Discussion:Créateur de caractères
Faux & usage de faux
[modifier le code]Comme d'habitude dans le wikipedia! de types qui prennent leur vessie pour une verge lanterne.
TYPOGRAPHE (En imprimerie) = Professionnel(le) de la typographie et, en particulier, compositeur à la main (abréviation de typo). Exemple dans: Le typographe, que l'on rencontrait encore au temps des Estienne, est devenu presque une abstraction. L'emploi des femmes pour la composition des caractères a frappé au cœur cette noble industrie, et en a consommé l'avilissement (Proudhon, Syst. contrad. écon., t. 1, 1846, p. 112).
Eh ouais! Les typographes sont des femmes au 19e siècle, parce qu'elles manipulent mieux, plus vite, plus adroitement, & pour moins cher, que les bonhommes qui croient que leur vessie est au centre du monde. Autrement TYPOGRAPHE = Ouvrier qui compose des textes à imprimer. Et ça devait être aussi éreintant qu'un travail à la chaîne. D'ailleurs le "casse-chose" devrait pouvoir venir de ce métier peu payé labourant dans les casses ou cases, où l'on ne crée pas, mais où l'on doit obéir à un chef.
Autre citation: Au point de vue de la hiérarchie, les typographes peuvent être rangés sous 3 catégories: le prote, le metteur en pages et le paquetier (BoutmyTypogr.1874, p. 9).V. imprimer ex. 2. C'est probant non!
− En appos. avec valeur d'adj. Henri Leneveux, ouvrier typographe, écrit dans la Propagande de l'instruction (Cacérès, Hist. éduc. pop., 1964, p. 31).
TYPOGRAPHE, n'est attesté que depuis 1798 (Toute fin du 18e siècle). C'est un manœuvre salarié à la tâche, un tâcheron; un ouvrier qui travaille à la chaîne dans une industrie. Il ne crée rien, il exécute les ordres, il range les casses sur des lignes toute la journée à longueur d'année. Je sais qu'on fait un carrosse en or d'une citrouille, mais c'est dans les contes, ou chez les mythomanes des sectes, partis, cliques, sociétés, organisations, groupes, maffias; ça ne manque pas les escrocs pour citrouiller du carrosse & faire avaler des couleuvres à des imbéciles totalement idiots dans leurs écoles; ce n'est pas une raison pour faire son morticole mâche-lauriers démoulé d'un cake, fondu d'un bran.
Étymologie et Histoire: 1554 tipographe, compositeur d'imprimerie (Belleforest, Ode ds la Cosmogr. du Levant de Thevet, p. 10, édition de 1556 dans Gdf. Compl., v. aussi Wolf (L.) Buchdruck, p. 215).
Les dicoschrétins écrit par des cléricaux, càlottins (comme vous), illettrés du Gallois, langue de France d'avant les -4500 ans avant l'an 1=0 de Vallhë, Gel-tia, Veltie (voire Helvétie = les Velches; Galles des Alpes), Velsha, Valha, etc, le donne formé du javanais jésuitique, ou gru mort composé des 16 & 17e siècles, le "grec", τυπος, TA/DA-UP-PI/BI-OM-S/C/G = DUBOG, DIBOSS ou TIPOC, TAPES, dit "marque, empreinte, caractère gravé". Mais c'est faux c'est bien français = Gallois! Une TAPE qui fait le TYPE (sale), la TYPO (puis le TIPON dans l'offset), tout le monde sait ce que c'est; c'est BATTRE. Hors le principe de l'imprimerie consiste à écraser, presser, pousser, creuser, un support pour le marquer de traces, laisser une empreinte; sans oublier que comme toute bonne lithographie il faut TAPER, TAMPONNER la feuille sur la plaque gravée. Donc TYPO = TAPER (Tu parles d'un artiste!), ce qu'on reprend toujours au 21e siècle suite à la machine à écrire, TAPER un texte = TYPER, TOPER, BUTER, SE COGNER un texte (faire son typographe). Eh oui! Le typographe TAPE, il SAISIT dans des cases, ou casses, basses ou hautes (sans oublier les alinéas, les blancs).
Le dico rajoute: (voir type et typo-) et γραφω, j'écris (voir graphe-) ((Je ne vais pas reprendre toutes leurs mystifications, réelles chrétineries d'églises & des sectes, compagnies, cliques de type jésuite, casuiste, helléniste poétereau inverti, faussaire littéraire...)); cf. le macaronée, latin mort jamais parlé ni écrit par aucun peuple, juste par des sectateurs dans une secte d'enrobés (en robes), "typographus", qui devrait dériver d'une mutation d'un "tubo(g)rebus" (voir graber = saisir; grabat = pallet, litter; un lit, paillasse) au 15e siècle (le 'g' est souvent muet dans bien des cas; mutations 'c, ch, gh, voir 'kh = rha, ch = k = cu, ki, co'; la 'y' est mutation de 'w, o, ou'; c'est un [j], aussi i, é, a, u, o, h, w; et le 'PH/F', idem le 'MH/M' est la mutation de P/B; et PI, PY = Inverti, inverse, comme dans PEDE, PYDY, PITI; c'est du Gallois mon gars = Français), ... Fréquence absolument littéraire: 41 fois.
