich von Tne
lichen Stelen von Hagi-Quandll erstreckt habe,
die verhaUnissmassig kurze Strecke von Stcle
wahrend
I
Griffith
und Ptrie
(i)ei
es
bis Stle
A und E
Griffith) ans-
Wort
Unrecht vom
N'il
auf das
Maass
yet
bezogen und so
ist,
fiir
dises
''^. dessen
von 3200
Wertals 100
seg.
a>g.
Ellen also 52
,^
mcter bekannt
Griffitli,
den ungelieueren
Wert
E
Nord- und
(bei Ptrie
und A
rcsp.
46
zwischen
iind
erhlt fur
dis
was
etwa 20 Kilometer
fast
Wegen
:
Wcrte
weichen aber
von einander ab
nacii
dem
bis
Km.,
dass
man
162
vor der
Hand
nicht behaupten darf die Grosse des aturmaasses bestimmt zu haben. Diess zeigt
X\^
p.
ss.
INSGRlPTlOiNS INDITES
DE LA
XXII"^
DYNASTIE
PA 11
G. D.\RESSY
J'ai
commenc un
travail
d'ensemble sur
la
la
publication, qui sera retarde peut-tre encore longtemps, je livre au public savant
Groupe en granit noir tachet de blanc, appartenant au Muse de Gizh; hauUn homme
et
teur, 0 39.
mme
banc.
L'homme
porte la tresse du satn, et sur son paule est grave une image de Ptah.
Ces statues s'appuient contre un dossier au revers duquel l'inscription suivante est
tracee en lignes verticales
:
\i\\
8M)^^[^-1,
fn.I
I
1\
W
''(/y/M^^,
'
^
I
Q
li
^^
AAAAftA
IIIIIHII
lllilllll
AAAAAA H^
.i^wj%m-m'
au Aa en
flo-
la tte,
portes
du
ciel
pousse a prospr au
sommet du
1.
Sanctuaire inconnu.
'
dans
la
de Ptali, Shcd-su-Xcfci'-tuin
dit
:
\rai
de voix,
(ils
du
u--/Ji('/-/)-ii/j
Anhli-f-n-St'lxhct
Il
La beaut de Maut
(|ui
a pris sa
fille
et voici
que
brille
en elle
la
matresse de i>rce,
la
palme d'amour
de Maut,
et
a franchi le
mal
(?), la
de Ptah,
j)roi)h(;lesse
clu^f
;
du grand
des
Ma
de
la
lils
grand(? recluse en chef de Ptah, pioplu''t(;sse de Maut, royal du niaiti'C des deux
teri'(s,
Me/i-useh/i
[sa lillej,
la
unie au
est la
grande recluse
en chef de Plah.
Sur
les
:
famille de Ched-su-nefer-tum.
Ce
sont
1",
un
homme
debout, ayait
'
la tresse
du
sain et la
!
grand bton
prsents de
et le cC^-; c'est
])lus petite
Vvi
le
MilMl
prcicdent,
dimension que
vtus seulement de
shenti
_*l ^
I
AAAAAA
"M,:..
lA
W///////y
n
.)
=>
~/\
:
Sur
Il
le
ct oppos
du sige
un
:
homme
|M
"^"^^
AAAAA.\
C^ /\ L\ iZ
Il
^""^^
I
tl
[T^
^r
(?);
une femme
<^
A/vv\^^ >-=*
=^
I
/^
U
_,
^<F?
AAAftAA Ll Vj
Ni
Ci
-CENS' Jj
aaaaaa
rKw
L'intrt de ce
le
monument rside
P'"
il
grand prtre de
les
Memphis, dont
est
il
mentionn sur
la
la
XXIP
<:=>
III
_^iii
c*=<!^
mm
fait
"
.1"i|
Malheureusement
la
1. 2. 3.
4.
p. 37.
Thsaurus,
t.
IV, p. 811.
48
j'ai
traduit, ainsi
que
je l'ai fait,
Un
usekh. Elle est mise en rapport avec un individu qualifi ffi|li|^!- J'^i traduit grand chef des Ma , titre bien connu de cette poque. Mais un des chefs des Ma de
cette priode,
Chechanq,
l'aeul
du fondateur de
la
XXIP
le
Mehit-n-usekht, selon
par
Srapum'
IMIM
"^
Je crois que
la
^"^
^^^
la
Mehit-n-usekht,
aux diffrences de
de Mehit-n-usekht, serait
femme du
et qui
lui
le
nom
'^
de
la
mre de Chechanq
pas
au prince royal
X^Hl
il
>-^.
a succd
l'hritier
comme
du
du
roi n'est
c'ait t
nomm
le
ce n'est pas
trne, Osorkon;
Aupot,
grand prtre
aurait donc t
un troisime
fils
Le
fils
le
comme
on dresse
le
tableau suivant
Chechanq
Mehit-n-usekht
Tent-si'kh
V""
Ankh-f-n-sekhet
Ta-chap-n-ast
Nemrot
Ched-su-nefer-tum
Roi Chechanq
Osorkon
T'
est
Aupot
s'il
Tent-sepeh
une grande lumire sur
des
les origines
Cet arrangement,
reconnu
juste, jetterait
de
la
XXIP
dynastie.
Il
les chefs
:
Ma
se sont
empars du trne,
les pontifes
sacerdoce de
Memphis
si les
rois
de Tanis et
1.
2.
3.
II.
pi.
XXXI.
49
le
i)Oiivuir lu famille
moral qu'ont
tout au
memphitcs
ces personna<jfes dj
matres de l'arme ou
moins des
les
degrs
Ptah adonnera
:
nom du
Rois.
Chechanq
I
CllKD-SU-NKFKR-TUM
I
OSORKON
I
T''
Chechanq
I
TlKLAT
I
I''-
OsORKON
I
OsORKON
I
II
TlKLAT
I
Chechanq
II.
II
OsORKON
d'I/isc/'ipti'ons copies
en Egypte^ un
la
II
Ce bloc
se rattache
videmment
le roi
le
monument
et le
reprsentait
Osorkon
INI.
seulement usurp
Il
la
statue
c'est
une erreur,
les
monument doit bien lui tre attribu. uvres de la XXII dynastie, et les muses
la la
XXVP
dynastie.
La prtendue renaissance
la transition
monuments de
poque pharaonique'.
L'inscription de la tablette, incomplte de tous cts, n'a pas attir l'attention, et je
crois qu'aucun gyptologue n'en a essaye
la partie
le
subsistante du texte,
il
n'existe
verra
1. 2.
3.
T.
I,
pi.
LXXl.
Ptrie, Tanis. pi. VI, n 41, et pi. XIV, n 3. Cf. PiKiiL, Pi-ocuccUngs de la Socit d'Archologie Biblique, juin 1S88.
HIXUKII,, XVIII.
NOUV.
Slin., II.
50
qmmm^II pu
12
(2
11
(?)
'm
III
j\
'^mw:m'\m\w:i^:^::?XMm A
On ne
l'tat
relatif des
arrangements de famille du
Osorkon IL
Le Pharaon parle un
tre
dieu, probablement
Amon; en mme
cpii
:
une sorte de
rescrit adress
un personnage
faute de ce
renseignement,
(L. 2)
la ti-aduction est
...
On me
du
ciel et
de la corruption
me
de
la terre.
Il
m'a
(?)
sauv [en
les livrant]
il
a t diligent se consacrer
Amon-pa-r.
Isis.
J'ai t
heureux en
pr(''i)aiant
mes descendants,
de mes chairs,
[pour tre grands rois] d'Kgy|)ie, [)iinces, premiers prophtes d'Amon-R, roi des dieux,
roi
du Sud
et
fils
du Nord, que ma
du
Soleil, l'aim
les
a excits en faveur du
d'Amon,
lils
de Bast. Osorkon,
tabli
et les a
(?)].
Tu as
le
les [fonctions]
que je leur
ai
donnes, et ne
s'est
pas
rvolt
cur d'un
Pour Karomm,
en
ils
aud.
.si
Aussi,
le
grand purificateur,
Et
il
il
les [a tablis
les
de
la terre;
il
l'active,
mon chemin
Aucun
texte
(ils
connu
jusqu'ici ne
mentionne
l'on
le
personnage revtu de
la
haute mission
d'ducateur des
d'Osorkon IL Si
roi
de remerciement du
une
divinitc;,
on s'exi)lique dillicilement
les
changements de
Karom ou Karomm,
lecture de ce
nom,
oll'rent
de nombreuses variantes de
lit
son cartouche se
frquem-
ment
Bubastis.
"^
^Bu
^
.
sur lesquels
les nls
le
ne connais pas de
-
peuples dont
nom
J
INSCRIPTIONS INEDITES DE LA XXII" DYNASTIE
51
Les li<^nes8
taires
et 9
du
la
t(\\to
de l'tat sous
XXII'' dyiiaslio.
^^^ Y
c'tait
K
pourtant un
(ils
de Karomm, nonnnc
TJ
III.
et d'ailleurs
^=^=*^
EL qvii
Sur
les dalles
formant
la
terrasse
en
souvenir de leur passage. Sur une do ces dalles, Lepsius avait relev une inscri[)tion
qu'il a publie
dans
les
De/iLmalc/--.
En examinant
j'ai
de prs
reconnu que
l'inscription se
se joignent
pu
lire
en
A. Texte de droite
'=^
im
III
^
O
AAAAAA
AAAA/V\
fl'^r^
lacune
mil
^^:i!
Il
V AAA/vV\
A<
u]'
est regrettable
que
les
le
texte
empchent de
nom.
^
B. Texte de o-auche
lin
III
5
O,,
rjr;
o
^
I
/VWVVA
O d
<^
mm(^\
r\
rf-V,
I I I
ra
AAAAAA
r-v
Ci
A/WW\
AAAA/V\
C^%
AA/vw\
^^^^/\A A^^^/\A
t>
J\
1. 2.
p. 156.
o.
Une
stle sate
de Gizh contient
le
nom
\f\
^r-
52
o o o
AftA/W\
VAA^
VJ
1^1
I
AVVA\
AAAAftA I VJ
II
/'
AAAAAA AAAAAA T
_/_I
^
T
AAA/VV\
AAAAAA
T N
AA^VVM
A/^VW\
tll
AAAAM
kj
C)
AAAAAA
\X
Jl^^J^rilD^l^l"- L
brasqnemont.
le
tte d'cpervier, et
^
Ci
r~vr-i
AA/WV\
J:
11
Cette longue
liste
effet celui
de Tiklat
le
I""",
dont on n'a
est crit
l'un sur
une
stle
de Florence', o
est rduit
le
pronom
[)'. r
l'^-utre
prnom
o
j
IV. Stle en
AAAAA^
Muse de
Gizh.
:
([l'!^)
offrant
J^^
quatre divinits
'vi::^?^
j
^^9 ^^wvN
de lotus.
coirt'dupschent,A f\A
comme
fleur
IMentou, et ^Wbr
^
:
i
dont
la tte est
sur-
Le bas de
la stle est
mil o
j
lin
<=
1. ScHiAi'AKELt.i, 2. Recueil
de Tracaux,
XV,
p. 172-175.
A TRAVERS LA VOCALISATION ICGYPTIEXNE
3
iik
^^
-^^
^^^=^
^^^
w ^== D <=>'
"="
"^
(^
"="
>^
";
/Il
n ^^'^'^^
^^c^
oq-=i\
R
o
5^
la
R-hct'-yepcr-step-n-r,
du
Soleil,
(II),
aim de Bast,
la
En
ce jour fut
donn
le
champ du
atteinte
fait
par
le
... royal
de
maison, Abisa
Nesiptali, de la Pa-ger-pa-r.
et
On
aucun violateur,
on
dit
Que
les
par
le
la
roi (au
moins dans
le
nent
remise
c, Q
est probable
que ce sont
La
ville
de
a^
i
la
a^
(]
n'est pas
connue
elle devait se
La dernire
stles
ligne est fort mal grave, elle devait contenir l'imprcation que d'autres
donnent sous
forme
m.^^L/1
()
^==^
?>" ^^^
G.
VII.
Maspeko
ai, et
e/iE.
A. La
gp*wK,
forme
g^pe,
2^p*wi,
je la
tude sur
la
i.
Le thme
pronom fminin
suffixe est e
ta face, en
-[- e,
Le groupe
et
a form deux syllabes au dbut, puis .-}-e se sont unis en une diphtongue,
\p*.
est
devenu
g^pe^e,
la
diphtongue ascendante
gp.
:
i>.e
s'est
change en
crit
g
e.
La
srie
'*gp*w, "*gp*.,
Mais
e n'est
la
^,
qui,
au moins dans
1.
le
mme
Stkindokkf,
Kojitisclic
Aiim.
54
en
i,
^g
>,
p.T-{-e, p*>Te,
On
souvent
le
s=3
t,
pronom fminin de
la
la
la
femme
3\
Or, l'image de
femme
sert aussi,
comme
la
on
sait,
marquer
et,
le
pronom de
elle
la premire personne
se prononait
i
du
femme,
comme le pronom
que
le
masculin
de
mme
J] J). indiffremment a la
premire et
seconde per-
fallait
pronom de
la
le
pronom de
qui tait
i,
la
mme
prononciation,
la
prononciation du pronom de
premire
personne.
les
1"
le
la
voca-
lisation
tait
tait,
au moins en
dernier lieu,
comme celle du
suflixe
4"
de
mme
que ce
il
suffixe
nominal,
le
pronom
du mot auquel
se joignait.
La
en est de
eg^iie.,
mme
de
j^ne,
oue,.
HNE, IINA,
moment o
le
t est tomb,
:
le
mme
fait
qu'en latin,
au gnitif singulier de
la
premire dc'clinnison
r//,
citAE,
ritAi-citi:.
Un
certain
nombre des
du
copte, rsultent
que
^^,
ou, par
suppression graphique
de^^,
\\.
comme
neupe^it.
ncqp.u. etc.,
graphes gyptiennes
z=>
^'^U^'^^,^^
,
^''^^
'
pak-ranou,
de ^kK^
J^^vI
non de
soit
QA PAF-RANOU. Et ncK
n(j -^^z:::^,
formes orthographes
l'hiroglyphe
-ncK, neq,
comme M <4>
H^ ^iw
On
^(1(1<=>^.
J^flS^.
^^
M.H^'^^'
l'on aies
/^
la
(](].
C'est, en
remontant,
^"^
1.
E. DE
RouoK, Chrcstomathie
fois
cr/i/pticnne,
t.
II, p. 40,
171.
de plus, que j'admets ct de la vocalisation en i la vocalisation en e, au fminin des noms, son-et ct de soN-ir, probablement selon les dialectes dans l'gyptien comme dans le copte"! pour ne point compliquer, je prends de prfrence ici, selon mon habitude, la vocalisation en i.
2.
Je rappelle, une
55-
je
cienne diphtongue paek, pakf, qui rsulte elle-mme ncessairement d'une forme,
plus ancienne encore, o
celle-ci,
I'a et I'e
do
la
pf, et
son tour,- suppose un pIk, pf, qui, rpondant son pour signe au
^^^^
jusqu'
paradigmes de
l'a fait
comme on
prsent, pa--, ta--, en deux syllabes, au moins aux temps les plus rapprochs de
l'origine de la
Une
de
la
des formes que ces pronoms comportent rclame une attention spciale, celle
n*.-, t*.-, *>-. n*.-, t*.-, new-,
xo, 6 r?];,
^
premire personne,
ils
nioii,
mes;
n*.-,
xo,
1-7^^.
E. de
Roug
>
montr que-
forme hiroglyphique
AK
/>^
'^
de
l'article courant,.
/wva^a
ni,
pa-ni ou
peni,.
a^
que
^^^^^^^^
V^
ria-jtwvO];,
PA-montou\ La
/^5C, qui devait
transcription copte-
prouve
ici
que
n*. n'est
l'article
ancien
a^
^^,
final,
y a donc-
du
singulier, rponde-
galement ikK, ^
sonnes. Et de
ik^\^
des cas o
pleine
-^^hh
Q A^ OU ^
le
est l'quivalent
de
^^^^O ^
payi devant
les deux:
changement dut
se produire-
surtout dans la langue parle, tandis que la langue crite conservait par routine les formes-
anciennes
le
peu
qu'il
y en a
suffit
pondante au
"
I
n.-
du copte
est l'article
nu
PAYi
I
I
Aoukou en
.
<$.
(ZZD
n.cociK.
LE pain, cKpain.
^ l'gyptien antique ne disparut pas tout d'un coup. Aprsdifficile
La forme
A^ "^v^S yf
^^^
'''
reconstituer.
d^
/^>^^v^d
noms
-
et adjectifs d'agent,.
A^
,
^,
il
la flexion
'
en
et
aa^na^a,
donn
les
^"^
~
, ,
"^^^
et
4-4-
^^
-a
^^^-^^
X
,
-yw
J?
et
\L w
etc.;
derrire
a^
^<
pa,
si
bien que-
^^^^^v /^^"^V'
prononait pa-,
n*.V.
Le pronom
:
est
/^^^^iJO^
Gst
donc
^^"^^ 00
^ pa-H, en
trois syllabes
le i)assage'
1.
2.
Chrestoinatic rjijpticnnc,
p. 31-32,
t.
I,
p. 153, n. 2.
56
loi
pa-i,
r'A-i,
le
son du pronom w^
s'est identifi
le
s'est
dmonstratif.
/^^Ul]^
mon,
pour
la
On
temps o
le
pronom
rllchit
que
les textes
dmoliques con-
servent jiour
rjio/i
une ortho.^raplie
f^A>
^^^^(10'
l'poque o
la
forme
^^^^.00
s'est
:
'^^o/i
en usage ct de
la
il
forme
A^
mon,
le
le
dmotique
pronom
3"
trois
formes en usage
>
littraire, 2
^^"^11(1
pa, et
^>^^^"^"
C. Je pourrais donner
dans
\i
finale
dont
j'ai
tudi
i)artie.
.\n{,
Le
qui
verbe aime/' et
parfois garde son
mots
le
pii
r dans
copte, jmepe,
dans
le
ou simple,
xie.
amare, Aienpe M.
B.
(hieclus.
ju.npiT .1/.,
II
amare,
M.,
julcAit
Les
formes memphitiques en
analogue
ct de
(xpo, *xp.)
:
la
voyelle premire,
][v\
^^
de
le
\
,-
bora
'jiRA ct
tira
il
un phnomne dont
de
je i)uis
moment, car
ne change pas,
junpiT
la syllabe, et je traiterai
le
comme ne
amare,
et
diffrant point, au
moins dans
epe
serait
compos
de
jue,
d'un pe paragogique';
je
me
la
j'ai
la
conservation
empch
cet
Rde
tomber'. Et de
descend directe-
ment d un ancien
jueiipe
MM
mkrti, .MERrr,
la
comme
noqpe de
<=>
rpond de
mme
forme antique
la finale
:
^
final
si,
le
tombant a
le
i,
qui a
dans
verbe
la
voyelle premire
un
e, e,
avant
le
dplacement de
la
l'accent,
comme
ju.ci
elle l'est
devenue aprs.
Laissant de ct
forme bashmourique
ai*.i
juhi, le
premire syllabe
dans
T.
M.
B.,
dans
M. B.
[Jiaj
et
les tran/.otijl;
dans To-uw-plitaJi
1.
2. 3.
Masi'ERO, Une pac/e du roman de Sntni, dans la Zcitsc/iri/t, 1S77, Fkvion, Lelcon linrju cofdi'-, s v. jme, amare, p. 88. Recueil do Tracaux, t. XV], p. 85-86.
p. 14G, n. 61.
>
57
o'.XvjatdTo;.
aso,
-ji'.,
[ji'.V
se diphtonguent, et
cf. ei,
la
1.
diphtongue
trCj CI*.,
Cl,
le.,
ki
en
i,
mi de
Miarnoun ct de MElamoun ;
cei, ci,
-e^i,
cedrus,
CCI,
satarari,
f/a/T, ujei,
u}i,
pondus,
qci,
^\,
il
Ile n'est
ju*.V
donc pas
la resolution
:
de
ajlcV,
mais en revanche
ju*.i,
[jixe,
forme laquelle
progression indiqui rsultent de
aboutit ncessairement
xx-bX
devient
[m?o]-A3ie, selon la
jji>i'-Aie,
On
juteV-a'.,
MR antique.
sist
mmes
et
un
ont sub-
copte
fevre, ou 1
cs5e,
dare,
[*.Vni,
J\
]-en, 2"
c^a^i-
d [*c^eij-c^i.
Ce pomt demanderait
sparment
et jueV
il
sufitpour
le
moment de
ja*.i'
nous oblige
les
mots drivs du
Il
MR
antique, soit deux lectures possibles ma-r... et me-r... pour la premire syllabe.
deux
est la lecture
fondamentale.
Si nous reprenons la srie Aiepe o r est conserv, et que nous nous demandions
quelle valeur y a
le
premier
e,
il
Un
certain
nombre
s'ils
d'entre
y sont mas-
l'origine
.I
:
une terminaison en t
final, -t,
-et, ont la
prem ire
M.
tgeepc, 1g0.1p1-uje1.1pe,
ovile, fc*ipi
M.
^
t.
sporta
S-RT,
corbis
Kd.ipe T. t,
guttur, ^*.ipe-
oeipe T.
T,
stercus, cevipe T. n,
<==:=>
devenue
si
naturelle
qu'un mot
tranger,
mots gyptiens
comme xapja, n'y chappe point et devient, du mme type, Ke>.ipe T., Koipi Af., ^aces. Cette
l'
diphtongaison parat
soit l'origine,
chons un cas analogue dans nos langues, nous verrons que ai franais devant r remonte
un A latin, et aboutit au son actuel, ainsi cxj'nem-chxir prononc c/ir,
pAvem-pAir
copte
prononc /)/,
et plusieurs autres.
On
a donc
ici
encore a-a-ai-.^-e,
soit,
en partant de
le
formes
*jii.ipe,*jui.i'pe,
la
:
du groupe
mr
comporte un e
exigeait un a.
premire syllabe
Du moment que
sation MART,
la
forme Aiepe
,
du dbat
et
MART
<:rr>
Ci
qui dcoulc de
ce qui concerne
ju.V-ju*.i et juiei'-ju.ei.
Les mois en
le
mme
dialecte
1.
Recueil de Travaux,
t.
XVII,
SIR.,
UKOUKIL, XVIII.
NOUV.
58
e,
hc,
n*.i-nei
T. hi,
ceux que
j'ai cits
plus haut
"K^
qe.i-qei, etc.,
1I*.i'
ll(I^L=^ faL
a
la
que
n*.!
est nei,
:
une forme
vocalisation en
en e
,
c'est
donc a qui,
je crois, servait
les
de voyelle
et la
gense de toutes
le
formes examines dans cette note peut tre rendue visible aux yeux par
:
tableau
suivant
MAI
MAK,
JUi*.i
JULwi'
.1
MAI
et,
MAE,
Aie
ME, Aiei
I
M.-E,
MI,
|Jii
pour
les
formes en t
final
<=>
juepc
Ci
\\
/
- juLiipc
'_
_/
pi.
MIRATIOU, MERATE
Il
faut se
demander maintenant
l'i
de
a*^V, et ici je
me trouve
en prsence d'une hypothse trs habilement soutenue par M. Steindorff, qui contredit
certaines des ides nonces plus haut'.
M.
<=> mrt,
participiale
a Aie ])ar
amuissement pur
de r,*mrt-mre-
M, en memphitique
Aiei
La forme
en
est
amen
aimer,
aa*.i
par mouillure
me
les ori-
me
hasarde
mais en
fait
le
prononciation
M.
1.
in yErjyptisch-Koptischen;
dans
la Zeitschrift, 1889,
p 109-110.
59
= pkre,
Axe
les
pu donner videmment
devenu
mkrk. Une forme mr en gypen copte, mais alors il ne faut pas la rattacher
maj
= mare,
final,
mots en
^t
o est
est
-^epe,
comme nous
mot o R
juiei
est entre
par mouillure
si l'on
admet l'hypothse de M,
Steindorff.
De mme,
ju.*.i,
dans cette
hypothse, ne pourrait pas venir d'un mar, mais seulement d'un mari, mare, o r serait
entre deux voyelles
soit
ci
:
or,
mari-mare rpond
par
le sufilxe
lettre
(1(1
i
pour
lettre l'hiroglyphique
le
(](],
la
racine
mr dveloppe
[e].
Pour complter
la
tableau que
j'ai
:
racine pure et m
l^MR
MARI
1
MAI
MA,
mr
JUe.V
D.
Une
T,
autre forme
du thme
:
dans
les
M. m, vinculum,
les
juL.eipe 7*.
M.
M.
mnculum,
dans lpcone
.,
alligare lapidem. Les originaux anciens des formes coptes sont parfaitement nets.
juoirp est
mrou,
ju-np
avec un
long ou un e long.
ju..eipe, AiHipi,
comme
la
je l'ai
<n>
Ci
terminal, mart,
''=^<==>
fait
merrt. merret,
juippe.
Je rattache
s'attachait au
cuir,
mais
la
comme
comme merrt
il
juppe
le
t qui reste
t,
ou
le
comme
<=>
\^, et jmopT,
doit rpondre
un
ancien
<=>, mais
<::i
la
racine
mr,
lier, se
com-
mme
la racine
la
mr, aimer,
et le tableau des
si
Aussi bien,
par consquent,
les
formes sens
mme
racine.
avant dans
le pass,
un temps o les
:
notions de sentiment pur que l'amour soulve dans notre esprit n'existaient pas
dans
60
un milieu
que
tel
celui
les
de
lier,
notion d'aimer.
La
vocalisation en
a de
faits
dont
vocalisation en
du copte
la
mme
que
je
etc., ct
de otco^,
oTioiA. xoci.
nous a conserv
les
dernires
traces'.
le
mr
et
les
deux branches
MR,
lier.
^
MouROu,
Aoirp,
liej'.
QA aimer.
JutHp,
act.
jNIiRou,
pas.
Mrou,
act.
jMirou, pas.
t](J
2 Ai^eipe,
ui.i*pe,
AiHipi [<=rr>
"=-=>.
MAiRiTJ.
1''
x.<^i'.
AieV,
MI.
30
40
^ppe
[^^
il
MKRRi'rr
^ ^'
M.^RlT^M.A?R^r, ^epe-x.npc.
''-''^''''
^opT, 'b^-be.
^ll^x
''^'^''''
"'P"-
Comme
le
a dans
sens aimer,
le passif
Il
estdillicile
noms
noms royaux en
mr, ainsi
00' o
'"^'^
^'
en i- l'emporte
pour
la
'"^"^ y ^^^ P'^'^ ^^^ passif, comme j'ai pens, la vocalisation premire syllabe Mrir, Mirnir, mais s'il est l'actif, il faut
La transcription grecque
lui
dci-
les
auteurs d'ratosthnes ne
avaient traduit
ju.-pH. et
un
nom
n
Q
par
*<^:3:_
T.X'.Swpo?,
prouvant
*"==3L
[|[1
selon l'analogie de
Toii%vj,o%
9 .t/;<5at<7xo;; ailleurs le
mme
Eratosthnes donne un
nom
trs
MtupT);,
qui rpond
je
videmment o
la transcription
est vocalis
nouvel ordre,
conserve
la
prononc pour
E.
J'ai
me
spare de l'opi-
Sur la mouillure de
<=>
ai faite
suggr galement des doutes sur l'tymologie qu'il y a propose pour m, n, domus.
D'aprs
lui, le
signe
1. 2.
Stern, Kopti:irhe Grammatik, 173, p. 80-81; Steindouff, Ko/dischc Grammatil,-, Voir plus haut, p. 58 du prsent volume.
A TRAVERS LA VOCALISATION
1<*
I<:GYPTIENNE
61
finale
.i.
('t
pris j)ar
si
sivement pr;R=p-Kii
P-^;j, n-Hi'.
mme. Voici
me
On
pour ^
le
sait
de
Ait.
M.
se
^
les
deux mois ne
le tout,
la
maison,
si
quand
ir signifie une
c/<a/;j6/'e, la partie. Il
vraiment
Air
ne signitie pas
...
maison
aussi bien
que clianibre,
ma
i)as
part,
mais
M.
de
beaucoup
mon
lui
mme
signifi
HI,
chambra en gyptien,
:
maison, en copte
notre mot maison, pour n'en citer qu'un exemple, possde un sens
le
trs diffrent
de celui que
mot
latin
dont
il
drive avait
qu'il
l'oi'igine,
mais personne
mot.
11
ne vient pas de ce
mme
me
semble
d'ailleurs
que
les
la
dans un pays o
concept de
la
la
chambre
se
la
maison dans
l'esprit
population.
t est fminin,
m est
lgi-
masculin, et M. Steindorl, tout en convenant qu'un certain nombre de mots ont chang
comme
la
))
En
ce qui concerne
7 =; m,
avant tout
ait la
qu'il n'y a
et
qui
diphtongue
Mme si
l'on
admet
'it
*.ei
dans
le dialecte
thbain, de
mme
memphitique
loin
juLHipi, lien,
de
lui,
me
au
dcomposerait pour
ei
faudrait rapprocher ce
V,
mot de
hi,
repondant
au
0,
et lui servant
t du fminin. Je ne puis
me
ma
con-
comme
le
prouve
le
rpond au
a
lire so/-t,
comme
le
anestpomt
ainsi
que
loin
reprsente
M.
JNI.
l'i
du fminin,
me
parat
'iiT,
le
comme
Steindorl,
le
groupe
1.
lS9,T[). 107-109.
62
devrait sonner . en thbain? L'objection suppose qu'il y a une rgle fixe, d'aprs la-
un
suivi d'un
en memphitique, toujours
hi,
e.i-.ei
aux deux
l'on n'a
pas
oti.i, g^Te.1
T.,k ct de
Ci
M.,
si
nous examinons
n t,
a
les
seuls
M. B.
, veritas, pour -
ainsi ^^<=i[\,
Q, <:^ih
>
nous
Ci
^^ H^
[i
' **-*^*
M.,jusl(Jjcari, d'o
suivi de
l',
ju.*>i
M. ^,justi/icatio,
pour
le
q,
donne bien
la
.i
thbain,
,
pour
le
racine
.i
"^^
I/mj
le
au lieu
pour
le
memphitique, en
pour
le
final
pour
thbain,
le
l'on a
thbain
*.i,
Aie-jme^i.
pour
mem-
de Aie est
la
rsolution de la diphtongue
si
comme
nous l'avons vu
la
ju.e.i-Aie,
je
recherche,
que
l'on a ujhi T.
M.
le
avec
et cci
M. m,
pulex, avec un
la
combinaison m, et que,
jutHiiti,
prfre .,
o
de
le
memphitique prend
c*.em T.,
cnmi AI.,
il
ne rejette pas m,
loin
l.
La
M.
Q
n'empche que
phontique
h rend
o,
est le reste de
et
t,
comme
dans
c*.^pi AI.
m, n&^pc T.
n,
remedium, de
N'y
de
aurait-il pas
HI
par
les
pakhrt,
comme
l'quivalent
s'tait
changement de genre
un des
de
Papyrus de Bologne, o
est question
de
si
aK
c
T Jr^ll
les
'
'
^'
^'^^
difficile
Ait,
nombreuses dans
*^^
administrations gyp-
ta
UqU
Ait.
Brugsch avait dj
fl<x=>
(1
^'^
v\''^^
,
"^^\ puis sur le sarcophage de Tos au a o<===> <=:> -a avait d abord rapproche indiieremment '^^v et
'
.
Louvre
n
o
^^^
hi,
a^ n -s:^
'
'.
D L=J
dclara
de
puis
les
il
les
compltement trangers
un l'autre
il
orthographes
Stern, KopUsche Grammatik, p. 36. du prsent volume. 3. Chabas, Mlanges cgt/ptolof/igucs, 3 srie, t. II, pi. XI, 1. 6 et p. 155, n. 1. 4. Brugsch, G. Ins., t. I. p. 172 et n" 733. 734; Dictionnaire gographique, p. 104; Lepsius, Ueber eine hieroglyphische Inschri/t, ani Tenipel con Etifu, pi. III, I. 7, 20. 5. Brugsch, Dictionnaire hiroglyphique. Supplment, p. 185.
1.
2.
63
-0,
prouvent
ne vois point.
(pii,
f|iiant
moi.,
qeile^raison un
comme
au fminin, crivaient
moderne peut opposer au tmoignage des gyptiens Ait, ou, avec la chute du t ^, Ai.
j'ai
au masculin
dj indique'
le
Papyrus gnostic(ue
qu'il transcrit
le
en
|>^
)>Z /tL)).^L-^JW/J
par mujTCTHV,
second,
(^ \ L^
^ ^y x^
tfjj^^jyS V^^
T*.n*.ig.xiHV',
groupe gyptien
cette lecture, parce
dorff,
n
que
s'crit
diffremment
M. Stein-
appuy sur
la dclaration
M. Hess
n'a tenu
*^
et
et
forment ligature
et sont suivis
i
y en a un autre o ^
o o
droit,
n,
et c'est celui-l
la fois
que
le
Papyrus de Londres
et
comme
:
toute personne
accoutume
de-
motiques
le
n est rendu m
ni*,
dans
la translit-
ration grecque
n, drive
[kt].
par l'inter-
mdiaire de
A^
^^.
ta-t
Plusieurs composs de
rentes.
Le premier
flj
' >
Le mot
tivement
J ^'^f]
^' tt-sba
(j
it-sbaou.
date laquelle
il
En
pre-
mier
tel
lieu,
Ci
n T
y a perdu
final et
l'i
que
G
HAT
^^J) Hat-horou,
transcrit
la
du
tonique en composition,
bien que
hat de-
en pareil cas. C'est une rgle qu'il convient d'appliquer aux composs de
mme
foi'me,
au moins
s'ils
se sont consolids,
la
comme Hathor,
je lirai
une poque o le t du
)?
langue courante, et
'^^
'm J)
^Aisliop-
1.
et d'Histoire,
t.
dans
II, 4"
2.
Reue gyptolo'jique,
p.
fasc,
p. 64,
Der
Gnostic/ie
3.
Papyrus con London, pi. I, 1. 24, 25. J.-J. Hkss, Der demotische Roman oon Setne Ha-m-us,
p. 6.
//, pi. I
147-148,
et
London, Glossar,
4.
Papyrus Sallier
pour en
faire
V.
1.
1, pi.
>'c
X,
1.
2,
la prposition
^,
un mot
;
V^ ^^^
glyp/tique, p. 1184)
il
a corrig
cette
eneur dans
le
Supplment:
a t
fait
par Lauth, Die altyyptische Hochzchvle su C/iennu, dans les Silzunyheric/ite de IWcadmie de
I, pi.
t.
XX,
1.
20.
64
LE CULTE DE GUDA
XVIIP
cette dernire
part, la
du mot. D'autre
la
le
prononciation,
o
La
vocalisation en
a pour
ni, ne,
est
un
Vw
la
Le mot
distinction de
A^AAAA
masculin,
et de
les
ne. ni,
n l'emportait pour
groupe
^^^00 ^^
la
.tiTHie.
Tout
Bubastites.
Le second mot
l'explique de la
est
le \i\\\.Ti.K,four,
Lemm
a dcouvert et rapproch de
admet ce rapprochement,
final
de
n et confusion
-i-htcok.
du n
initial
avec
a^
Sans
loin de n-niTtoK
hi
se serait
simple,
n-i-n-TtoK.,
lui.
Je n'ai pas voulu examiner la question de savoir quelle tait la valeur exacte de
n
pi,
au temps o
la
s'il
gardait encore
une R
finale qu'il
pt mouiller ou
s'il
M.
Steindorf
j'ai
accept la question
la
tymologie
hi.
DTR
Le
Dans
fait
p. Scheil
I.
l'inscription de la statue
B
1
de Guda (Col.
1 13),
Ningirsu
Ce sont
qa de boisson,
qa d'aliments, un demi-qa de
farine.
Temple de (?), un qa
il
Du
vivant
mme
anime ou possde,
la
un tre
1.
O.
Dii
zut-
LE CULTE DE GUDA
humain, mortel, caduc, infirme
informe par
le
65
comme
le
reste des
hommes, au
lieu
que
la statue
l'tat
aprs sa mort et
De
l le fait
de ces offrandes
survct dans
la postrit.
De
et
notre connaissance,
s'est le plus
monuments remarquables
Il
probablement par
le
resta
pays de Sirpurla o on
vnrait l'instar
d'un dieu.
Nous en avons
rcemment,
^<^jr]^
y]r.
et
(C'est la
dont bon nombre se rfrent des offrandes destines >^>^y ^^I^lWf premire fois que nous rencontrons ce nom avec le dterminatif de
il
la divinit,
comme
convient un hros
le
difi.)
II
Bur-Sin
la
et Ibil-Sin.
o Ur Ningirsu
de Guda est
comme un contemporain
le
de Dungi,
le roi le
Ur-Gur. Dungi,
et son
mme
destine,
nom
auxquelles je fais
*^
^
*^T
^yyy^
>???
^T
K-]]]]
mesure de liqueur
forte de la plante
SA,
S ^y ll K-]]]]
6 qa de farine
DUB-DUB,
V
>^
>^
Tf
^t^'^^^
^
T
"^^W -^y ^y
(5^)
4qad'A-TIR'
au dieu Umun-pa-uddu.
1/2 mesure de liqueur douce.
< IIW
^I*~
S=y
GIN de
^^
graisse
jour,
C^^y t^^y ^y
^tT
^] ^V/
P^^^
Nomnie, au 15^
-+
>yHf-
<}^W
fl-A
T
Dungi.
^
I@f
^I*"
-i5-i^
GU,
^^H
ti'M-}
]}
Guda,
le patsi.
'^y
^y
'-<^
^;n]r
^y
Mois de SU-ZIR.
tre aussi
une
farine
ou pte,
ca,v j'ai
T^ -H
yi '^t^^Tyf II
mesures
RECUEIL, XVIII.
NOUV.
SR.,
II.
66
LE CULTE DE GUDEA
1/2 mesure de liqueur douce, qualit royale,
1/2 de farine
GU,
Ib''
pour
la
Nomnie, au
jour,
Guda, le patsi.
1
5qadefarineDUB-DUB,
3 qa d'A-TIR
Umun-pa-uddu lumineux.
la solennit
Mois de
de Dungi.
TI ^T
Iiy
^^Vj}}
3 qa d'A-TIR, 3 qa de farine
^I*"
'^
^]
l!
<II <!T
DUB-DUB,
*^>^
LE CULTE DE GUDA
67
^:r:
^^^
S^yjT'^Iil
-^I
MoIsdeE-IL-LA.
^
^]
^yyy^
>W
^y*""^]^
la
plante
SA
s "^y iBf
}}
<yyyy <yyyy
^i^Vl}}
eqa de
dub-dub,
]}
4qad'A-TIR
t:yyyy
>-^
jp
<^e:{^^]^
t^ ^y
^y
^y^
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^
Ef
i^
^y*~"'^{
t^fff
1/2
Hf-
^^
ti'M}
]}
"i^y
1/2 de farine
GU,
-Hf- -^tl
Guda,
le patsi.
^y
^Vj^
!!![
J^ ^y
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GIN de
la
graisse
jour,
^y
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pour
Nomenle, au 15"
-+
<}S=W
^A
Dungi.
Mois de KAR-MA?^.
j;::!}
4^y ^P
^
Hf-
^
Ef
Ky*""^^
-l-t^
''^/^
1/2 de farine
GU,
15**
^y fctJ
""HF"
'^y
KV/
]}
P^^
^""^
Nomnie, au
jour,
^S=tJ
tQK}
M^
"^y
^y
^ Guda, le patsi,
^yyy^ nr
^y*""^]^
ImesuredeUqueur douce
extraite
du sa,
yyy -^y y^
^-w
^'^y^y
>ft^yyyy
-jJ-S^
sqad'A-Tm
^y*^
a Umun-pa-uddu, dans son temple, 1/2 de liqueur douce, 1/2 de farine a
->^
>-*f-
^lf^r{{
{]^^}
lJ
^^^y
GU
Ity
^y
-f- C^yy^
'^y
t^
^V/
J^y
Ur-Lama,
la
le patsi,
15**
ttJ
pour
Nomnie, au
jour.
j;:^}
^y
'-<^
Mois de SU-ZIR.
^
<
^
IM
^"^T fc^S
^y
^y ^ r?
10
GIN
1^
de graisse,
P^^^
1
1
Nomnie, au 15"
jour.
^ ^
^{*"'^]f
t^y
t:J^C:y
't^y(?)
forte
(?)
tt^] tt=:y
pour
68
LE CULTE DE GUDEA
LE CULTE DE GUDEA
69
yT
-T
Vi
-^^m
70
LE CULTE DE GUDA
la
mme
Trav.,
XVII,
Ur-Bau,
fils
d'Ur-Lama,
le patsi,
dans
Ur-Lama
que dans
encore vivant, ou
c'est ce
est impossible
pu
voir,
C'tait la
sacrifices,
en l'honneur de
Guda,
le texte
comme
suivant dat de la IP anne qui suivit celle o fut bti Dr-Mada-Ki, c'est--dire
:
du
rofne d'Ibil-Sin
t^y^
T llI
^>^}
I^ ^^f I^ ^^ f
][
mouton mouton
mouton
la
la la
^B
desse Nina,
][
^^
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Les
trois
il
liste
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(1"
cf. St.
^1
1^
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LE CULTE DE GUDA
Umun-pa-uddu,
71
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surLUGALTURMAH.
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y
ST
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y
^
^
Mois de
-C^y
KAR-MA,
27 jour
fclSl ^TT*"
*^^]
<^^y
^^
le
^
il
de
ramme
1^
(Ibil-Sin) construisit
Dur-Mada-Ki.
qu'une classe de
recevait
un
culte,
plusieurs cylindres-
mme
collection de la
deuxime dynastie
assis,
Guda
revtu d'une
gauche
de
la
tomn 1.)
la tte
pi. 12,
Devant
l'autre
lui se tient
devant
la poitrine;
les
hauteur des
la prire.
