Background: Medical management of GERD mainly uses proton pump inhibitors. Alginates also have pr... more Background: Medical management of GERD mainly uses proton pump inhibitors. Alginates also have proven efficacy. The aim of this trial was to compare short-term efficacy of an alginate (Gaviscon®, 4 × 10 mL/day) and omeprazole (20 mg/day) on GERD symptoms in general practice. Methods: A 14-day multicentre randomised double-blind double-dummy non-inferiority trial compared Gaviscon® (4 × 10 mL/day) and omeprazole (20 mg/day) in patients with 2-6 day heartburn episodes weekly without alarm signals. The primary outcome was the mean time to onset of the first 24-h heartburn-free period after initial dosing. Secondary outcomes were the proportion of patients without heartburn by D7, pain relief by D7, and reduction in pain intensity by D7 and D14. Results: 278 patients were recruited; 120 were included in the Gaviscon® group and 121 in the omeprazole group for the per protocol non-inferiority analysis. The mean time to onset of the first 24-h heartburn-free period after initial dosing was 2.0 (± 2.2) days for Gaviscon® and 2.0 (± 2.3) days for omeprazole (p = 0.93); mean intergroup difference was 0.01 ± 1.55 days (95% CI =-0.41 to 0.43): i.e., less than the lower limit of the 95% CI of-0.5 days predetermined to demonstrate non-inferiority. The mean number of heartburn-free days by D7 was significantly greater in the omeprazole group: 3.7 ± 2.3 days vs. 3.1 ± 2.1 (p = 0.02). On D7, overall quality of pain relief was slightly in favour of omeprazole (p = 0.049). There was no significant difference in the reduction in pain intensity between groups by D7 (p = 0.11) or D14 (p = 0.08). Tolerance and safety were good and comparable in both groups. Conclusion: Gaviscon® was non-inferior to omeprazole in achieving a 24-h heartburn-free period in moderate episodic heartburn, and is a relevant effective alternative treatment in moderate GERD in primary care. Trial registration: ISRCTN62203233.
Please cite this article in press as: Rehman MB, et al. Efficacy and safety of DPP-4 inhibitors i... more Please cite this article in press as: Rehman MB, et al. Efficacy and safety of DPP-4 inhibitors in patients with type 2 diabetes: Meta-analysis of placebo-controlled randomized clinical trials. Diabetes Metab (2016),
A prospective observational study of a cohort of outpatients with an acute medical event and redu... more A prospective observational study of a cohort of outpatients with an acute medical event and reduced mobility: incidence of symptomatic thromboembolism and description of thromboprophylaxis practices.
Resume Introduction L’etude Epigram a ete realisee en 2012 a la demande de la Haute Autorite de s... more Resume Introduction L’etude Epigram a ete realisee en 2012 a la demande de la Haute Autorite de sante afin d’evaluer la prescription, l’utilisation et la tolerance de Grazax® indique dans la prise en charge de la rhinoconjonctivite allergique (RCA) aux pollens de graminees dans les conditions reelles d’utilisation. Methode Etude pharmacoepidemiologique observationnelle, prospective, chez des patients (enfants et adultes) inclus lors de la 1re prescription de Grazax® et suivis jusqu’en fin de saison pollinique. Resultats Quatre-vingt-sept investigateurs (49 allergologues exclusifs et 38 medecins d’autres specialites) ont inclus 504 patients, de genre masculin pour 56,5 % (n = 285), âges en moyenne de 27 ans (± 14,4) dont 35 % avaient moins de 18 ans. 454 patients (90 %) ont eu un suivi complet. Cinq cents trois patients (99,8 %) avaient une RCA severe, genante (99,6 %), perturbant le sommeil (54 %), les activites personnelles (69 %) ou professionnelles (60 %), durant plus de 4 semaines (94 %). La RCA etait confirmee (Prick test ou dosage des IgE) dans 98 % des cas (n = 484). Un asthme etait associe chez 168 patients (33 %), et controle pour 89 % d’entre eux. Grazax® a ete prescrit 80 jours en moyenne (± 29,3) avant la date prevue d’exposition aux pollens ; 11 % des patients (n = 57) ont commence plus tardivement ( Conclusion Epigram temoigne d’un bon respect de l’AMM de Grazax® : qualification des prescripteurs, selection des patients (RCA severe, symptomes genants, asthme controle) et surveillance de la 1re prise. Le delai moyen entre le debut de traitement et la pollinisation etait globalement conforme. Les ecarts peuvent s’expliquer par des consultations tardives de patients genes. La tolerance au traitement a ete satisfaisante en vie reelle.
et al. Randomised, doubleblind, placebo-controlled trial of glycopyrronium in children and adoles... more et al. Randomised, doubleblind, placebo-controlled trial of glycopyrronium in children and adolescents with severe sialorrhoea and neurodisabilities: protocol of the SALIVA trial.
