Christine Love
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Langue d’écriture | Anglais |
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Œuvres principales
Christine Love, née le [réf. nécessaire], est une créatrice indépendante de visual novels vivant en Ontario au Canada. Elle est surtout connue pour ses trois principaux travaux : Digital: A Love Story[1], Don't take it personally, babe, it just ain't your story[2] et Analogue: A Hate Story[3].
Biographie
[modifier | modifier le code]Christine Love a commencé à créer des visual novels lors de ses études universitaires[Où ?]. En 2011, après la sortie de Love and Order, un jeu de type dating-sim, elle commence à se dire que créer des jeux et des visual novels pourrait devenir une activité professionnelle à part entière[4]. Elle arrête ses études universitaires alors qu'elle écrit Analogue: A Hate Story en 2012, également pour pouvoir se concentrer pleinement sur le développement de visual novels et de jeux, ce qui aujourd'hui est sa source de revenus[réf. nécessaire].
Travaux
[modifier | modifier le code]Digital: A Love Story (2010)
[modifier | modifier le code]Digital: A Love Story est sorti gratuitement en février 2010. Se situant "cinq minutes dans le futur en l'année 1988", Digital raconte l'histoire de la relation en ligne entre le silencieux protagoniste et une fille nommée * Emilia, dans un contexte de morts mystérieuses concernant de nombreuses intelligences artificielles. L'intégralité du jeu est présentée à travers une interface d'ordinateur des années 1980 avec accès en ligne à des BBS contenants posts et messages d'autres personnages. Les messages du protagoniste sont sous-entendus mais jamais montrés[1].
don't take it personally, babe, it just ain't your story (2011)
[modifier | modifier le code]don't take it personally, babe, it just ain't your story (stylisé en minuscules) a été développé en un mois et est sorti gratuitement le 4 avril 2011. Il s'agit d'une suite spirituelle à Digital. On y suit John Rook, un enseignant de littérature dans une école privée durant un semestre en 2027. Il peut accéder aux messages privés de ses étudiants lorsqu'il le souhaite via le réseau social de l'école. Don't take it personally aborde des thèmes comme la vie privée et les relations sociales dans le futur[2].
Analogue: A Hate Story (2012)
[modifier | modifier le code]Analogue: A Hate Story (en coréen : 아날로그) propose une intrigue se déroulant des siècles après Digital: A Love Story. Elle tourne autour d'un enquêteur anonyme dont le travail est de découvrir la raison pour laquelle un vaisseau de colonisation interstellaire a disparu, avant de réapparaître subitement sur les radars 600 ans plus tard. Les thèmes de ce jeu concernent les interactions hommes/ordinateurs, les relations interpersonnelles, et du mouvement LGBT[5]. Mais il se concentre sur « le transhumanisme, le mariage traditionnel, la solitude et le cosplay »[3].
Ladykiller in a Bind (2016)
[modifier | modifier le code]Ladykiller in a Bind est une comédie romantique et érotique décrite comme traitant de « la manipulation sociale, le transformisme et des filles attachant d'autres filles. »[6].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Christine Love (visual novelist) » (voir la liste des auteurs).
- (en) Christine Love. Digital: A Love Story (Microsoft Windows, Mac OS X et Linux).
- (en) Christine Love. don't take it personally, babe, it just ain't your story (Microsoft Windows, Mac OS X et Linux).
- (en) Christine Love. Analogue: A Hate Story (Microsoft Windows, Mac OS X et Linux).
- Christine Love, « This year was a good year », (consulté le )
- Matt "Steerpike" Sakey, « Analogue: A Hate Story », Tap-Repeatedly, (consulté le )
- (en) « Ladykiller in a Bind on Steam », sur store.steampowered.com (consulté le )
Liens externes
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- (en) Site officiel
- Ressource relative à la musique :
- Page officielle de Digital
- Page officielle de don't take it personally
- Site internet de Analogue