Cabinet des estampes et des dessins de Strasbourg
et des Dessins de Strasbourg
Type | |
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Ouverture |
1877 |
Visiteurs par an |
41 () |
Site web |
Collections | |
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Nombre d'objets |
environ 200 000 |
Pays |
France |
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Coordonnées |
Le cabinet des estampes et des dessins de Strasbourg est une collection d'arts graphiques faisant partie des Musées de la Ville de Strasbourg.
Ses collections ont été constituées à partir de 1877 et étaient alors rattachées aux collections du musée des Beaux-Arts[1]. Le fonds, très riche, recouvre les domaines artistiques et les techniques propres aux arts graphiques : on y trouve ainsi dessins, estampes (gravures sur bois, eaux-fortes, lithographies) s'étalant sur une période allant du XIVe au milieu du XIXe siècle. Les œuvres correspondant à la période chronologique postérieure sont conservées au cabinet d'arts graphiques du musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg.
Situation
[modifier | modifier le code]Le cabinet des estampes est installé au troisième étage de l’ancienne École impériale du Service de santé militaire de Strasbourg. Créée en 1856 et dissoute en 1870 après le siège de Strasbourg, cette école fonctionnait en association avec la faculté de médecine de l’université de Strasbourg, cette dernière assurait la formation des futurs médecins.
Collections
[modifier | modifier le code]Fonds documentaire
[modifier | modifier le code]Le cabinet des estampes conserve un important fonds iconographique relatif à l'Alsace avec notamment des vues de Strasbourg, des vues de la cathédrale de Strasbourg, des vues d'Alsace ainsi qu'une importante collection de portraits alsatiques.
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Isaac Brunn, La Cathédrale de Strasbourg vue du Sud (1615), eau-forte.
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Charles Wild, La Cathédrale de Strasbourg (1830), estampe en couleur.
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Samuel Prout, lithographie aquarellée (vers 1824).
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Wenceslas Hollar, Les Quatre saisons (vers 1630), eau-forte.
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Charles Friedrich Oppermann, Vue de la cascade du Nideck (1817).
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Johann Baptist Stuntz, Vue du château de Spesbourg (vers 1800).
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Louis Laurent-Atthalin, Tour du Sponech.
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Gustave Brion, Forêt de Bischoffsheim (vers 1844).
La collection compte également de nombreuses œuvres illustrant l'histoire de la ville et de la région.
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A. Dusch, Schwoertag ou élection à Strasbourg.
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Jean Henri Cless, Scène de pillage de l'ancien hôtel de ville de Strasbourg en 1789.
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Jean Hans, Incendie du théâtre municipal de Strasbourg le .
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Fasoli et Ohlmann, Inauguration de la ligne Paris-Strasbourg en 1852 à Strasbourg.
Un ensemble de cartes et de plans témoigne des développements du tissu urbain entre le début du XVIe et la fin du XIXe siècle.
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Braun & Hogenberg, plan de Strasbourg (vers 1572), eau-forte coloriée à l'aquarelle.
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Gérard-Victor Vandernoot, plan de Strasbourg en 1822.
Gravure
[modifier | modifier le code]Le cabinet des estampes conserve une majorité d'œuvres gravées, au sein desquelles figurent plusieurs ensembles significatifs.
Gravure germanique
[modifier | modifier le code]Centrée autour d'Albrecht Dürer[2] et de Hans Baldung Grien[3], la collection est également riche de gravures sur bois de Lucas Cranach[4] ainsi que d'une importante collection d’œuvres des petits maîtres, tels que Sebald Beham, Albrecht Altdorfer ou Lucas de Leyde[5].
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Albrecht Dürer, Songe du docteur (vers 1498), gravure au burin.
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Albrecht Dürer, Némésis ou la grande Fortune (vers 1501), gravure au burin.
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Hans Baldung Grien, Les trois Parques (1513), gravure sur bois.
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Hans Baldung Grien,La Déploration du Christ (vers 1515), gravure sur bois.
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Albrecht Altdorfer,Le Sacrifice d'Isaac (vers 1520), gravure sur bois.
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Barthel Beham, Judith et la tête de Holopherne (1525), gravure au burin.
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Sebald Beham, La Patience (1540), gravure au burin.
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Sebald Beham, Adam et Ève chassés du Paradis (1543), gravure au burin.
