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Poussay

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Poussay
Poussay
Vue aérienne de Poussay.
Blason de Poussay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes de Mirecourt Dompaire
Maire
Mandat
Philippe Larcher
2020-2026
Code postal 88500
Code commune 88357
Démographie
Gentilé Porsuavitains, Porsuavitaines
Population
municipale
667 hab. (2021 en évolution de −5,52 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 17″ nord, 6° 07′ 28″ est
Altitude 295 m
Min. 256 m
Max. 327 m
Superficie 8,69 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Mirecourt
(banlieue)
Aire d'attraction Mirecourt
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Mirecourt
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Poussay
Géolocalisation sur la carte : France
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Poussay
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Poussay
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Poussay

Poussay est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Porsuavitains (de Portus Suavis).

Géographie

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La commune de Poussay se trouve dans la région géographique de la plaine sous-vosgienne. Le site offre une multitude de paysages avec la vallée du Madon et ses nombreuses buttes témoins (monts). Le village est situé dans la vallée du Madon, à deux kilomètres au nord de la ville de Mirecourt, sur le sommet d’un coteau à trois cents mètres d’altitude sur la rive gauche du Madon. Il surplombe la rivière qui serpente au milieu d’une végétation riche et luxuriante... haies de saules, peupliers, aulnes.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Madon, le ruisseau de Juvaincourt, le ruisseau des Pierres, le ruisseau du Val d'Arol et le ruisseau des Vrayes[1],[Carte 1].

Le Madon, d'une longueur totale de 96,9 km, prend sa source dans la commune de Vioménil et se jette dans la Moselle à Pont-Saint-Vincent, après avoir traversé 47 communes[2].

Le ruisseau de Juvaincourt, d'une longueur totale de 10,5 km, prend sa source dans la commune d'Oëlleville et se jette dans le ruisseau des Pierres en limite du territoire communal et de Puzieux, après avoir traversé six communes[3].

Le ruisseau des Pierres, d'une longueur totale de 12,9 km, prend sa source dans la commune de Courcelles et se jette dans le Madon sur la commune, après avoir traversé six communes[4].

Le Val d'Arol, d'une longueur totale de 13,9 km, prend sa source dans la commune de Domjulien et se jette dans la Madon à Marcheprime, après avoir traversé neuf communes[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Poussay.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[6].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 888 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt à 2 km à vol d'oiseau[9], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 2],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Poussay est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mirecourt[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mirecourt, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[16]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,7 %), prairies (31,8 %), forêts (14,5 %), zones urbanisées (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom du village, attesté dès 1051, viendrait de Portus Suavis (qui peut se traduire par port agréable, charmant), qui donna Porsas, puis Poursas et enfin Poussay.

Ce village possède un riche passé historique. Chaque époque a laissé sa trace. Ainsi se côtoient une ancienne voie romaine, un ancien cimetière mérovingien et un village dévoilant son histoire à chaque pas.

Berthold, évêque de Toul de 996 à 1019, avait fondé là un monastère de religieuses bénédictines. Ce fut la quatrième fondation de ce genre en Lorraine, après Remiremont, Épinal et Bouxières-aux-Dames; elle devint par la suite le Chapitre de Poussay.

Le village dépendait du chapitre des chanoinesses de Poussay qui fut fondé au XIe siècle par Hermann, évêque de Toul. Celui-ci comprenait à l’époque moderne une abbesse, une doyenne et quinze chanoinesses. Il y avait par ailleurs quatre chanoines-chapelains. Le chapitre avait à Poussay les haute, moyenne et basse justices.

En 1208, le duc Ferry II publie des lettres portant qu’ayant différend avec les dames de Poussay au sujet de la haute justice qu’il prétendait avoir dans ce lieu, il déclare n’y avoir aucun droit, excepté le cas criminel de mort.

En 1331, Philippe de Valois, roi de France, prend sous sa sauvegarde la ville de Poursas, moyennant que chacun feu paiera par an au chastel de Monteclaire 12 parisis au jour de Saint-Remy. En 1345, sur les remontrances qui lui avaient été adressées par le duc Raoul, Philippe de Valois révoqua et annula la protection qu’il avait accordée à ceux de Poursez et les quitta de la rente qu’ils lui devaient à cause de cette sauvegarde.

Dans ce village, dressé sur un éperon calcaire qui domine la vallée du Madon et que traverse la route de Nancy, Montaigne séjourna lorsqu’il s’était rendu à Plombières, puis en Italie ; il rendit visite aux religieuses le [20].

Dès juillet 1598, sous l'impulsion de saint Pierre Fourier et grâce à Mesdames Catherine de Fresnel et Judith d’Aspremont, dames chanoinesses du chapitre, Poussay accueillit la première école pour filles « tant pauvres que riches ». La Bienheureuse Alix Le Clerc et ses compagnes enseignaient gratuitement aux jeunes filles les principes d'une bonne éducation. Bientôt toute la Lorraine se couvrit d'un réseau de petites écoles...

Poussay appartenait au bailliage de Mirecourt.

