Aller au contenu

Saint-Méard-de-Gurçon

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Méard-de-Gurçon
Saint-Méard-de-Gurçon
Vue du bourg de Saint-Méard-de-Gurçon.
Blason de Saint-Méard-de-Gurçon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson
Maire
Mandat
Cyril Barde
2020-2026
Code postal 24610
Code commune 24461
Démographie
Gentilé Saint-Méarois
Population
municipale
808 hab. (2021 en évolution de +1,76 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 33″ nord, 0° 10′ 58″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 116 m
Superficie 28,38 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Montaigne et Gurson
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Méard-de-Gurçon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Méard-de-Gurçon
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Méard-de-Gurçon
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Méard-de-Gurçon
Liens
Site web www.stmearddegurçon.fr

Saint-Méard-de-Gurçon est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Généralités

[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Méard-de-Gurçon est située à équidistance de Montpon-Ménestérol au nord, et de Sainte-Foy-la-Grande au sud. Son territoire est arrosé par cinq cours d'eau : la Lidoire, l'Estrop, le Tord, la Léchou et la Gargouille[1],[2].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Saint-Méard-de-Gurçon est limitrophe de neuf autres communes.


Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Méard-de-Gurçon est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[3].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e5-6, est la formation de Guizengeard supérieur (Lutétien supérieur à Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].

Carte géologique de Saint-Méard-de-Gurçon.

Relief et paysages

[modifier | modifier le code]
Vignes à Saint-Méard-de-Gurçon.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 28 mètres et 116 mètres[7],[8].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[10]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[11]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[12].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 28,38 km2[7],[13],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 28,63 km2[5].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainée par la Lidoire, l'Estrop, la Léchou, la Boucardia, la Gargouille, le Tord et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 38 km de longueur totale[17],[Carte 1].

La Lidoire, d'une longueur totale de 49,46 km, prend sa source dans la commune de Bosset et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Castillon-la-Bataille et Lamothe-Montravel, face à Mouliets-et-Villemartin[18],[19]. Elle arrose la commune au nord sur plus de onze kilomètres, dont plus de neuf et demi servent de limite naturelle, face à Saint-Géraud-de-Corps, Saint-Rémy, Saint-Martin-de-Gurson et Carsac-de-Gurson.

Affluent de rive gauche de la Lidoire, la Léchou traverse le territoire communal de l'est au nord sur plus de six kilomètres dont 500 mètres en limite de Monfaucon.

Son affluent de rive gauche la Gargouille arrose le centre de la commune sur trois kilomètres.

Autres affluents de rive gauche de la Lidoire, la Boucardia baigne le nord-est de la commune sur près d'un kilomètres dont 300 mètres en limite de Monfaucon, et le Tord — à ne pas confondre avec le cours d'eau homonyme affluent de rive droite de la Lidoire — marque la limite territoriale à l'ouest sur quatre kilomètres, face à Montazeau.

L'Estrop, d'une longueur totale de 17,8 km, prend sa source dans la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Saint-Antoine-de-Breuilh et de Saint-Seurin-de-Prats, face à Pessac-sur-Dordogne[20],[21]. Il borde la commune au sud sur plus de trois kilomètres en trois tronçons, face à Fougueyrolles et Nastringues.

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [23].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[24]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[25].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 832 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt à 8 km à vol d'oiseau[27], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].

