Papers by Pierre-Hippolyte Pénet
Le Pays lorrain, 2024
Depuis son inhumation dans le caveau royal de l’église Notre-Dame-de-Bonsecours à Nancy en 1766, ... more Depuis son inhumation dans le caveau royal de l’église Notre-Dame-de-Bonsecours à Nancy en 1766, la dépouille du roi Stanislas fut l’objet de nombreux rebondissements. Profanée durant la période révolutionnaire, elle fut de nouveau exhumée à deux reprises au XIXe siècle. Si elle se trouve toujours aujourd’hui en Lorraine, certains fragments auraient été emportés en Pologne.
La Revue des musées de France. Revue du Louvre, 2024
26 Dessins de Raphaël du musée de Lille : essai de lecture Cordélia HATTORI 38 L'horloge astronom... more 26 Dessins de Raphaël du musée de Lille : essai de lecture Cordélia HATTORI 38 L'horloge astronomique de Bernard Joyeux RDMF 2024-1 Le palais des ducs de Lorraine-Musée Lorrain conserve dans ses collections une étonnante horloge astronomique réalisée au milieu du xviii e siècle. Due au géomètre-arpenteur Bernard Joyeux (1698-1778) et très probablement offerte à la Société royale des sciences et belles-lettres de Nancy en 1752, elle témoigne parfaitement du goût de l'époque pour la science, les mécaniques et l'astronomie. En dépit de ses défauts d'ordre technique, elle constitue le chef-d'oeuvre d'un amateur éclairé désireux de produire un objet digne de susciter l'admiration de ses contemporains.
Le Pays lorrain, 2022
La famille Callot et les Cordeliers Terrassé par une maladie d'estomac, Jacques Callot mourut dan... more La famille Callot et les Cordeliers Terrassé par une maladie d'estomac, Jacques Callot mourut dans sa maison nancéienne de la Rue Neuve, actuelle place de la Carrière, le 24 mars 1635, à l'âge de 43 ans. Quelques jours auparavant, le matin du 15 mars, il avait pu dicter ses dernières volontés au sujet de sa sépulture au tabellion royal Dominique Wuillaume : « J'eslis ma sépulture au Couvent des Pères de l'Observance S t François, vulgairement dicts des Cordelliers, de ceste ville de Nancy, et veux estre inhumé au devant de l'Autel qui est au cloistre dudict Couvent et sur lequel on repose le S t Sacrement pendant les processions Ce numéro du Pays Lorrain paraît au même moment que l'ouvrage sur l'église des Cordeliers édité par la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée lorrain. La publication du livre sur l'église des Cordeliers, destiné à faire référence, nous donne l'occasion de revenir sur l'histoire d'un des monuments les plus célèbres du lieu : le monument à Jacques Callot. Comme dans l'ouvrage sur les Cordeliers, Pierre-Hippolyte Pénet étudie le monument pour la période d'Ancien Régime, tandis qu'Étienne Martin l'envisage durant l'époque contemporaine. n Jacques Callot, La Carrière, 1628, eau-forte, Nancy, palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain. La maison du graveur se situait au premier plan à gauche.
Le Pays lorrain, 2021
Vaxelaire pour leurs conseils et leur aide précieuse dans la rédaction de cet article. 2. [Voyage... more Vaxelaire pour leurs conseils et leur aide précieuse dans la rédaction de cet article. 2. [Voyageur bourguignon], « Lettre cinquième écrite de Lunéville à Monsieur le chevalier de ... »,
Le Pays lorrain, 2021
De l'épée à la robe : l'ascension de la famille Labbé au service des ducs de Lorraine Originaire ... more De l'épée à la robe : l'ascension de la famille Labbé au service des ducs de Lorraine Originaire de Bohème, la famille Labbé s'implanta en Lorraine au xvi e siècle lorsque Jean Labbé vint se mettre au service du duc Charles III. Capitaine de la compagnie de la garnison de Nancy, il obtint le brevet de lieutenant du gouvernement de Nancy en 1600 puis prit un titre de noblesse qui lui fut reconnu par le duc Henri II en 1609 2. La famille adopta comme armes : « De gueules à deux bourdons de pélerin d'or posés en sautoir, parti de gueules à la croix ancrée d'argent, écartelé d'azur à la bande d'or chargée d'une rose de gueules et côtoyée de deux autres roses d'argent et pour cimier un lion naissant d'or tenant une croix de l'écu » 3. Son fils François Henri Labbé, seigneur de la Rouvroy, fut nommé prévôt de Nancy en 1618, charge qu'il conserva jusqu'en 1637 4. C'est sans doute son propre fils Claude François Labbé qui devint à son tour prévôt de 1645 à 1661 5. Le 22 avril 1646, Claude François épousa Marguerite Diez, dont la mère, née Nicole Sallet, était la soeur de Simon II Sallet, trésorier général de Lorraine 6 , et la fille de François Sallet et Jeanne Lallement dont les priants sont très probablement aujourd'hui conservés au palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain 7. Par ce mariage, les Labbé s'unirent à la célèbre famille de négociants néocastriens proche du duc Charles IV. Devenu président de la Cour des monnaies de Paris le 1 er avril 1658 8 , mais aussi conseiller d'État et maître des requêtes 9 , Claude François Labbé fut chargé, cette même année, par la Cour souveraine de Lorraine d'aller solliciter la libération du duc Charles IV 10. Arrêté le 25 janvier 1654 à Bruxelles dans le Le 6 juin dernier, l'opération « Le musée sort de son palais », co-organisée par le Comité d'histoire régionale, le palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain et l'association « Vrécourt. Culture. Patrimoine », a permis de mettre en lumière le riche patrimoine sculpté de la commune de Vrécourt (Vosges), ancienne possession de Charles François Labbé de Beauffremont (1663-1740), président de la Chambre des comptes de Lorraine sous le règne du duc Léopold 1. Les vestiges sculptés du château, aujourd'hui disparu, les rares témoignages de la forge du xviii e siècle et l'exceptionnel monument funéraire du président Labbé et de son épouse témoignent encore aujourd'hui de l'essor de la commune dans les premières années du siècle des Lumières.
