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Les français ont droit au bonheur - Tome 2
Les français ont droit au bonheur - Tome 2
Les français ont droit au bonheur - Tome 2
Livre électronique310 pages1 heure

Les français ont droit au bonheur - Tome 2

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À propos de ce livre électronique

L’objectif de ces différents ouvrages est de susciter la réflexion, d’encourager les lecteurs à prendre position, à approuver ou désapprouver en étant informés. Depuis trop longtemps, de nombreux élus, au lieu d’agir en tant que représentants des citoyens, prennent des décisions unilatérales, axées principalement sur leurs propres carrières, sans considération pour l’honneur et la gloire.




À PROPOS DE L'AUTEUR

Après avoir constaté que les analyses étaient abondantes mais les solutions sérieuses absentes de la part des élus, Michel Menneson a ressenti le besoin de proposer une base de discussion pour parvenir à débloquer la situation.
LangueFrançais
Date de sortie19 janv. 2024
ISBN9791042205966
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    Aperçu du livre

    Les français ont droit au bonheur - Tome 2 - Michel Menneson

    Code du travail et code fiscal

    Introduction

    Parce que les actualités ont mis en avant la justice, qui malheureusement se trouve en complet dénuement, il m’a semblé opportun de réécrire tous les codes. Si dans le tome I je me suis penché sur le droit qui concerne tous les Français, de leur naissance à leur mort, le tome II, lui, s’adresse plutôt aux actifs dans leur rapport à leurs droits et leurs devoirs. J’ai débuté volontairement par le Code du travail qui risque, à l’heure où j’écris, d’être totalement dénaturé par une loi scélérate.

    Parce que le principe même de « la lutte des classes » est totalement désuet : il m’apparaît nécessaire de protéger les salariés, tout en donnant plus de liberté aux employeurs.

    Parce que d’année en année les lois se sont ajoutées aux lois rendant tout absolument illisible, jusqu’à ce que les juges soient incapables d’appliquer les textes sans en contredire d’autres : il me semble utile de rendre tout simple et facilement applicable.

    Parce que l’on veut transformer les chefs d’entreprises en GO de clubs du temps libre : il est indispensable de remettre l’entreprise au travail.

    Parce que l’on a transformé les chefs d’entreprises en collecteurs d’impôts et de charges, non rémunérés : il est logique de rendre au fisc son travail.

    Parce que l’on fait en sorte que la délation soit la règle d’État : ce sera l’individu qui sera responsable de lui-même.

    Parce que l’on veut mettre dans les codes tout et n’importe quoi : il est indispensable de les épurer de manière à ce qu’ils soient la base minimum.

    Parce que les syndicats se sont arrogé le droit de saborder les entreprises pour les transformer en tremplin politique : ils devront assumer leur rôle dans un cadre neutre, le Conseil des Prud’hommes.

    Dans ce tome j’ai voulu rester neutre, c’est-à-dire ni pour les salariés, ni contre les employeurs, ni pour les particuliers, ni contre les administrations. Le propos est de mettre en place des règles facilement compréhensibles et admissibles. Il n’est pas sain de provoquer la haine, car dans un monde en perpétuelle évolution l’individu passe d’un statut à un autre ; il peut être salarié un temps et employeur un autre, il peut aussi être fonctionnaire un certain temps puis devenir agriculteur à son compte. Imaginez que pendant dix ans vous ayez critiqué votre employeur du seul fait qu’il était votre employeur et que vous héritiez d’une entreprise, devenant patron vous-même, vous auriez l’air de quoi ?

    Parce que le chômage est un fléau et que l’on en sait depuis longtemps les causes, il est aberrant de vouloir continuer comme si tout était parfait. Le rôle d’un chef d’entreprise est d’entreprendre, pas de se perdre dans des montagnes de normes confuses et contradictoires. Le but d’un salarié est naturellement de gagner sa vie sans se demander ce qui se passera si demain l’entreprise ne fonctionne plus. La responsabilité des politiques doit être d’harmoniser le tout pour que le pays se développe. Quant aux juges ils doivent respecter des lois claires qui ne leur rendent pas la tâche impossible.

