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Utilisateur:Malik2Mars/Brouillon/Ernst

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« Le hasard est aussi - et cet aspect très difficile du hasard a été négligé par les chercheurs des « lois du hasard » – le maître de l’humour et par conséquent, dans une époque qui n’est pas rose, dans l’époque que nous vivons, où une belle action consiste à se faire enlever les deux bras dans un combat, le maître de l’humour-qui-n’est-pas-rose, de l’humour noir. »

— Max Ernst, Au-delà de la peinture[1]

Une catégorie est consacrée à ce sujet : Max Ernst.


  • [Paris 1971] Max Ernst (exposition, Paris, Orangerie des Tuileries, 2 avril - 31 mai 1971), Centre national d'art contemporain, (SUDOC 049420607). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Paris 1975] Max Ernst (exposition, Galeries nationales du Grand Palais, Paris, 1975), Musée national d'art moderne, (SUDOC 002424320). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Stokes 1980] (en) Charlotte Stokes, « The Scientific Methods of Max Ernst: His Use of Scientific Subjects from La Nature », The Art Bulletin, vol. 62, no 3,‎ , p. 453-465 (DOI 10.2307/3050030, lire en ligne, consulté le )
  • Biro et Passeron 1982, p. 147-150
    • p. 148 « Pour ne pas résumer ces Notes, pour ne pas fausser leur esprit, on se contentera ici d'inviter à les lire. »

« [Avant de se gâter, Aragon écrivait : […][2]] Rapide­ment l'emploi du collage se trouva limité à quelques hommes, et il est certain que toute l'atmosphère des collages d'alors se trouva être celle de la pensée de Max Ernst, et de Max Ernst uniquement. »

— Louis Aragon, La Peinture au défi[3]

  • [Spies 1984] Werner Spies (trad. de l'allemand par Éliane Kaufholz-Messmer), Max Ernst : les collages, inventaires et contradictions, Gallimard, (1re éd. 1974) (ISBN 2-07-011082-6). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article[n 1]
  • [Spies 1997] Werner Spies (trad. de l'allemand par Claire de Oliveira), Max Ernst-Loplop: l'artiste et son double, Gallimard, coll. « Art et artistes », (1re éd. 1982) (ISBN 2-07-073181-2). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Fortuné 1999] Isabelle Fortuné, « L’imaginaire scientifique du surréalisme : Max Ernst, les objets mathématiques et la géométrie non euclidienne », Histoire de l'art, vol. 44, no 1,‎ , p. 21–33 (DOI 10.3406/hista.1999.2841, lire en ligne, consulté le )
  • [Adamowicz 2001] Elza Adamowicz, « Le collage dada: pieces détachées », dans Nathalie Roelens et Wanda Strauven, Homo orthopedicus: le corps et ses prothèses à l'époque (post)moderniste, l'Harmattan, coll. « Ouverture philosophique », (ISBN 2-7475-1611-3, lire en ligne), p. 277-288
  • [Grahmann 2004] Simone Grahmann, « Max Ernst, le « membre inconstant, rebelle » », dans L'entrée en surréalisme (actes du séminaire du Centre de Recherche sur le Surréalisme), Phénix, coll. « Les pas perdus », (ISBN 2-7458-1332-3, lire en ligne)
  • [Spies et Rewald 2005] (en) Werner Spies (dir.) et Sabine Rewald (dir.), Max Ernst : a retrospective (exposition, New York, Metropolitan Museum of Art, 7 avril - 10 juillet 2005), Metropolitan Museum of Art/Yale University Press, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Drost, Moureau-Martini et Devigne 2008] Julia Drost (dir.), Ursula Moureau-Martini (dir.) et Nicolas Devigne (dir.), Max Ernst, l'imagier des poètes, Presses de l'université Paris-Sorbonne, (ISBN 978-2-84050-575-4, présentation en ligne)
  • [Spies, Join-Lambert et Drost 2009] Werner Spies (dir.), Sophie Join-Lambert (dir.) et Julia Drost (dir.), Max Ernst, Le jardin de la France (exposition, Musée des Beaux-Arts de Tours, 17 octobre 2009-18 janvier 2010), Silvana, (ISBN 978-88-366-1447-9)
  • Max Ernst - retrospective (exhibition, Albertina, Vienna, January 23 - May 5, 2013; Fondation Beyeler, Riehen/Basel, May 26 - September 8, 2013), Damien Airault, « Max Ernst : rétrospective », Critique d’art. Actualité internationale de la littérature critique sur l’art contemporain,‎ (ISSN 1246-8258, DOI 10.4000/critiquedart.12739, lire en ligne, consulté le )
  • [HS 2023] Max Ernst : mondes magiques, mondes libérés, Connaissance des arts, (ISBN 978-2-7580-1186-6). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article


