PASSAGES, ESPACES DE TRANSITION
POUR LA VILLE DU 21 E SIÈCLE
EXPOSITION INTERNATIONALE ITINÉRANTE
DOSSIER DE PRÉSENTATION
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Après une première présentation à Paris en mai 2016 qui a réuni plus de 2500 visiteurs, l’exposition
« Passages » créée par l’Institut pour la ville en mouvement/VEDECOM se destine à l’itinérance.
L’exposition décrite dans ce document est celle présentée dans sa version originale à Paris, dans
un espace de 450 m² à la configuration particulière.
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LE THÈME DE L’EXPOSITION
À Alger, Anvers, Barcelone, Bogotá, Buenos Aires, Cotonou, Grenoble, Maputo, Montevideo,
Nantes, Ouagadougou, Paris, Shanghai, Toronto, Tours, San José, Santiago, São Paolo, Tunis,
Valparaiso, Volos…
Tunnels, ponts, passerelles, téléphériques urbains, escalators… Parfois agréables, animés, intelligents,
ouverts sur le paysage urbain, distrayants, mais le plus souvent glauques, incommodes voire dangereux,
oubliés ou délaissés par les grandes opérations d’aménagement ; espaces du passant multimodal, ils sont
les maillons essentiels qui permettent de passer, tant bien que mal, d’un mode de transport à l’autre,
d’une ambiance urbaine à une autre, dans nos villes contemporaines toujours plus grandes et morcelées
par des autoroutes, des voies ferrées ou des quartiers fermés.
Raccourcis, espaces de transition, parcours privilégiés, ils sont cruciaux pour faciliter l’accès de tous à
la ville. Formels ou informels, ils sont aussi des lieux d’expérience sensible, transition entre des mondes
différents, physiques, culturels ou symboliques.
Le XIXème siècle a inventé le passage entre les îlots de la ville moderne ; quels passages inventer pour
le passant d’aujourd’hui ? Celui-ci, à raison, est devenu exigeant. Il est connecté, équipé de bagages à
roulettes, sur deux roues, une seule ou à pied, sportif ou fatigué, riverain ou étranger…
Quelles sont les spécificités, les pistes de réflexion, d’innovation de ces petits espaces qui doivent
accompagner les mutations urbaines et la transformation des mobilités ? Comment agir, ensemble, pour
que ces petites articulations à coût réduit qui facilitent notre vie quotidienne ne soient pas les grands
oubliés des fabricants de nos villes ?
Des étudiants, cinéastes, des artistes, des habitants, des responsables politiques, des techniciens des
villes, des chercheurs et des professionnels de la conception architecturale et urbaine se sont mobilisés
aux quatre coins de la planète pour imaginer ces petits lieux du mouvement.
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DESCRIPTION DU CONTENU DE L’EXPOSITION
Une exposition qui traite de quoi ? Et pour quel(s) public(s) ?
Visant à rassembler un public large, professionnels de l’architecture et de l’urbanisme, politiques,
associations, citoyens éclairés, l’exposition fait percevoir l'étendue et la diversité des barrières dans les
métropoles de nos jours, et sensibilise les publics au rôle des passages, espaces du quotidien, dans les
nouvelles mobilités urbaines, dans leurs dimensions physique, sensible, sociale et symbolique. Elle
identifie et présente les innovations qui permettent aujourd’hui de surmonter les différentes ruptures
urbaines, et démontre qu’il est possible d’amorcer des transformations à plus grande échelle par de
petites interventions.
Une exposition multimédia et interactive
L’exposition est composée d’une variété de supports qui
s’appuient sur l’expérience du visiteur : des films, des enquêtes, un
dispositif Kinect, un film de synthèse du programme des
interviews des commissaires, des écrans interactifs qui détaillent
l’ensemble des travaux (concours d’architecture, hub de recherche
et études terrain), plus de 200 photos et dessins de situations de
barrières et de projets d’architecture…
Une exposition bilingue
L’exposition a été conçue en français et entièrement traduite en anglais ; tous les panneaux, légendes,
textes, ainsi que les vidéos, sont traduits et sous-titrés.
