Beaucamps-le-Vieux
Beaucamps-le-Vieux | |||||
Mairie de Beaucamps-le-Vieux | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | CC Solmme Sud-Ouest | ||||
Maire Mandat |
François Thiverny 2020-2026 |
||||
Code postal | 80430 | ||||
Code commune | 80062 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Beaucampois | ||||
Population municipale |
1 448 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 288 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 50′ 42″ nord, 1° 46′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 127 m Max. 201 m |
||||
Superficie | 5,02 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Poix-de-Picardie | ||||
Législatives | [4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier |
Beaucamps-le-Vieux est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Situé à une trentaine de kilomètres au sud d'Abbeville et à peu près la même distance à l'ouest d'Amiens, le territoire communal est tangenté par la route départementale 1015.
En 2022, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 4 (Blangy-sur-Bresle - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[2],[Carte 1].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : la mare de l'Argilière (0,1 ha)[Carte 1],[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Beaucamps-le-Vieux est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,5 %), prairies (33,5 %), zones urbanisées (17,8 %), forêts (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Beaucamps-le-Vieux se détache de Beaucamps-le-Jeune vers 1250[15].
Le nom de la localité est attesté sous les formes de Bellocampo veteri en 1266[16].
De l'oil bel, beau et du normand (et picard) camp « champ », le -s est adventice[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Ce serait au XIe siècle que le site de Beaucamps-le-Vieux aurait été défriché et peuplé par défrichement. Quelque temps après, fut fondé Beaucamps-le-Jeune.
XIXe siècle
[modifier | modifier le code]Beaucamps-le-Vieux, au XIXe siècle s'adonnait au tissage de la thibaude (toile épaisse qui servait de support à la moquette) et à la fabrication de chaises et de leur paillage de seigle, introduit au début du XIXe siècle par un ancien grognard de la Grande Armée au retour de la Campagne de Russie. À cette époque, le village possédait une usine qui fabriquait de la thibaude[17].
En 1891, Beaucamps-le-Vieux devint le terminus provisoire de la ligne du chemin de fer secondaire du réseau départemental de la Somme, reliant Amiens à Aumale en 1901 puis Envermeu en 1906.
Un violent cyclone détruit l'église en 1895[17].
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]La grippe espagnole emporta plus de 50 personnes du village en 1918, presque autant que la Première Guerre mondiale : 54 victimes ont leur nom gravé sur le monument aux morts[17].
Faisant partie de la zone des armées en réserve, Beaucamps accueille 1 200 spahis marocains en 1916, puis 1 780 tirailleurs sénégalais du 26 juin au [17].
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]La ligne ferroviaire ferme au service voyageur en 1940, et à tout trafic en 1947. La gare du chemin de fer secondaire subsiste, mais appartient désormais à un particulier.
La Deuxième Guerre mondiale n'a pas manqué de marquer de drames la mémoire locale. Le , un char allemand tire un obus dans une salle de classe : quatre écoliers sont tués[18]. Le , deux vagues d'avions alliés, qui avaient pour objectif une rampe de V1 installée dans le bois de Liomer larguent leurs bombes par erreur sur le village, détruisent 20 maisons et font 13 tués et 7 blessés[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Hornoy-le-Bourg[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois (CCSOA), créée en 2004.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[21],[22]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[23], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[24].
La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [25].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2021, la commune comptait 1 448 habitants[Note 2], en évolution de +2,55 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]L'école primaire locale (maternelle et élémentaire) compte 227 élèves à la rentrée scolaire 2018-2019. Un service de restauration est à la disposition des écoliers[34]. La compétence scolaire est gérée par la communauté de communes Somme-Sud-Ouest.
La commune héberge le collège public Maréchal Leclerc de Hauteclocque[35] qui emploie 29 professeurs au cours de l'année scolaire 2020-2021[36].
Manifestations locales et festivités
[modifier | modifier le code]La musique municipale donne plusieurs concerts par an et participe à toutes les festivités. Fondée en 1864, l'association fête ses 150 ans en 2014[17].
Elle effectue ses sorties avec le renfort des formations de Pont-Remy et Liomer[37].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Martin, construite en 1899-1900 en briques et renfermant une crucifixion réalisée par Alfred Le Petit[38].
-
Détail du clocher-porche.
-
La nef.
-
Le maître-autel.
-
Fonts baptismaux.
- Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours : elle contient une plaque à la mémoire de l'abbé Lyonneau qui s'est illustré à Liomer pendant la Seconde Guerre mondiale[39].
- Chapelle Notre-Dame-de-Délivrance, située route du Quesne[39].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]La commune a relevé le blason du XIVe siècle des seigneurs de Beaucamps. Blasonnement :
|
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- P.-L. Limichin, « Canton d'Hornoy » in Dictionnaire Historique et Archéologique de la Picardie - Tome 2 - Arrondissement d'Amiens, 458 pages, éd. Société des Antiquaires de Picardie (Fondation Ledieu) - (1912) - Réimpression : Éditions Culture et Civilisation, Bruxelles, 1979, pages 132 à 137.
- Beaucamps-le-Vieux dans les souffrances de la guerre, mai-juin 1940, souvenirs d'évacuation, 1991, imp. AAP, 17 témoignages vécus.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site du Centre Social CAF de Beaucamps-le-Vieux
- Beaucamps-le-Vieux sur le site de l'Institut géographique national
- Beaucamps-le-Vieux sur le site de l'Insee
- MemorialGenWeb.org - Beaucamps-le-Vieux : monument aux morts
- Les Morts pour la France - Somme
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Beaucamps-le-Vieux » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Fiche communale de Beaucamps-le-Vieux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Beaucamps-le-Vieux et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Beaucamps-le-Vieux ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 1717.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Droz, , p. 1302.
- Denise Élie-Deneux, Un jeune appelé de Beaucamps-le-Vieux dans l'après-guerre 1914-1918 : témoignage, Société d'émulation d'Abbeville, bulletin 2015, tome XXXIII, fascicule 5, p. 644, ISSN 0081-0819.
- « Commémoration », Le Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 10.
- « En mémoire des victimes civiles », Courrier picard, , p. 12.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- Source : Hebdomadaire Le réveil du 27 mars 2008
- Vincent Beny, « François Thiverny récupère son siège perdu en 2008 : Six ans après sa défaite contre J.J. Iriarte Arriola, F. Thiverny retrouve son siège de maire. Il attaque son 3e mandat. Son adversaire l'accuse d'avoir profité des voix du FN », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ) « Décidément, l'histoire de Beaucamps-le-Vieux est un éternel recommencement depuis plus de trois décennies. Un petit plongeon dans l'histoire récente des élections municipales suffit à le comprendre : De mars 1983 à juin 1995, c'est Jean-Jacques Iriarte Arriola qui fut aux commandes de la commune avant d'être battu par François Thiverny qui lui succédera pendant deux mandats avant, lui-même, d'être battu par… Jean-Jacques Iriarte Arriola en mars 2008
Dimanche, c'est donc François Thiverny qui a retrouvé son siège de maire avec 52,55 % des suffrages contre 47,44 % à son adversaire ». - Vincent Beny, « Francois Thiverny briguera un 4e mandat à Beaucamps-le-Vieux : Maire entre 1995 et 2008, puis réélu en avril 2014, François Thiverny briguera un 4e mandat de maire en mars 2020. Une décision qu'il a prise à la demande des élus de son équipe », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Benoit Delespierre, « Le suspense perdure à Beaucamps-le-Vieux : François Thiverny et Jean-Jacques Iriarte Arriola rejouent leur mano à mano qui dure depuis 37 ans, à peine troublé par l'incomprise candidature du maire de Beaucamps-le-Jeune, Alain Desbiendras », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- François Sauvestre, « Municipales 2020 dans la Somme : François Thiverny élu maire de Beaucamps-le-Vieux : François Thiverny est élu maire de Beaucamps-le-Vieux dans la vallée de la Bresle, dans le sud-ouest de la Somme. Il devance ses deux adversaires Jean-Jacques Iriarte Arriola et Alain Desbiendras en obtenant 40,58% des voix », France Bleu Picardie, (lire en ligne, consulté le ) « Un scrutin ultra serré puisque François Thiverny devance Jean-Jacques Iriarte Arriola de seulement cinq voix ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale » (consulté le ).
- « Le collège sur le site du ministère de l'Éducation nationale »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
- Thierry Griois, « Du mieux au collège mais pas sur tout », Courrier picard, , p. 22.
- Jacques Dulphy, « Hallencourt La fanfare recherche des musiciens », Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 12.
- « Beaucamps-le-Vieux », sur Armoiries Samariennes (consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 99 (ASIN B000WR15W8).