Utilisateur:René Jean Hermelin/Brouillon
Histoire d'un cloître pyrénéen exilé à New-York
[modifier | modifier le code]Apport historique sur la vie du monastère des carmes fondé vers 1360 à Trie en Bigorre et de son cloître saccagé en 1571, puis, exilé et reconstitué au musée de New-York vers 1930
[modifier | modifier le code]1209 - 1282- 1360/65
[modifier | modifier le code]Créé en terre sainte au début du 13ème siècle, le père spirituel de ce nouvel ordre des carmes est le prophète Élie. Cet ordre fut animé par des ermites qui vivaient dans des grottes sur le mont Carmel, en Palestine. En 1209 St Albert, patriarche latin de Jérusalem, édicta leur première règle de vie qui fut approuvée par le Pape Honorius III en 1226 (4)
Les Carmes de Tarbes auraient favorisé l'implantation d'un monastère à Trie. Leur propre monastère fut fondé en 1282 par deux des six compagnons , moines Carmes, de l'ordre du mont carmel, accompagnant le roi St Louis au retour de sa première croisade, mais c'est aussi grâce à l'altruisme et aux subsides d'un certain marquis de Basillac et encore, par la générosité des habitants de la ville de Tarbes qu'ils purent s'établir .Le premier prieur tarbais s'appelait frère Sertorius, c'était l'un des compagnons qui suivaient St Louis au retour d'une croisade.(6)
Ce n'est qu' une quarantaine d'année après la création de la bastide de Trie en Bigorre que l’ordre des carmes obtint l’autorisation d'implanter un monastère et son cloître vers 1360/65.
Nous ignorons[Qui ?] le nom du premier abbé de Trie car toutes les archives contenues dans le monastère furent détruites pendant les guerres de religion.(7)
1360- 1365 : les carmes arrivent à Trie
[modifier | modifier le code]Ce n'est qu' une quarantaine d'année après la création de la bastide de Trie-en-Bigorre que l’ordre des carmes obtint l’autorisation de s'y implanter. Les historiens indiquent que l’acte de naissance de la bastide de Trie est daté du 11 janvier 1322. Cependant, selon le calendrier remanié en 1564 par Charles IX, nous retiendrons comme date officielle aujourd’hui 11 janvier 1323.(1) (2) Le roi régnant au moment de la signature de l’acte de paréage de Trie était Charles IV, troisième fils de Philippe le Bel et dernier roi capétien direct . Un sénéchal de Toulouse, Jean de Trie donna son nom à cette nouvelle ville qui accueillit par la suite les moines bâtisseurs du monastère des carmes. (le rajout "sur Baïse" n'a été ajouté qu'en 1966 Trie devint Trie-sur-Baïse(3)
Vers 1360/65 Les moines carmes bâtirent un monastère important à l’extérieur des remparts entourant la nouvelle bastide , qui était encore en pleine essort, A cette époque Jean li le bon régnait sur la France et était en conflit ouvert avec Édouard III, roi d’Angleterre qui revendiquait le trône. La guerre de cent ans était bien entamée. Le roi de France venait de subir la défaite de Crécy, et perdre la bataille de Poitiers. Le jeune régent, et futur Charles V le sage, avait bien des difficultés avec le roi de Navarre Charles II dit « le mauvais » qui, lui aussi était en conflit ouvert avec le roi de France pour la même raison : revendiquer le trône…. Le roi de Navarre était à cette époque propriétaire de Trie qu'il dut céder à Charles V en 1365. Cela n’empêcha pas nos moines bâtisseurs d’élever l’ensemble du monastère des Carmes, et à nos merveilleux sculpteurs de façonner, dans le marbre des Pyrénées leurs fabuleuses œuvres d’art..( 5 )
1360-65 : construction du monastère en dehors des remparts de Trie
[modifier | modifier le code]Comme dans la majorité des cas, ce monastère construit dans le barry, en dehors des remparts protecteurs de Trie,fut réalisé selon les principes de l’époque inspirés des constructions romaines. C’était un ensemble de bâtiments en forme de quadrilatère, comprenant : une église, accotés à cette église les bâtiments du couvent qui ceinturaient une cour carrée où étaient implantés le clocher et le cloître. Cet espace, dédié à la prière, était entouré par une galerie ouverte vers le centre, supportée par des colonnes et arcs gothiques, reposant sur un muret. Chaque colonne étant surmontée d’un chapiteau représentant une scène biblique sur ses quatre faces ciselé dans du marbre blanc. Cette galerie s’appuyait sur trois des quatre hauts murs des corps de logis nécessaires à la vie de la communauté : salle capitulaire, réfectoire, dortoir, bibliothèque, salle de prière, communs, etc. Il ne reste hélas que peu de vestiges de cette galerie et de son sous-sol qui conserve les dépouilles des religieux qui y vécurent.(8)
