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Thomas Blanchet

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Thomas Blanchet
Portrait gravé de Thomas Blanchet dans Teutsche Academie, 1675-1683.
Naissance
Vers 1614
Paris
Décès
Nationalité
Activités
Autres activités
Maître
Lieux de travail
Italie (jusqu'en ), Rome (-), Lyon (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mouvement
Classicisme (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Influencé par
Distinction
Réception à l'Académie royale en 1676
signature de Thomas Blanchet
Signature

Thomas Blanchet, né vers 1614 à Paris et mort le à Lyon, est un peintre français du XVIIe siècle.

Thomas Blanchet fait son apprentissage dans l'atelier de Simon Vouet. Il est probable que le sculpteur Jacques Sarrazin l'ait orienté vers la peinture chez son beau-frère Simon Vouet, alors que le jeune garçon était intéressé par la sculpture. (C'est l'hypothèse de Lucie Galactéros [1]).

Période romaine

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Son talent est bientôt remarqué, comme beaucoup d'artistes, sur les conseils de son maître il part se perfectionner en Italie vers 1635-1640.

Sa présence est attestée à Rome en 1647, jusqu'en 1654[2].

Il bénéficie des conseils de Nicolas Poussin, d'Andrea Sacchi de Pierre de Cortone. Le Bernin semble l'avoir tenu en haute estime. Il est alors reconnu pour ses vedute, petits tableaux sur des sujets antiques. Avec les artistes qui séjournent à Rome, il participe aux chantiers de décoration et à la création d'installations éphémères des fêtes romaines[3].
Il réalise un grand tableau dans la basilique de Loreto : Saint-Louis en prière dans la sainte Maison de Lorette[4] ; cette commande d'Anne d'Autriche témoigne de la faveur de Blanchet dans les milieux diplomatiques[5].

Période lyonnaise

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Hôtel de ville de Lyon

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Appelé à Lyon en [6], grâce à cette renommée Thomas Blanchet est chargé par le Consulat et l'archevêque Camille de Neufville de Villeroy de la décoration du nouvel Hôtel de Ville de Lyon. Il coopère pendant trente ans avec Germain Panthot. Ils réalisent l'escalier d'honneur et le grand salon, sur un programme iconographique conçu par Ménestrier, achevé en 1674. Ils reçoivent des commandes des plafonds et décors des différents salons du Consulat. L'artiste peint les portraits des rois Henri IV et Louis XIV qui y trouvent leur place. Thomas Blanchet conçoit "un ensemble décoratif exceptionnel, réalisé entre 1655 et 1674, alors considéré comme l'un des panégyriques municipaux les plus éloquents du XVIIe siècle européen"[7]. L'incendie du détruit une grande partie de ce décor, notamment le grand salon. Blanchet est chargé du projet de reconstruction de la façade et du beffroi, qui ne sera pas réalisé, mais il inspirera les architectes du XVIIe siècle [8].

Abbaye des Dames de Saint-Pierre

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En , l'abbesse Antoinette de Chaulnes lui confie plusieurs projets, développant une iconographie savante, qu'il supervise jusqu'en 1684[7].

Th. Blanchet a fourni aux sculpteurs le plan et les dessins, il est le maître d'œuvre de ce chantier.

Les décors sont conçus par Thomas Blanchet, il confie les sculptures à Simon Guillaume, les peintures à Louis Cretey et les blasons à Marc Chabry.

Collège de la Trinité

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En ,Thomas Blanchet réalise de fresques dans la Cour des études du collège des Jésuites. Ce lieu est actuellement le collège Ampère. Il dessine les tribunes de l'église. En , il crée le grand autel et le retable de l'Assomption dans la chapelle des Messieurs [9]. Il peint encore douze tableaux de la Vierge (qui ont disparu)[10].


Palais de Roanne (ancien palais de la justice royale)

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En , Blanchet est chargé de concevoir trois peintures pour la décoration du plafond de la grande chambre des audiences au Palais de Roanne[11] :

  • La Distinction du juste et du faux, plafond de la salle d'audience de la quatrième chambre de la Cour d'Appel.
  • Le Triomphe éternel de la Vérité, plafond de la salle d'audience de la deuxième chambre de la Cour d'Appel.
  • Le châtiment des vices se trouve actuellement au MBA de Lyon.

