Researches in progress by Christine Walter
PHD Thesis by Christine Walter
Books by Christine Walter
Exposition co-organisée par la Ville de Marseille, le CNRS et l'EFA.
Co-auteur : rédaction de 32... more Exposition co-organisée par la Ville de Marseille, le CNRS et l'EFA.
Co-auteur : rédaction de 32 notices de céramiques grecques et d’un chapitre d’introduction.
Papers by Christine Walter
The study carried out on the Attic Droop cups discovered in the excavations of the Artemision at
... more The study carried out on the Attic Droop cups discovered in the excavations of the Artemision at
Thasos drew our attention to a group of sherds decorated with a theme that is rare to see on this form:
the Return of Hephaestus to Olympus. It is not uncommon on other classes of contemporary cups,
especially on Little Master’s Band cups of which the Droop cup is a variant. But while the study of the
sherds from the Artemision makes it possible to strengthen the link between the production of the
Band cups and the Droop cups, above all, it highlights a piece that is exceptional due to the rarity of
its theme, the quality of its decoration and its generous dimensions. It is attributed to the Oakeshott
Painter, a close companion of the Amasis Painter, which makes it a real find among the discoveries of
attic pottery on the island of Thasos.
Après l'achat par la Russie d'une sélection des plus belles oeuvres de la collection Campana, qui... more Après l'achat par la Russie d'une sélection des plus belles oeuvres de la collection Campana, qui fit grand bruit en Europe, Napoléon III se décida à acquérir le reste de la collection. Celle-ci fut présentée au musée Napoléon III, installé dans le palais de l'Industrie. Si l'existence de ce musée fut éphémère, les oeuvres, elles, comptent toujours parmi les plus belles pièces des musées français. Christine Walter, Département des antiquités grecques, étrusques et romaines, musée du Louvre
« ACADÉMICIENS », Histoire du Louvre III. Dictionnaire thématique et culturel, sous la direction de Y. LINTZ, Paris, Louvre Editions/Fayard, 2016, p. 13-15.
Un article sur l'une des institutions partenaires du Musée du Louvre. Liste jointe des académicie... more Un article sur l'une des institutions partenaires du Musée du Louvre. Liste jointe des académiciens en fin d'article, classés par Académies.
Actes du colloque de Thessalonique 2006.
Service du récolement des dépôts antiques et des arts de l'Islam, musée du Louvre es premiers env... more Service du récolement des dépôts antiques et des arts de l'Islam, musée du Louvre es premiers envois d'antiquités classiques au xix e siècle L Les premiers envois officiels d'antiquités classiques par l'État français sont relativement tardifs par rapport aux envois de peintures, puisqu'ils ne débutent qu'en 1863 1. À cette date, 4695 marbres, vases, lampes et figurines de terre cuite, entreposés au Palais de l'Industrie sur les Champs-Élysées, quittent Paris par voie de chemin de fer, afin de rejoindre l'un des musées en région qui leur a été assigné. L'ensemble de ces oeuvres appartenait à l'ancienne collection du marquis Campana-considérée au xix e siècle comme l'une des plus riches et des plus variées des collections de Rome. Accusé de malversations dans la gestion du Mont-de-Piété dont il était l'administrateur, le marquis Gianpietro Campana di Cavelli, archéologue et collectionneur, avait été condamné à 20 ans de galères par les autorités pontificales et contraint de céder sa collection, composée alors de milliers d'antiques, de peintures et de majoliques de la Renaissance. Il avait en effet autorisé le prêt sur objets d'art et en avait abusé, gageant ses propres oeuvres, tout en les conservant dans ses palais. C'est ainsi qu'en 1857, un inspecteur des finances de l'État pontifical, révélait au grand jour un découvert énorme dans les caisses du Mont-de-Piété, suite à une surévaluation par Campana des oeuvres mises en gage 2. Le gouvernement pontifical mit aussitôt cette collection en vente afin de récupérer des fonds. Dès le 20 mai 1861, un contrat de vente, signé avec le représentant du Tsar de Russie, permettait à ce pays l'acquisition de 767 objets de toutes catégories. La seconde partie du musée Campana, soit 84 pièces de sculptures de la Renaissance et de majoliques, fut acquise par l'Angleterre, tandis que la Belgique se réservait 77 vases grecs. La France, quant à elle, acheta la partie restante, soit 11 000 oeuvres en mai 1861 pour la somme de 4,8 millions de francs. Toutefois, d'après Salomon Reinach, un certain nombre de pièces de la collection échappèrent à la vente globale, le marquis ayant réussi à les faire soustraire de l'ensemble peu de temps auparavant 3 .