Le cloître et sa forme géométrique hautement symbolique, représentait l’homme dans ses fonctions : corporelle, intellectuelle, spirituelle et relationnelle.Les quatre hauts murs intérieurs entourant la cour du cloître avaient aussi une signification religieuse profonde : ( 9 )
- l’amour de Dieu
- l’amour du prochain
- le mépris de soi
- le mépris du monde
Les magnifiques chapiteaux du cloître de Trie sculptés dans le marbre blanc provenant de St Béat, furent dispersés au cours des temps, une partie fut rachetée par le cloître voisin de St Sever 65, , lors du saccage du monastère par les huguenots vers la fin, du 16ème siècle (vers1571), une autre partie de ces œuvres d’art est présentée au Cloister Museum de New-York, où le cloître de Trie a été heureusement reconstitué. Quelques très beaux chapiteaux sont encore conservés à Trie dans l’église paroissiale et dans l’ex église des Carmes, ainsi que dans celle de Bugard (petite commune voisine de Trie sur Baïse).,d'autres chez des particuliers.. Ces sculptures sont toutes d’une très grande beauté et représentent des scènes religieuses bibliques sur leurs quatre faces (10)
Entre le 14ème et le 16ème siècle
[modifier | modifier le code]Les carmes possédaient de nombreuses terres et métairies, grâce aux indulgences et aux dons des nobles qui croyaient se réserver ainsi une place au paradis, certains se firent inhumés dans le monastère : les nobles familles de Foix, de Duffort, de Manas, puis, les d’Antin, Montespan, de Sariac, de Curie, ainsi que quelques membres de la maison de Navarre. .Après avoir connu un essor important le monastère a vécu bien des vicissitudes, comme le démontrent les livres d’histoire, dues notamment aux guerres de religions des XVIe et XVIIe siècle, et aux périodes de peste et de famines successives. (10 )
Vers 1571- 1572… Une mini St Barthélémy inversée
[modifier | modifier le code]Une chronique rapportée près d’un siècle après l’évènement, raconte : les 25 religieux du couvent furent massacrés vers 1571 par une bande huguenote, et précipités dans le puits d’un lieu baptisé plus récemment ‘’du Puits aux Moines’’. et leur Abbé pendu sous le porche d'entrée du monastère. On ne compte pas moins de quatre puits sur le site, dont trois dans l’enceinte du monastère, et un situé dans la cour, dans l'ex galerie du cloître .Des stigmates encore visibles actuellement démontrent que ce couvent fut incendié notamment dans l’ex sacristie, Il est aussi prouvé qu’une expédition ponctuée de pillages et de tueries, fréquentes à cette époque, ait visé nos moines qui se trouvaient en dehors des remparts protecteurs de la bastide.(11)
1789 la vie du couvent et de ses habitants depuis la révolution
[modifier | modifier le code]Les biens du clergé furent vendus en biens nationaux. Le comte Barthélémy de Curie fit l’acquisition de l’ensemble du monastère des Carmes et des biens associés à un marchand de Bayonne. C’était un notable qui était seigneur de plusieurs villages environnant des Hautes Pyrénées, et aussi avocat au parlement de Toulouse.Début 18ème Le monastère était alors dans un triste état, il ne restait que des bâtiments délabrés et une église à l’abandon qui servit rapidement de grange et d’écurie. Nous avons lu sur un ancien document cadastral, qu’un mur divisait l'église en deux parties qui furent réunies par la suite. Une fabrique de verre s’installa d’un côté, l’autre servit d’écurie. Elle fut affectée plus récemment en garage pour les autocars régionaux, puis, dans les années 1970 beaucoup l’ont connue en silos à grains.(12)
Vers 1820
[modifier | modifier le code]Louis Curie Seimbres, fils aîné du comte Barthélémy, maire de Trie vers cette époque, fit bâtir, en relevant les anciens murs médiévaux de l’ancien couvent, une grande et belle demeure, où s’exerça durant plus d’un siècle, de pères en fils, la justice de paix du canton, ce furent des érudits qui contribuèrent durant tout le 19ème siècle à l’évolution de Trie.( archives de mairie et titres de propriété) .Leur blason et armoiries figurent toujours sur les grandes façades de l’ancienne résidence des moines, ainsi que sur le manteau de certaines cheminées .Un éminent archéologue Alcide Curie,qui fut maire de Trie ) possédait de nombreux chapiteaux (1)dont une grande partie a rejoint le musée de New-York.
