J'aimerais qu'il reste quelque chose
| Titre original | The Memorial |
|---|---|
| Réalisation | Ludovic Cantais |
| Scénario | Ludovic Cantais |
| Pays de production |
 France |
| Genre | documentaire |
| Durée | 80 minutes |
| Sortie | 2020 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
J’aimerais qu’il reste quelque chose est un documentaire français réalisé par Ludovic Cantais, sorti le .
Synopsis
[modifier | modifier le code]Chaque semaine, une équipe de bénévoles du Mémorial de la Shoah à Paris recueille des témoignages et collecte les archives personnelles des déportés et de leurs familles. J’aimerais qu'il reste quelque chose, va à la rencontre de ceux qui racontent et donnent et de ceux qui écoutent et reçoivent pour sauvegarder et transmettre la mémoire des victimes de la Shoah.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Titre : J'aimerais qu'il reste quelque chose (en anglais : The Memorial)
- Réalisation : Ludovic Cantais
- Directeur de la photographie : Florence Levasseur et Pierre Hémon
- Ingénieur du son : Philippe Richard, Nicolas Cantin, Xavier Piroelle, Geoffrey Terreau
- Montage : Yvan Gaillard
- Montage son : Thomas Robert
- Mixage : Léon Rousseau - Diapason
- Producteurs : Sébastien Hussenot et Marie Savare de Laitre
- Production : La Luna Productions et Maje Productions
- Traductions : Alice Le Roy
- Attachée de presse : Rachel Bouillon
- Genre : Documentaire
- Pays :
France - Format : Vidéo
- Durée : 80 minutes
- Lieux de tournage : Mémorial de la Shoah de Paris, Association Cultuelle Israelite de Clermont Ferrand
- Avec le soutien de : Fondation du Judaïsme Français et de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah[1].
- Date de sortie en France :
Tournage
[modifier | modifier le code]Le tournage s’est effectué de janvier à novembre 2014 au Memorial de la Shoah de Paris et à Clermont Ferrand[2].
Distribution
[modifier | modifier le code]Dans leurs propres rôles :
Les documentalistes : Lior Lalieu-Smadja, Jérôme Aubignat, Roselyne Bloch , Caroline Didi , Cécile Fontaine , Annie Goldsztajn, Eli Grynberg, Arlette Jacobsen, Solange Rafowicz, Jean-Pierre Randon, Marcel Sztejnberg, Eliane et Claude Ungar , Marie Lainez.
Les Témoins : Daniel Vock, Liliane Ryszfeld, Jacques Hochberg, Victor et Louis Blic, Marc Stanislawski Birencwajg, Liliane Brulant, Hubert Perez, François Feldman, Isidore Avramovici , M. Galaska , Paul Kravetz, Henri Benamou, Madeleine Wurm, Irène Gilpin, Dorothée Portail, Raymond Strompf, Laurent Goldberg.
Autour du film
[modifier | modifier le code]Le film a été sélectionné dans certains festivals, rencontres et débats, sous son titre initial La Mémoire des Humbles[3],[4]. Salué par Alain Cavalier à sa sortie, ce documentaire a reçu un accueil critique très enthousiaste[5].
Réception critique
[modifier | modifier le code]Pour Samuel Douhaire de Télérama, « Ludovic Cantais chronique cette indispensable transmission de la mémoire dans un documentaire à la sobriété poignante. »[6]
Pour Martine Gozlan de Marianne « Un document bouleversant. »[7]
Pour Bernard Genin de Positif « Indispensable pour les jeunes générations : les résultats d’une récente enquête Ifop signalaient que 10% de la population française n’a pas entendu parler du génocide des Juifs, chiffre qui s’élève à 19% chez les 25-34 ans et à 21% chez les 18-24 ans. »[5]
Pour Anne-Claire Cieutat de Bande à part « Voici un film qui, lui aussi, a atteint son noble but : laisser une trace. Une trace nécessaire et, espérons-le, durable. »[8]
Dans le Canard enchaîné, de C.B « Ludovic Cantais réalise un documentaire précieux et bouleversant sur la mémoire en train de se faire. »[9]
Céline Rouden de La Croix « Un documentaire poignant. »[10]
Olivier de Bruyn pour Les Echos « Un film sobre et bouleversant. »[11]
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « ARDECHE IMAGES - J'aimerais qu'il reste quelque chose », sur www.lussasdoc.org (consulté le )
- « "La Mémoire des humbles" de Ludovic Cantais », sur Mémorial de la Shoah (consulté le )
- « Fécamp : un film documentaire pour témoigner », sur www.paris-normandie.fr (consulté le )
- « La mémoire des humbles | ciremm » (consulté le )
- Bernard Genin, « "note sur les films" J'aimerais qu'il reste quelque chose », Positif, , p. 44
- « J'aimerais qu'il reste quelque chose de Ludovic Cantais - (2019) - Film documentaire » (consulté le )
- Martine Gozlan, « Rétroviseur : le film des absents », Marianne N°1182, , p. 73
- « Critique : J'aimerais qu'il reste quelque chose. Documentaire de Ludovic Cantais. », sur BANDE A PART, (consulté le )
- C.B, « J'aimerais qu'il reste quelque chose », Le Canard enchainé, , p. 6
- « « J’aimerais qu’il reste quelque chose », précieuse mémoire de la déportation », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
- « « J'aimerais qu'il reste quelque chose » : la mémoire nécessaire », sur lesechos.fr (consulté le )
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- (en) « - YouTube », sur YouTube (consulté le )
- https://video.i24news.tv/details/_6102328925001?lang=fr
- https://www.franceinter.fr/emissions/le-nouveau-rendez-vous/le-nouveau-rendez-vous-12-novembre-2019
