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Communauté de communes de l'Ouest guyanais

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Communauté de communes de l'Ouest guyanais
Blason de
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Guyane
Département Guyane
Forme Communauté de communes
Siège Mana
Communes 8
Présidente Sophie Charles (Divers droite)
Date de création
Code SIREN 249730037
Démographie
Population 97 568 hab. (2021)
Densité 2,4 hab./km2
Géographie
Superficie 40 945,0 km2
Localisation
Localisation de
Liens
Site web ouestguyane.fr
Fiche Banatic Données en ligne
Fiche INSEE Dossier complet en ligne

La communauté de communes de l'Ouest guyanais (CCOG) est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) regroupant huit communes de l'ouest de la Guyane Française : Apatou, Awala-Yalimapo, Grand-Santi, Mana, Maripasoula, Papaïchton, Saül et Saint-Laurent-du-Maroni.

La communauté de communes utilise la marque de territoire Ouest Guyane.

Elle est créée par un arrêté préfectoral en date du avec effet au .

Territoire communautaire

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Géographie

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Composition

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La communauté de communes est composée des 8 communes suivantes :

Liste des communes de l'intercommunalité
Nom Code
Insee
Gentilé Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Mana
(siège)
97306 Mananais 6 332,6 11 764 (2021) 1,9
Apatou 97360 2 020 9 818 (2021) 4,9
Awala-Yalimapo 97361 187,4 1 516 (2021) 8,1
Grand-Santi 97357 2 112 9 120 (2021) 4,3
Maripasoula 97353 Maripasouliens 18 360 9 177 (2021) 0,5
Papaichton 97362 2 628 5 606 (2021) 2,1
Saint-Laurent-du-Maroni 97311 Saint-Laurentins 4 830 50 250 (2021) 10
Saül 97352 4 475 317 (2021) 0,07

Composition détaillée

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La communauté de communes de l’ouest guyanais représente un territoire d'une superficie de 40 945 km2, soit 49 % de la Guyane.

C’est un territoire avec une population de 97 568 habitants en 2021, soit 34 % de la Guyane.


Apatou

Commune de pleine exercice depuis 1976, Apatou fût créée à partir des parcelles de Grand-Santi-Papaichton, Apatou est une.

La Commune est constituée de trois bourgs : Patience, Maïman et Apatou.

La population est essentiellement composée de Créée. Le moyen d’accès reste le fleuve et depuis peu une route de 35 km permet de relier la Commune à Saint-Laurent du Maroni. Apatou est la porte d’entrée sur le fleuve du Maroni.

  • Maire : Edwin Moïse
  • Population : 7 649 habitants selon l’INSEE en 2016
  • Superficie : 2 020 km2
  • Code Insee : 97306


Awala-Yaliamapo

Awala-Yalimapo est la plus petite Commune de Guyane érigée en Commune de pleine exercice en par détachement de la Commune de Mana.

La Commune est connue pour la richesse de son patrimoine naturel notamment pour les milliers de tortues marines qui viennent pondre sur la plage de Yalimapo.

La population est composée majoritairement d’amérindiens kali’na.

  • Maire : Jean-Paul Fereira
  • Population : 1 350 habitants selon l’INSEE en 2016
  • Superficie : 187 km2
  • Site : http://www.awala-yalimapo.fr
  • Code INSEE : 97311


Grand Santi

En 1992 est créée la Commune de Grand-Santi. Elle est une scission de la Commune de Papaïchton-Grand-Santi. La commune est constituée des nombreux petits villages : Gaa, Grand Citron, Ana kondé, Apagui, Monfina.

La population est majoritairement composée de Bushi Nengués Djuka. Le moyens d’accès reste le fleuve et depuis peu, on peut rejoindre Grand-Santi par avion. Si la montagne Kotika (730 m) et les montagnes françaises restent des points culminants, la Commune de Grand-Santi demeure discrète et isolée.

  • Maire : Félix Dada
  • Population : 6 343 habitants selon l’INSEE en 2016
  • Superficie : 2 112 km2
  • Code INSEE : 97357


Mana

Fondée par la Mère Anne-Marie Javouhey au début du XIXe siècle, la ville de Mana est bordée à l’Ouest par les Communes de Saint-Laurent du Maroni et d’Awala-Yalimapo, à l’Est par Iracoubo et Saint-Elie et au Sud par la Commune de Saül.

