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Louis-Antoine Brunot, né à Lyon, et ayant passé toute sa carrière à Paris, fut un élève notable de Tulou au conservatoire, et aurait donc été éduqué à la flûte à système simple qui fut enseignée au conservatoire jusqu'à la retraite de Tulou en 1856. Les archives du Conservatoire nous informent qu'il est né à Lyon en novembre 1820. Sa présence au Conservatoire est déjà signalée par la presse en 1835 (n° 33 de la Gazette Musicale, donc à l'âge de quatorze ans de Brunot), lorsqu'il partage l'accessit avec Constant (Forestier et Henrisset ainé remportent les premier et deuxième prix de flûte . En 1836, il fait partie de l'orchestre du Théâtre du Palais Royal. Le caractère générique de ce nom peut prêter à confusion : il s'agit en fait de la salle Montansier, située au 38 rue de Montpensier ; après la Révolution de juillet 1830, elle rouvre ses portes sous le nom de Théâtre du Palais Royal, où l'on joue des farces et des opérettes. Le théâtre existe toujours. En 1845, la seule année pour laquelle j'ai trouvé cette information, l'orchestre comprenait huit violons, deux altos, deux violoncelles (classés comme basses), deux contrebasses, une de clarinette, une de flûte et une de hautbois, et deux cors. Brunot est la seule flûte.
La réédition de l'ouvrage de Fanny Raoul « Opinion d'une femme sur les femmes » préfacé par la philosophe Geneviève Fraisse, a dernièrement remis cette femme d'origine bretonne, sur le devant de la scène pour ses écrits précurseurs sur le statut des femmes. J'ai voulu en savoir plus à son propos et mes recherches m'ont fait rencontrer son frère Jean-Marie, juriste et franc-maçon. Il est également reconnu par ses contemporains comme un musicien amateur d'excellent niveau.
Http Www Theses Fr, 2014
Voix et Images, 2013
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Cahiers de recherches médiévales et humanistes
Dans son ouvrage intitulé Les filles de saint Bruno au Moyen Âge. Les moniales cartusiennes et l'exemple de la chartreuse de Prémol (XII e-XV e siècle) , Quentin Rochet s'est efforcé « de décrire les différents aspects de l'histoire des moniales cartusiennes » en multipliant « les angles d'approche » 1 : leur apparition, les rapports avec l'ordre, l'histoire de leurs maisons, leur liturgie, leur mode de vie. Une fois n'est pas coutume, cette étude n'est pas celle d'un chercheur confirmé, mais d'un étudiant en seconde année de Master, étudiant à Lyon sous les auspices de Denyse Riche. S'inscrivant dans les linéaments de l'étude du genre, son mémoire a bénéficié du prix de l'association Mnémosyne pour le développement de l'histoire des femmes et du genre 2. Cette singularité explique quelques coquilles, omissions et hésitations que l'on attribuera à la jeunesse de l'auteur, dont la formation en archéologie apporte une vraie bonification 3. Ce travail succède à un premier mémoire, non publié, mais portant sur un sujet proche 4. Comme il le souligne, les recherches menées sur l'Ordre chartreux en soi sont renouvelées, mais l'historiographie tend à délaisser la place des femmes. Quentin Rochet a l'ambition de venir combler cette lacune en construisant une « histoire des moniales cartusiennes » 5 , dans la continuité des travaux de P. Paravy ou de D. Le Blévec, comme de ceux, en cours, de S. Excoffon, N. Nabert, et surtout M. Valdher. Au-delà, il espère mieux dessiner « la différenciation des sexes dans la société médiévale à partir d'un idéal monastique commun », et « montrer que l'on peut, par l'histoire du Quentin Rochet, Les filles de saint Bruno au Moyen Âge Cahiers de recherches médiévales et humanistes , Comptes-rendus
2020
En avant-propos à ce mémoire, je tiens à remercier toutes les personnes qui de près ou de loin, ont contribué à l'élaboration de ce travail. J'adresse mes vifs remerciements à madame Julie Bawin, directrice de mémoire, pour ses nombreux conseils et remarques pertinentes.
