- Liste Des Réseaux Et Mouvements De La Résistance Intérieure Française
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Liste des réseaux et mouvements de la Résistance intérieure française
Liste des réseaux et mouvements de la Résistance intérieure française (1940-44)
Parmi les différentes organisations de la Résistance intérieure française, on a coutume de distinguer les réseaux et les mouvements. Un réseau est une organisation créée en vue d'un travail militaire précis (renseignement, sabotage, évasion de prisonniers de guerre et de pilotes tombés chez l'ennemi). Un mouvement a pour premier objectif de sensibiliser et d'organiser la population.
Sommaire
Les mouvements
Les huit grands mouvements
Les huit grands mouvements qui, à partir de mi 1943, seront membres du Ceux de la Libération (Ceux de la Résistance (Combat, plutôt démocrate-chrétien.
- Jean-Pierre Lévy, plutôt de gauche.
- Le Libération-Nord, plutôt de gauche.
- Libération-Sud, plutôt de gauche.
- Organisation civile et militaire (OCM), plutôt de droite.
Les regroupements des grands mouvements
- Rhône-Alpes (Vercors, Lyon) et le Massif central. C'est la branche armée des MUR.
- Mouvements unis de la Résistance (MUR). Regroupement en janvier 1943 des principaux mouvements de la zone sud (« Combat », « Franc-Tireur » et « Libération-Sud »). C'est une branche plus civile de l'Mouvement de Libération nationale (MLN). Créé au début de 1944 par regroupement des Mouvements unis de la Résistance (MUR) et de plusieurs mouvements de la zone Nord.
- Les Bataillons de la Jeunesse.
- Missak-Manouchian » les plus actifs parmi les Forces françaises de l'intérieur (FFI) résultent du regroupement complet fin 1943-début 1944 de l'FTP, de l'ORA, etc., au sein d'une organisation unique.
Les autres mouvements
- groupe du musée de l'Homme
- Noyautage des administrations publiques (NAP) et Super-NAP
- Organisation de résistance de l'armée (ORA) (résistance au sein de l'Armée française du régime de Vichy).
- Mouvement national des prisonniers de guerre et déportés (MNPGD)
- Vengeance
- L'Organisation Spéciale (OS), du Parti Communiste Français n'était pas à proprement parler un mouvement de résistance, mais plutôt un service d'ordre du PCF.
- groupe Derhan, autre mouvement en Moselle
- Mouvement Valmy de Raymond Burgard
Les réseaux
- Armée des volontaires
- Brutus
- Camouflage Du Matériel (C.D.M.)
- Carte, d'Confrérie Notre-Dame (CND). Ce réseau de renseignements, qui deviendra CND-Castille, est relié au Cohors-Asturies, branche nord de Phalanx, fondé par le Éleuthère, issu de l'Hubert de Lagarde.
- Liberté ou Thimoléon, forces bretonnes de l'intérieur, mouvement créé par des jeunes militants autonomistes ou nationalistes bretons du PNB ou issus des bagadoù stourm.
- Manipule
- Marco-Polo (René Carmille, l'inventeur du numéro INSEE actuel)
- Phalanx, branche sud de BCRA gaulliste
- Phratrie
- Résistance-Fer (SNCF)
- Résistance-PTT
- Maurice. Voir [1]
- Morhange.
- Françoise.
- Pat O'Leary, réseau d'évasion
- VIRA
- Vélite-Thermopyles
- Service B, connu aussi sous le nom de Fana
- SR Kléber
- Parsifal, dont Turma-Vengeance
- Ali-Tir
- Réseaux dépendant du Special Operations Executive :
- Réseaux rattachés à la section F : voir la Liste des réseaux de la section F du SOE, appelés réseaux Buckmaster. Par exemple : Réseau « Sylvestre » FARMER
- Réseaux rattachés aux autres sections (RF, DF, ...) : se reporter à l'article SOE.
- Réseaux dépendant de l'Intelligence Service (MI 6) :
- AGIR,
- ALLIANCE, réseau de renseignements.
- GLORIA, réseau de renseignements.
- INTERALLIÉ.
- JADE-AMICOL.
- KLAN, réseau de renseignements de droite.
Voir aussi
Lien externe
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