Alors que l’interet d’une thromboprophylaxie medicamenteuse est bien etabli et admis en contexte ... more Alors que l’interet d’une thromboprophylaxie medicamenteuse est bien etabli et admis en contexte chirurgical, celle-ci est sous-utilisee chez les patients atteints d’une affection medicale aigue. Les complications thromboemboliques veineuses sont pourtant plus frequentes en milieu medical. Les raisons principales de cette sous-utilisation sont probablement liees au faible nombre d’etudes de thromboprophylaxie conduites chez les patients medicaux et a la grande heterogeneite des patients dont le risque thromboembolique veineux depend non seulement de la pathologie aigue en cours mais egalement de la presence d’un ou plusieurs facteurs de risque. Recemment, trois grandes etudes, MEDENOX, PREVENT et ARTEMIS ont montre le benefice indiscutable d’une prophylaxie medicamenteuse dans des groupes bien definis de patients medicaux, tels que ceux atteints d’une insuffisance cardiaque congestive ou respiratoire aigue, d’une infection aigue severe ou d’une pathologie inflammatoire en poussee. Ces resultats soutiennent les recommandations internationales actuelles en faveur d’une utilisation systematique d’une thromboprophylaxie en milieu medical. Pour les autres patients medicaux, ne repondant pas aux criteres d’inclusion de ces trois etudes, les donnees sont moins claires. La mise au point d’outils simples et fiables d’aide a la decision faciliterait une meilleure stratification du risque thromboembolique veineux de ces patients afin d’ameliorer leur prise en charge.
Various forms of hypertension and anxiety are two very frequent reasons for consultations in prim... more Various forms of hypertension and anxiety are two very frequent reasons for consultations in primary care. Prevalence of comorbidity HTA/anxiety is unknown in France. Practically, general practitioners meet sometime the association of both typical pathologies. More often, they wonder about the interpretation of high blood pressure figures with an anxious patient, and inversely about the responsibility of the hypertension (with the suite of phantasms) with the apparition of anxious symptoms. Both these last clinical situations are the more frequent in general practice. The global clinical approach, the listening, the time use as help for diagnosis, the use of personal patient's characteristics and his/her environment more often allow to distinguish and to propose an individual therapeutic strategy.
Objectif L’etude a ete realisee pour connaitre les modalites d’utilisation de l’insuline glargine... more Objectif L’etude a ete realisee pour connaitre les modalites d’utilisation de l’insuline glargine, le niveau de controle glycemique et l’incidence des hypoglycemies, chez des patients traites par insuline glargine en conditions de pratique reelle. Patients et methodes Etude observationnelle nationale, prospective, realisee sur un echantillon representatif de medecins generalistes, pediatres et diabetologues. Des patients diabetiques de type 1ou 2 (DT1 ou DT2) traites par insuline glargine depuis au moins 1 mois, ont ete inclus et suivis pendant un an. Resultats L’âge moyen des patients etait de 42 ans pour les 609 DT1 et de 67 ans pour les 1097 DT2 (30 % ≥ 75 ans) ; l’anciennete moyenne du diabete etait respectivement de 16 et 14 ans. Le jour de l’inclusion, les patients etaient traites par insuline glargine depuis en moyenne au moins 6 mois, en 1 injection/jour (de 98,7 a 99 % des cas). Avant l’initiation de l’insuline glargine, 32,3 % des DT1 etaient sous basal-bolus (BB). Pour les DT2, 43 % etaient deja traites par insuline (DT2-IT) (8,4 % etaient sous BB ; 63,6 % recevaient au moins un antidiabetique oral [ADO] par jour). Parmi les 624 patients insulino-naifs (DT2-IN), 97,8 % recevaient au moins un ADO. Apres une moyenne de 6 mois de traitement par insuline glargine, le schema BB etait utilise par 84,7 % des DT1, 38,8 % des DT2-IT et 5,1 % des DT2-IN. La dose moyenne d’insuline glargine etait de 24,2 U/j chez les DT1, 31,6 U/j chez les DT2-IT et 23,6 U/j chez les DT2-IN. Entre 6 et 18 mois de traitement, cette dose est restee stable pour les DT1, etait de 35 U/j pour les DT2-IT et 29,7 U/j pour les DT2-IN. La proportion de sujets ayant une HbA1c Conclusion Les resultats de cette etude, menee en conditions de pratique reelle, sont en accord avec les resultats observes dans les etudes de phase III, et apportent un complement solide a ces etudes d’evaluation du rapport benefice/risque.
Introduction Il existe peu de donnees sur la prise en charge des sujets diabetiques âges. Cette e... more Introduction Il existe peu de donnees sur la prise en charge des sujets diabetiques âges. Cette etude a pour objectif de decrire le controle glycemique des patients traites par insuline glargine et l’incidence des hypoglycemies en conditions reelles. Patients et methodes Etude nationale, observationnelle, prospective, realisee sur un echantillon representatif de medecins generalistes et diabetologues. Des patients diabetiques âges de 75 ans ou plus traites par insuline glargine depuis au moins 1 mois ont ete inclus et suivis pendant 1 an. Resultats Dans le groupe de patients DT2 inclus (n = 1097), 30 % avaient entre 75 et 96 ans (n = 325) et etaient traites par insuline avant l’initiation de l’insuline glargine dans 39 % des cas (DT2-IT). 61 % etaient insulino-naifs (DT2-IN). L’anciennete moyenne de leur diabete etait de 15,6 ans. Entre l’initiation de l’insuline glargine et la fin du suivi, l’HbA1c a diminue de 8,2 % a 7,3 % chez les DT2-IT et la proportion de sujets ayant une HbA1c Conclusion Chez les patients DT2 âges de 75 ans et plus, la prescription de l’insuline glargine repond aux recommandations de bon usage et d’utilisation. Les resultats de cette etude apportent des informations supplementaires et insuffisamment connues a ce jour sur la prise en charge de cette population.