Notes :

« À New York, il y eut des artistes et pas d’art. L’art n’est pas le produit d’un seul artiste, mais de plusieurs. C’est à un haut degré le produit de l’échange de leurs idées[5],[6],[n 2]. »


(Max Ernst#Œuvres)

revoir note in main

  • Ernst 1970, « 1926 », p. 50-53 (Paris 1975, p. 66; Spies 1991, p. 89, 301 […]; Spies 2007, p. 69, 103 […], 268)
    • Raymond Roussel[n 3].
      • en // de l’extrait dans Ernst 1970 (« […] Max apprit plus tard que Raymond Roussel aussi employé un procédé qui consistait à disloquer un texte quelconque pour en tirer une suite d’images aboutissant à une création imprévue, due à des combinaisons phoniques. Il a dit : […]. Remplaçons le terme « combinaisons phonétiques » par « combinaisons optiques », et nous aboutissons au collage et au frottage »), voir ce passage de Comment j’ai écrit certains de mes livres, p. 23[8] :
        • « Ce procédé, en somme, est parent de la rime. Dans les deux cas il y a création imprévue due à des combinaisons phoniques. C’est essentiellement un procédé poétique. Encore faut-il savoir l’employer. Et de même qu’avec des rimes on peut faire de bons ou de mauvais vers, on peut, avec ce procédé, faire de bons ou de mauvais ouvrages. »

          — Raymond Roussel, Comment j'ai écrit certains de mes livres

      • Comment j'ai écrit certains de mes livres#André Breton, OCII p. 1067-1076 (Anthologie de l'humour noir) : « Au dire même de Roussel « le propre du procédé était de faire surgir des sortes d’équations de faits qu’il s’agissait de résoudre logiquement. » Le plus grand arbitraire introduit dans le sujet littéraire, il s’agissait de le dissiper, de le faire disparaître par une suite de passes où le rationnel limite et tempère constamment l’irrationnel. »
  • Spies 1984
    • p. 72 : « […] Cet épisode très significatif […] relate la rencontre entre deux artistes dont chacun dans son domaine dissimulait ses cartes. »