Cette demeure fut vendue en 1912 par le dernier successeur Curie, à Monsieur Gaston Thuron, huissier de justice et conseiller d’arrondissement dont le fils Benjamin, huissier également, y vécut jusqu’en 1973. Durant les 58 ans qu’ils y vécurent, les lieux ne reçurent pas de grands changements et gardèrent leur caractère d'origine.(titre de propriété greffe de Tarbes 65)
En 1977 De nouveaux résidents en feront l’acquisition quelques années après la disparition de maitre Thuron, René-Jean Hermelin y installera sa famille, laquelle avait plusieurs générations d’ancêtres ayant vécu à Trie.
Les propriétaires actuels en firent leur résidence principale et en profitent toujours aujourd’hui. Leur objectif principal a été de défendre ce lieu et de veiller à conserver son authenticité et sa conservation. Une de leurs préoccupations, durant le quasi demi-siècle de leur présence, a été de regrouper, en les respectant, la majorité des espaces appartenant à l’ancien couvent. Ainsi ils ont réussi à réunir l’intégralité des jardins du cloître autrefois divisés, ainsi que l’ensemble des corps de logis, communs, et anciennes cours où se situait l’ancien cloître (13).
1855 et 1905 : exil des chapiteaux vers les Etats-Unis
[modifier | modifier le code]Les chapiteaux du cloître de Trie migrèrent vers les États-Unis. Cinq siècles après la création du monastère, nos amis d’outre-manche se sont intéressés à ce cloître. Vers la fin du 19ème, quelques érudits du « nouveau monde » prirent conscience du manque de témoignages de leur passé culturel et décidèrent de prospecter l’Europe afin acquérir de nombreuses œuvres d’art pour les exposer aux États -unis. C’est ainsi que nos chapiteaux franchirent l’Atlantique fin 19ème début 20ème pour aboutir entre les mains du grand collectionneur Jean Barnard, puis de Mr Rockefeller qui en fit don au célèbre Metropolitan Museum, équivalent de notre Louvre. (14a)(14b)
1930 : reconstitution du cloitre de Trie au Closter Museum
[modifier | modifier le code]Une grande partie des collections de ce musée est regroupée sur le site de Fort Tryon Park à New-York City. On découvre dans ce lieu de très nombreuses œuvres, provenant en grande majorité d’Europe, et de la France en particulier, sont conservées et exposées. Le cloître de Trie qui y figure en bonne place.On découvre aussi dans ce lieu : trois chapelles romanes et gothiques et un grand nombre de statues, tapisseries, vitraux, meubles richement ciselés, et plusieurs cloîtres français partiellement reconstitués. (15)
2024 : Etat des lieux en 2024 à Trie de l'ancien monastère des carmes
[modifier | modifier le code]L’ancien monastère, bien qu’amputé de son cloître et malgré les remaniements et constructions incongrues apparues après la révolution est toujours très représentatif. Son principal édifice l’église, après avoir servi à toutes sortes d’affectations, du silo à grains aux écuries et autres remises, a été finalement restaurée en 1985 et transformée en une magnifique salle de concert.