Une exposition internationale
L’exposition est présentée à travers un parcours en cinq registres pour comprendre les enjeux de la
valorisation des passages dans les villes, et présenter les approches innovantes des passages par les
urbanistes et architectes du monde entier.
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DANS LE DÉTAIL : UN PARCOURS EN CINQ REGISTRES
L’exposition parisienne originelle a pris place à l’espace Passage du Désir de l’agence BETC, au sein
d’un espace de 450m² divisé en 5 registres (ici représentés par cinq couleurs). Chaque registre est
introduit par un grand panneau explicatif.
██ REGISTRE 1 ██ REGISTRE 2 ██ REGISTRE 2b ██ REGISTRE 3 ██ REGISTRE 4
L’ENTRÉE / INTRODUCTION : « LES PASSAGES, CES PETITS LIEUX DU MOUVEMENT »
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REGISTRE 1 : « MILLE ET UNE BARRIÈRES »
Le premier registre immerge le
visiteur au sein des mille et une
barrières de la ville
contemporaine ; ce premier
espace recense les typologies de
barrières et les fractures urbaines
propres aux grandes métropoles, à
travers neuf caissons photos légendés et trois écrans (diffusant chacun un
film : une installation vidéo sans son, un film d’animation sonore, et un
documentaire sans son mais sous-titré).
Les crédits de l’exposition figurent au début du registre.
Pour compléter la scénographie, le registre 1 est
traversé par un marquage blanc au sol ressemblant à
un passage piéton, et deux lignes en "pointillés"
rouges sur le mur derrière les caissons photos, se
croisant au centre et formant une croix.
Une installation audiovisuelle effectue la transition
avec le registre suivant : un vidéoprojecteur affiche sur
un mur des passants (joggeurs, promeneurs, parents
avec poussette, cyclistes, skateurs, etc.) représentés par
des silhouettes de couleur pixélisées se déplaçant d’un
côté à l’autre, avec par intermittence des slogans qui
apparaissent.
Des traces de pas au sol balisent le parcours et invitent subtilement le visiteur à
se diriger vers le début du registre 2.
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REGISTRE 2 : « AU-DELA DE L’INFRASTRUCTURE, LE PASSAGE »
Le second registre raconte l’évolution des passages dans l’histoire, et
présente l’approche conceptuelle du passage telle que théorisée par
l’IVM. Une frise chronologique longue de 11 mètres, posée sur une
table, explore la
définition du
passage à travers les
âges (de -500 av
J.C. jusqu’à nos
jours). Chaque exemple visuel de la frise est
accompagné d’un titre et d’une légende.
Parallèle à la frise sont affichés le long du mur trois
« nuages d’images » qui illustrent chacun une des trois
qualités du passage : « Lien, Lieu et Transition ».
Chaque nuage est composé d’une vingtaine
d’images de passages
innovants à travers le
monde, et d’un écran vertical qui diffuse en boucle les interviews des
commissaires de l’exposition (film de 5mn). Une douche sonore
(enceinte plate) est fixée au plafond en face de chaque écran. Le mot (Lien, Lieu, Transition) central de
chaque nuage est monté en bois peint en blanc et rétroéclairé par un jeu de lumière dynamique.
En face des nuages, de l’autre côté de la frise
chronologique, se trouve un panneau sur lequel est
écrit quelques citations traitant des passages.
Enfin une installation scénographique marque la transition entre les
registres 2 et 2b : une "lampe", de 3m de diamètre, qui offre un ciel
rétroéclairé au visiteur qui s’arrête sous l’abat-jour. Des verbes d’actions
dans plusieurs langues, mettant le corps du passant en "situation", sont
imprimés sur le sol dans l’alignement de la lampe. Deux enceintes fixées audessus de la lampe diffusent en boucle une piste sonore composée de sons
d’ambiance et de chants d’oiseaux.
