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Bernard Amiot

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Bernard Amiot
Bernard Amiot, souriant au printemps 1942 dans le parc d'Hydra à Alger
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Bernard Amiot, né le à Tours et mort le à 32 ans à Boudou, alias Bernard Dillon, Martin, est un résistant et syndicaliste français, participant à l'insurrection du 8 novembre 1942 à Alger et à l'affaiblissement des armées nazies dans le Sud Ouest de la France par d'importants sabotages ferroviaires et industriels avec le Corps Franc Pommiès, du 15 novembre 1943 à sa mort en opération le 9 juin 1944.

Né le 15 juillet 1912 à Tours (Indre-et-Loire), son père, Armand Amiot, cheminot, est chaudronnier de locomotive à vapeur et sa mère Berthe Marie Chauvet, sans profession.
Sa scolarité débute en primaire à Tours en compagnie de son cousin ami d’enfance, Yves Dechezelles[1]. Il la poursuivra jusqu’au Brevet élémentaire supérieur, et doté de qualités athlétiques reconnues, il s’entraîne assidûment à l’AGS, une association sportive de Tours.
Appelé en 1930, engagé dans le 10ème Régiment d’artillerie colonial, et il est envoyé rapidement au Bataillon de Joinville. Il gagne à Paris, la finale du concours de l’athlète complet dans la compétition « Le soldat de demain »[2].
À Oran en 1939, lors de la déclaration de Guerre, il est rappelé et engagé en Syrie (alors sous mandat français depuis 1916), et l’armistice signé, démobilisé en août 1940, il retrouve à Alger son cousin avocat Yves Dechezelles.
Opposant déterminé à l’armistice et anti vichyste, au cours d’une rixe dans un café en 1941, il défait des officiers pétainistes. Arrêté, il a le temps de prévenir son cousin avocat, Yves Dechezelles. Condamné à 6 mois ferme, il est incarcéré à Alger à la prison de Barberousse, puis à celle de Maison Carrée[3], pour « offense au chef de l’état et propos de nature à nuire au moral des populations en temps de guerre ».
Libéré en juillet 1942, il entre dans le réseau «Combat» dont Dechezelles est le relais, en octobre 1942, et va retrouver le groupe de ses amis[2] qui vont faire partie des jeunes résistants français chargés de faciliter le débarquement des troupes alliées anglo-américaines en Algérie.

Membre du groupe D le 8 novembre 1942 à Alger

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Participant au putsch du 8 novembre 1942 à Alger dans le groupe «D», constitué d’amis très marqués politiquement à gauche, autour de Paul Ruff, professeur de mathématiques syndicaliste exclu de l’Éducation nationale par la loi du 3 octobre 1940 et Yves Dechezelles, avocat, responsable départemental de la résistance, Bernard Amiot sert d’agent de liaison[2]. Parmi les membres les plus déterminés de ce groupe se trouvent les frères Michel et Léon Brudno, Myriam Dechezelles, Annie Ruff, le Dr Stanislas Cviklinski, Maurice Escoute, Hugues Fanfani, le Dr Becache et Laurent Preziosi.
Munis de vrais-faux ordres de mission signés du général Charles Mast ou du colonel Jousse, en uniforme avec le brassard VP (Volontaires de place) et armés, ces hommes vont prendre le contrôle du Central téléphonique inter-régional Belcourt situé à Alger au Champ de manœuvre, et bloquer les communications interurbaines [3], empêcher l’installation d’une mitrailleuse sur la terrasse du Foyer du Service d’Ordre Légionnaire du fort de Kouba qu’ils ont, avec réalisme, renoncé à occuper, tout comme ils renoncent à la libération des détenus emprisonnés à Maison Carrée, des défections ayant réduit les effectifs prévus.