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Heinrich Aldegrever, La Diligence (1552), burin sur papier vergé.
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Étienne Delaune, Le Sacrifice d'Abraham (avant 1573), gravure au burin.
Gravure italienne
[modifier | modifier le code]La gravure italienne constitue l'un des points forts de la collection, avec de nombreuses œuvres de la Renaissance, à commencer par le Combat des dieux marins d'Andrea Mantegna, le Combat d'hommes nus d'Antonio Pollaiuolo, Marcantonio Raimondi et son énigmatique Sur le chemin du Sabbat, ou encore Agostino Veneziano et son Lycaon. La collection conserve également des exemples significatifs de gravures en camaïeux, d'Antonio da Trento ou Ugo da Carpi.
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Andrea Mantegna, Le Combat des dieux marins (vers 1475), gravure au burin et pointe sèche.
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Antonio Pollaiuolo, Combat d'hommes nus (vers 1470), gravure au burin,
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Marcantonio Raimondi, d'après Girolamo Genga, Sur le chemin du Sabbat (vers 1520), gravure au burin.
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Hugo de Carpi d'après Le Parmesan, Diogène (vers 1526).
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Agostino Veneziano, d'après Raphaël, Lycaon et Jupiter (1524), gravure au burin.
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Antonio da Trento, La Sibylle Tiburtine et Auguste (vers 1527), gravure en camaïeu de deux planches.
Gravure des écoles du Nord
[modifier | modifier le code]Le cabinet des estampes et des dessins conserve des ensembles significatifs d'œuvres d'Hendrik Goltzius, Schelte Adams Bolswert, Rembrandt, Jacob Matham, Egidius Sadeler Jacob Jordaens ou encore Pieter de Jode le Jeune.
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Hendrik Goltzius, La Chute de Phaéton.
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Hendrik Goltzius, Pluton (1594), gravure en camaïeu.
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Schelte Adams Bolswert, d'après Pierre Paul Rubens, Paysage agreste à l'arc-en-ciel (vers 1638), eau-forte.
- la gravure aux XVIIe et XVIIIe siècles, avec les incontournables eaux-fortes de Jacques Callot ou Stefano della Bella, Piranesi, Jean-Jacques de Boissieu. On y trouve ainsi un fonds important de gravures de Wenzel Hollar présenté au public en 2013[6].
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Jacques Callot, La Tentation de saint Antoine (1635), eau-forte.
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Giovanni Battista Piranesi, Caprice (vers 1748).
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Jean-Jacques de Boissieu, Vieillard au front chauve, eau-forte et burin, 1770
- la lithographie, avec un ensemble consacré à la lithographie française comptant notamment les œuvres de Daumier, Grandville, Eugène Delacroix, ainsi que de nombreuses lithographies alsatiques, Godefroy Engelmann ou Jacques Rothmuller, etc.
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Dominique Vivant Denon, essai au crayon, à la plume et à l'estompe, (1809).
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Honoré Daumier, La Maudite, lithographie publiée dans Le Charivari du .
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D'après Eugène Delacroix, Cheval sauvage, lithographie publiée dans le journal L'Artiste en 1865.
En plus de ces points forts, la collection du cabinet des estampes et des dessins permet également de découvrir des gravures de Rembrandt, Le Parmesan, Canaletto, Giambattista, Giandomenico Tiepolo, etc.
Dessins
[modifier | modifier le code]Avec une amplitude chronologique équivalente aux collections gravées (XVIe – XIXe siècle) le fonds de dessins contient des feuilles italiennes, allemandes ou françaises, ainsi qu'un ensemble d’œuvres réalisées par des artistes originaires de Strasbourg ou qui y furent actifs.
Parmi les artistes italiens, il faut pour commencer mentionner les œuvres attribuées à Giovanni Antonio Boltraffio réalisées d'après la Cène de Léonard de Vinci.
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Giovanni Antonio Boltraffio, Tête du Christ.
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Giovanni Antonio Boltraffio, Tête de saint Jean.
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Giovanni Antonio Boltraffio, Tête de Judas.
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Giovanni Antonio Boltraffio, Tête de saint Pierre.
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Giovanni Antonio Boltraffio, Tête de saint André.
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Giovanni Antonio Boltraffio, Tête de saint Jacques le Mineur.