Combined hypertension therapy ensures the effectiveness of treatment and improves hemodynamic par... more Combined hypertension therapy ensures the effectiveness of treatment and improves hemodynamic parameters of cardiac function. The aim of the study was evaluation of hypotensive therapeutic regimens in patients [pts] with paroxysmal/persistent forms of atrial fibrillation and arterial hypertension. Methods: Prospective study was conducted between Jan 2005 and Sep 2008 in a group of 154 consecutive pts (87; 55.1% men, mean age 65.8 þ/-9.6 years) with paroxysmal (79, 51,3%) or persistent (75, 48.7%) recurrent episodes of AF. Mean duration of arrhythmia was 4.0 yrs Q1:2 Q3:7. The patients had normal systolic function of left ventricle (EF>55%). The antiarrhythmic drugs were ineffective in prevention of AF episodes. In all pts precise control of blood pressure was implemented: pts were treated with beta-blockers: 100%; ACE-I/ARB: 64%, spironolactone: 46%, thiazide diuretics 34%, loop-diuretics: 7%, calcium antagonists: 26.5% and alpha-blockers: 14.5%. No other antiarrhythmic drugs were used. Results: Arterial hypertension, grade I and II, was diagnosed in 116, 75%, pts; 74% men and 76% women, mean age 65.5 þ/-9.7years. Blood pressure values were similar in normotensive and hypertensive pts after completing the study: 123þ/-9 / 79þ/-4 vs 124þ/-10 / 80þ/-5 mmHg, ns. One hypotensive drug was used in 6 pts, 2 drugs: in 39 pts, 3: in 37 pts, 4 in 27 pts, 5 in 7 pts. Patients treated with >¼3 drugs had more AF episodes in 3 months prior to evaluation: 4.7þ/-0.8 vs 2.9þ/-0.4, p ¼ 0.0444. But during 1-year follow-up, observed in 3-months periods, they had significant reduction of AF episodes in every 3-months period (p ¼ 0.0001). Pts treated with 1-2 drugs had significant reduction after 3 months (p ¼ 0.0029), 6 months (0.04) and 12 months (0.0012), but not after 9 months.
OBJECTIVE To explore the conceptions that family medicine residents from 3 countries have of the ... more OBJECTIVE To explore the conceptions that family medicine residents from 3 countries have of the roles and responsibilities of family physicians in order to gain a better understanding of challenges that might transcend the specific contexts of different health care systems. DESIGN Qualitative study using focus groups. SETTING Resident training programs in France, Belgium, and Canada. PARTICIPANTS A total of 57 residents in the last year of training. METHOD Ten focus groups were conducted in 3 countries: 2 in France, 3 in Belgium, and 5 in Canada. All focus groups were held in different cities, with residents registered in different universities in France and Canada and with residents from the same university in Belgium. The study was informed by Abbott's conceptual framework on the system of professions. Each 90-minute focus group was moderated by the same researchers. The transcripts were analyzed according to the immersion-crystallization method. MAIN FINDINGS Respondents shared common conceptions of the family physician's role: continuity of care and patient advocacy were seen as the foundations of the discipline. Respondents also shared a sense of discomfort about how accessible they were expected to be for patients and about the scope of family practice. They saw family medicine as flexible and reported that they strove for balance between their professional and personal life goals. All respondents strongly believed that their profession was undervalued by the medical schools where they trained. This article has been peer reviewed.
L'étude Avandia ® , tolérance à grande échelle (Avantage) était une étude observationnelle réalis... more L'étude Avandia ® , tolérance à grande échelle (Avantage) était une étude observationnelle réalisée dans une large cohorte de patients diabétiques de type 2 (DT2) suivis pendant 12 mois. Son objectif était d'évaluer dans des conditions réelles d'utilisation, la tolérance de la rosiglitazone, un antidiabétique oral appartenant à la classe des thiazolidinediones (ou « glitazones »), mise à la disposition des médecins français en mai 2002. L'étude s'est déroulée entre décembre 2002 et janvier 2005. Pour être éligibles, les DT2 inclus, consultant durant la période d'inclusion devaient débuter un traitement par la rosiglitazone (de huit jours avant à 15 jours après), dans le respect des indications thérapeutiques en vigueur lors de leur inclusion. Les caractéristiques des patients, les données du suivi clinique et biologique et les effets indésirables (EI) ont été recueillies. Parmi les 3845 DT2 inclus de janvier à novembre 2003, 3580 ont constitué la population analysée (prise documentée d'au moins une dose de rosiglitazone). À l'inclusion, l'âge moyen (± S.D.) était de 62 ± 11 ans, 52 % étaient des hommes, l'IMC moyen était de 29,9 ± 5,3 kg/m 2 , le taux moyen d'HbA 1c était de 8,5 ± 1,4 %. Les traitements antidiabétiques en cours consistaient principalement en une monothérapie (46 % des patients, metformine ou sulfonylurée) ou en une bithérapie (47 %). Les raisons principales pour la prescription de la rosiglitazone étaient un diabète mal équilibré pour 91 % des patients, associé ou non à une intolérance au traitement antidiabétique oral en cours (29 % des patients) et/ou à une contre-indication à la metformine (4 % des patients). Deux mille quatre cent vingt-quatre patients (71 %) ont été suivis durant les 12 mois prévus. Au total, 514 DT2 (14 %) ont présenté au moins un EI, considéré par le médecin comme lié au traitement chez 377 patients (11 %). Deux cent quinze patients ont arrêté l'étude pour EI. Ont été notifiés chez plus de 1 % des patients : prise de poids (n = 100 patients ; 3 % de la cohorte), nausées (n = 57 ; 2 %), ଝ Pour citer cet article : Slama G, et al., Suivi sur un an dans les conditions de pratique courante d'une cohorte de patients diabétiques de type 2 traités par rosiglitazone : l'étude Avantage, Annales d'Endocrinologie (2007),