  • 1922 (Das Rendezvous der Freunde) :
    • Bonnet 2014, p. 191-205
      • note 12, p.196-197, citant Spies 1984, p. 49 (« [Par comparaison avec ces tableaux, nos "collages" représentent en un certain sens un "crime", c’est-à-dire qu’ils violentaient la nature] J'ai découvert un des premiers "collages" par les travaux de mon père, qui peignait pendant ses heures de loisir. Lorsque j'étais encore un jeune homme, il avait fait la copie de la Disputà de Raphaël, mais il s'était permis certaines libertés. Il avait remplacé la tête des personnages représentés dans Disputà comme ennemis de l'Église par la tête de gens qu'il considérait comme ses ennemis personnels et les ennemis de l'Église et, inversement, il avait donné les traits de ses propres amis aux personnages destinés à connaître la béatitude éternelle [ […] Ce souvenir me fut tres utile plus tard, car je ne suis pas tout à fait sûr que j’aurais inventé la "technique du collage" (d’autres l’ont inventée en même temps que moi) et que je l’aurais utilisée si je n’avais eu sous les yeux l’exemple de mon père] »), souligne que depuis les recherches pour l’Expo Cologne 1991, on sait que la copie de la Disputa par Philipp Ernst est réalisée entre 1924-1932.
    • Spies 2007, p. 93
    • Spies et Rewald 2005
    • Dickerman 2005
    • (en) Karen A. Sherry, « Collective Subjectivities: The Politics and Paradox of Surrealist Group Portraiture », Athanor, vol. 21,‎ , p. 65–73 (ISSN 2690-0181, lire en ligne, consulté le )
    • Durozoi 1997, p. 46-48 : « Au rendez-vous des amis […] aveu involontaire d’une difficulté de communication entre les amis rassemblés. » +Durozoi 2005, p. 205
    • Spies 1997, p. 94 sqq [un précédent lecteur a inscrit « ?! » – Émoticône mais Smiley Colère, sacrilège – en face de Disputa de Raphaël, voir Spies et Rewald 2005, et loooongueeee note 12 dans Bonnet p. 196-197
    • Clébert 1996, p. 66-68
    • Stokes 1980
    • Spies XXe 1971, Les lois du hasard, p. 14 : « Un autre motif, la gesticulation des personnages représen­tés, renvoie encore au monde du père, enseignant dans une école pour enfants sourds-muets. Max Ernst m'a confirmé cette possible relation. »

« Léonard du surréalisme[n 4] »









  • Les Phases de la nuit
    • Spies 1991, p. 259
    • « Les Phases de la nuit (1946) se composent par exemple de frottage interprété en paysage végétal, de peinture à l'huile cernant des silhouettes, à échelle variable, d'oiseaux nocturnes, de l'évocation géométrique d'une habitation (qui laisse percevoir par transparence un fragment du paysage et accueille l'ombre d'un hibou), et d'annotations « mathématiques[9]. »
    • « Les Phases de la nuit revêt une importance particulière pour Max Ernst puisqu’il en peint une autre version […][10] »
    • (en) Lynn Gamwell (en), Mathematics + Art: A Cultural History, Princeton University Press, (ISBN 978-0-691-16528-8, lire en ligne), p. 475.









  • Poème Hirondil-Hirondelle, versions, trad, brouillons, date, etc., à préciser Songeur
  • Exercice wikiquotien très intéressant, remontage de fil, ed, version &co, (pour « Notes une biographie ») p-e pointer les ed/versions (et n de p). Bon, arf, pour les illustrations… Lier à LdV, Macke &co…
  • Fin avril 2023 : voir Portail, projet cf. #Notes, suite (II).
  • Sur wp, améliorer les biblios ref&co principalement….
  • Aout 2023, MàJ bot Utilisateur:Malik2Mars/Brouillon/Notes#Tests  Vu
  • dans #SASDLR, voir :
    • Danger de pollution (préciser sur quote ✔️), 3, 1931, p. 22-25 [lire en ligne].
    • Loplop présente les membres du groupe surréaliste (Au rendez-vous des amis 1931), 1931, 4, p. 36-37.
    • Comment on force l’inspiration (Extraits du « Traité de la peinture surréaliste »), 6, 1933, p. 43-45 [lire en ligne].



Tests (modèles wd&co) :


Expo Aix 2023

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Images externes
Max Ernt et Dorothea Tanning, sculpture Capricorne, Sedona, photographie John Kasnetsis[n 6].
Max Ernst et Dorothea Tanning jouant aux échecs, Sedona, photographie Bob Towers[n 7].

« Qu’est-ce qu’une forêt ? Un insecte merveilleux. Une planche à dessin. Que font les forêts ? Elles ne se couchent jamais de bonne heure. Elles attendent le tailleur. Quelle est la belle saison des forêts ? C’est le futur »

— Max Ernst, Les mystères de la forêt[11].