La réussite de ce putsch mené par les résistants à Alger en capturant commandants en chef, préfet, gouverneur et administrateurs civils et en coupant les communications téléphoniques, a paralysé l’ensemble des pouvoirs militaires et civils vichystes[4] et a permis la prise du pouvoir par les Alliés avec l’arrêt des combats à Alger le jour même.
Ce cessez le feu signé entre le commandement allié et les autorités vichystes mettra trois jours pour s’étendre jusqu’au Maroc, avec des combats meurtriers à Oran où l’action de la résistance a été déjouée. Plus encore à Casablanca, en s’opposant au débarquement de la flotte alliée, lors d’une bataille navale désastreuse, la 2ème escadre légère française est entièrement coulée ou détruite. Et à Mehdia (Port Lyautey, en 1942) des combats aéronavals meurtriers auront lieu pour la prise de l’embouchure du Sebou, de l’aérodrome militaire et d’une importante flotte aérienne française.
Ce succès de l'opération Torch prononcé par Winston Churchill, Que cela ne soit ni la fin, ni même le commencement de la fin, d'accord mais n'est-ce pas la fin du commencement ?[5] dans un discours dès le 10 novembre 1942 à Londres, restera comme « La fin du commencement », le point de bascule de la victoire, le tournant ou encore « la bissectrice de la guerre » pour le colonel Germain Jousse auteur du plan exécuté avec succès par les insurgés du 8 novembre 1942, et ce plusieurs mois avant la victoire soviétique à Stalingrad. Mais durant les mois suivant cette réussite, les résistants vont être pourchassés, emprisonnés, internés ou déportés dans des camps par l’administration vichyste laissée en place par les Américains pour gouverner.
Le groupe D, révulsé par le choix des alliés américains de confier à l’amiral Darlan, « dauphin » de Pétain la représentation des forces de Libération, fait imprimer des tracts « L’Amiral à la Flotte ! Nous voulons de Gaulle" et "Vive Roosevelt ! » contre cette nomination, et les colle sur les murs des artères principales d’Alger une semaine durant.

2 papillons contre l'amiral Darlan lancés dans la rue à Alger fin novembre 1942

Avec Hugues Fanfani, Bernard Amiot lancera d’une terrasse, quantité de ces papillons au passage de Darlan lors d’un défilé militaire[2]. Après la libération de l’Algérie et l’assassinat de Darlan le 24 décembre 1942, les résistants du Groupe D vont poursuivre la lutte contre l’occupant nazi avec des parcours différents. La situation des autorités françaises va mettre du temps à se clarifier avant juillet 1943. En ce début d'année, le général Giraud est le commandant en chef civil et militaire, et les membres du groupe D ne sont pas inactifs.
Bernard Amiot participe au Corps franc d'Afrique[6] durant la campagne de Tunisie, corps de volontaires français faisant partie des Forces françaises combattantes dans la campagne de Tunisie.
La collaboration du résident général vichyste, l’amiral Esteva, au débarquement de forces allemandes dès le 11 novembre 1942, va retarder la libération de la Tunisie jusqu’au printemps 1943.

