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Calgary Tame

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Calgary Tame
Calgary Tame monté par Laura Kraut au Paris Eiffel Jumping de 2023
Informations
Espèce
Race
Couleur
Sexe
Date de naissance
Lieu de naissance
Père
Mère
Davendy S (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Calgary Tame (né le ) est un cheval hongre Selle français de robe alezane, monté en saut d'obstacles par la cavalière américaine Laura Kraut.

Calgary Tame naît le [1], à l'issue d'une coopération entre les éleveurs Denis Brohier, Patrick Bizot et Eugénie Angot, qui fut aussi la cavalière de ses deux parents[2]. Il voit le jour au haras de Tamerville, situé à Saint-Côme-du-Mont dans le département de la Manche, en région Normandie, en France[3],[4].

Il est entraîné au saut d'obstacles par les cavaliers Baptiste Pommier, Stéphane Dufour, puis par Julien Alexandre[2]. Il suit le cycle classique de saut d'obstacles avec les épreuves pour jeunes chevaux de 4, 5 et 6 ans[5]. Sa copropriétaire Eugénie Angot commence à le monter lorsqu'il a cinq ans et le forme de la fin d'année 2017 jusqu'à la fin de l'année 2020, l'amenant jusqu'au niveau d'obstacles 1,40 m[2]. Il est monté pendant toute la saison 2021 par le cavalier français Julien Épaillard[2]. Sa vente à la cavalière américaine Laura Kraut est annoncée par Eugénie Angot le [2].

En février 2024, Laura Kraut le confie à Julie Welles, l'une de ses élèves, après avoir subi une chute le 13 janvier à Wellington[6].

Description

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Calgary Tame monté par Laura Kraut au Paris Eiffel Jumping de 2023.

Calgary Tame est un hongre de robe alezane, inscrit au stud-book du Selle français[1]. Il mesurait 1,61 m à l'âge d'un an et demie[4].

Il atteint un indice de saut d'obstacles (ISO) de 173 en 2023[4].

Il présente des origines partiellement françaises, belges et allemandes, puisque c'est un fils de l'étalon Old Chap Tame, sa mère Davendy S étant une jument belge par Kashmir Van't Schuttershof[4],[7], qui a concouru jusqu'au niveau 5* avec la cavalière Jessica Springsteen[8]. Il présente 36 % d'origines Pur-sang, 34 % de Selle français et 9 % par le Holsteiner allemand[9].

Il est considéré comme l'un des meilleurs fils d'Old Chap Tame[10].

Notes et références

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  1. a et b (en) « Calgary Tame », sur www.fei.org, Fédération équestre internationale (consulté le ).
  2. a b c d e et f Sébastien Roullier, « Calgary Tame s’est envolé aux États-Unis », Grand Prix magazine, (consulté le ).
  3. « TÉMOIGNAGE. Depuis plus de 80 ans, les Brohier élèvent des chevaux de sport dans la Manche », Ouest-France, (consulté le ).
  4. a b c et d « Calgary Tame - Informations générales », sur infochevaux.ifce.fr, Institut français du cheval et de l'équitation (consulté le ).
  5. « Calgary Tame », Société hippique française (consulté le ).
  6. Margaux Lamoulie et Sebastien Roullier Varlamov, « Calgary Tame passe sous la selle de Julie Welles », Grand Prix magazine, (consulté le ).
  7. « Calgary Tame », sur Horsetelex (consulté le ).
  8. « CALGARY TAME », sur brohier.com (consulté le ).
  9. « Composition raciale de CALGARY TAME - Diversité génétique », sur infochevaux.ifce.fr, Institut français du cheval et de l'équitation (consulté le ).
  10. Sebastien Roullier Varlamov, « Old Chap Tame a poussé son dernier souffle », Grand Prix magazine, (consulté le ).