  • Les mains aux oiseaux, 1925
  • Oiseau en cage, 1925
  • Une nuit d’amour, 1927
  • Malédiction à vous les mamans, 1928
  • A l’intérieur de la vue : les oiseaux, 1929
    • .
  • Aux antipodes du paysage, 1936
  • Épiphanie, 1940
  • Nocturne, 1949
  • Danseurs sous un ciel étoilé, 1951
  • Oiseaux bleus dans une forêt bleue, 1952
  • Soleil et oiseau dans l’espace, 1952
  • Quasimodo geneti, 1956
  • La Belle au bois, 1957
  • Où naissent les caprices, 1958
  • Reflets, 1959
  • Enfants de la nuit, 1960
  • Les jeunes et les jeux twistent, 1964


Notes et références

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 Projet:Dada et Surréalisme/Bibliothèque du projet

  • [Verkauf 1957] (de + en + fr) Willy Verkauf, Dada : Monograph of a Movement, (lire en ligne)
  • [Passeron 1991] René Passeron, Histoire de la peinture surréaliste, Librairie générale française, coll. « Le livre de poche », (1re éd. 1968) (ISBN 2-253-05587-5). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Durozoi et Lecherbonnier 1972] Gérard Durozoi et Bernard Lecherbonnier, Le surréalisme : théories, thèmes, techniques, Larousse, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Béhar 1979] Henri Béhar, Le Théâtre dada et surréaliste, Gallimard, coll. « Idées », (ISBN 2-07-035406-7) — 1ère ed. 1967, Étude sur le théâtre Dada et Surréaliste
  • "Cabaret Voltaire", "Der Zeltweg", "Dada", "Le Cœur à barbe" : 1916-1922, J.-M. Place, coll. « Collection des réimpressions des revues d'avant-garde », (ISBN 2-85893-044-9). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Mélusine 3, 1982] Henri Béhar (dir.), Marges Non-frontières : études et documents, L'Age d’homme, coll. « Mélusine » (no 3), (SUDOC 020171005, présentation en ligne)
  • [Béhar et Carassou 1984] Henri Béhar et Michel Carassou, Le Surréalisme, Librairie générale française, coll. « Le Livre de poche, Textes et débats », (ISBN 2-253-03445-2)
  • [Chadwick 1985] (en) Whitney Chadwick, Women artists and the surrealist movement, (ISBN 0-8212-1599-X, lire en ligne) — voir trad. fr. : ; autre ed.
  • [Hubert 1985] Renée Riese-Hubert, « La critique d'art surréaliste, création et tradition », Cahiers de l'AIEF, vol. 37, no 1,‎ , p. 213–227 (DOI 10.3406/caief.1985.1956, lire en ligne, consulté le )
  • [Noël 1985] (fr + en) Bernard Noël, Marseille-New York: une liaison surréaliste a surrealist liaison, Dimanche, (ISBN 2-86916-024-0). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'articleFrançoise Levaillant, « Bernard Noël, Une liaison surréaliste, Marseille-New York. 1940-1945. Texte en français et en anglais (traduction anglaise de Jeffrey Arsham). Marseille, André Dimanche éditeur, 1985. 144 p., nombreuses ill. n. et coul. », Revue de l'Art, vol. 72, no 1,‎ , p. 93–93 (lire en ligne, consulté le )