Parmi les autres tableaux illustrant la justice, il reste celui-ci dans le palais de justice :

  • Tuccia, la Vestale innocentée.

Décors éphémères

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Avec son atelier, il crée des décors éphémères pour les fêtes lyonnaises telles les feux de la Saint-Jean chaque année, les entrées solennelles à Lyon et autres événements... Le séjour de Louis XIV à Lyon en , les Réjouissances de la Paix en 1660[12], la naissance du Dauphin en , la réception du cardinal Chigi en [13], le Jubilé en , ces fêtes sont l'occasion de décors et machines éphémères créées par Blanchet, en collaboration avec Menestrier auxquelles travaille son équipe avec le peintre Germain Panthot et le sculpteur Jacques Mimerel [14].

Autres travaux

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  • Le Carmel

En , il crée le maître-autel et le retable du Carmel de Lyon. En , il organise la pompe funèbre du Maréchal Nicolas de Villeroy et dessine le tombeau de celui-ci pour la chapelle des Villeroy[15].

  • Portraits

Son atelier produit une grande quantité de portraits et des sujets historiques, la municipalité et l'Église étant les deux principaux donneurs d'ordre. En , il peint le portrait de Camille de Neufville de Villeroy pour la chapelle des Pénitents du Confalon. Ce portrait se trouve actuellement au musée d'histoire de Lyon[16]. En , "Mandement de 600 livres à Thomas Blanchet pour les " peintures (portraits, au nombre de vingt, tant du Roi Louis XIV, de la Reine, des princes et des gouverneurs de la ville, que des échevins, exécutés sur vélin dans les recueils destinés à cet objet et conservés aux archives de la ville), et fournitures (armoiries de mais) qu'il a faites pour le Consulat et de son ordre, pendant la présente année, "[17].

  • œuvres d'architecture

Thomas Blanchet est l'architecte le plus en vue à Lyon après le chantier de l'Hôtel de ville [18].

Camille de Neufville lui commande les plans de l'aménagement de son domaine d'Ombreval à Vimy, actuellement Neuville-sur-Saône. Il réalise le Nymphée qui se trouve encore dans le jardin municipal.

Dans les années 1666-1668, il réalise probablement (?) la vue perspective de la maison des champs de la Gallée (Millery, Rhône), propriété de Thomas de Moulceau[19].

Le , Constant de Silvecane passe commande pour le pavillon du Temple de la Muse de son domaine de Cornevent, à Vernaison[20].

Le , François de La Chaise d'Aix lui commande le dessin du portail du château de la Chaize (Odenas)[21]. L. Galactéros[22] estime qu'il en a conçu aussi la galerie et la décoration intérieure, inspirée des peintures de l'Hôtel de ville de Lyon.


  • Famille

Le frère de Thomas, Louis Blanchet est nommé maître de métier pour les peintres de Lyon en [23]; ils travaillent ensemble.

Thomas Blanchet épouse Anne de la Cauche. Ce couple n'aura pas d'enfant.

Thomas Blanchet loge dans l'hôtel de ville où il a son atelier.

En 1675, à la mort de Germain Panthot (le ), Thomas Blanchet est nommé peintre officiel de la ville de Lyon[24].

Le , par un lettre écrite de Lyon, il sollicite son admission à l'Académie royale et propose de présenter un tableau de réception sur le sujet que lui demandera l'Académie. Dans la même lettre, il propose d'ouvrir une école de dessin à Lyon. Le 2 janvier 1677, l'Académie désigne Thomas Blanchet et Antoine Coysevox pour faire tout ce qui est nécessaire pour l'établissement d'une école de dessin à Lyon. Le , Charles Le Brun présente à l'Académie le tableau de réception de Thomas Blanchet, professeur de l'École académique de Lyon, représentant Cadmus et Minerve. Le , Thomas Blanchet prête serment à Paris devant le chancelier, les recteurs, adjoints de recteurs, professeurs et adjoints de professeurs[25].

L'École académique de Lyon ne fonctionnera guère [26].