Canadian Medical Association Journal, Mar 22, 2010
Causes include changes in curvature of the spine, narrowing of intervertebral discs and vertebral... more Causes include changes in curvature of the spine, narrowing of intervertebral discs and vertebral fractures. Height loss is associated with back pain and thoracic hyperkyphosis. 3,4 Two-thirds of adults have back pain at any time. Controversies exist about the need for radiographs of the spine: Does the benefit of detecting treatable disorders of the spine such as vertebral fracture outweigh the harm of unnecessary radiographs? Loss of height is usually recorded as one of the clinical signs to help identify postmenopausal women with vertebral fractures. 5 The use of this parameter to decide whether radiography is needed depends on the threshold for height loss associated with a strong risk of vertebral fracture. The thresholds useful in clinical practice to detect prevalent vertebral fracture range from 3 cm to 6 cm, 6−9 with the risk of prevalent fracture increasing with the magnitude of the height loss. Thus, the accuracy of the information on height is relevant for clinical practice. We conducted this study to compare reported and measured loss of height in a large population of women more than 60 years old in a primary care setting and to analyze the determinants of this height loss. Methods Study design We conducted a multicentred observational study between December 2007 and May 2008 at primary care practices in France. We randomly selected general practitioners from a national representative database. To be eligible, physicians had to have a large practice that included women more than 60 years old. We estimated that the sample would need to include at least 3500 general practitioners. We selected 3621 general practitioners and contacted them by phone; 1779 agreed to participate (Figure 1). The general practitioners were asked to recruit the first five female patients who were more than 60 years of age, regardless of the reason for the consultation. During the visit, the physicians completed a questionnaire with the following information: patient's age, weight, start of menopause, history of fracture after age 45 years, history of spinal disease such as osteoarthritis, history of back pain, past or current intake or corticosteroids for
Il s’agit d’une enquete descriptive transversale par questionnaire via Internet realisee de juin ... more Il s’agit d’une enquete descriptive transversale par questionnaire via Internet realisee de juin a octobre 2015 pour evaluer les sources d’informations utilisees par les internes de medecine generale (IMG) et les maitres de stage universitaire en medecine generale (MSU) pour alimenter leurs connaissances sur l’efficacite de sept medicaments utilises couramment en soins premiers.La population etudiee etait les MSU et les IMG de 4 universites (Poitiers, Lyon, Nantes et Strasbourg). Les questions portaient entre autres sur les sources utilisees pour repondre a des questions sur l’efficacite des medicaments.Le taux de reponse a ete de 16 % et 476 questionnaires ont ete analyses (305 IMG et 171 MSU). Les recours aux sources d’informations primaires ont ete cites dans 6 % (essais cliniques randomises) a 8 % (meta-analyses d’ECR) des cas. Les 3 sources ou ressources principales citees etaient les recommandations HAS (41 %), les confreres specialistes ou l’experience personnelle (43 % et 39 % des cas respectivement). Il y avait peu de difference entre les internes et les maitres de stage.Ces resultats montrent qu’en majorite les IMG et les MSU ne lisent pas les sources d’information primaires pour alimenter leurs connaissances sur l’efficacite des medicaments. La mise en place de l’enseignement de la lecture critique d’articles dans la formation initiale ne semble pas avoir influence le recours a ces sources d’information par les internes. Il est donc necessaire que des sources d’informations secondaires de qualite soient accessibles pour que la pratique basee sur l’evidence based medicine (EBM) puisse etre une realite.
La connaissance de l’efficacite des medicaments prescrits avec ses quatre composantes : preuve, c... more La connaissance de l’efficacite des medicaments prescrits avec ses quatre composantes : preuve, critere de jugement, quantite d’effet et population cible, est indispensable a une information objective du patient. Elle est une condition necessaire au processus de decision medicale partagee.L’objectif de cette etude etait d’evaluer les connaissances des internes de medecine generale (IMG) et des maitres de stages universitaires en medecine generale sur l’efficacite sept medicaments utilises couramment, et d’etudier les sources d’informations mobilisees dans ce domaine.Les resultats suggerent un manque de connaissance des internes et maitres de stages universitaires en medecine generale sur la therapeutique et plus specifiquement la pharmacologie clinique. Ils questionnent sur la pratique reelle de la medecine fondee sur les preuves (EBM) necessaire a l’information eclairee du patient et a la decision medicale partagee.
Alors que la consommation excessive d’alcool est frequente en milieu professionnel, il y a peu d’... more Alors que la consommation excessive d’alcool est frequente en milieu professionnel, il y a peu d’etudes solides sur son eventuel lien avec la duree de travail. Un article paru dans le BMJ dresse une revue systematique et fait une meta-analyse des etudes publiees et des donnees individuelles d’etudes non publiees.