Dans
le
champ,
la stle
le
lions,
comme
dans
du
roi
annadu,
pi. 2), ni
comme
un
Le porteur du cachet
tait
JT'-y
>->-y-
t:^
ff'!^^
UrDumuzi,
fils
t^
^y
^y
.^y
^5p
de Mani,
(?)
^
}}
la
ministre
"-^ "^^tJ
N2H
de Guda.
pareil au
Un
Guda dans
:
mme
attitude, et
un personnage
^^^
>->Jf-
t^
*f'^ ^y~
^^ Dumuzi,
fils
t^
^y
^y
^y
"-^Id
de Mani,
(?)
ministre
]}
^^
1.
t<^
de Guda.
Douteux, peut-tre
^lydz.
72
LE CULTE DE GUDEA
Un
LE CULTE DE GUDEA
73
t^fe tEss
^
mule
Sin,
- -m
la
4f<I
-II
^11
-+
^
de l'un des rois Gimil
le
de
Bur
Lugal a
{'>)-tu-rl,
nomm
dans
^1
<jC:||||
Tr'Q^
TABLETTE CAPPADOCIENNE
^^
^::H
^
Lukani, patside Sirpurla,
Lu-ka-ni,
pts
'^y J^y
^^y <I[
>^ tW
tait
deSirpurla.
pi. 21,
n*^
4,
que
Ha
C^yla-lama,
fils
de
comme
Le cylindre de Lukani
que
les princes
la
sienne'.
finissant
comme
plus,
il
sacrifices.
De
comme pour
les dieux,
TABLETTE CAPPADOCIENNE
PAR
Le p. ScuEiL
Il
existe en ce
moment
cappadociennes, de
mme
espce que
M.
Golcnischet en 1891, c'est--dire des contrats, ou plutt des prts intrt. J'ai
d'elles.
pu
livres ce genre de
documents.
<4"
a"
i^
^ P^ tfe y^<^ ^
^% "^
<f
t.
za-ru-ba-am
i-zi-ir
Pf?
A-ha-na-ar-si...
Ili
^
^^
]f
m& .
T
?p^
i^
T^
^
5
^
es-ta-ki-el
J^
MHk9^
>--^
m^^^ ^m ^m
"-^ A<T>-'
^
^^
i.^,i5.du
ha-mu-us-tim
sa
En-na-nim-as (oa
ru)
^ --# ^
^
Y
^ ]^
>-^
ff
W
^
^ "^
^.
Bev.
1 (?) siqlu ta
i-na arhu 1
kam
<T^
u-za-lid(Del., 6)
pan Id
^-
sa A-sur
5
les
pn I-ku(?)-nim.
peuples de la seconde dynastie d'Ur n'empche
75
NOTES
Rev.
4.
3.
le
el,
qu'il existe
un
A. Th., 1473, 21
dans un docu-
donc reproduit
pour
la
premire
fois
ment cappadocien.
7.
Nom
nouveau.
Enna
est
nom
divin.
R. IV,
5,
17/18.
8. --
Ki est
il
n'est autre
c,
que
Rammn,
en tant que
les ta-
dieu de
la
sa abubi. Cf. R.
III,
67, 51,
d.
Nom
nouveau dans
blettes cappadociennes.
>--l^
devant Martu.
Il
Rev.
1.
esta re-
marquer pour
premire
fois
le chiffre
ici
comme
dans
les contrats
ici
uza-db.
produire,
pour
69.
ZA., IX,
6, 20.)
Le
p. Scheil
Muse de
blions.
du
district qu'est
due
la
La
hauteur.
pas de croire, mais insinue plutt qu'un temps assez court sparait les deux poques. On peut en dire autant de l'poque de la II" dynastie d'Ur par rapport celle de Hammurabi. Si l'on s'en rapporte au caractre de rcriture, il y a telle tablette de Gimil Sin, etc., qui ressemble trangement celles de Samsi-Iluna, Ammizadugga.
76
^-J
y
Hal-di-i-ni-ni us-ma-a-si-i-ni
->-y
Hal-di-e
e-[uriye]
Me-i-nu-a-u-se J Is-pu-u-i-ni-e-hi-ni-se
E-GAL[si]-di-is-tu-u-ni
ba-a-du-u-si-i-e
erilas
u- ra-a-u-e
erilas ^< Bi-i-e-i-na-a-u-e erilas
a-lu-si
-t:yy
us-ma-a-si-ni
Aux
fils
il
Me-
nuas, ruines
Menuas,
fils
d'Ispuini,
roi
.
du
rois,
Aux
fils
La
donne
la lecture
van-
y>->-.
u-e
Sar-du-ri-ni Ar-gis-ti-e-hi
al-su-i-ni
^<
^<
Su-ra-u-e
Bi-a-na-u-e
y--- u-e
^vw^YgTg-
^sn^
77
mme mot
lisait
III, 8.
.,
o cet
tort
-e hu-la-u-e,
. .
.
ar-du-ri-ni Ar-gis-ti-hi
taraic
^<
al-su-i-ni
u-ra-u-e
^< Bi-a-i-na-u-e,
e-r-la-u-e
a-lu-u-si-e
A
que
t'oi
comme
naue, et partant,
trs
et'ila et
non
la
eris, l'affinit
dans
comme
^< Eriaini, J
Ce Er,Jls
cV Armenios
de
la
Rpu-
JRAS.
Fauste de Byzance
(cits
^J |<
ou
les rois
noms
ciliciens
la ligne 7, si la rptition
ici
pa-a-dup-ri remplacerait
l'idogramme de
qui ne
manque jamais
aprs Tuspa, dans cette formule. Si pa-a est en revanche une rptition dfectueuse,
Le
Col.
35.
I.
p. Scheil
2.
Le premier signe
reprsente
le
non
ir,
d'o gimri.
GA-BUR
II.
signe
EDIN.
Col.
p. 1435...),
qui voit
dans Iriba-tukt
de
la
phrase
a et
il
La
prolongation.en a du verbe et
la
20),
y.
Tukdamme,
roi des
Umman-manda;
Col. IV. Col. VI.
il
est vrai
is
que cette
si.
fois le
nom
est
prcd de
5,
pour
4, biffer an.
pani (NER-SE-GA),
ministre
manzaz panu.
78
VIL
25,
musarik.
9,
musarik.
X.
22, i-na-an-na.
:
Page
Georges Beauvisage
Agrg, charg du cours de Botanique
la
LE BOIS
D'IF
Dans le courant de l'anne 1894, grce l'obligeant intermdiaire de M. le professeur Lortet, doyen de la Facult de mdecine de Lyon, je reus de M. le D"" Fouquet, du
Caire, plusieurs fragments de planches de cercueils provenant de fouilles rcentes, et
j'entrepris d'en dterminer l'origine botanique par l'examen microscopique.
ait t l'objet
de nombreux et
la
science botanique,
un chapitre
Dans
ces conditions,
il
que
les objets
les
spultures gyptiennes n'aient t jusqu' prsent que peu ou point tudis par les
botanistes et que les notions acquises sur les essences ligneuses utilises dans l'Egypte
textes hiroglyphiques
et
dues aux
qu'elles comportent,
ma curiosit,
aussi
cette
direction par le premier rsultat que je viens d'obtenir, et par l'intrt qu'il prsente
pu en
effet reconnatre
l'If
commun {Taxas
baccata)
dans plusieurs des fragments de planches de cercueils quej'ai reus. Or, cette constatation
n'ajoute pas simplement
un nom
au
la
liste
l'histoire
antiques, mais
elle
apporte une
contribution
des
relations
extrieures
de
l'Egypte
temps
de
la
XII
dynastie
ou
mme
de l'Empire
memphite.
79
fixent
qui
enfin,
rapprochant
ces notions de celles que l'on possde sur l'histoire des anciennes dynasties, j'essayerai
j'ai
amen sur
les conditions
dans lesquelles
les
pu
tre fabriqus.
LEUR DATE
liste
:
le D'"
A\
qui
les
comme
numros
Meir
Trouvaille 1893-1894.
Plus tard, ayant apprci l'intrt historique des observations que j'avais
faites, je
voulus avoir des renseignements prcis sur les preuves archologiques qui permettaient
de dater avec certitude ces dbris de bois. J'appris que M. Fouquet avait reu ceuxci
de
MM. Em.
Sur
Brugsch
et G. Daressy, et
les fouilles
de
Mer, pourrait
me donner de
lui suis
ma demande, en effet, M. Daressy voulut bien, avec une complaisance dont je fort oblig, me fournir des indications trs circonstancies, acompagnes de
J'extrais
de
La ncropole de Mer,
dans la
puits,
mis en pices
fragments disperss
ceux que j'ai reus ne proviennent donc pas d'une tombe connue et date.
les cercueils
du Nouvel
cercueils des
XIX
et
XX
dynasties;...
Muse sont
bien
antrieurs.
La tombe la mieux sculpte est au nom de Nefer-tum-hotep elle rappelle les plus beaux monuments de la XIP dynastie; d'autre part, une autre tombe est date par les
;
cartouches de Ppi
II.
que
se place la date
de fabrication des
et
mme
forme,
mmes
une
;
ornements,
mmes
la
textes...
t nettoye
))
on reportait
les objets
moins bien
dont
traces, d'une
les rgies
archo-
La dcouverte
tombeau de Pepi-n-ankh-
kam
VP
em-
80
brouiller la
affirmer, c'est
que
le
les chantillons
XIP dynastie,
VI* dynastie.
la date attribue
aux fragments
^'et^' un peu trop prcise, et doit tre considre seulement comme un minimum d'antiquit. Les affirmations ritres de M. Daressy ne nous permettent pas
A*, A*,
de douter que
comprise
les
cercueils dont
et la
ils
entre la
VI
XIP
dynastie.
je trouvai, sous le n"
21 B, des fragments
mme
M. Daressy lui-mme
nombre
encore
parmi eux
j'en ai
les atteintes
du feu
et tiquet:
Cercueil de
^^
'
d'iF
A\
A*
et 21
B,
ainsi
que
le
cercueil de Ur-s-nefer, sont en bois d'If. J'en ai t peu prs convaincu ds la premire
j'ai faite
mais
je
ne
me suis
voulu fonder
ma
conviction,
rsumer
sommai-
rement
gard. Si
ici
les rsultats
me
j'ai
pu
arriver
tout a confirme
par
la suite, c'est
que
exceptionnelle, presque
unique dans
le
rgne vgtal.
frappant de cette structure est l'existence de trachides, analogues
Le
elles
trait le plus
et constituant
du
bois,
Ces
bois
premire
fois
dans
le
{Taxus baccata),
il
lors,
sous des
1.
81
Ici,
On
les
du
bois, c'est--dire
de l'appareil conducteur de
la
les
nom
de plantes vascu-
trachides, soit
soit
La
membrane nioyennenientpaissie,
relief
A ces
dans
le bois, d'autres
sclrenchy me long, libriforme des auteurs allemands) sont des lments trs troits et
trs allongs,
effils
et lignifie,
pouvant
ponctuations aroles.
le
parenchyme ligneux
;
sont au contraire
c'est
membrane peu ou
en gnral un
le
Le parenchyme ligneux
bois
des herbes et
niers, ces
le
prosenchyme dans
mais
deux systmes ou
Or, chez les Conifres, vgtaux relativement infrieurs et tissus moins diffrencis,
il
n'en est pas ainsi. Abstraction faite du bois primaire, quantit ngligeable
qui nous occupe, la grande masse du bois, ou bois secondaire, est forme par
dans
des
le cas
trachides troites,
allonges et effiles,
des
vgtaux
suprieurs par leur forme, leurs dimensions et l'paississement de leur paroi, mais en
diffrant toutefois essentiellement par
les
elles
sont pourvues; ces ponctuations aroles sont alignes plus ou moins rgulirement en
une seule
file
Nettement intermdiaires
aux vaisseaux
et
aux
fibres,
les
trachides
les
remplacent dans le bois secondaire des Conifres et y constituent la fois, elles seules,
l'appareil conducteur et l'appareil de soutien.
Il
si
beaucoup
nom
o,
fibres ligneuses
ponctuations aroles, ou
RECUEIL, XVIU.
mme
plus brivement de
^/z6/"^s
aroles.
Il
NOUV. SR., H.
82
ces trachides fonction mixte, peuvent tre annexes des cellules parenchy-
rsinifres.
le bois,
Parmi
les
trachides sont ou peuvent tre pourvues de dessins spiraux en relief ou en creux. C'est
ici le
il
quelque peu.
Les trachides
le
bois de
Taxas
comme un
caractre exclusif de *
cette espce ou
du genre Taxas.
Pourtant, presque en
mme
le bois
de Taxodium
Hartig, dans son grand ouvrage sur les essences forestires de l'Allemagne',
une
les
tude approfondie des fibres spirales de Taxas baccata, montrant en particulier que
fils
membrane interne ou
et
ptychode; mais
trer quelquefois
dans
mme
dans de
il
runit
Conifres tudies par lui dans un groupe caractris par l'absence de vaisseaux;
comme pourvus
:
Sanio, quatre ans plus tard, tablit son tour, sur des bases nouvelles, une classification
anatomique
dans laquelle
le
Drimys Winteri
(Magnoliaces) et
Taxus
commun
d'avoir
dpourvu de
A. B. Frank publie, l'anne suivante, un long mmoire" sur Taxus baccata; mais
ce travail
1. 2.
DuJAUniN. Manuel de Vobsercatctir au microscope, avec atlas. Paris, 1842, pi. XXI. Theodor H.wiriG.Vollstndirje Natarqcscldrlitc dcr forstUchen Calturpflanzcn Dcutschlands, avec
fig. 2, 3,
atlas.
pi.
XXXV,
fig.
8, 9, 10.
Tli.
Hautig,
Beitrage
(Botanisc/ie Zeitung,
1859,
p. 107).
4.
Zeitunp, 1863,
5. Le bois de Drni/s Winteri, assez exceptionnel parmi les Angiospermes Dicotyldones, rappelle celui des Conifres, mais nullement celui des Taxus; il se rapproche plutt de la structure des Araucaria par ses trachides non spirales ponctuations aroles bi-tri-sries. Je n'y reviendrai pas. Taxus baccata (Botanische Zeitung, 1864, 6. A. B. Frank, Ein Beitrag zur Kentniss der Gefssbndel
;
n"
22-26).
83
<.lcs
Il
mlange d'lments
fils
spiraux
il
M. Bertrand, aujourd'hui
Taxines structure semblable
sa thse de doctorat es sciences' quelques difrences entre le bois d'If et celui d'autres
:
les fils
On
M.
J.
Mller, dans
un grand
travail analytique
il
nombre de
bois', distingue
nettement
paississements
spiraux des
Taxus
les
travaux
me
A\
j'y
Coupes transversales
1 et 2)
comme
files
mem-
demeures
les
(fig. 2);
mme
parfois
compltement
peu
distinctes.
Aucune
3 et 4) et tangentielles
le
(fig.
5 et 6)
Trachides
ponctuations aroles, unisries, assez irrgulirement disposes sur leurs faces latrales
rayons mdullaires hauts en moyenne de 5 12 cellules uniformes trs allonges radialement, ponctuations, aroles ou non, petites et trs nombreuses.
En
je
d'If,
tant donne la
1. C. Eg. Bertrand, Anatoraie compare de la tige et des feuilles chez les Conifres et les Gntaces (Annales des sciences naturelles, Botanique, 5" srie, XX, 1874). 2. Jos. Mller, Beitrge zur vergleicheade Anatomie des Holzes (DenUscliriCtcn der k. k. Akad. der Wissenscha/ten, math.-natunc. Classa. Wien, XXXVI, 1876, p. 308-314).
84
spcimens
A'' et A",
un chantillon de
cette espce
La tige de
pour
me
ma
dtermi-
nation.
En
spirales
un seul
fil
spiral quelquefois
trajet,
mais la
et
non
spiraux, parfois seulement rattachs entre eux par un court ruban hlicodal. J'eus beau
If,
qui ressem-
Un examen un
A\
moins oblique
fils
de leur grand axe; quant leur nombre et leur position par rapport aux
quant au dessin plus ou moins net du contour de leurs aroles.
Je crus donc un
l'un ni l'autre de
spiraux, ou
moment
Taxus baccata.
pouvais avoir
que
ouvrages que
positif.
je
ma
disposition,
lyonnais.
me
d'If,
En
M.
le
me donner
la
mon
hypothse;
du mmoire de A. B.
professeur van
Frank,
confirmer encore.
Cependant
je russis
M.
le
Musum
de Paris.
Le
tronc qui l'avait fourni n'tant pas reprsent par une section transversale atteignant
la moelle,
mais
le
un ge dj
trs avanc.
je
fis
L'examen que
dans
de ce spcimen
(fig. 7)
me permit
d'y retrouver
non seulement
l'aspect d'ensemble,
la
Nanmoins
me
85
Taxodiam
et CaUitris.
fils
spiraux y
de
le faire,
me
parat avoir
le bois
une valeur
suffisante
dans
le
est
de cercueils gyptiens puisse provenir d'une autre Taxine que Taxas baccata. En effet, les autres espces du genre Taxas, ainsi que les Torreya, Cephalotaxus, Dacrydiuni, etc., sont des arbres amricains, chinois, japonais ou ocaniens.
Je dois consigner
ici
un
me
Le fragment do planche A*
du
cercueil.
d'If, l'autre,
en assez mauvais
tat, est
en bois
me
fis
des
chantillons numrots 21
B par M.
Fouquet
et
me
A'
GOGRAPHIE BOTANIQUE
est
Il
donc
tabli
la
XIP
un
fait
prsent aucun vestige de cette espce vgtale, ni bois, ni feuilles^ ni graines, n'avait t
dcouvert dans
les spultures
gyptiennes, puisque
le
nom mme
les textes
hiroglyphiques'.
les
s'agit
maintenant de savoir o
comme
En
pigraphique ou
si l'If crot
en
se dveloppe actuellement.
Aucun
jusqu'
des botanistes qui ont tudi la flore de l'Egypte, depuis Prosper Alpin
MM.
Ascherson
et
la
Un
mme
deux reprises
c'est l'explorateur
bien
1. Victor LoRF.T,
Flore pharaonique,
signales
comme connues
2. Le Conspectus Flor Africce, de MM. espce pour l'Afrique qu'aux Aores et en Algrie.
1892. Cet ouvrage, o sont releves toutes les plantes aucune mention de l'If. Th. Durand et Hans Schinz (V, 1895, p. 955), n'indique cette
fait
86
connu F.
Quoi
qu'il
Voici
1
))
les
'
:
(A
l'Est,
non
loin
de
la
mer Rouge,
La
nuit nous
surprit dans une valle qui descend beaucoup vers la mer, et qui est remplie de Seyl
(A
marche avant
taient
n.doum
et des dattiers.
et
Jomard a ajout
il
prsence des
le voir, les
Ifs
dans
le dsert.
Comme
on peut
fait
ne prsentent ce
que
comme un
s'est
aucune
importance, et dont
il
ne
remarqua pendant
la
marche
les
grande partie de
avoir.
comme
indispensable
d'avoir l'opinion d'un botaniste qui et parcouru les rgions explores par Cailliaud,
les faits
avancs par
lui.
M.
))
le D"^
G. Schweinfurth. Voici
TbcrMS n'existe pas et
la
Le
fut le
dans
les Oasis. Il
a pris le
Suda monoica,
l'If,
un arbuste de
ce dernier...
pour
En mme
la
temps,
M.
le
D''
mon
mme
M.
il
le D""
de M. Sickenberger
L'If,
Taxua baccata,
))
s'tend de l'Espagne au
Maroc
et
en Algrie;
Il
il
n'est pas
ne se trouve pas
en Egypte,
l'air
sec. J'en ai
vu un
pniblement
Voyage l'Oasis du Thcbes et dans les dserts situs l'Orient et M. Jomard. Paris, 1821, iii-fol., p. 73 et 87. Je dois l'indication de ces deux passages l'obligeante rudition de M. V. Loret, dont les conseils m'ont t prcieux au
1.
l'Occident de
cours de ce travail.
87'
dans
le
jardin de
M. Salvago,
l'a
Alexandrie.
Aux
Oasis aussi,
striles
il
vgtal. Cailliaud
de Tamarix articulata,
L'If veut
Ce double tmoignage de
mation de Cailliaud et
MM.
l'afhr-
me permet de
voisines de l'Egypte?
Nous venons de
rpandue dans toute l'Europe, ainsi que dans l'Asie septentrionale et centrale, au nord de
l'Himalaya, et n'existe en Afrique que dans l'Algrie.
Dans
l'Asie occidentale S
la
on ne
'a
rencontre qu'en
l'Armnie russe et
Perse borale.
De
c'est le
Taurus de
Cilicie.
que
l'If
Grce
et s'y rencontre
il
seulement
l'tat
serait inutile
de chercher plus
actuelle.
Mais autrefois
de
le
l'aire
gographique de
l'If
n'tait-elle
Il
est
permis
supposer, en se tenant toutefois dans de certaines limites, imposes par nos con-
naissances relatives aux conditions biologiques de l'existence de cet arbre. Or, nous
soleil
il
se ren-
Centre et surtout
au Sud,
il
se rfugie sur les montagnes', dans la zone des Sapins (Alpes, Jura, Pyrnes,
etc.).
Apennins, Sierra-Nevada,
Caucase; en Grce,
est
En
Russie,
il
comme on
en
de mme.
pu habiter
de
montagnarde
se soit
tendue jadis de
la Cilicie et
Mais
s'il
est
l'If
pu
crotre
la ralit
du
fait.
entreprises
dans cette direction ne m'ont pas amen dcouvrir autre chose qu'un vers de Virgile,
d'aprs lequel le bois d'If aurait servi fabriquer les arcs des Iturens", ces
fameux
BoissiEii,
Paklatoiie, ia de Candolle, Prodromus systcmatis naturalis rgne cegetabiUs, XVI, Flora orlentalis, V, p. 711. 2. TciiiiiATCHEFF, Asic-Micure, 3' partie. Botanique, II, p. 501. 3. GuiSKBACH, La Vgtation du Globe, trad TchihatcheS, I, p. 432. 4. Maspluo. Histoire ancienne des Peuples de l'Orient. 4' dit., 1886, p. 177. 5. Ituriuos taxi torquentur iu arcus (Virgile, Gcorg.,U, 44S).
1.
sect. 2, p. OO.
Pompe
et
de Marc-Antoine
Ce vers
peut-il constituer
Assurment non!
cheville,
qu'une simple
les
sou-
venirs tout frais encore de la guerre civile, dans laquelle les archers iturens venaient
de jouer un
arcs,
rle.
le bois
de
l'If
mme
l'Iture, cela
ne prouverait pas
qu'il pousst
Tout ce
dans
les
qu'il
pu y pousser, de
lui
mme que
une argumentation
Au
du prsent
Ce qui
est,
l'If
le fait,
tenant, que
et qu'il n'a
jamais pu v pousser,
Donc
le bois d'If^
XIP
dynastie, ou
mme
de
la
VP,
a t import en
qui,
d'aprs les donnes de la gographie botanique actuelle, ne peut tre que la Cilicie'.
En
(?)
effet,
nous voyons
dans
la
Bible que
les bois
de Cdre(?)
et
de Sapin
(?)
ou Cyprs
du Liban, fournis
la construction
en fut de
mme
Cyrus, lors de
transport en Egypte
que
le
et des plus prcieux qui croissent dans les rgions tempres; on peut
au
premier rang des bois industriels, en raison de sa duret, de sa densit, de son homognit et de la finesse de son grain. Ces qualits, dues sa structure spciale et la
minceur de
ses couches
le
croissance de l'arbre,
LucAiN, Pharsale, VII, 2.30, 514. CiciciiON, // PhiUpp.. VIII. 44. Les provenances des le D^ ScHWEiNFURTii (lettre prcite) fait ce sujet la rilexion suivante objets trouvs dans les anciens tombeaux. d'Egypte sont souvent si extraordinaires, qu'il n'y a rien d'cton nant d'y avoir trou\ du bois d'If de Cilicie ou de Caramanie, source principale du bois de commerce qui s'introduit encore de nos jours en Egypte pour environ 1/2 million de livres sterling par an. 3. / Rois, v,9; II Chron., n, 16.
1.
2.
M.
4.
Esclras,
m,
7.
89
Avant
l'invention des
armes
feu,
il
fut
divers pays, pour la fabrication des arcs', parfois aussi des javelots et des nclics.
CONCLUSIONS HISTORIQUES
sorte de
Pasteurs, les gyptiens n'avaient eu aucune espce de relations, ni par terre, ni par
mer, avec
les
peuples de l'Asie.
Cette thorie ne peut plus gure se soutenir aujourd'hui^ en prsence des faits
positifs,
assez
nombreux
Parmi
dj,
qu'on peut
lui
opposer, et
que
je
n'ai
pas besoin
d'numrer
ici*.
aux
nom
P""
de Haiou-nbou, mentionns
pyramides de Tcti
III,
Papi
et Mirnir, et
dont
les
Pharaons
eurent plusieurs
fois
principaut
j/U^v-
le
En
l'absence de notions prcises sur les relations commerciales que les Egyptiens
pouvaient avoir avec ces peuples maritimes, on peut en faire abstraction et s'en tenir
leurs relations guerrires; elles peuvent sufire, au besoin, fournir une explication
la construction
du
Delta. Les
gyptiens, remarquant dans ce navire dsempar ce beau bois qui leur tait inconnu,
le
tinction, tel
que
le
prince ou gnral
fit
commandant
la
transporter dans le
nome du Trbinthe, o
plaisir;
il
avait
pu retrouver ce bois
roman chafaud
mais
c'est
une hypo-
thse qui n'est nullement dpourvue de vraisemblance et qui permet d'tablir un lien
entre des faits connus; elle est de nature satisfaire provisoirement l'esprit jusqu'
le
fait
A\
en
que
planche qui
les
Quoi
1
qu'il
Le
bois de
les
commun [Taxas
la
cercueils, dont
et qui datent
Mer
au plus tard de
XIP
dynastie
reu de M. Daressy quelques fragments d'arcs gyptiens. Aucun d'eux n'est en bois d'If. Voir G. Masi'euo, Histoire ancienne des Peuples de l'Orient classique. Paris, 1835 t. I, 421,476-47".
1. J'ai 2.
;
p. 391 394f
RiicuKii,, XVIII.
Nouv.
siin., II.
12
90
spontanment en Egypte;
Cilicie,
Le
moins qu'on
4"
en Syrie;
les
tre introduit
en Egypte par
Haiou-nbou, dans
P. -S.
article, j'ai
reu de
M. G. Daressy
les
renseignements que
^^
.Ce personnage,
M^^I
tait
,
fils
de Hotep
^.
S
Son nom
1,
est prcd,
de
la
mention
^, nu
chef de maison
soit
.
du
titre
il X Jl
ilx
Jl
11,
chef de
la
Ce devait
d'un des grands seigneurs fodaux de son poque. Son corps reposait dans un triple cercueil,
les
en 1894.
J'ai
ils
en bois
d'If
EXPLICATION DE LA PLANCHE
Cercueils de Mer
Bois d'If [Taxus baccata)
FiG. 1.
(gr. GO/l).
d'automne
FiG. 2.
A\ coupe A\
Bois
moins
nettes,
FiG.
3.
coupe radiale
elliptiques,
(gr. 96/1).
Une
limite annuelle
le
fils
aroles,
plus
B, coupe radiale
(gr.
90/1).
fils
allong; ponctuations un
rayons
mdullaires.
FiG. 5.
FiG.
6.
A\ coupe tangentielle (gr. 60/1). Rayons mdullaires unisris; 21 B, coupe tangentielle (gr. 90/1). Aspect analogue plus grossi;
allong.
fils
fils
FiG. 7.
Vieil
If.
coupe radiale
(gr.
93/1).
fils
spiraux pas
Jeune
versales
petits
If
dii
que dans
bois
FiG. 9.
450/1).
91
versalos,
la
membrane
entre
les
interne;
une seule
( droite)
est spiro-
annele;
aroles
circulaires
trachides,
elliptiques,
obliques,
plus
nombreuses
bas).
Edouard Naville
Les
fouilles
que Mariette
fit
fait
connatre l'expdition
maritime que
plet
la reine
du temple que
j'ai
jettent
laiss plus
III
le croire.
En
dpit des
Tlioutms
mme
double,
et l'on
il
n'en est
donnes.
Elle-mme
pour modle
la
XIP
dynastie, dont
aux ravages des Hyksos. Dans l'architecture des temples de Hatshepsou Spos-Art-
midos
et
les sculptures
dont
elle fit et
dcorer
les
des Ousertesen.
mme dvelopper
c'est--dire
les
semble qu'elle
ait t la
premire faire
un Spos,
elle
a d prendre l'ide
premire dans
divinits
une habita-
Tlioutms
car,
P'",
son pre,
elle
du Haut-Nil;
indpendamment de
elle
fit
mur de
la terrasse
de
l'Est. Je
ne
ait
sous la
XVIIP
dynastie de
liste
accompagnait
le rcit
castrs dans le
q
"vx 7\
'1
J
y
noms de qui tous appartiennent aux peuples du Sud. On sait combien son successeur Thoutms III aimait ce genre
J'ai
retrouv
l les
U ^^
r
r
^BH
^S ^^
1^=^^
conquises.
Thoutms
il
dans
le
les r-
gions du Haut-Nil
c'est
nous donne
catalogue,
P'"
la rvolte
qui eut
92
lieu l'an
de Thoutms
III
II,
Thoutms
de se tourner du ct de l'Asie.
celui
que
j'ai
dcouvert dans le
il
Kahun de
de
la
XIP
dynastie'. Mais
est
l'origine
rgne de Hatshepsou,
est considr
la
c'est celui
le pre.
la nais-
Ammon
comme
la
Charapollion
temple de Luxor
chambre de
roi par
naissance
d'Amno-
en avait reconnu
les
du
roi jusqu' ce
baptme du
rieuse, qui est rpte propos de la naissance de presque tous les dieux, Philse',
III
qui
l'a
invente.
Ce
roi s'tait
de son temple
et faire
adapter sa personne ce
les
qu'il avait
vu sur
le
mur de
la terrasse
il
scnes
mme
les
me
parat
que ce dieu
est
charg de compter
la
Les inscriptions de
Ramss IL
Aahms,
et
la
du
roi
Thoutms L""
du dieu Toum
III.
videmment Amnola
IV
a pass par
l.
Se trouvant devant
la description
de la naissance et de
jeunesse
Ammon
Il
Ammon
<
Amnophis IV
commence le neveu,
il
n'a
tait
un fervent adora-
chercha tablir
le culte
Ammon.
Ces inscriptions devant tre l'objet de
la
seconde livraison de
le
la
grande publication
de Dir el-Bahari,
je les laisserai
de ct pour
moment,
et je
me
dcret de
c'est la
me
flatte
Une
y a beaucoup de
parties douteuses, ne
Petrik, Kahun, Gurob and Haicara, p. 22. Philse, quoique Horus soit appel le fils d'Osiris, oa voit cependant jours le rcit de l'apparition d'Ammon la mre du roi.
1.
2.
le
tableau qui
accompagne tou-
93
il
Un
les lieux
me
permettra peut-tre
ma
copie, soit
ma
traduction.
fait
choisir pour le
nom
de
la reine la
MM. Le
fait
Pag-Renouf,
Wiedemann
l'ancienne transcription
qu'elle a t
abandonne par
plupart
que
les
se soient
mis d'accord, ce
nom
a t lu de diverses manires
Hat.'^hopsitou par
M. Maspero, qui
M. Moyer
M. Erman (Muse de
Berlin),
HaHscJiepsu
par M. Erman, qui parat avoir abandonn cotte lecture {^rjypten und y!gyptiscJies
Leben), He^-t-sps par Brugsch {^Egyptologie, p. 479), qui prcdemment
{Geschichte ^gijptens).
lisait
Haschop
Pour
possible.
la
On
valeur seps du signe y^, il me semble que maintenant pouvait arguer, l'appui de l'ancienne lecture as, que
il
la
nouvelle
6'(?/)s
avait
t tablie par
et que,
par consquent,
no
(
faisait
p as
loi
pour l'Ancien
et le
la
Moyen-Empire,
et
en
particulier pour le
nom du
roi
^ pp^ ]
t.
Mais aujourd'hui
question
me
parait tran-
che par des textes publis par M. Daressy et qui proviennent de cercueils du
Moyen:
XV
I.
>
"^^^^
"*^
^^^
mme
si
Ji
il
pas voir
l la lecture
de l'expression
la
frquente
1
1
-^
Il
dans
le
cartouche de
le
complment
du mot
^1.
Je ne
^O-
Quant
la finale,
il
me semble que
considrer
du mot un
beaucoup
comme
la
groupe
^
(nf=^
qui termine
le
nom
est
un masculin. Le
personnage
au groupe ^J) ^,
la premire, la suprieure.
le
^-^ M,
mme
que celui du
nom
que
nom
le
de
la reine
veut dire la premire des grands, des nobles du royaume. Nous verrons plusieurs reprises dans ces inscriptions le rle
k3
gouvernement de
Thoutms I"
amis du
et
de sa
fille les
''aL
v^^^'
ils
le droit
de s'appeler royaux,
1.
Mariette, AhycL,
II, pi.
XLVI; Catalogue,
p. 235.
2.
Ou
trouve dj ce
titre
Morgan, Dachchour,
d. 33.
94
parent.
Il
est
la
au trne, pour
pris
l'intronisation de laquelle
soit sa
convoquait tous
les
grands du royaume,
ait
haute dignit,
soit
hommes
nous
une place ct de
Le nom de
les
comme
l'on dirait
connaissons,
ni avec l'apparence virile qu'elle a tenu revtir dans ses portraits depuis sa naissance,
car c'est dj un petit garon que nous voyons dans les bras de la reine
Il
Aahms.
'^,
est certain
la finale
fminine '^
ou
en gnral
elle est
dans
les
cette ortho-
monuments
les
celles
de Semniut sur
reine
nom
nom
HatsJiepsou^
INSCRIPTION DU VOYAGE
Les deux inscriptions qui suivent proviennent du
trional
(Pl.
I)
mme
endroit,
fait
du ct septenpendant celui
du mur de soutnement de
il
la terrasse suprieure.
Le mur
la
de Pount, dont
la terrasse suprieure.
Le
mur
de sculptures dcrivant
naissance et l'ducation de
les scnes et les textes
vont
du Sud au Nord, c'est--dire de gauche droite. Le registre infrieur nous montre le mariage du roi Thoutms P*" et toutes les scnes de l'apparition d'Ammon Aahms,
de l'accouchement
et
de
la
Au-
et II.
la muraille,
;
en juger d'aprs
la disposition
il
semblerait que
premire
au bout
du mur
si,
et
commence
demander
la reine
dans ce
1.
Lei'S.,
Denkm.,
III, 25.
2.
Dans
la transcription
Hatshcpsut, Vu de
la finale
M. Erman, Granim.,
106, que
le pluriel
des
noms fminins
cits par
en particulier
les principes
lecture Ha'tepsou-ct de
comme concluants. Quanta la M. Setbe, ce n'est plus une transcription, c'est une reconstruction du mot d'aprs noncs par M. Erman dans sa Grammaire : la rgle que je viens de citer et l'affirmation,
les
exemples
Cette rgle ne
me
mon
v\
est
la
consonne
ic
vovelle.
95
fait
dans
le
pays du Nord
la suite
les
eu lieu qu'aprs que son pre l'avait associe au trne. L'intronisation devait tre accomplie.
Cependant
le
il
tait spar
de l'inscription
qu'il n'y a
absolument rien en
L.
Sa Majest
est
L. 2,
))
Il
arriva que
Sa Majest
s'accrut
extrmement^;
extrmement, sa stature est d'un dieu, son apparence est d'un dieu,
L. 3,
toutes choses
tait
comme un dieu,
fille,
'
elle est
sage
comme un comme un
le roi
dieu.
arriva,
quand
Sa Majest
L. 4,
arbre
(?), elle
produit
une autre
fois S.
M.
s'avana
L. 5,
dans
le
pays du Nord,
la suite
de son pre
Aakheperkara, vivant
la reine
la protectrice
de Thbes, Buto
de Tep,
L.
Ammon-R le seigneur des trnes des deux pays *, 6, Toum le seigneur d'O, Menthou le seigneur de Thbes, Chnum
le
le
seigneur
d'lphantine,
et
chef de tous les dieux qui rsident Thbes. Tous les dieux du Midi
plaisir
du Nord prirent
L. 7,
ils la
en
elle,
conduisent sur
les
ils
bons chemins
ils
viennent et
lui
apportent toute
la vie et la
elle, l'un
devance
:
L. 8,
fille
ils
lui disent
Viens,
le
ordonnances dans
le
pos-
sdes,
L. 9, tu fais prosprer ce qui tait en dcadence, tu as fait lever tes statues dans
tes temples, tu as enrichi les autels de celui qui t'a engendre, tu parcours les pays, et
tu embrasses
L. 10,
les
tu pilles le
Ana de Nubie,
chefs.
tu saisis
1.
# ^
pi.
litt.
clio^c,
coup. Cf.
2.
3.
II, 23,
Quoique
Le
ma copie porte y4p\ ^\ CZSZl je lis -L nom d'Ammon est toujours restaur, quelquefois
I
^^v^
_^^
mme
c'est
J'ai traduit
par
le
me demande
s'il
signifiant lance,
le
mot
1
se trouve sur
mme mur dans une inscription se rapportant D aN, CIZD- Si celte interprtation, qui n'est
rait le
C30
Ce
(J-rh'
U
XI
c>
vrifiait, cela
explique-
nom du
;\
dieu S^.
que
j'ai
trouv
ii
serait
une divinit
analogue
v\
.^^
qui
lui-mme
est fort
semblable
|\
J)
96
L. 11,
))
les chefs.
sont des
hommes
))
. .
L. 12,
le
du midi d'Ammon-R,
ont mis leur
aux dieux.
de vie et de puret.
louange, car
ils
cur
^ (?)
ciel,
des enfants.
de
tes enfants
les grains, tu es
L. 15, ...
nombreux comme
couronne.
fille
du mari de sa
mre (Ammon).
INSCRIPTION DE L'INTRONISATION
M. de Roug',
tudiant les
P*"
monuments de Karnak,
prsent sa
comme
les
reine au dieu
Ammon,
et lui avait
marques d'une
Sur
au sud du grand au de
la triade
thbaine'.
Le
Ammon;
malheureusement,
de
la fille
du
du
roi sont
en fort mauvais
tat'.
P''
Cependant, dans
(1.
les
lam-
demande au dieu
fille
12) qu'en
lui-
rcompense de
ce qu'il a fait,
le
l'Egypte et
d'tendard
,
le
(1.
comme
mme.
Il
mentionne
nom
1
allusion ce
nom
de ^^^(1
AAAAAA
l'amie ou l'associe
d'Ammon
la
les
qu'elle va
adoptera
trans-
le dieu. Il
royaut
lui soit
runisse dans sa
1
main
domination sur
Dsormais
elle sera y
Sa Majest.
la
tique, est racont dans l'une des inscriptions les plus longues que nous ayons conserves
le
grand
nom
ches, constituaient le
nom
question de la reine.
^'
\
^\
'
ff?)
Pv
les
"'^
le
que
la phiase
dieux rendront
mme
2.
elle tendra
.
dmesurment
nombreux comme
les grains d e bl
Y\
ici
la
douzime heure de
l'une des limites
et
la nuit (Jiquieh,
ciel.
t.
p. 7 et 135), considre
3.
comme
du
assyrienne,
I, p.
47.
97
ici, crit,
le rcit
de ce que son
i)re
Ammon.
conqutes, elle ne pouvait oublier cet pisode qui terminait dignement une ducation
laquelle des dieux en grand
nombre avaient
seule.
travaill.
Ce
rcit,
comme
mort de Thoutms
de
la
Il
date du
Il
en est de
mme
qui
me
du
temple qu'aprs
sent
comme
1.
vivant \
1.
Le commencement de l'inscription
voit la Majest de son pre.
. .
PI. Il,
On
le
son
diadme
est lev,
elle
la
L. 2,
juge.
avec justice,
elle s'lve" la
qui reoit
L. 3,
vie
dans
[1).
Viens, tu es res-
mes bras;
vois ta.
dans
le palais.
Ta personne
est
la
couronne, tu excelles
L. 5,
))
les
deux
L. 6,
))
mon
du double
diadme, tu
parce que tu es
mon
hritire
que
j'ai fait
natre,
1.
2.
p. 17.
i
Toute
cette
(1
est
les
textes des
Pyramides.
M. Maspero
p. 261),
le traduit
par
entrer (Mirinrl
J,
1.
admettre
M. de Schack (Grainrn.
.
3.
^^
/r^
.
I
U
/L/
''
^'^^-
^" dir/nit de sa
couronne,
aux
attributs
de
fois
la
1.
4,
^^
^^^^^^^
A^rrV
/)
S=3,
et
une
au
4.
^"
^^-
"^
AT)
Je crois qu'ici
est
un simple dterminatif
1.
autant de l'expression que nous trouvons dans une phrase de la pyramide d'Ounas. qui dcrit
ici, 1.
un
213,
(1
ici
v\
-^
1 w^^>v
I
^^
variantes
la
variante du
tombeau de
la
reine T
OO
semblent prouver d'une manire encore plus claire que
donne
AT) VX ^ a Jl ^=1^
et
que d'autres
<^^
.
est
D'autre part,
kcv y^
,
D
.
"^^"^^ty
-^^ AZ)
n,
a
et
encore
le
qui indiquent
parat tre le
dLoi\,
une
lecture
yen pour ^
fl.
Dans
la
ces
sens de l'expression
me
mme
ligne 23 de
inscription,
y^^
l'intrieur
un sens
phrase cite par M. de Rong, p. 66 Le roi m'cleca -les enfants royaux dans la grande maison royale, parmi les intimes, ou comme un familier.
roi, et je traduisais la
niicuicii.. xviii.
du
parmi
Nouv.
siir,.,
n.