Le , Sieur Thomas Blanchet peintre du Roy et de messieurs les prevosts des marchands et eschevins de Lyon, âgé de 75 ans meurt dans l'Hôtel de ville de Lyon où il réside. Il est inhumé le lendemain dans l'église Saint-Pierre[27].

Rue Thomas Blanchet (Lyon) - panneau de la rue

Le , la ville de Lyon donne son nom à une rue dans le quartier de Perrache, elle disparait en , car l'emplacement est acquis par la Compagnie de chemin de fer[28].

En , la rue Thomas-Blanchet, dans le 8e arrondissement de la ville de Lyon, lui est dédiée[29].

Influencé par les artistes qu'il a fréquentés à Rome, il en tire un style ample, fluide et énergique. Il joue un rôle important dans l'essor du classicisme italien à Lyon, rompant avec l'influence de Le Blanc. « Sa principale originalité provient de la manière dont il parvient à associer l'austérité méditative de Poussin au lyrisme et à la sensualité du grand décor romain »[30].

Dans l'étude de L. Galactéros[26], sont répertoriés : 166 peintures, 114 dessins, 83 gravures ainsi que des ouvrages illustrés. Plusieurs de ses œuvres ont été perdues, toutefois d'importants musées en conservent. Le Musée du Louvre possède 25 dessins et 2 peintures sur toiles. Le Musée des Beaux-Arts de Lyon possède neuf de ses œuvres [31] et des décors dans l'Escalier d'honneur et le Réfectoire. Le musée de l'Ermitage à Leningrad [32] conserve deux tableaux et un dessin.

En , il répond à la commande des Mays de Notre-Dame avec le Ravissement de saint Philippe offert à Notre-Dame de Paris. Ce tableau se trouve au musée des Beaux-Arts d'Arras[33].

Une Nativité avec Gloire (vers 1680) commandée par les Oratoriens. Placé à l'origine au-dessus du maitre-autel[34], le tableau a été déplacé dans la chapelle du Sacré-Cœur de l'Église Saint-Polycarpe de Lyon.

Une Adoration des bergers (1688) se trouve dans l'église Saint-Paul de Lyon.

  • Orléans, musée des Beaux-Arts:
    • Étude pour la Prudence (?), pierre noire, rehauts de craie blanche, mis au carreau à la pierre noire, sur papier vergé, 29 x 24,9 cm[35].
    • Étude pour la Force (?), pierre noire, rehauts de craie blanche, mis au carreau au graphite, sur papier vergé, 32 x 28,5 cm[36].                                                
    • Femme tenant un reliquaire ou un édicule religieux dans la main droite, graphite, rehauts de craie blanche, filet d’encadrement rapporté à la plume et à l’encre brune, sur papier vergé beige doublé, 41,7 x 23,7 cm[37].
Œuvre Titre Date Dimensions Localisation Remarques
Paysage avec un sarcophage 1650-1652 100 x 140 Musée de l'Ermitage, Saint-Petersbourg numéro d'inventaire 2595
Cleobis et Biton vers 1650 98 x 132 Nationalmuseum, Stockholm[38] numéro d'inventaire 6782
Mercure et Hersé vers 1650 97 x 110 Portland Art Museum Portland Oregon numéro d'inventaire 2001.12
Pygmalion et Galatée vers1650 74 x 99 coll. particulière
Moïse sauvé des eaux 1653-1655 965 x 1330 Musée du Louvre[39] R.F. 1985-88
La Résurrection de Lazare 1655 147 x120 coll. particulière
La Fortune et le Bon Génie de Rome vers 1650 60 x 99 Lyon, Musée des Beaux-Arts Inventaire 1999-1.
Le Temple d'Auguste Modelo pour les peintures de la voûte de la Grande Salle de l’Hotel de ville de Lyon 1665 580 x 1253 Lyon, Musée des Beaux-Arts Inv. A 3017
Iris coupe le cheveu fatal à Didon sur le bûcher vers 1655-1660 162 x 195 Musée des beaux-arts de Dijon[40]
La Grandeur consulaire de Lyon 1659 560 x 400 Hôtel de ville de Lyon, plafond de la salle du Consulat
Apothéose romaine dit Triomphe romain ou Apothéose de César vers 1658-1663 265 x 242 Lyon, Musée des Beaux-Arts Inv A 15
Le Sacrifice de la fille de Jephté vers 1670-1680 Lyon, Musée des Beaux-Arts Inventaire 2019 10.1
L'Archevêque Camille de Neuville de Villeroy vers 1670 65 x 54,5 Musées Gadagne Œuvre appartenant au musée des Beaux-Arts de Lyon Photographe Alain Basset Inv A 138
L'Éternelle fidélité de Lyon à la Royauté Modello pour le plafond de la Salle de la Nomination à l'Hôtel de ville de Lyon. 1671 60 x 99 Lyon, Musée des Beaux-Arts Inventaire 1956-17.
Nativité avec une Gloire v. 1680 520 x 280 Lyon, Eglise Saint-Polycarpe Patrimoine mobilier, base Palissy
L'Adoration des Bergers v. 1686 270 x 193 Lyon, église Saint-Paul
Tuccia, la Vestale innocentée 1687 150 x 100 Lyon, Palais de justice
Mater Dolorosa 1689 251 x 170 Chapelle de l'Hôtel-Dieu de Lyon 2007.0.7265.P ; HOD 67