Au , Saint-Méard-de-Gurçon est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[31]. Elle est située hors unité urbaine[32] et hors attraction des villes[33],[34].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,4 %), forêts (29,4 %), cultures permanentes (13 %), terres arables (7,6 %), prairies (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %), zones urbanisées (1 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Outre le centre urbain, le territoire de la commune comprend de multiples hameaux, comme le Bernagaud, les Bonnins, le Bost, le Brandeau, Bricabot, le Buisson, Carbonnaud, Cavalerie, la Châtaignière, le Cluzeau, les Fonds, Gaillardie, le Grand Billat, l'Houme, le Jard, Jarrige, les Joinies, Laulerie, Marousseau, Monmoreau, les Paysses, Picot, le Petit Paris, les Places ou encore Pourcaud.
La toponymie de plusieurs de ces lieux-dits est étudiée dans le livre Origine des noms de lieux dans le canton de Villefranche-de-Lonchat (2002) : ainsi, Bernagaud serait une déformation de Bernardeau (« fils de Bernard ») ou désignerait un bois de vergnes, « Bonnins » est le nom de ses premiers habitants, « Bost » signifie un bois, « Brandeau » la bruyère, « Bricabot » est un ancien patronyme ou désignerait un sommet ou un fortin gaulois, « Carbonnaud » un ancien village de charbonniers, « Cavalerie » un élevage de chevaux ou un patronyme, « Cluzeau » désigne une cavité, liée dans ce hameau à une fontaine ancienne, « Fonds » est un point bas, « Gaillardie » vient du patronyme Gaillard, « Grand Billat » signifie une grande maison ou ferme, « l'Houme » un ormeau, « Jard » fait référence à une herbe dure ou au chêne, « Jarrige » à des chênes kermès, « Joinies » vient du prénom Joan (Jean), « Laulerie » suscite plusieurs hypothèses (une maison de berger, une fabrique de marmites, un patronyme ou encore un ancien pressoir d'huile de noix) comme « Marousseau » (un mas de couleur jaune ou rousse ou le mas d'un dénommé Rousseau), « Monmoreau » désigne le mont de Moreau, « Paysses » un pâturage, « Petit Paris » vient du patronyme Patrice, Picot (ou Picaud) également d'un patronyme, « Places » est un terrain bien dégagé et « Pourcaud » un élevage de cochons[36].

Prévention des risques

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Méard-de-Gurçon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

Saint-Méard-de-Gurçon est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[39]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[40],[41].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Méard-de-Gurçon.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[42]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[43]. 93,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[44].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2005, par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[37].

Seules trois communes françaises portent le nom de saint Méard, dont Saint-Méard-de-Drône également en Dordogne et Saint-Méard dans la Haute-Vienne.

En occitan, la commune se nomme Sent Meard de Gurçon[45].

La commune porte le nom de saint Méard, évêque de Noyon du VIe siècle. Elle est mentionnée la première fois en 1122, sous le nom latin de « Sancti Medardi Abbatiae », soit Saint-Méard-de-l'Abbaye, son premier nom, qui change ensuite pour Saint-Méard-de-l'Abbatial puis Saint-Méard-de-Gurçon[2].

Le centre urbain s'est développé autour de l'église, de la vieille halle, du lavoir et de plusieurs maisons anciennes[2].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Saint-Méard-de-Gurçon, typographiée Saint Meard de Gurson dans un premier temps, a été le chef-lieu du canton de Saint Meard de Gurson qui dépendait du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Villefranche-de-Loupchapt — devenu ensuite le canton de Villefranche-de-Lonchat — dépendant de l'arrondissement de Bergerac[7].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[46]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de Montaigne et Gurson.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Fin 2001, Saint-Méard-de-Gurçon intègre dès sa création la communauté de communes du Gursonnais. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Montaigne Montravel et Gurson.

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[47],[48].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1800 Baraton    
1800 1823 Pierre Bonnin    
1823 1824 Pierre Dambier    
1824 1831 Jean Molliné    
1831 1837 Jean Antoine    
1837 1839 Antoine Michaud    
1839 1848 Pierre-Paul Durand    
1848 1852 Pierre Grelon    
1852 1864 Pierre Dambier    
1864 1884 Jean-Léon Buisson    
1884 1896 Pierre Pialoux    
1896 1900 Pierre Grenier    
1900 1919 Pierre Pialoux    
1919 1935 Robert Naud    
1935 1959 Roger Nouvel   Agriculteur
1959 1971 Georges Peyrat   Agriculteur
1971 1977 Jacqueline Le Métais   Pharmacienne
1977 mars 2001 Jean Terrade   Expert-comptable
mars 2001 avril 2014 Monique Viroulaud SE[49] Sténo-dactylo
avril 2014 mai 2020 Gérard Bonnamy   Infirmier
mai 2020[50] En cours Cyril Barde   Viticulteur
2e adjoint sous la mandature précédente[51]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