13
98
L.
te
7, fille
de
la
couronne blanche
et
de
la
couronne du Nord,
les
ornements royaux
seront donns par ceux qui habitent les demeures des dieux.
L. 8, L. 9,
Ma Majest
a fait venir les nobles royaux, les hauts dignitaires, les amis,
le
les
hrauts du palais,
fille
Il
prit la
Majest
L. 10,
de sa
palais de.
du
roi
lui-mme
L. 11,
tgent.
dans
le
du
Ici le rcit
s'interrompt et
fait'
abrg ce qui vient de se passer. Sur une estrade, laquelle on avait accs par
marches
et qui tait
videmment en
bois,
aussi.
Ce qui
tait mobile,
dmonter
et le transporter
que
les
le
On
du plale
comme
y\
^^
pavillon
\\
%,
Wh
il
>
ailleurs
les fois
que
le roi parat
est
dans un
comme celui-ci
Sed.
I''",
et aussi
le
couronnement
de
la fte
Thoutms
tourne
le
le
bras un jeune
homme
le
qui lui
dos et qui a
de s'loigner de
lui.
ip de la
main
dont
la
personne et
noms ont
t martels avec le
la
position o elle est, elle regarde les grands et les nobles qui
s'avancent vers
elle. Ils
du pavillon par
Ils
taient
pour saluer
Quant aux
crois
^h^m!^
^
dont
il
que ce soin des gens de condition infrieure aux prcdents qui servent d'escorte
l'accompagnent; mais on ne
les voit figurs
:
la reine, qui
nulle part.
L. 12.
Ma
fille
que
voici,
Khnoumt Amen
Hatshepsou vivante,
L. 13,
veux
la
mettre)
ma place
.
sur
mon
L. 14,
les lieux
de
mon
1.
palais, elle
vous dirigera'.
V.
pi. II
[,
1;
je traduisais 2.
par
Maspero, Proc, t. H, p. 308; Navillk, Fcstical, p. 5, pi. II; Le Dcret de Plitah, pavillon . Pour les variantes, voy. Rrugsch, Dict., p. 1552; Suppl., p. 1331.
Q"^
je
p. 16,
La
particule
^^\
le
me
que de confirmer
'ide
exprime par
^^
(I
I
W^
I
K>^
'^''^'
'"
^^' ^^'
ou
lorsque, puisque,
v\
(1,
34),
^^\
(1.
36). L. 26
99
L. 15,
(pii
l'honore vivra,
et contraire
Sa Majest,
celui-l
et
approuve
le
nom
de Sa Majest,
L. 17,
comme
il
a t
fait
pour
Fut divinise
la fille
les
elle, ils
ten-
les jours,
comme
. .
le
matre
L. 20.
du
roi, reine
d'Egypte,
Ramaka
le
vivant ternellement.
Ils
L. 21,
roi
ordonna
(?)
sortirent ensemble,
(?)'.
ils
poussrent des
dvoilrent
(?)
dansrent cause
L. 25,
Ils
publirent,
le
ils
publirent
le
nom
de S. M.
comme
roi
quand S. M.
tait
grand dieu
incline leur
fille
cur vers
sa
fille
Ramaka
ils
con-
naissent le pre de la
divine, et aussi.
est
(1
et
'O'^
.peut
y/^^--
pronom
(1
D\\
^^v*
372) et Piehl je crois
X)
et
|1
^z^
sont suivis
me semble
manires par
l'objet
{Proc,
1895, p. 26b).
n'a
Dans
les
font
de
si
deux savants,
I
que T
n <cz:> T
quldem,
"-^
car atisurmciit.
parait tre
AAAA/\A
f\Nsr\/W
/VVVW\
1.
Je Us
(1.
22)
-^
\
cris
^^
'^' *^^'
1\X
d^
^1"'
se rjouir, 2.
pousser des
les
Dans
trois fois
y^
du graveur. Dans
la. ligne
premier cas
p,
-^v
de
prcdente; je considre
comme le mme mot que -^ \\\\ (BiiuGscn, Dict., p. 1560), ^^ une des nombreuses dsignations des deux parties de l'svpte. De mme la
-R
^^1
'^C^^Vir
'
^'o''
tre
un
"^^
les
soldats,
la ligne 25,
^\"0'
^1^
P'ii'ait
publient n Vend,
3-
ils
U
1.
|-,
^^1-
25,
V\33k^.
SuppL,
1.
30,
(1
(Mau., Karnak,
pi.
XVI,
49;
Brugsch,
Dict.,
p. 92).
100
'
'
L. 27,
ils
son cur, et
L. 28,
le
il
si
quelqu'un dnigre
nom
de Sa Majest,
))
tueront sur-le-champ.
elle
L. 29,
Car
les
La Ma-
que
les
L. 30,
le
nom
de sa
fille
pour
quand Sa Majest
tait
un jeune
homme au
fit
(les
hrauts) pour
roi, et
fit
qu'on scellt
pourvoit tous
L. 33,
))
de
les
deux pays,
l'anne, et le
commencement de
Ils
commencement
L. 34.
))
de priodes Scd
car
le
publirent le
noms royaux,
L. 35,
))
noms comme
il
auparavant.
Suit la
liste
de ces grands
noms
'
les cartouches, et
temple; ce sont
de
Hatshcpsou. Au-dessous est un espace blanc destin sans doute recevoir l'image d'un
dieu qui tenait
il
la
les
marquait
le
nombre
de priodes Scd, nous dirions des sicles que le dieu avait promis
:
nom
que
fit le
:
dieu
auparavant.
la
palme
Le
premier Tlioth,
roi la
le
commencement de
les
l'anne, le
commencement
deux
terres, le
matre de Shet.
Sauf
le
premier
ne font pas
ils
voulaient se donner
dans leurs
flatteries
au souverain.
T^^
(l.
deux
fois
1.
32,
Thoutms
du
L'"
par
rdacteur de la stle de
c= H[K
\
Tombes
que
2),
s se trouve
sur l'oblisque
mme
roi
Karnak. Quant
je traduis
dfensive, c'est une manire de dire la reine que sa vaillance est la protection de
l'Egypte. C'est
mme
1.
Il
est intressant
de comparer au couronnement de Hatshepsou celui du roi Horus, dcrit dans une tlic Soc. of Bibl. Arch., t. III, p. 485). Pou r Ho rus aussi, l'une des conditions
la fixation
de son fjrand
nom
> -rc-^
ji.
15)^
101
un
mur de
Ainsi
il
que Thoutms
P""
prit
fille
et dclart
en pril
le trne,
faut
qu'on donne un
nom
nom
soit
approuv
rekhitou, les principaux et les soldats, aprs quoi les hrauts en feront
oHiciclIe et le fixeront dfinitivement.
Il
publication
est curieux
de voir que
le roi
ne dcide pas
soient inter
lui seul
quel sera
le
nom
fait
de sa
fille. Il
'^b:^!
^^ ou
i^l
t^
Ce mot veut
les lignes
^_^
proprement
il
^/a/"e la
15
et 16,
se trouve la suite
1^
^K\
ou au
nom
de
pourquoi
mot
une
Dir
ils
nom
de
la reine signifie
reconnatre
son autorit royale et dclarer qu'on s'y soumettra. C'est ce que font
classe
les rekhitou,
d'hommes
ils
el-Bahari,
^rll' auxquels
9) traduise ce
(1
mot par
c.(j[|
<rr>
I
A^AAA/<1^^
la
n'est pas
v:^
et
tu Jais en-
aux
j'ai
rekhitou, dit
le
Ammon
Thoutms
,
III
XXI).
Dans ce passage,
rendu
mot par
mankind
qu'il s'agissait
mme des
sujets
du
roi
dans leur ensemble, mais d'une classe part, d'un caste ou d'une aristocratie
le roi et la foule, et
lig.
intermdiaire entre
qu'elle a
\qs
un chef
^^.
les
9 ou
^p,
les
lig. 15.
Je traduis donc
ici
le
principaux ou
grands.
^l==_
AAA/VV\
Aprs
il
les
rekhitou viennent
V\
VH^
les soldats.
Dans
_CI1\S' iZ-X
mentionns
qui
comme une
ont faire
la
mme
chose que
les Q
'
les hrauts, ce
est exprim par un mot inconnu jusqu' prsent dans cette acception ^_^'0 Ce mot est d'un usage trs frquent comme substantif signifiant le granit de Syne; mais ici il
s'agit
noms de
la
la reine.
Or,
comme
les Q
'
qui font
sacrs
cet acte taient les prtres chargs de lire les prescriptions relatives
et qu'on voit
aux
rites
souvent un rouleau
main,
le
tre et leurs fonctions, c'est celui de publier, proclamer. Les soldats l'ont dj fait
la
ils
enregistrent, et,
Au
couronnement de Hatshepsou
est joijite
^'^^
est
exprime ainsi
!<=:=>
^X/
pi.
^k.'"^'^
V.
='
bonjour
{sa fte)
du couronnement
1.
102
au commencement de l'anne et au commencement des saisons runis, et plus loin ^^^ le premier Thoth, le premier jour de Vanne, le commencernent TJtT ^ >(jy @ [{{ I o soit des saisons, runis. Dans l'expression iS je n'hsite pas lire le signe j
:
.
{j
saison.
le
Il
ressort
donc
de ces
le jour
du couronnement de Hatshepsou,
le
premier jour de
premier jour
la crue
le
c'est--dire le
fixes, tels
que
du
que
mique.
le
astres, telle
II
que
la
faut y voir
les
les saisons,
de
3G5 jours
se faire
l'cart
sentir souvent
pendant
la
tait trop grand, lorsque, par exemple, une fte qui devait tomber sur l't en tait venue
commencement
comme
la
le dit
notre inscription.
L'cart, n'tant que d'un jour tous les quatre ans, ne se faisait pas trop sentir pendant
de refaire
La consquence du couronnement de Hatshepsou par son pre au pouvoir royal fut qu' la mort de Thoutms I", elle se trouva
qu'elle l'occupa seule quelque temps.
Il
et
de son association
est impossible,
I'-''"
et celui
succession
Dans l'inscription de
l'an
en est de
le
mme
dans
les inscriptions
donne pour
dressait ces
que
le
dieu
Ammon
et
les
II,
annes 15
me
mettre
ici
dis-
mais ce qui
me
j'ai
c'est qu' la
mort de Thoutms
Hatshepsou
II,
qui lui succda et qui rgna seule quelque temps; puis elle pousa son frre Thoutms
dont
le
A la
mort de
Thoutms
III,
qui n'tait ni son frre ni son poux, mais bien son neveu, et qui toujours, lorsqu'il est
1.
Brugsc. Kalcndarisclic
2.
2Q'J.
103
reprsent avec
la reine,
noms
et ses titres
INSCRIPTION DE L'AN IX
(Pl. III)
Cette inscription tait visible la suite des fouilles de Mariette; mais je ne sais
elle a
pass inaperue.
qu'il
M.
mur de
la
rampe;
le
que
la
le
soin, ainsi
dbute.
Le double de
le texte,
il
la
qui supportent
Dans
y a
mme cinq
le
que
l'on a
compltement dtruites, o
la ligne
ne laissant
plan in-
Comme
mur du
manque presque
entirement.
L.
la
1.
L'an IX,
il
(le roi,
couronne royale
atef, sur
de son palais.
Vinrent vers
L. 2,
lui les
royal.
On
Qu'une
joie
mon
pre.
Il
a fait que
mon cur
j'ai fait
en sorte
ma
naissance', en honorant
mon
beaucoup
fait
L. 4,
))
pour
le
matre de l'ternit.
qu'on n'avait
auparavant. Je
(?).
y eut aprs
A cause
firma-
de la grandeur de
L. 5,
. .
.
ma
gnrosit envers
lui,
mon cur
Je suis sa splendeur dans
le
il
possdant ce qui
ment (?),
L. 6,
fais
je suis
.
. .
ouvre
connat
mon
en sorte que
la terre
des vivants
1.
^'
^>V
A^
.le
*==^
I
f^ ^^^
dans
le lieu
pronom k^^
au masculin'
l'inscription
de l'oblisque, propos
ducouronnemen.
^'^^^^
j
la reine
ici
P
il
ser
(1.
3 et
9) est
le
les
//''
'"=
"""
forme
nom
I
^^~\n
''^
v
/v^
'-^ (^'oy-
lutroductory Memoir,
9),
Je le rends
<=>
(' 3 et
Uf N>
des offrandes
3. largir ma naissance doit vouloir dire donner cette naissance l'importance d'un vnement de premier ordre et en clbrer dignement l'anniversaire. 4. Les lignes 5 9 sont fort obscures, et la traduction est tout l fait incertaine.
104
L.
7,
ma
bouche;
L. L.
8,
Lorsque
je
vous
le
ma bouche,
Ma
Majest ordonna de
ma
naissance, augmentant
le
tait (auparavant) du
sacr \
Ma Majest
comment
revenir;
il
(Ammon) mon
pre
Ammon
L. 12,
ordonna
...
le
baume
des
je destine
la
de sa maison; arrachant
arbres de
Terre Divine*,
mettant dans
le
pays dans
ensuite Vcind \^our prparer le
On apporta
bouche.
baume des
membres
divins que
j'ai
Ma Majest
ma
J'ai t
obissant envers
mon
pre
sa maison.
Il
L. 14,
...
il
dirigea
j'tablisse
Pount dans
met dans
sa
Sa Majest d'augmenter
(je n'ai
offrandes qu'elle
a destines.
(le travail qu'il
L. 15, ...
a ordonn)
mes
pieds,
m'a donn une place dans son cur, moi qui connais tout ce
aime. Le dieu
ensuite
(ju'il
Pount son
mes regards
me
elle...
dame de
gomme.
Ici
ce n'est plus
c'est
une
d'Ammon,
elle a
envoy une
les
l'on a rapport
arbres
1.
crite
rr
ij
TV
5t^
le
baume
fait
avec de
la graisse
de buf
La prparation en
est d-
les
2. C'est toujours Ammon qui est considr comme tant le guide des rois au pays de Pount. Je t'ouvre chemins de Pount, dit le dieu Sli I" (Lei's., Denkni., III, 125). 3. Vanti tait considr comme sortant du corps des dieux, des membres divins. Les baumes mdicinaux faisait
qu'on en
(1.
titre
appels
prcieux
JQ
10).
^
I
U'
U
Jl
v^'
4. J'ai cit ce passage et un fragment de la ligne 14 dans mon Mmoire (p. 25). d'aprs Brugscli {Dict., Suppl., p. 499), quoique ma copie ft en dsaccord avec la citation qu'il donne. En revoyant l'inscription, l'hiver pass, j'ai constat qu'il n'y avait pas de doute possible, ma copie tait exacte. Il n'y a pas
A X
t.
*=^^^ ^
,./1-
comme
lit
Brugsch, mais
trs distinctement
XVll,
p. 58.
^ X
cr^? L=Z]
^^
105
encens qui font rornomcnt du jardin du dieu. L'expdition do Pount est donc antrieure l'an
IX quoique
IX,
la reine
oblisques de
En
Nous
la
l'an
croire la prsence d'aucun prince ct d'elle, ni son pre, ni son mari, ni son neveu.
assise sur
lions.
Sur
le socle
retrouve plus ou
le
costume
homme, y compris
amis H
la
barbe, quoique
le
texte l'appelle
|'=^
Vers
elle s'avan-
le
par
les
^.
main une massue
Ils
La
reine tient la
et
je crois tre
une
lance.
la
prminence, qui a
la salle d'offrandes
pouvoir
j'ai
rel.
les plus
que
Western
Thoutms
III
rgnaient ensemble. Le
nom
de
Hatshepsou a t
salle, ils
effac partout,
celui de
Thoutms
la
Prs du fond de la
de victuailles
Ammon.
Hatshepsou' tient
massue
il
et la lance,
Thoutms
III
a les
cette poque,
du pouvoir.
Dans
enaten.
cette
les
mme
nom
d'
Ammon
II
Khou-
On
Ramss
d'
mettant
les
mains sur
les
paules
Ammon,
sans
le
nom du roi, avec des cartouches vides. Mais on a substitu Hatshepsou non pas nom de Thoutms III avec qui elle tait associe, mais celui de Thoutms IL C'est donc bien Thoutms II que sous la XIX dynastie on considrait comme le souverain
le
Thoutms
III.
Les
tableaux de Dir el-Bahari confirment absolument l'ordre donn par la table d'Abydos
pour
la suite
des Thoutms".
1.
2. 3.
pi.
III, 62;
Naville, Fcstlcal-Hall,
pi.
VI.
Sur
les objets
T,
au ma?culin.
Dir el-Bahari,
XXIV.
4. Id., pi.
5.
XXI.
XVIII.
Id., pi.
RECUEIL, XVIII.
NOUV. SR.
II.
14
136
SARCOPHAGE CRETOIS
relief,
trouv Hirapytna
de Crte, et qui
fait
Depuis
lors,
nous
et des
dcorent'.
le
fait
signal par
grco-romain ne portait sur ses faces de reprsentations isiaques, nous avaient tromp
sur la vritable destination du
monument.
Il
c'est
bien
du
mme monument. Ce
Il
sarcophage prend, ds
lors, toute
srie.
vaut donc
la
du fragment dj publi,
celle
nous observons, du ct de
l'arte intle
couvercle
dont un des fragments a t retrouv. C'est un bloc arrondi d'un ct, bris
de l'autre. (Cf.
relief,
la
coupe
ci-jointe.)
La
state
un videment angle
le la
tement sur
aisment reconstituer
phage de Sidon,
Nous avons
du
relief,
le
moiti de la
face intrieure. Cette paroi n'est pas autre chose que la sparation intrieure qui
geait
mna-
le
sarcophage.
Voir Recueil, 1894, p. 1G2 et suiv. Jai tudi ces nouveaux fragments en octobre dernier. Mon ami, M. Pierre Jouguet, membre de l'cole d'Athnes, les avait vus quelque temps avant moi. Sa connaissance spciale del civilisation grcogyptienne le mettait parfaitement mme de publier seul cet intressant monument. Il a bien voulu me demander ma collaboration que j'avaisqnelque scrupule :\ lui proposer. Nous devons remercier S. E. Harady Bey, qui nous a permis d'oll'rir ce monument aux lecteurs du Recueil, ainsi que M Chassinat, membre de l'Ecole du Caire, qui nous a donn quelques renseignements prcieux pour l'interprtation des scnes figures. [A. J.] 3. Laf.we, Dicinits d'Alexandrie, p.^ 206.
1. 2.
.
SARCOPHAGE CRKTOIS
107
II
Fragment
il
faut y voir un des petits cts du sarcophage, i)uisque la paroi intlui est
la longueur.
deux arcades.
Du mme coup,
m. 44,
et la largeur
m. 45
m.
50.
dtail la description
et
le
rapprocher
Srapum d'Alexandrie.
parat aujourd'hui
au nombre de
trois,
Horus,
Isis, et
un
homme. Nous ne reviendrons pas sur la description de l'Horus hiracocphale, qui tait intact. Le bras gauche du jeune homme a t retrouv et rajust il tient un vase et le prsente au dieu. Le vase avec ses deux petites anses et le bton d'onguent
:
une imitation
parfum que
sur plusieurs scnes d'offrandes gyptiennes. Quant la coiffure deux pointes du jeune
homme,
elle est
inconnue sur
les
monuments
la
du
faits
que
le trait
indiquant
la
pointes d'un
mme
bonnet.
L'Isis a t
complte
l'aide
la tte
manque
encore.
ses pieds on voit un bout de sceptre sur lequel elle s'appuyait de la main
le
Son costume
son manteau,
se
une
ceinture avec laquelle se croisait une courroie qui passe sur l'paule gauche.
Un
pan de
le
manteau franges
{fiinbria)
de Tlsis alexandrine,
retombe sur
l'paule.
comme on le
1. Parmi ces fragments, nous ne comptons pas un fragment rapproch tort, dans le Muse de Tcbinli Kiosk, de notre sarcophage. Tel qu'il est, il reprsente le torse et le haut des jambes d'un homme qui tient de la main gauche une sorte de gerbe que l'on pourrait prendre pour la coiffure d'un Bs(?) L'homme tait debout ct d'une femme, assise sa droite. Mais les proportions des personnages sont plus petites que celles des per-
sonnages du sarcophage
d'autre part, ces personnages sont traits en ronde bosse, au lieu de l'tre en relief,
comme
sur
le
sarcophage.
108
SARCOPHAGE CRETOIS
Reste interprter
la scne.
article
une
scne d'initiation.
explication et
celles qui
sont
comme
peut
dans
le
Il fait
le
mme
geste accueillant de la
l'on
main
droite, et de la
la
gauche
il
s'appuie sur
un
sceptre.
observer dans
sceptre
homme,
viendraient
demeurent inexplicables
librement ^
homme
sur les
du temple.
place la
Dans
les
monuments
le
gyptiens,
le roi
lve l'offrande de la
main
droite, et
l'objet offert,
comme
s'il
du
?
Sur
tourne
le
dos
Isis
Le
successivement Osiris,
Isis et
du sarcophage. Dans
scne consacre
fils, le
au
fidle avait
au pre
et la
mre, et
c'est
le
fidle
semble venir,
sculpteur a plac la figure d'Isis. Peut-tre aussi tout simplement a-t-il voulu remplir
La prsence du mme
que
Sur
fragment
II est conserv
un
homme, dont
la tte,
les
exactement dans
les parties
conserves
tient
le
personnage de
sceptre.
la petite face.
la
Devant
lui,
on
main qui
un
le
gauche de
encore
le
mme
devant
lui,
de deux
mme
personnage que
dans
la
scne de
la petite face.
du
mme
personnage
dans
le frag-
ment
III,
o
lui,
homme
Derrire
un autel dont
et
Cette base qui supportait la colonne de l'arcade, diffre de celle de la petite face.
On
la
colonne
du fragment
triques.
et celle
du fragment
III
les
1. Cf.
Mariette, Dcndrah,
pi. 31.
SARCOPHAGE CRETOIS
de personmiges et d'animaux gyptisants, analogue celle qui court dans
la petite face.
109
le
bas do
Sur le fragment IV, il ne reste qu'un pied. Le fragment V contient les deux pieds d'un personnage marchant
un bout de manteau. Ce fragment un morceau d'angle.
se rattache
vers la droite et
:
perpendiculairement au suivant
c'est
donc
Avec
le
Ici le
une femme au
lieu d'tre
un homme. La
divinit adore
elle s'lve
La desse
d'autel,
une sorte
form d'un
pilier carr
La desse avance
voile se
le
tombe, derrire
la tte.
Ce
compose d'une
pour passer
la tte.
La
partie
qui recouvre
le dos, est
ramene sur
la tte
dont
le
bord ceint
le front.
Une
tresse de
Peut-tre enfin
la desse tait-elle
femme
dans
se tient debout,
vue presque de
la taille
la
manque.
hauteur du visage
femme
tient
main
un oiseau, dont
la tte a disparu,
C'est l encore
retrouve sur les tableaux gyptiens, o elle sert supporter des offrandes; jusqu'ici on
n'y a pas rencontr d'perviers, mais on y voit des oiseaux tte humaine, symbole de
l'me.
Le choix que
le
sculpeur crtois a
fait
du sarcophage.
d'une scne analogue. C'est une tte d'Osiris,
faire partie
fait
dans
le style
tte tait
la coiffure
du
dieu.
Horus, deux
fidles,
un
homme
et
faisant des offrandes, tels sont les personnages reprsents sur les faces
du sarcophage.
Que
comme
Ce
pourrait
emblme
sa coiffure?
est plus
emblme
sans
le
comprendre.
le
Mais ce qui
portrait des
n'est pas
douteux
c'est
fidles
la
1. Il n'est pas probable en effet que le sarcopbage contint plus de deux places. Pour trois places, les proportions ne seraient plus en barmonie avec la bauteur
110
SARCOPHAGE CRETOIS
est attribue la dcoration
nages
(petite
face), les
fragments
et
II,
III,
IV,
ments
VI
femme.
sur
le
Il
femme
ct long^
Ceci pos,
il
est facile
de dterminer
la
Dans
la
le
cas
soit,
pour
cuve,
en dduisant l'paisseur des parois, 156, ce qui parat donner une place insuffisante pour
le
cadavre.
Le mme
chiffre
videmment trop
que
le
grand ct contenait
IV, que nous avons attribus au long ct, on peut reconstituer justearcades.
III
La prsence de
Le
un
surtout pour but de donner au fidle des formules ou des indications destines le
guider dans
le
Mmoire sur
l'origine
et la nature des
mystres d'lcusis
a montr
comment
la
les
ides des gyptiens sur la mort et avaient adapt aux mystres d'Eleusis le rituel osirien. C'est ce qui explique
face
En
ralit, l'initiation
t autre chose que la rptition gnrale de la scne qui se jouerait dans l'empire des
la
d'initiation
En
dans
les ides
des anciens, les deux crmonies se confondaient. Dans tous les cas,
les
le
sarcophage ne fus-
aux mystres
Isiaques.
La
fait la
P""
tre tout
mme
ici
que
dans tout
le
monde grco-romain,
Isis,
partir
du
sicle
nom
reprsents
ne sont pas
la triade
les
dieux de
la triade
Harpocrate,
mais ceux de
purement gyptienne,
pocrate sont des divinits particulires caractrises par des attributs spciaux qui
n'apparaissent point sur notre sarcophage. L'Isis
risis alexandrine reconnaissable
mme
au
sistre et
qui
1. On pourrait peut-tre conclure de ce fait que la quatrime face n'tait pas dcore, comme il arrive frquemment sur des sarcophages d'poque romaine. 2. Noter aussi sur la petite frise du bas des personnages, tels que les Anubis, tcte de cbacal. qu'o ne peut prendre que pour des dieux conducteurs de morts, Ouapouaitou.
((
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
111
la fidlit
avec laquelle
le
gyptiens dont
il
le sens,
le
compose
les
scnes
dans
le
got et
la religion alexandrine,
les
cultes gyptiens avaient pntr en Crte, sans plus tard se laisser absorber par la
religion nouvelle. Aussi, verrions-nous volontiers dans les scnes, qui dcorent notre
admettre que
la
il
religion
la
religion grecque,
ds l'poque
mycnienne,
et
que
la
gyptiens dans
le
monde
grec.
Le
la
le sol
si
de
grande
le
grecque d'o
le
mme
du
peuple Cretois chez qui rien ne se perd, un observateur attentif ne pourrait retrouver
encore quelques dbris mconnaissables del lgende d'Osiris?
laquelle
il
A Tpoque
d'Hadrien,
donc avoir
conserv des adeptes en Crte. L'ptre apocryphe de Paul Tite* nous laisse entrevoir
les difficults
le
connaissons rien des pisodes de la lutte entre la religion nouvelle et le paganisme. Cette
lutte fut
nous ne pouvons
II sicle, la
du
coexister trs
longtemps,
comme
aujourd'hui l'islamisme et
christianisme.
La
religion isiaque ne
disparut sans doute de Crte que dans la tourmente finale qui dtruisit, sous Thodose,
les derniers
KOMMAGENE?
P. Jensen
bislier
(s.
Bd. XVII,
vom
1. Nous renvoyons, ce sujet, h notre prcdent des sculptures du temps d'Hadrien. 2. Voir notamment, Tite, i, 12-13.
3.
article.
Noter encore
le poli
du marbre, caractristique
Cf.
Rvillout,
2'
Mmoire sur
les
4.
S. Z. D.
M.
Paris, 1887.
112
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
am
Mar^'as, die
48, p. 305
kaum
dem
(s.
Z. D.
sie
M.
G., Bd.
Q.),
um
Wir
dabei noch
sie einer
mgiichst
spten Zeit zuzuweisen, einer Zeit, zu der einerseits die assyrische Kunst noch den vor-
deren Orient beherrschte, andererseits aber die Herrschaft der Kiliker in jenen Ge-
genden wenigstens einem vorlufigen durch die Assyrer bereiteten Ende nahe war,
der Inschrift auf eine verhltnismssig spte Abfassungszeit hinweist
also
der2ten Hlfte des Sten Jahrhunderts vor Chr. Dazustimmt, dass auch der Schrifttypus
:
In einer Reihe
z.
von
iiber
',
den Typus
B. der
dem Zeichen fur dem Topf, an dem fiir bh Lippenlaute ausser w und m), dem urspr. Kalbskopf, an dem fur und e. Ganz besonders zeigt sich eine solche Entwicklung an dem Zeichen fur s{is, etc.) Dises
(und wohl
aile
?
'
je
einem
durch
Scheibchen an dessen beiden Seiten. Aus den Scheibchen werden dann Quadrate, die
erhabenausgemeisselt werden. In der spteren eingemeissclten Schrift werden
sie
vom
Arslan-tepe
aber, wie in noch einer anderen dort gefundenen Inschrift mit erhaben ausgemeisselten
Zeichen, durch 4 erhabene Striche. Das scheint nur erklrlich unter der
Annahme,
dass
man
zur Zeit, als die Inschrift hergestellt wurde, bereits mit eingcmeisselter Schrift
vertraut war.
Da Grund
zu der
Schriftzeichen von Sendjirli auf einen Einfluss der kilikischen Schrift zurckzufhren
sind, so darf
auch immerhin mit der Annahme gerechnet werden, dass die sptere verder Kiliker wiederum nach spiiterem aramischem Vorbilde entstanden
tiefte Schrift
ist.
Zu
man
in Sendjirli, soweit
wir bis
jetzt
wissen, nur
noch erhabene
rat,
Man
ist
und
An
der Spitze der Inschrift stehen genau dieselben 8 Schriftzeichen in genau der-
vom
verf. Inschrift,
gehalten habe,
um
fiir
sonst
vorkommende Wrter enthielt und sich auch im brigen Telle mehrere sonst oft naclizuweisende Gruppen ausscheiden liessen, mit Widerstreben fiir echtzu erklren. Damais
unvoreiugenommcuer Seite bishergegen die Rsultats meiner Arbeit ber wordeu ist, ferner fortgesetzte Studieu mir dieselben in immer erfreulicherer Art bestatigen, eudlich nach kurzer Zeit von ernst zu nehmender Seite eiiie mir zustimmende Besprechung meiner Arbeit erscheinen wird, so kami ich nicht anders, as mich auf den Boden meiner Abhaudlung stellen, so auch im Punkte der Transcription der kilikischen Zeichen.
1.
Da von
ernst zu nehmender,
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
113
wusste ich Niclits von dom, was die Riickseite enthalt. Hilprecht, der dio Platto sclbst
gesehen
lit,
liiilt
die Sculpturen
fiir
gefalscht. Ich
Figuren auf der Riickseite aber ausserordentlich verdachtig aussehen und durcliaus un hittitisch , ist
msste
echten Inschrift
angenommen werden, dass ilir Anfang Wort fur Wort und Zeichen fiir Zeichen der vom Arslan-tepe entnomnicn ist. Aber ist sie nicht vor dieser gefunden?
Ich musste, so lange mir nur die von
Menant
Zeichen'
als eine
Gruppe
fur
einen Personennamen
vom
:
ArsIan-tcpe.
Gruppe
in Z. 1
Kopf
eines Fullens
II
(s. u.),
Bor
und gleich
Anfang der
Inschrift
als einen
Mann
ist (cf.
M.
f.),
so bedeutet dieser mit einemTierkopf zusaramen ein gewisses Tier, das ein
d. h. natijrlich einen
Mann
ist,
Mann
das cursive Zeichen fur den menschlichen Kopf mit einem anderen Tierkopf dahinter
die Inschrift von
Bulgar-maden
als
Gruppe
fur den
Knigsnamen.
der
Name
vom
Arslan-tepe?
Wir
Name
sein.
(Monolith
I,
etc.),
Kommagene dises Namens, ebenfalls aus der Zeit Sargon's [Annalen, 195 etc.), und, wenn die Annahme richtig ist, dass sich unter dem Namen Mu{o)-tn-r', des Bruders HVjS;rl's, des grossen Gegners Ramses des II, derselbe Name verbirgt', so wre er sogar
fur 4
sind.
Es spricht dem-
nach eine gewisse Wahrscheinlichkeit dafr, dass ein Knig Namens Mut{t)allu der
ist.
am
am
Sargon's stammen.
Zu
Der
Name
eiti
ist
durch
Namen,
dass
man
also
schrift sein.
Wer
1. Auf dem Original 3. In meinem Aufsatze (Z. D. M. G., p. 48, 351) nehmeicli nach eiiier mir durch Hilprecht's Vermittlung zugegangeneii Zeicbnung nur 2 an. 2. Dagegen spricht aber der Name eines anderen Bruders des Knigs, M',-t',-ri-m',. Die beiden Namen knnten dasselbe Elment Mot- gemein haben: dann wre als 2ter Bestandteil des erstgenannten Namens eher n-r; als II (geschr. nr;) zu denken.
UECUEIL, XVIII.
NOUV. SR.,
II.
15
114
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
direkt.
Zu
war
dort
{J.
Name
Sulehaali'
R. A.
XIV,
p.
560 und
XXV,
p. 27) fur
einen Knig von Melitene zur Zeit des Knigs Menuas{e) von Urartu, des Sohns
Ispuinis[ey s
ein
,
identisch
sein.
ist,
Name
w'ie
Compositum
Inschi-ift
vom
Arslan-tepe also
(II)
war Sarduri{)
{J.
von Urartu, dessen Zeitgenosse auch Hilarwada oder Hilar-wali von Melitene
R.
Da dessen Name wegen seiner Lange und wegen des Namens Sulehawali wohl auch ein Compositum ist, so kann wohl auch er nicht der Urheber der Inschrift sein. Erst sein Vater Namens Sa/iu- oder Sahu- (/. c, p. 642) kme
als solcher in Betracht. Dieser
hunderts gelebt haben, also aller Wahrscheinlichkeit nach vor der Zeit, aus der die
Inschrift stammt.
Es
bleibt
ten
Knigen
Knig
in
ist
aber wenig
f.),
wahrscheinlich.
Im Jahre 738
regierte noch
Suluwal
im Jahre 712 bereits Tarhuna^i (Winckler, Sargon, p. xxvni). Zwischen diesen beiden
ausser Gun:;i/ianu noch einen zweiten Knig anzunehmen,
ist
Wahrzu sein
scheinlichkeitsrechnung zu vereinigen.
schcint,
Ist die
wie
sic
dann
folgt,
fiJr
bemerkt, schliessen, danser Mut{t)allu hiess. Zu Sargon's Zeit regierte ein Knig dises
Namens Namens
in in
Gurgum
/iamma/</-Kommagene.
fur
wenn
den
Namen
nach meinen Entziierungen nur vor der Knigsniutze gesucht werden. Er umfasst also
i
Wir werden
es
Jerabis
III,
Knig des
daher das
Es
ist
fur den
Namen
des Landes
Der
alte
Name
1.
yyK,
etc.
i;l
etc.
schreibea einen iedenfalls mit yT< -aL-di-\[e]] zusamniengeseizien vannischen Namen Haldita (Inschrift von Bchistun, 111, 76). Schon bieiiiber slolpert die von Belck und Lehmann wiederaufgeuommene durch-
aus unmoiivierte alte Hypoihese, dass der Volksname Uer urdlicheu Cbalder mil dem des Goties yy<aldis[c) in irgend einem Zusammenhang siehi. Es i>i zu bedaucrn, dass es bei der Wiederaufiiahme der Vermutung nicht gebliebeu ist, sondern von ihr wie von einer J'aisache bereiis vor weiteren und weitesien Kreisen geredet wird. Natilich kann und va\x%s JremdLndi .-lies ha, etc., in Ermanglung eines ganz adquaten Aus-
^W
eic.
< in
dem Namen
in assyr. Schrifi ==
',
in urartischer zu lesen
etwa ha. nicbt ha sein. Wie Sayce liest es /*, aber ohne
Grund.
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
fur
115
Kammanu
(!)'.
Nchmen wir
an, in der
Gruppc
Z. D.
:
wiire ein
Ausdruck
eruierten Schrift-
(s.
M.
Weisen gedeutet werden. Man knnte lesen 1) Mi-Jid{i)-t, 2) M-Hd{i)-i, 3) Mil{i)di-i, 4) Mil{i)-d-i. 5tens knnte man in dein ITundekopf das Idoogrnmm fur don Namen und dann in der Klaue den Ausdruck fur eincn hinteren Teil des Namons, oder man knnte Ctens in der Klaue das Ideogramm fur den Namen und dann in dem Hundekopf den Ausdruck fiireinen vorderen Teil des Namens sehen. Die 2 ersten Lesungen sind ausgeschlossen, da m und mi durch andere Zeichen als den Hundekopf ausgedruckt
werden
Klaue
(s.
Z. D.
M.
t.),
als eiiie
Mehr
als
wird, die 5te, weil der Hundekopf als Ausdruck fur einen Nominativ (oder Genitiv)
unter den Titcln eines spten Knigs von Karkems (Jerabis
I,
3;
s.
auch Jerabis H, 4)
Hand nicht geleugnet werden. Eins aber spricht gegen all Lesungen, wennauch vor der Hand ganz zaghaft, das ist die Endung i. Bisher weiss ich
sicher vor einem Fall, sehr wahrscheinlich auch von 2en, in denen zu einem Genitiv auf
Nominativ mit dem charakteristischen Vokal / gehrt. Der Genitiv von Karkemis lautet Karkemi (z. B. Jerabis I, 1; s. Z. D. M. G., 48, p. 324) und die Endung
-i- ein
(Inschrift
von Bulgarmaden
2).
Es
ist
demnach vor
von Meli-
der
Hand
Namens
i
in der Inschrift
lieber,
rakteristischen
Vokal
als i hat.
XIV,
u.
645, Z. 22.
Kammani
fur die
man
Klaue
knnte vor der Hand Nichts eingewendet werden, auch Nichts gegen die Annahme,
Ideogramm fur Kammanu ist. Also der Hundekopf bezeichnet mglicher Weise ka oder kam und zwar, da er so selten verwandt wird, dann eher kam. Nun
dass sie das
liegt eine
fijr
den
Namen
wenn
Inschrift soU ungefhr aus der Zeit des Mut{t)allu von Kum{m)ulii-Kox\'\T[\?igQne, des
Wie
nun,
nicht
i
Kam
oder Kom-mag{kh)-i
zu.
lesen
Kummucber heisst bei Sargon auch Kummuhiai [AnKommagene im Westen also ungefhr Kummuhi{s) mit dem charakte
i
Vokal
im Nominativ.
1.
s. z.
ist
einfacb selbstverstndlich.
S. Sargon's Inschrifteu.
116
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
Aber Mut{t)allu, Knig von Kommagene Herr von Melitene? Warum nicht? Wiswas ailes in jenen Gegenden vor sich gegangen ist, ohnedass die Steine Denn Sargon meldet in diesem Falle liegt die Saciie anders davon melden? Indes
Kommagene
f.)
]-du, seine
Knigsstadt nebst
den Bezirken
ganz
dise
Neuem
ber.
Man
Winckler
wenn
v^eiter
identisch
ist
mit einer
Namen
Nach
Z. 388
Es
ist klar,
bezieht.
Muttallu von
Kummuhi
also
von
gehrige
Hauptstadt. Die Hauptstadt von Melitene war Miliddu, die in Z. 183 der Annalen
die Knigsstadt des
Winckler
fiir
dem
grsseren Teil
Stadt
-h nii
zu verbessern,
um
somehr,
ist.
als die
Edition Winckler's
und
rechts,
Recension
mit nur je
Giite,
der Annalen, nach der die Winckler'sche Edition von Z. 390 hergestellt
2en gcscbrieben. Auf Ersuchen Herrn Heuzey's batte Herr Thureau-Dangin die
den Abklatscb
vor
LID unmglicb
ist,
dass davor 2 Zeichen resp. Zeichenreste stcbn, von denen das 2te
sebr undeutlich
aber mi sein kann und, fge ich auf Grund der mir gtigst ber-
sandten Zeicbnung hinzu, fur das zunchst die Lesung mi in Betracht kommt, ja wegen
des geringen Zwischenraums zwischen ilim und den Resten des ersten Zeicbens eigentlicb
dem
ist,
was der
ausser
dem Zeichen
Stadt
fur alu
Stadt
sein
und zu
nichts
Anderem
eben zu ^t^|y =
ergiinzt
also richtig.
Es
drngt mich, den beiden oben genannten Herren, deren Liebenswrdigkeit ich dises
wichtige Rsultat verdanke, auch an dieser Stelle meinen aufrichtigsten Dank auszusprechen. Es verstebt sich nun von selbst, dass in Z. 195 etwa zu a]di [mutu) na-qi-i
[sa li-mi-ti-su
a-na
T]
ac/(?)-c/i"(?)[-m] d.
.
i.
nebst
Kommagene auch
zeitweilig die
Stadt
Melitene mit einem dazu gehrigen Gebiet, demnach jedenfalls auch den nur ein paar
miles von Malatia gelegenen Arslan-tepe besessen hat. Winckler
ist
auf der Spur gewesen {Sargon, p. xxix), bat sich's aber durch seine unrichtige Copie
von
Z.
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
HT
ist
die Inschrift
vom
der vorassyrischen kilikischen Herrschaft. Es wird weiter nahegelegt, das Zeiclien fur
lesen.
ist
ausgeschlossen, wic
,
wohl
aucli LesLiiigen
uiid HUai'wali{da)
letzten oder
wohl die 4
in vorassyrisclier
Zeit hiessen. Es
ist niclit
Kammanu
Kamdie
zu lesen
ist.