Parmi les artistes allemands de la Renaissance, on peut mentionner plusieurs feuilles du strasbourgeois Hans Baldung ainsi que l'important ensemble de dessins du Maître des Études de draperies :
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Maître des Études de draperies, Drapés (dernier quart du XVe siècle), plume et encre sur papier.
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Maître des Études de draperies, Sainte lisant (dernier quart du XVe siècle), plume et encore sur papier.
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Hans Baldung, L'Incrédulité de saint Thomas (1512).
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Anonyme, anciennes attribution à Aldegrever et Beham, Quatre lansquenets (début du XVIe siècle).
Grâce à la donation Poitrey-Ballabio en 2019, un ensemble d’œuvres italiennes, nordiques et françaises, essentiellement du XVIIe siècle a pu intégrer les collections[7].
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Abraham Bloemaert, Saint Luc (1629), Plume, encre brune, lavis d’encre brune et grise, rehaussé de blanc.,
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Pietro Faccini, Académie d'homme (seconde moitié du XVIIe siècle), sanguine et traces de rehauts de pierre blanche.
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Samuel van Hoogstraten, Visitation, plume et encre brune, lavis d’encre brune et rouge.
Pour le XVIIIe siècle, on peut citer l'important ensemble de dessins de Philippe-Jacques de Loutherbourg, ainsi que plusieurs feuilles françaises, comme les deux pendants de Charles-Joseph Natoire. On peut également signaler les dessins ornithologiques de leur contemporain Johann Christian Mannlich.
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Charles-Joseph Natoire, Étude pour Jacob et Rachel, dessin aux trois crayons sur papier.
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Charles-Joseph Natoire, Étude pour Jacob et Rachel, dessin aux trois crayons sur papier.
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Philippe-Jacques de Loutherbourg, Personnages dans un intérieur (1767), sanguine sur papier.
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Philippe-Jacques de Loutherbourg, Floridore se battant contre Nigromant (1773), plume, encre, lavis d'encre sur papier.
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Johann Christian Mannlich, Faucon émerillon, aquarelle.
Le cabinet des estampes et des dessins conserve également une importante collection de dessins d'orfèvrerie, des XVIIIe et XIXe siècles[8].
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Johann Friedrich Boden, Projet de ciboire.
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Joachim Frédéric Kirstein, Projet de pièce d'orfèvrerie.
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Anonyme, Projet de flambeau de style Louis XVI.
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Théodore Hasslauer, Projet de diadème (1826).
Alsatiques
[modifier | modifier le code]Le cabinet des estampes et des dessins a depuis sa création constitué des fonds révélateurs de la tradition imagière à Strasbourg. On trouve ainsi dans les collections des productions significatives d'artistes ou d'éditeurs strasbourgeois, de la fin du XVe à la fin du XIXe siècle.
Gravure
[modifier | modifier le code]Dans le domaine de la gravure, on peut évoquer pour le XVIe siècle les figures de Hans Baldung Grien, Tobias Stimmer ou Étienne Delaune. Pour le XVIIe siècle, la collection possède un important fonds de gravures de Friedrich Brentel, Jacob van der Heyden ou Isaac Brunn. Parmi les productions du XVIIIe siècle, on peut signaler les réalisations de Jean-Martin Weis ou Jean-Daniel Heimlich.
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Tobias Stimmer, L'Église (1572).
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Jacob van der Heyden, Allégorie de l'Odorat.
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Isaac Brunn, Nef de la cathédrale de Strasbourg en 1630.
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Jean-Daniel Heimlich, Vue de l'abbaye en ruine de Truttenhausen (1775).
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Peter Aubry II, d'après Johann Christian Bierpfaf, Alphabet baroque, lettre A, eau-forte, édité à Strasbourg en 1640.
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Jacob van der Heyden, Les dix âges de la Vie (1616), eau-forte.
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Isaac Brunn, d'après Peter Symony, Tabula Gemmifera, eau-forte, édité à Strasbourg 1621.
Dessin
[modifier | modifier le code]Dans les fonds de dessins, on y trouve des réalisations d'artistes comme Benjamin Zix, Théophile Schuler[9] ou Gustave Brion.
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Théophile Schuler, Bûcherons travaillant dans la Forêt-Noire.