  • [Marseille 1986] "La planète affolée": surréalisme, dispersion et influences, 1938-1947 (exposition, Marseille, Centre de la Vieille Charité, 12 avril-30 juin 1986), Direction des musées/Flammarion, (ISBN 2-08-012900-7). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Mourier-Casile 1986] Pascaline Mourier-Casile, De la chimère à la merveille : recherches sur l'imaginaire fin de siècle et l'imaginaire surréaliste, L'Âge d'homme, (SUDOC 002275368). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Virmaux et Virmaux 1988] Alain Virmaux et Odette Virmaux, Les Surréalistes et le cinéma, Ramsay, coll. « Ramsay poche cinéma », (1re éd. 1976) (ISBN 2-85956-686-4). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Mélusine 11, 1990] Henri Béhar (dir.), Histoire-historiographie : études et documents, L'Age d’homme, coll. « Mélusine » (no 11), (SUDOC 021514798, présentation en ligne)
  • [Lécrivain 1990] Claudine Lécrivain, « La reception du surrealisme dans les revues litteraires d'Amerique Latine (1924-1950) », Estudios Humanísticos. Filología, no 11,‎ , p. 163-168 (DOI 10.18002/ehf.v0i11.4333)
  • [Caws, Kuenzli et Raaberg 1991] (en) Mary Ann Caws, Rudolf E. Kuenzli et Gwen Raaberg, Surrealism and women, MIT Press, (ISBN 0-262-53098-8, lire en ligne)
  • [Rispail 1991] Jean-Luc Rispail, Les surréalistes : une génération entre le rêve et l'action, Gallimard, (ISBN 2-07-053140-6, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Surréalisme et philosophie, Centre Georges Pompidou, coll. « Espace international philosophie », (ISBN 2-85850-643-4). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Avatares del surrealismo en el Perú y en América Latina /Avatars du surréalisme au Pérou et en Amérique Latine, Institut français d’études andines, coll. « Travaux de l'IFEA » (DOI 10.4000/books.ifea.2189)
  • [Chadwick 1998] (en) Whitney Chadwick (dir.), Mirror images : women, surrealism, and self-representation (exposition itinérante, Cambridge, Mass., MIT List Visual Arts Center, du 9 avril au 28 juin 1998 ; Miami, Miami Art Museum, du 18 septembre au 29 novembre 1998 ; San Francisco, San Francisco Museum of Modern Art, du 8 janvier au 20 avril 1999), MIT Press, (ISBN 0-262-53157-7, lire en ligne)
  • [Colvile et Conley 1998] Georgiana Colvile et Katharine Conley, La femme s'entête : la part du féminin dans le surréalisme, Lachenal & Ritter, (ISBN 2-904388-49-4, présentation en ligne)
  • [Colvile 1999] Georgiana Colvile, Scandaleusement d'elles : trente-quatre femmes surréalistes, J.-M. Place, (ISBN 2-85893-496-7). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'articleAnnie Richard, « Scandaleusement d’elles », Mélusine,‎ (lire en ligne)
  • [Durozoi 2002] Gérard Durozoi, Le surréalisme, Hazan, coll. « L'atelier du monde », (ISBN 2-85025-809-1). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Nathalie Limat-Letellier, Emmanuel Rubio et Maryse Vassevière, Surréalisme et pratiques textuelles (actes du séminaire du Centre de recherche sur le surréalisme), Phénix, (ISBN 978-2-7458-0987-2, lire en ligne)
  • [Adamowicz 2004] Elza Adamowicz, Ceci n'est pas un tableau: les écrits surréalistes sur l'art, l'Âge d'homme, coll. « Bibliothèque Mélusine », (ISBN 978-2-8251-1875-7). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Nathalie Limat-Letellier, Emmanuel Rubio et Maryse Vassevière, L'entrée en surréalisme (actes du séminaire du Centre de Recherche sur le Surréalisme), Phénix, coll. « Les pas perdus », (ISBN 2-7458-1332-3, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article :