A son retour à Alger, il retrouve ses amis qui pensent aux moyens de continuer la résistance en métropole, dans l’attente du rétablissement d’autorités politiques en Algérie plus conformes au combat contre les forces de l’Axe. Bernard Amiot, Hugues Fanfani, Yves Dechezelles et Stanislas Cviklinski rejoignent alors, de mars à mai 1943, le camp anglo-américain I.S.S.U. 6, établi à l’ouest d’Alger ( à La Trappe ou Club des Pins, Staouéli, Zéralda). Les alliés y dispensent une première formation aux résistants afin de les entraîner au parachutisme et au maniement des explosifs en vue d’opérations en métropole.
Une fracture de jambe lors d'un saut empêche Stanislas Cviklinski de partir, Yves Dechezelles et Paul Ruff sont sollicités par les nouvelles autorités françaises. Dechezelles après sa formation, est appelé par René Capitant à rejoindre le gouvernement provisoire après l’arrivée du général de Gaulle en Algérie le 30 mai 1943. Ruff, après un passage à l’État-major et un internement au Camp de Chéraga, décline une participation au Ministère de l’Air; il reprend son poste d’officier de tir dans la DCA de la 1ère Armée française, débarque en Provence en août 1944 et va remonter jusqu’en Alsace. Laurent Preziosi fait partie de la première mission[2] débarquée en décembre 1942 par le sous-marin Casabianca en Corse pour participer à l’unification de la résistance sur sa terre familiale. Envoyés séparément à Londres, Hugues Fanfani et Bernard Amiot vont contracter avec l’ O.R.A. sous l’égide des Britanniques en liaison avec l’Intelligence Service et l’État-major des Forces Françaises à Londres) pour poursuivre l’action armée en France occupée. Hughes Fanfani est ensuite parachuté le 23 juin 1943 aux environs de Montargis et mène des missions très périlleuses, notamment à Besançon, puis d’instruction des nouvelles recrues de la résistance en Normandie jusqu’à la prise de la ville de Rouen avec les forces FFI. A Londres à son tour, le stage de Bernard Amiot est complété par une formation d'instructeur pour le maniement d'explosifs nouveaux, le plastic notamment pour le sabotage, et une qualification aux moyens de transmission radio et de codage.
La France Libre, plus précisément le BCRA décidera de l’affecter au Corps Franc Pommiès[6] et de le parachuter le 15 novembre 1943 au lieu-dit Lamothe à Lectoure (Gers)[3] avec un autre agent qui sera porté disparu.

Chef du groupe D du Corps Franc Pommiès

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Instructeur explosifs, il devient le chef du groupe D, la section de destructions à l’état-major du Corps Franc Pommiès, et dirige de nombreux et importants sabotages dans la région. Orientés vers toutes les branches investies par les allemands dans le sud-ouest après l'occupation de la zone libre, des domaines ferroviaire, aéronautique et d’énergie électrique. Le 19 décembre 1943, au dépôt de Montauban, nœud ferroviaire important, 19 locomotives détruites, le 14 janvier 1944 à Cahors, 9 de plus, et le 31 janvier 1944, à Montauban, 10 encore, (38 hors d’usage au total).
Les destructions d'industries utiles à l'armée allemande se succèdent aussi, le 5 mars 1944, l’usine de la compagnie des métaux est détruite à Castelsarrasin, le 11 mars, une usine d’aviation fabriquant des voilures à Toulouse, le 25 mars, une fonderie de métaux non ferreux, cuivre et zinc à Montbartier (Tarn et Garonne), le 8 avril, la compagnie de raffinage de Boussens, le 14 avril, la SFOM, compagnie d’optique à Pau, le 17 avril, l’usine d’aviation de Saint Éloi à Toulouse, le 5 mai, encore la SFOM à Pau, le 13 mai 1944, l’usine de moteurs d’avions Dewoitine à Jurançon, avec 30 machines-outils et 30 moteurs d’avions[7]

La fin d'un engagement total

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Depuis le 6 juin 1944, suivant l’ordre de mobilisation du Corps Franc, Bernard Amiot, Philippe Lauzier et Marcel Lardennois mettent en place le sabotage de la ligne de chemin de fer par laquelle les blindés de la division Das Reich doivent remonter vers la Normandie.
Au lieu dit « le Petit Bézy » à quelques kilomètres de Moissac vers Agen, l'endroit choisi permet depuis les voies ferrées, après la traversée d’un champ et de la route départementale 813, de s’échapper à couvert par un petit chemin perpendiculaire où les attend leur camionnette prête à démarrer.

Cénotaphe de Bernard Amiot au Petit Bézy sur la D813

Quatre charges sont placées par Amiot et Lauzier sur chacune des deux voies, mais la présence imprévue de quatre cheminots le long des voies va les contraindre à ne pas s’éloigner pour s’assurer qu’ils ne donneront pas d’alarme au train qui arrive. La Wehrmacht, au dernier moment, l'a fait précéder d’un train de voyageurs transportant aussi des soldats que le déraillement de leur train fait sortir des wagons, et tirer partout.
Le difficile repli des saboteurs au delà du champ se trouve compliqué par l'irruption d'un feu croisé, tiré sur la route par une patrouille allemande survenant d’Agen en camion.
Lauzier et Amiot ferment la course vers la route, mais voyant Lardennois ralenti par le poids du fusil mitrailleur, Amiot s’en charge en couvrant leur repli à travers les rafales, avant d’être touché mortellement à la tête.