La Commune est constituée de deux pôles marchands : le bourg et le village de Javouhey. Le village de Charvein est également une zone de vie importante. La population mananaise est composée d’une diversité de communautés (créole, hmong, amérindienne, chinoise, brésilienne, haïtienne, Indienne, bushi nengué, etc.). Mana fait partie du Parc Naturel Régional de la Guyane.

  • Maire : Albéric Benth
  • Population : 9 593 habitants selon l’INSEE en 2016
  • Superficie : 6 333 km2
  • Code INSEE : 97311
  • Site : www.mana.mairies-guyane.org


Maripasoula

Maripasoula est devenue une commune de pleine exercice en 1969, lors de la suppression du territoire de l’Inini. Elle est la plus grande commune de France en superficie.

La commune est constituée du bourg principal et de nombreux villages en aval et en amont. La population de Maripasoula est composée de plusieurs communautés. Les amérindiens Wayana vivent principalement sur le Haut-Maroni dans les villages de Elahé, Kayodé, Twenke, Taluhen, Antecum Pata et Pidima. La population Bushi Nengué vit en particulier dans le bourg et en aval (Nouveau Wacapou, Abdhala..).

  • Maire : Serge Anelli
  • Population : 10 477 habitants selon l’INSEE en 2016
  • Superficie : 18 360 km2
  • Code INSEE : 97353


Papaïchton

Détachée administrativement de Grand-Santi, la commune de Papaïchton est depuis , une commune de pleine exercice. Elle est constituée des villages d’Assissi, Loca et Boniville.

La population est composée de la communauté Bushi Nengué plus particulièrement Boni. Depuis quelques années de nouvelles communautés se sont installées sur le territoire communal. Le moyen d’accès reste le fleuve. La Commune de Papaïchton fait aussi partie du Parc Amazonien de Guyane.

  • Maire : Jules Deie
  • Population : 6 335 habitants selon l’INSEE en 2016
  • Superficie : 2 628 km2
  • Code INSEE : 97362


Saül

Situé au cœur de la Guyane, Saül devient une commune de pleine exercice en 1969, date de la suppression du territoire de l’Inini.

La population est constituée essentiellement de créoles, métropolitains ainsi que de quelques familles Hmong et brésiliennes. Village isolé, Saül est uniquement accessible par l’avion. Il est la porte d’accès au Parc Amazonien de Guyane.

  • Maire : Marie-Hélène Charles
  • Population : 150 habitants selon l’INSEE en 2016
  • Superficie : 4 475 km2
  • Code INSEE : 97352


Saint-Laurent-du-Maroni

Initialement ville pénitentiaire, Saint-Laurent du Maroni est la seconde ville du département de la Guyane. Saint-Laurent du Maroni est une ville frontière située en face de la ville d’Albina (Suriame). La Commune est constituée d’un centre administratif, de nombreux quartiers et villages (Paddock, Terre-Rouge, Espérance, la Charbonnière) et de Saint-Jean du Maroni.

La population est composée de diverses communautés. Le moyen d’accès reste la route nationale no 1 et des vols réguliers assure la liaison à partir de Cayenne, Grand-Santi ou Maripa-Soula. Saint-Laurent du Maroni dispose d’un patrimoine architectural riche issu de la période coloniale.

  • Maire : Sophie Charles
  • Population : 41 515 habitants selon l’INSEE en 2016
  • Superficie : 4 830 km2
  • Code INSEE : 97311
  • Site : www.saintlaurentdumaroni.fr

Démographie

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Évolution démographique du territoire
1967 1974 1982 1990 1999 2008 2013 2019
8 1229 23311 43525 98937 55365 91483 41296 757
Les données proposées sont établies à périmètre géographique identique, dans la géographie en vigueur au .
(Sources : Insee[1])

Administration

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Le siège de la communauté de communes est situé à Mana[2].

Le conseil communautaire de la communauté de communes se compose de 44 conseillers[3], représentant chacune des communes membres et élus pour une durée de six ans.