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REGISTRE 2b : « PASSAGES ET MOBILITÉS EN MUTATION »
La deuxième partie du registre 2 est composée de deux éléments :
▪ une installation murale composée d’une frise
représentant un itinéraire piéton entre deux moyens
de transports ; le parcours en pointillés est animé
grâce à un jeu de lumières (diodes LED) dynamique.
En son centre figure un panneau rétroéclairé en
forme de smartphone géant.
▪ lui faisant face, un dispositif interactif Kinect
composé d’un écran et d’un boitier (qui
retranscrit les mouvements détectés en actions à
l’écran), permet au visiteur d’expérimenter à
travers 3 itinéraires différents la mobilité dans
des environnements urbains du monde. Des
traces de pas au sol informent le visiteur sur la
bonne distance à respecter pour que le capteur de
mouvements fonctionne correctement.
Un panneau intitulé « La petite échelle qui change tout… ou
presque ! » explique qu’il est possible d’amorcer des
transformations à grande échelle dans les villes grâce à de petites
interventions, et opère la transition vers le registre 3.
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REGISTRE 3 : « PASSAGES EN PROJET »
Le troisième registre présente le
corpus des recherches et
actions entreprises dans le
monde par l’IVM pendant deux
ans sur le thème des passages.
Un grand panneau avec une mappemonde légendée donne une vue d’ensemble des projets.
Ensuite, sur un lutrin métallique incliné de 18m de
long (composé de 6 morceaux de 3m chacun) sont
exposés les projets architecturaux imaginés dans le
cadre des concours d’architecture professionnels
lancés par
l’IVM, sous
forme de
panneaux
imprimés.
Six vidéoprojecteurs LED font défiler en boucle des diaporamas
d’images sur des écrans en toile, en relation avec le thème de chaque panneau.
A la fin du registre se trouve sur un panneau le Manifeste du passage qui liste ce que devraient être les
grands principes de la conception du passage dans les villes au 21ème siècle.
A côté de ce panneau, un tableau noir incite les visiteurs à contribuer au manifeste.
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REGISTRE 4 : L’ESPACE FORUM
Le dernier registre constitue un espace "forum" avec du mobilier permettant aux visiteurs de s’assoir
pour contempler un film sonorisé de 3 minutes, diffusé en boucle par un vidéoprojecteur.
Cet espace est aussi là où les visiteurs peuvent "aller plus loin". Cinq bornes tactiles avec leurs casques
audio sont réparties de chaque côté :
▪ deux bornes présentent les projets lauréats et mentionnés
des concours d’architecture lancés par l’IVM sur cinq sites
démonstrateurs
▪ une borne regroupe l’ensemble des travaux menés par le
hub de recherche international Passages
▪ une borne présente les enquêtes de terrain et les portraits
d’habitants recueillis par l’IVM au Brésil
▪ et une dernière borne offre la possibilité au visiteur de visionner les films réalisés dans le cadre du
concours de scénario lancé par l’IVM, sur le thème « filmer les passages dans les villes africaines ».
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LA SCÉNOGRAPHIE
C’est l’agence Clémence Farrell (www.clemencefarrell.com) qui signe la scénographie ambitieuse de
l’exposition PASSAGES.
Diplômée de l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, Clémence Farrell développe
pour chaque exposition un univers et opère un point de vue particulier sur le contenu à développer. Le
sens des objets et des espaces, leur expression et les sensations qu’ils procurent aux visiteurs sont au
cœur des enjeux de ses créations scénographiques.
Parmi ses dernières réalisations figurent l’exposition "David Bowie is" à la Philharmonie de Paris
(2015), "Il était une fois l’Orient Express" à l’Institut du Monde Arabe (2014), ou encore l’exposition
"Musique et Cinéma" à la Cité de la Musique (2013).
Avec sa nouvelle société de production muséographique MuseoManiac qui produit et réalise les
audiovisuels et multimédias de l'exposition Passages, elle met en scène le visiteur/passant au travers
d’un parcours multimédia et immersif au discours didactique, engagé et innovant.