Notes et références

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  1. Galactéros 1991, p. 49.
  2. Archivio del Vicariato, Stati d'anime, cité par L. Galactéros, 1991, page 50
  3. Galactéros 1991, p. 64.
  4. Aujourd’hui conservé dans la salle 7 du Musée du Palais apostolique de Lorette dans les Marches italiennes
  5. Galactéros 1991, p. 63.
  6. Archives de Lyon, Délibérations municipales, registres des actes consulaires BB210, folios 106 à 109, lire en ligne.
  7. a et b Dufieux 2019.
  8. Galactéros 1991, p. 153.
  9. [1] Chapelle de l'Assomption _ Inventaire du patrimoine culturel de la région Auvergne-Rhône-Alpes
  10. Galactéros 1991, p. 183 à 190.
  11. Galactéros 1991, p. 195 à 202.
  12. [2] Les Rejouissances de la paix, faites dans la ville de Lyon, le 20 mars 1660, lire en ligne
  13. Ménestrier 1664.
  14. Galactéros 1991, p. 202 à 235.
  15. Galactéros 1991, p. 190 à 193.
  16. n°inventaire A 138
  17. Archives Municipales de Lyon, BB 240. Délibérations consulaires, 1679. Actes consulaires.
  18. Galactéros 1991, p. 380.
  19. ALLIMANT-VERDILLON (Anne), Domaine de la Gallée. Étude historique, Centre de Ressources de Botanique Appliquée (CRBA), 2017.
  20. Archives Départementales du Rhône, 3E6006, f°849.
  21. Archives Départementales du Rhône, 3 E 3945. Prix fait daté du 2 novembre 1676.
  22. Galactéros 1991, p. 386.
  23. Audin 1918.
  24. Archives Municipales de Lyon BB 231. Délibérations consulaires, 1675. Actes consulaires. Provisions de peintre ordinaire de la ville en faveur de Thomas Blanchet, par suite de la démission pure et simple de Germain Panthot, titulaire de l'emploi
  25. Anatole de Montaiglon, Procès-verbaux de l'Académie royale de peinture et de sculpture, 1648-1793, tome II, 1673-1688, J. Baur libraire, Paris 1878, p. 83, 88, 98, 196, 203, 216-217 (lire en ligne)
  26. a et b Galactéros 1991.
  27. [3] Archives de Lyon, BMS
  28. Vanario, Rues de Lyon à travers les siècles, Lyon, éditions lyonnaises d'art et d'histoire, , 333 p. (ISBN 284147 126 8), p.39
  29. Patrice Béghain, Dictionnaire historique de Lyon, Lyon, S. Bachès, impr. 2009 (ISBN 978-2-915266-65-8 et 2-915266-65-4, OCLC 470566006, lire en ligne), p. 160
  30. Rosenberg 2013, p. 313.
  31. [4] MBA-Lyon
  32. [5]
  33. Galactéros 1991, p. 352 à 355.
  34. Galactéros 1991, p. 341 à 344.
  35. Dominique Brême et Mehdi Korchane, Dessins français du musée des Beaux-Arts d’Orléans. Le Trait et l’Ombre, Orléans, musée des Beaux-Arts, (ISBN 9 788836 651320), n°25
  36. Dominique Brême et Mehdi Korchane, Dessins français du musée des Beaux-Arts d’Orléans. Le Trait et l’Ombre, Orléans, musée des Beaux-Arts, (ISBN 9 788836 651320), n°26
  37. Dominique Brême et Mehdi Korchane, Dessins français du musée des Beaux-Arts d’Orléans. Le Trait et l’Ombre, Orléans, musée des Beaux-Arts, (ISBN 9 788836 651320), n°27
  38. Cléobis, Stockholm (musée)
  39. [6]Musée du Louvre
  40. « collections du musée des beaux-arts de dijon - Affichage d'une notice », sur mba-collections.dijon.fr

