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Le Coudray-Saint-Germer

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Le Coudray-Saint-Germer
Le Coudray-Saint-Germer
La mairie.
Blason de Le Coudray-Saint-Germer
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Bray
Maire
Mandat
Gilbert Gérard Maurice Bervoët
2020-2026
Code postal 60850
Code commune 60164
Démographie
Population
municipale
844 hab. (2021 en évolution de −11,25 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 24′ 45″ nord, 1° 50′ 16″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 231 m
Superficie 13,48 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Le Coudray-Saint-Germer
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Le Coudray-Saint-Germer
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Le Coudray-Saint-Germer

Le Coudray-Saint-Germer est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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Le Coudray-Saint-Germer est située à l'extrémité occidentale de l'Oise, à proximité de l'Eure et de la Seine-Maritime, entre Gournay-en-Bray et Auneuil. La commune se trouve à 230 m d'altitude sur le plateau de Thelle.

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique du Coudray-Saint-Germer[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Le Coudray-Saint-Germer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), forêts (45,2 %), prairies (3,2 %), zones urbanisées (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Trois hameaux en dépendent : les Routis au pied de la forêt de Thelle, le Tronquet et l'Aunay.

Les Routis (nommés Ruates en 1190) comptaient 150 habitants en 1840. Ce hameau est composé d'une vingtaine de maisons disposées de manière à former deux rues et une place. Au sud des Routis, existait un hameau nommé Monplaisir qui comptait une trentaine d'habitants au milieu du XIXe siècle et encore plus au sud se trouvait la Verrie. Le Tronquet et l'Aunay comptaient chacun une vingtaine d'habitants à cette époque.

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 412, alors qu'il était de 429 en 2013 et de 389 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 87,9 % étaient des résidences principales, 3,4 % des résidences secondaires et 8,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 77,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,2 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Coudray-Saint-Germer en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 52,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (53,2 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement au Le Coudray-Saint-Germer en 2018
Typologie Le Coudray-Saint-Germer[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 87,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,4 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 8,7 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par les lignes 618, 6102, 6107 et 6149 du réseau interurbain de l'Oise[12].

Le nom de la localité est attesté sous les formes mons de Tellis (1153)[13] ; Coldretum (1178) ; Codretum (1178) ; apud Codrotum (1178) ; Coldras (1178) ; mons Tellarum (XIIe) ; Coldreium (vers 1210) ; Coudreium (vers 1210) ; Coriletum (vers 1210) ; nova villa in terra de Coldray (1212) ; Coudroieum (1220) ; Coudroium (1220) ; Coldrium (1220) ; Coryletum (XIIIe) ; Coudreyum sancti Geremari (1300) ; villa de Coudreto (1300) ; de Condreyo (1306) ; Colray (vers 1470) ; Couldrai (vers 1470) ; Couldray (vers 1470) ; le Coldrai (vers 1550) ; le Coldray (vers 1550) ; le Couldray (vers 1550) ; le Coudray (1660) ; Coudray (1667) ; le Coudray-Germer (1794) ; Coudray-en-Thel (1794) ; le Coudray-en-Thelle (1794) ; la commune du Coudray en Thelle (1794)[14] ; le Coudray-Saint-Germer (1840)[13],[14].

De l'oïl coldroi , couldray « ensemble de noisetiers »[15].

Saint-Germer est un hagiotoponyme faisant référence à Germer de Fly, le premier abbé de l'abbaye Saint-Germer-de-Fly[16].

Le Coudray-Saint-Germer n'était qu'un lieu inculte jusqu'au XIIe siècle. Louis le Jeune fait don en 1153, à l'abbaye de Saint-Germer, pour y construire une métairie, des terrains et des bois du Coudray (plantations de noisetiers, d'où vient son nom d'origine = noisetier, coudrier, Coudray).

Le village se développe et devient prospère, permettant la fondation d'une église et la création d'une paroisse.

En 1383, le roi de France, Charles VI, accorde à Jean de Silly, l'autorisation de construire une forteresse au Coudray pour que les moines s'y réfugient en cas d'invasion. Depuis, à chaque alerte, le prieur et les moines s'y rendaient en emportant avec eux les reliques les plus précieuses. À peine s'y sont-ils installés en 1400, qu'ils sont assiégés par les émissaires du duc de Bourgogne Jean de Crèvecœur, seigneur d'Ons-en-Bray, et Hector de Saveuse. Faits prisonniers, ils durent payer une forte rançon. Les Bourguignons s'emparent de tous les papiers du château en s'en allant et incendient le village.