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LE PROGRAMME INTERNATIONAL PASSAGES DE L’IVM (2014-2015)
Depuis 2000, l’Institut pour la ville en mouvement a cherché à attirer l’attention sur l’importance
cruciale de la qualité des espaces de mobilité et d’intermodalité dans toutes les villes du monde.
Pendant deux ans, le programme international et multipartenarial de l’Institut pour la ville en
mouvement a mobilisé un réseau de municipalités, d’universitaires, de professionnels de l’architecture
et de l’urbanisme, d’artistes et d’activites de terrain autour de la question cruciale des passages.
Des échanges et des événements scientifiques, culturels et artistiques ont été organisés dans une
vingtaine de pays ainsi que des concours d’architecture et d’urbanisme qui ont permis d’expérimenter
sur des sites concrets la conception et la réalisation de passages innovants :
une quarantaine de partenaires (villes, universités, entreprises, ONG…) dans 20 pays
1000 candidats aux 11 concours professionnels d’architecture et d’urbanisme, 11 jurys
internationaux ; les suites de ces concours déboucheront bientôt sur des réalisations concrètes
650 étudiants dans 12 workshops
5 courts–métrages réalisés en Afrique
1 première exposition internationale présentée dans 3 continents, et 6 expositions locales
10 rencontres publiques et conférences
3 publications (programme Passages en Amérique Latine, Barcelone et Tours)
10 sites internet, 6 blogs
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REVUE DE PRESSE
Une cinquantaine de relais presse et partenaires, et de nombreuses revues de blogs, tweets d’élus, de
journalistes…
“ Ces travaux et les nombreux exemples présentés ouvrent des perspectives pour les élus,
services techniques et aménageurs. Bien souvent, il suffit d'un micro-aménagement à peu
de frais pour déverrouiller un problème à plus grande échelle. A méditer dans cette période de crise, où
la frugalité en urbanisme s'impose. ”
“ Deux années de travail ont été nécessaires pour définir la notion et réfléchir à
tous ces espaces de transition, indispensables à une ville mobile et
démocratique. […] L’exposition a le mérite de prouver qu’il est possible d’amorcer des transformations
à grande échelle dans les villes grâce à de petites interventions. ”
“ La ville n'est pas seulement faite de monuments et d'avenues, mais aussi de tunnels,
de passerelles, d'escalators, souvent négligés, à tort, comme le montre l'exposition
organisée par l'Institut pour la ville en mouvement. [...] Il est temps que le XXIe siècle retrouve l'esprit
des passages du XIXe siècle et prenne en compte ces maillons essentiels de notre environnement. ”
“ ...l'expo « Passages » montre l'importance urbaine des lieux et des dispositifs
permettant d'aller d'un endroit à un autre. Mais aussi l'urgence de s'en préoccuper. ”
“ A partir de projets menés dans vingt villes du monde, l’Institut pour la
ville en mouvement pointe notamment du doigt les fractures urbaines, si
largement développées, et quelques solutions possibles pour les lever ces barrières. Exemplaire et
militant. ”
“ …magnifique exposition […] où il faudrait traîner nos élus locaux, de gré ou de
force. […] Très habilement, la scénographie (signée Clémence Farrell) nous jette d'abord
à la figure ces barrières, ces interdits, ces impossibles que la ville moderne inflige à ses habitants non
motorisés. Elle nous montre ensuite quelles réponses, au fil des siècles, les hommes ont trouvé pour
franchir les obstacles. […] En sortant, le visiteur se sent plus intelligent. ”
“ A travers des exemples d'obstacles multiples observés dans une vingtaine de
villes du monde, le parcours explore en photos, films et graphiques, les
barrières qui méritent d'être levées et les idées à développer pour les effacer. Autant d'outils dont chacun
est invité à s'emparer pour agir à l'échelle de son quartier. Une expo d'intérêt public. ”
“ L’urbanisme ne saurait se réduire à une pensée, fut-elle multiforme. La
fabrication de la ville est d’abord faite de projets et de réalisations. Un cahier
réalisé avec l’Institut pour la ville en mouvement sous le beau titre de « Passages » vient opportunément
le rappeler. Cela aurait pu être le titre de ce 400ème numéro. […] Avec la démarche « Passages »,
l’IVM esquisse des espaces de transition pour la ville du 21e siècle. À travers cette exposition, c’est tout
un travail mené depuis deux ans dans le monde entier qui est mis en valeur. ”
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NOTICE D’ITINÉRANCE
L’exposition décrite dans ce document est celle présentée dans sa version originale à Paris, dans
un espace de 450 m² à la configuration particulière.
