Monestier (Dordogne)
Monestier | |||||
La bastide de Monestier. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle) | ||||
Maire Mandat |
Marie-Agnès Brouilleaud 2020-2026 |
||||
Code postal | 24240 | ||||
Code commune | 24276 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Monestériens | ||||
Population municipale |
409 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 46′ 27″ nord, 0° 19′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 41 m Max. 155 m |
||||
Superficie | 17,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Bergerac (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Sud-Bergeracois | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
modifier |
Monestier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Généralités
[modifier | modifier le code]Commune située dans l'aire d'attraction de Bergerac.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Monestier est limitrophe de huit autres communes dont deux dans le département de la Gironde et une en Lot-et-Garonne. Au sud-est, son territoire est distant de 450 mètres de celui de Sigoulès-et-Flaugeac.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Géologie
[modifier | modifier le code]Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Monestier est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 829 - Duras » et « no 830 - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||||||||||
Pléistocène | non présent | |||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
| ||||||||||||||||||
Éocène |
| |||||||||||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
non présent | |||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
[modifier | modifier le code]Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 41 m et 155 m[6],[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,75 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,63 km2[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Seignal, le Merlan, le ruisseau du Vacher, le ruisseau de la Malaise, le ruisseau des Auvergnats, le ruisseau de la Linière et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 30 km de longueur totale[16],[Carte 1].
Le Seignal, ou ruisseau du Bernadou dans sa partie amont, d'une longueur totale de 21,94 km, prend sa source en Lot-et-Garonne dans la commune de Loubès-Bernac et se jette en rive gauche de la Dordogne en limite de Pineuilh et de Saint-Avit-Saint-Nazaire, face à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt[17],[18]. Il borde intégralement la commune sur son flanc ouest sur plus de sept kilomètres, la séparant de Ligueux, Loubès-Bernac et Margueron.
Affluent de rive droite du Seignal, le ruisseau de la Malaise prend sa source en limite de Monestier et de Saussignac et arrose la commune du nord à l'ouest sur quatre kilomètres, lui servant de limite naturelle sur un kilomètre et demi face à Saussignac.
Son affluent de rive gauche le ruisseau des Auvergnats prend sa source près du lieu-dit la Croix Blanche et baigne la commune sur plus d'un kilomètre et demi.
Le ruisseau du Vacher (également appelé le Brajaud dans sa partie aval), affluent de rive gauche de la Gardonnette, forme la limite territoriale orientale sur plus de deux kilomètres, face à Cunèges.
Son affluent de rive gauche le Merlan traverse la commune du sud au nord-est sur quatre kilomètres dont près d'un kilomètre et demi sert de limite naturelle face à Gageac-et-Rouillac.
Autre affluent de rive gauche du Vacher, le ruisseau de la Linière prend sa source dans le sud, en limite de monestier et de Thénac, leur servant de limite territoriale sur plus d'un kilomètre.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 825 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt à 12 km à vol d'oiseau[24], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Monestier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[29]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[29]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[30],[31].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,9 %), cultures permanentes (27,5 %), forêts (15 %), prairies (9,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6 %), terres arables (1,5 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Monestier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Monestier est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 80 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[40].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 1989 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[33].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En occitan, la commune porte le nom de Monestièr[41],[42].
Histoire
[modifier | modifier le code]Monestier fut peuplée à l'époque gallo-romaine comme l'attestent les mosaïques retrouvées lors de la construction de l'église actuelle et conservées au musée d'Eymet.
Le premier écrit faisant mention de Monestier date de 1053. À cette époque, il y avait un couvent. Quelques fragments de murs d'époques sont encore debout et incorporés dans une cour de ferme du bourg.
Le lieu-dit la Bastide, situé à un kilomètre du bourg, est au départ une bastide anglaise fondée en 1284.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Selon l'arrêté préfectoral no 2011-89 du , la commune de Monestier adhère à la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès à compter du [43]. Celle-ci fusionne avec l'ancienne communauté d'agglomération bergeracoise au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
[modifier | modifier le code]La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]À la rentrée de , la commune de Monestier est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec celles de Gageac-et-Rouillac, Razac-de-Saussignac et Saussignac au niveau des classes de primaire[48] :
- Monestier accueille les enfants d'école maternelle en petite section et en moyenne section ;
- Saussignac s'occupe de la grande section de maternelle, du cours préparatoire et du cours élémentaire 1re année ;
- Gageac complète le dispositif en accueillant les enfants en cours élémentaire 2e année, cours moyen 1re année et cours moyen 2e année.