L’église, dédiée à saint Maurice, était le chef-lieu d’un des doyennés de l’archidiaconé de Vosges au diocèse de Toul, dit doyenné de Porsas. La cure était à la collation du chapitre de Poussay. L’église a été construite en 1757.

La construction de la mairie date de 1842 ; l’école des garçons, installée dans une maison de l’abbaye, remonte à 1720. L’école des filles a été construite en 1771.

Le hameau des Maisons-Rouges dépendait de Poussay jusqu’au où une ordonnance l’a rattaché à Mirecourt.

Blason Blasonnement :
D'or, au portail d'église mouvant de la pointe de sinople.
Commentaires : Ce blason est celui de l'ancienne abbaye de Poussay, il a été adopté par la commune en 1866.

Politique et administration

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Découpage territorial

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Poussay fait partie de la communauté de communes de Mirecourt Dompaire.

Par arrêté préfectoral du , la commune est retirée le de l'arrondissement d'Épinal et rattachée à l'arrondissement de Neufchâteau[21].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 2001 Georges Schuller (1929-2022)    
mars 2001 mai 2013 Jean Demard (1944-2013)   Enseignant retraité. Décédé en cours de mandat
juin 2013 avril 2014 Philippe Larcher SE  
avril 2014 mai 2017 André Ithier SE Démissionnaire pour raison de santé
juin 2017 En cours Philippe Larcher SE  

Budget et fiscalité 2014

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La mairie.

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[22] :

  • total des produits de fonctionnement : 963 000 , soit 1 315  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 714 000 , soit 1 057  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 133 000 , soit 181  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 188 000 , soit 256  par habitant.
  • endettement : 740 000 , soit 1 011  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 15,83 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,56 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 35,85 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 39,95 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 18,40 %.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 667 habitants[Note 6], en évolution de −5,52 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
499517572522619587643652602
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
600626568543542507497507536
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
616548575541518507494457462
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
498786810733726725716689667
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  • Le puits de Poussay est le grand trésor local : il remonte au XIIe siècle avec un ensemble urbain d'une grande authenticité. Il est inscrit monument historique par arrêté du [27].
  • Née au XVIe siècle (1598) de la volonté des dames du chapitre vosgien de Poussay, la foire de Poussay est actuellement la troisième foire agricole de France. Elle se déroule le week-end le plus proche du (auparavant, la date était fixée immuablement audit ) et accueille plus de mille exposants (agriculteurs et camelots).
  • La maison Sonrier[28] : le sonrier était l’économe de l’Abbaye. La famille possède le portrait de Pierre Fourier (saint de Mattaincourt, originaire de Mirecourt). On a découvert ce portrait caché dans un mur sans doute au temps de la Révolution. Sur les murs extérieurs de la maison, on peut voir un cadran solaire et des armoiries.
  • Allée des Dames : certains tilleuls sont très vieux. À droite, en montant, le jardin de l’abbesse. Un peu plus loin, l’esplanade qui domine le ravin.
  • Restes de l’église abbatiale.
  • Monument aux morts[29].
  • Église paroissiale actuelle. Le chœur est l’ancienne chapelle Saint-André. On peut y voir[30] :
  1. un tableau représentant le pape Léon IX donnant les bulles à la première abbesse bénédictine ;
  2. une statue polychrome de la Vierge ;
  3. une statue de sainte Anne, en pierre ;
  4. une statue de saint Claude, très vénéré dans la région au XVIe siècle;
  5. plaque funéraire, avec une inscription funéraire de Louise de Chauvirai, chanoinesse[31].

Depuis 1598, la foire de Poussay reste la 3e foire agricole de France, après celles de Beaucroissant (38) et de Lessay (50). L'édition 2012 (414e du nom) a accueilli près de 1 300 exposants (marché aux bestiaux, matériel agricole et camelots) et plus de 150 000 visiteurs. C'est aussi la plus grosse braderie du Grand-Est[32].

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mirecourt comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Poussay » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Poussay », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. Sandre, « le Madon »
  3. Sandre, « le ruisseau de Juvaincourt »
  4. Sandre, « le ruisseau des Pierres »
  5. Sandre, « le ruisseau du Val d'Arol »
  6. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Poussay et Mirecourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Mirecourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Poussay ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mirecourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Saint Pierre Fourier en son temps. Études réunies par René Taveneaux. Presses Universitaires de Nancy, 1992. Page 23. (ISBN 2-86480-604-5).
  21. Préfecture de la région Grand Est, « Arrêté préfectoral no 2023/488 portant modification des limites territoriales des arrondissements du département des Vosges », Recueil des actes administratifs Édition du ,‎ , p. 71-83 (lire en ligne [PDF], consulté le )
  22. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Puits couvert », notice no PA00107226, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. La maison Sonrier
  29. Monument aux morts
  30. Inventaire des objets mobiliers
  31. Notice no PM88001674, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture épitaphe de 1651
  32. Le tourisme plébiscité, surtout s’il est festif, ludique ou sportif
  33. « Biographie de Thomas Nicolas Colin », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).