Aujourd'hui, il ne reste que les fondations du château fort, et l'église est reconstruite en 1502 sur les quelques vestiges.

Politique et administration

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La mairie et le monument aux morts.
Pavoisement de la mairie.

Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle était depuis 1801 le chef-lieu du canton du Coudray-Saint-Germer[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Grandvilliers

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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Le Coudray-Saint-Germer est membre de la communauté de communes du Pays de Bray, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1858 1883 Louis Caron   Médecin
1883 1908 Théophile Rotté   Agriculteur
1908 1919 Onésime Petit   Greffier de justice de paix
1919 1929 Louis Monthuy   Agriculteur
1929 1944 Léon Colbeau   Agriculteur
1944 1945 Pierre Gayet   Épicier-cafetier
1945 1945 Edward Compiègne SFIO Menuisier
Décédé au bout de deux mois de mandat
1945 1965 Vienne Robert   Agriculteur
1965 1975 Paul Dubois   Entrepreneur de travaux
1976 1978 Robert Largillière   Agriculteur
1978 1981 Jean Jouve PS Formateur professionnel des Postes
1981 1981 Daniel Cocard   Artisan
maire durant trois jours
1981 1986 Jean Jouve PS Formateur professionnel des Postes, conseiller régional
1986 mars 2001 Jean-Pierre Desmesliers   Président de la communauté de communes du pays de Bray
mars 2001 juillet 2020[18] Roland Guillaux[19] DLF  
juillet 2020[20] En cours
(au 2 décembre 2020)
Gilbert Gérard Maurice Bervoët    

Distinctions et labels

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Équipements et services publics

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En 2020, la commune compte une pharmacie, une supérette, un bar et un coiffeur, ainsi qu'une boulangerie, rouverte en décembre[22].

Le centre social rural François Maillard est un lieu de services importants qui rayonne sur les communes des alentours. Avec 23 salariés, il a accueilli 2 500 personnes en 2019[23].

La commune s'est dotée en 2020 d'une Maison France services, la première du département. Localisée dans les locaux du Centre social rural François Maillard et dotée de quatre agents, elle assure le lien avec 9 institutions, dont La Poste[24], la CAF, la Carsat[25].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 844 habitants[Note 3], en évolution de −11,25 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
471459543518501471461469486
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
457454475437405425420423431
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
419408365308361368319351315
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
308338415721747899888884933
2018 2021 - - - - - - -
883844-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 432 hommes pour 451 femmes, soit un taux de 51,08 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,3 
3,5 
75-89 ans
7,1 
14,1 
60-74 ans
16,9 
20,8 
45-59 ans
16,4 
17,4 
30-44 ans
20,4 
21,1 
15-29 ans
18,0 
23,1 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le village a gardé dans sa grande rue principale son architecture type du pays de Bray, ses maisons sont construites souvent perpendiculaires de chaque côté de la rue. C'est également un village très fleuri. Sa 1re fleur est accordée en 1970, prix du premier village fleuri de l'Oise et de la Picardie. Ses habitants n'ont eu que le souci d'embellir leur commune par la restauration de l'habitat, le fleurissement des façades et des balcons[31].

On peut également signaler :

  • Église Notre-Dame, bâtie en 1215, détruite en 1400 et reconstruite en 1502.
    Son chœur de forme polygonale est constitué de silex noirs et de craie blanche en damier. Le clocher du XIXe siècle est en brique rouge, il culmine à 36 m du sol[32], ce qui en fait l'un des plus hauts points du département.
    L'église possède un magnifique chœur du XVIe siècle et est décorée de superbes vitraux. Elle renferme aussi des objets d'art classés. La châsse Saint-Babolein, exceptionnel travail d'orfèvrerie romane et gothique composée lors de différentes périodes du XIe au XIIIe siècle. Elle est classée chef-d'œuvre de l'art religieux par les Monuments historiques le , et elle figure dans l'inventaire des trésors des églises de France depuis 1965, à la suite d'une exposition et d'une restauration au musée des arts décoratifs de Paris. Des sujets de cette châsse ont l'objet d'un prêt pour une exposition au Musée du Louvre il y peu de temps[C'est-à-dire ?]. Revenus rénovés, ils ont réintégré leur place. En 2011, la municipalité a pu rénover le transept droit qui était alors uniquement recouvert de plâtre et qui désormais se voit couvert d'un bois travaillé à l'identique que celui du chœur et du transept gauche.
  • Chapelle Sainte-Anne : Laurent de Pillière obtient le , de l'évêque de Beauvais, la permission de bâtir une chapelle dans son manoir du Tronquet ; elle est dédiée à sainte Anne et existe encore.
  • Forêt de Thelle et forêt communale du Coudray-Saint-Germer