La Revue des musées de France. Revue du Louvre, 2022
Un chef-d'oeuvre retrouvé : la coupe avec Vénus et l'Amour de Giovanni Ambrogio Miseroni Philippe... more Un chef-d'oeuvre retrouvé : la coupe avec Vénus et l'Amour de Giovanni Ambrogio Miseroni Philippe MALGOUYRES 48 Les cartes de Chartreuse
Le Pays lorrain, 2023
Exerçant la profession de marchand-confiseur, Henry Pierre Masson obtient en 1753 la concession d... more Exerçant la profession de marchand-confiseur, Henry Pierre Masson obtient en 1753 la concession d'une maison située au sein des basses-faces de la nouvelle place Royale édifiée par Stanislas Leszczynski, aux numéros 5, 6 et 7, à l'angle de la place et de la rue du Passage. La liste des concessions de terrains accordés par le roi de Pologne comprend, en date du 18 août 1753 : « Le Sieur Masson tant pour lui que comme cessionnaire des nommés Choumy et Breton. Les n os 5, 6 et 7 faisant angle sur la Place royale, et en retour sur la nouvelle rue servant de passage pour aller de ladite place à la Porte royale, de la consistance de 37 pieds sur la rue nouvelle, de 6 toises 2 pieds de profondeur, tant du côté du n° 4, que de celui du n° 8 et pour aisances et dépendances desdits n° 5, 6 et 7, un terrain séparé et irrégulier dans le fossé de 18 toises 4 pieds de longueur du côté du n° 1, 10 toises en commençant de la face occidentale de la place depuis les grandes grilles attenant au pavillon de la Comédie jusqu'à la rencontre du bastillon, où sa largeur est de 37 pieds 9 pouces et diminue de 8 pieds et de 12 pieds 7 toises plus loin 13. »
In Situ. Revue des patrimoines, 2019
Le Pays lorrain, 2019
L’Institution du Rosaire, chef-d’oeuvre des
collections du palais des ducs de Lorraine – Musée
lo... more L’Institution du Rosaire, chef-d’oeuvre des
collections du palais des ducs de Lorraine – Musée
lorrain, demeurait à ce jour le seul tableau
identifié du peintre Jean de Wayembourg. L’étude
de la carrière de l’artiste à travers les comptes
de la maison ducale de Lorraine a permis
l’identification récente d’un nombre important
de nouveaux portraits de princes et princesses
de Lorraine, conservés dans d’autres musées
européens, qui viennent enrichir l’oeuvre d’un
portraitiste encore très méconnu, actif à Nancy
de 1592 à 1603.
Château de Versailles. De l'Ancien régime à nos jours, 2019
Le Pays lorrain, 2018
Mousson réalisées d'après des plans anciens, Henri Charaux se trompe en représentant la chapelle ... more Mousson réalisées d'après des plans anciens, Henri Charaux se trompe en représentant la chapelle de la Conception faisant saillie contre le mur sud, en pendant de la sacristie. Emplacement du couvent des clarisses de Pont-à-Mousson. Henri Charaux, Plan de Pont àMousson,aquarelle, 1908. Musée Au fil du papier de Pont-à-Mousson. ©Archives départementales de Meurthe-et-Moselle Anonyme, Plan figurant l'église du couvent des clarisses de Pont-à-Mousson,plume et encre. ©Archives départementales de Meurthe-et-Moselle. Photo Pierre-Hippolyte Pénet 42. Mais il ac ité Jean Goujon au lieu de Pilon.
Péristyles, revue de l'Association des Amis du Musée des Beaux-Arts de Nancy, 2017
Le Pays lorrain, 2017
Vue de la cheminée du château d'Oiron.
Revue des musées de France, 2016
L'art de la tapisserie - Tournai - Enghien - Audenarde, éditions Wapica, 2017
Les Cahiers de La Mothe, 2017
Uploads
Papers by Pierre-Hippolyte Pénet
collections du palais des ducs de Lorraine – Musée
lorrain, demeurait à ce jour le seul tableau
identifié du peintre Jean de Wayembourg. L’étude
de la carrière de l’artiste à travers les comptes
de la maison ducale de Lorraine a permis
l’identification récente d’un nombre important
de nouveaux portraits de princes et princesses
de Lorraine, conservés dans d’autres musées
européens, qui viennent enrichir l’oeuvre d’un
portraitiste encore très méconnu, actif à Nancy
de 1592 à 1603.
collections du palais des ducs de Lorraine – Musée
lorrain, demeurait à ce jour le seul tableau
identifié du peintre Jean de Wayembourg. L’étude
de la carrière de l’artiste à travers les comptes
de la maison ducale de Lorraine a permis
l’identification récente d’un nombre important
de nouveaux portraits de princes et princesses
de Lorraine, conservés dans d’autres musées
européens, qui viennent enrichir l’oeuvre d’un
portraitiste encore très méconnu, actif à Nancy
de 1592 à 1603.
- Essai "Du Grand Théâtre de Versailles au théâtre Montansier (1807-1961)"
- Encart "Un public difficile à satisfaire"
- Encart "La réglementation du théâtre"
- Encart "La réouverture du théâtre en 1937"
- Encart " Le Montansier fait son cinéma"