Pour son itinérance en Europe, l’exposition peut être transportée et remontée dans son intégralité.
Une partie des dispositifs sont soit démontables et remontables, soit voyagent assemblés ou
partiellement assemblés.
Certains supports graphiques devront être réimprimés. Certains panneaux peuvent être traduits et
imprimés si besoin. Certains mobiliers devront être loués.
Le lieu d’accueil prend en charge les frais de transport (aller), d’adaptation scénographique et de
traduction le cas échéant, de réimpression, de montage et démontage de l’exposition et de location de
matériel.
Le détail des éléments qui « voyagent » et ceux qui doivent être reproduits sont précisés dans le cahier
d’itinérance et la note scénographique (documents 2 et 3).
Pour son itinérance dans le reste du monde, le contenu de l’exposition circulera de façon
dématérialisée sur disque-dur, et l’exposition sera repensée et reconstruite au cas par cas pour chaque
lieu d’accueil, selon le cahier des charges de l’IVM.
L’exposition est traduisible et reproductible en totalité. On peut envisager qu’une partie spécifique au
pays d’accueil soit rajoutée.
Le lieu d’accueil prend en charge les frais de traduction, d’adaptation scénographique, de reproduction,
de montage et de location de matériel.
Le mobilier : tous les fichiers d’exécution/fabrication sont fournis avec le kit itinérance au format dwg
modifiable et/ou au format pdf imprimable.
Graphisme : tous les fichiers graphiques sont bilingues français/anglais. Ils sont fournis avec le kit
itinérance au format Indesign modifiable pour traduction éventuelle et/ou pdf directement réimprimable.
Les dispositifs audiovisuels : tous les fichiers audiovisuels sont fournis avec le kit itinérance au format
mpeg4 pour la diffusion via écran ou VP, et FLV pour le contenu des bornes.
La dimension des écrans de diffusion peut être modifiée sous réserve de fabriquer les caissons
d’encastrement adaptés aux nouveaux écrans et en fonction de la qualité de diffusion des formats
source.
Les dispositifs d’éclairage : une grande partie de l’éclairage a été louée pour l’exposition à Paris.
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RÈGLES DU JEU DE L’ITINÉRANCE
Adaptation de la scénographie
La scénographie de l’exposition et les dispositifs audiovisuels ont été conçus par l’Agence Farrell. Pour
chaque lieu d’itinérance, celle-ci pourra proposer un nouveau plan d'implantation du parcours de
l'exposition et les adaptations éventuelles à opérer selon la configuration des lieux, après une analyse
spatiale artistique et ergonomique des espaces d'accueil.
L’IVM fera l’interface entre le lieu d’accueil et l’Agence Farrell.
Règles du jeu de l’itinérance
L’IVM se réserve un droit de regard sur l’utilisation du contenu de l’exposition et l’adaptation des
éléments de scénographie aux lieux d’expositions, en lien avec l’agence Clémence Farrell ;
La disposition des différentes séquences peut être reconsidérée en fonction du lieu d’exposition mais
chaque séquence doit être présentée dans son intégralité ;
Les images utilisées dans l’exposition ne sont pas recadrées. Cela relève du respect des droits
d’auteurs ;
La communication locale sur l’exposition est réalisée en concertation avec l’IVM ;
Les crédits de l’exposition initiale sont respectés et complétés le cas échéant par les crédits locaux.