    « Simone Grahmann, à propos de Max Ernst, rappelle pourtant combien l’entrée en surréalisme des peintres reste liée au débat sur la peinture surréaliste en tant que telle, et en interroge à chaque fois la nature. Comme pour rendre cette question plus épineuse encore, Myriam Felisaz-Debodard livre la chronique d’une entrée avortée : celle de Paul Klee »

  • [Dachy 2005b] Marc Dachy, Dada: la révolte de l'art, Gallimard, coll. « Découvertes Gallimard », 2005b (ISBN 2-07-031488-X). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Durozoi 2005] Gérard Durozoi, Dada et les arts rebelles, Hazan, coll. « Guide des arts », (ISBN 2-7541-0044-X). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Russo 2007] Adelaide Russo, Le Peintre comme modèle: du surréalisme à l'extrême contemporain, Presses Univ. Septentrion, (ISBN 978-2-85939-896-5, lire en ligne)
  • [Vernay et Walter 2008] Anne Vernay et Richard Walter (préf. Gérard Durozoi), La Main à plume: anthologie du surréalisme sous l'Occupation, Syllepse, coll. « Les archipels du surréalisme », (ISBN 978-2-84950-153-5). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Hemus 2009] Ruth Hemus, Dada's women, Yale University Press, (lire en ligne)
  • [Rosemont et Kelley 2009] Franklin Rosemont et Robin D. G. Kelley, Black, brown & beige: surrealist writings from Africa and the diaspora, University of Texas press, coll. « The surrealist revolution series », (ISBN 978-0-292-71997-2, présentation en ligne)
  • [Leclercq 2010] Sophie Leclercq, La rançon du colonialisme : les surréalistes face aux mythes de la France coloniale, 1919-1962, les Presses du réel, (ISBN 9782840663294, présentation en ligne)
  • Mélanie Leroy-Terquem, « « Enfoncé, Lanson ! », ou comment le surréalisme a changé l’histoire littéraire », Labyrinthe, no 35,‎ , p. 133–150 (DOI 10.4000/labyrinthe.4094, lire en ligne, consulté le )
  • Aux pays des merveilles. Les aventures surréalistes des femmes artistes au Mexique et aux États-Unis (catalogue d’exposition), (ISBN 9783791351650)
  • [Béhar et Carassou 2013] Henri Béhar et Michel Carassou, Le surréalisme par les textes, Classiques Garnier, coll. « Dictionnaires et synthèses », (ISBN 978-2-8124-2057-3). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Hugnet 2013] Georges Hugnet (postface Myrtille Hugnet, édition revue, augmentée et présentée par Alexandre Mare), Dictionnaire du dadaïsme: 1916-1922, Bartillat, (ISBN 978-2-84100-517-8). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Mélusine 33, 2013] Georgiana Colvile (dir.) et Annie Richard (dir.), Autoreprésentation féminine, L'Âge d'Homme, coll. « Mélusine » (no 33), (ISBN 978-2-8251-4308-7)
  • [Leinman 2015] Colette Leinman, Les catalogues d'expositions surréalistes à Paris 1924-1939, Rodopi, coll. « Faux titre », (ISBN 978-90-420-3917-9, lire en ligne)
  • [Haas 2018] Patrick de Haas, Cinéma absolu: avant-garde, 1920-1930, (ISBN 978-2-86589-111-5). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'articleSarah Leperchey, « Patrick de Haas, Cinéma absolu : avant-garde 1920-1930 », Critique d’art. Actualité internationale de la littérature critique sur l’art contemporain,‎ (DOI 10.4000/critiquedart.46699, lire en ligne, consulté le )
  • [Dempsey 2019] Amy Dempsey, Surréalisme, Flammarion, coll. « L'art en poche », (ISBN 978-2-08-146000-3)
  • [Bloess et Gabriel 2020] Georges Bloess (dir.) et Nicole Gabriel (dir.), Les surréalistes français et l'Allemagne, Mélusine, coll. « Mélusine numérique » (no II), (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Bellan et Drost 2021] (en + fr) Monique Bellan (dir.) et Julia Drost (dir.), Surrealism in North Africa and Western Asia: crossings and encounters, (ISBN 978-3-95650-858-5, lire en ligne)
  • [Chassey 2021] Éric de Chassey (dir.), Le surréalisme dans l'art américain: Dali, Ernst, Tanguy, Pollock, Rothko, Johns, Bourgeois (exposition, Marseille, Centre de la Vieille Charité, 11 mai-26 septembre 2021), Ville de Marseille/Réunion des musées nationaux-Grand Palais, (ISBN 978-2-7118-7479-8). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • [Hidalgo 2021] Marian Panchón Hidalgo, « Dictature versus démocratie : traduction et réception des Manifestes du surréalisme d’André Breton dans les années 1960 en Espagne et en Argentine », Palimpsestes. Revue de traduction, no 35,‎ , p. 114–128 (DOI 10.4000/palimpsestes.7219, lire en ligne, consulté le )