Background: Medical management of GERD mainly uses proton pump inhibitors. Alginates also have pr... more Background: Medical management of GERD mainly uses proton pump inhibitors. Alginates also have proven efficacy. The aim of this trial was to compare short-term efficacy of an alginate (Gaviscon®, 4 × 10 mL/day) and omeprazole (20 mg/day) on GERD symptoms in general practice. Methods: A 14-day multicentre randomised double-blind double-dummy non-inferiority trial compared Gaviscon® (4 × 10 mL/day) and omeprazole (20 mg/day) in patients with 2-6 day heartburn episodes weekly without alarm signals. The primary outcome was the mean time to onset of the first 24-h heartburn-free period after initial dosing. Secondary outcomes were the proportion of patients without heartburn by D7, pain relief by D7, and reduction in pain intensity by D7 and D14. Results: 278 patients were recruited; 120 were included in the Gaviscon® group and 121 in the omeprazole group for the per protocol non-inferiority analysis. The mean time to onset of the first 24-h heartburn-free period after initial dosing was 2.0 (± 2.2) days for Gaviscon® and 2.0 (± 2.3) days for omeprazole (p = 0.93); mean intergroup difference was 0.01 ± 1.55 days (95% CI =-0.41 to 0.43): i.e., less than the lower limit of the 95% CI of-0.5 days predetermined to demonstrate non-inferiority. The mean number of heartburn-free days by D7 was significantly greater in the omeprazole group: 3.7 ± 2.3 days vs. 3.1 ± 2.1 (p = 0.02). On D7, overall quality of pain relief was slightly in favour of omeprazole (p = 0.049). There was no significant difference in the reduction in pain intensity between groups by D7 (p = 0.11) or D14 (p = 0.08). Tolerance and safety were good and comparable in both groups. Conclusion: Gaviscon® was non-inferior to omeprazole in achieving a 24-h heartburn-free period in moderate episodic heartburn, and is a relevant effective alternative treatment in moderate GERD in primary care. Trial registration: ISRCTN62203233.
Please cite this article in press as: Rehman MB, et al. Efficacy and safety of DPP-4 inhibitors i... more Please cite this article in press as: Rehman MB, et al. Efficacy and safety of DPP-4 inhibitors in patients with type 2 diabetes: Meta-analysis of placebo-controlled randomized clinical trials. Diabetes Metab (2016),
A prospective observational study of a cohort of outpatients with an acute medical event and redu... more A prospective observational study of a cohort of outpatients with an acute medical event and reduced mobility: incidence of symptomatic thromboembolism and description of thromboprophylaxis practices.
Resume Introduction L’etude Epigram a ete realisee en 2012 a la demande de la Haute Autorite de s... more Resume Introduction L’etude Epigram a ete realisee en 2012 a la demande de la Haute Autorite de sante afin d’evaluer la prescription, l’utilisation et la tolerance de Grazax® indique dans la prise en charge de la rhinoconjonctivite allergique (RCA) aux pollens de graminees dans les conditions reelles d’utilisation. Methode Etude pharmacoepidemiologique observationnelle, prospective, chez des patients (enfants et adultes) inclus lors de la 1re prescription de Grazax® et suivis jusqu’en fin de saison pollinique. Resultats Quatre-vingt-sept investigateurs (49 allergologues exclusifs et 38 medecins d’autres specialites) ont inclus 504 patients, de genre masculin pour 56,5 % (n = 285), âges en moyenne de 27 ans (± 14,4) dont 35 % avaient moins de 18 ans. 454 patients (90 %) ont eu un suivi complet. Cinq cents trois patients (99,8 %) avaient une RCA severe, genante (99,6 %), perturbant le sommeil (54 %), les activites personnelles (69 %) ou professionnelles (60 %), durant plus de 4 semaines (94 %). La RCA etait confirmee (Prick test ou dosage des IgE) dans 98 % des cas (n = 484). Un asthme etait associe chez 168 patients (33 %), et controle pour 89 % d’entre eux. Grazax® a ete prescrit 80 jours en moyenne (± 29,3) avant la date prevue d’exposition aux pollens ; 11 % des patients (n = 57) ont commence plus tardivement ( Conclusion Epigram temoigne d’un bon respect de l’AMM de Grazax® : qualification des prescripteurs, selection des patients (RCA severe, symptomes genants, asthme controle) et surveillance de la 1re prise. Le delai moyen entre le debut de traitement et la pollinisation etait globalement conforme. Les ecarts peuvent s’expliquer par des consultations tardives de patients genes. La tolerance au traitement a ete satisfaisante en vie reelle.
et al. Randomised, doubleblind, placebo-controlled trial of glycopyrronium in children and adoles... more et al. Randomised, doubleblind, placebo-controlled trial of glycopyrronium in children and adolescents with severe sialorrhoea and neurodisabilities: protocol of the SALIVA trial.