En 2023, la commune dispose d'une élémentaire publique[52], où sont accueillis les élèves de la maternelle au CE2[53]. La commune étant en regroupement pédagogique intercommunal avec Fougueyrolles, les autres élèves de primaire (CM1 et CM2) vont en classe dans cette deuxième commune[53].

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Méard-de-Gurçon relève[54] :

En 2021, huit caméras de vidéoprotection sont installées dans le bourg[55].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[57].

En 2021, la commune comptait 808 habitants[Note 5], en évolution de +1,76 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5001 4581 4031 4641 8011 5361 4521 5271 414
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4141 4021 4181 3491 3911 3281 2801 2271 231
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2191 2111 2511 0871 0371 0471 0321 0341 035
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
877846763776751795804775806
2021 - - - - - - - -
808--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique

Saint-Méard-de-Gurçon compte une école, un pôle santé et des commerces de proximité essentiels (boulangerie, pharmacie, coiffeur, épicerie, tabac-presse). Plusieurs artisans, dans différents corps de métiers, participent à la vie économique du village.

La commune dispose aussi d'une salle des fêtes, rénovée en 2011[59].

De nombreuses activités sociales et de loisir sont organisées au fil de l'année (Floralies, marchés gourmands, soirées à thème, etc.). La vie locale s'exprime aussi par le biais de plusieurs associations (amicale des pompiers, comité des fêtes, aînés, cabaret, théâtre, danse, chorale, chasse, amicale des pompiers)[60].

La commune compte un terrain de football de 6 600 m2, créé au lieu-dit des Places dans les années 1980-1990[61]. Par ailleurs, un terrain multisports est aménagé en 2018 près de l'école[1].

Au printemps, la course nature de Montravel propose plusieurs parcours : courses de 11 et 21 km, marche nordique et randonnée pédestre (7e édition en 2017)[62].

La commune compte un centre équestre créé en 1990 (écuries Saint-Méaroises, dans le bourg)[63] et un golf (vers le hameau Le Cluzeau)[64]. Il y a aussi plusieurs associations sportives (tai-chi, football, Pilates, cyclisme marche et course)[60].

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

Début mai, des floralies se tiennent dans le bourg avec marché artisanal et vide-greniers (23e édition en 2024)[65].

En 2017, en vue de la Journée internationale des forêts, une centaine d'arbres (« charme, chêne rouge, châtaignier... ») sont plantés en aval du bourg par des élèves du collège-lycée agricole du Cluzeau situé à Sigoulès. Un partenariat est noué avec l'école de Saint-Méard-de-Gurçon, dont les élèves sont individuellement chargés de parrainer un arbre, donnant à chacun un nom, obtenant ses coordonnées GPS et étant invités à s'en occuper durant toute leur vie[66].

Tabac-presse-carburant, route de Montpon.

Sur les terres communales pousse du raisin destiné à produire du vin d'appellation d'origine contrôlée bergerac et montravel[1],[2].

On compte, parmi les commerces présents : une pharmacie, deux restaurants, une épicerie-buvette, une boulangerie-pâtisserie, un traiteur, un salon de coiffure, un tabac-presse-loto-carburants et un garage de réparation automobile.

Un petit marché est installé chaque mardi matin devant la salle des fêtes[1].

En 2015[67], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 339 personnes, soit 42,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-trois) a légèrement diminué par rapport à 2010 (quarante-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,8 %.

Établissements

[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 97 établissements[68], dont quarante-neuf au niveau des commerces, transports ou services, vingt-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, treize dans la construction, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et six dans l'industrie[69].