First studied essentially for their iconographic representations, Greek vases were increasingly s... more First studied essentially for their iconographic representations, Greek vases were increasingly studied for their style when issues of artistic individualities and stylistic affinities became
reachable. The basis for stylistic analysis was laid down by the Italian Giovanni Morelli in a series of articles on Italian paintings published between 1874 and 1876. Adolf Furtwängler and Paul Hartwig adapted this method in the field of archaeology and John Beazley applied it systematically
to the entire production of Greek Attic vases from the sixth to fourth centuries BC. This desire to classify all vases and their painters chronologically meant paying greater attention to methods and ‘tools’ for studying and recording these ‘hands’ with more fidelity. Consequently, special attention was paid to the accurate drawing (copying) of the figures on Greek vases. Old illustrations not always equal to the ambitions of contemporary archaeologists because of their considerable
variations from the originals. Furtwängler was the first to insist on the need for a more scientific drawing of Greek vases, which would be clear of modern artistic distortions or copyist
peculiarities. He was persuaded that a good knowledge of Greek vases depended entirely on their faithful reproduction, and this conviction influenced all subsequent generations of specialists.
Résumé
Cet article présente une coupe grecque du type "de Droop" ainsi que deux fragments - dont ... more Résumé
Cet article présente une coupe grecque du type "de Droop" ainsi que deux fragments - dont l'un a peut-être été attribué à tort à de la "Droop" - conservés dans les collections du musée d'Archéologie nationale (St-Germain-en-Laye). La coupe est importante par la rareté de son décor, tandis que les deux autres se distinguent par leur lieu de découverte, en dehors de la sphère habituelle des autres coupes de cette classe, importés en France au VIe s. av. J.-C.
Abstract
This article présents a greek cup called 'Droop cups' and two fragments - on of them has been probably attributed wrongly to Droop cups - held in the collections of the Musée d'Archéologie Nationale (St-Germain-en-Laye). The cup is important because of the rarity of its subject, while the two others distinguish themselves by their place of discovery, outside the habitual area of the others Droop cups belonging to this class, imported in France in the sixth century BC.
Papers on coroplastics by Christine Walter
Bulletin de Correspondance Hellénique 138, 2014
Talks by Christine Walter
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Researches in progress by Christine Walter
PHD Thesis by Christine Walter
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Co-auteur : rédaction de 32 notices de céramiques grecques et d’un chapitre d’introduction.
Papers by Christine Walter
Thasos drew our attention to a group of sherds decorated with a theme that is rare to see on this form:
the Return of Hephaestus to Olympus. It is not uncommon on other classes of contemporary cups,
especially on Little Master’s Band cups of which the Droop cup is a variant. But while the study of the
sherds from the Artemision makes it possible to strengthen the link between the production of the
Band cups and the Droop cups, above all, it highlights a piece that is exceptional due to the rarity of
its theme, the quality of its decoration and its generous dimensions. It is attributed to the Oakeshott
Painter, a close companion of the Amasis Painter, which makes it a real find among the discoveries of
attic pottery on the island of Thasos.
