Aller au contenu

Trois-Palis

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Trois-Palis
Trois-Palis
L'église romane de Trois-Palis.
Blason de Trois-Palis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Denis Durocher
2008-2026
Code postal 16730
Code commune 16388
Démographie
Gentilé Tripaliciens
Population
municipale
935 hab. (2021 en évolution de −0,43 % par rapport à 2015)
Densité 222 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 28″ nord, 0° 03′ 23″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 92 m
Superficie 4,22 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Angoulême
(banlieue)
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Trois-Palis
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Trois-Palis
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Trois-Palis
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Trois-Palis
Liens
Site web www.trois-palis.fr

Trois-Palis est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Tripaliciens et les Tripaliciennes[1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation et accès

[modifier | modifier le code]

Trois-Palis est une commune située 8 km à l'ouest d'Angoulême dont elle fait partie de l'aire urbaine, dans la vallée de la Charente, sur la rive droite du fleuve.

Le village de Trois-Palis est aussi à 5 km au sud-est d'Hiersac, chef-lieu de son canton, 10 km à l'est de Châteauneuf[2]. Elle fait partie du Grand Angoulême, la commune est proche à l'est et au sud des communes membres de Nersac, La Couronne, Saint-Michel, Linars, Fléac...

À l'écart des grandes routes, la commune est traversée par la D 72, qui longe la rive droite de la Charente en direction d'Angoulême à l'est, et par la D 41 qui franchit la Charente au pont de la Meure et relie la commune à Nersac. La D 41 va au nord-ouest vers Saint-Saturnin et Hiersac. La D 84 et la D 53 traversent aussi l'ouest de la commune[3].

Hameaux et lieux-dits

[modifier | modifier le code]

L'habitat est assez dispersé et la commune compte quelques hameaux : Villars au nord, Puybertier et l'Ageasson à l'ouest, près de Rochecorail. Il y a aussi quelques lotissements, comme Pré Richard à l'est du bourg, ou la Plaine près de Villars[3].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Trois-Palis
Saint-Saturnin
Champmillon Trois-Palis Linars
Sireuil Nersac

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Géologiquement la commune appartient aux calcaires du Bassin aquitain, comme les trois quarts ouest du département de la Charente, mais elle est à la limite du Jurassique qui occupe la moitié nord du département et le Crétacé au sud.

Le Portlandien (Jurassique supérieur) occupe une bande centrale est-ouest de la commune, à une altitude entre 30 et 50 m (à la hauteur de la D.72). Au-dessus, on trouve le plateau de Cénomanien (Crétacé supérieur[Note 1]), qui occupe la moitié nord et l'ouest de la commune.

La vallée de la Charente est occupée par les alluvions du Quaternaire, plus récentes pour la partie inondable, et qui atteignent quelques mètres pour les plus anciennes, et constituent une terrasse alluviale entre Cheneuzac et le bourg. On trouve aussi des grèzes au nord-ouest du bourg[4],[5],[6].

La commune occupe la vallée de la Charente, ainsi que des bas plateaux sur sa rive droite. Le point culminant est à une altitude de 92 m, situé sur la limite nord près de Villars. Le point le plus bas est à 22 m, situé le long du fleuve. Le bourg situé dans la vallée est à environ 30 m d'altitude[3].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Trois-Palis.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est sur la rive droite de la Charente en aval d'Angoulême, et le fleuve en arrose toute la bordure sud.

Gestion des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Au , Trois-Palis est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 94 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,2 %), zones urbanisées (18,4 %), prairies (18,1 %), forêts (17,5 %), cultures permanentes (7,5 %), terres arables (1,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Trois-Palis est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) Saintes-Cognac-Angoulême, regroupant 46 communes concernées par un risque de débordement du fleuve Charente (34 en Charente et 12 en Charente-Maritime), un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[19]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de l'hiver 1779, de 1842, de 1859, du du , du , de mars-avril 1962, du et du . Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999 et 2021[21],[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Trois-Palis.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 384 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 384 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Les formes anciennes latinisées sont Tribus Palliis vers 1300[25], Tres Palas[26], Tribus Paliis (non datée, Moyen Âge)[27].

L'origine du nom de Trois-Palis nom vient du bas latin palicia signifiant « palissade ». Il signifie donc "Trois palissades" ou "triple enceinte". C'est le sens de palis au Moyen Âge qui est passé en ancien français[28],[29].

Au Moyen Âge, Trois-Palis était sur un des chemins de pèlerinage en Charente[Note 3]. Une barque transportant des pèlerins qui rentraient à Pomport en Périgord avait chaviré sur la Charente en 1538 et avait fait 39 victimes[28].

En 1535, lorsque Jean Calvin, traqué, vint se réfugier à Angoulême sous le nom de Charles d'Hespeville, il trouva d'abord asile chez le curé de Claix, Louis du Tillet, puis sa retraite découverte, sur le conseil d'amis, il s'est réfugié dans les grottes de Rochecorail pour y achever son ouvrage « De l'Institution chrétienne ».

