Colonie de Nouvelle-Zélande
(en) Colony of New Zealand
1841–1907
Devise | Dieu et mon droit |
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Hymne | God Save the Queen/King |
Capitale |
Okiato (1841) Auckland (1841–1865) Wellington (1865–1907) |
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Langue(s) | Anglais, māori |
Entités précédentes :
Entités suivantes :
La colonie de Nouvelle-Zélande (en anglais : Colony of New Zealand) est une ancienne colonie de la Couronne britannique, qui existe de 1841 à 1907, date à laquelle la colonie devient le dominion de Nouvelle-Zélande.
L’autorité britannique était confiée à un gouverneur. La colonie a eu trois capitales successives : Okiato (ou Old Russell) en 1841 ; Auckland de 1841 à 1865 ; et Wellington à partir de 1865. À la suite de la Loi constitutionnelle de la Nouvelle-Zélande de 1852, la colonie est devenue une colonie de la Couronne avec son premier parlement élu en 1853. L’autonomie gouvernementale responsable a été établie en 1856, le gouverneur étant tenu d’agir sur l’avis de ses ministres. En 1907, la colonie devient le Dominion de la Nouvelle-Zélande au sein de l’Empire britannique.
Établissement
[modifier | modifier le code]Après la proclamation de souveraineté sur la Nouvelle-Zélande depuis Sydney en Janvier 1840, le capitaine William Hobson arriva en Nouvelle-Zélande et publia la même proclamation le 1er Février 1840. Le Traité de Waitangi fut ensuite signé le 6 février 1840 et William Hobson déclara la souveraineté britannique sur les îles de Nouvelle-Zélande le 21 mai 1840 dans deux déclarations séparées. Dans la première déclaration, Hobson déclara la souveraineté britannique sur l'Île du Nord. La base de revendication de l'île du Nrod était le traité de Waitangui entre les Maoris (Nouvelle-Zélande) et la Couronne britannique. Dans la version en anglais du traité, les maoris ont cédé la souveraineté en échange des droits, privilèges et protections d'êtres sujets britannique. La trduction en maoris du traité se réfère à kawanatanga, qui généralement traduit par comme gouvernement plutôt que gouvernement, et ce point continue d'être un sujet de beaucoup de contreverses et de débats politiques[1]. Dans le seconde déclaration Hobson déclare la souveraineté britannique sur l'Île du Sud et l' Île Stewart (Nouvelle-Zélande) sur la base la "première découverte" par le capitaine James Cook en 1769.
Initialement, la Nouvelle-Zélande était la partie de la Colonie de Nouvelle-Galles du Sud, et le Lieutenant-Gouverneur Hobson était responsable avant son supérieur, le Gouverneur de Nouvelle-Galles du Sud[réf. nécessaire].
A travers une lettre patente, le gouvernement britannique émis la carte pour l'érection de la colonie de Nouvelle-Zélande le 16 novembre 1840. La carte établit que la colonie de Nouvelle-Zélande s'établira comme un colonie de la couronne séparée de la Nouvelle-Galles du Sud le 1er juillet 1841[réf. nécessaire].
Colonie de la Couronne
[modifier | modifier le code]Avec l’établissement de la colonie de la Couronne, Hobson devint gouverneur de la Nouvelle-Zélande. Les premiers organes du gouvernement ont également été créés pour aider le gouverneur : un Conseil exécutif et un Conseil législatif[réf. nécessaire].
Le Conseil exécutif se composait du procureur général, du secrétaire d’État aux Colonies et du trésorier des Colonies. Le Conseil législatif se composait du gouverneur, du Conseil exécutif et de trois juges de paix nommés par le gouverneur.
Le Conseil législatif avait le pouvoir de promulguer des ordonnances, des textes réglementaires.
La colonie était divisée en trois provinces : la Nouvelle-Ulster (l’île du Nord), la Nouvelle-Munster (l’île du Sud) et la Nouvelle-Leinster (l’île Stewart).
Colonie autogouvernement
[modifier | modifier le code]A mesures que de nouvelles colonies européennes étaient fondées dans la colonie les demandes d'autogouvernement se faisaient plus forte.
Le nouveaux règlement de la compagnie de Nouvelle-Zélande à Port Nicholson (Wellington) à son propre conseil d'élu, qui a été dissous de force par le vice-gouverneur William Hobson en 1840[2]. Plus tard Wellington devenu le centre d'agitation des colons pour le gouvernement représentatif dirigé par Samuel Revans, qui fonda l'Association constitutionnelle des Colons de Wellington[3]. La première loi de la constitution de Nouvelle-Zélande est approuvé en 1846, bien que le gouverneur George Grey s'est opposé aux dispositions qui diviseraient le pays en quartier européens et Maoris (Nouvelle-Zélande). Par conséquent, la quasi-totalité de la loi est suspendue pour six années dans l'attente d'une nouvelle loi de 1852, étant le seule partie opérationnelle de la loi de 1846, la création des premières provinces de Nouvelle-Zélande. Entre temps Grey rédigea sa propre loi qui établi les assemblées provinciales et les représentants centrales, et permis les quartier maoris et un gouverneur élu[4]. Cette ultime proposition est refusée par le Parlement du Royaume-Uni quand il a adopté la constitution de Grey.