Plaque à l'entrée du bourg.

Saint-Méard-de-Gurçon est à l'intersection de la D32 et de la D708 et se trouve à 10 km d'un accès à l'A89[1],[2].

L'adressage des voies de la commune et leur dénomination sont décidés en 2021, la pose des plaques de signalisation ayant lieu l'année suivante[70].

Depuis , le village met gratuitement à disposition des véhicules électriques de passage mais pas en séjour, aux heures ouvrables, deux prises de courant 230V/10A situées sous la halle pour les recharges occasionnelles ; place réservée le long de l'église[71].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Dans le bourg
  • L'ancien presbytère, datant de 1750, est une bâtisse à la façade symétrique, dotée d'un escalier extérieur à deux volées qui dessert l'étage principal. En 2019, il est réaménagé en pôle santé[1],[75].
  • Devant la mairie a longtemps été installée une croix monumentale en métal. En 2022, dans le cadre d'un réaménagement du bourg, elle est déplacée dans le cimetière[76].
  • Le lavoir, la halle et le cimetière.
  • La statue du monument aux morts, œuvre d'Étienne Camus, représente le Poilu au repos.
Hors du bourg
  • Château de Cavalerie-Gravat, ou château de Gravat[77], fin XVIIIe siècle, qui possède une collection d'agrumes (orangers, citronniers, pomélos, mandariniers...). Intéressant exemple de propriété d'agrément et de rapport (vigne) construite vers 1780.
  • Chartreuse de La Coquille[78].
  • Château du Raz[78].
  • « Château » du Bost[78].
  • Anciens moulins à vent[78].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Simon Baraton (1760-1830), officier public, huissier et greffier de justice, a tenu un livre-journal intéressant pour l'histoire de la commune[79].
Jean Pignot, considéré comme le doyen des Français en 1906.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Saint-Méard-de-Gurçon Blason
Écartelé : au 1er d'or à quatre pals de gueules, au 2e de gueules à la gerbe de blé d'or liée de sable, au 3e de gueules au bosquet de sept arbres sur une terrasse isolée au naturel, au 4e d'or à deux vaches de gueules, accornées, onglées, accolées et clarinées d'azur, passant l'une au-dessus de l'autre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14],[15]
  3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, la Bidonne, le Fayat et le Tord, affluents de rive droite de la Lidoire, n'arrosent pas la commune de Saint-Méard-de-Gurçon située en rive gauche à leur confluence. Par contre, le Tord, affluent homonyme en rive gauche, est bien concerné.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Méard-de-Gurçon » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d e et f « Bienvenue à St Méard de Gurçon ! et Vie locale », sur stmearddeguron-rjb.fr (consulté le ).
  2. a b c d et e « Mairie de Saint Méard de Gurçon », pays-de-bergerac.com, consulté le 2 novembre 2018.
  3. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  4. « Carte géologique de Saint-Méard-de-Gurçon » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  5. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Méard-de-Gurçon », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  6. « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  7. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  9. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Méard-de-Gurçon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  16. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  17. « Fiche communale de Saint-Méard-de-Gurçon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  18. « Confluence Lidoire-Dordogne au nord de la Gayne » sur Géoportail (consulté le 2 octobre 2022)..
  19. Sandre, « la Lidoire »
  20. « Confluence Estrop-Dordogne au sud de la Vergnotte » sur Géoportail (consulté le 2 octobre 2022)..
  21. Sandre, « l'Estrop »
  22. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  23. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  25. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  26. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  27. « Orthodromie entre Saint-Méard-de-Gurçon et Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  28. « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  29. « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  30. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  31. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  32. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  33. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  36. Origine des noms de lieux dans le canton de Villefranche-de-Lonchat, association Histoire et mémoire du canton de Villefranche-de-Lonchat, La Nef-Chastrusse, 2002, p. 8-9, 12-14, 18, 22-23, 28-30, 34-35, 38-40 et 42.
