Rue de Buenos-Aires
Apparence
7e arrt Rue de Buenos-Aires
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Situation | |||
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Arrondissement | 7e | ||
Quartier | Gros-Caillou | ||
Début | Allée Léon-Bourgeois | ||
Fin | Avenue de Suffren | ||
Morphologie | |||
Longueur | 40 m | ||
Largeur | 12 m | ||
Historique | |||
Création | 1880 | ||
Dénomination | 2001 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 1362 | ||
DGI | 1367 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 7e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue de Buenos-Aires est une rue du 7e arrondissement de Paris d'où l'on peut admirer la tour Eiffel.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Elle débouche sur l'un des parcs aux pieds de la Dame de fer (pilier ouest et pilier sud).
Origine du nom
[modifier | modifier le code]Elle porte le nom de la ville de Buenos Aires, capitale de l'Argentine.
Historique
[modifier | modifier le code]Cette voie a été ouverte en 1880 par la Ville de Paris sous le nom de « rue de Buenos-Ayres », après l'Exposition universelle de 1878.
Elle est classée dans la voirie parisienne par un décret du . Un arrêté municipal du changea l'ancienne orthographe de Buenos Ayres (avec un « y ») par « rue de Buenos Aires » (avec un « i » et également sans trait d'union, en vertu de l'alinéa 4 de l'article 2 de l'arrêté du 4 novembre 1993).
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No 1 bis.
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La tour Eiffel vue de la rue.
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De nuit.
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Plaque avec l'ancien nom.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]- Nos 2-4 : ensemble d'immeubles de style Art déco appellé « îlot Chirac » ou, antérieurement, « îlot Branly », construit au début du XXe siècle et propriété depuis lors de la famille des descendants de Christophe-Philippe Oberkampf, couvrant une surface de plus de 10 000 m2 et comptant une soixantaine d’appartements. L’ensemble est vendu en 2024 à un investisseur français pour un montant de 170 millions d’euros (soit 17 000 euros le m²)[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Paul Abran, « Paris : à 200 m de la tour Eiffel, le très convoité ‟îlot Chirac” en passe d’être vendu », Le Parisien, 26 octobre 2024.