Alors que l’interet d’une thromboprophylaxie medicamenteuse est bien etabli et admis en contexte ... more Alors que l’interet d’une thromboprophylaxie medicamenteuse est bien etabli et admis en contexte chirurgical, celle-ci est sous-utilisee chez les patients atteints d’une affection medicale aigue. Les complications thromboemboliques veineuses sont pourtant plus frequentes en milieu medical. Les raisons principales de cette sous-utilisation sont probablement liees au faible nombre d’etudes de thromboprophylaxie conduites chez les patients medicaux et a la grande heterogeneite des patients dont le risque thromboembolique veineux depend non seulement de la pathologie aigue en cours mais egalement de la presence d’un ou plusieurs facteurs de risque. Recemment, trois grandes etudes, MEDENOX, PREVENT et ARTEMIS ont montre le benefice indiscutable d’une prophylaxie medicamenteuse dans des groupes bien definis de patients medicaux, tels que ceux atteints d’une insuffisance cardiaque congestive ou respiratoire aigue, d’une infection aigue severe ou d’une pathologie inflammatoire en poussee. Ces resultats soutiennent les recommandations internationales actuelles en faveur d’une utilisation systematique d’une thromboprophylaxie en milieu medical. Pour les autres patients medicaux, ne repondant pas aux criteres d’inclusion de ces trois etudes, les donnees sont moins claires. La mise au point d’outils simples et fiables d’aide a la decision faciliterait une meilleure stratification du risque thromboembolique veineux de ces patients afin d’ameliorer leur prise en charge.
Various forms of hypertension and anxiety are two very frequent reasons for consultations in prim... more Various forms of hypertension and anxiety are two very frequent reasons for consultations in primary care. Prevalence of comorbidity HTA/anxiety is unknown in France. Practically, general practitioners meet sometime the association of both typical pathologies. More often, they wonder about the interpretation of high blood pressure figures with an anxious patient, and inversely about the responsibility of the hypertension (with the suite of phantasms) with the apparition of anxious symptoms. Both these last clinical situations are the more frequent in general practice. The global clinical approach, the listening, the time use as help for diagnosis, the use of personal patient's characteristics and his/her environment more often allow to distinguish and to propose an individual therapeutic strategy.
Objectif L’etude a ete realisee pour connaitre les modalites d’utilisation de l’insuline glargine... more Objectif L’etude a ete realisee pour connaitre les modalites d’utilisation de l’insuline glargine, le niveau de controle glycemique et l’incidence des hypoglycemies, chez des patients traites par insuline glargine en conditions de pratique reelle. Patients et methodes Etude observationnelle nationale, prospective, realisee sur un echantillon representatif de medecins generalistes, pediatres et diabetologues. Des patients diabetiques de type 1ou 2 (DT1 ou DT2) traites par insuline glargine depuis au moins 1 mois, ont ete inclus et suivis pendant un an. Resultats L’âge moyen des patients etait de 42 ans pour les 609 DT1 et de 67 ans pour les 1097 DT2 (30 % ≥ 75 ans) ; l’anciennete moyenne du diabete etait respectivement de 16 et 14 ans. Le jour de l’inclusion, les patients etaient traites par insuline glargine depuis en moyenne au moins 6 mois, en 1 injection/jour (de 98,7 a 99 % des cas). Avant l’initiation de l’insuline glargine, 32,3 % des DT1 etaient sous basal-bolus (BB). Pour les DT2, 43 % etaient deja traites par insuline (DT2-IT) (8,4 % etaient sous BB ; 63,6 % recevaient au moins un antidiabetique oral [ADO] par jour). Parmi les 624 patients insulino-naifs (DT2-IN), 97,8 % recevaient au moins un ADO. Apres une moyenne de 6 mois de traitement par insuline glargine, le schema BB etait utilise par 84,7 % des DT1, 38,8 % des DT2-IT et 5,1 % des DT2-IN. La dose moyenne d’insuline glargine etait de 24,2 U/j chez les DT1, 31,6 U/j chez les DT2-IT et 23,6 U/j chez les DT2-IN. Entre 6 et 18 mois de traitement, cette dose est restee stable pour les DT1, etait de 35 U/j pour les DT2-IT et 29,7 U/j pour les DT2-IN. La proportion de sujets ayant une HbA1c Conclusion Les resultats de cette etude, menee en conditions de pratique reelle, sont en accord avec les resultats observes dans les etudes de phase III, et apportent un complement solide a ces etudes d’evaluation du rapport benefice/risque.
Introduction Il existe peu de donnees sur la prise en charge des sujets diabetiques âges. Cette e... more Introduction Il existe peu de donnees sur la prise en charge des sujets diabetiques âges. Cette etude a pour objectif de decrire le controle glycemique des patients traites par insuline glargine et l’incidence des hypoglycemies en conditions reelles. Patients et methodes Etude nationale, observationnelle, prospective, realisee sur un echantillon representatif de medecins generalistes et diabetologues. Des patients diabetiques âges de 75 ans ou plus traites par insuline glargine depuis au moins 1 mois ont ete inclus et suivis pendant 1 an. Resultats Dans le groupe de patients DT2 inclus (n = 1097), 30 % avaient entre 75 et 96 ans (n = 325) et etaient traites par insuline avant l’initiation de l’insuline glargine dans 39 % des cas (DT2-IT). 61 % etaient insulino-naifs (DT2-IN). L’anciennete moyenne de leur diabete etait de 15,6 ans. Entre l’initiation de l’insuline glargine et la fin du suivi, l’HbA1c a diminue de 8,2 % a 7,3 % chez les DT2-IT et la proportion de sujets ayant une HbA1c Conclusion Chez les patients DT2 âges de 75 ans et plus, la prescription de l’insuline glargine repond aux recommandations de bon usage et d’utilisation. Les resultats de cette etude apportent des informations supplementaires et insuffisamment connues a ce jour sur la prise en charge de cette population.