  37. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Méard-de-Gurçon », sur Géorisques (consulté le ).
  38. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  39. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  40. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  41. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  42. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  43. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  44. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  45. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  46. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  47. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
  48. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
  49. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 31.
  50. « Ils ont aussi été élus », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 13.
  51. « Saint-Méard-de-Gurçon : Cyril Barde veut continuer "pour l’avenir de St-Méard-de-Gurçon" », sur leresistant.fr, (consulté le ).
  52. Saint-Méard-de-Gurçon, ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, consulté le .
  53. a et b Jacques Boujou, « Du changement à la direction de l'école élémentaire du bourg », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
  54. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  55. « Vidéoprotection », bulletin municipal de Saint-Méard-de-Gurçon, décembre 2021, p. 16.
  56. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  57. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  58. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  59. Christine Dufour, « La salle des fêtes refaite à neuf », sur Sud Ouest, (consulté le ).
  60. a et b « Associations », sur st-meard.fr (consulté le ).
  61. « Terrains de sports des Places, terrain de football à Saint-Méard-de-Gurçon », webvilles.net, consulté le 6 juin 2022.
  62. Monique Cézac, « Une édition réussie », Sud Ouest édition Dordogne, 27 avril 2017, p. 29.
  63. « Écuries Saint-Méaroises » (consulté le ).
  64. « Golf de Saint Méard », sur pays-bergerac-tourisme.com (consulté le ).
  65. , « 23es Floralies », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 24.
  66. Elsa Arnould et Delphine Roussel-Sax, « Dordogne : un arbre pour un enfant à Saint Méard », sur France 3, (consulté le ).
  67. Dossier complet - Commune de Saint-Méard-de-Gurçon (24461) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 21 janvier 2019.
  68. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  69. Dossier complet - Commune de Saint-Méard-de-Gurçon (24461) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 21 janvier 2019.
  70. « Adressage », bulletin municipal de Saint-Méard-de-Gurçon, décembre 2021, p. 18.
  71. Infos sur le site « chargemap.com ».
  72. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 210.
  73. Notice no PA00082873, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  74. Dépliant de la Fondation du patrimoine « Je donne pour la restauration de l'église de Saint-Méard de Gurçon » (en ligne).
  75. « Presbytère de Saint-Méard-de-Gurçon », fondation-patrimoine.org, consulté le 2 novembre 2018.
  76. « Aménagement du bourg », bulletin municipal de Saint-Méard-de-Gurçon, , p. 18.
  77. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest, , 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 135.
  78. a b c et d Jacques Reix, Montravel, un terroir, une histoire… Itinéraires au pays de Montaigne, Ségur et Gurson, éditions Jean-Jacques Guillaume, collection Histoire et Patrimoine, 2019, p. 186-191.
  79. Marie-Antoinette Bireau, Saint-Méard-de-Gurçon... à l’époque révolutionnaire, d’après le livre-journal de Simon Baraton et les archives locales, Bordeaux, Le Périgourdin de Bordeaux, , 47 p..
  80. « Le doyen de tous les Français », Revue illustrée du Tout Sud-Ouest, no 11, novembre 1906.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Marie-Antoinette Bireau, Saint-Méard-de-Gurçon... à l’époque révolutionnaire, d’après le livre-journal de Simon Baraton et les archives locales, Bordeaux, Le Périgourdin de Bordeaux, , 47 p..
  • Jacques Reix, Montravel, un terroir, une histoire… Itinéraires au pays de Montaigne, Ségur et Gurson, éditions Jean-Jacques Guillaume, collection Histoire et Patrimoine, 2019, p. 186-191.
  • Collectif, Histoire et chroniques du Pays de Gurson, association Histoire et Mémoire du canton de Villefranche de Lonchat, éd. Nef Chastrusse, 2005.
  • Origine des noms de lieux dans le canton de Villefranche-de-Lonchat, association Histoire et mémoire du canton de Villefranche-de-Lonchat, La Nef-Chastrusse, 2002.