Tornada
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Au Moyen Âge, une forme fixe de chanson utilisée par les troubadours était la canso. La tornada était le dernier couplet.
La longueur de la tornada était généralement égale à la moitié de la longueur des autres couplets, et elle servait d'envoi.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michel Zink, « Tornada », Les troubadours. Une histoire poétique, sous la direction de ZINK Michel. Paris, Perrin, « Tempus », 2017, p. 311-312.
- Philippe Martel, Les Troubadours dans le texte occitan du xxe siècle, Les Troubadours, Études et textes occitans, no 1, p. 11-16, Classiques Garnier, 02/10/2015, (ISBN 978-2-8124-3341-2).
- Shaun Lalonde, University of Toronto, Réception et réinvention de la tornada dans l’Italie du treizième siècle, Colloque Les Troubadours et l’Italie XIIIe – XVIe siècles, Département d’études italiennes, Montpellier, Médiathèque Emile Zola, 10/05/2012.
- Patrice Uhl, La tenso entre Montan et une dame (P-C 306. 2) : petit dialogue obscène entre amics fins. Expressions, Université de la Réunion, 2008, Les enjeux des pratiques artistiques à l'école, 31, p. 67-85, hal-02406935.
- Chantal Phan, La tornada et l'envoi : fonctions structurelles et poïétiques. In: Cahiers de civilisation médiévale, 34e année (no 133), janvier-mars 1991. p. 57-61.
- Didier Stampart, Paroles et présences : étude de la Tornada dans la chanson d'amour des troubadours occitans (XIe – XIIIe siècles), Thèse, Université de Liège, 1982.
