Aller au contenu

Houari Manar

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Houari Manar
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 37 ans)
Hydra, Alger, Algérie
Nom de naissance
Houari Madani[1]
Pseudonyme
Houari Manar
Nationalité
Activité
Période d'activité
Autres informations
Label
Édition Platinium
Sun House
Édition Saint-Crépain
Algerien Rai
Genre artistique
raï, medahette

Houari Manar (nom de scène de Houari Madani), né le à Oran et mort le à Hydra, est un chanteur algérien de la scène raï.

Natif d'Oran d'une famille de 12 frères et sœurs, Houari Manar vit à partir de ses quatre ans à Marseille, en France, où il fait ses études en hôtellerie. Il quitte le pays pour l’Algérie au début des années 2000[1].

Son premier succès, en 2006, est Aâchkek mon traitement (Ton amour est mon remède)[2].

Il est controversé en Algérie en raison de son style androgyne et de soupçons d’homosexualité, qui est punie de deux ans de prison dans ce pays[1].

Le , il meurt dans une clinique privée d’Hydra à la suite d’une crise cardiaque intervenue après une anesthésie pour une opération de liposuccion[3],[4],[5].

Discographie

[modifier | modifier le code]
  • 2006 : Aâchkek mon traitement
  • 2007 : Zaâzat biya sass el mahna
  • 2015 : album Basta
  • 2018 : Wala fel ahlem we ygoulek je t’aime
  • 2018 : Ana li gabertah
  • 2018 : Compil 2018 Medahette, vol. 1, Hayi
  • 2019 : Compilation Raï Medahette - Best of Raï 2019

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a b et c « Les causes de la mort de Houari Manar, star du raï en Algérie, révélées », sur BFMTV (consulté le ).
  2. [1], sur tsa-algerie.com
  3. https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/societe-africaine/algerie-licone-du-rai-Amine-Ghouti-est-mort-a-39-ans_3135103.html « Algérie : l’icône du raï Cheb Amine 31 est mort à 32 ans »], sur francetvinfo
  4. « Décès du chanteur Houari Manar : les proches soupçonnent une faute liée à l’anesthésie », sur algeriemondeinfos.com.
  5. [2],sur lefigaro.fr, 9 janvier 2019.