Wenn
Kamin
man
aber
Gruppe
Nun
Name
i
fur
Kommagene
im Nominitiv
Mattallu Kom-makli{g)-i
niir sie besser nicht
sirci.
denken knnte,
kommt von
In meiner Arbeit ber die kilikischen Inschriften habe ich nachzuweisen versucht,
Form
des Armenischen
selbst
ist.
obwohl
immer klarer zu Tage. Ich darf vorsichtiger Mann, der wie Wenige zu.
tritt
sich
kili-
er,
dass der
Armenismus
Die Lautwerte der kilikischen Schriftzeichen werden zum Mindesten zum Teil der
sein,
sie
einzelne Laute
und Silben
Wren sie es aber undwaren sie zugleich die VorArmenier, dann drfte man nicht nur, dann msste man erwarten,
sein.
welche Anfnge von armenischen Wrtern oder deren lteren Formen oder solche armenische Wrter oder deren altre Formen, sind die die durcli die Schriftzeichen dargestellten
BegrifEe bezeichnen.
Da
man mit
man
des akrophonischen Princips den Zeichen auch Lautwerte gab, die sich in kilikischen
Wrtern im Anfang
Schrift' mit
s
(z.
liinter
in der kilikischen
dem Topf
bezeichnet,
Topf
im Arm. mit
B. auch
-^)
zeugen
durch
dem pudendum muliebre, im Arm. Mutter mit dem Storchschnabel, im Arm. der Storch mit oder -r- mit einem Zeichen, das kaum etwas Anderes als einen aragil, in der k. Sclirift Wurm oder eine Raupe vorstellen kann, im Arm. c Wurm (auch Raupe ) mit ordn,
mit
mayr,
in der k. Schrift
/'
/'
118
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
t
d oder
(resp.
und!)
mit
dem Schuh,
dem
der grobe
Bauernscliuh im Arm. mit^re^, in der k. Schrift sehr wahrscheinlicher Weise (nmlich in der
Gruppe
fur das
Wort hati
,
hatisch
) h-
Dolch,
im
Arm.
erdolchen
dem Kalbskopf, im Arm. Kalb mit ort\ das aus *portus geworden ist, in derk. Schrift k{a) mit dem it'eoc, im Arm. ir'eo; mit haras. Kurz fast in allen Fllen, wo ich weiss, was fur einen Lautwert ein Zeichen hat und was es vor- stellt, finde ich bereits jetzt im Arm. ein Wort, das mit dem kilikischen Lautwert
ausser
und
mit
beginnt und den durch das Zeichen dargestellten Begriff bezeichnet. Es werden gewies
einige meiner
ZusammensteUungen zu beanstanden
sein
und damit
menier die kiiikische Schrift (wie die Cyprier die cyprische(!) nach dem Vorbilde der
iigyptischen) geschafen haben, zu einer Zeit beilufg, als die
eingebiisst hatten.
Doch
Mal an
anderem Orte.
Nun haben
sind
ein Pferdedem
oder ein Eselskopf kann es nicht sein, da dise bereits sonst in der Schrift vertreten
Mut{t)aUu, die
folg.
Gruppe Kom-mag{kIi)-i
lesen
ist.
seren sramtlichen
Annahmen
das Folgende wrdigen knne, muss ich zur Lesung Mut{t)aUu vorausschicken, dass das
Wort
schen
Ursprungs
ist,
hittitischen
werden
/co/i/i^e
musste, dessen kilikischer Lautwert ihra nur hnlich, nicht aber gleich war, dass die
semitischen Assyrer Tabal, mit a und
/,
und
Rmer aber Tibar-, mit und mit r\ nach dem ein hnlichcr frenider Name,
Wort
muttallu giebt,
nach zahlreichen
Anologien,
wenigstens
ein
Wenig
nach
dem
ersten
Konsonanten hin-
deuten kann, dass -ak, -ik und -uk armenische Kosewort- und Deminutivendungen
sind, zur
lich
fiir
und
ist,
sicher
durch dasselbe
i
Zeichen ausge-
Weise
k- und g- durch ein Zeichen ausgedruckt werden und dann gewiss auch
dass selbst in der assyr. Schrift, die doch Zeichen fur
und
i,
fur 6bit
und p-
semitische Lautwert
B. des Zeichens t^lJlf so gut einer Silbe Silbe/)/Y odcv pit entsprechen kann.
z.
oder
wie einer
1. hnlich wre vielleicht das Verhllnis zwischen assyr. plu, babyl. blu und armen. bur Kalk , zu beurteilen, falls dies ein Lehnwort aus dera Babylonischen wre. Dies konnte nach dem Untcrgang des assyrischen Reiches, konnte aV)er auch in altrer Zeit, als die Babylonier uoch itn vorderen Orient domiuierten,
eutlehnt sein.
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
119
Nacli diesen
Vorbemerkungen deponiore
soll vielleicht
ich hier
Der Fiillenkopf
ini
Arm.
mtr-uJc,
soll vielleicht
ist
falls
das arm.
Wort
fur die
ist nacli
vor Chr. altre Forinen anzunehmen, die ein Verhltnis zwischen ihnen und den fur die
kilikischen Zeichen
angenommenen Lautwerten ausschlssen, liegt nicht vor. Ich darf Mutr--MiUaUu von Kornrna{o)glii ist der Knig, der
:
liess.
nicht
mehr
so schlecht begrndet
ist,
so darf ich
d.
i.
wegen
ihres
U. A. weichen
sie in
wo jene
eine
im
Zusammenk, iilteres
hangs zu erwarten
*rfj (aus g')
ist.
Altres
d bat
sich ja
in
im Armenischen zu
t,
altres
g zu
zu
ts
verschoben und
Kilikische mit seinem Konsonantismus noch nicht auf den Standpunkt des Armenischen
gelangt
ist.
ist
Sandon
(s.
dazu E. Meyer in Z. D.
M.
G.,
XXXI,
in der
(Sachau
liegt
p.
Im Arm.
entspricht
lat.
argentum artsaC. Es
Wenn
Nordsyrien noch
{m{u)druk-) und,
Fllen
Eselsfllen
noch m{u)drarmenische
falls
Knigsname
wie
viele
Namen eigentlich
aber, da das in der
ein
Gruppe
>"yy<T tal
und
dal gelesen werden kann, derselbe von den Assyrern auch Mu{d)daUu gesprochen
worden worden
sein.
Was
nicht
fir
ich sonst iiber die Inschrift zu sagen habe, unterdrcke ich grsstenteils, da
mich behalten,
Nichtiiberzeugten
die
gelesen, geschweige
denn
Ahnung haben,
der Z. D.
M.
G. unbekannte Inschrift,
Academy
120
MUTTALLU'S
VON KOMMAGENE?
nicht
fhrt.
anwenden konnte,
A-i-s .-.(No-
minativ)
Khilik[-lik?)-
Km-mg{gh)-i
- hier - ich
[ist]
Mel-d
.,
b{ha)-s wgn{'?)-i-i d.
.,
i.
Dieser
der tapfere
(?)
.,
ein kilikischer
.
ein
Mudr{u)
(?),
[oder Mutr^u)]
.
Knig von Kommagene, der Herr, der (.-ge) der des (Gottes) der Icli bemerke hierzu, dass
.
.
des Sanda{n)
der
von Melitene,
dieser
Weise
tapfer
*d{t)u{s)
=
))
Herr
arm.
kin
*ti in ter
Herr
aus ti }- ajjr
{= Mann) und
in 'kin
Herrin
aus
ti -\-
{=
(lies
in
Verbindung mit
dem Gottesnamen
und /-
in
p.
-\-
einem theophoren
Namen
(s,
h[h)-s- in
und
-apaj-t;
anderen theophoren
Namen
aus Kilikien
90
ff.,
p. 95),
fiir
Zeichen
fiir
des
Wortes
Sohn
im Kilikischen
= Tarsus andeutet,
im Arm.
b,
dass im
in
Arm.
Sohn
heisst,
ordeak gegenist.
Aus einem
dien,
76
die
Hay-k\
ringen,
um
ihre Existenz
Nachkommen
sind jener hatischen Kiliker, wie sie sich selbst nannten, die in
jener
Sur un nom
serviteur
asiatique.
Le
roi
p. 389), porte
un nom qui
parat form de
ia pour
nni et
de b,
La
ooSCTxwp, nirupuna,
Boomilkart,
BojjtfXxac,
celle
ce
nom, comme
appartient
cette srie
elle
^^ est
Abdn.
au contraire, rappelle
noms hbreux
I"j3
oi l'on
rencontre
peut-tre
Bedn pour
'na!?
que
la
phnicienne. Pour
au milieu
d'un mot
G. M.
1. =: Mann. Im Armenischen entspricht ayr. welches abcr wegen arsa im Zend auf *arsos(spteres *aro) Vater umgebildet sein wird. Cf. auch den Plural ark'. zurckgehn und nach /layr
L.
MARCEAU.
DARMESTETER
(J.).
gr. in-8'.
2.')
fr.
Hamvat^ et Ameret^ Essai sur la mythologie de l'Avesta. Gr. Ormazd et Ahriman. Leurs origines et leur histoire. Gr. in-8".
in-8".
fr.
fr. fr.
fr.
25
3
DEHENBOURG
DKVERIA
(F.).
(H.). Essai sur les formes des pluriels arabes. Gr. in-8".
La nouvelle
Notation des centainos de mille et des millions dans tiens. Gr. in 8".
in-8".
(LE), Papyrus du Muse de Turin publi en fac-simil par R. V. Lanzone, de Turin, 11 planches et 2 pages de texte. In-f.
professeur
30
6
fr.
fr.
DUTENS
In-S".
DUVAL (R.).
Trait de
20
l'tat
fr.
Les dialectes No-Aramens de Salamas. Textes sur populaires, publis avec une traduction fran(;-aise. In-JS".
actuel
de
fr.
la
Perse
et
Contes
4
fr.
fr.
Au
lieu de 8
EBN-EL-FARAD. Po'sies en arabe. Gr. in-8. EBN-HAUCAL. Description de Palermeau milieu du X'
In-8".
40
sicle de lere vulgaiie.
'
FAIDHERBE
complte des inscriptions numidicjues (libyques) avec des aperus ethnographiques. In-8" avec pi. 12 fr.
(le gnral). Collo^-tion
FARHAT(G.).
Dictionnaire arabe, revu, corrig et considrablement l'auteur par Rochad Dahdah. Gr. in-8".
de la XII dynastie, 60
pi.
augmente sur
le
manuscrit de
30
17
fr. fr.
Bi-nice. Lettres de Jaillon et Lcmasson au sujet des monuments perses de l'Isthme. Stle de Darius aux environs de Tell-El-MaskhoOitah. In-4, avec 8 planches. 7 f^. 50
(E. de).
MM.
GOTTBERG
GUIEYSSE
et
spcialement de celles de
Hannek
et
avec 5 cartes.
(P.). Rituel funraire gyptien, chapitre 64". Textes compars, traduction et commentaires d'aprs les Papyrus du Louvre et de la Bibliothque Nationale, ln-4", pi. Au lieu de
20
INSCRIPTIONS
10 fr. ^ hiroglyphiques copies en Egypte pendant la mission scientifique de M. le vicomte E. de Roug, publies par M. le vicomte J. de Roug. 4 vol. in-4. Au lieu de 120 fr. 60 fr.
fr.
JOHANNES DE CAPUA.
latine
gr.
du
livre
Directorium vitse humanse alias parabola antiquorum sapientium. Version de Kalilh et Dimnh publie et annote par J. Derenbourg. 2 vol.
16
fr.
in^".
Le
9
(cabinet
fr.
antiques), ln-4".
(E.). Le Mythe Osirien. Premire partie Les Yeux d'Horus. In-4''. Au lieu de 20 fr. la" fr. Deuxime partie Osiris. In-4. Au lieu de 20 fr. 15 fr. LEPSIUS iC.-R.). Les mtaux dans les inscriptions gyptiennes, traduit de l'allemand par W. Berend,
:
LEFBURE
avec notes
et corrections
pi.
12
fr.
fr, fr.
LEVI
Le thtre indien. Gr. in-8". Quid de Graecis veterunl Indorum monumenta tradiderint.
(S.).
(J.).
18
In-8".
Index alphabtique de tous les mots contenus dans le Livre des Morts publi par R. Lepsius d'aprs le Hapyrus de Turin. ln-8. Au lieu de 12 fr, 6 fr. MARIETTE-PACHA. Denderah. Description gnrale du grand temple de cette ville. 4 vol. in-f et suppl. contenant 3;5y pi. ace d'un vol. de texte in-4". Au lieu de 390 fr. 200 fr. Le volume de texte se vend part. Au lieu de 60 fr. 30 fr. Le supplment aux planches. Sparment. Au lieu de 10 fr. 5 fr.
LIEBLEIN
Monuments
in-f".
Au
lieu
de 168
I
fr.
90
1
fr.
III,
Papyrus
Le tome III, ^10 pi. en couleurs, se vend sparment. Au lieu de 100 fr. Le Srapum de Memphis. Nouvelle dition publie d'aprs le manuscrit de avec un atlas in-l et un supplment. G. Maspero. Vol.
l
50
l'auteur
'
fr.
par
fr.
55
Les Mastabas de l'ancien empire. Fragments de son dernier ouvrage, publis d'aprs par G. Maspero. 9 Livr. Au lieu de 90 fr.
le
manuscrit 47 fr, 50
J5
fr.
MASPERO
(G.). In-4".
Hymne
deux textes du Muse britannique. In-i", 6 fr. Une enqute judiciaire Thbes au temps de la xx" dynastie. tude sur le Papyrus Abbott.
au Nil, publi
et tiaduit d'aprs les
ln-4.
Au
lieu de 7
fr.
50.
fr.
De Carchemis
oppidi situ et histori antiquissim. Gr. in-8, avec 3 cartes. Au lieu de 4 fr.
MASPERO
Au
(G.). lieu
ln-4, orn de 14
planches
et fac-simils.
'0 "
l'instruction
in-8,
publique,
sur
une mission en
Italie.
^^
*''
et de six planche_s.
~
fort vol. gr. in-4". vol. in-4.
I
^^'-
^"
fr.
80
fr.
Au
lieu de 30
15 204
fr.
MMOIRES
Tomes
VIII complets.
fr.
Tous
MYER
in Ancient Also Remarks on thc Learning, Philosophy, Arts, the Ancient Egyptians, EUiics'. Psycliology, Ideas as to the Immortality of the Sol, etc., of 12 fr. Phoenicians, etc!" In-S" cart. toile. OPPERT iJ.). Mmoire sur les rapports do l'Egypte et de l'Assyrie dans l'antiquit, claircis par 12 fr. l'lude des textes cuniformes. In-4". 3 fr. Duppe Lisan Assur, lments de la grammaire assyrienne. 2' d. In-8. Au lieu de 6 fr.
(J.).
du 1*" et du 2' du tome I, se vendent sparment. and Religions Symbolism of the -^carabaeus, Manufacture Historv, The Scarabs.
Phoonicia, Sardinia, Etruria,
etc.
c'vpt
LE PAPYRUS DE NEB-QFT)
(exemplaire liiroglyphique du Livre des Morts) reproduit, dcrit et prcd d'une introduction mytliologique/ par T. Devria, avec la traduction du texte par 30 fr. M. Pierret. Gr. in-f, 12 pi et 9 pages de texte. Au lieu de 50 fr. Mrym, rois d'Ethiopie de 1434 1478 (J.). Los chroniques deZara Y 'eqb et de Ra'eda 13 fr. (texte thiopien et traduction) prcdes d'une introduction. Gr. in-<S". stle tliiopienne d'une traduction la texte et le comprenant gyptologiques tudes PIERRET (P.). de indite et do divers nannscrits religieux, avec un glossaire gyptien-grec du dcret 10 fi'Canope. In-4". Au lieu de 20 fr.
PERRUCHON
Recueil d'inscriptions indites du muse gyptien du Louvre traduites et commentes. Premire et 30 fr. deuxime parties avec table et glossaire. 2 vol. in-4. Au lieu de 50 fr. divins, gographiques, les noms langue, de la les mots Vocabulaire liiroglvphique comprenant accompagn d'un vocabulaire franaisrovaux et historiques classs alphabtiquement 50 fr. hiroglyphique. Gr. in-8. Au lieu de 00 fr. fr. 50 7 in-K. Gr. gyptienne. mythologie sur la Essai
;
POGNON (H.).
incantation contre les gnies malfaisants, en Mandate. Gr. in-8, avec 1 pi. 2 fr. 50 lavian. Texte, traduction et commentaire philologique, avec trois appendices et de L'inscription 12 fr. un glos.saire. 2 vol. gr. in-8. 10 fr. Les inscriptions babyloniennes du ^adi Brissa. Gr. in 8", avec 14 pi. 1 fr. L'inscription de Raman-Nrar I"', roi d'Assyrie (rponse un article de M. Oppert).
Une
REGXAUD
iP.).
19
et
fr.
REVILLOUT
(E.). Papyrus coptes. Actes et contrats des 1" fasc. Textes et fac-simils. In-4". lieu de 20
du Louvre.
10
fr. fr.
Au
fasc. In-4.
Au
lieu de 25
fr.
10
40 fr. Chrestomathie domotique. 4 vol. in-4. Au lieu de 100 fr. 10 fr. In-4. ptolmaques. d'histoire droit et points de quelques sur ICtudes RITUEL funraire des anciens gyptiens. Texte comi)let en criture hiratique, publi d'aprs le Papyrus du muse du Louvre, et prcd d'une introduction l'tude du Rituel, par le 12 fr. 5. Gr. in-f"; la livr. au lieu de 25 fr. vicomte E. de Rong. Liv. ROBIOU (F.^. Mmoire sur l'conomie politique, l'administration et la lgislation de l'Egypte au temps 6 fr. des Lagides. Gr. in-8, orn d'une carte. Recherches sur le calendrier macdonien en Egypte et sur la chronologie des Lagides. In-4. 9 fr. 2 fr. 50 La Question des mytlies, 1" fascicule Egypte, Asie antrieure. In-8".
1
:
Questions d'histoire gyptienne, tudies dans le Recueil de travaux relatifs la philologie et 1 fr. l'archologie gyptiennes et assyriennes. ln-8. 2 fr. Recherches sur la religion de l'aficienne Egypte, le culte. In-8\ Le systme chronologique de M. Lieblein sur les tiois premires dynasties du Nouvel Empire 1 fr. 50 gyptien et le synchronisme gyptien de l'Exode. In-8". ROUG (E. de). Chrestomathie gyptienne ou choix de textes gyptiens, transcrits, traduits et accom100 fr. pagns d'un commentaire et d'un abrg grammatical. 4 vol. gr. in-. Recherches sur les monuments qu'on peut attribuer aux six premires dynasties de Manthon, prcdes d'un rapport adress M. le Ministre de l'instruction publique sur les rsultats 20 fr. gnraux de sa mission en Egypte. Gr. in-4", accompagn de 8 pi. dont 5 doubles. Inscriptions hiroglyi)hiques copies en Egypte pendant sa mission. Publi par le vicomte J. de 00 fr. Roug. 4 vol. in-4'. Au lieu de 120 fr.
(Gaon de Fayyoum). Commentaire sur le Sefer Yesira ou livre de la cration, publi et traduit 10 fr. par Mayer Lambert. Gr. in-8". 6 fr. SAULCY (F. de). Dictionnaire topographique abrg de la Terre-Sainte. vol. in-8. 8 fr. SCHACK (G. von). Dio Unterweisungs des Konigs Amenemhat I, 1' et 2' Halfte. Gr. in-4". VIREY (P.). tude sur le papvrus Prisse. Le livre de Kaqinlna et les leons de Ptah-Hotep.
I
SAADYA
'
Gr. in-8".
fr.
Cliaion-sur-.'?ane,
RECUEIL
DE
TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
POUR
SEEIVIR DE BULLETIN
MASPEPiO
I
M B a E DE l' N S T IT U T PROFKSSEUIl AU COLLGli DE FRANCE, DIUECTKUR d'TUDES A l/COLE PHATIQUE DES HAUTES TUDES
PARIS
LIBRAIRIE EMILE BOUILLON, DITEUR
67,
M DCCC XCVl
Tous droits rserrs.
fascicules spars.
30 32
francs.
OUVRAGES
relatifs
ABBADIE (A. d'). Dictionnaire de la langue Amariilna. 1 fort vol. in-8. ABOU'L-WALID MERWAN IBN DJANAII. Le livre des parterres fleuris. Grammaire
arabe, publie par
J.
50
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hbraque en
fr.
Derenbourg,
membre de
les
manuscrits arabes
par
le
rabbin
M. Metzger.
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AL-FAKHRI.
histoire du Khalifat et du Viziral depuis leurs origines jusqu' la chute du khalifat abbaside de Bagddh (11-656 de l'hgire 632-1258 de notre re) avec des prolgomnes sur les principes du gouvernement par Ibn at Tiktak. Nouvelle dition du texte arabe par H. Derenbourg. Gr. in-S". 25 fr.
Vocabulaire d'Amarasinha, publi en sanscrit avec une traduction franaise, des notes un index par A. Loiseleur-Deslongchamps. 2 vol. gr. in^". 7 fr. 50 AMLINEAU (E.). Fragments de la version thbaine de l'criture sainte (Ancien Testament).
et ln-4".
AMARAKOCHA.
15
fr.
AMIAUD
(A.).
La lgende syriaque de
fr.
50
AMOURS
AURS
aventures du jeune Ons-el-Oudjoud (les dlices du monde), et de la fille de Vezir El Ouard Fi-l-.\kmam (le bouton de rose). Conte des Mille et une Nuits, traduit de l'arabe et publi complet pour la premire fois par G. Rat. In-8. 1 fr. 50
(les) et les
(A.).
Trait de mtrologie assyrienne ou tude de la numration et du systme mtrique assyrien considrs dans leurs rapports et dans leur ensemble. In-8". 6 fr.
le
Essai sur
ln-4.
5 5
fr.
BAILLET
(A.).
Le
Memphis
une planche.
BARBIER DE MEYNARD
(C). Dictionnaire gographique, historique et littraire de la Perse et des contres adjacentes, extrait du Modjem-el-Bouldan de Yaqout et complt l'aide de documents arabes et persans pour la plupart indits. Gr. in-8". 10 fr.
(A.).
BARTHELEMY
BEREND (W.
BERGAIGNE
Mamoun. Texte
Gr. in-8".
B.).
Gujastak Abalish. Relation d'une confrence thologique prside par le Calife pchlvi publi pour la piemire fois avec traduction, commentaire et lexique. 3 fr. 50
:
Stles, bas-reliefs
et fresques. In-f"
photograves.
50
fr.
(A.).
Manuel pour
grammaire. Gr.
Chrestomathie-Lexique-Principes de 12 fr.
Henry. Gr.
in-8.
fr.
fr.
La
BERGAIGNE
BERTHELOr.
(A.) et
HENRY
(V.).
60
'
sanscrit vdique.
Chrestomathie-Lexique. Gr.
Histoire des
in-4'',
M. Rubens
3 vol.
Sciences. La Chimie au moyen ge. Publi avec la collaboration de Duval pour l'alchimie syriaque, et celle de M. O. Houdas pour l'alchimie arabe.
le texte.
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mire
fois
Recueil de sentences du Pandit Djagannotlia. Texte sanscrit publi pour la preen entier avec traduction en franais et des notes par A. Bergaigne. Gr. in-8. 8 fr.
BOISSIER
(A.).
BRUGSCH
1
(H.).
fr.
en
12 fr. relatifs aux prsages. Tome I". 1" liv. In-4. Examencritiquedulivre.de M. Chabas intitul Voyage d'un gyptien en Syrie, Phnicie. en Palestine, etc., au xiv* sicle avant notre re. Gr. in-8. Au lieu de
:
Documents assyriens
50
CHEREF-EDDIN-RAMI.
Anis-el-'Ochchaq, trait des termes figurs beaut. Traduit du persan et annot par Huart. Gr. in-8".
relatifs
la description
del
fr.
50
CHRONIQUE DE GALWDKWOS,
d'Ethiopie. Texte thiopien traduit, annot et prcd d'une introduction historique par William El-Conzelman. Gr. in-8". 10 fr.
roi
CLERMONT-GANNEAU (C).
3 pi. photograves.
t.
I.
In-4''
le
texte et
25
fr.
RECUEIL
Dii:
TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
POUR
SEEiVlR DE BULLETIN
MASPERO
M KM BUE DE l'INSTITUT PROFRSSKUU AU COLLGE DK FRANCE, DIRECTEUR d'TUDES A l'COLE PRATIQUE DES HAUTES TUDES
DIX-HUITIME ANNE
PARIS
LIRRAIIUE EMILE BOUILLON, DITEUR
67,
M DCCC XCVl
Tous droits rsercs.
CHALON-SUR-SAONE
IMPHI.MLRIE FRANAISE ET ORIENTALE DE
L.
MARCEAU
RECUEIL
Dli
TRAVAUX RELATIFS
A LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
POUR
SEEIVIR DE BULLETIN
MASPERO
M B H E DE l' I N S T IT U T PROFKSSKUU AU COLLiGE DK FRANCE, DIRECTEUR d'TUDES A l'COLE PKA TIQUE DES HAUTES TUDES
TOME SECOND
PARIS
(.llUtAIItlIi
07,
M DCCC XCVl
Tous droits rscrccs.
CHALON-SUR-SAONE
IMPRIMLRlb: FRANAISIi KT ORIliNTALl. DK
L.
MARCEAU
RECUEIL
DE TRAA^AUX RELATIFS A LA PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE
GYPTIENNES ET ASSYRIENNES
1896
Contenu
:
Fascicules
III et
IV
15) Ein Kopf des Museo Civico in Venedig, von 14) Remarques et Notes, par A. Wikdemann. Fritz von Bissing. 16) Notes de Voyage, par U. Bouriant. 17) Le grand Papyrus Harris et les ruines de Mdint-Habou, par Paul Peuili-kt. 18) Sur deux termes aiiatomiques du Papyrus Ebers, par Victor Louet. 19) Une inondation Thbes sous le rgne d'Osorkon II, par G. Darkssv. 20) Une famille sacerdotale contemporaine des XXII'-XXV^ dynasties (850-600 avant J.-C), par Aug. Baii.let. 21) Les Animaux reproducteurs dans l'Egypte ancienne, par Victor Loret. 22) Chaldisch und Armeniscli , von C. F. Leumann. 23) Extrait de lettres de M. HoMMEL au P. Scheil.
REMARQUES ET NOTES
PAR
A.
WlEDEMANN
(t.
1
j'ai
Dans
les
an de Sti
P'',
dont
le
nom
;
monu-
ments l'exception de
pour un signe long,
(/.
la syllabe ^^37.
je cfus
que
le
nom
pouvait tre
le
M. Lefbure,
c,
p.
nom
maintenant
nommer Amen)-nefer-neb-f en
{
l'identifiant
^1
68),
|, cit
o un autre proscynme
c,
pi.
LXXII,
51)
du
1'^ Ik
pi.
parat se rap-
Ramss IL
La
stle
VH-VK!)
raconte
(1.
12)
que
le roi thiopien,
Viffl^'
^^
Il
rtiArUi'J
'
est vrai
que l'absence du
|
^ est y
facile expli-
M. Maspero'
fait s'ensuit
l'a
dmontr, ce
de
la
XXI I^
en
mme
temps. Ce
Mont
'
d'Edfou
s'est
comme
tant celui
^fe|
^it^'^
du fonctionnaire
apparat dans le
la famille
duiO^
ressuscit'.
Parmi
les
membres de
1.
Mm. du
Caire,
t.
l,
p. 747.
t.
2.
XV,
p. 152 sqq.
II.
NOUV. SR.,
16
122
REMARQUES ET NOTES
des prtres de Mont, dont nous venons de parler et qui eurent en main peu prs toutes
les prtrises
la
XXIP
jusqu' la
XXVP dynastie,
Il
homme du nom
Sent-ur se trouveV
moment de
l'arrive
du
roi thiopien,
de
mme
par
le
froide, ainsi
rale.
(1.
que
le
prouve sa propre
malgr
mention des
le roi
cris d'allgresse
gn-
Ce
d'empressement que
(1.
28) et
rcompensa
les
subordonns
39).
Sent-ur aura reu son tour sa rcom amoindrir la puissance des prtres
Il
pense,
le roi
eux-mmes
hommes
bien intentionns.
me
paroles
(1.
IG)
Le
roi
f^
Mi<=>j
met
le
prtre sa place,
ne soient sous
ces rapports,
ici,
ailleurs,
ce
fait.
du rgne du
XI,
mme
roi, ses
membres
relief
le
M.
p. 9G)
deux fragments de
(^
lu
%S ^T^
"^ ^M ^1
*'^
C_^flflP^^T
a
"^"^^
^^"^
nomm
ici
Msecianus, qui
aurait rgn quelque temps pendant l'absence de son pre Avidius Cassius, alors en
il
n'est
qu'il faudrait
administrateur d'Alexandrie \
|)as
mme comme
pra^fectus ^^gypti
Calvisius*.
Une
mme
in-
par
le fait (pie
Jsus-Christ dans
Capitolin
le
rbellion de Cassius,
le
ne fut point un
fils
prtend, mais
pouvoir hasarder
la
i
un \7, mais un
conjecture que
le
nom
le
ne rpondrait pas
paralllisme des
du
\7
que par
crit,
noms des
1. Je ne connais d'ailleurs nul texte nommant un homme de ce nom. Le groupe sent-ur lui-mme se reDu.m., Baugcsdi.. pi. I, pour le vieux plan sacr du temple de trouve dans DM., Baunr/.-., 15, 36 sqq., IG a Dendrah, datant du temps des Ses-u-I.lor. 2. Inscriptions Berlin, n"* 2096 et 2097. Voy. plus bas sous n" 7. 3. Cui erat commissa Alexandria. Gallicanus, XUa Ac. Cass., 7; CAriToi.iNUS, Vita M. Anf., 25.
4.
5.
Dio, Lxxi,
28.
gestis,
sqq.;
I,
p. 658.
REMARQUES ET NOTES
empereurs, par exemple, dans Domitien,
ce qui serait
la lettre
123
m, de
Mnximinus, quoique x
soit
(^z:^
i).
Mkmns, On gagne
le
de
la
sorte le
nom
^^alerius
Maximinns
Ca^sar, c'est--dire
Maximinus Daza,
neveu
comme
mourut en 313
premier
En admettant cette
lecture, le
nom
M. Gol-
dcouverte de rinscri])tion
stle
La grande
gique de Genve, contient un de ces hymnes solaires, qu'on trouve avec une foule de
variantes sur des
stle
en question
montre
le
le
IL on
^H
00
""''^^
"^
^R (reste de
la lettre
voit,
devant un
l'inscription suivante
^^^
\\5
I
^ ^ W
W
^^ i^^^ \\
du pays des
^
dont
j'ai
"
(3
lHl_1J1l=-rlJlo~^ui)"r
esprits,
5.
L'Osiris, le seigneur
(t.
XVII,
,
comme
la
^^n^'^^^
rien
ct
du fwh'^^^lT'
tte
^^ reprsent,
comme
ce dieu, en figure
la
humaine momiforme,
Haute-Egypte
que
la
orne de
la
couronne de
n'est pas
cou-
rois
Amnophis,
intrt, j'en
donne
ici
Muse de Genve. Le texte indit offrant un certain une description. Le monument lui-mme est arrondi en haut,
En haut,
les
signes
^^ ^ ^^
et
Au-dessous,
nomm
rj
J]^^^^^^T
deux
Au
un
homme
une femme,
la
der-
nire portant la fleur au front, sont en adoration. Au-dessus d'eux, en lignes verticales,
=jn/-^yiJ]
_j5^|j
[1^"8
:
I
n
[]
]t^.
Au-dessouB de celte
J) iffll'^'^
T^
"=^ \
1.
pi.
XV;
Pierret, Inscr. du
Loiioz-e, I, 76.
16*
124
REMARQUES ET NOTES
G
o o o
.m
AAAA/V^
III
I
AAAA/V
J,
iMH"".
(.s-O
AAA^AA
n
^
cf-l AA/\AAA
PF.l!!
Le
titre
,^>
ii-uthu d'Ameii-em-h se retrouve assez souvent, ordinairement
^il
est
ou de
^^wv. J
';
am-
le titre
en question ne fut pas celui de personnes de grande importance et, en mme temps, que celles-l eurent en gnral affaire au service royal, de sorte qu'on aura voir probable-
ment dans
que
le
palais de ce prince.
Il
De mme
dynastie,
les rois
supposer que
|(1]%><:^D:>
ulhu.
est vrai
5%^) eurent
de l'indication
lorsque les
ii
Ainsi le
r^^^, nomarque Chnum-hetep de Bni-Hassan possdait un un uthu' et le jU^^^ apparaissant sur une stle du Louvre", a t sans doute un fonctionnaire du prince de
Kusch Setau, nomm sur le mme monument. Enfin, des hommes du titre se trouvent au service des dieux. Le Papyrus Wrlbour (1. 18) cite un F=qH||] j ? ,_j]^ Il M
qui est
ici
lev".
Un f=^ U i^^
i
Louvre-, une autre statue" nom.ne un fi|^;^,'^|^71 "^' Le mot util dsigne en gnral la table couverte de clioses consommables, comme
elle fut
en usage pour
le
du
1. LiEnLEiN. 644. 64'J, 702, 973-4,983, 1966, 2166, 2440; Louvre, Salle hist., 191; Statue d'l.i-nefer Bologna du temps de Mer-eu-ptal.i; cf. Rec. de Trac, IX, 39; XV, 44; XVII, 114. 2. LiKBLEIN, 679. 3. LiEULiciN, 748; cf. Rec. de Trac, t. IX, p. 39.
LiEBLEiN, 736, 877, 894. LiEBLEiN, 722, 920 (cf. Suppl.], 975, 1875; Mariette, Cat. Ab., 533 (= de Roug, Inscr., pi. II), 707, 905; Rec. de Trac, t. XII, p. 17, 18. 6. Makiette. Cat. Ab., 533. 7. Lepsius. Denkrn... Il, 131; plus exactement Newberry, Beni-Hassan, I, pi. XXX, XXXVIII, n" 1. 8. Salle hist.; Pirret, Inscr. du Loucre, II, 77; Lieblein, 20)2. Suprieur des scribes de la table de tous les 9. Voy. Masi'ero, tudes gypt., II, 42 sqq., qui traduit
4.
5.
:
dieux.
10.
11.
Iii-^cr.
du Loucre,
p. 60.
I,
p. 7 sqq.
Trac,
t.
XVJ.
12.
Pyr. Ppi I, 348, etc. de Trac, t. XV, p. ISl; Lepsius, Denkrn., Rec. de Trac, t. VIII, p. 163, t. XIII, p. 183. cf.
,
III,
t.
56 a.
p. 169;
XIV,
De
l vient le prtre
nomm
en relation avec
le culte
aux pyramides.
REMARQUES ET NOTES
roi'.
125
On y
l)ois.sons,
I.
1(^
mot
,
est
Pyramide de Ppi
348
v\
c^^rs
cet usage est rest toujours |)our le culte, tandis (|ue dans la vie civile
vn"^ ^
le fait
,
qu'on pi'fre
originaux,
inexactes les
premier cas le mot par '^^, dans le deuxime par Sr^ au moins dans manque de types rpondant exactement aux signes des textes rendant publications sous ce rapport. M. Naville' a indiqu que le drivt copte
le
le titre peqo-iru)T^
coi'respondant l'hbreu
d/i
ut/i,
n|;5s:*,
clianson
de
la
Ge/icsc;
le
il
tandis
qu'Erman' y
eu
voyait
scribe
du buffet
titre /i utiin
mention de ce qu'un
vants
toi
homme
il
nanmoins
exemples sui-
me
Dans
le
passage cit du
gazelle, et tient
Tombeau de Chnum-hetep,
en main une
homme amenant
une
+ x bouquetins,
3,300 btes de
c'est
c'est--dire
une
liste,
certainement exagre,
comme
souvent
dans de
tels textes,
des animaux
et par l
riol
1
la disj^osilion
du an uthu
.
du nomarque.
X
9^
fait
parle 1^ ^
^^
I I
Bak-en-Chunsu i\wW\
Il
<^I=>\
^^^
)<f l^
di
V\ _^
AAA/WS
la livraison.
Dans
le
Hor-em-heb\
de
les
Hiii
'^^
<
c'est--dire
de
la fin
la
XIX"^ dynastie ^ un
^p]
difficults administi'atives;
s'est
occup aussi de
la rcolte
Dans
que
qu'il
le
dernier texte,
il
les autres
donnes se rapportent
les
procura et administra
les
seulement
le
boissons, mais en
mme temps
combustible ncessaire.
n'tait
donc pas
le
1.
Pap. d'Orb.,
yEgypten,
Cf.
16,
3.
2. y'j. Z..
3.
1878, p. 71.
p. 265.
4.
5.
6.
trTh,
y^
et
^fj z
J83Q_ p_ jg.
7.
Maspeko, Rec. de Trao., t. I, p. 51 sqq. XX" dynastie. d. BouRiANT, Rec. de Trac, t. VI, p. 44, 1. 29 sqq. Papyrus Boloyna, 1086; publ. Lincke, Correspondenzen aus der Zcit der Ramessiden,
Pa]}. Mallct, d.
1, p.
\)\.
XIV-XV;
cf.
226 sqq.; Lincke, Deltrye :mr Kenntniss der altdy. BricJUttct aiar,
p. 1 sqq.
126
REMARQUES ET NOTES
de
les passer
afin
le
fonctionnaireayant
l'office
de pourvoir
les
choses
ncessaires pour ce buffet. C'est parce qu'il tait charg de la sorte d'une administration
que son
7.
titre est
form
l'aide
du mot
cln,
scribe
Dans
un fragment de papyrus du
Il
mme type
que
:
le
Papyrus
L'an 11,
mathmatique Eisenlohr^ a
le
(1)
donna
ciel
et parle
clatant dans une saison gnralement dpourvue de pluie en Egypte, c'est--dire dans
l't; ide laquelle la
fixe
rpond
spcial
du fragment
se dduit
On
a suppos
le 3 et
jour pagomne,
la
seconde,
compute
les
annes, dans lesquelles une telle quation se prsenta, on trouve peu prs
42G2, 2802, 1342 avant Jsus-Christ, 118 aprs Jsus-Christ, c'est--dire des temps
impossibles pour la
fin
de
la
le
En cherchant
les
comme
cinq jours pagomnes rpondraient aux jours de naissance des principales divinits
Isis,
si
cette date
En
de ftes
les
dates pour
la nais.sance et la
mort
Nil.
les diffrents
temples de
le
la valle
du
naissance d'Horus,
*
;
indique pour
les uns,
nommie du Pharmuthi
les
la
dans
sance, nous trouvons dans de telles dates diverses l'influence des lgendes locales et de
leurs diffrences fondamentales, de sorte qu'il ne paraisse pas admissible de regarder
a priori donc
le
comme une
la
mention du
fait
qu'un
orage clata
la
ayant
le
mme
sens que
nous disions
25 dcembre,
la fte,
le
jour de Nol,
lecteur
la
mmoire du
pu
le faire.
Fiibl. EisEM.oiiii.
Mathetnatischcs Handhuch,
pi.
XXIV,
dernier lieu, par Grifi'Ith, Proc. Soc. Dibl. Arch., t. XVI, p. 245 sqq. 3. Plut., De Is., xii; Pap. Leide, 3. 346 (Ciiabas, Cal. dc^ jour.s fa-'^tcs, p. 101 sqq.). Un texte d'Ombos (Rec. de Trar., t. XV, p. 184, 1. 12, 14) met la naissance d'Horus, Isis, Nephthys. aux jours pagonjnes. Le calendrier d'Edfou indique les mmes jours pour la naissance d'Osiris, Horus, Isis, Nephthys. mais passe sous
2.
En
que M.
J.
sr.,
t.
que
le
4.
jour de naissance de l'ennemi d'Osiris aurait t un jour nfaste. E. DE Roug, Ml. d'arch. gypt., II, 299 sqq.; cf. le long texte; Brugsch, T/ies.,
612 sqq.
REMARQUES ET NOTES
est vrai
127
Il
M. Rrugsch
text(\ ^^s^ n
la
du jour
])ar la
mention de
la
naissance
d'un dieu osirien, ce qui parlerait pour une date fixe de ces vnements. Le premier
une inscription du
f\
roi
Pinet'em',
dit,
:
i""*^
AAAAAA
(1
\\f,
aprs una lacuni^ Mil ""^-^^ X MM fM Ci ^ K mois Mesori, 5 jours pagomcnes, jour de
I
'
fl
!>
(iJ
pagomne), en
mme temps
le
avec
le
la fte
d'Amon
Thoth,
le
prcde au contraire
\/
n'tait pas le
commence-
ment, mais
le
moment
non
mme
"inis
dont on parle
ici.
Ces
il
donne ordinaire,
le 5"
pagomne
est
Le monument, qui
jour de naissance, parle donc plutt contre que pour une fixation des jours de naissance
fixe.
Le second texte
est
une inscription de
la
date
etc., traduite
f | fl par Brugsch
:
^M
:
la
XXV
'^
dynastie, conserve au
]
( L'an 3, a
Muse de
dire le 2^ pagomne),
portait
j
du
roi, etc.
le
le
texte
droit
etc.
de sparer nies-Hor du
l'Horus,
L'an
3,
naissance de
du
roi, etc., n
le
jour de naissance
du
du
roi.
comme
mais
la
8.
Dans
les
le
On
le
les voit
du Moyen-Empire',
les runit, le
les
bouts
bton, qui
fois
1,
pi.
XXII,
p.
39 sqq.;
pi.
XXII;
traduit
2.
3.
Thsaurus,
p. 480.
Pour l'usage de
^,==:^_
p. 11 sqq.
4.
5.
McL
d'arch.,
I, I,
p. 133.
pi.
Rec. de Mon.,
XXII;
cf.
Gesch. /Eg.,
p. 646.
6.
N 2096
Mon.,\V,
349,
1.
1-8; Biiuoscii,
Thsaurus,
date
p.
.
14.i3sqq.;
|Tl
les
no ms Lieblein n"
2376.
n 2097
une seconde
inscription
M sN.
7.
XXVI
et
XXXVIl.