2011
Le 9 novembre 1834, un peu avant la tombée de la nuit, par un temps pluvieux, une foule assez nombreuse accompagnait à sa dernière demeure un Avignonnais qui jouissait alors d'une certaine réputation à Paris, et même au-delà des frontières françaises, et qui est à l'heure actuelle presque totalement tombé dans l'oubli. Cet homme se nommait Jean-Paul Douliot. À l'heure de sa mort prématurée, à l'âge de 46 ans, il était professeur d'architecture et de construction à l'École royale gratuite de dessin de Paris, l'ancêtre de l'actuelle École nationale supérieure des arts décoratifs. Mais au moment de son départ d'Avignon…
Université Paris Sorbonne (Paris IV), 2012
Sous la direction de :
JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact [email protected]. This content downloaded from 132.216.238.85 on Sun, 10 Jan 2016 08:47:31 UTC All use subject to JSTOR Terms and Conditions * Qu'il nous soit permis de remercier ici Monsieur Jd6rme de La Gorce (Paris, CNRS) pour avoir eu la gentillesse d'attirer notre attention sur l'inventaire apres d6ces de Laurent Gervais, Monsieur Patrick Mills (Londres, British Library) et notre collegue Monsieur Rene Depoutot (Nancy).
Revue Numismatique, 2018
Since the late 1960s many Carolingian, early Capetian and feudal coins down to the thirteenth century have been considered by numismatists as being forgeries made by a certain Louis Farigault, from Châtellerault. This first of two articles surveys what is known on the origins of this story, of Farigault's biography and his relations with the numismatic world between 1913 and 1924 and lists the debatable coins in order to discuss in the following article the authenticity or unreliability of the specimens that he put on the market. Résumé Depuis la fin des années 1960 de nombreuses monnaies carolingiennes, des premiers Capétiens ou frappées par des seigneurs féodaux jusqu'au XIIIe siècle sont rejetées par la communauté numismatique et sont considérées comme étant des faux fabriqués par un dénommé Louis Farigault, de Châtellerault. Ce premier article a pour but de faire le point sur la genèse de cette histoire, d'établir une biographie de Louis Farigault et les rapports qu'il a pu entretenir avec le monde numismatique entre 1913 et 1924 et de dresser une liste des monnaies incriminées afin de pouvoir se prononcer par la suite sur l'authenticité ou non des monnaies qu'il a mises sur le marché.
Auteur prolifique et parmi les plus célèbres de sa génération, en son temps, Dubut de Laforest est aujourd'hui peu connu, ou de manière très approximative. L'objet de la communication, donnée le 15 avril 2016 au séminaire doctoral Émile Zola de l'Université de Paris 3 - Sorbonne nouvelle, est d'apporter un certain nombre d'éclairages à partir de la simple question : qui fut Jean-Louis Dubut de Laforest ? Elle offre donc un regard panoramique sur son existence, ses publications et sa réception. Elle envisage également dans quelle mesure et de quelle manière son oeuvre apporte un définition originale à la notion de littérature populaire.
History & Memory, 2024
Uluslararası Tarih Araştırmaları Dergisi, 2020
Anthropologie der Emotionen, 2023
El Universal , 2023
Anuario Colombiano de Historia Social y de la Cultura, 2009
Palaeohispanica. Revista sobre lenguas y culturas de la Hispania Antigua
TRAMAS. Subjetividad y procesos sociales, 2010
en.scientificcommons.org
Journal of Near Eastern Studies, 1996
Chemical Physics Letters, 2002
Nature Genetics, 2012
Barataria. Revista Castellano-Manchega de Ciencias Sociales
Vestnik Sankt-Peterburgskogo universiteta. Meždunarodnye otnošeniâ, 2020
Journal of the American College of Surgeons, 2010
Journal of Experimental Botany, 2019
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2016
Indonesian EFL Journal, 2019