Ces grottes forment plusieurs chambres assez vastes, agrandies par la main de l'homme, et reliées au logis par un pont-levis. Elles comprenaient un silo creusé et couvert, et elles ont dû être habitées dès les temps anciens pour servir de refuges. D'après la tradition, Calvin habita la plus vaste de ces chambres.

À la fin du XVIIe siècle, lors de la Révocation de l'édit de Nantes, les protestants, persécutés par les dragonnades, trouvèrent aussi refuge dans ces grottes.

Les registres de l'état civil de la commune remontent à 1600, ce qui est assez ancien pour le département[30].

L'usine de la Mothe vue depuis l'écluse.

Trois-Palis comptait plusieurs moulins dont un moulin à blé au lieu-dit la Mothe. En 1836 a été construite à sa place une usine métallurgique qui a été transformée en 1886 en usine à papier puis devient une annexe de la tannerie de Sireuil dans les années 1930. Elle est transformée en centrale hydroélectrique en 1963. Au milieu du XIXe siècle, il y avait six roues hydrauliques. En 1988, il y a deux turbines de la Société hydromécanique de Toulouse et un générateur CEM de 300 kW[31].

Au début du XXe siècle, l'industrie était aussi représentée par les carrières de pierre de taille de Rochecorail[30].

Administration

[modifier | modifier le code]
Mairie de Trois-Palis.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1978 2008 Marie-France Michaud RPR-UMP Conseillère générale
2008 En cours Denis Durocher SE Technicien de maintenance

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 935 habitants[Note 4], en évolution de −0,43 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
293326268271295268258266311
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
288263321319361322355341351
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
343363293313272260253301318
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
324352504555673711750813939
2020 2021 - - - - - - -
933935-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 459 hommes pour 489 femmes, soit un taux de 51,58 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,3 
90 ou +
3,7 
8,4 
75-89 ans
8,7 
20,4 
60-74 ans
17,9 
21,9 
45-59 ans
22,7 
17,5 
30-44 ans
17,7 
10,8 
15-29 ans
10,6 
19,7 
0-14 ans
18,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 
L'entrée de la chocolaterie Letuffe.

Agriculture

[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[38].

Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété.

Industrie et commerces

[modifier | modifier le code]

Trois-Palis n'a plus ses moulins, une chocolaterie renommée s'y est installée.

Équipements, services et vie locale

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Champmillon et Trois-Palis. Trois-Palis accueille l'école primaire, et Champmillon l'école élémentaire.

L'école communale s'appelle Georges-Brassens et elle est située en face de la mairie.; elle comprend une classe de maternelle et deux classes d'élémentaire. Le secteur du collège est Saint-Michel[39].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame

[modifier | modifier le code]
Le clocher et le chevet.

L'église paroissiale Notre-Dame est romane et date du XIIe siècle. Elle possède un clocher roman à deux étages de baies cintrées et une flèche conique. Une coupole est à la croisée et les chapiteaux sont ornés de sculptures. Au pignon de la façade, des bas-reliefs figurent le Christ entre les symboles évangéliques. Sa façade a été endommagée à la Révolution, et lourdement restaurée au XIXe siècle[28]. Elle a été classée monument historique le [40].

Logis de Rochecorail

[modifier | modifier le code]
Le logis de Rochecorail vu du pont de la Meure.

Le logis de Rochecorail date du XVIe siècle. Fuie XVIIe siècle, couverte en pierre.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Trois-Palis se blasonnent ainsi :

Deux écus accolés : le premier d'azur au chevron d'or accompagné en chef d'un croissant d'or accosté de deux étoiles d'argent et en pointe d'une rose de même. Le deuxième d'or (d'argent) au poirier arraché au naturel, feuillé de sinople et fruité du champ.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Il n'y a pas de Crétacé inférieur en Charente. Le Crétacé supérieur est directement en contact avec le Jurassique.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Chemin transversal, venant du Limousin et Périgord, passant par Angoulême et longeant la Charente jusqu'à Saintes où les pèlerins se rendaient pour y vénérer les reliques de saint Eutrope.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Trois-Palis » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Trois-Palis », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur insee.fr (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angoulême », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Trois-Palis », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « cartographie des risques d'inondations du TRI Saintes-Cognac-Angoulême », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Trois-Palis », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 59,66,283
  26. Bulletin de la Société archéologique, 1865, p.91
  27. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 157
  28. a b et c Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 162-164
  29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 687.
  30. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 391-392
  31. « Usine hydro-électrique de la Mothe », notice no IA00066413, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Trois-Palis (16388) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  38. Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Crus du cognac par communes » [PDF], (consulté le ).
  39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  40. « Église Notre-Dame », notice no PA00104526, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]