128
REMARQUES ET NOTES
uas{t), le
nomm
\,
second
^ ^\
fait
commenait
oublier
Un antre
entre
les
la
figure
montre pour
avec ses
tous les deux un bton droit. Cette diffrence de fait est aise constater dans des textes
fort anciens, les inscriptions des
le roi
fm, comme
du
ciel
la
qui parcourent en
barque
la
le
forme
est toujours
la lec-
mme,
ture
du signe
gyptien.
Le nom Jjl ^j
est
en relation avec
la
racine
o^y.
>
copte
-xo*., vis,
robur. Le
sceptre est parfois dtermin par 5', ce qui prouve qu'il consistait, au moins en partie,
faire
usage parfois
Il
comme
Y
I
<:
~> /w^A^^
'^^-^
C3
III
le
(ici
Osiris)
-^fll 11 ?
frappa
les
Un
qciv_
tS
les
tel
pas encore t dcouvert en original, les objets en mtal ayant disparu en gnral, les
anciens gyptiens
eux-mmes
ayant coutume de
refondre
pour en
faire
Un
Musum
(n 5481) consiste
bton;
la partie infrieure
d'un autre' est travaille en bronze. Bien plus souvent on trouve de petits | en terre
vernisse* ou des moules d'argile pour former de tels objets'.
^'^^ M]
plume de
?<' se
drive de
jQ'^^P"
force, puissance ;
comme
combinaison du sceptre, de
claircir le sens
la vrit et
dans
le
monde
malheureusement
le
sens de ce
nom de
Le
sceptre j est port, depuis les temps les plus reculs, par les dieux'" et par les
rarement par
le roi
vivant";
il
1.
2.
L. c. pi.
X;
R-nier-en,
766-9
Ppi
/,
1.
659-60
= 768-72.
Tb. 30,
1.
3.
Cf. BiiuGscit.
o,
3,
ou trouve
V\ H
daus
le
texte de Turin,
4.
5.
BHur.scii, Rcc. de
Mon
III, 43, 1. 4.
6.
7.
8.
9.
N 5418; cf. Birch, Cat., II, p. 39. Par exemple. Muse du Caire, n 4289; cf. MASPiiRO, Guide, Voy. Petrii, Tell el- A marna, pi. XVII, n" 255.
Ot; dans Xauo'.
Cf.
p.
238.
S^A
die alWig.
1p.
le
Wendel, Ueber
119 sqq.
10.
Plus tard,
^y
est
un des
attributs
de Sah (Orion)
voy.
Namlle,
11. 12.
XXII, 60. Par exemple, Lepsius, Denkm., III, Par exemple, Lepsius, Dcnhm., III,
49,
XXI.
36, b.
57, b.
remaiiqub:s et notes
129
Il
l'j
aussi
d'autres sens, qu'on a voulu y voir une baguette divinatoire ou une badine, mais ces
La premire explication
qui tend
le
un dieu
que
le
dieu excuterait
dieu ne
fait
que donner
la le
|
puissance
-
incorpore dans
le
sceptre au roi,
|
comme
il
lui
vie ,
(i
stabilit , M
sant
etc.
au-dessus en ou avec
d'Amnophis IIP;
le
mort
ides
-V- 1
ou
Y- u
1,
^^,
\'\'0,
^^^
y
la
j^ ^^^ '^
^^^
technique du
lait^
avec lequel
Horus a
sa
non seulement
la vie,
mais aussi
puissance que
mre
possdait.
La seule
nom
fois
que
elle porte, ct
de son
propre
taut iiefer,
la
dsignation
cyprs,
le
le
Le mot ^
le
caroubier,
le
grand
M. Loret*
le
dtermint
comme
les fruits se
lui-mme ne
se trouvant pas en
Le
mme mot
dsigne une
AftAAAA
,
iL.
^
,
endommager, tourmenter
On
l'a
sans
1.
Des
stles
le ciel
et
gauche par
le
signe
reprsent
j.
M. Maspero (Guide,
p. 238)
,
dans ces
les piliers
du
ciel;
mais,
comme
je croirais plutt
que
le
ici la
puissance
le
mme
manire que
disque ail et d'autres symboles. 2. On aurait pu citer, sous ce rapport, ^Elian, Nat. aniin., 3, 26, d'aprs lequel la huppe, mise, ce que Qous verrons, en relation avec le sceptre, connat une plante, l'aide de laquelle on peut s'ouvrir des trsors. Mais c'est toujours bien dangereux d'utiliser de telles traditions pour l'explication d'ides gyptiennes, comme il se peut agir ici aisment de perceptions grecques et non orientales.
3.
4.
WiLKiNSON, M. and C,
Cf. Levi,
LXXVll.
p. 28, 32,
la
traduction de ""
par
riger.
5.
Brugsch, Reo.
ijijpt.,
t.
I,
p. 39.
Masi'euo, Journ. asiat., 1878, p. 95 tudes fjypt., t. I, pop., 2' d., p. 149 sqq. Goodwin, Transact. Soc. Bibl. Arch., t. 111, p. 340 sqq. 7. Chabas, Voyage, p. 119; Mcl. cgypt., III* sr, 2, p. 292; Maspero, Journ. asiat..
6.
cf.
p.
49 sqq.
Contas
p. 23
8"
sr.,
I,
p.
Wnig,
P/lanzen,
10. 11.
12.
Pap. Ana.^tasi IV, 17, 4. Pap. Harris, 500, chez Maspeko, tudes cgypt., t. I, p. 235. Ekman, Congr. de Saint-tienne, p. 433; .'Eg. Z., 1880, p. 95; Zoitschr.
d. V^^iEDEMANN, Hicrat. Texte,
pi.
t.
XLV[,
p. 108.
13.
X,
1.
5.
RECUEIL, XVHI.
NOUV. SR.,
II.
17
130
REMARQUES ET NOTES
^ -^^ <=
l'usage
et
"^
^.
<:^
Il
'
^^^'"^ ^^^
Pour
comme
Musum'
"^^
hA v\
8 'cgr?
fl
voitures,
un
premire tient
les brides
en main, celui de
la
seconde
s'est assis
dans
la voiture.
ct,
on aperoit dans un
serviteur et tenant
champ de
bl
un
homme
inclin, caractris
le
comme
signe
reprsenter autre chose que des serviteurs attendant leur matre, qui va monter la voiture et prendre en
main
le
\.
L'usage
hommes de
cette
marques distinctives rserves en principe aux D "=^ Chnum-hetep, de la XIP dynastie, porte parfois la longue barbe postiche des rois\ et Vcrp h Hor-em-heb, de la fin de la XVIIP dynastie,
aux dieux. Ainsi
le
est orn
de l'urivus'. Le
aura servi
ici
dans
les
tombeaux, de
mme ide a conduit mettre les petites images du signe mme qu'on y mit les couronnes de la Basse et de la Hauteroyaux, afin d'assurer au mort un rgne dans l'autre monde.
Egypte
et d'autres insignes
La
donner un appui
le
mme
le
manire que
bton du
et pointue'.
Un
^
bton similaire
porte alors
la
nom
[1(1^^',
tandis
le
mme nom
oO |.
JM^^Y
6t appar-
forme
().
La
partie essentielle
du
1.
Cf.
Erman, A^gypten,
p. 315.
Dans
le
II, p. 569) et
ailleurs,
le sceptre
ment, tre
2.
3.
4.
cit comme preuve que l'objet eut la destination de servir comme support. Publ. P/iotograp/iie Mansel, n 2"37. La partie du tombeau reste en place fut publie par M. Bouriant, Mm. du Cairo, Lepsius, Dcnkrn., II, 130; cf. Erman, /Enypten, p. 311.
t.
V,
p.
413 sqq.
5.
Par exemple, Mariette, Monuments dicers, pi. LXXIV-LXXV. Voyez, pour d'autres personnages Blackden et Fraser, Collection of Hieratic Graffiti, London, 1892; Griffith, ElII, p.
5 sqq.
cf. 43, b.
7.
pi.
X.
Brugscii, W.,
p.
t.
I,
p. 1G7,
donnent ce
|
mot
le sens
balai
p.
l'original
11,
(le
signe de
ressemble
le plus
l'hiroglyphe y
crite
J\ dans
le
tombeau de
reprsentant, d'aprs eux, le balayage du blc, eu traduisant balayage du bl battu . L'original montre des hommes occups accumuler un grand las de paille l'aide de fourches
trois pointes,
au-dessus
dune scne
de sorte que
le
mot db ne dsigne
1.
point
ici le
balai,
la
fourche
faner.
8.
206; Ppi
J,
1.
311.
REMARQUES ET NOTES
dictoire par les gyptologues.
131
Wilkinson^ y vit la ttc d'un quadrupde, Maspero' quadrupde au museau allong, aux yeux longs, aux
au dieu St
.
que
Brugsch
il
affir-
mait que
texte'
:
c'tait la tte
citait le
:
^^^iz=(j ^|n8(l''^U=i]^vij()^|^^-^>
ust,
librement
la
chienne
la forte
il
Thbaidc
{usi) est
le
comme
:
appui de sa
a
Mot
la
mot
faudrait rendre
la
passage
L'Ust
(f-
comme
desse puissante de
le |
au-dessus de
TFfFF
l'idogramme du nomos,
Ciiosarion-Harpocrate) figure.
la
Ce texte
est
tant des
armes
mme
que
ses pieds, se
humaine. Le mot chienne, introduit par Brugsch dans sa traduction, manque dans
texte original, qui dsigne dans
un autre passage de
assis.
la
mme
H
la
<:=>
reprsentation donne la desse Ust un caractre canin, caractre qui se retrouve dans
la tte
la
un animal similaire au
Twv
(I,
55)
remarque
et
Leemans''
du sceptre
|.
un
oiseau, mais
Pauw
la
cigogne ou,
comme Leemans,
huppe, qu'Horapollon
nomme
92, 93)
les
z-ko'\i,
l'identit
opvsov
mots
la
"EtiO'\i
huppe
tait
nomme en
memph.
Ke.p.itin
(Kircher),
en
sali. K*.p.nen
i^g.
mot
le
modle du
xojxojcpa
les textes
dmo-
correct de KOTKoir<^.T.
nom dmotique de la huppe ft kekupat' , le prototype Au surplus, ce qu'Horapollon racontait de l'amour du koula
kouplia
huppe
et
parle Pht/siologus^"
1.
M. and C,
47;
il
vit,
de
mme
p. 323, 411),
l'emblcme de
la puret.
2.
3. 4.
Guide, p. 238. Publ. Bkugscu, Rcc. de Mon., t. II, p. Publ. Reo. arc.lt.. t. II. 2 (1846), p. 467.
71, 4; cf.
Lepsius,
Dj/i/,iii.,
IV, 65.
5. 6.
7.
8.
9.
p.
cf.
XVI,
5,
ei
p.
10.
Chez Larguer,
Hommel, Die
siologus, p. 53.
132
MUSEO CIVICO
IN
VENEDIG
T'Etto^/,
comme
fait avr.
Kooxocfa
ci'i
upupa
et l'arabe
serait tent en
premier
pour
nature de
la tte
du
j sont,
propos, soit que les anciennes reprsentations soient trop schmatiques, soit que les
si
publications soient
mme la
d'un quadruil
dsigne
comme
malgr ces
difficults,
me
par
parat possible de constater que, dans la plupart des reprsentations dtailles, la tte
montre
celle de la
pli,
comme
p. 580)
exemple, par
Brehm
Thiciieben,
2''
d.,
V,
de
ou
Naumann
dans
Vf/el,
V,
pi.
CXLII).
La couleur
naturelle
du plumage
est celle
la rouille,
cet oiseau
du
j.
parce qu'ils
cherchaient l'animal toupet dploy, qui est mieux connu et qui apparat souvent dans
les reliefs
gyptiens.
On
l'y
il
oiseaux', on l'apporte les ailes bri.scs*. Mais, autre part', l'oiseau port par un enfant
parat bien tre une
huppe au toupet
pli, l'oiseau
le
tombeau de
Ptah-hetep,
comme
formant
{Denkm.,
mme
Il
oiseau. L'ancien
nom
gyptien de
la
huppe
1
,
est inconnu,
dploy
%^'
j
le
le
nom
parat donc qu'en effet Horapollon eut raison et que les gyptiens aient vu dans
la tte
du
en gnral
la
la tte
de
la
ils
ne fussent point
consquents dans
d'un quadrupde.
MUSEO
VON
CIVJGO IN VEiNEDIG
Am
1.
Panth.
il
fiu/it.,
pi. I.
Levi {Dis.,
le
t.
II,
p. 90)
la tte
d'un quadrupde,
mais
3.
2.
me
monument dont
a.
4.
5.
47,73.
6. 7.
III, 52,
b.
L'oiseau
^^^,
lorsqu'il
sert
(cf.
Lkvi, Dix.,
8.
V, p.
15),
EIN
IN
VENEDIG
133
zum
Mal
veroientlicho.
zerstrcutc Matcrial
ist
dem Mangel
jegliclier
Publicationen schwer zu berblicken, und ich war bei meiner Untersuchung, aiisser
auf gelegentliche eigne Sammlungen, vor allcm auf das Berliner
Musum
angewiescn,
das
freilicii
ist.
Es
sei mil-
an dieser Stelle erlaubt, Herrn Prof. Erman fur die mannigfachc Fordcrung, auch bei
dieser Arbeit, meinen
Hand
schreiben^ so wiire die Aufgabe von Lepsius und Rosellini im wesentlichon gelostV
Aber nur
gebung
den
feierliclien
Gott-Konig mit
Ifibhaftigen
Ziigen darzustellen'; und auch dann wird das Bild des Konigs als
iibertragen, aiso stilisiert,
Typus
auf seine
Um-
etc.
die
Totenmaske
besttigt*. Freier
bewegten
wenn
sie
allem
wenn
sie in
weicherem Material,
iilteren
das
iiltern
Epochen
zogen die Knstler des alten Reichs Holz und Kalkstein, die des Neuen Reichs Granit vor, so arbeiten die Saiten mit Vorliebe in dunkelem Basait , in grnem Granit, dem
sie
ist
die Technik
ihre Strke
ahmen
sie
dem Kugelkopf
und
eines Scheich el-Beled, zeigen die saitischen Statuen eine lngliche Schdelform
hierlier
Hare
in Berlin heraus,
obwohl
sie ein
Werk
ist.
platten,
Denn sie ist an den Anfang der Perserzeit datiert'. Der hohe etwas abgesetzten Stirn, die an den innern Augenwinkeln tief
eingebetteten Augen, die Nase, deren Ansatz durch eine kleine Erhebunggebildet wird
1. L.,
2. Cf.
Denkrn.,
III,
293
ff.
Rosei.lini,
S. 131
Monumcnti
storici, Taf.
I ff.
(Epoche Aninmha III, XII Dyn.); Rec. de Trac, T. XVII. S. 108 Irealistische Kunst im Delta, wofr ein neues Beispiel Petkie, Hist. of Egypt, I, 175, Konioin Nofrii aus Tanis, grauer Granit, eingelegte Augen. XII Dyn.). 3. Cf. WiEDEMANN, ^rjyptische Geschichte, S. 397. 4. Ptrie, l^oll el-Amarna, Frontispice. 5. WiEDEMANN, Winckclmanns Urtheil ber die gyptische Kunst in Bonner Ja/irbuc/icr, 1884, Heft 77. Hin7.uzufgen ist vor allem. Berlin, 10858, Katal. S. 46, Ma.sec de Gizh, Notice Virey, S. l^ Maspero, Fondation Piot, T. I, Taf. 1.
Rec. de Trac, T.
XV,
6.
Der Ausdruck
ist
irrefhrend.
Eudes der
XXV
bis
XXX Dyn.
(Amnardis-Nechlnebef).
7.
134
EIN
IN
VENEDIG
wie eine Steigerung
und
die
iii
ist,
sicli
Viel klarer treten dise Eigenscliaften bei einem umsteliend abgebildeten Kopf
Erliebung
fast
an der
wo
der Schiidel sich senktV Dabei haben die Augenbrauen nocli den Mesdemt-
Streifen (er vertritt gewissermassen die Braiien), die Lieder aber sind sehr sorgfltig
gebildet. Die
scliweift.
Mundwinkel
ist
in keiner grsseren
Sammlung
fehlen.
Aber
es
sie
Miederum
in
Denn
die saitiscbe
Kunst
so gut
liuldigt
dem Eklekticismus und combiniert das Alte, Ehrwrdige kaum fremde Elemente ein. In denZeitender
an asiatiscben Einflussen, wie das
z.
aramischer Inschrift beweisen, aber sobald sich das ?egyptische Reich auch nur auf
kurze Zeit selbststandig fuhlte,
griff
man
Gste, Herrn des Landes wurden. Hatten sie es lange Zeit eintrglich gefunden,
tische
gypkein
Waare nachzuahmen,
Volk
Eignes
fast
nur auf
dem
dem
orientalisches
Keramik, so konnte
es nicht ausblei-
ben, dass sich gricchischcr Einfluss auch in der Skulptur bemerkbar machte.
In der That besitzen wir
die
zwar an jene
freiere saitiscbe
Richtung im Material und der ussern Formengebung anschliessen, dabei aber vor allem
eine so sichere anatomische
Augen
dabei von einem Kopf aus, der auch in der Technik vielleicht
'.
griechischc
Wcise
verrat
Wohl sind
darunter.
die allgemeinen
Formen
am
und
Rundung
in
den Schdel
iibergeht.
sich
1. 2.
Bcii.
Katal. S.
Einzeliie Beispicle von Laiiuschade.In, die, wie der erhaltiie Schdel des Apaaiichu in Berlin lehrt,
:
den
So namenllich im M. R., Berlin, S. .^9, N. 1011,^, nnd die yEgyptern eignen, febleu auch nicht in altrer Zeit Masphho, Hi^t. anc, I, 531. Jahrb. cf. allcrii. Kaiscrii., XII, bckannte Statue des Sebk m saf, G. 375 Taf. 1, 2. Aus dem N. R., Berlin, S. 123, N. 913. Intressant ist G. 56; hier bat man ira Stil des alten Reichs arboiten wollen, aber die saitiscbe Schadelform beibebalteu. In das M. R. gehrt wohl auch der Schreiber Rivillout, Sculpture N" 779 (?), der eine sehr iihnliche Schadelform im Louvre, Ravkt, Moiuiments, I, T. 13
wie der Sebk m saf. 3. Besonderer Vorliebe erfreute sich dabei die Vite Dynastie. Uebrigens sei hier noch der Knigskopf Berlin, S. 171, N. 11864, erwhnt, cines dor technisch vollendetsten Werke der Zeit in diesem Stil, wohl von einer Statue aus dem Eude der XXVI Dyn.
hat.
4.
5.
WiKDKMANN,
Bcrl. Katal., S.
N. lUlOO. siche
fig.
Nasenspietzc
fehlt.
KIN
IX
VKNEDIG
i;{5
Backenknochen stark hervor, ber die das Fleisch mit staunenswertcr Trcue gespannt
ist.
Vom Mund
dem
ist
trefflich gebildet.
Hingegcn
ist
das aniiegendc
Olir, vor
scliel,
allem in den
Windungcn
der
Mu-
vcrnaclilnssigt, ahnlich
saitischeii
Skulpturen.
guteii Teil der Lebendigkeit,
liegt,
Aber einen
die in
dem Werk
verdankt
es der
Augen-
Von
ihnen sen-
ist
am
zu
ussern
Winkel
das untere.
dem
krftigen Fleisch
wozu
dem dem
gewlbt und
fllt
nach
ab,
whrend
er sich nach
dem
flacht'.
Dadurch wird
ein starker
Wechsel von Licht und Schatten hervorgerufen'. Die in der Gegendder Schifenundder Bildung
des Schdels hervor. Ein feines Verstndnis verrat sich auch darin, dass der Pfeiler
nur
bis
zum Ansatz
dem Nacken
reicht.
In der technischen Ausfhrung wird Berlin 10100 noch bertroffen von einera
zweiten Berliner Kopf (12500, S. 232); auch er gehrte zu einer Statue, und befand
sich
r,
ehedem
ist
in der
Sammlung
und das
Ohr
bestossen.
B. der in
Wahrheit gar nicht sichtbare Ansatz des Oberkiefers am Ohr angegeben wird. Damit hngt auch die ungemeine Gliederung der Schdeldecke zusammen, die sich im Einzelnen kaum verfolgen liisst, so sorgfltig und fein hat der Bildhauer hier gearbeitet'.
1. Darin folgen dise Knstler dem Beispiel der ersten Werke des alteu Reichs. Ich habe versucht, die Bildung der Augea in yEgypten historisch zu verfolgen, nausste aber bald einsehen, dass dies nur in Gizeh selbst niglich ist. Die Arbeit wre gewiss lohnend. 2. Wie weit Malerei den Eindruck noch verstrkte z. B. durch Angabe des Augensterns, lsst sich nicht beurteilen. AuSllig ist, dass ein so genauer Bildhauer, wie der dises Kopfes, weder die Wimporn noch die Brauen angegeben haben sollte. 3. Auch die feinc Politur der Oberflche triigt zweifellos dazu bei, dass nian bei wechselnder Beleuchtung iminer neue Einzelheiten wahrzunehmen glaubt. Die kuflichen Photographieen geben nur einen unvoUkommenen Eindruck davou. Der Kopf ist erwiihnt bei Maspero, Arch. gt/pt., S. 2S^8, und abgebildet in der deutschen Ausgabe von Steindorlf. Seite 228. Zur Wrdigung der ganzen Gruppe trugen dann das meiste die Bemerkungen im Berliner Katalog, S. 182 bei.
136
EIN
IN
VENEDIG
Meisterhaft istdie BehandlungdesOhres; die Augenlieder sind \vieder als dnne Haute
gebildet, an
Denn das
ist
den
z.
B. bei
Mund
die
flircn, recht
Einige derbe Striche bezeichnen die welken Lippen des Alten, an den
die Krhenfsse, tiefe Furclien
Augen
sicht
man
umgcben
Augenhhlen; nicht
oline
Khnheit zeich-
nete der Meister in die Backen 2 Furclien ein, die freilich sehr ins Fleisch einschneiden.
Ain Hais
triigt
der
Mann
ein
Fig. 2 a,
II.
eines Gottes hing, denn der kahle Schdel erlaubt uns den Schluss, dass wir hier einen
Priester vor uns liaben. Hinten ragt der Pfeiler uber die erste, stark angegebene, Ein-
ziehung hinaus bis in die Hhe des obern Ohrrandes, worin sich ein weniger feines
Formenverstandnis aussert,
als es
Zu
London
ist
befindlicher', der
nach dem
der ganz unvcrmittelte Ansatz des Halses an den Kopf zeigt. Aber die Schdelform, die
Bildung der Nase, des abgeplatteten Kinnes*, vor allem der Stirn und der Schlfen,
weisen ihm den Platz neben den besprochenen
Werken
stark vortretenden
die
Augen
in tiefen
wulst-
1.
2.
Pfeiler bis oben binauf. Berl. Katol G. 23=.. Siehe fig. Die Form ist trotz der Verletzungen deutlich.
,
.'?;
EIN
IN
VENEDIG
141
Mund
Uebeiicgenheit des letzteren in die Augen, Aber auch die grosse Verwandtschaft, die
darin beruht, dass beiden ein gemeinsamer Typus zu Grunde
liegt,
dem IV
Jahrhundert.
Es
ist
der
Typus
eines gereiften
natirliches
Haar
was
durcli-
uns den Eindruck des Un?cgyptischen noch verscharft. Die holie Stirne
furcht,
ist tief
am
Nasenansatz
liiuft
dicken Licdern umschlossen, die wie zwei Bogen auf einander licgen ohne Unterschneidung. Die Augenbrauen sind massiggeschweift und fallen,wie das ganze Gesicht,
flach ab.
Die Nase
ist
man wohl, en
nennen.
Dieser Typus, dessen Verhltnis zu
dem
altern
^gypten herrschend
zum
ersten
gewesen zu
sein.
ail
dise Fragen
Mal angeregt und grundlegend behandelt hat, die Statue eines Hor abbilden lassen (S, 200, Fig. 203). Er scheint geneigt ihn etwa in das I Jahrundert nach Chr. zu setzen.
Haartracht und Wiedergabe des Haares, die harten Formen des Gesichtes, die Bildung
der
Und
Kopf
Der
r.
Arm und
nach
vom
gebeugt
ist
ist
Auffllig lang
dem Boden
dem
Pfeiler
im Rcken eine
Inschrift', die
lsst,
/.
dass
8)
wir hier ein Sptwerk vor uns haben. Da eine ganz ahnliche Statue (Daressy,
c, N.
den Penuit
batte (1888 in
Denderah gefunden), und die ltesten Inschriften im grossen Tempel daselbst aus der
letzten
man
wenn
er
den
Penuit
um
50
v. Chr.
ansetzt
Titel sich
finden,
die
beim Hor
den Schluss
zieht, der
Hor
:
sei spater,
etwa
dem Penuit
der Kopf
gehrt er an den
1. Cf.
zelbeitea entnehme.
Dauessy, Rec. de Trac, XV, 157 ff., eiue sehr dankenswerte Arbeit, der ich mancherlei EinHtte der Autor nur wenigstens einige Cliches beigegebeii! Virey, Notice des Mon. de
II,
Giseh, N. 294.
2.
Baedekcr,
S. 91 (Dumichen).
142
EIN
IN
VENEDIG
Anfang der
denkeii.
Reilie, so
mochte
sich gerii
in
Venedig
Statuen
Hingegen kann
gehorten
in
ich
Daressy
niclit
aile dieso
Zwar darf man dagegeii die von ApoDimeh wenigstens nicht in dem Sinne anfiiliren,
la
in
dem
statue d'Irone
tliun knnte',
denn dise
Ptolemaerzeit und
stellt aucli
Andrerseits weiss ich nicht, wcsh:Ub Botti mit der gricchischen Inschrift bis in die
Zeiten des Septimius Severus hinab gehen will.
Aus
dem
87
v.
gleichen
ersieht
um
Chr. 1,
schrieb'.
So
^gypten
Belegen
ist'.
der
Worte
fehlt es nicht an
wenn wenigwohl
bis
Wiedergabe der
Inseiiriften bei
Bckh Verlass
Somit
der Statue zu
das ubergeschricbene w
in
NETTIIOITOI verbietet
Wir sind
Analyse
angewiescn.
Die Statue des Eirenaios steht nicht
allein.
Musum
nicht
dem Tempel
ist.
man wiederum
Sie
stellt
Nun stammt
das Haus, in
dem
aus der Kaiscrzeit. Die meisten Fundstucke weisen auf den Anfang des 2ten Jahrhunderts.
Sicht
man von
fiihrung des
Gewandes
in der
Haltung vollkommen
iiberein.
Arm
hiingen,
wahrend der
eingeklemmt
linke
ist.
dem
Arm
bedeckt,
rechten
Arm
herabhangender Zipfel zu
endigen, der bald gerade, bald schrg, aber immer mit einem Zackenrand, abschliesst.
1. 2.
L'fjyf.tc, 1894.
N. 6 u.
7.
Cf.
Boni,
Catalo'jue, S. 32.
KataL, S. 261. Cf. yEg. Zeit., 1893, 31. 3. Ich gebe eine Auswahl meiner Zusammonstellung. iudem ich mit der augusteischen Zeit beginae 1) 01)elisk Jahr 18 d. Augustus (Nerutsos, L'ancienne Alexandrie, 518),. 2) Bckh, C. /. G. 4923 (augusteisch), 4925 (I Jahrh.), KEAC02; 4713, d. Abschrift voii Wilkinson (etwa Trajan); Bom, 2493, S. 147 der Notice des Mon. d'Alexandrie (Claudius). 2494 (Trajan); Bckh, C. I. G. 4711 (164 u. Cbr. c), Z in der Mitte und ara
Berl.
:
Schluss; 4708 aus Arsinoe (23^733 n. Chr. datiert. 4. Berl. KataL, S. 261, N. 11632, 11633. 5. Miinchen Glyptothek N. 14. Photographie kuflich.
6.
7,
S. 42.
EIN
IN
VENEDIG
143
mit kurzen rmeln, der, nach der Wiedergabc bcim Bakoncliui, ans diinncrem Stoff
war. Die Fiissc tragen keine Sandalen.
Die
gleiclie Tracht,
abor ctwas verscliiedene Ilaltung /oigen iiun der lior iind die
ist
der
liidce
Arm
hi(M' viel
ist
wulstfoiinig uingescblagen.
wrde auf
Bakonchui
Wert
und
Hor und
gebaut, im Gcsicht treten die Knochen staik iiervor, die Haare weichen nicht so sehr
auf der Stirn zurck. Bei der Beurteilung der mnchener Statue darf
nicht vergessen, dass sie \vohl
man
allerdings
kaum
vollendet
ist.
Wenn auch
Gewand
und
der Farbe beiiassen bleiben mochten, so weist doch der rauhe Grund der Basis
hin.
Mithin glaube ich den Eirenaios nach der Statue des Bakonchui etwa
hundert setzen zu
diirfen.
Dazu stimmen
die
wrde man am
tuen setzen, vor allem 11033, deren Stil der Katalog mit Recht
besonders unange-
nehm bezeichnet^ Hier ist der Kopf unglaublich knochig und eckig, die eingelegten Augen lassen nur nocli inehr die Unfhigkeit des Urhebers dieser Statue, Leben wieder zu geben, erkennen. Auch scheint mir die Anordnung des Gewandes am 1. Arm
scheinbar htte der Chiton einen langen und einen kurzen Armel,
nur erklarlich
ist,
dass beide
11633 trgtausser-
dem
mag man
die
wenn
man
nicht lieber die anliegenden Ohren, die Starrheit der Ausfhrung der verschieden
gebten Hand des Knsticrs zuschreiben will, dessen Heimat wir kennen. Der Hor stammt aus Alexandrien
gearbeitet haben, und
:
nicht einmal
wenn uns
die
man gewiss verhaltnismssig gut Statuen aus dem Fayum so gar jammerlich anverschiedene Entstehungsort neben dem chronoHier wird
in
Das
an diesen rmisch-?egyptischen Typus anlehnt, nur in der runden Form des Kopfes,
dem
kleinen
zeigt, die
wohl portraithaft
1.
Siebe Krebs,
A^.
Zeit., 1803, 31
und
kfjl.
Museen
passim.
2.
Mnner? Die
Photographieen kuflich. Sind dise Statuen Priesterbilder des Tempels oder Weihgaben weltlicher Inschrift des Ireuaios vergliclien mit C. /. G., 4714 und 4711, lsst eher an das erstere denken.
144
NOTES DE VOYAGE
dem
griecliisch-rmisclien Deltastdtchen, ein Rest jener freieren
raelirfach
im Delta begegnet
sind^ ?
Noch einmal
handenen
sei es
gesagt Hier konnte nur ein erster Versuch gemacht werden, die
:
und das
ist ja
dem
vor-
zu
sichten
und
Auf
wiegt
dass es nur
genau
festzustellen.
So gut man
als in
Memphis und
in
sprach, als in
in der
beitet.
Weltstadt anders
im Fayum gear-
So
ist
fur eine
und
Museen,
NOTES DE VOYAGE
l'AK
U. BOURIANT
21.
Il
Tombeau royal
d' Hadgi-Qandil
les grilles
valle
un tombeau
sur
le
modle de ceux de
ou tout au moins
la valle
il
Khunaten
tait trouv,
roi,
tait
tombeau de ce
La dcouverte
fit
un
monument
Seule,
VEgyptian Exploitation
du tombeau
Hadgi-Qandil, nous n'avons cru pouvoir mieux faire que de rparer l'oubli des voyageurs
prcdents, et nous nous empressons de donner, en
mme temps
qu'une description du
1.
Cf. Rcc.
:
bekannt
S. 347
f.
de Trao., XVII, 103. Whreud des Drurks wurden mir 2 weitere hierher gehrige kpfe Schneider, Album der Antihensammluncj su Wien, Taf. 13, und American Jurnal of Arch., X, Sandsteinstatue ira Typus des Hor. Der Reif im Haar ist mit Rosetten geschmckt. Cf. Gazette des
S. 474
f.
Beaux-Arta, VII,
EIN
IN
VENEDIG
Nase zum
als
137
dem
iiussern
Winkel
Scliliifcn
steil
Mund und
an der Nasenwurzcl
niclit.
Wichtig
ist
rauhe Masse.
Ueber den
sich
kaum
in
Abrede
stel-
leicht zu
Wir
dabei nicht
Werken,
so individuell
erscheinen mgen,
liegt,
ein
Typus des
alten
Mannes zu Grunde
einzelnen Kpfe
Der
minder portraitmssig
gestalten.
Fig. 3.
Wie nun
Typus nicht
weit verscliieden von den
besten saitischen Kpfen, wie wir sie oben besprachen, aber auch von den berhmten
Werken
altrer Zeit'.
Hingegen
ist
die peinliche
Kunst des
Da wir nun
der gyptischen Kunst aus sich heraus eine solche Entwicklung zuzuschreiben, wir
Weg
Jahrhunderten
seit
der Saitenzeit ein ganz anderer war, so ergiebt sich von selbst die
Und
Annahme nur
Ist
besttigen.
nun der Typus der Kpfe von der griechischen Kunst beeinflusst, so erklrt es z. B. der Londoner Kopf sein naturliches Haar in unaigyptischer Weise
Sonst aber mochte ich ihn und den Berliner 12500 in einen gewissen Gegensatz zu
und der Pariser Kopf Mashero, Arch. gijpt., fig. 201. Es giebt vereinzelie Beispiele, so Berl. Katal., G. 374, die von den saitischen Skulpturen freieren Stils berleiten zu den griechisch.-aegyptischen. G. 374 hat anliegende Ohreu, wie aile hierher gehrigen Kpfe, zieralich convexe Augen und steht 10100 nahe. Am Hais sind die Hautfalten angegeben. Dafr kenne ich als altres (XIX Dyn.) Beispiel die Statue des Ptah-Mai (Berl. Katal., S. 90, N. 2297), ein sehr sorgfltiges Werk. Ftah-Mai hat auch einen Lang-Schdel. Aber ein Vergleich beider Skulpturen zeigt sogleich, wie gross der Unterschied selbst dann ist, wenn auf der einen Seite ein gutes, auf der andern ein ganz unbedeutendes erk vorliegt. .\nders steht es mit den sog. Hyksosstatuen und eineni Londoner Kopf Berlin, G. 379, vergl. Roc. de Trao., XVII, 109.
1.
z. B. Berlin, 12500,
2.
nECUlCIL, .WIII.
NOUV. SER.,
IJ.
13
138
MUSEO
CIVICO IN VENEDIG
10100
stellen.
Hier
sclieint
mir
ein
lerisclierem
Empfinden genrbeitet zu
nun auch Ailes, waser weiss anbringtund weniger Wertauf Weicliheit der Formenlegt'. Aber wir knnen die Entwicklung weiter verfolgen. Ein kleines Kpfchen ans
dem
gleiclien
aile
in
bedeutend ge-
steigertem
INIasse.
dem
Weise
Augen
Augenlieder sind dick, die Ohien liegen an'. Der Pfeiler liinten geht
an den Nacken.
Es kann hier
Aber
man
einer
hat diesem
zeitlicli
um
eine ungefahre
Hier will ich eine Statuette aus griinem Stein anschliesscn, die uns anscheinend
zu
liefert.
Mann
steht auf
dem
rechten
drittel
aus-
gearbeitet und durch eine Piatte vcrbunden. Die Fiisse sind abgebrochen. Die
liiingen lose
Arme
am Korper
in
der zur Angabe des Schattens in der hohlen Faust dient. Er trgt den feierlichen
Knigsschurz des alten Reichs"', und war doch wohl nur ein Priester, dessen
nicht einmal gemeldet wird
:
Name
uns
denn der
bis iiber
ist leer.
ist
Arbeit.
So
ist
die
gyp-
Formen
Treue
in
der Schdelwiedergabe,
ist,
wo
steht der
Kopf weit
zuriick'.
Die Krperformen sind eigentlich nur an der Brust freier und vielleicht
am
Annahme
nur
in
natrlich war
1.
Auf
in
^gyp-
Herl. Katal., S.
18:2,
N. 2bb.
Ich glaube
man
Werke
fast
durchweg
vvhrend man im Allen Reich bei barhuptigen Siatuen die Ohren ziemlich richtig auliegende Ohien haben bildet. haben die Knsiler dor spateren Zeit, durch die Gewohnheit, Kpfen mit dem Tuch nach vorn geklappte Ohren zu geben. beeinflusst, meist die Ohren weit abstehend gebildet. 4. Wie Prof. Euman mir freundlichsl niitteilt, hait auch er den Kopf fur juger als die andern. 5. Ekman, /Eyi/ptcn, I, 94. Alterlmlicbe Trachten und Frisuren legen die sptern /Egypter seit XXVI Dyn. gern an. Berl. Katal. N. 10972, S. l'JO. Photographie kuflich. (3.
,
EIN
IN
VENEDIG
139
Dafiir, dass
ist,
finde ich
mm
Sie
ist
von Wilcken,
vvie
mir Prof.
Kiman
in die
Er
triigt
einen Cliiton,
am
dem
ein
Bronzeboiden
Gurt
liber die
Yon
der
1.
Band,
dem
r.
Arm
durchgeht. Nach der Art, wie der Zipfel rechts vorn gearbeitet
fiir
war
es
von Leder. In dem natrlichen Haar (das spricht so gut wie die Tracht
Enden
r,
und
1.
an
dem
bis
an
sind'.
Der
Stil des
Kopfes
ist
Wunderlich
iibertrieben
die herunter-
es ist
allem die
wie die Augenbildung der Demeter von Lykosura, bei der die Pupille rings von einer
Furche umgeben
ist.
fiir
einem Relief
in Berlin
gewinnen zu knnen*. Es
stellt
Abschluss des Gewandes bildet eine breite Franze, der wir noch fter begegnen werden.
Clia-hapi
ist
brtig
aber die Art, wie das Haar, auch vor allem die kleinen Locken
am
Kopf, wiedergegeben sind, erinnern unmittelbar an das krause Kurzhaar des Har-sinebf.
hat,
Nur dass Cha-hapi, wenn der Augenschein nicht trugt, Negerblut in scinen Adern womit die strkere Lockenbildung zusammenhiingen mag. Die gesammte Auf-
fassung des sorgfiiltigen Reliefs, verglichen mit der Statue ans Sais, lsst brigens
man auch damais in Memphis noch iiber tichtige, geschulte, Bildhauer gebot. Und man wird nicht fehl gehen, wenn man danacli die Datierung Wilckens fiir den Har-si-nebf fur durchaus zutreiend hait So wird man im 3ten und
keinen Zweifel, dass
:
2ten Jahrhundert vor Christus gearbeitet haben. Hier scheint mir nun der Platz den
Kopf ans Venedig einzureihen, der den Anlass zu diesen Bemerkungen gab. Vermutlich stammt er ans der Sammlung Molin, aber sicheres war seinerzeit nicht
1.
Berl.
KataL, S.
267, N. :i271.
Die Nase
ist
ergozt.
Der Uateikrper
fehlt.
Gefunden
iu Sais.
Schwarzer
Granit.
2. Es ist das kurze Gewaad, das so oft auf deii sog. alexandrinischeii Terracotteu, deren Masse den ersten Jahrhunderten der Kaiserzeit angehrt, begegnet. 3. Vermutlich waren dise Enden mit Metall berzogen. 4. Berl. Katal, S. 272, N. 2118, Cha-hapi starb im Jahr 203 v. Chr. Cf. Stkrn, .'Eq. Zcit., 1884. 101 f.,wo auf S. 109 eine Abbildung des Cha-hapi.
140
EIN
IN
VENEDIG
zu ermitteln.
Wie
;
der Pfeiler, der bis an den Nacken reicht, lehrt, gehrte der Kopf zu
Gesammthhe betrgt
3,
15, 2
am
Nacken 14 cm.
lich en face
Mund
6 cm.
Augen 2 cm.
Der Kopf gehort mit zum Besten, was wir aus ^gyptens Spatzeit haben. Namentwirkt die krftige Wiedergabe der Formen vorzglich. Aber nicht nur das
in
Fehlen der feinen Politur trennt ihn scharf von den Kpfen, die ich
Ptolemerzeit setzen mchte.
die harten
Auch
Runzeln auf der Stirn, die gebohrten, wie gewaltsam herabgezogenen Mund-
am Kopf
weniger feines
liegt
am Kopf
dem Alton
die
Haare ausgegangen und nur ein Dreieck mitten ber der holien Stirn
ihm geblieben
darin ganz alinlich dem Londoner Kopf. Und an diesen muss man
(a. a. 0.).
ihn anschliessen, an ihn, den Har-si-nebf und die Berliner Statuette 10972
Denn
sehen
iiber
:
den Unterschiedcn darf man auch die vielen gleichen Elemente nicht berder der hochste Punkt dort
leise
Die KopflPorm,
J)ei
liegt,
wo
der Schdel
abfiillt,
der
Nase an der Oberlippe, kurz die Elemente, aus denen sich die
setzt,
Darstellung
alteren
zusammen
sind die gleichen hier und dort und weisen direct auf jene
Werke
ist
Es
Sammlung Barracco
zu Taf 75 in
.
weder
und authentischen
z.
th. a. a.
0.
ist
Mann
triigt
dem
am
Pfeiler
Stem
Der Kopf
ist in natiirlicher
der Stirn driingen sich die Furchen frmlich, die Augenlieder sind dick und mit einer
als
durch eine Vertiefung angegeben, also der sptern rmischen Art sehr
z. B. Baiimeister Denhmler, I, p. 370. Die ersteii Zweifel an der Richtigkeit der Benennung des 1. Cf Kopfes Barracco regte Prof. Wiedemann au. 2. Auch fur den Reif fehlt es niir au einer befriedigenden Erklaruug. Ganz hnlich findet er sich bei den Statuen aus Dimeh Berlin, 11633, I163;i, S. 261 (s. u.), und bei einer auch sonst merkwrdigen Statue hadrianischer Zeit, iMnchen Glyptolhek N. 23, die mir einen Typus des alten Reichs zu benutzen scheint. (;f. fur eine hnliche Tracht griechischer Alhleten Furtngler Meisterwerke S. 431, 433 und dann einen sog. Caesar
im Louvre. Auch
NOTES DE VOYAGE
tombeau,
utiles.
