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Poésies Allemandes
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Poésies Allemandes
Livre électronique43 pages26 minutes

Poésies Allemandes

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LangueFrançais
Date de sortie27 nov. 2013
Poésies Allemandes
Auteur

Gerard de Nerval

Gérard Labrunie, dit Gérard de Nerval, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris, ville où il est mort le 26 janvier 1855.

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    Poésies Allemandes - Gerard de Nerval

    Project Gutenberg's Poésies Allemandes, by Friedrich Gottlieb Klopstock

    This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.net

    Title: Poésies Allemandes

    Author: Friedrich Gottlieb Klopstock

    Translator: Gérard de Nerval

    Release Date: July 7, 2005 [EBook #16238]

    Language: French

    *** START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK POÉSIES ALLEMANDES ***

    Produced by Ebooks libres et gratuits; this text is also available at http://www.ebooksgratuits.com

    Friedrich Gottlieb Klopstock

    POÉSIES

    (1748-1783)

    Traduit par Gérard de Nerval en 1830

    Table des matières

    MA PATRIE LES CONSTELLATIONS LES DEUX MUSES LES HEURES DE L'INSPIRATION À SCHMIED, ODE ÉCRITE PENDANT UNE MALADIE DANGEREUSE PSAUME MON ERREUR HERMANN ET TRUSNELDA HERMANN CHANTÉ PAR LES BARDES WERDOMAR, KERDING ET DARMONT

    MA PATRIE

    Comme un fils qui n'a vu s'écouler qu'un petit nombre de printemps, s'il veut fêter son père, vieillard à la chevelure argentée, et tout entouré des bonnes actions de sa vie, s'apprête à lui exprimer combien il l'aime avec un langage de feu;

    Il se lève précipitamment au milieu de la nuit; son âme est brûlante: il vole sur les ailes du matin, arrive près du vieillard, et puis a perdu la parole.

    C'est ce que j'ai éprouvé… J'allais te chanter, ô ma patrie! et déjà j'obéissais au vol rapide de l'inspiration, déjà ma lyre avait résonné d'elle-même, lorsque la sévère discrétion m'a fait un signe avec son bras d'airain, et soudain mes doigts ont trem- blé.

    Mais je ne les retiens plus: il faut que je reprenne la lyre; que je tente un essor plus audacieux, et que je cesse de taire les pensées qui consument mon âme.

    Ô mon beau pays, ta tête se couronne d'une gloire de mille années; tu marches du pas des immortels, et tu t'avances avec orgueil à la tête de plusieurs nations! combien je t'aime, mon pays, mon beau pays!

    Ah! j'ai trop entrepris, je le sens; et la lyre échappe à ma fai- ble main… Que tu es belle, ma patrie! De quel éclat brille ta couronne! Comme tu t'avances du pas des immortels!

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