    Certains sans doute me traiteront de rêveur, ceux-là sont finalement autant mon cauchemar que celui de tous les Français. Je rêve d’une France fière, d’une France dynamique, d’une France audacieuse et le propos est justement de donner aux Français la possibilité de s’épanouir à la manière qui leur convient, sans peur et sans reproche.

    Projet de code du travail

    Préambule

    Stupéfiant ! La France a un code du travail si lourd qu’il ne sert plus qu’à créer du chômage. Il est vrai que pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Outre une partie que l’on peut estimer utile qui détermine les droits et devoirs des parties contractantes, il existe une partie réglementaire dont on peut se demander à quoi elle peut bien servir si ce n’est à tout embrouiller.

    Le gouvernement actuel, qui s’est fait une spécialité du désordre, en rajoute histoire que plus personne n’y comprenne rien. C’est ce qu’il appelle la simplification.

    Ainsi pour le travail dominical, il y aura ceux qui auront le droit et ceux qui n’auront pas le droit ; pour ce qui est des compensations on reste dans un vague total.

    Les Français ont droit au bonheur

    Au départ, le Code du travail était censé simplifier la vie tant des employeurs que des salariés, mais au fil du temps il est devenu un outil d’exclusion, une machine à créer du chômage et de la précarité. Il est surtout devenu une toile d’araignée qui dissuade de produire en France. Les effets de seuil ont aussi un effet inverse de celui recherché ; loin de protéger les salariés, il bloque le développement.

    Peut-on encore financer les prestations sociales sur les seuls actifs ? C’est aussi une question cruciale à laquelle les gouvernements successifs ne veulent répondre. Vaguement on parle de TVA sociale, mais sans vraiment dire le taux, comment la mettre en place, qui sera concerné ? Quelle prestation cela couvre ?

    Il y a aussi ce SMIC qui se généralise et qui n’incite en rien à se dépasser. Comment peut-on dire qu’il n’y a aucune différence entre les fonctions ? Comment peut-on trouver juste de payer les salariés au même prix, quel que soit leur niveau ? Le SMIC ne doit à l’avenir concerner que ceux n’ayant aucune qualification particulière.

    La justice n’est pas l’égalité, mais l’équité. En cela, mettre en place le salaire minimum professionnel c’est restaurer la justice tout en instaurant une concurrence libre et non faussée. Il est aussi question de ne plus subir les décisions d’un « machin » supranational qui n’a pour seul effet que d’appauvrir les Français. La France doit retrouver son indépendance pleine et entière et décider pour les citoyens français.

    En cela le Code du travail doit redevenir lisible et ne souffrir aucune contradiction ni aucune redondance. Écrire le même article cent fois est au minimum absurde ; les juges doivent avoir un outil facilement opposable. Le propos est donc de réécrire le Code du travail pour qu’enfin il redevienne facile de créer et développer une entreprise tout en donnant aux salariés des garanties sur leur sécurité et leur qualité de vie au travail. Il semble tout aussi indispensable de permettre aux jeunes de savoir choisir leur orientation en fonction de salaires minimaux appliqués dans les diverses activités.

    Un code du travail qui rend toute embauche compliquée est une stupidité totale. En conséquence il faudra abroger celui qui gêne et le remplacer par celui qui aide.

    Partie I

    Les relations individuelles de travail

    Livre I

    Dispositions préliminaires

    Article T1

    Les dispositions du présent code sont applicables à tous les employeurs ainsi qu’à leurs salariés.

    Article T2

    Pour la mise en œuvre des dispositions du présent code, il sera tenu compte du temps de travail global effectué dans l’entreprise par la totalité des salariés

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