145
le
tombeau royal du
d'aprs les renseignements qui nous avaient t donns, nous comptions sur une caval-
cade d'au moins quatre ou cinq heures et nous avons t agrablement surpris quand,
aprs deux heures et demie de marche seulement, nous nous
la grille
sommes
trouvs en face de
la ville
la
ddie
et.
de montagnes perces de loin en loin par des valles qui s'enfoncent au nord,
au sud. La valle centrale, celle qui se trouve immdiatement au sud du groupe septentrional des
tombeaux
et
dans
le
prolongement de
l'axe
suit
d'abord la direction
est,
nouveau vers
royal.
l'est.
on arrive au tombeau
on y accde par un escalier assez raide de vingt marches, interrompues en leur milieu par un plan inclin sur lequel devait
la
La porte de
tombe s'ouvre au
soleil levant,
glisser le sarcophage.
Immdiatement aprs
le palier
commence
lisse
le
mme
seulement
accentue.
Au
bas de
le
relev
porte donnant dans une salle d'assez troites dimensions, et qui sert simplement de vestibule la salle
troite
que
celle
de
Sti
P""
de
la pice,
mais
il
ne reste absolul'ont
ment
rien'.
Je ne
d-
couverte y ont pntr, mais aujourd'hui qu'elle est dbarrasse de tous les gravats qui
les traces
salle se
termine
tombeau proprement
dit;
commence dans
mene
est
tombe depuis
sommet de
de
la salle
du sarcophage
146
NOTES DE VOYAGE
longueur de chaque pente,
la
on arrive
un
total
de 58 mtres, que
le visiteur est
du
commencement
la fin
de l'hypoge. Nous
sommes
loin,
on
le voit,
Khunaten,
je
et,
pas affaire
ici
plusieurs de ses
si
le
n'y a
description dtaille
A dfaut de document plus prcis, une du tombeau donnera peut-tre quelque indication de nature nous
du monument.
Tombeau de Khunaten.
Plan d'aprs
le
Quand on descend
plan
1),
la
on trouve
droite,
couloir,
du tombeau principal
et
mais qui ne
arrondi
(3),
une
rampe
lisse (4 et 5), h
l'axe
du grand
couloir. Cette
lui-mme
1 75 du
et qui
sol s'ouvre
la largeur et
du
couloir,
mais
trs
peu leve,
et
elle
de M. Newberry
sur
le ntre),
Il
porte
le
n 6,
faut reconnatre
cas,
NOTES DE VOYAGE
147
En
lier (6),
continuant suivre
le
une
premire marche de
sol
l'escalier, et
de
la
chambre dans
chambre, haute
d'i
parois en ont t recouvertes d'ornements, trs mutils aujourd'hui, mais qui nanmoins
peuvent tre presque entirement reconstitus. Les deux parois principales, est
sont toutes les deux occupes par une adoration au disque;
la
et ouest,
de chose prs
la
mme
il
suffit
dans l'angle
la paroi est et
sud sur
la
paroi ouest),
troite,
une montagne
Au pied
de
la
mon-
commentaire
l'hymne Aten.
ct de la
montagne
se dresse le
pylne du temple;
la vivifiante appari-
nombreux
s'inclinent
ou se prosternent devant
accoutume;
les
du monarque,
a
lui-mme
immol
:
la
de quatre
Sur
les
deux parois,
mmes
personnages,
les fonction-
de
la
le
divers personnages, en gnral des trangers, Ngres aux larges boucles d'oreilles et
la
la
robe
du ct de
l'astre
rptes galement dans les deux tableaux dont nous avons parl, mais elles ne sont plus graves sur
la
mme
celle
dpendant de
la
communiquer
cette pice
avec la salle
du tableau de
la
la
de
la paroi
porte d'entre de la
De mme,
sur la paroi
nord, mais dans l'angle ouest, est grave une reprsentation de soldats et de chars qui
fait aussi partie
du tableau de
la paroi ouest; ce
que
de
les
amen
les
personnages de
la fin
la
La mme scne
la salle
se retrouve
d'ailleurs la fin
du tableau de
la
paroi est.
Il
il
porte d'entre
est
supportent,
couche morte
fille
du
que
roi; sa nourrice, ou
lit
au pied du
les
funbre, aula
surs de
jeune
148
NOTES DE VOYAGE
le
bras
de
la
reine; derrire la famille royale, toute la cour se dsole dans des poses trs bien
l'artiste;
observes par
ses servantes.
la suite
Ce tableau
deux
registres,
fait
identiques,
Au
fond de
la
chambre
a,
dans
la paroi
125 environ du
les
sol,
dont
murs ne portent
forme
la
est singulire.
La pice
est rectangulaire et
mesure
6'"
6">
que
plafond suit
le
chambre; en tous
La chambre
l'angle sud-est
communique
p.
chambre
taille
dans
de
soi, et la
pice se continue de
plain-pied avec
1'"
le seuil
78, et de
forme en
parois sont recouvertes de tableaux qu'on peut diviser en deux sries principales, l'une
occupant
nord
et ouest.
la
Devant
gens de
fin
la suite se livrent
au plus
de
le
la
paroi sud.
gauche encore
La nourrice de
la
Un peu
de
la
femme donne
le
fille
gens de
la
cour viennent
En
celles
prsents
divers objets du
paroi a t presque entirement dtruite; une poque postrieure, une large baie y a
t pratique qui a emport la presque totalit des gravures.
Revenons en
arrire, sortons
du sommet de
l'escalier qui
conduit
grande
salle infrieure.
s'ouvre une large porte qui donne accs dans une pice (D), de
parois taient jadis recouvertes de tableaux, mais tout a t mutil avec acharnement;
on peut cependant, aprs long examen, reconstituer, au moins dans ses grandes lignes.
NOTES DE VOYAGE
l'ensemble des reprsentations aujourd'hui dtruites. Sur
la
14!)
Aten;
le
l'est; le roi, la
les
autres personnages
paroi sud,
mme
Sur
la
paroi de la
porte d'entre, c'est--dire sur les montants intrieurs de cette porte, sont gravs droite
et
fleurs
les
montants ext-
mne
la
grande
gauche
est
au bas du
WF^ "
dans
Enfin, au del de cette porte, on pntre dans la salle extrme, la salle du sarco-
phage;
elle devait,
le principe, tre
piliers;
le sol et
un seul
est aujour-
au plafond; quant
bien
et, si
mme
qu'on
la salle taient
ornes
de tableaux reprsentant uniformment des scnes d'adoration Aten; sur la paroi est, gauche de la porte, tout est dtruit, l'exception de deux disques rayonnants qui se
voient encore l'un dans l'angle gauche, l'autre dans l'angle droit de cette partie de la
paroi.
du disque
et sur les-
s'levant de la
En avant de
la tte
la table d'offrandes,
^
^
le roi, coiff
,
de
la
couronne rouge,
et la reine,
couverte de la coiffure
frandes; les mains du roi et de la reine sont dtruites. Derrire eux viennent plusieurs
de leurs
filles;
les
noms de Merit-Aten
file
et
de porte-ventails, de porte-flabellum,
deux
qui,
s'il
tait intact,
question de savoir
si le
simplement l'une de
tique ceux de la
ses filles.
En
de
effet,
chambre
a et
la
chambre
on
voit,
gauche, une
femme debout
Maqet-Aten;
le dais, s'il
y en a eu un, a
disparu dans
la
il
attitude; s'agit-il
d'adorale dire.
Maqet-Aten, on ne peut
le registre
suprieur du tableau a
il
s'agit
une mimique
les
tableaux
d'adoration (chambre
du
roi
le roi se
lamente (chambres
150
NOTES DE VOYAGE
tableau qui nous occupe,
que, dans
le
il
s'agit
de lamentations, et que
les
pleureurs et les
le roi, la
pleureuses du registre suprieur ne font que suivre l'exemple que leur donnent
reine et les princesses. Or,
si le
roi se lamente,
il
est difficile
il
mme
motif
que
celui
et
de dsespoir
gauche de
il
la scne,
de
la
nourrice de
la princesse.
elle,
il
me
tombeau dcouvert
princesse Maqet-Aten,
la famille.
;
deuxime
fille
du
roi,
et la
premire de
Les autres parois, ouest et nord, ne portent que des traces indistinctes de tableaux on y voit toujours
mutils.
le
les
Sur l'unique
nage
pilier
de
la
chambre
taient reprsents
au disque; sur
sud, le pertitre
:
est rest
AAA/^
v\^m;
c'est
le culte
d'Aten,
les
A l'ouest, toute
difice,
la
l tait
un personnage,
la
dfunte probablement.
22.
Dans sa lettre M. Maspero, |)ublie dans la XI^ anne du Recueil (p. 96-100), M. Golnischei signalait, entre Tahta et Ennebis, quelques dbris de pierres, dont
quel(|ues-unes poi'taient des trac e s de reprsent ations et les cartouches romains
(
:
^^
VJl^
^ "T^ ^ -V ^1
>^
l^^^QP^^T
nom
qu'il transcrit
Md-k--n-s
lui
J'ai
passant Tahta, de voir quelques-unes des pierres provenant des ruines signales par
M.
Golnischeff; celles qui portent les cartouches verticaux signals par ce savant sont
il
mmes
cartouches
le
Les voici
propri-
f[^z]^^j ^^ q m (^
le
^jCommodus,
prtait
nom
d'Aurelius
et
M.
monument lui-mme,
une
double interprtation.
NOTES DE VOYAGE
151
23.
La
publication d'Ombos, un peu trop htive pour tre parfaite, ncessitera l'imliste d'errata
pression d'une
la lin
mon
dernier sjour
le
que contient
Planche
premier volume de
publication
''"^
XXVI
L. 4, au lieu de
oDo
II
lire
"^
ooo
'^ (1
^,
le
il
faut
donc
L. 12,
PI.
lire
commencement
y;
fin
-\l-\
XXVII
L. 1,
au lieu de
/^^
,lire/|
^ au
x
lieu de ra.
mot ur
et
non par
le ''^^.
.
L. 12, aprs
PI.
^^^.lire^lYI^.
^^^ ""^^
D
,
\
XXXVI
L.
1,
au lieu de au lieu de
lire
^^ ''^^
O
^,
lire
L. 2, au lieu de
f^ M .lire
"^
i
I~^^~1
L. 9,
,
le
groupe de
la fin
x ^
X
:
v^
i
P ^
L. 13
PI.
entre
(fin),
^'^
""^
.
m
(S
1\
XXXVII
L. 11, au lieu de
f=^Y'
I
l'^e
czzd^.
lirp.
/
I 1
^^, ^^m
1
^==
v,
il
Pl.CLXVIII
Cartouche 3
[^^
iiJJ
I
fx/N
PL
CLXX
4:^^-^^^ "
10
11
:
le
Ar%
352
NOTES DE VOYAGE
PI.
CLXXV
AAAAAA
l^
PL CLXXVI
1 (de
gauche)
=^
.
^^
Q^^1
Si^^^l^l
PI.
CCXIX
(cynocphale).
L. 2, au lieu de
'^^,
,
lire
^^<r:>.
L. 3, derrire TO
L. 12, au lieu de
PI.
lire le
''^-=^
,
signe 11.
lire
I
^^-^^
CCXX
L. 1
(fin), lire
T%u
lieu
les
de
L. 9, aprs
YY.
viennent
deux signes
Pl-CCXXI
CCXXII
L. 2 (dbut),
^^^^|.
^V=-=z^.
L. 5 (milieu),
PI.
.S.
(fin).^(j^^.
<=> -^^^
t\f\/VJ^
L. 7 (milieu),
L. 9 (milieu),
/w^^.
I I I
a O
L. 13 (milieu), au lieu de
<=>V
lire '^^^
/-^
' '
-
'"^ *^^
'^
Pl.CCLII
L. 3, au lieu de
L.
PI.
7,
au lieu de
les
^^'
"^^^"tD,-
CCLIII
Aprs
cartouches du
1.1,
roi, lire _1
1^ o
Derrire la reine,
PI.
CCCCXXV...
L. 3,
^^^ { aulieude.c=VJV^Jire^=\^Sl^?.
au-dessous de
1.2, dernier
L.
5,
m
: 1 ,
il
premier groupe
au-dessus de
aprs ^
AAAAAA
mo.
on
lit
k.=^.
0.
CDD
on distingue encore a
L. 8(dbut), I^Tx^'.
L. 9
(milieu),
(fin),
|(j^V||.
J^.
NOTES DE VOYAGE
153
PI.
CCCCXXV..
L. 10 (dbut),
(milieu),
|^ J^
n c
)
Ci
^-^
(Iin),,111t1.
la
L. 11, aprs
lacune
^:37Twnnn
I I
I
TiiD.lj
L. 12. aprs
"^
on
lit le
signe du pluriel m.
le
L. 14. api's
PI.
^^.
on distingue
o.
CCCCXXVI.
L. 1 L. G
(fin). (fin),
^^ J
(p^'s
de lacune aprs).
lire
au lieu du cynocphale,
mJ.
L. 7 (dbut),
11^.
sont indistincts.
L. 8 L. 9
PI.
(fin),
^
^
la
(fin).
CCCCXLVIII.
L. 2, dans
lacune se voit
le
L. 4. L- 5,
^^J'-
L.
8,5^0^.
L. ll(fin),f^/;
L. 13,
PI.
^-
CCCCXLIX
mi
L. 7 (commencement), L. 8 (milieu), H-\ au lieu de
(fin)
0<rr=
-?
\\.
L.
9,
czszi
D
y, lire
Q.
lit
les
le
Recueil
(XV^ volume,
continue sur
p.
la
commence en
la
etet la
page
183 et se termine la
tiers
le
occupe donc
le
deux premiers
de
page 182;
la
deuxime
la
premier de
page 183;
NOUV.
Slil!.,
II.
n
154
NOTES DE VOYAGE
mme
reproduite
la
deux
nom
journe en face de
Pour
les corrections, je
6.
et la
seconde par
Page
182.
Pi'emire colonne
Jour 17. a -1
/i
Deuxime colonne
Jour
^3,
o,
fl^J
a
^ ^
12,
^
I I I I
e\ c=r>^
Troisime colonne
Jour
13, a 14,
mm^\ lV.^
Ci Ci Ci
a
Ci C^ Ci
(P
Cl
Ci
15, b
5,
/;
7,
12, h
13, 14,
o
I
^37^g
a
II
23,
Quatrime colonne
24,
g iC
^x
I
Jour 10, a
Le long
28,
Q
I
29,
grave sur
la paroi
ouest
NOTES DE VOYAGE
de
155
la salle
(cf. le
l'autre (lignes
salle.
10 34) occupant
vis--vis de la premire
bas de
la
paroi est do la
mme
les
l*^""
texte.
Ligne
1,
au-dessus de
/^
(3
1
on voit
signes
o
le
e
groupe
:
2, le
groupe
^ doit
v\
^
^
A/WAAA
2
3,
(fin), le
gi'oupe ^c^^ se
lit
plus con-ectement
o
entre
t>s^
III
n
i
.
-^5^
entre ^^z et
ire <i-=^.
8,
dans
le
groupe oni
'.'
j
la
ligne
est douteuse.
8, vers la fin,
au
lieu
de
ll^^Vt<Uire 114JP
nn
ne sont pas fei-ms en haut.
gi-oupe
.
?,[^,[\, les
heu de
lire
'
2''
au
lieu
de
,'^[^,
lire
f^^^^.
lire
5CX<::5.
15, au-dessus
du cartouche, au
lire
lieu
de osO,
texte.
17, au lieu de
|^|,
lire
^
1
la
mme
sub-
stitution
au signe |^|.
p
,
lire
^
.
17
(fin),
au
lieu
de
p^, ,,
lire
.|.
18, au lieu de
Ni;
o,lireo ^.
I
27, au lieu de
HL
ja
I
lire
psI
u
la
mm
31,aulieudcfflJ/^,lir^J^^.
31
(fin),
au lieu de ono,
lire
oD.
32, aprs
fv^'
^U^Li^^cr
m
TOT TOT
groupe groupe
h
Enfin, dans
le
-^
lire
^
:
Ligne
aprs
la
lacune du dbut,
la
lire
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le
3,
combler
combler
q
AAAAA/
i
TOT
4,
la
le
[^ t^ c^
156
NOTES DE VOYAGE
Ligne
5,
au lieu de
'[^'^
'
Qf)
t -^
lire
lire
^^
^N.
au
lieu
de
|."-111J^au lieu de
i"""^
,
G (vers
la fin),
lire
"g
r^
u'd
7 (dbut), au lieu de
f^
d,
lire c.
m.
7,
au lieu de T,
lire
1 au lieu de
,
r^i-"<
,
8,
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lire
m au
lire
lieu
de S).
9,
au lieu de
^,
^.
(fin),
au lieu de 'ww^
,
lire
a/naa^a.
lire r-^-^
au lieu de -*aaaaaa.
13, aprs
^^,
de
|
supprimer
13,
au
lieu
^,
,
lire
i
au lieu de
lii'e \.
lire .-^-^
dans
le
gi'oupe
(1
jM E^^lll,
au lieu de A.
aw^aa.
15 (vers
17
,
la fin),
au
lieu
de de
1|1
a^vwv
lire
(1
lire
f
au
lieu
au
lieu
i;
17
(fin),
de
j^,
lire
^M
I I I I I I
19, au lieu de
19,
o?,
I I
liie ZiO(2.
I
au
lieu
de
lire
Parmi
314
trs
(pi.
les textes
publis dans
et
le
volume d'Onibos,
celui qui
occupe
les
pages 313 et
CCCCXXIll
CCCCXXIV)
lu assez
Ce
texte, grav
une
incorrectement lors de
la
t faite; cela s'explique aisment par l'abondance de poussire que faisaient autour de
nous
la
premire partie du travail ne nous a pas permis de corriger sur place notre premire
lecture. J'ai profit
de
mon
passage
Ombos pour
en envoie
la
copie
ti's
NOTES DE VOYAGE
157
Ligne.
:^^J^f^P|tJ|:^^j|T:^IMTi\
^^'^n^^T\llKx^z:l^^^Lim}^^^
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158
NOTES DE VOYAGE
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Q \^M\,
^yi'tJLl^
m
1.
la muraille.
^
NOTES
\)K
VOYAGE
159
|;j
24.
Temple d'Amada.
Sous
la
La
voici, telle
que
j'ai
pu
la
relever; mais
peuvent peut-tre se
rtablir. iMallieureuse-
ne puis donner
ici
:
que
la
de droite
ii-auche
AAAAVX
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AAA/WS
(2U=^=^^^
J.
II
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160
NOTES DE VOYAGE
^n^m^mn-7:^\{iii^.rtn
^l'iJ^f ^^Slu 0<=>1T^A^ ^o ^^r^Mr^wTo^w
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//
^^vww
r\
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"^
25.
Ter tes
d' Abou-Simbel
gauche de
la
la partie
l'enceinte
du
une
Bl. 196) a
le
donn une
sommet reprsente
Ramss
s'avance
II
assis entre
deux
divinits, sous
un naos
toit plat
la
princesse
fo^^^JJ^l.
et
du costume du prince
pour que
je n'aie
de
la
|)i
mcesse sont
pas
les dcrire
de nouveau.
Au-dessous de ce tableau
est
la
est juste
de dire qu'au
moment o
le
Abou-
monument
le faisant
a t impossible de relever.
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161
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II.
81
162
NOTES DE VOYAGE
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163
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NOTES DE VOYAGE
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Paul Pkuillkt
Au
(ll)iit
Une simple
lecture,
mme
rapide, de cette
monument
de grandes dimensions.
On
tement
et
Dos
lors,
serait picpiant
qu'il
(1(^
retrouver
h;
temi)lo de
Ramss
111
parmi
les
le
ruines de
'IMibes et
Hai'i'is
:
de comparer ce
l)ut, la
en reste avec
la
Papyrus
dans ce
du temple.
^
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\\\
hi\
^ n^ h<=^
eiid
v^y
SL
/wwv
f^-^^
Je
ill
'^
iLd'
la colline
de Nbankh.
Dans
cette phrase,
le
terme de
|
maison de
millions d'annes
, et le
nom
de NbanKh.
la
^s.^
\\\
chapelle
ou plutt
le
temple J'uncraire
Comme
du
le
Nil, en
|
avant de
la colline
Libyque,
c'est
qu'il faut
chercher
de
1.
de
De
2.
trustes.
Va
Nbankh
est
le
nom
PI. III,
I.
11.
p.
308-311.
167
Kam.ss
111 cl
la
colline de Nbankh.
:
Ramss
111, se
prsente aussitt
dcrit au
Ne
/V//)///7^s' //r?/77.s.^
La rponse nous
Mdinet-Hahou.
Il
couvrent
les nuu-s
:
du
tonij)Ie
de
e/
Amon
''
dans l'une
d'elles,
en parlant de Kamss
^^^'^^
\\
!T
^^ Vf
"
bes.
.
11
mme
rsulte
I,
passage
. .
que
nom,
\
mon
il
tom|)le.
sur
le
la colline
de Nbankh,
.
*>
'^^^-^
rj\
...
inm^
comme
celui
du Papyrus Hcwns
,
*.
D'o
que 1
c'est--dire
temple funraire
Or,
les
est en
mme
cl'
temps
connue
lui,
sur la colline de
Nbankh.
colline,
que
Desc/-iption
fj
t/pl c
qiiaWiiQ de
butte factice
,
,
mais qui
de
est,
en tous
cas,
Il
nettement spare,
la colline
Libyque'.
est
immi
"v.v
'
Nous arrivons
Harris
ainsi tablir
que
la colline
le
de
Nbankh
est
d,
probablement
dcrit par le
la colline
temple funraire
le
Papyrus
temple funraire
de Mdinet-Habou.
II
la
description que
:
Ramss
du
III
distinctes
de
la
planche
III,
Ramss
i)asse
en revue
^^^
^^^^
I {
1.
t.
I,
supplment,
p.
730 =: C. R. Lei'sius,
DenhmuUr ans
:
A'/y/i-
^
I I
i\
Nof.
(Ie.<cr.,
t.
I.
p. 730. Cf.
encore
p. 736,
o Khnsou
dit
Ramss
f./|
lamii
'vzv'
Je
t'ai
donn ton
cl),
sur
<=> ^^37
.=r
I
'^^M ^^ Nbaukli.
'^'wwv
Ci
(=
I.iips.,
o Ramss
12, 13, 41.
H-it
II,
p.
de
-r1
(^^^^
1,
Liii'.'ius
{Den/:in., vol.
pi. 73) et
ceux de
la
Dc--*c/-i/it.
d'g. (Antiq.,
t.
4. Peut-tre le terme de colline de Nbankh dsigne-t-il la colline Libyque en gnral, dans sa partie qui s'tend l'ouest de Tlibes, et non la butte de Mdinet-Habou en particulier. Ce sens pourrait tre confirm par une phrase curieuse d'une autre inscription (Ciiami'oi.l., Not. descr., t. I, p. 740 Lehs., Denhin.,
/wvw\ ^__1^
o Ramss
dit
.
I
morts
n dans un sens
| .
I I
il
tombes des
la
iT
I
.Nbankh devient
rgion des ^
serait
si l'on traduit par les morts de Nbankh , la colline de Nbankh Mdinet-Habou, et l'on apprend alors que cette colline doit contenir des tombes curieux de voir confirmer ce renseignement par les fouilles.
368
somptueux de
roi
))_Le
terme de ^
par
((
K
CIL.
.
")
-ji
palais royal
Ainsi
il
y a un palais
l'intrieur
du
le palais
rdifice
mme, mais
donc que
le
du sanctuaire
On
voit
1
sanctuaire de
A/M
parties
M
I
I I I
Un
palais roynl H^
,
es
du sanctuaire.
:
Un monument
que
l'on a
les
toujours considr
comme un
l'on
qu'il est
semblable tous
trouve au pied de
Libyque
2
difice
Une
appele
le
pavillon de
Mdinet-Habou.
On
est,
le
le
dcrit par
Ramss dans
Papyrus Harris
I, et
pavillon de Mdinet-Habou, le
du
mme
Papyrus.
III
En
1
la
avec
le
description du
argument vritablement
solide.
de Nl^ankh
tait,
comme
le
en pierre
du temple dcrit
actuellement
le
au Papyrus Harris
tait aussi
en grs',
comme
grand temple
et
le
temple de
Nbankh
contenait un bassin \ de
mme
le
il
est
mme
intressant de constater
Papyrus Harris,
1.
C'est- ;"i-(iire
dans l'intrieur du
Un
1
Supplcm\
p. 2*5; cf.
Papyrus Harris
e,
/,
pi.
IV,
1.
1; cf.
doser.,
I,
p.
733
(=
pi.
213
il
faut restituer
"
(TTHi
T I r7
A
Cf.
encore Champoll.,
740
(=
213 d).
pi.
Papyrus Harris,
IV,
1.
2.
murs extrieurs de ces deux difices, tandis que le temple des Thoutms a son enceinte spciale. La muraille qui entoure les constructions de Ramss est, en partie seulement, en grs. Voir, ce sujet, Descr. d'p., Antiquits, vol. Il, p. 12, 42, 59, et t. II, pi. 2. 6. Papyrus Harris, pi. IV, 1. 3.
5.
Un petit bassin est indiqu dans les plans de la Descript. d'g., .\ntiq., t. II. pi. 2. Je t'ai donn une demeure semblable au Champoi.l., Not. descr., t. I. p. 735. Moulh dit Ramss ciel, un bassin avec des chalands, des barques, etc. 9. Papyrus Harris, pi. IV, 1. 4, et Ciiampoll., Not. descr., t. I, p. 735.
7.
8.
169
les
le
de Mdinct-Iabou'.
tuites
:
tous les temples funraires avaient leur enceinte, leur bassin, leurs greniers et
la
du Papyrus
Harris avec
le
me
A
amsi
la
Ramscs, passant
la
Amon, commence
J'ai cisel ta
L'ternit , est
form lui-mme du
ici le
nom sous lequel tait adore la divinit nom spcial de l'Amon ador Nbankli;
laquelle
et
il
tait ddi.
prcisment ce
nom
:
CDD
venir, son pre
^^
Amon-R,
la
;^^()s^|o|
construction du
|
Ramss
a fait,
comme
sou-
de fterni t \
affaire,
dans
les
le
deux
cas, la
mme
construction, et
le
temple
Nbankh semble
bien tre
IV
Cette conclusion admise,
il
est
c'est le pavillon
de
\
I
3i.
A/^VVAA i
1
En
les
effet,
puisque
le
1.
Pour
le
Hnrr is
1.
4 et
l).
Voici le texte de
Ci
A-V\AAA
(S
_
j'ai
(J
Mp
^f5i '^--^n^
I
'<
J'^i
ramper
tes pieds;
monceaux;
tous les tas s'lvent vers le ciel; les curies sont pleines
:
de taureaux
2.
3.
de veaux.
o Ail A
(J(J
^^^n
c^'m
III
X\^
Dans
l'intrieur
t.
1,
p.
732';
cf.
pi.
213 e (o le
nom
est crit
v)
'iOOOCO.
'
'"* '"'-''"^
grand temple
-(MSIlfi\IE!W'-
NOUV. SKH.,
II.
Lf.ps.,
RECUlilL, XVIII.
22
170
ruines de Mdinet-Habou; puisque ces temples contiennent l'un et l'autre deux difices
distincts, et
puisque
le
premier difice de
l'un (le
est certainement le
il
premier
grand temple
de Mdinet-Habou),
le
en rsulte ncessairement
le
que
le
second difice
de Mdinet-Habou, c'est--dire
C'est ce
pavillon.
le texte
nous fournit, en
le
r-^-^
"^^^ ^
'
(^Jf
rs^s^
en or bon'
le
il
pavillon
est vrai
de cet difice
dans
principal, le
Dans tous
les cas,
il
est certain
que nous
avons
l,
entre
du Papi/rus Hcwris
et le pavillon
de Mdinet-Habou, un point
de corrlation d'autant plus remarquable que jamais ailleurs on ne retrouve de balcons dans aucun des difices ayant un caractre religieux ou funraire que nous a lgus
l'ancienne Egypte.
C'est
que prcisment
le
pavillon de
tre un difice
un
difice civil.
Comme
on
l'a
.ses
nombreuses chambres,
ici
dans un
temple funraire.
la
Papyrus Harris
rponse
le
dsigne
le
second difice de
Nbankh rpond, en
l'identifier
\
dans un S^
^,
dans un
palais
Mdinet-Habou un
palais*.
tort
comme MM.
raisons
il
MM.
sans doute
une
colline,
Harii)<, pi. IV, 1. 12. y a six balcons dans le pavillon de Mdinet-Habou. Voir, ce sujet, les coupes donnes dans la Description d'Egypte, Antiquits, t. Il, pi. 16. et les plans de Lei'sius, Denkmler, vol. 11, pi. 93. Cf. aussi Champoli,.. Not. clescr., t. 1. p. 339-340. 3. Je dois avouer cependant que les balcons de Mdinet-Habou ne semblent pas avoir pu jouer le rle de balcons d'apparition . Aucune fentre, en effet, ne s'ouvre sur eux. Il est notable cependant que des chambres venaient aboutir deux au moins de ces balcons, ceux qui se trouvent au deuxime tage, D'autre part, au-dessus de chacun d'eux se l'entre. (Voir les plans de Lepsius, Denkm., vol. H, pi. 93.) trouve une dalle qui se distingue du reste du mur par Je grain spcial de la pierre tout porte croire que des fentres devaient tre rserves dans cette dalle pour faire communiquer la chambre et le balcon. (Cf. G. Perrot et Ch. Chipiez, Hist. de l'Art, 1. 1, p. 474, note 1. et Ciiampoll., Not. descr.,t. I. p. 339). Quoi qu'il
1.
2.
Il
Papyrus
en
le
balcon se retrouve
la fois
dans
le
du Papyrus
Harris
4. 5.
dans le pavillon de Mdinet-Habu. Cf. A. Erman, jypten und gyptisches Leben im Altcrtuin, G. Pkrrot et Ch. Chipiez, Histoire de l'Art, t. I, p. 466-472.
et
171
en dehors de
la
le
Papyrus Harris'
h
nous apprend
qu'il
de Nbankli,
part qu'il n'tait pas besoin, i)0ur l'alimenter, (ruller chercliTr l'eau jusqu'au Nil
le
de Ramss
II
et de Sti
11,
au bas de
de
Memnon'.
Quant
je
l'exigut des
n'ont, en effet,
que de
12 16 mq.',
ne crois pas qu'elle constitue une raison sufisante pour que nous nous
les
proprement
dit .
Les Orientaux,
en
effet,
cheikh important
celles
n'a,
du pavillon de Mdinet-Habou.
jours sec de l'Egypte, on passe plutt sa vie dans les cours et sur les terrasses qu'
l'intrieur des maisons.
Il
en tait certainement de
le
mme
au temps de Ramss
III.
Au
reste,
pavillon de
Mdinet-Habou
palais.
Il
nom
est toutefois
mme
temps
un caractre moiti
V
Nous nous trouvons donc en prsence de deux
pharaon, au
difices construits
par
le
mme
mme
il
le
mme nom,
les dtails,
comme
le
certaine l'iden-
de ces deux
donc
le
temple dont
III
les
Ramss
dcrit dans
Papyrus Harris I.
trs
Et
si
nombreux, du
d'une certitude incontestables, sur ce que pouvaient tre autred'un des plus clbres souverains gyptiens,
laisse,
il
temple
et ce palais
ne nous reste
qu'
lire la
dans
le
Papyrus Harris,
le
pharaon
mme
qui
les a construits
[1.
(III,
11) Je
t'ai
lev un
de Nbankh,
1. 2.
3.
4.
Papijrus Harris I, pi. V, 1. 3. V. LonET, Manuel de la langue gyptienne, p. 144. D'aprs les plans de Lepsius, Donkmnler, vol. II. pi. 93. G. Maspero, ArcholoQ. gypt., p. 32-34.
172
:iv,
i;
'^Ik^
(a
(3
IT1
iTmi
J^^^^
J
(S
I
o j^o
I
^
L=Z1
I
I
d(J
^111
111
-^^
(IV, 2
nnnj
L=v]
AA/WVv
Z5
=> W
en face de
toi'.
(IV, 1)
Il
est construit
porte' est en lectruni, en bronze travaill; ses pylnes de pierre s'lvent jusqu'au
(IV, 2) diviss en registres et gravs au ciseau au grand
j'ai
lev une enceinte de grs blanc, de construction parfaite, avec des tours de garde'
1 Ramss a peut-tre voulu 1. A cette expression obscure, je crois pouvoir proposer deux explications exprimer que l'entre du temple se trouve en face d'Araon-R, quand il se love, c'est--dire qu'elle regarde l'orientation du temple de Mdinet-Habou est, en effet, conforme cette interprtation. le soleil levant
:
:
Une
i>ar
une phrase de
la
planche
III, 1. 4,
o on
lit
s:37
AA/wvA
r~l
t\^
repos Nbankh, ton lieu magnifique, a la noble face de ton ouba. De l'analogie de cette phrase avec celle qui nous occupe, on peut conclure que l'expression en face de toi quivaut l'expression eti Or, l'orthographe de ce mot nous face de ton ouba . Heste savoir ce qu'est Vouba dont on nous parle. indique qu'il s'agit d'un lieu lev, d'o l'on peut regarder au loin et d'o l'on peut tre vu de loin (d'aprs le
t'offre
T ^
le
U--^^SMl.-U
n
ff\
^
Il
Je
dterminatif
p. 740
-^^
et le
Lui'sius,
Denkm.,
sens de la racine). D'autre part, dans un texte de CriAMPOLLioN [Not. descr., t. I, vol. VIT, pi. 213 rf), tir du grand temple de Mdinet-Habou. la colline de Nbankh,
ou peut-tre seulement
la partie
le
(S
:
i^^Cl-
en rsulte
sur laquelle s'lve un temple par extension, d'ailleurs, que l'oM^a est probablement la terrasse artificielle ce mot a pu s'appliquer au temple lui-mme. .Si maintenant nous cherchons i\ dterminer de quelle terrasse ou de quel temple Ramss III a voulu parler quand il dit que la colline de Nbankh est situe en face de Youba d'Amon, nous constatons d'abord que le temple de Louqsor est prcisment situ h peu prs exactement dans le prolongement des difices de .Mdinet-Habou, c'est--dire de Nbankh. Comme le temple de Louqsor tait le vieux temple d'Amon, et probablement alors le plus clbre sanctuaire de ce dieu, il ne serait pas tonnant que Ramss Tait simplement dsign par le terme de ton ouba . Ce qui confirme cette supposition, c'est que, dans un autre texte de Mdinet-Habou (Ciiampoll., Not. descr., t. I, p. 735), il est dit que le temple a t con)
struit
i<
fl
H
.
race de Louqsor
2.
O
11
en face de Louqsor
L'expression
en face de
toi
en
Sur
[1
^v
(I
tmnii
erhnten
Bau- und
3.
Il
(J
1
voir le
mme,
p. 72.
cmii
>nN-
lTi
Ramss commence
la description
4.
Littralement
autour de
lui .
Le pronom
mot
fminin.
5.
Cette
On
a traduit le
mot
]^
mais
je
Ce mot. comme
c'est par la
le suivant, f<~<^
it:^!^ m.
les
\S.
<z:>
I
est
Egyptiens rendaient la
et
de ces langues. Or. M. Loret a bien voulu m'indiquer plusieurs mots hbreux
prochent de l'gyptien
<!:>
Il
[1
I I
I
C'est, par
exemple,
cubiculum superius);
(a'li,
locus elatus);
\J[c.
cacumcn montis);
Tous ces mots
rei]; Sj^vc.
qu
ei
additur).
173
W
I I
I I
AAAAAA AAAAAA
cc=>^i
III
AAAAAA
0?1(IV,
AA/NA/V\
3)
.u=^
H.^k^PJT
to<=;^
c>c:>(
AAftAAA
\>
U=/].
SY
HTr^Pk
X
(IV, 4)
I I
\'\>^
[^r^ 1^
I
o-^' um\\\ n
n
1
'^
1 I I
'ci
/~\
I
*iiimii
miiiiit
(3 AAAAAA
AAAAAA
\>
VI ^ ml 1 l'<?,mk?,M ofMZ<'^-"r.^rtEfl=;i^tt<r.^i-i.
AAAAAA A/WVSA
I
il
o^-
^ X.
fi
. A
0^^:=::^
iiiii
lin
Mil
et des
3)
En
avant,
le
j'ai
comme
les
l'Egypte, (IV, 4) or, argent, minraux de tous genres, par centaines de mille; les greniers
regorgent de grains
les sables
frais
J'ai
ou secs';
champs
et les
des canaux.
du Sud
et celle
du
Nord,
la
Nubie
les
et la Syrie,
donns dans
mille.
Atnon, modeleur
de
comme
font songer,
non des escaliers ou des portes, ruais des tours de garde, des chauguettes, en tous cas des constructions qui surmontaient la muraille. 1. Il est difficile de soutenir la traduction fermetures , que l'on donne gnralement pour le mot
<ir^
lii^i_M^
\\
"^
platea angustd), qui nous permet de voir, dans les Zakal-ou de notre texte, des plates-formes, des terrasses, ou des chemins de ronde.
2.
"^^^^
I
I
''^
M. Loret
l'indication
^^
Littralement
les trsors,
ses trsors ,
ceux du temple
).
Le terme
I
ment
3.
comme
les
maisons d'administration.
III J.;-;^ donc aucune diffrence entre eux? Si l'on se reporte aux radicaux, on constate que
Les mots
II
araiiis de bl
le
Il
n'y aurait
grains jeunes
4.
(rad.
jeune
), et le
second
grains entasss ou
secs (rad.
accumuler
Un
texte peu prs prs semblable s se trouve dans le grand temple de Mdinet-Habou. Champollion {op.
:
cit.,
t. I,
Je
le texte d'aprs le
:
crois
que
l'on
Papyrus Harris
une image pour
<czr>
tes
'=^ '^^
Ci
y On
. :
IS
Y>
ILI
s=> ['^rr^]'=c=^
traduira alors
Je
t'ai
fait
deux
faces,
orne de pierres
Le texte porte
c'est--dire
semblables au double
174
'PI
0=0=
e
III
I
S
^ I ^, ifSSS^i
I
^
12
1
17^
(5
I
I.
II
zi=0=
^Bi
I
lia
(2
III
III
A/VSAAA
1^"^
mil
(5
I
I I
1^ iii>^
'^^^^
2(2
III
av,9)[lf
lTl
UJ
%
nmnlll
fkAPklJlii^^PTfl^o^J U=^
(5 <2
I I I
<:0^
D 2
J(j^(](j"[iinB(IV, 10)
D
<=:>^>=^
lui' ai
.B^ i
le
Gnni
_m!:^
f^'-'
_B^
/wv^
donn des
ils
sont innombra-
devant
8) les
oryx blancs,
J'ai
grands
comme
vivantes', pour
gauche de
l'entre
du temple*
ils
sont gravs
au grand
nom
de
Ta Majest
Initiateur de
l'ternit'' .
rose' et de grs rouge, (IV, 10) des figurines de granit gris, sont places l'intrieur
du
temple.
J'ai
du
ciel
1.
ici
comme
auparavant, mais
.
se
r;
apportant
;\
^fri^^
f
.
2.
Ct.
l'expression
en ralit, en fait
ils
La phrase
doit
AAAAAA
.
n II
III
1
:
donc se traduire
relle, di'finissablc
.3.
sont innombrables. dncant toi, c'est--dire devant ta statue. 4. U faut probablement entendre que les oirandes ne sont pas fictives, c'est--dire simplement reprsentes ou numres sur les murs du temple, mais qu'elles ont t en ralit donnes au dieu.
ils
Littralement
AAAAAA
r\
,
AAAA/V\
.
y
-
f
6.
cie,
11
I
"T"
).
S'agit-il
de bas-reliefs ou de statues?
\\=Ji/
.
que Ramss
y sont plutt des statues que des bas-reliefs, parce que c'est aussi de statues AAAAAA V_ iL /-v parle <!ans les p;issages prcdents ou suivants. On songe alors a ces colosses, grands comme
1
des montagnes , qui s'levaient en avant des temples. la droite et la gauche de l'entre. Peut-tre les fouilles nous en feront-elles un jour dcouvrir Mdinet-Habou. mais la statue principale du dieu porte le nom de 7. C'est l un autre nom de l'Amon ador Nbankh A mon, modeleur de l'ternit . 5. La porte qui fait communiquer la premire et la seconde cour du grand temple de Mdinet-Habou est Lkpsius, op. cit., aussi en granit rose. Or, un texte, grav sur les jambages (Ch.xmpoll. oj>. cit., t. L p- "31
;
c<
vol. VII,
pi.
210 c-d],
est
dID
le granit rose.
175
et
de
la terre,
placs dans
le tal)ornacIe.
Ils
sont en bon or
(l\', 11) et
en argent tra
vaills,
[2.
iT\^z.i^n\\i%^%K?jm(T.^'^
:v'^);p:ir;,^TTriz^Si
I I
j\
_M^
'^
-e^
-IS'v^
Vi
idJ^cii
ic.n
Ci
lYi
_ffi^
^'^^^
cr=>
S w^ o
la
III
Je
t'ai fait
un splendide
est
;
du temple, semblable
est en
grande
/
au
les:
^^
^'
le
bon
or. J'ai
organis des
transporter
pour ce
palais',
chargeant
grains frais et
lui ai tabli
les
les
sur
de lieux de repos*
(?) et
de parcs, chargs de
fruits et
de fleurs pour
deux
faces. J'y
<3
1.