Les imposants bâtiments de vie du couvent sont toujours en grande partie présents bien qu’ayant subi quelques modifications, notamment pour la partie sud, que le comte Curie a transformée pour en faire sa demeure et y exercer la justice de paix du canton de Trie.. Les longues constructions qui entouraient la cour du cloître sont aujourd'hui transformés en remises et greniers
L’ancienne sacristie (seule partie n'ayant pas été rénovée) révèle encore quelques traces de fresques religieuses, ainsi que les stigmates du violent incendie qui ravagea le monastère. . La base de l'ancien clocher construit à l'intérieur de la cour du monastère demeure encore.
Au centre du monastère une partie de la cour carrée qui abritait le cloître est en partie gazonnée, et est divisée en deux par un mur post -révolution,ce que nous révèle un cadastre cadastre de 1817) Des constructions plus récentes recouvrent aussi une partie de cette fameuse cour. Le sol ne semble ps avoir été fouillé et conserve le souvenir des religieux qui y reposent.
L’ancien jardin, que cultivaient les moines, aujourd’hui réunifié, est organisé en potager et en jardin à la française. Un majestueux séquoia géant domine les environs et semble veiller au bien-être et à la sérénité de cet ensemble.
La majorité des constructions de l'ancien monastère ceinturant la cour du cloître dont les bases sont assurément du 14ème siècle n'ont pas subis de remaniements importants,ils possèdent une surface d’aménagement importante sur trois niveaux, qui permettrait beaucoup de créations. (16) (1 )
DES TÉMOINS TOUJOURS PRÉSENTS
De nombreuses traces de cet ensemble religieux demeurent sur place, retenons par exemple : en premier l’église classée, entièrement restaurée en 1985, et affectée en salle de concerts, mais aussi, les murs vénérables de l’ancien couvent sur lesquels était adossé le cloître, rappelons que le monastère abritait vingt cinq moines, ces espaces de vie et d'activités multiples comprenant : réfectoire, dortoirs, bibliothèque, atelier, salle du chapitre, oratoire , cuisines, etc.. existent, au moins dans leur bases, le sous-sol de la galerie du cloître
, Une magnifique rosace à meneaux insérée dans un mur de l’ancien couvent, on l’appelait "la rosace aux meneaux flamboyants" décrite ainsi à l’époque médiévale."Elle formait un grand cercle de près de trois mètres de diamètre entourant trois ogives enlacées aux côtés gracieusement contournés, les vides étaient garnis de vitraux de couleurs variées qui laissaient entrer une lumière adoucie, faisant à l’autel, noyé dans la pénombre du chœur, comme une auréole mystique." (18) (1)
La pierre de l'autel, toujours conservée aujourd'hui, fut découverte enfouie dans le sol de la cour de l’ancien cloître. C’est un vénérable témoin, orné des cinq croix traditionnelles et de la cavité qui renfermait une petite parcelle de la vraie croix du Christ ou d'une relique provenant des tout premiers chrétiens.
Le jardin clos figurant sur les anciennes cartes attenant au monastère où fut découverte en sous-sol une épaisse couche de chaux éteinte attestant l’ancienne présence d’une fosse commune (19), dernière étape des victimes de la peste aux époques douloureuses. est réuni sur une mème parcelle aujourd'hui (extrait cadastral de Tarbes .
Le cloître de Trie reconstitué en 1934 par le "Métropolitan muséum of art" de New-York, accueille depuis 1938 des visiteurs du monde entier au Fort Tryon Park où le cloister muséum conserve de nombreuses œuvres d'art .médiévales.(14) Tous les documents transmis par le curateur de ce musée ont approfondi nos connaissances et sont un trait entre nos deux pays. Les archives départementales des Hautes Pyrénées conservent « lettres, archives photos et plans ayant servi à la reconstitution du cloître de Trie ». 'L’essentiel' demeure tout de même dans le village d’origine , à savoir,:Le sol ou reposent encore de nombreux moines carmes, l'église et la base de son clocher,,les anciens murs abritant les espaces de vie de 25 religieux , et surtout :la mémoire de ces lieux vénérables.