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Bibliographie

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  • Claude-François Ménestrier, L’entrée solennelle dans la ville de Lyon de monsieur l’Eminentissime cardinal Flavio Chigi, Lyon, (lire en ligne)
  • Natalis Rondot, Les peintres de Lyon du quatorzième au dix-huitième siècle, Paris, (lire en ligne)
  • Léon Charvet, « Recherches sur la vie et les œuvres de Thomas Blanchet peintre et architecte », dans Réunion des sociétés des beaux-arts des départements, Paris, Typographie E. Plon, Nourrit et Cie, (lire en ligne), p. 85-169
  • Marius Audin et Eugène Vial, Dictionnaire des artistes et ouvriers d’art lyonnais, vol. 1, Paris, Bibliothèque d'art et d'archéologie, , p. 92 à 95.
  • Alexandre-Pierre-François Robert-Dumesnil, Le peintre-graveur français, tome 6, Paris, 1842.
  • Chou Ling, Thomas Blanchet, Sa vie, ses œuvres et son art, Lyon, 1941.
  • René Jullian, Lyon et le baroque : Revue Provence historique, t. 22, Univ Aix (no 88), , 137-141 p. (lire en ligne).
  • Lucie Galactéros, Thomas Blanchet : 1614-1689, Paris, Arthena, , 621 p. (ISBN 2-903239-11-8). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Nicolas Jacquet, Façades lyonnaises : 2000 ans de création architecturale et de confluence culturelle, Paris, Les beaux jours, , 239 p. (ISBN 978-2-35179-026-7)
  • Jacques Beaufort, Vingt siècles d’architecture à Lyon, Saint-Julien-Molin-Molette, Ed Huguet, , 223 p. (ISBN 978-2-915412-96-3)
  • Patrice Béghain, Bruno Benoit, Gérard Corneloup et Bruno Thévenon, Dictionnaire historique de Lyon, Lyon, Stéphane Bachès, , 1501 p. (ISBN 978-2-915266-65-8 et 2-915266-65-4). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Patrice Béghain, Une histoire de la peinture à Lyon, Stéphane Bachès,
  • André Pelletier, Jacques Rossiaud, Françoise Bayard et Pierre Cayez, Histoire de Lyon : des origines à nos jours, Lyon, Éditions lyonnaises d'art et d'histoire, , 955 p. (ISBN 978-2-84147-190-4, BNF 41276618).
  • Pierre Rosenberg, La Peinture française, Place des Victoires, , 1032 p. (ISBN 978-2-8099-1057-5)
  • Anne Allimant-Verdillon, Domaine de la Gallée. Etude historique, Centre de Ressources de Botanique Appliquée (CRBA), 2017.
  • Philippe Dufieux et Jean-Christophe Stuccilli, L'art de Lyon, Paris, éditions Place des Victoires, , 419 p. (ISBN 978-2-8099-1438-2). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Paul Chopelin, Pierre-Jean Souriac et Philippe Dufieux, Nouvelle histoire de Lyon et de la métropole, Toulouse, Privat, coll. « Histoire des villes et des régions : histoire », , 958 p. (ISBN 978-2-7089-8378-6)

Articles connexes

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Liens externes

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