  1. « La recherche d’un « nouveau domaine d’expérience incomparablement plus vaste » (Max Ernst) inclut la contradiction comme possibilité de connaissance nouvelle. Voilà qui rejoint l’intention d’un Wittgenstein […][4]. »

    VI. Les romans collages

    • (p. 173) « Relevons l’allusion à l’ « acharnement » et à la « méthode ». Une étude des romans-collages ne doit pas ignorer cette importante déclaration. » / (p197) «  ».
  2. « As a result in New York we had artists, but no art. Art is not produced by one artist, but by several. It is to a great degree a product of their exchange of ideas one with another[7]. »
  3. Brunella Eruli, « Le moule et le clou : Les objets idiots de Roussel », dans Raymond Roussel : Perversion classique ou invention moderne ?, Presses universitaires de Rennes, coll. « Interférences », (DOI 10.4000/books.pur.48079, lire en ligne)
    • Günter Metken, « Max Ernst (1891-1976) », sur Encyclopædia Universalis (consulté le ) : « On a appelé Max Ernst le « Léonard du surréalisme ». Il ressemble en effet au grand Florentin par l'étendue de sa culture, par ses multiples intérêts (philosophiques, mathématiques, littéraires), comme par sa volonté de tout expérimenter, de tout connaître. »
    • Marteau 1968, cité d’après Aude Bodet, « Le génie de Max Ernst est de retour », dans Le Clech 2015, p. 29.
  4. (ill. Spies 1991, p. 250-251) p. 230 : « dans les petits casiers de cet agencement, [il] a placé ce qu’il voulait sauver de son univers et de sa vision du monde ».
  5. HS 2023, p. 11, Mazzotta et Pech 2023, p. 24, Metz 2018, p. 207, Spies 2007, p. 203, Caws 2006, p. 166, Spies et Rewald 2005, p. 289, Spies 1998, couverture, Spies 1991, p. 326, Maeght 1983, p. 150.
  6. HS 2023, p. 20, Mazzotta et Pech 2023, p. 101, List 2005, p. 105, Spies 2007, p. 209, Spies 1998, p. 148.

Références

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  1. Max Ernst, « Au-delà de la peinture », Cahiers d'Art, nos 6-7,‎ (lire en ligne), repris dans Ernst 1970, p. 263.
  2. Ernst 1936, p. [lire en ligne], repris dans Ernst 1970, p. 252
  3. Les Collages, Hermann, (1re éd. 1965) (ISBN 978-2-7056-5917-2, DOI 10.14375/np.9782705685140, lire en ligne), p. 64; Écrits sur l'art moderne (préf. Jacques Leenhardt, sous la direction de Jean Ristat), Flammarion, (ISBN 978-2-08-124084-1), p. 76.
  4. Spies 1984, p. 185 ((Wittgenstein 1983) Remarques sur les fondements des mathématiques).
  5. Alain Bonnet, « Au rendez-vous des amis dans la tradition thématique du portrait d’artistes en groupe », dans Drost et Reliquet 2014, p. 195.
  6. Biro et Passeron 1982, p. 194.
  7. (en) James Johnson Sweeney, « Eleven Europeans in America », The Bulletin of the Museum of Modern Art, vol. 13, nos 4/5,‎ , p. 17 (DOI 10.2307/4058114, lire en ligne); List 2005, p. 15.
  8. en suivant les liens, texte wiki de https://archive.org/details/commentjaiecritc0000rous/page/23, voir aussi ed (ISBN 2-07-074120-6)
  9. Durozoi 1997, p. 509.
  10. Drost 2016.
  11. « Les mystères de la forêt », Minotaure (revue), no 5,‎ (lire en ligne), repris dans Ernst 1970, p. 221.
  12. Idem, via wd : Lise Lerichomme, « Le Splendide XIXe siècle des Surréalistes (sous la dir. de Julia Drost et Scarlett Reliquet) », Critique d'art,‎ (ISSN 1246-8258 et 2265-9404, OCLC 38712686, DOI 10.4000/CRITIQUEDART.15611).Voir et modifier les données sur Wikidata