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- Turandot - Dans le Turandot de Giacomo Puccini Au temps d’une Chine médiévale imaginaire, la cruelle princesse Turandot, dont la beauté est légendaire, attire à Pékin possède de nombreux prétendants, lesquels doivent se soumettre à une terrible épreuve : s’ils élucident les trois énigmes que leur propose la princesse ils gagnent la main de celle-ci ainsi que le trône de Chine ; s’ils échouent, c’est la décapitation qui les attend.
Le metteur en scène Zhang Yimou traite du masochisme de Liu.
« Liu s'approche de la princesse, hautaine dans sa splendeur, et, d'un geste foudroyant, lui ôte son épingle à chapeau. Puis, elle se tue en enfonçant l'épingle dans sa bouche : sa liberté d'esclave ne peut vivre que dans la mort, et l'épingle est la seule « arme » que les femmes chinoises possédaient »[1].
Selon l'écrivain Michel Leiris « Turandot, Une somptueuse chinoiserie, Puccini traite l'histoire de la princesse qui fait décapiter ses prétendants, incapables de résoudre les énigmes qu'elle leur propose. (…) la jeune esclave Liu, qui se poignarde pour préserver l'incognito du prétendant vainqueur dont elle causerait la mort en révélant son nom »[2]
- Sandro Cappelletto, « Zhang Yimou met en scène un somptueux « Turandot », sur lemonde.fr, (consulté le )
- Michel Leiris, De la littérature considérée comme une tauromachie, Gallimard, kindle 2604-2608
- Les Valkyries est un opéra dont livret est rédigé par Richard Wagner. Cet opéra fait références aux mythologies germaniques, Richard Wagner s’est inspiré de la tragédie grecque. Dans la mythologie nordique, les Walkyries sont des vierges guerrières.
Brunehilde est au centre de l’opéra en tant que préférée de Wotan. Elle est cité par Theodor Reik parmi la longue lignée des femmes cruelles, mythiques comme Salomé, Turandot qui menaçaient généralement de tuer ou faire décapiter [2].
Les Walkyries sont des servantes de Wotan. Brünnhilde est la principale et elle est la préférée de Wotan Dans la mythologie nordique. Les Walkyries doivent choisir les plus valeureux guerriers morts au champs de bataille afin de les conduire au Walhalla. Dans la Tétralogie, elles sont au nombre de neuf. Avec Waltraute, Brünnhilde.tient l’un des rôles les plus important.
Elle épouse le Roi Gunther et l’enchaine, le suspend au plafond comme un sac de viande durant sa nuit de noce.
Ainsi Brunhilde est source d’un désir fantasmatique chez Leopold von Sacher Masoch qui confie dans la Vénus à la fourrure précédée de la présentation de Gilles Deleuze : « J’enviais le roi Gunther enchainé par la puissante Brunehild la nuit de ses noces » [3]
- Ayant découvert que Gunther avait utilisé la ruse pour l'épouser, Brunehilde se venge en le faisant attacher nu au plafond de la chambre nuptiale.
- Theodor Reik, p. 188 Édition 1971
- Leopold von Sacher Masoch, La Vénus à la fourrure avec la présentation de Gilles Deleuze, Paris, Editions de Minuit, , 278 p. (ISBN 2-7073-0332-1), p. 155