Lauzier (le lieutenant "Gérard"), dans l’incapacité à porter le corps de son ami, récupère son carnet personnel et son portefeuille, et réussit avec le reste de l’équipe de saboteurs à s’enfuir vers Boudou dans la camionnette. Le corps de Bernard Amiot, enlevé par les Nazis, ne sera jamais retrouvé.

Post mortem

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Précédemment, lors d'un repas à Toulouse avec le couple Pommiès, il avait dit qu' « ils ne l'auraient pas vivant »[8],[9]
Le testament laissé en dépôt à un de ses amis d’Alger ne laissait aucun doute sur la détermination de son engagement. Écrit signé à Alger le 14 mai 1943 :
« Mon cher Louis,
Je manque d’idées bien nettes pour la rédaction d’un testament selon les formes légales ; mais considère cette lettre comme l’expression de mes dernières volontés. Je vais entreprendre, dans quelques jours, ce voyage dont je t’ai parlé. Pendant mon absence je te demanderai de bien vouloir gérer les petits intérêts que représente ma modeste personne. » ... (suit le détail des dispositions et de la remise de l’indemnité en cas de mort au combat) ... « Si donc les choses se présentent comme je viens de l’indiquer en dernier, dis bien à mes parents de ne pas me plaindre. Je serai disparu en tentant la réalisation de mes rêves les plus chers et je ne connais pas de plus belle mort. Dis à tous que leur fils, frère ou oncle est mort en pensant à eux et qu’ils gardent le souvenir de l’amour que je leur portais. Adieu, mon vieux Louis. Je vous embrasse tous, amicalement. »

Dès son retour en 1944, Yves Dechezelles[10], nommé Chef de cabinet au ministère de l'Intérieur, se lance à sa recherche et retrouve ses parents ayant fui en Indre-et-Loire après la destruction de leur maison par un bombardement allié sur Saint Pierre des Corps. Aucun n'est averti de sa disparition, mais une lettre de Peretti, son sous lieutenant du Groupe D, qui ignorait le nom de son chef mort, avait été adressée à la hiérarchie FFI en septembre 1944, afin de retrouver et informer les parents de son décès survenu plusieurs mois auparavant. C'est Yves Dechezelles, enfin prévenu par les FFI qui se rendra au plus vite à Mettray, accompagné de militaires le 10 janvier 1945, annoncer à ses parents la mort de Bernard au combat.

contrat militaire avec le sergent Bernard Amiot pour le règlement de sa solde, de sa retraite et d'une indemnité en cas de mort en opération

Avec Hugues Fanfani, ils accomplissent un nombre considérable de démarches auprès des autorités françaises et britanniques pour obtenir le versement à ses parents du montant des soldes et de l'indemnité de mort au combat convenu par contrat à Londres le 27 juillet 1943. Hugues Fanfani, titulaire d'un contrat identique, témoigna du reçu de ses soldes. La poursuite de ces requêtes s'est terminée sans aucun effet dans l'échange en 1950 entre le colonel Gonon (liquidateur de l'ORA) et le colonel Lejeune (qui avait signé ce contrat au nom du général Ronin)[11].
Extrait de la lettre du colonel Lejeune vers le colonel Gonon qui l’a sollicité, en date du 5 juillet 1950.
« Mon cher GONON,
... À l’époque où j’ai passé ce contrat, j’avais reçu une autorisation verbale du Général RONIN qui était à ce moment-là Directeur des Services Spéciaux du Général GIRAUD, Services qui, comme vous le savez, ont été fondus dans le B.C.R.A. Les errements alors en vigueur au B.C.R.A. ont été alors adoptés par tous les agents des Services Spéciaux et je crois qu’il est impossible de revenir en arrière.
Je suis du reste profondément désolé, car j’avais la plus grande estime pour AMIOT et je regrette de ne pouvoir faire honneur à ma signature.