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Sources :
1-( Livre) Création de la bastide de Trie .(pages 1 et 2) –Histoire du canton de Trie par charles Brun(imp guillemotet de la Mothe
2 - Retranscription du contrat de paréage Trie /Baïse ,par Stéphane Abadie (http// abadielmdo.com/ bastides-bigourdan)
3- Appellation Trie "sur Baîse" Historique administratif ( archives administratives municipales de Trie sur Baîse)
4- origine des Carmes: ordre des carmel wikipédia.org art consulté le 14 mars 2023
5- arrivée des carmes à Trie entre 1357 et 1365 aucune certitude historique pages 58- 59 Histoire de Trie CH. Brun
6-Les carmes de Tarbes de Marie Pierre Manet manuscrit de 1662 status conventus )http// passion- bigorrehp.org
7- Nom du premier Prieur:: Histoire du canton de Trie( toutes les archives du monastère ont été détruites vers 1571
8- Histoire du couvent des carmes à Tarbes (manuscrit de 1662 ) Marie pierre Manet (http// passion.bigorrehp.org)
9- art: The Closter "symbolique" wikipédia.org (consulté le 5 mars 2024)
10-Histoire de Trie par ch.Brun PAGES 54 0 94
11 -Livre :citation de Dom de Brugeles doyen du chapitre de Chimorre (ouvrage de Marie Pierre Manet)
11- Hstoire de Trie par charles Brun (les manuscrits d'Aignan vol 71 page 1073 et 1124)
12- Extrait cadastral de 1827 (archives départementales des Hautes pyrénées)
13- Les batîments du monastère actuels: plan cadastral de Trie au bureau du cadastre de Tarbes
14a- Livre : AWALK THROUGH THE CLOISTERS by du Metropolitan Museum de New-York.(pages 96 à101) composed by Joseph Ascher, printed by Mondadori cmpagny,inc, verons,italy.)
14 b- acquisition des chapiteaux par les Américains:Lettre du 16/10/1906 négociation entre : Xavier de Pardaillac et le représentant de Mr Gray Barnard copie fond documentaire aux archives départementales de Tarbes
15-Ouvrage : The closters au musée des cloîtres ( archives du musée à Ford Tryon park,New York
16 Etat des lieux actuels: Pays de Trie : http// tourismecoteaux65.fr " Culture et patrimoine, rubrique ' le cloitre du monastère des carmes click sur "histoire du cloître de Trie " par l'auteur de l'article
17-. Témoignage de l'auteur vivant sur le site depuis 1977(près d'un demi siècle)
18- ouvrage : 2ème partie ISBN 9786269592529607Histoire du cloître de Trie ( page 32) -
18- conservation des hypothèques de Tarbes,archives départementales des hautes Pyrénées à Tarbes 65
19- chaux éteinte: découverte par l'auteur lors de travaux de décaissements de 1994
20-La rosace : /Article : La collégiale Notre Dame de Trie sr BaÏse (page 32 ) par Stéphane Abadie (consulté le 10/décembre 2022)
Autres ouvrages: : La monographie de Trie en 1817 ( Alcide Curie Siembres ) l l les Huguenots au monastère de Trie (Alcide Curie Siembre)
Illustration :
a-Le cloître à New-York provenance: cloister muséum
b-Plan de 1717 ( musée st Germain)
c-Dessin haut: par Charles Brun historien et écrivain (i)
d-Dessins bas: (relevé dur les lieux)
e-cliché confié par Mr Vincent Dortet habitant de Trie sur Baîse
f-photo transmise parle Cloister muséum
g-Cliché aérien du site 2007
h- Vue aérienne sur angle inversé 2020
i-vue de 2007 sur La rosace et l'angle de la cour ou se situait le cloître de Trie
j-Notre Dame des Carmes (église du monastère) restaurée en 1989