Baliracq-Maumusson
Baliracq-Maumusson | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Sylvain Sergent 2020-2026 |
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Code postal | 64330 | ||||
Code commune | 64090 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Baliracois | ||||
Population municipale |
119 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 32′ 48″ nord, 0° 15′ 14″ ouest | ||||
Altitude | Min. 120 m Max. 224 m |
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Superficie | 6,06 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Baliracq-Maumusson est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Baliracq-Maumusson se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 28 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Garlin (2,1 km), Mascaraàs-Haron (2,6 km), Castetpugon (2,7 km), Ribarrouy (3,0 km), Taron-Sadirac-Viellenave (4,0 km), Moncla (4,4 km), Boueilh-Boueilho-Lasque (4,7 km), Tadousse-Ussau (5,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Baliracq-Maumusson fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Castetpugon, Garlin, Mascaraàs-Haron et Taron-Sadirac-Viellenave.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le Léès, le Gabassot, le Laas et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le Léès, d'une longueur totale de 39 km, prend sa source dans la commune de Sedzère et s'écoule du sud vers le nord. Il longe le territoire communal sur son côté est et en constitue la limite séparative avec Mascaraàs-Haron et Castetpugon, puis se jette dans le Léez à Lannux, après avoir traversé 21 communes[8].
Le Laas (13,8 km) prend sa source dans la commune de Coslédaà-Lube-Boast et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léès en limite sud-est du territoire communal, après avoir traversé 6 communes[9].
Le Gabassot, d'une longueur totale de 17,4 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq et s'écoule vers le nord. Il longe le territoire communal au nord et se jette dans le Léès à Garlin, après avoir traversé 9 communes[10].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 097 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 9 km à vol d'oiseau[14], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Baliracq-Maumusson est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), prairies (28,8 %), forêts (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]- Arnathau[6]
- Baliracq
- Bitaillou[6]
- Bouquehort[25],[6]
- Bourdé[6]
- Campagne[6]
- Castéra[26],[6]
- Crédey[27]
- Florence[28],[6]
- Gayas[6]
- Hau[6]
- Hilletou[6]
- La Hount[6]
- Lafon[6]
- Lanne[6]
- Laroujat[6]
- Lescribau[6]
- Maufinet[6]
- Maumusson
- Miqueu[6]
- Mombet[6]
- Moncade[6]
- Mounicou[6]
- Mourette[6]
- Naba[6]
- Pédeuboscq[6]
- Pédélatour[6]
- Pillou[6]
- Pourrio[6]
- Sansot[29],[6]
- Tardan[30]
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la D211
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Baliracq-Maumusson est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léès, le Laas et le Gabassot. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2018[33],[31].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[34]. 42,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[35].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Baliracq apparaît sous les formes Saint-Félix de Balirac (Xe siècle[36], d'après Pierre de Marca[37]), Vallirag et Valliracum (vers 1100[38], cartulaire de Lucq-de-Béarn), Balirag (1443[36], contrats de Carresse[39]), ’'Baliracq, (XVIIIe siècle[38], carte de Cassini). Balirac (1793[40] ou an II) Balyrac (1801[40], Bulletin des lois) et Balirac (1863[36], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[36]).
Selon Michel Grosclaude[38], le toponyme vient très probablement d’un patronyme latin, Valerus, augmenté du suffixe gallo-romain -acum, pour donner « domaine de Valerus ».
Son nom béarnais est Valirac-Maumusson[41] ou Balirac-Maumussoû[42].
Le toponyme Maumusson apparaît sous les graphies Maumussou (1774[36], terrier de Baliracq, E 177) et Maumusson, (XVIIIe siècle[43], carte de Cassini).
Michel Grosclaude[43] propose là encore comme origine, un patronyme, gascon cette fois-ci, le sobriquet mau (« mauvais »), allié à mus (« museau ») et augmenté du suffixe -on, qui donne « mal aimable, renfrogné ».
Le toponyme Castéra apparaît sous la forme Casterar (1542[36], réformation de Béarn[44]).
Histoire
[modifier | modifier le code]Paul Raymond[36] note que Baliracq était vassal de la vicomté de Béarn.