Si le mot
(2
-n ^\
HA
(J (1
signifiait
colonne
le
il
deviendrait
difficile
d'identifier le
pavillon de
Mdinet-Habou, qui
piliers
<>
avec
de Nbankh. Mais
la
traduction jambages ou
peut d'autant mieux se soutenir que les deux mots suivants dsignent aussi des parties d'une porte.
effet,
Le premier, en
Q x
\\\
est
huisserie ; mais,
comme
le radical
de ce
mot
signifie unir
),
on peut croire
Quant aux
'"j'cjn^
des
portes
Mais
tout est peut-tre pris pour la partie, la porte pour les battants.
A/WAftA
2.
H ^
,
Le pronom
S IZlcm]
s'il
se rap-
portait
au
I
une simple
de ce qui a dj t
dit
au-
paravant.
<=>[r3]l
3.
j
I
barques-de-la-maison-blanche
4.
Le
radical
jj
et le dterininatif
|)
que ces
AAAAAA
r.
177
de dterminer
la signification
du gi'oupc
,=,
JJ
59),
/^
/www
^' '^m^
C
le
>-=>
i V
<^ <^
a
D A
_^^^
>
^^^^,,
^^^^^^^_
;
/) /T
<
il
t'amne
terrain arros de
Houdj avec
son
lait
coulant du
ce lait
Ip^-L-j-^"'^
....
^^
(deRoch.,
j^cZ/bi^, 67),
du
pis
delavache
pis
;
wm
\%
deux
deux
pis
^
deux
pis
....
1)
n G4),
M^^
;
^^ 5 5^^
[j
(6?V/.,
no 504),
....
[lait]
vache Hetm-it
Nous constatons
changer avec
le
le
dtcrminatif
:
_^ peut
y. Nous en pouvons conclure provisoirement 1 qu'il y a certainement, pour le membre Nph^ quelque rapport anatomique avec l'arrire-train .^,^; 2 qu'il y a probablement un rapport grammatical entre le mot Nph et la syllabe
dterminatif
Le mot Nph se dveloppe parfois au moyen d'un ce qui prouve, une fois de l'aide du syllabique r"^ se relier une racine au moyen d'un syllabique
/
,
initial,
runi au
/wwsa
suivant
^
cX
L^
MO
AAA/wN
(^
[Two
liierogl.
Pap.from
}7^
/w^AA^
action de traire ;
....(]
^
I
c==, "^
A.WVNA
Q^
r|^^urT| (deMorg.,
Kom-Ombo,
n*
26),
.... le lait
^Jb^i
....
1\
A^II
,=r^"^o _y
'^'^'^^
I
(ibicL.
n459),
'
mre
j=^n v^P f
V\ ^\
^^
n 458),
.... les
deux
pis de la dis
Hor
)).
mot
Nph
du
simple
V
Ph
~^^v
;
67), le lait
pis de la
vache Sk/ia-
Hor
))
tu bois
deux
^ O^^' du
pis
f^^^
^^- ^'""^^^
Rekhmr,
.
p.
111),
de
la
vache Skha-it-Hor
le
La
caractristique, est
que
le
l'adjonction
du prfixe
/wwsa,
d'une racine
le
part, le signe
_^
alterne, titre
est prise ici
^,
il
Ph
dans
sens gnral de
partie
postrieure, arrire-train
Donc,
si le
mot
vache, ce n'est
le lait,
NOUV. SR.,
II.
178
du mot
Ce mot
^ au Papyrus Ebers.
dans
le trait
de mdecine gyptien
on ne
l'y
trouve
mot
1
^
v\ ^,
les traits
Le mot dsigne un organe externe, sur lequel on peut apposer des remdes Le mot
"o" i
2"
'
^^^'
cette
^^^'
est toujours
LI, 17). ^ ^"^ ^'" P^^* frictionner H employ avec la dsinence (E et le dterminatif du
( (j
,
III
pluriel.
Nanmoins,
l'adjectif
possessif duel
(CX,
2),
dian, mais un organe latral ayant son pendant, autrement dit, que les
Nph
sont au
tantt
la
femme (XCV,
16), tantt
pis,
une
du corps de V homme
(XXXVUI,
est bien
CX,
2). 11
ou du
moins de mamelle.
5 Enfin, la place des
Nph
traitement d'une maladie del vulve, x6 n r\ V fv ^ (XCV, 16), sur les v\ '
1
I
Nph
et sur le
la
Kns
g IDA.
de
la patiente. C'est
donc
.1.21
II
f^/\/v^/\^
II
dans
les
environs de
la
femme, placer
les A^ph.
La conclusion de
Nph
communs
femme, et
d'une
les
Nph
femme
Tout
absolument aux
pis
de
la
vache, sinon
comme
caractre,
da
moins comme
du Papyrus Ebers, a
les jiines .
traduit, sans
en donner de raison,
mot
je
l^^'^
inguina,
Je ne puis que
me
l'homme
et la
femme,
et leur
le
mme
circonscrit les
mot
iV/j/i
me
parait dsigner l'aine. S'il peut, par synecdoque, s'appliquer au pis des
femelles des mammifres, c'est que les pis sont situs prcisment le long des aines. Ces
loin
sens.
la
de prouver que
la
seule admissible, car E. Lring, qui tudie de trs prs, dans sa thse de doctorat', les
diffrentes parties
et traduit
le
mot
\)^^^
Huften, Lenden,
hanches, lombes
lait sort
de ses hanches
me
1. Die ber die medicinisrhen Kenntnissc der alten Agypter berlchtcnden Papyri, cerglichen mit dcn medicinischen Sckriftca griec/iischcr und rmischer Autoren, Leipzig, 1888, p. 63.
179
les
me
problmatique.
s'est
Le mot Nph ne
ft l'origine
prpuce
On en
Jp^"^.
,
''^'^
J^^"^.
'
1'^^^^ signifie
est
verge
et
non
prpuce
l'expression
^\
Jr^^'^^ I
la
'"^^^
devenue
1
;
en copte
Ai-Aie^g^, ui-juog^,
d'autre part,
le
an
, et
ce
mot
ikoTioii
comme synonyme
en arabe par
de
iili.
q*.^, je
crois
que
q^vg^
drive de
"^
qu' la
Cette interprtation du
les
mot
le
mot
-^,
an
LE PRINE,
""^^fl 9
n
1
Le mot
'
n'tait
Un
autre document, publi tout rcemment, vient propos nous fournir un renseignespcial, qu'il suffirait
ment tellement
miner
le
presque
l'on
lui seul
sens de ce
passages o se rencontre
mot dans
le
Papyrus Ebers.
il
Voici
les
est parl
du Kns
le
fondement, adoucir
le
Kns
^^^^^^ 9
(XXXV,
Pr)
f
"^
2).
faire
c- *=^'
et l'introduire
p.
2'-^^^^
(f
^T\
/^^^^^''^^
aaaaaa aa/vnaa
r\
F=*
;^;^
-v^nn
la
(^ -^
t^^^
1^ (xLviii, 21),
fait souffrir le
commencement
3
1
Kns
U^'^^
-S^
^^^
I9(L,
.
dont l'irrgularit
4
fait souffrir le
Kns
et ^^^^[1
5
JIQ
Ik
(XCIII, 21),
la
en oindre
le
Kns
de
la
femme
I
Pour
lancements
n
I
(XCV,
Kns
de
la
G femme.
K \> k JT
Mil
M
A^^WNA
44, fol. 71, d'aprs A. Pevron, Lex. lingu copt ic, p. 324. Ce mot, par suite d'un lapsus calami, a t transcrit aaaaaa ^ dans le Glossaire du Papyrus Ebers. H. Brugsch et S. Levi, sans vrifier le texte, ont conserv cette transcription errone dans leurs dictionnaires,
1.
Cod. Par.,
2.
et,
chose plus curi euse, E. Lring, qui a consacr sa thse de doctorat au Papyrus Ebers, donne,
lui aussi,
l'orthographe /wyw%
180
6Enfin,
J^|^^^| = ^^|f5^"J^[l^_^^^[l
du Kns,
dis cela qu'elle n'est pas rgulire
soutre d'un ct
liste
Suit une
de drogues, et l'indication
Il
R^ ^ H (XCVII, "2), en frotter le TCas . ^ que le mot Kns est toujours employ au singulier; c'est
latral
donc un organe
ou du moins un organe
asymtrique.
Comme il est
spcifi
le frotter, il est
vessie
mot
KnsK
avec
Enfin, le
Kns
est
la
dysm-
Glossaire du
Papyrus Ebers,
avait traduit
1^ par alvuSj
et le copte xp*c,
Kns
le
coxQj
hanches
Au
entre la traduction et
un organe
le
axial
ou
latral
mot xP^c
ni dans
me
E. Lring
Kns
i^ir
Mutterleib, Unterleib,
bas-ventre
adoptant ainsi
de mme.
Si nous ne possdions que
les
Papyrus
Ebers_, je souscril'ide
mais
le
que
les
qu'un supposi-
XXXI,
les parties
^^
5^
"
<NI
(i
(^
(p- 121),
depuis
la tte
se trouve
T"~"
"^
'"
Il
Knsa,
le
le
viril, les
cuisses
Entre l'anus
organes gnitaux,
il
n'existe
que
prine.
le
De deux
Vatican
choses l'une
papyrus du
tre
comme
Kns ne peut
que
le
prine; ou bien, malgr les apparences, nous devons y admettre quelque interversion,
et,
dans ce cas,
Mais,
le Kns pourrait tre le bas- ventre. comme un suppositoire introduit dans le rectum
1.
D'aprs E. Lring,
II
181
le
bas-ventre;
le
comme
rien,
papyrus du Vatican;
comme
les
que
c'est la traduction
prine
le
mot ^^^n^.
Lyon, 23 mars 1896.
UISE
II
G.
Daressy
murs du temple de
la
Le
Louxor
plus long et
le
du mur en retour de
et
une
lignes, d'une
elle s'est
illisibles.
Voici ce que
j'ai
pu
tirer
de cette inscription
SI
(3
^4
k^:
1^
-ffi^ i'L^^
I
III
\w.
I
CZSZl
III
AAAAAA
V> V7
AAft/VV>.
"C
>
AA/Vv/\A
" A/AAAA
/WVAA
Ci
AV^^AA Ci \\
/^A/^AA^
AA/NA/VA
182
II
A/VSAAA
<
^ >
\^\
|-,
/WSAAA /vvvw\ lO
^^^
cri
J cJ
I
LJ
'^
'~-
_cr\i
W^
^JU."
AA'V^V\ U
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CZEZI
.ICk^l
AA/SAAA A^'^/W\
A/VW\A
AAAAAA
^t
asEC')-
S(?)
c.
""^
1 1
1
\MTzm^'ZU ^
AAAAAA
AAA/VV\
^^^^
n
(S
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^'
17
(?)
I
Ci
III
<^
Wi-Olkf^r?l;^i
^:7
(?)
18
,
^^
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III
(5
-o n
Ci
^c
CD
II
183
i\^i;.ii.T^'^^M'-\^^i\'rr^-\^
^^-^^^-i-psE'T'kjtrpj^^^^
^i
-::
Pka-J-I'
2^
^^
86
'^^ M-^mri^^
'
Ci
Ci
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'^5>^ mmi
.^.i^w^aii
28
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I
III
^^\im'
AA/VSAA
'^
30
31
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P%PiMQ:^2P,T,SP @ ^ 1
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Il
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AA/W\A
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I
n
^
/
Ci
34
'^4^lkk?!yPP^
D w;
35
J
AAAAAA (2 -
.p^
1.
Fia de
la
premire page.
184
JI
38
A
I
iJj
oo
l
'^.^///.y......
^1
_b^.
40
41
42
ET
43
44
ta
AAAAAA
"tsm
entirement dtruite
40 47
AAAAAA AAAAAA
^^ L
^^
VI
48
49
entirement dtruite
1^
/-,
^=i
51
|)
D)<n
III,
ni
Majest du
,
L'an
terres,
fils
le
12 Toby, sons
la
roi
du Midi du
et
deux
Usur-m-r setep-n-amen
d'Isis,
v. la
s.
f.,
fils
Soleil,
Osorkon,
vie toujours.
envahi
les
deux rives
comme
la
premire
fois
[des plicans.
comme
le ciel,
Sur sa
montant dans
les
comme
dans
des marais.
(?)
En
Amon
les chapelles,
son image,
entra tant dans la chambre de sa barque, dans ce temple dont les habitants taient
torrent;
1.
AAAAAA AA/WV\
les dictionnaires; le
contexte
me
parat devoir
fiiire
traduire
Le
.
mme mot
Smends Dababih,
je l'avais alors
canal,
bras d'eau
UNE INONDATION
c'tait leur prire
A THBES SOUS LE
RGNE D'OSORKON
II
185
au
ciel
vers
R pour
le
Dans
repose dans
On ne put tablir de chapelle, comme le ciel, pour adorer le dieu grand. En ses grands esprits, son fils qui l'aime pronona alors ce discours,
compos par
le
prophte d'Amon-R,
(fils
dans
:
la
demeure...
[ritoire (?),
Nekhtu-taf-maut,
dieu auguste s'enfantant lui-mme, souverain de son nome(?), exalt dans son terle stable
comme
le
grand
commencement
les sicles!
Renouvelant
deux
chacun en sa vigueur,
est le
dieux
par
lui,
a cr les
hommes,
les
quadrupdes
deux
terres;
s'est fait
une demeure
comme un
comme
ta ville, (c'est)
Thbes,
du
ciel,
en
le
centre
(?)
pour
hommes,
les
les
dieux
de tous
parfums,
les rosiers
y produisent leurs
protgera
si
fleurs.
C'est la place de
...
qui
la
ce n'est toi?
[(disque).
reflet
du pays
(?) la
entier, brillant
chaque jour
comme un
du
comme
les rois
en agrandissent
monuments pour
honneur
ta
personne
les
[rieur
on ne cesse de
tailler
surlever dans ta
[demeure divine.
Leurs inscriptions
((
(?)
mme
Un
appel
pour combattre
(le
1.
2.
3.
Probablement uu
nom du
^^'
II.
^^ mme,
1.
38,
on a
aaaaaa
y\ XI,-
NOUV.
SR.,
24
186
II
le Nil
a renouvel la venue
du dluge',
une grande
;
[maldiction
fait
semblable)
la
moiti de
la
chapelle est
mange par
[la
mer.
Quoi
humains y comprennent-ils? Le fleuve grossit selon ce que tu as ordonn; est-ce qu'il doit submerger ta demeure dans sa profondeur, briller et resplendir [dans Thbes?
les
Savent-ils le
comment du renouvelant
sa forme', qui
monte
et qui
La
suivie.
fin
de l'inscription est trop fruste pour qu'on puisse en essayer une traduction
roi parle
il
Le
de l'envahissement de
supplie
le
la
tel
point qu'on y
ms
III
avait
fait
fils
qu'il
le
rgne de son
mot
dire
pour que
le
En
le
maximum
elle a t
de
la crue, soit
un
si
si
comme
repre,
il
y aurait eu 0"60
Ramss
si
II.
l'on tient
compte de ce que
mtre par
le sol
sicle la surlvation
du
mont
campagnes de
3"
20 d'eau.
formidable.
On
loppements
le
texte nous
l'an-
intressante
1.
-ir^^
A^AA^^
i
,
rapprocher de
(I
nom
du pehu du nome
mologie.
2.
La traduction que
j'en
donne me
du
texte et l'ty-
Le
Nil.
187
PAU
AuG. Baillet
La
qu'il
lecture
du mmoire
si
bien document de
M. Fritz de Bissing m'a fait penser monuments d'une poque dtermine et ayant
faire des artistes
appartenu une
le
mme
famille.
On
la
manire de
priode. Trouver cette famille, n'tait-ce pas donner aux recherches archologiques une
On
monuments de l'poque
y a un vide de deux cent
apparaissent,
aident fort peu au classe-
cinquante ans o
dans
le
;
vague. Des
noms nouveaux
ils
Petisis, etc.
mais en gnral
les
En
dehors des
la surface
de ce chaos.
Ce
n'est pas
que
les
les
stles
monuments
mme
Si je
me
stles
concernant
famille.
Quoique
l'on
puisse citer ailleurs des exemples de plus longues gnalogies, je maintiens que la
publication de
:
M.
il
y a au
mme
prsumer tout
fortune; car une suite de documents de ce genre ne laisse prise aucun doute sur
la
date de chacun d'eux et sur les dductions qu'on en peut faire. Voici donc cette
:
gnalogie prcieuse
^
P pouse
\r
~y
z.
^ ^/ww\ ^
1 I
AA/WSA
'?
188
AAA^^A ^
|I
IM II1III^
/^
I
j-v.
I
I
AAAAAA
2^
n
(3j]
AAAAAA
I
^.
pouse
D X
1 (Liebl., 1092).
mmes
titres
V1
J
^^AA^A A^AA^^
AAAA/W
AAAAA^ AAAAAA
|||0-=-
,^
f
AAAAAA
fUluni^
p^
I
Ci
'=1'=1=1
a ^^-^
pouse
J
^
/WWNA
in
TaAA/^
AAAAAA T
4
1
^
1
'
^"
"/fl
Amen-Ra,
cmi etc.
Liebl., 1096)
Liebl.,
nb
j- t^eps,
ahit n
imiiiiti
-c2>
Cl
'
A^^WAA
,
ri
""i
mmes
(Liebl., 1089,
titres
-,
|
,,
Iiaaaa/vv
1090, 1093,
)[
,
^^
^
[
AV\AAA
'[S
rt
fol
l
risi
^ ^ '^
Il
in
'AAAAAA
I
(Uebl., 1107)
1096,1100,1109,1129,1106)
pou.se
1
:
Liebl., 1117
(Liebl., 1093)
1
AAAAAA
(Liebl.. 1109.
f.
de Zod-/nsu-auf-an/, 1133)
- V.
T
(Liebl., 1089, 1090).
f
(Son cercueil.
P., pi. 60 B.)
/.
on
.;
AAAAAA
p. A/WVAA
^Qr^/^(
I
*^-<=:^_
Liebl.,
Cl
-^
(Liebl., 1089).
H.,
JP mme
__S)^
titre
(Liebl., 1093)
iimut
(Liebleiii, 1100)
A '^Pj^
pouse
le
(Liebl., 1100)
prophte
d'Amou
AMEN-HOTP
I
\\
Jj
(Liebl., 1100).
189
Cette longue gnalogie com])rond neuf gnrations, toutes exactement relies l'une
le lien
qui
les unit,
comme le prouve
M.
Lieblein.
Bok-en-Ptah jusqu'
la
mort de
c'est-
suffisant
pour
qu'il se produise
fait le
grand mrite de
cette gnalogie au point de vue des investigations pour l'histoir'e des arts.
monuments de douze de
ses
membres
et
de huit
gnrations
;l^o
^^
/.
^
c).
'
OuN-NOFiR,
fils
(L., 1095.
PiEHL,
2
3^
^
-1
H., 61
Stle de bois
L.,
fils.
Cercueil 438
fils.
L., 1092.
Cercueil 750
1 Onkh-ef-ni-khonsou, son
AA/V^\A A/V\AAA
L., 1123.
H., 61
c.
4 a)
b)
c)
^"^^(l^lRiou, son
Af\A/^/Vi
fils.
Stle de bois
. .
.
'=^\f^^'^ Nsi-R-AMON.
Cercueil
/.
")
L.,
1133.
cl)
'(^S^ "^
\\
L., 1117.
^
L., 1109; PiEHL,
)
/.
iy] Onkh-ef-ni-khons,
H., 60 B. Stle de
(var.
.
fils
bois.
L., 1129.
fille
L.,
c)
'=^^^T~
1089.
^k^
"T") Ta-khent-min,
Cercueil 456
de Nsiramon. Cercueil
^. ^^Jl
Har-si-isit, son
fils.
L., 1090.
(?)
6
7
_^_^7
^^^0
se
H-ht
r||
(ou Hti?),
fils
L.,
1093.
fils
de Nsiramon.
Cercueil
Sarcophage.)
Ce qui
tableau suivant
2" gnration.
3
Un-nfr.
I
4*
5"^
Bis-n-mut.
An/-f-n-x.ons.
Iriu,
^ NS-XONS.
I
Nsr-amn
Bismut.
6
7
Onkh-f-n-khons [Zod-xons-f-an/].
[Bis-n-mutj.
[Xs-Isit].
I
Ta-Min-khont.
Har-si-Isit.
I
8 9
Hht(Ht).
Ta-ari.
190
cette famille.
C'est
elle n'a
a^^
^^zz7 j
';
Nsiramon,
nombreux
titres, n'a
se rattacliant
au temple d'Amon,
porte un
la fois
ICI
M '^^^^
et
(L.,
1096).
sicles et qui
est
comprend plus de
choris, ni
un ne
fait allusion la
XXVP
dynastie, ni Bocni au
Psammtique,
Il
Ahms,
etc., ni leurs
prnoms royaux,
nom
de
leurs
femmes.
XXVl^
dynastie.
M.
car
il
monuments,
les a apprcis,
comme
je le fais;
les a
monuments incontestablement
dats
du rgne
de Psammtique
Il
1137 et suiv.).
XXV*
suit
:
l'ont prcde.
La
XXV
dynastie se compose
comme
il
(ailj]
roi, 714, t
~U2
Son
frre la fait
rgente de Thi^bes.
roi, 702,
t 690
r^
I
^umi^ ,uu.^/^ f^
^P-
s A/VNAAA
1
K V
rn^ Tm^ X
n
_ 7 ^^ y
roi
roi, 690,
t 664
:
Son successeur
la
Hor, chef du trsor du Pharaon, beau-pre de Nsiramon, n'est pas de la famille. Quoique tous prtres de Month, pas un de ces hommes n'a donn le nom de son dieu ses fils. Peuttre ainsi le voulait le respect pour la divinit dont on exerait le culte. ce sont ceux des ascendants des femmes pouses par 3. Dans le tableau il en manque quelques-uns
1. 2.
:
les
hommes
4.
p.
82 et 1871,
p. 102.
191
^ Puarma
IV
:
8 et 140). Ce
nom
se retrouve sur
une
stle
du Srapum' de
l'an
37 de Sheslionq
nomms
Aru.
I
Her--n-qcr-RS-Mlit
Nfr-isit
pouse
le
gnral
I
Puarma.
Ta-p-mr
hr--n-qer-RS-Mlit.
2
P-un
et sa
femme Tc-reO'-n-Bast,
et leur
fille,
la
nourrice du
roi,
terres
touiours, ees-RA-PCR
oj|
V^
dcor du
(Liebl.,
3**
1^ <:=r> Jj
de
Ts-mht-pr', mre du
basilicogrammate o
ffl
'^
))
collier et
l'abeille (?),
roi
du Nord, intendant du
les
dont
Ces
autres.
et
rgne de Taharqou
<^
est fille
b)
du roi Os orko n
de
la
XXIP
O %^,
III,
r^'^N^^*'
de Ta-ser-
n-Bast
c)
^
_^^
XXV^
^oO
dynastie;
(Schiap., Catal, 379; Liebl.,
j^",
"^^^
1155);
d)
femme d'un
fonctionnaire prs de la
et
mre
d'un
jy
)
(Liebl., 1329);
femme de oT'C
et
Ces
trois
contestation possible la
XXVI
dynastie.
Citons encore
/)
_^^^^<-^'^^'
ST^T
pi.
Trav., 1892, p.
1.
Mar., Srapum,
Noms,
p. 58, et
Louvre,
96.
192
fl)
rl"^
t.
XVI,
p. 175-176), qui
me
du prince Khaahor, gouverneur de Thbes, aeul du prince Montoumlnt, dynaste en 671, pousa un Ounnofir, et qu'un cercueil de Boulaq donne la gnalogie
fille
:
Unnofir
Nbt-pir
4 Puis,
^=.
H
I
i>i^
o o
UzARANsV
personnage dont
le
nous arrivons
la famille d'un
nom nous
fournit
un
le
conqurant assyrien
fit
en 671. Sa
fille
elle-mme
la
KHAA-HOR,
rp h, prophte d'Amon, etc.,
HOR-SI-lSir,
prophte d'Amon,
nomarque.
L., iV., 1094.
NSI-MIN,
prophte d'Araon,
KHA-HOR
prophte d'Amon,
=
MONTOU-M-HIT
prophte d'Amon, nomarque
fait
nomarque 1S1T-M-/0B.
(Daressy. Cnes
nomarque
1094.
AMON-IRI-DI-S
hos-yont-n-Amon.
1119, 1120
(ses cercueils,
P.,
/.
BABAUT
1094, 1105,
p.
P-DI-AMON,
prophte de
0N7.-F-N-Z.0NSU
prophte de Mont-m-Us,
etc.
1189
Monlh.
etc.
1189, 1094.
1105 (P.,
/.
., 60),
p. 1 Isrr-M-/n, 2 Nsi-yoNS,
3
//.,
53-55.)
1109, 1129.
UZA-RAN-S,
SP-N-MUT.
2
ISIT-M-/.OB.
N.>^1-FTA11,
PSIN-MUT.
TA-Ba-Z'eT
1094, 1105. 1189
pouse
BA-BA
prophte de
nomarque.
/.
H., 51-53)
Monlou-m-Us.
1105
P.,
etc.
/.
//.,
60.
Pl-Di-AMON.
prophte de Month-m-Us,
1105
P.,
/.
H., 60
(sa stle).
la
la
la
femme de son
fils
fille
prophte de Monthou-m-Ouas,
d'Onkhni-Khonsou, qui
n'est autre
de
tablir
les
XXIP, XXIII,
XXIV, XXV"
et
XXA^*
dynasties.
1.
2.
p. 763.
3. Cf.
193
5-^
194
succdant
Sheshonq IV
de Barkal. 3
'
Mon-
Et
si
nous revenons
le
la
Bok-ni-Ptah est
vivait au
contemporain du
et
que Taari
qu'entre
le
de Bok-ni-Ptah,
a-t-il
comme
pas
fait
pour attirer
que
comme M.
de Bissing, qui
serait
donn de sjourner
Il
en Egypte
monuments
aussi
exactement dtermine.
de
l'art.
me semble que
l'histoire
Les tableaux qui prcdent vont maintenant nous permettre de classer d'une
manire peu prs certaine d'autres monuments qu'on peut rapporter cette priode
la
premier
le
la
dame
nom
XXIP
2"
dynastie et de
XXI1I)
et
de Ta-monkh-Amon.
Le
fille
de P-si-mut. Cf.
(fin
le roi
du prince Montoumhit
de
la
XXV*
3"
dynastie).
Le
n''
de dame Na-monkht-Amon,
fille
de Nsi-Amon et
celui
de Nsi-khonsou,
petite-fille d'Har-si-Isit.
nous olre un
famille de Bok-ni-Ptah.
Les
n^ 112.5,
112G. 1127, 1124 pai-aissent avoir appai'tenu (cercueils n"^ 745, 748.
famille dont
le
mme
chef porte
le
nom
d'un roi de
la
XXIP dynastie.
Pi-mi,
propbrte de Montou, scribe du trsor d".\mon.
Il<i4.
I
Na-mon/.ti-Ra
112.1.
Ne/.t-Bastit.
1127
(cercueil
80:!).
Nsi-/.onsou.
1124.
Bisa-n-Mut,
divin pre de
Montou,
iri-dis.
pouse Mut
On/.-f-n-/.ons
1127,
ll^.'^.
= Uza-i'an-s.
1124. 1127
prophte de Moutou.
(cercueil 745).
On^-f-xonsu.
1126 (cercueil 800).
1.
19')
les
numros peuvent
se ranger
dans
1104
1095
1123
1092
109G
1093
1107
1090
1117
1109
1089
1100 1100
1129
G<
La
famille
et
gouverneur do
KHA-HOR.
L
,
/.
H., 49.
NSI-MIN,
I..,
UZA-R-S.
1106.
,
H.,
1
\>.
pouse
lsit-m-;/obu,
2- Ta-adn-lsii,.'
I
Dame iNS[-/.ONSU,
1106.
1
Le prince de Thbes,
AMON-UII-DI
(ses cercueils)
S.
BIBIOUT
pouse Pkdia.mon, prophte de Moiitou.
KHAA-HOR,
prophte de Moniou.
1101.1102,110.3
(ses cercueils 735, s.
MONTOUMHIT,
611671.
P. ,/.//., 53-55.
w,
.')97)
P.,
/.
H.
7^
La
La
famille du prophte
d'Amon etnomarque
s. n).
Montou, Mer-n-^onsou,
sate.
n^
1098-1099 (cercueils
734
et 602)
O''
Une
le
Naxt-f-Mut
>
Lii^
Z0D-/ONSU-AUF-ON/
I
'
Dame Tarua
pouse Anv-p-zrd.
I
H A R- M AT.
Dame Nsi-Khonsu'.
10
On pourra
placer dans la
XXV*' dynastie
n"''
1110 (cer-
cueil de Nsi-p-sif),
1.
Nom
2.
Cercueil
n"; stle.
196
5,
dame Ta-bok-Khonsou,
de
796).
fille
Le
de
Ta-roud-ni-Bastit, qui a
12"
Le
n 1135 est
le
cercueil
(XXVP
dynastie).
Cf.
Schiaparelli,
XXVI*
dynastie.
Victor Loret
Rapprochant
g^wTpe (pi. ^.Tpeev)
<=> 'ry
de
.-^peT,
rjemini,
rjemeUi,
et
comparant
la variante
du mot copte
l'gyptien Q
n^--y.
estime appar-
tenir la
mme
racine que
<=>
M. H. Brugsch
interprte ce dernier
mot par
de
les raisons
mot
(1
<=>
comme
et le traduire,
de
animal destin
reproduction
Avant de m'attaquer directement au mot (l<=>'Yr-v, je dois, pour la clart de mon exposition, tudier tout d'abord trois termes qui, non seulement, semblent bien
tre quivalents l'un de l'autre, mais en outre prsentent d'indiscutables rapports avec
ce
mot
[^
les signes
c,
N=*^,
A.
Le signe o, ^.
^,
la
transcription
fi
^^^^,
qui
lui
a t attribue
(1
^
(I
que
j'ai
Le nom de
trouve
la vulve,
ne
en copte
vulva, utrus^
est
:
On en
'
mme
me
avec variante de dterminatif, dans la '^ ^ Dbtk charge pas de rendre l'ide mtaphorique v> .-^-^
,
I
^ O
C
o.
1.
2.
3.
Mais,
si le
nom
de
la
vulve s'crit
(J
[1
et
mme
hlljj,
il
s'crit aussi
la lecture 9
p. 175. p. 152.
197
p doit se lire
(1
vi(?hnehr
haben?
nur \vahrscheinlich\
II.
La com-
Brugsch propos du
:
mot
(1
et
^ sont un seul et
mme mot
la
^^
''^'''"^
h
J
^P
'
^^
^'^ soleil)
parsa vulve
ll^n^rurll^
la
A^
)
^L"=Je"'
la
">
''EgYPte
vulve
Au Papyrus
sais
Ebers,
le
nom
le
de
la
c*,
et tantt
<^.
Je
);
n'est rien
signe
Le signe
f
I
dans
les textes
forme du forme du
le
signe hiratique
^\^
il
en a galement l'acception,
et
nous
le
]r^,
<?,
je crois, et
non par
le
)(^,
dsormais
le
nom
de
la
signe
tendus pour embrasser, n'ayant que faire dans un mot de ce genre, soit
ratif, soit
comme
figu-
comme
symbolique.
Papyrus Ebers,
j
l'expression (J<=>
,
(LXXV,
comme
. Il
|
6),
dont
T
il
le
doit se lire
(1
tout
? et
^.
Mais
ne
vraisemblablement, de
le
lait
de vulve
convient,
mme
de
sycomore
du Ficus Sycomorus,
a lait
et
qu'on pourrait
de vulve
, la dsignation
de
les
laiteuse.
Pour
ma
part, je
doute que
gyptiens, malgr l'tranget bien connue de leur matire mdicale, aient t jusqu'
et je crois
pouvoir renoncer
j| et traduire
On ne
[en
lait
de
(1
femme
car le lait
mots
La mention de
lucider la question
(1
<=>%
ici, le
mon
avis,
^:3 "^""^
vache
De mme,
'
5fB^ll=^#(ir "
A^^Od^
1. 2. 3. 4.
H. Bruc.sch, Dict. /lirogl., Suppl., p. 819. G. BNDiTE, Le Temple de Phil [Miss, du Caire,
Ibid., p. 131.
Cf.
t.
XIII), p. 137.
2, 3, 7;
XCVII,
4, etc.
198
je t'accorde les
lait
totalit,
[
pour que
Je crois que
le
mot
du P/)^rMs'6ers
est
une simple
^^nomm
\\
Sionihe-t-il
vache ?
Le
lait
<=>
^^,
H
expression dont
le
(XXII,
7),
doit se lire
^ ^-
^^
et
^ ^.
L'tude
:
du signe T nous permettra de saisir cette diffrence. En attendant, je crois bien certain 1 Que le nom de la vulve variante du mot et, p. I '^' I ? est une simple
[1
comme
2
lui,
doit se lire t;
le
Que
mot
lire
^T^
et
^^'
''
i^o^s
amne
mots
la
mme
lecture t^.
B.
Le signe
])rin('ipal
^.
les
Le signe
entre
comme
:
lment
dans
mots
.1
dont
je
T
^^
^^^'.
dlivrer la grande
re-
prsentation o l'on voit un garon de ferme aidant une vache mettre bas.
"
Qr)
2
relief
,
(w^*-
le
mme basA
"^^^ _^r=u)
3
I
amene
la saillir
kfv D^^.
00
Jr<=r>l
Vg
p.
"
'.
-^ d'oryx
"
4" M _ymL
I
^''
^^
bouvier
traire
une vache.
1.
G. BN'KDiTE,
2.
L'orthographe
la
U(J
1^1)
pour
vache
et
nous engager
hin-it les
mots
^r^
|
*'^
"
"'^
crois
que
le
mot
confondre
J.
avec
D'une
part,
en
I
effet, je u'ai
pas trouv,
,
Lieblein,
un seul exemple de
I
mis pour
V\
et tout
mme
du Todtenburh de Turin,
lecture
(I
le
mot
^
?.
Uu ^^^1
est
remplac dans
trois
passages par
le
mot
^r5'
'^'^"^ '^
c^ sera prouve
plus loin.
H. Bi'.UGScn, Die
dgijpt. G/ihcfic,
n" 74.
au
lieu
de
ce qui montre,
comme
que
les
tombeau de
'l'i
signe
(Et.
('(jijpt..
II,
104),
mais
A.
5.
7~>.
trs
vraisemblablement par
erreur,
^^^ nasomaruuxtus
6.
au
lieu
de
j^,
qui est
le
nom
2'JO.
VAddax
(Z., 1364, p.
23; V. Loiikt,
\>.
U Egypte
au
tcmjis des
Pharaons,
p. S3, 9J).
19;)
Le signe
crire le
comme nous
vulve
l'avons vu
)
prcdemment,
dans
Il
est
employ
"I
'^
nom
de
la
T <
(=0
et scit,
la
variante
du
mme
mot,
=(1^.
groupes
doit se
(|o.
La chose
est
confirme par
]
les
>
H^'i
'^^
peuvent tre
du Papyrus Ebers
citer, le
T s'applique
la
seul cas.
(|u'il
miers cas, de
bien de
la
s'agit
d'une vache
s'agit
de vaches destines
la saillie;
dans
s'agit
je crois,
mot
|
par
vache destine
le
reproduction
si
l'exemple 3, o
il
s'agit
sions
part,
,
I
il
mot peut s'appliquer d'autres animaux que la vache. y a une diffrence voulue, au Papyrus Ebeis, entre les expreset (]<=>
,
lait d'^;
jj^, hait
T
de vache
, je
crois pouvoir en
conclure que
mot
T
l'tre,
.1
cas, le
T
-<2>-
conde ou appele
fournir
du
lait.
Dans ce
lait
<rr>
Ci
^^
III
r~Y~)
sera
I
du
lait
d'animal (quelconque)
d'nesse qui reviennent
, si
par opposition au
de femme, au
lait
de vache et au
lait
C.
Le signe ^^.
,
M. H. Brugsch
iMi
(](]
en s'appuyant sur
le
mot
A^
ortho graphe
-^
n
()
'
^'-^
Conte de Sin/i
le
(col.
119) et, au
.
mot
^, auquel
on a donn
sens de
le
chaudron
,
Nanmoins,
mots
I
je suis d'avis
.
que
le
groupe
identique aux
'
>
a,
comme
1
eux,
comme
Ke
(1(1
A^
h
(]
Voici
les
motifs de
mon opmion
cite
H. Brugsch
"Ke
(1(1
la
variante ^^
T o^uT^j
.
du mot
A^
i^,
syllabe
"K
mme T que^selit(jo.
^^*i J*^^e 'e
^^
devrait se
lire
i^
1.
p. 1489.
200
Mais
T
il
les
mots
cits, ce
ne sont pas
(1(1
,
les signes
N^
bien
et
les
la partie
phontique "^s
ou
V^ mais
,
groupes
o. Or,
si
il
n'en
est pas de
le
mme
De
[1(1
^^3''
mais
pluriel se trouve
exprim deux
fois,
est
un mot
spcial,
comme un
si
dterminatif phontique.
De
mme
3
pour
le
de
^y^
le c^
mais se
prcdent
est
si
est
un dterminatif phontique.
^
I
(Todt.,
^
148/13),
.
LJ|^
'
il!
''""^
1^^
nom
propre est
dans un
tre qu'orthographique. Si le
mot
*^
(j(]^^^ doit,
nom propre, une variante ne peut comme je l'ai suppos plus haut,
(](j^^.
il
^^'
^^^^^
^^
^^^ l'qui-
^^ doit se lire
t>,
le
veut H. Brugsch.
le
4"
signe
(]<=>"^^--y, var.
'^^^^
^^'
^1^^^'
apparent
c,
= (lc:^:3,
(
[1'^),
peut, a priori,
(1
,
en tre de
mme
pour
le
(1
(var.
(^
c=s^,
5 L'existence
je
-^s
(1(1
"^u^
= kaoui-t
o
i^\z=/xi-t,
X^
-^^^^
=
,
prouve
(dr) dans
"^^ qa-dr
a ct de ''^^0)"^^,
>= "^^
^^
nom
le
groupe
,
un nom compos,
il
cp
c'est
que transformer un
le cas.
nom
d'animal rale en un
"K
,
prcisment
Le
radical
^:z;:^,
dtermin par
5^>
non
fournit
part,
un
de
Il
mot qui
en est de
la partie
connue variante de
^>^ d'une
la
^^^^f^'
^^
vache.
mme
de 'vzipt^^,
et le
le
groupe
n n
(var.
phontique
dterminatif du
et lui
-^^z;^^^,
5^'
sens
taureau
donne
sens
vache
il
et n'est pas
En
rsum,
le
signe
^'==;^,
tant employ
(1
,
pour
au sens
les
noms composs,
ce
mot dsigne
la femelle
1.
H. BuuGscii, Dlct.
201
d'un animal. Mais s=^ est quelquefois employ isolment, et nous constaterons par
les
le
'
'
c'est--dire qu'il
la lacta-
reproduction et de
mme
les
groupe
c^
I
Voici
connais de ce mot
%:n
^
ITI
Toat.j 144/30),
lait
(jw^^
a
comme une
vache qui
leur taureau
^^'1
il'
is"^
'
"^
1\
^^
il
(Sinh, 118-120),
s'lance sur
il
me
dpouille de chats, de
lait;
l"(](irf;D'%^l
^T>'^h^<^
;
chevaux de
trait^ apparis,
^)
Mr
('^^-
Mettern.
= Br.,
Dict., 958),
j'ai
atteint les
homme
nn
.
v^
(Todt., 142/25),
((
concubines
Il
que
le
groupe
'
"~^
(var.
vache
lait, la
la
1.
H. Brngscli (Dict.,
p.
mot Z5
^^
-Jf
variante de
le
S ^^^>f^"
^^"^
'^"^"^
une racine
-Jf
"
stark sein
il
Comme
les
J^
^\
-L
v\
sont,
trs vrai-
semblablement pour
l'attelage;
comme,
"Jf
d'autre part,
)
il
S ^s^
^^
'
dsigner des
talons
, le
que
l'on puisse
employer
au
trait.
2.
H. Brugsch
>^.=^
(Dict.,
SuppL.
il
p. 1294) traduit le
(j
1
^"i^, <=>
2i'
CI
A
I
JT
(j
A
li
et,
par
1 1
suite,
faut
remarquer que,
l'adjectif
T'^X,
pris substantivement,
le
dsigne parfois
(.Juges, 5/22;
Ci
le taureau,
ii
il
le cheval, et
particulirement
I,
cheval de bataille
S.
Bochart, Hierosoicon,
(1
Natur-
L'orthographe
\7\
^ ("^^
ft^
par
^^^
Campagnes de Thouthms
et,
(Rec,
II, p. 146, n. 3)
(^^v<^^^> LU
ii.
talons
par suite,
par
juments
nouv. sr.,
26
202
reau, la jument
ces sens
compagne de
l'talon, la
runissant
du mot
crites
ou ^^,
le
sens gnral de
mme
de l'homme, considre
.
D.
le
La
racine
c:^^,
{]
')'^'1^'']]1Si'^^'^^^'^^(^'0pt-
o-^^'
^"'
o-^^'
i"'''-'?^)'
matrice;
vulve' ;
1|,
grossesse,
Il
accouchement ou
lactation) .
me
parat certain que ce dernier groupe s'est conserv partiellement dans le copte
CT, ecT,
prgnans, gravida.
matrice
et
femelle
sont
moyen de
la
mme
syllabe
(jcsi^a,
de
mme
Ci
ordre
^(^''"^1'-
^^
H\)>
<^
allaiter ;
Livi,
^:^ {Dendrah
(1 (1
= S.
vache
( lait) ;
(^ nourrice . "^^ De cet ensemble de mots on peut dduire, pour la de gnration en parlant de la femme (possession,
, Il
racine
(1
^^s:^,
(1
le
.
sens gnral
fcondation, etc.)