- Razac-de-Saussignac n'a plus d'école depuis 2015[48].
Justice
[modifier | modifier le code]Dans le domaine judiciaire, Monestier relève[49] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de Monestier se nomment les Monestériens[50].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].
En 2021, la commune comptait 409 habitants[Note 6], en évolution de +8,78 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]En été, le Festival des ploucs, créé à la fin des années 1990 et organisé à tour de rôle par les communes de Gageac-et-Rouillac, Monestier, Razac-de-Saussignac et Saussignac, présente des spectacles et concerts[54]. En 2023, la 26e édition qui s'est tenue à Saussignac a réuni plus de 2 500 festivaliers et l'édition 2024 est prévue à Razac-de-Saussignac[55].
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]En 2015[56], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 164 personnes, soit 43,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-huit) a augmenté par rapport à 2010 (dix) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,0 %.
Établissements
[modifier | modifier le code]Au , la commune compte 58 établissements[57], dont 24 au niveau des commerces, transports ou services, 21 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[58].
Entreprises
[modifier | modifier le code]Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Château des Vigiers golf country-club » (hôtels et hébergement similaire) implantée à Monestier se classe en 26e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 4 871 k€[59].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château des Vigiers, construit entre 1597 et 1620, a été aménagé en hôtel-restaurant-golf de luxe[60],[61].
- Église Saint-Pierre de Couture[62], édifiée au XIe siècle et restaurée au XIXe siècle[63]. Le , la foudre est tombée sur l'édifice dont la partie sommitale du clocher s'est effondrée[63].
- Église Saint-Michel de la Bastide[62].
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Monestier
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre-ès-Liens de Monestier[62].
-
La nef.
-
La nef côté porche.
-
Le chœur.
-
L'autel de la Vierge.
-
Tronc coffre-fort.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- L'animateur de télévision Georges Pernoud (1947-2021) possédait une propriété au lieu-dit la Bastide à Monestier — dont sa femme est originaire — où il passait ses vacances estivales depuis le milieu des années 1970[64],[65]. Il est inhumé au cimetière du village[66].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé : au 1er d'azur à la grue avec sa vigilance d'argent, au 2e de gueules à trois léopards d'or l'un sur l'autre, au 3e de gueules à trois croisettes latines mal ordonnées d'argent, au 4e d'azur au chevron d'or accompagné de trois gerbes de blé du même[67]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Démissionnaire. Source : Émilie Delpeyrat, Nouvelle crise à la mairie de Monestier, Sud Ouest édition Dordogne du 24 mai 2014, p. 15.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Monestier » sur Géoportail (consulté le 26 août 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Monestier » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Monestier », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 829 - Duras de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- « Notice associée à la feuille no 830 - Eymet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Monestier », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Monestier », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
- « Confluence Seignal-Dordogne au lieu-dit les Richards » sur Géoportail (consulté le 26 août 2022)..
- Sandre, « le Seignal »
- « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Monestier et Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Port Ste Foy » (commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bergerac », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Monestier », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
- « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Jean Roux, Dictionnaire toponymique des communes de Dordogne, Périgueux, Novelum IEO, , 735 p. (ISBN 978-2-917451-35-9), p. 382-383.
- Le nom occitan des communes du Périgord - Monestièr sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- « Arrêté préfectoral n° 2011-89 (page 11) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 10 décembre 2011.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 6 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 22 août 2014.
- Violette Rausa, « Les écoles du regroupement pédagogique intercommunal se réorganisent », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20a.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Fiche commune Monestier, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Nancy Ladde, « Le Festival des ploucs lance la saison d'été », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 23.
- Violette Rausa, « Un festival d'exception pour les Ploucs », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 19.
- Dossier complet - Commune de Monestier (24276) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Monestier (24276) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
- « Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 39.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 294.
- Domaine des Vigiers.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 196.
- Violette Rausa, « La foudre s'abat sur le clocher d'une église et cause d'importants dégâts », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16b.
- Ludivine Loncle, « Georges Pernoud son Périgord d'attache », Le Mag no 124, supplément à Sud Ouest, , p. 3-6.
- Grégoire Morizet, « Georges Pernoud : un village en deuil », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16.
- Cimetières de France et d'ailleurs
- « 24276 Monestier (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).