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Gustave Brion, Une noce en Alsace' (1860).
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Benjamin Zix, Concert champêtre au Baechelhof.
Certains artistes de passage ont également représenté l'Alsace et ses paysages. C'est le cas notamment du paysagiste Georg Osterwald.
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Georg Osterwald, Vue du Haut-Koenigsbourg en 1873 avant sa restauration.
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Georg Osterwald, Vue de la gare de Niederbronn et des environs.
Lithographie alsatique et imagerie populaire
[modifier | modifier le code]En raison de la présence d'artistes sensibilisés à la lithographie très tôt, l'Alsace connaît de nombreux et productifs ateliers dès le début du XIXe siècle. L'institution conserve un fonds représentatif des différents foyers ayant produit des lithographies, de même que de l'imagerie populaire du XIXe siècle provenant majoritairement du centre imagier de Wissembourg.
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Le chat botté, Imagerie populaire de Wissembourg.
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Succession Burckardt, Frisch auf (entre 1889 et 1906)
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Frédéric Charles Wentzel, Les Musiciens de Brêmes (entre 1869 et 1880), chromolithographie.
Portrait alsatique
[modifier | modifier le code]Afin de documenter les personnalités alsaciennes, ou y ayant séjourné, le cabinet des estampes et des dessins conserve un fonds de près de 4 000 portraits alsatiques, entre le début du XVIe et le début du XXe siècle. Cet ensemble regroupe des portraits dessinés ou gravés, ainsi que quelques photographies.
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Isaac Brunn, Portrait de Johann Georg Dorsch, eau-forte
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Photographe anonyme, Portrait de Julius Berninger.
Miniatures
[modifier | modifier le code]La miniature strasbourgeoise du début du XVIIe siècle constitue un des points forts de la collection de dessins, autour des productions de Friedrich Brentel et ses élèves Johann Wilhelm Baur ou Johann Walter[10].
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Friedrich Brentel, Paysage avec la Fuite en Égypte (1638), gouache sur vélin.
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Johann Wilhelm Baur, Le Chantier naval (vers 1635), gouache sur vélin.
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Johann Walter, Hibou et crécelle (milieu du XVIIe siècle), aquarelle et gouache sur papier.
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Johann Wilhelm Baur, Victoire sur les Madianites (vers 1634), gouache sur vélin.
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Johann Wilhelm Baur, Scène de bataille (1637), miniature sur vélin.
Le cabinet des estampes et des dessins conserve aussi des portraits miniatures, dont les productions subtiles de Jean-Urbain Guérin et son frère Christophe Guérin ou de leurs contemporains Jean-Jacques Karpff et Georges Antoine Keman.
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Jean-Urbain Guérin, Portrait de Jeanne Fanny Noisette (vers 1800), miniature sur ivoire.
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Jean-Jacques Karpff, Portrait de femme (vers 1800), miniature sur ivoire.
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Antoine Vestier, Portrait de jeune femme, miniature sur ivoire.
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Georges Antoine Keman, Autoportrait (vers 1810), miniature sur ivoire.
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Christophe Guérin,Portrait d'homme, miniature sur ivoire, 1796
Albums
[modifier | modifier le code]Le cabinet des estampes et des dessins conserve par ailleurs un fonds d'albums précieux, où l'on peut notamment admirer l'album Architectura von Festungen, réalisé en 1583 par Daniel Specklin, architecte de la Ville de Strasbourg.
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Daniel Specklin, Architectura von Festungen (1583), p. 59, plume, encre, aquarelle.
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Daniel Specklin, Architectura von Festungen (1583), p. 61, plume, encre, aquarelle.
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Daniel Specklin, Architectura von Festungen (1583), p. 72, plume, encre, aquarelle.
On y trouve également quinze carnets de dessins de Jean Nicolas Karth qui a parcouru l'Alsace au milieu du XIXe siècle.
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Jean Nicolas Karth, Paysage de montagne.
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Jean Nicolas Karth, Vue du massif du Kastelberg au milieu du XIXe siècle.
Certains albums de dessins préparatoires à des éditions figurent également dans cet ensemble précieux. Parmi eux, deux albums de Théophile Schuler ou un projet d'édition des Métamorphoses d'Ovide par Benjamin Zix.