Je vous prie ... »

assimilation au grade de commandant à titre posthume pour Bernard Amiot le 2 décembre 1947

La promesse d'intervention du colonel Jousse en vue de l'attribution de la Légion d'honneur à titre posthume pour Bernard Amiot n'eut pas plus de résultat.
Promu au grade de commandant[12], à titre posthume, un cénotaphe[13] a été élevé par le Corps Franc Pommiès sur le lieu de sa disparition et rappelle sa mémoire.

Décoration

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Bibliographie

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Sources primaires

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  • Marcel Ceroni et Amicale du Corps Franc Pommiès, Le Corps Franc Pommiès, Tome 1, éditions du Grand Rond, , 259 p.
  • José Aboulker, Dr André Morali-Daninos, Jacques Zermati, Mario Faivre, Stéphane Aboulker, Dr Raphäel Aboulker, Maurice Ayoun et Paul Ruff, « La part de la résistance française dans les événements de l’Afrique du Nord », Les Cahiers français, n°47, numéro spécial, août 1943, août 1943, p. 3-47
  • Dominique Lormier, L’épopée du Corps Franc Pommiès, Ed Jacques Grancher, numilog.com/books/9782733902967.pdf,
  • Laurent Preziosi et Toussaint Griffi, Première mission en Corse occupée :avec le sous marin Casabianca, L'Harmattan, , 192 p. (ISBN 978-2-7384-0213-4), p.41
  • Jean-André Pommiès, Le Corps Franc Pommiès, Privat, 2014[ pages totales= 900 (ISBN 9782708905436)
  • « Musée de la Résistance en ligne, 1950-1945 »
  • Le Maitron, Dictionnaire biographique du mouvement social français, notice : Amiot Bernard, Léon, Sylvain

Notes et références

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  1. Leurs pères respectifs sont cheminots à Saint Pierre des Corps, important nœud ferroviaire près de Tours et les liens familiaux remontent à la génération antérieure.
  2. a b c d et e Laurent Preziosi et Toussaint Griffi, Première mission en Corse occupée :avec le sous marin Casabianca, L'Harmatan, , 192 p. (ISBN 978-2-7384-0213-4), p.41
  3. a b et c « Musée de la Résistance en ligne, 1950-1945 »
  4. Renée Pierre-Gosset, Expédients provisoires : Le coup d'Alger, Paris, Fasquelle Éditeurs, , 432 p., p.200
  5. La résistance en Normandie, « Discours prononcé le 10 novembre 1942, au Guildhall, dans la cité de Londres, à l'occasion du lunch offert par le Lord Maire », sur beaucoudray.free.fr (consulté le ).
  6. a et b Marcel Ceroni et Amicale du Corps Franc Pommiès, Le Corps Franc Pommiès, Tome 1, éditions du Grand Rond, , 259 p., p.41
  7. Dominique Lormier, L’épopée du Corps Franc Pommiès, Éditions Jacques Grancher, numilog.com/books/9782733902967.pdf,
  8. Jean-André Pommiès, Le Corps Franc Pommiès, Privat, , 900 p. (ISBN 9782708905436)
  9. Avec Hugues Fanfani, ils étaient résolus à ne pas être pris vivants, et Fanfani portait sur lui en mission deux grenades, une pour ses ennemis, l'autre pour lui.
  10. Archives Dechezelles, dossier Amiot
  11. lettre Gonon
  12. Homologation au Grade de Commandant (n° 27341 du 2-12-1947 de la CNH)
    Homologation FFI (CA n°1383 du 18-11-1948 de la 5ème région militaire)
  13. « La Résistance en Tarn et Garonne »
  14. « Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses n°04 du 01 août 2007 - Légifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )

Liens externes

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