Ils sont répartis comme suit[3] :

Nombre de conseillers Communes
21 Saint-Laurent-du-Maroni
6 Maripasoula
5 Mana
4 Apatou
3 Grand-Santi, Papaichton
1 (+1 suppléant) Awala-Yalimapo, Saül

Présidence

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A l'issue des élections municipales et communautaires de 2020, Sophie Charles, maire de Saint-Laurent-du-Maroni est réélue présidente de la communauté de communes[4]. Elle est assistée de 8 vice-présidents et 4 autres conseillers au sein du bureau communautaire :

Liste des vice-présidents 2020-2026[5]
Attributions Identité Qualité
1er Jules Deie Maire de Papaïchton
2e Marciano Soewa Conseiller municipal de Saint-Laurent-du-Maroni
3e Achille Adoissi Conseiller municipal de Saint-Laurent-du-Maroni
4e Serge Anelli Maire de Maripa-Soula
5e Migill Agoussa Conseiller Municipal de Grand-Santi
6e Albéric Benth Maire de Mana
7e Jean-Paul Fereira Maire de Awala-Yalimapo
8e Marie-Hélène Charles Maire de Saül
Liste des présidents successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1994 2001 Georges Patient DVG Maire de Mana (1989 → 2017)
2001 2018 Léon Bertrand RPR puis UMP Maire de Saint-Laurent-du-Maroni (1983 → 2018)
2018[6] en cours Sophie Charles DVD Maire de Saint-Laurent-du-Maroni (2018 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Compétences

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Le développement économique

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Dans le domaine du développement économique, la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais s’est fixée les objectifs suivants :

  • Favoriser la création d’activités et d’emplois ;
  • Favoriser l’installation de services de proximité dans les zones qui en sont dépourvues ;
  • Accompagner et mettre en place une ingénierie territoriale de création d’activités.
Champs d’intervention
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Pour atteindre ces objectifs, la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais intervient dans les secteurs suivants :

  • Création d’activités et d’emplois :

Par l’aménagement, la gestion et l’entretien des zones d’activités industrielles, commerciales, tertiaires, artisanales touristiques et portuaires.

  • Installation de service de proximité dans les zones qui en sont dépourvues :

Par l’étude, la programmation, la construction et gestion de tout immobilier industriel, commercial, tertiaire, agricole, artisanal et touristique favorisant l’installation d’entreprises ainsi que la création d’emplois.

  • Ingénierie territoriale de création d’activités :

Par des actions de soutien et d’accompagnement de structures existantes dont la vocation première relève de l’appui, du conseil et d’assistance technique aux porteurs des projets. Par la mise en place de programmes spécifiques tels que Leader Ouest dont les finalités sont les suivantes : l’appui et le développement de toutes activités créatrices d’emplois en milieu rural.

Électrification rurale

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Dans le domaine du développement économique, la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais s’est fixée les objectifs suivants :

  • Favoriser la création d’activités et d’emplois ;
  • Favoriser l’installation de services de proximité dans les zones qui en sont dépourvues ;
  • Accompagner et mettre en place une ingénierie territoriale de création d’activités.
Champs d’intervention
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Pour atteindre ces objectifs, la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais intervient dans les secteurs suivants :

  • Création d’activités et d’emplois :

Par l’aménagement, la gestion et l’entretien des zones d’activités industrielles, commerciales, tertiaires, artisanales touristiques et portuaires.

  • Installation de service de proximité dans les zones qui en sont dépourvues :

Par l’étude, la programmation, la construction et gestion de tout immobilier industriel, commercial, tertiaire, agricole, artisanal et touristique favorisant l’installation d’entreprises ainsi que la création d’emplois.

  • Ingénierie territoriale de création d’activités :

Par des actions de soutien et d’accompagnement de structures existantes dont la vocation première relève de l’appui, du conseil et d’assistance technique aux porteurs des projets. Par la mise en place de programmes spécifiques tels que Leader Ouest dont les finalités sont les suivantes : l’appui et le développement de toutes activités créatrices d’emplois en milieu rural.

Gestion des déchets

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Dans le domaine de la gestion des déchets ménagers, la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais vise les objectifs suivants :

  • Optimiser la gestion des déchets ménagers sur l’ensemble de son territoire ;
  • Améliorer la qualité du service public auprès des usagers.
Champs d’intervention
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La gestion des déchets sur le territoire communautaire comprend les domaines suivants :

  • La pré-collecte : mise à disposition de poubelles ou bacs roulants ;
  • La collecte : organisation du ramassage des ordures produites par les ménages ;
  • Le stockage en centre de traitement des ordures ménagères ;
  • La réhabilitation des anciennes décharges brutes ;
  • La création de centres de stockage aux normes

Pôle agro-alimentaire

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La Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais a réaliser, en 2006, une structure d’abattage des animaux de boucherie afin de répondre aux obligations légales et sanitaires communautaires ainsi qu’aux attentes des éleveurs et consommateurs de l’Ouest Guyanais.

