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Traduire, 2010
La situation d'un traducteur dans une organisation internationale (OI) présente, a priori, peu de points communs avec celle d'un traducteur en libéral. Sauf que tous deux exercent un même métier ! Dans les pages qui suivent, Jean-François Allain rend compte d'une expérience menée au Conseil de l'Europe pour transformer la révision, traditionnellement conçue-ou vécue-dans les OI comme une relation hiérarchique d'autorité et un exercice de « correction » parfois redouté, en un véritable travail de collaboration. Cette transformation des pratiques-et des mentalités-comporte une dimension psychologique (confiance en l'autre, confiance en soi), pédagogique (apprentissage mutuel) et professionnelle (gain de qualité) dont les enseignements sont transposables à d'autres situations et intéresseront notamment les traducteurs soucieux de sortir de leur « bulle ». Elle remplace avantageusement l'autorévision et, dans 80 % des cas, rend inutile la révision au sens traditionnel du terme.
2018
this paper discusses how to "think" the French ancient law of contracts, and questions the notion of anachronism.
et Syndicat des travailleuses et travailleurs de W Hôtel Montréal – CSN Numéro du certificat de dépôt pour référence au portail Corail : DQ-2014-8617
L'après-contrat - The post-contract, 2016
ésumé : Après le contrat, que reste-t-il ? La réponse la plus spontanée est qu'il ne reste rien, sinon un souvenir évanescent et le retour à la liberté. Cette réaction est directement nourrie du fait que la théorie générale des obligations ne présente pas les suites de l’extinction, du moins en tant que telles, cédant à une croyance selon laquelle l’extinction est le point final de l’histoire contractuelle, ne faisant place qu’au vide. Pourtant, l’étude du droit des contrats montre le contraire. En effet, le mythe répandu selon lequel la relation inter partes cesse nécessairement avec l’arrivée du terme extinctif semble pour le moins simpliste et éloigné de la réalité vécue par les contractants. L’extinction laisse subsister des intérêts économiques qui doivent être protégés. Il n’est d’ailleurs pas anodin de constater une prise de conscience des parties et des rédacteurs d’actes : un regain de prudence a commandé le développement des clauses postcontractuelles. Mais, même en l’absence de telles stipulations, une régulation existe, formant des après-contrats standardisés par le législateur, ou encadrés par le juge. Une véritable optimisation du droit de l’extinction est observable, dont le but est de maximiser les bénéfices apportés par l’exécution ou par l’effet extinctif, mais aussi de minimiser les risques succédant à l’extinction. Le contrat apparaît ainsi sous la forme d’une institution sociale devant prendre en compte le contexte dans lequel l’opération économique se développe, au service de la relation inter partes , laquelle transcende la seule durée de la convention. Soulignant la dimension relationnelle de la convention, l’après-contrat permet de remettre le contrat en perspective dans sa somme existentielle, c’est-à-dire en tant qu’expérience totalisant la période précontractuelle, l’exécution et le temps postcontractuel. Dans la compréhension de cette trilogie, le terme extinctif marque un repère qui tire son utilité d’une double nature : il clôt une durée (critère temporel) et signe un ordre de bouleversement dans le sort des obligations (critère substantiel). C’est pourquoi nous avons choisi de traiter le sujet autour de deux parties respectivement construites à partir de ces critères. La nature de l’après-contrat est mixte, enchevêtrée entre sphères contractuelle et extracontractuelle. Les deux axes principaux reposent donc sur deux aspects complémentaires : l’après-contrat est un temps hors du contrat, autant qu’il met en scène le contrat hors de sa durée. Abstract : Does anything remain after the end of a contract? The most natural answer would be to say that nothing remains, except an elusive memory and a coming back to freedom. This reaction is directly fed by the fact that the general theory of contracts does not explicitly take account of the extinction sequels. Generally, we easily believe that the relationship between economic partners and the duration of their contract stop at the same time. But this belief is built on a simplistic vision of the real economic world. When the contract duration is over, some economic interest must be preserved. That is why wise partners anticipate a follow-up to the extinguished contract, by stipulating postcontractual obligations. But, even if there is no anticipation, a regulation does exist with standard legal rules or judges’ framework. A real optimization of the contract law is expanding, to maximize the benefits arising from the contractual experience and minimize the risks led by the postcontractual freedom. That is how the Contract shows a specific aspect: it becomes a social institution which considers its economic context, serving the relational dimension of the partnership. Definitely, the relationship between the partners can last above the duration of the contractual instrument. By this way, the post-contract put into perspective the contract in an existential addition which is composed of three parts: the precontractual, the execution and the postcontractual time periods. In this configuration, the term is seen as a mark which encloses a duration (temporal criterion) and turns the contractual obligation (substantial criterion). Indeed, the post-contract nature is dual, contractual and extracontractual at the same time. That is why we will treat our subject from both and complementary criterions, saying that the post-contract is a time period out of the contract, whereas it shows concurrently the contract out of its own duration.