Baliracq et Maumusson se sont unies en 1828.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Baliracq-Maumusson fait partie de six structures intercommunales[45] :
- la Communauté de communes des Luys en Béarn ;
- le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
- le SIVU du Lées et affluents ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Léès ;
- le syndicat intercommunal des cinq rivières.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Le gentilé est Baliracois[46].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].
En 2021, la commune comptait 119 habitants[Note 5], en évolution de −7,75 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Les tableaux démographiques ci-dessus ne concernent, avant 1828, que la commune de Baliracq. Avant cette date, Maumusson a connu l'évolution suivante :
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]Au lieu-dit Castéra, la topographie, visiblement modifiée par la main de l'homme, atteste la présence ancienne d'un ensemble fortifié, avec des remblais importants et un chemin de ronde circulaire encore visible. Il pouvait s'agir d'un fort en pieux de bois accolés car aucun vestige en pierre n'a été mis au jour. L'ouvrage pourrait donc dater du Haut Moyen Âge, encore qu'il ne soit pas exclu qu'il s'agisse là des vestiges d'une agglomération préhistorique[52]. Une fortification d'agglomération[53], tracé circulaire d'un talus, date également de la même époque.
Une demeure de notable[28], dite château de Milly, datant du XVIIIe siècle se dresse au lieu-dit Maumusson-Florence, alors qu'une autre, dite maison Lafon[27], datant de la première moitié du XVIIe siècle est visible au lieu-dit Maumusson-Crédey.
La commune présente des fermes et maisons[54],[25],[30],[26],[29] datant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.
Enfin à Baliracq, on peut voir un moulin[55] datant de la fin du XVIIIe siècle.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Pierre[56] possède des vestiges datant des XIe et XIIe siècles. Elle recèle du mobilier (ensemble du maître-autel[57], un ensemble autel, tabernacle, retable et statues[58], un autel secondaire[59], des lambris de revêtement[60], un fauteuil de célébrant[61], un bénitier[62], une chaire à prêcher[63], un confessionnal[64], une clôture de chœur[65] et un tabernacle à ailes[66]), des tableaux (un tableau d'autel représentant la remise des clés à saint Pierre[67] et une lithographie représentant un chemin de croix[68]), des statues (deux statues représentant saint Félix et saint Pierre[69]) et des objets (chandeliers[70],[71], vase d'autel[72], encensoir[73] et ostensoir[74]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
Équipements
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Présentation de la commune sur le site de la communauté de communes du canton de Garlin
- Site internet de la mairie
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Baliracq-Maumusson » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Baliracq-Maumusson ».
- Stephan Georg, « Distance entre Baliracq-Maumusson et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Baliracq-Maumusson et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Baliracq-Maumusson », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale de Baliracq-Maumusson », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Lées ».
- Sandre, « le Laas ».
- Sandre, « le Gabassot ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Baliracq-Maumusson et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La ferme du lieu-dit Bouquehort », notice no IA00026195, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite « maison Castéra » au lieu-dit éponyme », notice no IA00026193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite « maison Lafon » au lieu-dit Crédeil », notice no IA00026192, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le château de Milly, au lieu-dit Florence », notice no IA00026190, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite « maison Sansot » au lieu-dit éponyme », notice no IA00026191, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite « maison Coussié » au lieu-dit Tardan », notice no IA00026194, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les risques près de chez moi - commune de Baliracq-Maumusson », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 99..
- Contrats retenus par Carresse, notaire de Béarn - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Baliracq », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
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- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Gentilé sur habitants.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Maumusson », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- « L'ensemble fortifié dit « castéra » », notice no IA00026187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La fortification d'agglomération », notice no IA00026188, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les fermes et maisons anciennes », notice no IA00026189, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le moulin de Baliracq », notice no IA00027435, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Pierre », notice no IA00026196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble du maître-autel, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001597, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble autel, tabernacle, retable et statues, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001595, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'autel secondaire de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les lambris de revêtement de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001596, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no Le fauteuil de célébrant de l'église Saint-Pierre, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le bénitier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001577, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La chaire à prêcher de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001576, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le confessionnal de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001575, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La clôture de chœur de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001574, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle à ailes de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001599, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001598, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La lithographie de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001584, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues de saint Félix et saint Pierre, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001600, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le chandelier d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001581, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les six chandeliers d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001580, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le vase d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001583, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'encensoir de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001579, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ostensoir de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001582, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.