Julie Rechagneux
| Julie Rechagneux | |
 Julie Rechagneux en 2024. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Députée européenne | |
| En fonction depuis le (4 mois et 17 jours) |
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| Élection | 9 juin 2024 |
| Circonscription | France |
| Législature | 10e |
| Groupe politique | PfE |
| Conseillère régional de Nouvelle-Aquitaine | |
| En fonction depuis le (3 ans, 5 mois et 2 jours) |
|
| Élection | 27 juin 2021 |
| Circonscription | Gironde |
| Président | Alain Rousset |
| Groupe politique | RN |
| Conseillère municipale de Lormont | |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Clermont-Ferrand |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | FN/RN (depuis 2013) |
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Julie Rechagneux, née le , est une femme politique française, membre du Rassemblement national. En 2024, elle est élue députée européenne.
Biographie
[modifier | modifier le code]Julie Rechagneux adhère au Front national en 2013 à Clermont-Ferrand et dirige la campagne municipale de son père[1]. Elle est conseillère municipale de Lormont et conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine depuis 2021[2]. D'après Rue89, elle se distingue en votant systématiquement contre les projets sociaux et culturels, qui profitent selon elle à des personnes issues de l’immigration[3].
Elle est salariée de la société de communication e-Politic, prestataire du RN, et a été rémunérée pour ses activités de gestionnaire de communauté auprès d'élus frontistes à hauteur de 3 100 euros par mois[4].
En 2022 elle est candidate aux élections législatives la quatrième circonscription de Gironde[5]. En 2024, elle est en dix-huitième place sur la liste du RN pour les élections européennes[6], et elle est élue le [7]. Elle est ensuite investie candidate RN aux élections législatives de 2024 dans la quatrième circonscription de la Gironde[8].
Controverse
[modifier | modifier le code]En 2017, BuzzFeed publie des photographies sur lesquelles Julie Rechagneux prend la pose avec des néonazis[9]. En 2024, StreetPress relève à son tour ses liens avec des groupes néonazis[8]. Il rapporte ses liens anciens avec le groupuscule violent (depuis dissous) Bordeaux nationaliste, avec le milieu skinhead et pétainiste et avec le groupuscule Toutatis Clan. Streetpress relève aussi plus largement la présence de néonazis au sein du Rassemblement national girondin.
Références
[modifier | modifier le code]- Xavier Sota, « Gironde : qui est Julie Rechagneux, la nouvelle eurodéputée RN ? », sur sudouest.fr, (consulté le )
- « La Girondine Julie Rechagneux élue eurodéputée RN : "La preuve que quand le peuple vote, le peuple gagne" - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3,
- Margaux Bégards, « Élections européennes : Julie Rechagneux, la relève lissée du Rassemblement national », sur Rue89Bordeaux,
- Nicolas Massol, « Rémunération des eurodéputés : combien ça paie, un parti d’extrême droite ? Maintenant on sait… », sur Libération,
- « Législatives en Gironde : Julie Rechagneux représente le Rassemblement national dans la 4e circonscription », sur sudouest.fr, (consulté le )
- « Élections européennes 2024 : voici les 35 premiers noms de la liste du Rassemblement national », sur cnews.fr, (consulté le )
- Thomas Coignac, « La Girondine Julie Rechagneux élue eurodéputée RN : "La preuve que quand le peuple vote, le peuple gagne" », sur francebleu.fr, (consulté le )
- Théo Mouraby, « À Bordeaux, la candidate RN Julie Rechagneux fricote avec les néonazis », sur StreetPress, (consulté le )
- David Perrotin, Assma Maad, Paul Aveline, Jules Darmanin, Marie Kirschen et Alexandre Léchenet, « «Lobby Juif», «Banania», «connards de Français»: on a scruté les comptes Facebook et Twitter des 573 candidats FN », sur BuzzFeed, (consulté le )
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :
