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Famille de Pons

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Famille de Pons
Image illustrative de l’article Famille de Pons
Armes de la famille.

Blasonnement D'argent à la fasce bandée d'or et de gueules.
Période XIIe siècle - XVIIIe siècle
Pays ou province d’origine Saintonge Guyenne
Fiefs tenus Vicomte de Carlat
Vicomte de Turenne
Demeures Château de Pons
Château de Bouthéon
Fonctions militaires Sénéchal de gascogne
Gouverneur d'Aquitaine.
Fonctions ecclésiastiques Evêque, cardinal.
Récompenses civiles Baron du Royaume

La famille de Pons, appelée les "Rois de la Guyenne", est une famille éteinte de la noblesse française, d'ancienne extraction, originaire de Guyenne.

Donjon de Pons.

Elle établie sa filiation depuis Bertrand de Pons (1160), qui épouse Elisabeth de Toulouse, et fut le père de Raymond de Pons, évêque de Saintes. Elle prouve sa filiation depuis Renaud, sire de Pons, vivant en 1224 et marié à Agathe d'Angoulème[1].

Elle s'éteint en 1875 avec Louis-Henri de Pons, marquis de Pons d'Hostun[1].

Personnalités

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Possessions

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A titre de fief dominant, Pons et ses seigneurs étendaient leur juridiction sur 52 paroisses et près de 250 fiefs nobles[2].

Image Armoiries
Armes: D'argent à la fasce bandée d'or et de gueules.[3],[1]

Les titres portés par les membres de cette famille sont[2] :

Alliances notables

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Les principales alliances de la famille sont : d'Aunay, de Craon, de Matha, de Périgord, de Saint-Maur, de Thouars, de Lusignan, de Bergerac, de Bruniquel, de Rodez, de Murat, d'Albret, d'Orthe, de La Roche-Andry, de Talleyrand-Périgord, de La Trémoïlle, de Foix-Grailly, de Castelnau-Tursan, d'Aydie, de La Tour d'Olliergues, de Coëtivy, de Ferrières, de Parthenay, de Montchenu, de Silly, du Plessis-Liancourt, de Durfort, Sublet d'Heudicourt, de Bourbon, d'Arpajon, de Lansac, de La Rochefoucauld, de Rohan, de Fumel, de Gontaut-Biron, de Bonneval, de Rochechouart, de Tancarville, du Lau.

Notes et références

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  1. a b et c Grand armorial de France, t. V, p. 327-328
  2. a et b Courcelles 1824, t. IV
  3. Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. II, , p. 465

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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