Un contrat est établi entre l’IVM et la structure d’accueil de l’exposition.
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À PROPOS DE L’IVM
Depuis sa création en 2000, l’Institut pour la ville en mouvement mobilise des experts en Asie, en
Amérique, en Europe et en Chine, engage des programmes de recherche inédits, des actions de terrain
innovantes, des projets mêlant les pays et les continents, des partenariats public-privé et des équipes
pluridisciplinaires pour contribuer à l’émergence de solutions innovantes en matière de mobilité
urbaine. Il associe des représentants du monde de l’entreprise à des chercheurs, mêle des universitaires à
des acteurs de la vie sociale, culturelle et associative mais aussi à des villes autour de projets réalisés en
commun.
Avec ses bureaux à Paris, à Buenos Aires, à Shanghai et à São Paulo, il développe des actions
internationales et des expérimentations sociales, organisationnelles, scientifiques, techniques et
culturelles autour de trois axes principaux :
le droit à la mobilité l’accès aux ressources urbaines pour les personnes aux prises avec des
difficultés spécifiques
l’amélioration des temps et des lieux de la mobilité : architecture de l’intermodalité et de la
multimodalité, information et services
la culture des mobilités et mobilité comme culture : échanges des savoirs et des expériences, et
nouvelles civilités dans la ville en mouvement
Les recherches-actions de l’IVM produisent régulièrement des expositions internationales ("La rue est à
nous... tous!" en 2007, "Villes rêvées, villes durables" en 2010) ainsi que des ouvrages de référence
publiés en plusieurs langues ("Bouge l’Architecture", 2003).
En fusionnant avec VEDECOM (l'Institut du véhicule décarboné, communiquant et de sa mobilité) au
1er janvier 2016, l'IVM confirme sa mission d'accompagnement des mutations technologiques en lien
avec les mutations sociales, anthropologiques et politiques de la ville contemporaine.
Cette nouvelle étape est une opportunité unique de rejoindre un centre de recherche en développement et
pleinement tourné vers les mobilités innovantes.
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L’ÉQUIPE
Commissaires de l’exposition :
Marcel Smets, directeur scientifique de l’exposition, président du conseil scientifique et d’orientation
de l’IVM, architecte et urbaniste, professeur émérite de l’Université de Louvain.
Pascal Amphoux, architecte et géographe à Lausanne, professeur à l’École Nationale Supérieure
d’Architecture de Nantes et chercheur au laboratoire CRESSON à Grenoble.
Mireille Apel-Muller, directrice de l’IVM.
Carles Llop, architecte, professeur à l’ETSAB (Barcelone) et directeur du Département d’Urbanisme et
d’Aménagement du Territoire de l’Université Polytechnique de Catalogne.
Jean-Pierre Orfeuil, ingénieur des mines et docteur en statistiques, professeur d’aménagement à
l’Institut d’urbanisme de Paris (IUP), Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne.
Didier Rebois, architecte, secrétaire général d’Europan Europe, enseignant à l’école d’architecture de
Paris-Val de Seine.
Maarten Van Acker, architecte et ingénieur, professeur d’urbanisme à la Faculté des Sciences du
Design à l’Université d’Anvers.
Chef de projet : Yuna Conan, assistée de Baptiste Chatenet
Scénographie, direction artistique : Agence Clémence Farrell / MuséoManiac
Iconographie : XYZèbre
Traductions : John Crisp, Linc Languages
Communication : Julien Barbier
CONTACTS
Julien Barbier
Chargé de communication - Presse
Institut pour la ville en mouvement
10 rue des Halles, 75001 Paris
Tel : 33 (0)1 53 40 95 60
Email :
[email protected]
www.ville-en-mouvement.com
Yuna Conan
Chef de projet "Passages"
Institut pour la ville en mouvement
10 rue des Halles, 75001 Paris
Tel : 33 (0)1 53 40 95 60
Email :
[email protected]
www.passages-ivm.com
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