Personnalités liées à la commune

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  • René Samson, né le à Villeneuve-sur-Lot et décédé à Paris en 1991. Instituteur au Coudray-Saint-Germer de 1931 à 1963, il est l'auteur d'écrits historiques sur le village[réf. nécessaire].
  • Un reportage disponible sur le site de l'Ina détaille la vie quotidienne de la commune aux 17/18e siècles. Et ce d'après les écrits de René Masson.

Héraldique

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Blason de Coudray-Saint-Germer (Le) Blason
Tranché de gueules et d'azur ; à la bande d'argent brochant sur la partition ; à la tour d'or brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique du Coudray-Saint-Germer » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. « Fiche communale du Coudray-Saint-Germer », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Le Coudray-Saint-Germer et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. « Transports en commun au Coudray-Saint-Germer », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  13. a et b Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 157.
  14. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1232.
  16. Joseph Depoin, « La vie de saint Germer », Congrès archéologique de France : séances générales tenues en 1905 à Beauvais, Paris / Caen, A. Picard / H. Delesques, vol. 72,‎ , p. 392-406 (lire en ligne)
  17. « Les maires de Coudray-Saint-Germer (Le) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  18. « Au Coudray-Saint-Germer, Roland Guillaux est candidat à sa succession : Le maire sortant Roland Guillaux est candidat à sa succession. Il est la tête de liste de « Au cœur du Coudray-Saint-Germer, ma commune j'y tiens ! », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Le Coudray-Saint-Germer : décès de l'ancien maire Roland Guillaux : Rolland Guillaux, maire honoraire du Coudray-Saint-Germer (Oise) est décédé dimanche 26 septembre 2021 à l'âge de 81 ans, des suites d'une longue maladie », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne).
  20. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  21. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
  22. « Le Coudray-Saint-Germer : fermé depuis le mois d'août, la boulangerie vient de rouvrir : Depuis peu, les habitants du secteur ont retrouvé leur pain, les viennoiseries, les pâtisseries, les sandwichs et les confiseries avec la réouverture de la boulangerie », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Le Coudray-Saint-Germer : 2 500 usagers ont fréquenté le centre social rural en 2019 : C'est un bilan positif qui est ressorti de l'assemblée générale du centre social rural du Coudray-Saint-Germer. En 2019, tous les secteurs ont connu une progression importante », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Marie-Géraldine Dartois, « Une agence postale créée dans un centre social : Une première en France. L'Oise met en place une agence postale dans un centre social. La commune du Coudray-Saint-Germer a été choisie pour cette expérimentation », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ 8//7/2019 (lire en ligne, consulté le ).
  25. Pascal Mureau, « Une première Maison France services en pays de Bray, au Coudray-Saint-Germer : Depuis le 1er janvier, la petite commune du pays de Bray accueille la première Maison France services du département. Le dispositif est censé réconcilier les citoyens avec leurs administrations », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Coudray-Saint-Germer (60164) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  31. « Au Coudray-Saint-Germer, les prix des maisons fleuries ont été décernés : Au Coudray-Saint-Germer, on aime fleurir son jardin. Pour récompenser ceux qui embellissent à leur manière la commune, des prix sont décernés chaque année », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Matthieu Hérault, « Un chantier à 36 mètres du sol au Coudray-Saint-Germer : Des travaux de réfection de la toiture de l'église du Coudray-Saint-Germer sont en cours. Une intervention spectaculaire à 36 mètres du sol », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).