Combined hypertension therapy ensures the effectiveness of treatment and improves hemodynamic par... more Combined hypertension therapy ensures the effectiveness of treatment and improves hemodynamic parameters of cardiac function. The aim of the study was evaluation of hypotensive therapeutic regimens in patients [pts] with paroxysmal/persistent forms of atrial fibrillation and arterial hypertension. Methods: Prospective study was conducted between Jan 2005 and Sep 2008 in a group of 154 consecutive pts (87; 55.1% men, mean age 65.8 þ/-9.6 years) with paroxysmal (79, 51,3%) or persistent (75, 48.7%) recurrent episodes of AF. Mean duration of arrhythmia was 4.0 yrs Q1:2 Q3:7. The patients had normal systolic function of left ventricle (EF>55%). The antiarrhythmic drugs were ineffective in prevention of AF episodes. In all pts precise control of blood pressure was implemented: pts were treated with beta-blockers: 100%; ACE-I/ARB: 64%, spironolactone: 46%, thiazide diuretics 34%, loop-diuretics: 7%, calcium antagonists: 26.5% and alpha-blockers: 14.5%. No other antiarrhythmic drugs were used. Results: Arterial hypertension, grade I and II, was diagnosed in 116, 75%, pts; 74% men and 76% women, mean age 65.5 þ/-9.7years. Blood pressure values were similar in normotensive and hypertensive pts after completing the study: 123þ/-9 / 79þ/-4 vs 124þ/-10 / 80þ/-5 mmHg, ns. One hypotensive drug was used in 6 pts, 2 drugs: in 39 pts, 3: in 37 pts, 4 in 27 pts, 5 in 7 pts. Patients treated with >¼3 drugs had more AF episodes in 3 months prior to evaluation: 4.7þ/-0.8 vs 2.9þ/-0.4, p ¼ 0.0444. But during 1-year follow-up, observed in 3-months periods, they had significant reduction of AF episodes in every 3-months period (p ¼ 0.0001). Pts treated with 1-2 drugs had significant reduction after 3 months (p ¼ 0.0029), 6 months (0.04) and 12 months (0.0012), but not after 9 months.
OBJECTIVE To explore the conceptions that family medicine residents from 3 countries have of the ... more OBJECTIVE To explore the conceptions that family medicine residents from 3 countries have of the roles and responsibilities of family physicians in order to gain a better understanding of challenges that might transcend the specific contexts of different health care systems. DESIGN Qualitative study using focus groups. SETTING Resident training programs in France, Belgium, and Canada. PARTICIPANTS A total of 57 residents in the last year of training. METHOD Ten focus groups were conducted in 3 countries: 2 in France, 3 in Belgium, and 5 in Canada. All focus groups were held in different cities, with residents registered in different universities in France and Canada and with residents from the same university in Belgium. The study was informed by Abbott's conceptual framework on the system of professions. Each 90-minute focus group was moderated by the same researchers. The transcripts were analyzed according to the immersion-crystallization method. MAIN FINDINGS Respondents shared common conceptions of the family physician's role: continuity of care and patient advocacy were seen as the foundations of the discipline. Respondents also shared a sense of discomfort about how accessible they were expected to be for patients and about the scope of family practice. They saw family medicine as flexible and reported that they strove for balance between their professional and personal life goals. All respondents strongly believed that their profession was undervalued by the medical schools where they trained. This article has been peer reviewed.
L'étude Avandia ® , tolérance à grande échelle (Avantage) était une étude observationnelle réalis... more L'étude Avandia ® , tolérance à grande échelle (Avantage) était une étude observationnelle réalisée dans une large cohorte de patients diabétiques de type 2 (DT2) suivis pendant 12 mois. Son objectif était d'évaluer dans des conditions réelles d'utilisation, la tolérance de la rosiglitazone, un antidiabétique oral appartenant à la classe des thiazolidinediones (ou « glitazones »), mise à la disposition des médecins français en mai 2002. L'étude s'est déroulée entre décembre 2002 et janvier 2005. Pour être éligibles, les DT2 inclus, consultant durant la période d'inclusion devaient débuter un traitement par la rosiglitazone (de huit jours avant à 15 jours après), dans le respect des indications thérapeutiques en vigueur lors de leur inclusion. Les caractéristiques des patients, les données du suivi clinique et biologique et les effets indésirables (EI) ont été recueillies. Parmi les 3845 DT2 inclus de janvier à novembre 2003, 3580 ont constitué la population analysée (prise documentée d'au moins une dose de rosiglitazone). À l'inclusion, l'âge moyen (± S.D.) était de 62 ± 11 ans, 52 % étaient des hommes, l'IMC moyen était de 29,9 ± 5,3 kg/m 2 , le taux moyen d'HbA 1c était de 8,5 ± 1,4 %. Les traitements antidiabétiques en cours consistaient principalement en une monothérapie (46 % des patients, metformine ou sulfonylurée) ou en une bithérapie (47 %). Les raisons principales pour la prescription de la rosiglitazone étaient un diabète mal équilibré pour 91 % des patients, associé ou non à une intolérance au traitement antidiabétique oral en cours (29 % des patients) et/ou à une contre-indication à la metformine (4 % des patients). Deux mille quatre cent vingt-quatre patients (71 %) ont été suivis durant les 12 mois prévus. Au total, 514 DT2 (14 %) ont présenté au moins un EI, considéré par le médecin comme lié au traitement chez 377 patients (11 %). Deux cent quinze patients ont arrêté l'étude pour EI. Ont été notifiés chez plus de 1 % des patients : prise de poids (n = 100 patients ; 3 % de la cohorte), nausées (n = 57 ; 2 %), ଝ Pour citer cet article : Slama G, et al., Suivi sur un an dans les conditions de pratique courante d'une cohorte de patients diabétiques de type 2 traités par rosiglitazone : l'étude Avantage, Annales d'Endocrinologie (2007),