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Théophile Schuler, dessin préparatoire à la plume et l'encre pour les illustrations du Pfingstmontag.
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Émile-Auguste_Reiber, projets de meubles dans l'album Études pour industries diverses, 1881
Bibliographie
[modifier | modifier le code]Ouvrages
[modifier | modifier le code]- Cabinet des Estampes et des Dessins. Guide des collections, Strasbourg, 2023
- Dominique Jacquot, Florian Siffer, De Signorelli à Doré: la donation Jeannine Poitrey et Marie-Claire Ballabio, Strasbourg, 2021
- Florian Siffer, « Cabinet des Estampes et Bibliothèque des Musées », in Dictionnaire culturel de Strasbourg, 1880-1930, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, 2017, pp. 113-114.
- Bernadette Schnitzler, Histoire des Musées de Strasbourg, Strasbourg, Éd. des Musées, 2009, pp. 64-65.
- Nadine Lehni, « Le Cabinet des Estampes et des Dessins », in Musées en Alsace, Strasbourg, Éd. Publitotal, 1977, pp. 87-99.
- Hans Haug, « Le Cabinet des Estampes et la Bibliothèque des Musées », in Les Musées de Strasbourg 1900-1950, Éd. Saisons d'Alsace, 1950, p. 33.
Catalogues d'exposition
[modifier | modifier le code]- L'autre Guerre. Satire et propagande dans l'illustration allemande 1914-1918, Strasbourg, Musées de la Ville de Strasbourg, 2016 (ISBN 978-2-35125-146-1).
- Dernière danse. L'imaginaire macabre dans les arts graphique, Strasbourg, Musées de la Ville de Strasbourg, 2016 (ISBN 978-2-35125-138-6).
- L'Europe des Esprits ou la fascination de l'occulte, 1750-1950, Strasbourg, Musées de la Ville de Strasbourg, 2011 (ISBN 978-2-35125-092-1).
- Le goût de la nature, paysages des XIXe & XXe siècles, Strasbourg, Musées de la Ville de Strasbourg, 2011, (ISBN 978-2-35125-091-4).
- Dürer, Baldung Grien, Cranach l’Ancien : collection du Cabinet des Estampes et des Dessins, Strasbourg, Musées de la Ville de Strasbourg, 2008, (ISBN 978-2-35125-039-6).
- Les Dieux comme les hommes, la Renaissance dans la gravure germanique au début du XVIe siècle, Strasbourg, Musées de la Ville de Strasbourg, 2003, (ISBN 978-2-901833-56-7).
- Johann Wilhelm Baur, 1607-1642 : maniérisme et baroque en Europe, Strasbourg, Musées de la Ville de Strasbourg, 1998. (ISBN 978-2-87660-217-5).
- Visions romantiques de l'Alsace, lithographies de paysages alsaciens de 1820 à 1870 : exposition en hommage à Paul Ahnne, Strasbourg, 1976.
- Gravures italiennes du XVe au XVIIIe siècle, exposition, de Pollaiuolo à Piranèse, fonds du Cabinet des estampes de Strasbourg : Strasbourg, château des Rohan, du au , Strasbourg, 1973.
- Hommage à Dürer 1471-1528 : exposition des gravures du maître conservées au Cabinet des estampes de Strasbourg, à l'occasion du 5e centenaire de sa naissance, le , Strasbourg, château des Rohan, du au , Strasbourg, 1971.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Page de présentation du cabinet des estampes sur le site des Musées de Strasbourg.
- Portail des oeuvres du cabinet des estampes.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Bernadette Schnitzler, Histoire des Musées de Strasbourg, 2009, p. 64.
- Voir les gravures d'Albrecht Dürer sur la base Joconde
- Voir les gravures de Hans Baldung Grien sur la base Joconde
- Voir les gravures de Lucas Cranach le Vieux sur la base Joconde
- Voir les Petits Maîtres sur la base Joconde
- Voir les gravures de Wenzel Hollar sur la base Joconde
- Voir le catalogue de la donation, publié en 2021
- Voir les dessins d'orfèvrerie sur la base Pop.
- Voir les œuvres de Théophile Schuler sur la base Joconde.
- Voir le fascicule Petits mondes: miniatures strasbourgeoises du XVIIe siècle, Strasbourg 2015. La collection est accessible en ligne sur la base Joconde