Vous repasserez pour le typographe, dessinateur (anglais "designer = dessinateur") de caractères.
Il y a d'autres mots pour ça, comme Facteur, Créateur, Auteur, Fabricant. Le Luthier a trouvé son nom (très bidon quand il est fabricant de rebec, guitare, guiterne, cytole, mandole, cistre, violon; d'aucun luth), mais le pseudo typographe est si nul en lettres qu'il ne peut que mystifier le sien. Essayer donc "Fondeur", celui qui crée, fait, dessine, grave, et fond, une Fonte = Petit ensemble de caractères. Le nom "police" est ignoble puisqu'il est synonyme d'un "type, agent, rousse, poulaille, milice, de la maison bourreman" (c'est dans le dictionnaire, je n'invente rien). Je ne sais pas quel chrétin littéraire d'un achadême (verger annexé à une vaste propriété d'un tyran) l'a écrit le premier, mais ce terme ne vaut rien; voir "apodoxe = quittance; "polyptychon" registre, livre de comptes; rien que des termes de curés, cléricaux idiots du Français, pour toucher des taxes, impôts, charges, par la force armée (armée d'analphabètes, mercenaires, milices, polices).
En conclusion il n'y a pas grand chose de libre dans l'écrit, dans ce qui a été tenu par l'église romaine durant des siècles, essentiellement depuis le 17e siècle qui invente un néo-françouais par le javanais macaronée des types en robbes, chattemites, hypocrites (eux, des noms de métiers, ils en ont des tonnes. Mais rappel! Métier = Esclave à peine soldé (payé) qui obéit à un maître, & se tue à la tâche; celui qui exerce en tâcheron, manœuvre une activité; & pas en orfèvre, auteur, poëte, autorité, ni "œuvrier", passé "ouvrier", mais qui ouvre ou œuvre quand même = artisan, un maître artiste). Eh oui! l'ABC c'est un alfier, chaque lise, lithe (= letres, létrice, lizeren, du vieux-gallois lythyr) à son sens et sa signification, duper l'illettré ou le littéré en littéraire = clérical, religieux, c'est facile; tromper un laïc lettré, un poët = autorité, auteur, c'est impossible. Mais on laisse faire les cancrelats & les gaudins qui se tartinent de mises, mites, mythes, mouises, misères... Ce monde finira de vivre une nuit.
- Chère Madame, cher Monsieur, puisque l’un et l’autre sont possibles, libres et égaux, pour ce que j’ai compris de votre fougueuse intervention, vous n’avez sans doute pas tort, mais vous n’avez pas nécessairement raison (après relecture, vous dites quand même beaucoup de conneries, sauf votre respect). D’abord parce que rien, apparemment, dans cet article, n’est en contradiction avec vos affirmation (les sérieuses). Je déplore comme vous (enfin, je veux dire : moi aussi) les confusion de sens et les mauvais usages des mots, je déplore l’invasion de l’anglais quand le français offre des mots clairs et précis. Moi aussi je préfère le dessin au design, et je ne crois pas en la création, observant le Principe de Lavoisier modifié par Moi : « Rien ne se crée, rien ne se perd, sauf les coups de pied au cul ». Mais, que voulez-vous, tout change, tout évolue, et on est bien obligé d’en tenir compte quand on rédige une encyclopédie destinée à informer un public qui a priori ne connait rien au « métier » (ou à la profession, ou à l’apostolat) en question. En 2014, les imprimeurs ne parlent plus comme en 1814, et ils ne travaillent pas pareil non plus. Ceci dit, vous êtes libre d’apporter à cet article toutes les modifications que vous voulez, pourvu qu’elles soient factuelles, concises, et sourcées. Wikipédia accueille tout le monde, même ceux qui prennent leurs lanternes pour des vessies (et viennent s’y soulager). --Morburre (discuter) 22 avril 2014 à 20:53 (CEST) Et Wikipédia permet aussi d’avoir une typographie à peu près correcte (comme par exemple de ne pas abuser de capitales, d’utiliser de vrais guillemets, et de ne pas écrire les conjonctions de coordination hets, hous, hnis, hmais, hors, hcars, hdoncs).
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