reachable. The basis for stylistic analysis was laid down by the Italian Giovanni Morelli in a series of articles on Italian paintings published between 1874 and 1876. Adolf Furtwängler and Paul Hartwig adapted this method in the field of archaeology and John Beazley applied it systematically
to the entire production of Greek Attic vases from the sixth to fourth centuries BC. This desire to classify all vases and their painters chronologically meant paying greater attention to methods and ‘tools’ for studying and recording these ‘hands’ with more fidelity. Consequently, special attention was paid to the accurate drawing (copying) of the figures on Greek vases. Old illustrations not always equal to the ambitions of contemporary archaeologists because of their considerable
variations from the originals. Furtwängler was the first to insist on the need for a more scientific drawing of Greek vases, which would be clear of modern artistic distortions or copyist
peculiarities. He was persuaded that a good knowledge of Greek vases depended entirely on their faithful reproduction, and this conviction influenced all subsequent generations of specialists.
Cet article présente une coupe grecque du type "de Droop" ainsi que deux fragments - dont l'un a peut-être été attribué à tort à de la "Droop" - conservés dans les collections du musée d'Archéologie nationale (St-Germain-en-Laye). La coupe est importante par la rareté de son décor, tandis que les deux autres se distinguent par leur lieu de découverte, en dehors de la sphère habituelle des autres coupes de cette classe, importés en France au VIe s. av. J.-C.
Abstract
This article présents a greek cup called 'Droop cups' and two fragments - on of them has been probably attributed wrongly to Droop cups - held in the collections of the Musée d'Archéologie Nationale (St-Germain-en-Laye). The cup is important because of the rarity of its subject, while the two others distinguish themselves by their place of discovery, outside the habitual area of the others Droop cups belonging to this class, imported in France in the sixth century BC.
Papers on coroplastics by Christine Walter
Talks by Christine Walter
Co-auteur : rédaction de 32 notices de céramiques grecques et d’un chapitre d’introduction.
Thasos drew our attention to a group of sherds decorated with a theme that is rare to see on this form:
the Return of Hephaestus to Olympus. It is not uncommon on other classes of contemporary cups,
especially on Little Master’s Band cups of which the Droop cup is a variant. But while the study of the
sherds from the Artemision makes it possible to strengthen the link between the production of the
Band cups and the Droop cups, above all, it highlights a piece that is exceptional due to the rarity of
its theme, the quality of its decoration and its generous dimensions. It is attributed to the Oakeshott
Painter, a close companion of the Amasis Painter, which makes it a real find among the discoveries of
attic pottery on the island of Thasos.
reachable. The basis for stylistic analysis was laid down by the Italian Giovanni Morelli in a series of articles on Italian paintings published between 1874 and 1876. Adolf Furtwängler and Paul Hartwig adapted this method in the field of archaeology and John Beazley applied it systematically
to the entire production of Greek Attic vases from the sixth to fourth centuries BC. This desire to classify all vases and their painters chronologically meant paying greater attention to methods and ‘tools’ for studying and recording these ‘hands’ with more fidelity. Consequently, special attention was paid to the accurate drawing (copying) of the figures on Greek vases. Old illustrations not always equal to the ambitions of contemporary archaeologists because of their considerable
variations from the originals. Furtwängler was the first to insist on the need for a more scientific drawing of Greek vases, which would be clear of modern artistic distortions or copyist
peculiarities. He was persuaded that a good knowledge of Greek vases depended entirely on their faithful reproduction, and this conviction influenced all subsequent generations of specialists.
Cet article présente une coupe grecque du type "de Droop" ainsi que deux fragments - dont l'un a peut-être été attribué à tort à de la "Droop" - conservés dans les collections du musée d'Archéologie nationale (St-Germain-en-Laye). La coupe est importante par la rareté de son décor, tandis que les deux autres se distinguent par leur lieu de découverte, en dehors de la sphère habituelle des autres coupes de cette classe, importés en France au VIe s. av. J.-C.
Abstract
This article présents a greek cup called 'Droop cups' and two fragments - on of them has been probably attributed wrongly to Droop cups - held in the collections of the Musée d'Archéologie Nationale (St-Germain-en-Laye). The cup is important because of the rarity of its subject, while the two others distinguish themselves by their place of discovery, outside the habitual area of the others Droop cups belonging to this class, imported in France in the sixth century BC.