La création d’un abattoir à Mana répond à un objectif de salubrité publique et permettra de lutter plus efficacement contre les abattages clandestins et de répondre à une nécessité économique régionale caractérisée : satisfaire les circuits courts de distribution. Il aura également une vocation pédagogique à l’égard des élèves de la MFR et du Lycée Polyvalent de Mana.

Un atelier de transformation des produits végétaux amazoniens

De nombreux porteurs de projet ont été identifiés sur la zone de l’Ouest. Cependant, une grande partie d’entre eux ont des ressources insuffisantes pour la mise en œuvre de leur projet. La mise en place d’un tel atelier doit leur permettre de concrétiser leur projet afin de développer une véritable filière d’agro-transformation avec une production répondant aux exigences qualitatives et sanitaires d’une clientèle en expansion.

L’atelier de transformation vise donc à répondre à l’attente d’un certain nombre de projets artisanaux de transformation agroalimentaire et de missions d’accompagnement identifiés sur le territoire. Son fonctionnement consiste à mettre à disposition des locaux et du matériel performant à différents utilisateurs.

Trois utilisations principales sont retenues :

  • La mise à disposition de l’atelier aux agro-transformateurs de l’Ouest
  • La formation en agro-alimentaire de la MFR (Maison Familiale Rurale) et du CFPPA (Centre de Formation Professionnelle et de Promotion Agricole) de Guyane
  • La recherche de nouveaux procédés de transformation et l’accompagnement des professionnels.

Le Port de l'Ouest

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Depuis , la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais est propriétaire du Port de l’Ouest. C’est un port fluvial situé sur le fleuve Maroni, séparant la Guyane française du Suriname.

Le Port de l’Ouest est constitué de trois zones d’activités à vocations différentes :

  • Le port de commerce qui accueille les navires de transport de marchandises.
  • La zone internationale d’accostage qui permet au bac « La Gabrielle » d’assurer la rotation régulière de passagers et de véhicules vers et depuis Albina (Suriname).
  • Le port piroguier qui permet l’accostage de pirogues de transport de passagers vers et depuis Albina (Suriname).

La volonté politique de la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais est de :

  • Faire du Port de l’Ouest un véritable outil de développement économique de l’Ouest guyanais ;
  • Favoriser l’implantation de nouvelles entreprises sur la zone portuaire ;
  • Favoriser la création d’activités et d’emplois.
Champs D’intervention
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De par son statut de propriétaire, la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais est l’autorité portuaire qui a repris l’exploitation du port de l’ouest en régie depuis .

Rôle de la CCOG
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En tant qu’autorité portuaire, la Communauté de Communes de l’Ouest Guyanais exerce, en lieu et place de l’État, tous les droits et obligations afférents à la gestion du domaine public.

Elle intervient également dans la programmation des investissements à réaliser pour le fonctionnement du port.

Rôle de la régie du port
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Exploitation du port de commerce ;

La gestion de l’ensemble des activités du port de commerce ainsi que l’entretien des installations

Régime fiscal et budget

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Le régime fiscal de la communauté de communes est la fiscalité professionnelle unique (FPU)[2].

Projets et réalisations

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Articles connexes

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Liens externes

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Références

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  1. « Population en historique depuis 1968 - CC de l'Ouest Guyanais (249730037). », sur Insee, (consulté le ))
  2. a et b « Fiche signalétique - CC de l'Ouest guyanais (N° SIREN : 249730037). », sur Banatic, (consulté le ).
  3. a et b « Le conseil communautaire. », sur le site de la communauté de communes (consulté le ).
  4. « Sophie Charles réélue à la présidence de la communauté des communes de l'ouest. », sur La 1ère, (consulté le ).
  5. « Le bureau communautaire. », sur le site de la communauté de communes (consulté le ).
  6. « Sophie Charles élue présidente de la Communauté de communes de l'ouest guyanais », sur Guyane La Première, .