Mais, toute
si la
le
sens actif et
le
demander
1.
Le de terminatif du mot
'\<2
"v
(copt. k^-xi
=
en
lecture
%^,
n'a,
S=^^
n '^
reprsente, trs vraisemblablement, quelque aspect sous lequel les gyptiens se figuraient l'in-
Le determinatif de
"K
reprsente
un
rcipient circulaire
muni d'un
mot
manche
comme
notre polon.
On
retrouve ce signe
comme
determinatif du
qui dsigne la bassine dans laquelle on oprait les mlanges de parfumerie (V. Loret, Le Kyplii,
suite, le
p. ciO-31).
...,.,
Par
mme
signe dtermine
le
mot
I
W
X.,
odeur, parfum
, et
sert
mme
Au Papyrus Ebers
(pi.
93-97), le
mot
\
(cf.
94/7
93/18-19; 96/18). Mais, par extension de sens, le mme mot s'applique l'ensemble de l'appareil gnital fminin (95/15-16), et sert parfois en dsigner seulement la partie externe, soit la vulve (96/5-7, 9-10), ce qui explique
le
determinatif de l'orthographe
LES
ANIMAUX REPRODUCTEURS
,
203
mme
ment
sens actif
fconder
)>.
"
vc/'b.
((
fconder
subst.
membre
viril
forme en ^^
^
final
du mot prcdent.
La
de
racine
(1<=s:', (j'^
s=5,
^^
les ides
possder (une femelle), fconder, engendrer, procrer; tre fconde, tre enceinte,
,
soit,
en un mot,
et ses
l'ide
de
gnration
de
reproduction
consquences (lactation).
E.
Le mot
le
^sens de
la
Si
j'ai
mis
le
racine
(1
(]
crs>
[]
c'est
que
c'est elle, si je
qu'il
ne
me
y paraisse peut-tre, fait l'objet principal de ce travail. Je sais que l'on prouve une certaine hsitation admettre qu'une racine bilitre
puisse se dvelopper au
fait
moyen d'un
<==>
final.
La
final
tombe
Il
dans l'criture.
semble qu'une
un moment donn,
T
,
I
tre ajoute
<=ir>
aux mots
titre
de lettre adventive. Si
mots
perdent leur
comment
'
n comme
r\
devant?
p.
AAAAAA
Dans
les plus
ct de
(J
<=*, de
'^(l
cte de
'^^ AH- de
(J
1
ct de
g7\, etc., et je
(1"===^
I
amnerait considrer
comme une
un]
,
abrviation de
les
un dveloppement de
aussi anciennes l'une
(I
du moment que
ni
que
l'autre.
mmes variantes avec ou sans <=> n'ont pas t observes dans frquents, comme m. c'est que ces mots, dans la grande majorit crits au moyen de syllabiques. Mais les syllabiques, auxquels on se plat,
Si les
|.
est
douce
et
fixe,
tive.
De
ce que
il
O.
Ce
signe, reprsentant
un
mesure que
se modifiait le
mot
qu'il repr-
que
le
signe
mot chteau,
hsiterions-nous
un
seul
204
De mme,
pu
se lire
l'origine; puis
pour remplacer
le
<=>
disparu; puis
mme
copte.
peut-tre
tlll,
la fin de
Ne
un mot comme
Y
<-'t
m,
R
le
syllabique
^^
\^=^^
Dans
le
mot
il
J]
attribue,
ne
taille
comme
nouti.
On
si le
du <=> mouill,
initial,
mdial ou
je sache,
de
la vocalisation des
mots
les
trilitres
en
<=>
final'; jamais,
que
on n'a recherch
s'il
<=:>
final,
dans
mots
trilitres, est
n'est pas
parfois une lettre adventive. Je n'ai pas l'intention d'examiner pour l'instant cette question, qui doit tre assez
complexe.
<=>
appartient
la
racine bilitre
il
le
moyen d'une lettre initiale, soit au moyen <=> est adventif, au mme titre que le 'wwva.
Yr
'
" "'^ser,
d nu der, vid er
ITi
-
et
v\
((
la
forme v>
mais dont
renversement
I)
\^-^^^
, ,
P V|I\
dont
^
le
un dveloppement en <=>.
Ce
mot
trilitre
le
peut tre
se rat-
mot peut
tacher la
La
signification
du mot
v\
(j^^"^^, on
5f^ nous montre bien que (^^^^)^ peut tre le dveloppement d'un simple \\<z:^>. Le mot (]<=>^^ s'emploie de trois faons tantt il s'applique d'une manire
gnrale tous les
cas, la soit
animaux
tantt
il
et,
dans ce
et le
dterminatif de ce nom.
On remarquera que
-
groupes
lire spcifie
lesquels dsignent
l"*
comme dans
ou de
Q
()
^u^.
^]
une
o
'^^rjl'
entre un
comme
dans x^
\
1. 2.
G.
G. Steindorff, Mouiliirung dcr Liquida <^:> iin tjijptisch-Koptischen (Z., 1889, p. 106-110). Maspkro, a traoers la vocalisation gyptienne, vi [Rec, XVI, p. 79-90).
205
L'emploi de
o dans
rintricur
IWmple
',
suivant:
^*=^^S.<5""
.
Il
^^1e2^^""""'*^^
,
1100. Oiseaux
-c4sc/i ^^ras, ;<i.j8;
oiseaux
Asch ^, 5237
la
noms
^^
et
^^
qualifies au
moyen des
cpithtes "^^^ et
le
mme
^"^"^^t'-
mme
gras"
que
le
mis pour
^^ (X3
que
le
signe
^ remplace
lui
fit
le
o
des
iH
^.w^^^A|
^^'^|\<^
afin d'en
',((
Sa Majest
donner
(1
de canards,
<::3r> -^
emplir
les bassins,
jour. Ainsi
Sa Majest
III
'
Les expressions
[\
i
"w^
Mv
^=
^^
"^^
<r::r>
nom
des expressions
position, s'crire
^^^^^
^t
^ "^^^ ^ pourraient,
^^^^^
du signe
par
le
mme
procd de com-
^^^
^^
Je ne crois pas qu'il puisse subsister, aprs la lecture des citations prcdentes,
le
moindre doute au
dans
les
sujet de la valeur
(1
et
de son emploi
comme
pithte
mme
texte, nous
,
sens
paire, couple
(=)^^nnni/^nnnniiiii,
^
mot
(1
'
^^^
't'a^
'
iniii
^nniiie^r^nnnni
Bufs sauvages
Taureaux o
Total
35 54
89
Si
le
mot
^^f^l
signifiait paire
de taureaux
2)
, le total,
au
(54
^ 143
le
thme
(I
<=> ne
donc cer-
tainement pas
paire, couple .
voir,
Que
signifie-t-il?
Nous venons de
qu'il
y a dans
les textes
une
opposition frappante entre les individus gras et les individus . Ceux-ci, d'abord, sont
les
communs dans
III,
les basses-cours.
1.
2.
R. Lepsius, Denkm.,
[bid., col. 30.
30
b, col. 32.
3.
le
copte
sSa^-o-,
s5oj,
s5(.ot,
_^^,
mot
3^^^'
"
lever, engraisser
R. Lepsius, Denkm.,
IblcL, III, 30 a, col. 3.
III,
30 6, col. 11.
206
^^^ emplissent les mares d'une ferme destine pourvoir au culte d'Amon
vivre et prosprer, tandis que deux individus seulement, qualifis de
gras
,
on
les laisse
'<
^^ fQ,
le
mot (j<=> de
la racine
(I
o ceux
la fourniture des
ductifs, et
relle
:
ne servent qu'aux
les
d'une part,
maigres,
les
utiliss
qu'aux holocaustes;
leurs fonctions physiologiques; les autres^ plus rares, btes de choix qu'on engraisse
ne rien
faire.
Une
-*N^[I J\
rt
_5^
H
I I
il
Dl
matre [qui
pas
soit]
comme un
taureau destin a
les
la
[les boucher.s] .
Plus haut,
ici, le
taureau
est
le
Mme
le
""^^^8
au point
.
()['''
"^
^ ^)^
le
trait,
qu'il
le
mot dr dsigne
:
les
animaux de reproduc-
/^_j<2(](]
^ o'n^zzzi ^ A^ -^ "^^
lement
les
les
animaux
parmi
Mme
tombeau de Thot-hotep
le dfil et le
transport en barques,
et
s.n.
7 W^
heureux
ici
dnomLe titre
afin
de faire
le
le
dnomorement de
et
la
roi,
Nome du
:
Livre
le
l'animal
les
Parmi
1^
per-
1'"^ 5^,
1.
2.
3.
4.
Stle de l'Intronisation, 1. 4-5 Ra-. arch., 1873, t. XXVI, Pap. de Lcyde I, 344, p. 9. 1. 2. Grand Pap. Harris, XLIX, 4. PuucY E. Newberry, El-Bersheh, part I, pi. XVIII.
p. 303.
207
tic
du
roi .
L encore,
le
signe
est bien
mis pour
il
le
groupe complet
^,
et
Jusqu'ici,
s'applicjue
n'a t question
que doiseaux
:
galement
d'autres espces
H
^^
"^v^
|
^^iS
individus re-
*^<==
^ v
lY;^^i',
individus reproducteurs
du genre cheval
%\'^^
)f::5>''-
le
signe
qu'il
s'change avec
O comme
de
mme
s'change,
comme
syllabique
[^<=:^^,
-^
avec
le
signe
^.
runie des exemples du mot
j'ai
dr
Les expressions
j^r^^--
Z^
la
'
^^""'^
^^^
La lgende
Ici, le
jT"^, qui
se trouve inscrite,
une
mot
||
signifie bien
)).
certainement
action de saillir
s'il
littraleil
ment
((
Quant au signe
la
'C^,
est est
apte
reproduction
sens,
s'il
ce
me
(t).
il
prsente le
le
mme
de constater, une
de plus,
La
srie de phrases
^^
C^i
ra
vv
A^
y-y,
---
Shen-our, avec ses btes reproductrices appartenant k toutes les espces d'anti-
lopes ^
du
dsert.
La variante ^=^
.
a^
I I
<2
\\i
les
On peut
i
de "=^
^^^ f=Qi
1. J.
6.
2. Z., 3. 4.
5.
XXXII,
76.
p. 175.
59.
Rec, XIV,
21.
6.
7.
Percy
E.
part
II, pi.
IV.
p. 175.
(J
=
pi.
8. J.
DE RouG, Ed/ou,
la
La copie de
J.
de Roug porte
que
le
est
un
Ci,
corn sur
pierre et
que Jp
est
ua Ky ou O, peut-tre couch,
J),
O.
9. Ibid., pi.
XXVI.
208
(]
Q
.
les
il
chevaux mles
s'agit,
de choix
de son curie
Comme
dans
les trois
n'tant pas domestiqus, sont laisss tels quels sans tre chtrs dans une intention
quelconque,
je crois
le
la fois
mas,
masculus
sont,
parmi
et
<==>
i
\\
^^
1
antilopes sauvages, ceux qui ne sont ni trop vieux, ni trop jeunes pour
reproduire.
4 Enfin le
mot
(1
\\
la
peut, dans
la
l'on
llO
mne
'
patre les
11^'''^=^
animaux
4
'\'\
mles
^^^^
Il
et femollos destins
perptuer l'espce
"^
r n
^^^^^^^
"
N|
^'
agrable sous
ma
^
et
v5^
la
''
pour
le
(1
pasteur
mot
<=>
gnration et de
la
ou du mle
de
la
mot
Pour
les
animaux domestiques,
la
le
mot
l'on
(1
<=>
ment en vue de
sexe diffrent;
2
labourage et l'alimentation, ou
ceux que
Pour
les
animaux sauvages,
le
mot
0'=^^^^
la
que
la jeunesse, la vieillesse
ou
empche do procrer.
F.
Co/ic/tfsions.
article,
les
conclusions qui,
:
du
lecteur,
1"
sont en rsum
racine
[1
suivantes
Une
e^^
(1
s'applicpie,
de
la
manire
la
l'ide de
gnration
[1
.
elle a
pre
Les signes ^.
>=;^
ont
la lecture M e^;;?
[1
ci et
dsigne toute
racine appartient
'
'
po^r n'en
citer
que
les
orthographes
femelle,
d'homme ou
de vue de
4''
la
reproduction, de
la lactation,
le
ou tout au moins de
(1
cohabitation.
la
A la mme
,
mot
<=>
forme simple
H^^
1. 2.
lequel dsigne,
quand
il
s'agit
1.
34.
1.
7-8
Rcc, XIII,
au mmoire)
CHALDISCH
UND
ARMENISCH
209
lev en vue de
s'agit
Il
la reproduction, y compris ou non la femelle collaboratrice, d'animaux sauvages, tout animal apte la reproduction.
et,
quand
il
a,
(I
comme on
=^5,
,
le voit,
une nuance
la racine
(1
c^.
premier,
(]'=^=>,
,
I I
second,
et
de patient.
la lettre
Est-ce l'adjonction de
est possible et
faits
<=>
amne
La chose
de
mme
du
suffixe
<=>,
nuance de sens.
Lvon, 26 mars 1896.
CHALDISCH
UND
VON
ARMENISCH
C. F.
Lehmann
Bedrfniss einer berichtigenden
dem dringenden
p. 114, n. 1,
im vorliegenden Bande
dieser
ber einige wiclitige auf die Geschichte und Ethnologie Armniens bezgliche Fragen
Ausdruck zu geben.
I.
Jensens
Anmerkung
ist
eine gesteigerte
welcher er ZZ) A/G., 1894, S. 434, seine Bemerkungen ber die Sprache der urartaischen
Inschriften einleitete:
genden Grund
sagt,
im Chaldischen.
lange ehe jene Notiz in dieser Zeitschrift gedruckt war, den erneuten Nachweis' zu
liefern, dass die
Bezeichnung
Chalder
chaldisch
sondern sehr wohl begriindet erscheint. Indem ich im Allgemeinen auf dise Darle-
ich hier
nur Folgendes.
in der
Es
ist
unzutreffend
wenn meine,
Wiederauf-
nalime einer alten Hypothse hingestellt werden, vielmehr hatte ich mir meine Ansicht,
auf
dass von anderer Seite frher bereits entsprechende, brigens in keinem Falle so ein-
gehend dargelegte und begrndete Vermuthungen geussert waren. Ich habe dies von
vornherein, und dann einer irrigen Darstellung gegenber erneut,
auf's
Nachdrck19.
1.
il.
vom
Oktober 1895,
Nr.
Der
Name
Chalder
UECURIL, XVIII.
NOUV. SR., H.
27
210
CHALDISCH
UND
ARMENISCH
lichste betont'
und darf
wolil
letzten
Wer, ohne
Worte
es ist zu bedauern dass es bei der Wiederaufnahme der Vermuthung nicht geblieben ist, sondera vonihr wie von einer Thatsaclie bereits vor weiteren und weitesten Kreisen geredet wird liest, muss den Eindruck enipfangen als htten wir eine haltlose Ver-
in
wenig
Weise
als
ist
Ansicht
ist
worden
Anm.
IX, S. 83
f.
Anm.,
S.
358
ff.,
und
in
wurde
digere und umfassendere Behandlung der wichtigen Frage von mir vorbereitet werde.
Ausserdem habe
DeutscJien
richtet,
icii
in der
dargelegt, die
aber ihreni
ist.
Programm nach
aucli zur
Aufnahme
wissenschaftlicher Ausfhrf.,
ungen bestimmt
den
Weg dargelegt,
(s.
Anderen
unten sub
5)
gein der
kommen
war.
Und
Als ich
in die
Vossischen Zeitung gegen dort erschienene falsche Darstellungen des Herrn Ximenez
zu protestieren, habe ich ausdriicklich auf jene Darlegungen in der Deutschen
Rund-
schau, und damit auch auf die Forschungen, auf denen dise beruhen, hingewiesen.
Damit
ist
zuriickgewiesen.
3)
Jensen
fiihrt
ist
als
vannisches bzw.
urartisches X\<
wohl mit
etc.,
Namen
Haldila,
Behistun,
III,
78
.
fiir
Nehmen wir
Argument verdicne
es
vorausgesetzt, dass es /i
richtig sei
5)
Beweiskraft
ist, s.
unten sub
und
wie weit
an sich vertretbar
und
stichhaltig
ist.
eine
Haldita wird
in
als
Vater des
als
Nebukadnezar
(III)
1.
ZUchr.
f.
f.;
Anm.
1;
IX, S. 83 S.
Anm.;
vgl.
CHALDISCH
UND
ARMENISCH
211
Thion
orliol).
Es
ist
Namcn
durcli
Vennittlung der Babylonier vcM-nommen haben. In diesem Falle wurde aus jener
Wiedergabe
seines
Namcns
s.
sub
c)
nur
zii
folgern sein,
micli
populr auszudrucken, an
in vielen semitischen
Sprachen.
war
es nicht zu
verwundern, wenn
wiiblten.
1)) Selbst wenn in Haldita die direkte iraniscbe Wiedergabe eines mit dem Gottesnamen Ha/dis gebildeten vannischen Namens vorlage, so wren Eigenthumlichkeiten der Altiranischen in Belracht zu ziehen, ber welche mir Hr. F. C. Andras Folgendes
schreibt
Es
ist
und unklar
ist.
Sowohl
Ii
wo wir
einigen Fallen lasst sich allerdings mit Sicherheit feststellen, dass trotz der Nicht-
bezeichnungeiner der beiden Spiranten gesprochen wurde, aber nicht immer welcher
Entsprechendes auch bei den dentalen Spiranten
(2r
und
.s).
fiir
die
Natur dises Spiranten garnichts, schliesst nicht aus, dass er ein h gewesen sein knne.
Ferner muss auf eine phonetische Eigenthiimlichkeit des Altiranischen hingewiesen
in die
Augen
treten
nmlich die Seltenheit des anlautenden h vor einem Vocal. Mit einer geringen
Anzahl von Ausnahmen steht h nur vor solchen Lauten, die eine vorhergehende
ursprtingliche Explosive, hier also k, in einen Spiranten verwandeln; so
/.
z.
B. vor s und
+ Vocal
im Anlaut vorlag,
war
machte.
seltenen ha gebraucht werden, konnte deshalb auch cjui valent eines fremden
(a
und
b)
Rede
sein.
Dazu
Fremdnamen bekanntlich
keiten
und Zufallig-
immer mit im
wenn
in einer
Wenn
zum Ausdruck
vollkommen
eine
zu rechnen haben.
ist
I,
Sprache wechselt, auf das neue Idiom haufig seine alten Sprachgewohnheiten iibertrft.
zutrift,
212
CHALDISCH
UND
ARMENISCH
der,
von den
dem h sowohl
I"
wie die Aspirata ^ k\ Ferner sind aus entsprechenden Grnden Schliisse auf den
lautlichen Bestand des Urartaischen aus den heutigen kaukasischen Sprachen
(dem
will,
wenn man
nicht
annehmen
was immer wahrscbeinlicher wird, dass das Chaldische (vermuthlicli zusammen mit
anderen alten Sprachen Vorderasiens) ethnisch und linguistisch zu dieser,
jetzt auf die
'
zeichnen sich durch einen grossen Reichtum an Kehllauten und besonders auch an
Erckert, S. 5
f.)
ist
Grade wahrscheinlich, dass wir im Chaldischen ebenfalls mit einer solchen grsseren
Reichhaltigkeit zu rechnen haben (Entsprechendes wird auch namentlich von
den
Die Richtigkeit der an sich nur sj'mptomatischen Schlsse sub d) wird durch
:
Den Namen der Hethiter geben sowohl Urarter wie Da nun die Urarter den Namen dieser ihrer
selbst gehrt
und auf
gezeichnet haben, was auch durch die sonstigcn Differenzcn der Schreibung, assyrisch
zum Beweise
ha
des Gegentheils
|]r<
mit assyrisch
]r{<
identisch d. h.
und
bezeichnet also
im im
der
lit
einheimischen
Namen
Fremdname
Chalder durch. K'aXdeaik'^ wiedergegeben wird. Fiir weitere gutturale Laute, fur
welclie die assyrische Keilschrift kein zureichendes Ausdrucksmittel bot,
werden so-
wohl
/*
Wie-
dergabe von assyrisch kuradi Krieger durch chaldisch liuradi [Ztschr.f. Ethnologie,
1892, S. 129).
Jensen's Anchauungen ber den Character des urartaischen Lautes halten also
einer nheren
5.
Selbst
wenn
sie
unzutrefend sind, so
wrden
sie in
keiner
Weise gengen, um
die historischen
1.
Vgl. G.
2.
3.
Siehe besonders P. Kretschmer, Einleitung in die Gcschidite der griechischen Sprache , S. 121. Meveu, Berl. Phil.Wochenschr., 1895, Sp. 1110 und unsere Cliald. Forschungen, S. 587. Siehe v. Erckert, Die Spraclien des kaukasischen Stanimes und beachte das Vorwort von Fr. Mi.ler.
ist,
die
i.
Fur .^^1^*4- ist. da im Chaldischen als einer nicht semitischen Sprache nicht mit einem X zu rechnen von Sayce vertretene Wiedergabe durch /< jedeufalls das Nchstliegende (gegen Jensen, oben p. 114,
t.].
n. 1
CHALDISCH
Erwgungen, auf
XaXoaTo'.)
UND
ARMENISCH
213
(falschlich
mit den Verehrern des HalcUs berulit, zu erschuttern. Indcm Jensen hier eine
berwiegend historische Frage unter volligem Uebergelien der vorgetragenen historischen Argumente durch eine
zu
in sich
unhaltbare
den
ZDMG.,
49, S.
den nmlich,
zeigt,
Fragen von
lediglicli
Ich
sollten,
muss an
die
selbst
anzusehen
:
und
setze deren
Fur den einen, der von einer niiheren Kenntniss der vannischen Keilinschriften
ist,
ganz unabhiingig
nochmals
in eigener
Fassung zu
wiederholen, Herrn F. C.
Gebrauch
dem
stlichen Tigris
am Siidufer des Pontus Euxinus im Norden, der Ebene sdstlich vom Ararat im Osten, und dem Jesil-Yrmaq im Westen im Altertum
von verschiedenen Stmmen eines Volkes bew^ohnt war, dessen gemeinsamer
Chalder (griech.
xXSot,
Name
d.
i.
weniger genau
XaXoaot,
armen.
XaXrfA;',
geschrieben
/"y-^y.//^
XaUik") war. Innerhalb der Grenzen dises Gebietes und in den anstossenden Landstiichen sind jene Keilinschriften gefunden worden, die gekennzeichnet sind durch die Nen-
dieser mit
dem Volke
gleichen
Namens
in
Verbindung zu
Hand
Namen
fhrt,
ist als
der vergttlichte Ahnherr der Volkes oder des fiihrenden Stammes, von
dem
das ge-
hat'.
Aber
selbst
wenn
es
Zusammenhang
ist als
Ubereinstimmung der Fundorte der Inschriften mit den Wohnsitzen der Chalder.
weit, mir beipflichtend, Herr Andras.
So
Den
auch bereits
1. 2.
In
den
Chaldischeu Forschungen
d.
o.
und
42
ff.,
46 besonders
p.
48;
auch
Amira im Grundriss
gerinan. Philologie,
II, 2,
214
c(
CHALDISCH
).
UND
v.
ARMENISCH
der entsprechendea
in
Vermuthung von A.
Gutschmid zu Grande
lag, lit
mir gegenber
Anm.
1)
icli
nischen Inschriften ausser den Gottern selbst auch Personen und Dinge, die nach der
das ganze Volk durchdringenden tlieokratisclien Vorstellung als den Gottern zugehrig
betrachtet vverden, das Gottesdeterminativ tragen (so das Ha!di-La,nd
Stadt), die Mglichkeit vorlage, dass die
und
die
Haldi-
Haldini
selbst
gefunden sind,
vvie
durch Anhaltspunkte
uiisere
erhoben worden.
Wer
Nachwoise unbefangen
wird voraussichtlich zu
obeii sub a)
TiELE und Anderen auch Weissbach und Prasek, zwei Forscher, die den vannischen
Inschriften ihre besondere
Aufmerksamkeit zugewpndet
iiai)en.
Empfang unserer Chaldischen Forschungen (zu einer Zeit, da weder Kunde liatten), dass er sich meine
toeil
er
sie a/s
belrachte,
ah
die
cinzig mgliche
Lsung dieser
schwierigen Frage^
II.
Whrend nach
allem Vorstehenden
Chalder
chaldisch
als
Name
der
alteren Bevlkerung
armenisch
dings
fiir
Zunachst
ist in
wenn
gleichzeitig
Altarmenisch
in
diesem Sinne);
3) die
4) die
Namen armenisch
resp. 1-3
chaldisch
man
-
als
Wie
dafiir findet
man
dem
feston Glauben,
dem
Altar-
1.
s.
1S'J4,
verfeiUliclUen Auf:saiz
Alarodiov
(Die AUirodier)
Vgl. auch
Krktschmer,
a. a.
O., S. 400.
CHALDISCH
UND
ARMENISCH
215
menisclieii
gnimmatiscli
iind
lexikaliseli
/.usammengeliort
denken
das Chnldischc
dcm Zusainmcnhange, dass hier unter altarmenisch Da aber nacli Jensen's sehon damais ausgesprochener Ilittitische mit dem indogermanisehen AltaniuMiisch (2) zliist.
fiir
denn
fiir
die
icli
als
Jensen im Pseudohettitisehen
dem Armenischen eng verwandte Sprache crblickt, die verwandt sei mit dem Kilikischen, wie es uns indcnzulezt von Sachau behandelten, in griechischem Gewande erhaltenen kilikieine indogermanische,
b)
fiir
welche
alledem
dem
Clialdi-
{ZDMG.,
48, S. 437).
geiiusserten
kaum
entzilerten Spraciie zu
einem der
bestehen noch
jetzt.
angenommen,
eine Entschei-
dass Jensen's sammtliche Ermittelungen sich besttigten, schien und scheint mir das
linguistische Material bis jetzt zu gering,
um
auf linguistischem
Wege
als die
unverwandte Sprachen und Sprachstamme, der Grammatik und dem Wortschatz nach,
Ubereinstimmungen zeigen
(vgi. des
{s)
Nominativ
indogermanischen De-
clinationen gegenber
dem Nominativ
etc., s.
-s
vieler sicher
flf.)
germanischer Sprachen,
ZDMG.,
48, 427
sich
geltend macht und das Operieren mit so sparlichem, linguistich dazu so wenig ein-
lsst.
So war
es
vornherein klar, dass in Jensen's Anschauungen ber die linguistische Stellung des Pseudohethitischen im besten Falle eine Mischung von Richtigem und Irrigem vorliegen musste.
Zunchstmachten die im griechischen Ge.wande erhaltenen Reste des (West-)Kilikischen Sachau, Zsidir.f.Assyr.,\l\, 85f.,von vornherein keincswegsdenEindruck,
dass
(a. a.
sie
ist
durcli
Kretschmer
0. S. 396) der Nachweis gefhrt, dass die Westkilikier mit voiler Zuversicht
zu der, sprachlich und ethniscli von Indogermanen wie von Semiten gleich scharf
(s.
Ist also
das Pscudo-
kann
es nicht
verwandt sein (sondern aus diescm hochstens einzehie Elemente entlehnt haben)', und
ebensov^enig mit der absolut unindogermanischen Sprache der Cbalder.
1.
2.
Bemerkuagen ZDMG.,
50,
Heft
2,
5.
216
CHALDISCH
UND
ARMENISCH
Fiir
als solchen,
gab
schwerlich genugten,weshalb denn auch seine Frage an die Indogermanisten mit einem
non liquet
ist.
(Kretschmer,
S. 400.)
iind wahrscheinlich, dass Jensen
Gleiehwohl
hier mit
es
ungengenden Mitteln
Annahme,
dass wir
hier mit einer dem Armenischen nahe verwandten, dann aiso indogermaniscben
Spracbe zu thun htten, schien mir von vornherein einige historische Wahrscheinlichkeit inn zu
wohnen.
Dem
dabei
philologischen
Argument
freilich,
Annabme
Armenisch
Hai
ist
</
zwar
h
hai
</
dem
Eintreten des h
fiir
!)
<"^
iiberall.wo
liegt
Aus-
eines
vor,
und
es feblt
Hai {<"u), Plural Haih <,'"j4> das ai niclit den urspriinglichen Lautbestand wenn, wie auch Jensen annimmt, dem Volk, das uns die Indarstelle'. Und ferner
dass in
:
sukommt,
haben
in
und Verwender dieser Schrift unter anderen eingenommen Betracht kommt ( einer von Hati Jensen, ZDMG., 48, S. 265), so wiire es
dem indoist
gefundenen Lautwerte
mit der
so
Bezeichnung
wrde von
einer absoluten,
1. Einer der wiehtigsten, der Geiiit. plur. auf m, ist inzwischen wieder gefalleu. Siehe Reckendobf, Ztsclir. Assyr., XI, S. 33, Anm. 1. 2. Im Verein mit Herrn Dr. Andras mchte ich brigens darauf hinweisen, dass die Namensform der Eponymen der Armenier Hai/>- 'y"^/^, die auch durch Ableituiigen und Zusammensetzungen gesichert ist, vgl. haikean, haikakan armenisch ; halkazn vom Volke des Haik ; Haikak, n. p. Haikasn Wohnung des Haik , in diesem Zusammenhange nicht ausser Acht gelassen werden darf. Man wird entweder annehmen mssen, dass es von Anfang an neben der Form Hai auch eine Form Haik gegeben hat, oder, was wahrscheinlicher isl, dass das k /( der ursprnglich allein vorhandenen Form Haik als das /f' ^ des armenischen Plurals gefasst wurde, und dass aus der so entstandenen Pluralform ^/.^ Haik^ erst der Singular ^u#. Hai der Armenier gebildet worden ist, der dann auch in Ableitungen und Zusammensetzungen auftritt,
f.
;
z.
B. Hayastan Armnien . Einer hnlichen Umdeutuiig eines auslautenden l^ k begegnen wir in den zahlreichen rnischen Lehnwrtern, die im Armenischen als Plnralia tantum erscheinen, whrend es sich ia VS'ahrheit um das bekannte mittelirnische Suffx k handelt; z. B. kaink^ Wille, Wunsch =: mittelir.
kmak
Sma,
sen. sie
Brauch, Sinnesart
mittelir.
Herrlichkeit
u. V. a.
m. Ist ;iber die Grundform Haik, so auf ein ursprngliches Hati(o]- zurckzufhren.
ist
*brak, ucup. bra Sitte ; phark' Ruhm, rnk^ mittelir. 'ocnak, neup. Gcsetz auch rein lautlich die Mglichkeit ausgeschlos<(
217
allmalilich
bis
Wahrsclicinliclikeit gesprochen
werdon
koniioiiV Sell)st
es
fiir,
armoniscli
schlechthin zu l)ezeichnen,
Griinden.
(Krktsciimkr,
a. a.
merierzijge charakterisiertcn
Bewegung
engerem Zusammenhang
man
Wie
es sich
aber auch daniit vorhalten mag, es wiire nicht behutsam, anzunehmen, dass, unter den
men
mitgerissen sind) und sich so zu sagen schichtweise ber einander gelagert oder
vor einander liergeschoben haben, gerade nur die Vorfahren der Armenier im engeren
Sinne
nun andererseits
ist
die Bezeichnung
thrakisch-phrygisch
Stammes
ist,
da ferner
so
yo/-armenisch
die
als
treffende Bezeich
nung
fur die
wrde
Bezeichnung
Protoarme-
niscli (?)
Erorterung hypothetisch
pseudohethitischer
P.
SCHEIL
auch in der Nabonid vergleiche den engen
meiner Geschichte machte ich den gleichen Fehler gam-bur fur edin zu lesen,
Anm.
1.
Es muss
also
werden
z.
(deni Sinn
nach
= Assyrien,
man
Zusammenhang
in
welchem
B. K. 4642
Su
et Asfiui* stehen).
(Octob. 1895.)
:
da nahm Umman-Manda); cf. das von Strong im /. As. edirte Gebet Assurbanipals mit dem Namen Tuktamm Z. 17, ana sakan gimilli u iurri tukt (sonst turri gimilli); und
Was
nun den
Rache
Asurb., Cyl. B. VI, 15, alik, ullu Assur iir-ra tuk-te-e aha ba-ni-ka,
Rache
form
ist
stalt
Arbha-tukhta?)
Vgl. Reckrndori-, a. a. O., S. 40. Ein>tweilen siehe unsere Chaldischen Forschungen, Nr. 3 Silzung 1S96 der Bcrliner antlirop. Ga^ellscliaft. Col. VI, 6, lire i'^ini ulld. et 3. J'ajoute une autre rectification
1.
2.
:
und
Nr.
5,
letztere in der
Mai-
ibid.,
1.
15,
u iMen ainilu...
Sciieil.
ULXUlilL, XVUl.
NOUV.
Sllt.,
II.
28
l'agcs
Nabonide (avec
Scheil
15
29
XXI
dynastie, par G.
Daressy
P. Scheil
46 53 64
74
Maspero
le
P. Scheil
le
P. Scheil
le
75
P. Scheil
77
Recherches sur quelques bois pharaoniques (avec une planche), par Georges Beauvisage
Trois Inscriptions de la reine Hatshepsou (avec trois planches), par Edouard Naville
78
91
Sarcophage
Andr Joubin
et Pierre
Jouguet
106
111
Einearmenische
Kommagene? von
P. Jensen
120
121
Remarques
et Notes,
par A.
Wiedemann
Ein Kopf des Museo Civico in Venedig, von Fritz von Bissing
Notes de voyage, par U. Bouriant
132 144
et les ruines de
166 176
181
Une Une
Les
le
rgne d'Osorkon
II,
par G. Daressy
par
187
Aug. Baillet
Animaux
196
Chaldisch
und
Armenisch
von C. F. Lehmann
P. Scheil
209
217
Extrait de lettres de
M. Hommel au
L.
MARCEAU
!L_
P!.^^
^Tj^V^O
ls^#=j^i.,^>^
^^^^'^QK^^#^0-^-^^ril !f-i^
JN
tr
Sijy^RJ?^l!!U^^ ^M^UI^L
^^M\V
^ii:.^2]^
'^
^
'^'^'^gilM'Kl
^
TiBBBBnm^'^MmrM^^-^
^o]rM^^l>^'^4^^tM\-^^^^
!^-4-i
[j1^j^^=^^=t1D<^
y^-^
^
,pi5^^^UljOniHV^?N':e
itV^lli^n^pE^iH^1l^^in^^^D
fel!St^l^g&^H^'i'^i!^1$i^
^ilc^^^l^D'H}^!)!^^^ llS^i
f
I
?^^^*i]
^i^^l^tiiW^lJ^^^^Hd^^^^^-^)^
D'^Cl^IH:5H--H^>^N'^!ti(l?Dfectc
^_>l5o^|n^H^'H^A5^^:[)5f^^^
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/^
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/4f
/S
o
a
DARMESTETEH
DENYS DE
(J.).
gr. in-8>.
2."i
fr. fr.
Haiiivat^ et Ameretf. Essai sur la mythologie de l'Avesta. Gr. in-8". Ormazd et Ahriman. Leurs origines et leur histoire. Gr. in-8".
25 fr. syriaque publi d'aprs lo manuscrit 162 del Bibliothque Vaticane, accompagn d'une traduoUon fianaisc, d'une introduction et de notes historiques et philologiques par J.-B. Chabot. 1 fort vol. gr. in-8". 2.") fr.
TELL-MAIII. Chronique,
DERENBOUKG
DE'VRIA
(P.).
(H.). Essai sur les formes des pluriels arabes. Gr. in-8".
.3
fr.
fr.
La nouvelle
2
|-,.'
Quelques personnages d'une famille pharaonique. Gr. in-8''. DOMICILE DES ESPRITS (LE), Papyrus du Muse de Turin publi en fac-simil par R. V. Lanzone, de Turin, 11 planches et 2 pages de texte. In-f". DUTENS (A.). Essai sur l'origine des exposants casuels en sanscrit. In-b!".
professeur
30
6
fr.
fr,
fr.
DUVAL
(R.). Trait de
in-8.
la
20
Perse
et
Les dialectes No-Aramens de Salamas. Textes sur l'tat actuel de populaires, publis avec une traduction franaise. In-b. Au lieu de 8 fr.
sicle de l're vulgaire.
Contes
4
fr, f/.
EBN-EL-FARAD. Posies en arabe. Gr. in-8". EBN-HAUCAL. Description de Paenne au milieu du X'
In-8\
40
'
FAIDHERRE
(le gnral).
12'fr.
FARHAT
(G.). Dictionnaire arabe, revu, corrig et l'auteur par Rochad Dahdah. Gr. in-8".
le
manuscrit de
,30 fr.
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XIT
dynastie, 60
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gr, ln-8'-.
16
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.
MASPERO
Une
De
(G.).
et la
In-4".
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'
Au
MLANGES MMOIRES
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(J.).
80
15
fr.
fr.
204
fr.
MYER
Scarabs. The History, Manufacture and Religions Symbolism of the Scarabaeiis, in Ancient Ea;ypt, Phoonicia, Sa'rdinia, Etruria, etc. AIso Remarks on the Learning, Philosophy, Arts, Ethics'. Psychology, Ideas as to the Immortality of the Sol, etc., of the Ancient Egyptians,
OPPEST
-
12 fr. Phoenicians, ctcMn-8" cart. toile. Mmoire sur les rapports de l'Egypte et de l'Assyrie dans l'antiquit, claircis par (J.)12 fr. l'tude des textes cuniformes. In-4. 3 fr. Duppe Lisan Assur, lments de la grammaire assyrienne. 2' d. In-8. Au lieu de 6 fr.
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LE PAPYRUS DE NF^B-QED
(exemplaire hiroglyphique du Livre des Morts) reproduit, dcrit et d'une introduction mythologique, par T. Devria, avec la traduction du texte par 30 fr. M. Pierret. Gr. in-f% 12 pi et 9 pages de texte. Au lieu de 50 fr. (J.). Les chroniques de Zara Y 'eqb et de Ra'eda Mrym, roisd'thiopie de 1434 1478 13 fr. (texte thiopien et traduction) prcdes d'une introduction. Gr. in-S". PIERRET (P.). tudes gyptologiques comprenant le texte et la traduction d'une stle thiopienne indite et de diVers manuscrits religieux, avec un glossaire gyptien-grec du dcret de 10 fr. Canope. In-4. Au lieu de 20 fr.
PERRUCHON
Recueil d'inscriptions indites du muse gyptien du Louvre traduites et commentes. Premire et 30 fr. deuxime parties avec table et glossaire. 2 vol. in-4. Au lieu de .'iO fr. Vocabulaire hiroglyphique comprenant les mots de la langue, les noms gographiques, divins, royaux et Instoriques classs alphabtiquement; accompagn d'un vocabulaire franais50 fr. hiroglyphique. Gr. in-K. Au lieu de 60 fr.
POGNON (H.).
Essai sur la mythologie gyptienne. Gr. in-S". Une incantation contre les gnies malfaisants, en Mandate. Gr. in-8, avec
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1 pi.
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L'inscription de Bavian. Texte, traduction et commentaire philologique, avec trois un glossaire. 2 vol. gr. in-8.
Wadi
Raman-Nrar
I", roi
d'Assyrie (rponse
contrats des
un
1 fr.
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REGNAUD
(P.).
l'histoire
REVILLOUT
Au
du Louvre.
10 10
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Au
lieu de 25
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Au
lieu de
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et d'histoire
ptolmaques. In-4".
RITUEL
Texte complet en criture hiratique, publi d'aprs Papyrus du muse du Louvre, et prcd d'une introduction l'tude du Rituel, par vicomte E. de Roug. Liv. T). Gr. in-f; la livr. au lieu de 25 fr. 12
le le
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ROBIOU
(F.).
Mmoire sur l'conomie politique, l'administration et la lgislation de l'Egypte au temps des Lagides. Gr. in-8, orn d'une carte. 6 fr.
le
Recherches sur
9
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Egypte, Asie antrieure. In-8. Questions d'histoire gyptienne, tudies dans le Recueil de travaux relatifs l'archologie gyptiennes et assyriennes, ln-8".
La Question
2
la
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philologie et
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Recherches sur la religion de l'ancienne Egypte, le culte. In-8. 2 fr. Le systme ciuonologique de M. Lieblein sur les trois premires dynasties du Nouvel Empire gyptien et le synchronisme gyptien de l'Exode. In-8. 1 fr. 50 ROUG (E. de). Chrestomathie gyptienne ou choix de textes gyptiens, transcrits, traduits et accompagns d'un commentaire et d'un abrg grammatical. 4 vol. gr. in-b. 100 fr. Recherches sur lea monuments qu'on peut attribuer aux six premires dynasties de Manthon, prcdes d'un rapport adress M. le Ministre de l'instruction publique sur les rsultats gnraux de sa mission en Egypte. Gr. in-4, accompagn de pi. dont 5 doubles. 20 fr. Inscriptions hiroglvphiques copies en Egypte pendant sa mission. Publi par le vicomte J. de Roug. 4 vol. in-4". Au lieu de 120 fr. 60 fr. SAADYA (Gaon de Fayyoim). Commentaire sur le Sefer Yesiraou livre de la cration, publi et traduit par Mayer Lambert. Gr. in-8". 10 fr. SAULCY (F. de). Dictionnaire topographique abrg de la Terre-Sainte. 1 vol. in-8". 6 fr. SCHACK (G. von). Die Unterweisungs des Konigs Amenemhat I, 1" et 2' Hlite. Gr. in-4". 8 fr. VIREY (P.). Etude sur le papyrus Prisse. Le livre de Kaqimna et les leons de Ptah-Hotep.
Gr. in-8".
fr.