Canadian Medical Association Journal, Mar 22, 2010
Causes include changes in curvature of the spine, narrowing of intervertebral discs and vertebral... more Causes include changes in curvature of the spine, narrowing of intervertebral discs and vertebral fractures. Height loss is associated with back pain and thoracic hyperkyphosis. 3,4 Two-thirds of adults have back pain at any time. Controversies exist about the need for radiographs of the spine: Does the benefit of detecting treatable disorders of the spine such as vertebral fracture outweigh the harm of unnecessary radiographs? Loss of height is usually recorded as one of the clinical signs to help identify postmenopausal women with vertebral fractures. 5 The use of this parameter to decide whether radiography is needed depends on the threshold for height loss associated with a strong risk of vertebral fracture. The thresholds useful in clinical practice to detect prevalent vertebral fracture range from 3 cm to 6 cm, 6−9 with the risk of prevalent fracture increasing with the magnitude of the height loss. Thus, the accuracy of the information on height is relevant for clinical practice. We conducted this study to compare reported and measured loss of height in a large population of women more than 60 years old in a primary care setting and to analyze the determinants of this height loss. Methods Study design We conducted a multicentred observational study between December 2007 and May 2008 at primary care practices in France. We randomly selected general practitioners from a national representative database. To be eligible, physicians had to have a large practice that included women more than 60 years old. We estimated that the sample would need to include at least 3500 general practitioners. We selected 3621 general practitioners and contacted them by phone; 1779 agreed to participate (Figure 1). The general practitioners were asked to recruit the first five female patients who were more than 60 years of age, regardless of the reason for the consultation. During the visit, the physicians completed a questionnaire with the following information: patient's age, weight, start of menopause, history of fracture after age 45 years, history of spinal disease such as osteoarthritis, history of back pain, past or current intake or corticosteroids for
Il s’agit d’une enquete descriptive transversale par questionnaire via Internet realisee de juin ... more Il s’agit d’une enquete descriptive transversale par questionnaire via Internet realisee de juin a octobre 2015 pour evaluer les sources d’informations utilisees par les internes de medecine generale (IMG) et les maitres de stage universitaire en medecine generale (MSU) pour alimenter leurs connaissances sur l’efficacite de sept medicaments utilises couramment en soins premiers.La population etudiee etait les MSU et les IMG de 4 universites (Poitiers, Lyon, Nantes et Strasbourg). Les questions portaient entre autres sur les sources utilisees pour repondre a des questions sur l’efficacite des medicaments.Le taux de reponse a ete de 16 % et 476 questionnaires ont ete analyses (305 IMG et 171 MSU). Les recours aux sources d’informations primaires ont ete cites dans 6 % (essais cliniques randomises) a 8 % (meta-analyses d’ECR) des cas. Les 3 sources ou ressources principales citees etaient les recommandations HAS (41 %), les confreres specialistes ou l’experience personnelle (43 % et 39 % des cas respectivement). Il y avait peu de difference entre les internes et les maitres de stage.Ces resultats montrent qu’en majorite les IMG et les MSU ne lisent pas les sources d’information primaires pour alimenter leurs connaissances sur l’efficacite des medicaments. La mise en place de l’enseignement de la lecture critique d’articles dans la formation initiale ne semble pas avoir influence le recours a ces sources d’information par les internes. Il est donc necessaire que des sources d’informations secondaires de qualite soient accessibles pour que la pratique basee sur l’evidence based medicine (EBM) puisse etre une realite.
La connaissance de l’efficacite des medicaments prescrits avec ses quatre composantes : preuve, c... more La connaissance de l’efficacite des medicaments prescrits avec ses quatre composantes : preuve, critere de jugement, quantite d’effet et population cible, est indispensable a une information objective du patient. Elle est une condition necessaire au processus de decision medicale partagee.L’objectif de cette etude etait d’evaluer les connaissances des internes de medecine generale (IMG) et des maitres de stages universitaires en medecine generale sur l’efficacite sept medicaments utilises couramment, et d’etudier les sources d’informations mobilisees dans ce domaine.Les resultats suggerent un manque de connaissance des internes et maitres de stages universitaires en medecine generale sur la therapeutique et plus specifiquement la pharmacologie clinique. Ils questionnent sur la pratique reelle de la medecine fondee sur les preuves (EBM) necessaire a l’information eclairee du patient et a la decision medicale partagee.
Alors que la consommation excessive d’alcool est frequente en milieu professionnel, il y a peu d’... more Alors que la consommation excessive d’alcool est frequente en milieu professionnel, il y a peu d’etudes solides sur son eventuel lien avec la duree de travail. Un article paru dans le BMJ dresse une revue systematique et fait une meta-analyse des etudes publiees et des donnees individuelles d’etudes non publiees.
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Papers by Denis Pouchain