co-edited volume
CALL FOR PAPERS -- APPEL À CONTRIBUTIONS pour « Repenser la traduction », numéro de revue dirigé par Sacha Carlson (Université Charles, Prague), Angelo Vannini (Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis) et Caroline Zekri (Université Paris-Est Créteil). Ce numéro paraîtra en 2022 pour la Revue des Sciences Humaines.
2019
1. Qu’est-ce qu’un contrat ? Parler des conceptions fondamentales du contrat et des théories qui fondent le modèle contractuel peut d’emblée donner l’impression d’une réflexion juridique désincarnée et déconnectée de la réalité. Ce sentiment tient certainement au fait que s’intéresser aux fondements théoriques du contrat renvoie à cette question aussi simple que vertigineuse : « qu’estce qu’un contrat ? ». Il faut assurément se méfier de l’apparente naïveté de la question, d’autant que le concept de contrat est pensé par différents champs scientifiques autres que le droit. Le philosophe pensera au contrat social, le théologien au pacte ou au serment, le sociologue au contrat psychologique, l’économiste à la « transaction » ou au « marché », etc. Le juriste quant à lui pensera sans doute à un
2011
For a phenomenologist, the question that has to be asked about peace is not primarily whether it can be defined as the tranquillity of order, a law of nature or an infinite task, as it were according to Augustine, Hobbes and Kant. It is rather a question of its phenomenality : how does peace appear to us, how does it get visible? In his attempt to answer this question, Waldenfels privileges the event of a peace agreement and proposes a reconstruction of its genealogy.
Relations industrielles, 1983
Les auteurs cherchent ici à faire le point sur l'état de la recherche en évaluation du potentiel humain.
Six ans après avoir payé sa voyante, une cliente obtient en justice le remboursement de la somme versée avec intérêt légal, et anatocisme. Malgré les consultations téléphoniques à la moyenne de 6 fois par jour. Et le "dévouement écoeuré" de la voyante déclarant aux juges avoir épuisé ses flashes pour une lciente exigeante ayant "abusé de sa bonté". Commentaire de l'arrêt de la Cour d'Appel de Versailles du 18/10/2012 intéressant les applications du droit civil ainsi que les astrologues et les voyants sur la dimension de la relation client qu'ils négligent réguliérement. Relations client-droit civil-droit de la consommation- contrat de voyance-prestations paranormales-besoins surnaturels Car la déclaration de la cliente était insuffisante pour caractériser l'existence d'un contrat. Encore fallait-il que la prestataire du service le reconnaisse, et que les modes de preuve du code civil permettent de s'en assurer. En l'espèce un acte écrit. Sans que celui-ci sont établi en la forme d'un contrat, mais simplement un commencement de preuve de type reconnaissance de dette de ménage. Car selon les règles du droit civil recevoir une somme sans cause s'analyse soit comme une libéralité, ce que la cliente contestait, soit comme un enrichissement sans cause, obligeant la
NIŠ I VIZANTIJA XXIII, 2024
L'illuminista (a.XXIII, n.66), 2023
Complementary Therapies in Clinical Practice, 2012
The Affective Dimensions of Resilience: Rethinking its Role in Working with Students of Refugee Backgrounds. Emotions and Society., 2024
Transmission:The Journal of The Awareness Field,Vol. 2, 2011
The Oxford Handbook of Cognitive Sociology, 2019
Journal of Eastern African Studies, 2024
La Rella, 2021
Canadian Journal of Program Evaluation, 2018
International Journal of Molecular Sciences
Journal of Clinical and Medical Images, 2024
Revista médica de Chile, 2005
Revista Ibero-Americana de Estudos em Educação, 2020
Analytical and Bioanalytical Chemistry, 2011
ICC 2021 - IEEE International Conference on Communications