La seconde loi de la constitution de Nouvelle-Zélande est approuvé en 1852 est devenu le document constitutionnel central de la colonie. Croire le Parlement de Nouvelle-Zélande qui a été formé par le conseil législatif et une Chambre des représentants de Nouvelle-Zélande[5]. La première élection générale pour la chambre des représentants a été célébré entre le 14 juillet et le 1 octobre 1853. Le premier parlement de Nouvelle-Zélande a été inauguré le 24 mai 1854. L'administrateur du gouvernement, Robert Wynyard a été confronté rapidement par des demandes du nouveau parlement à propos du Gouvernement responsable d'être accordé immédiatement à la colonie,le 2 juin, la chambre des représentant approuvait une résolution appuyé par Edward Gibbon Wakefield à cet effet. Winyard a refusé, affirmant que le Bureau Colonial n'a pas mentionné au gouvernement responsable. Le conseil exécutif a informé Winyard contre un gouvernement responsable et, entre-temps a envoyé une dépêche à Londres sollicitant une clarification. Alors Winyard a proposé d'ajouter quelques membres élus au parlement au conseil exécutif et nommé James FitzGerald, Henry Sewell et Frederick Weld pour le conseil. L'engagement fonctionne pendant quelques semaines, mais le 1 août le parlement exige le pouvoir complet pour nombre de ministres. Wynyard proroge le parlement durant deux semaines, le 31 aoûts son nommé Thomas Forsaith, Jerningham Wakefield et James Macandrew pour le conseil exécutif, mais quand le parlement se réunit encore s'est changé une motion de confiance en les membres.
Le parlement s'est réuni le 8 août 1855 moment en lequel Wynyard reçu les instructions du Bureau Colonial pour représenter un Gouvernement responsable. Le nouveau gouverneur Thomas Gore Browne arrive le 6 septembre 1855 et relève Wynyard de ses devoirs[6]. Le 28 janvier 1858, Winyard a été nommé membre du conseil législatif.
Le gouverneur Browne annonce ensuite que l'autogouvernement commencerait avec le second Parlement de Nouvelle-Zélande en 1855[7]. Le gouverneur a demandé à Sewell de former un gouvernement, maintenant connu comme le Ministère Sewell. Devenu secrétaire colonial, effectivement le premier ministre de Nouvelle-Zélande, le 7 mai. Le gouvernement Sewell fut éphémère.Le leaeder de la action provincialiste, William Fox vaincu le gouvernement Sewell le 20 mai 1856. Fox n'a maintenu le poste peu dde temps il a été vaincu par Edward Stafford, un modéré.
Élévation au niveau de Dominion
[modifier | modifier le code]La colonie de Nouvelle-Zélande s'est maintenu jusqu'au 26 septembre 1907, quand une décision de la conférence impérial de 1907 commande le gouvernement de Nouvelle-Zélande le roi Édouard VII déclara la Nouvelle-Zélande comme dominion. Le même jour le roi émis une autre proclamation royale octroyant à la Colonie de Terre-Neuve le statut Dominion de Terre-Neuve. Le changement de 1907 de colonie à dominion a été symbolique et la Nouvelle-Zélande ne devint indépendante jusqu'à que l'assemblée générale de Nouvelle-Zélande promulgue la loi d'adoption du Statut de Westminster de 1931 au Dominion de Nouvelle-Zélande certaines promulgations coloniales ont survécu depuis la loi de constitutions de Nouvelle-Zélande de 1852 a été finalement remplacée par la loi de la constitution de 1986.
Proclamation royale
[modifier | modifier le code]Une proclamation royale du 26 septembre 1907 a accordé le statut de dominion à la Nouvelle-Zélande.
- Attendu que nous avons dans la pétition des membres du Conseil législatif et de la Chambre des représentants de notre colonie de la Nouvelle-Zélande que nous déterminons que le titre de Dominion de la Nouvelle-Zélande sera remplacé par celui de la colonie de la Nouvelle-Zélande comme désignation de ladite colonie, par conséquent, sur l’avis de notre Conseil privé, nous jugeons opportun de publier la présente Proclamation royale qui est la nôtre et nous ordonnons, déclarons et ordonnons à ce sujet à compter du vingt-six septembre mil neuf cent sept, ladite colonie de la Nouvelle-Zélande et le territoire qui lui appartient seront appelés et connus sous le titre de Dominion de la Nouvelle-Zélande et donnons par la présente nos ordres à tous les ministères publics en conséquence. au palais de Buckingham, le neuvième jour de septembre, en l’an de grâce mil neuf cent sept, et en la septième année de Notre royaume. Que Dieu sauve le Roi[8].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Differences between the texts », sur nzhistory.govt.nz (consulté le )
- (en) New Zealand Ministry for Culture and Heritage Te Manatu Taonga, « Hobson, William », sur teara.govt.nz (consulté le )
- Coleridge, Kathleen A. Samuel Revans. Dictionary of New Zealand Biography. Ministry for Culture and Heritage
- « The New Zealand Constitution Act. — English Version », sur ndhadeliver.natlib.govt.nz (consulté le )
- (en) New Zealand Ministry for Culture and Heritage Te Manatu Taonga, « Nation and government », sur teara.govt.nz (consulté le )
- Rogers, Frank. Wynyard, Robert Henry. Dictionary of New Zealand Biography. Ministry for Culture and Heritage
- (en) New Zealand Ministry for Culture and Heritage Te Manatu Taonga, « Sewell, Henry », sur teara.govt.nz (consulté le )
- (en) « Proclamation of the Dominion of New Zealand - Wikisource, the free online library », sur en.wikisource.org (consulté le )