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Aubercourt

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Aubercourt
Aubercourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Gilles Charles
2020-2026
Code postal 80110
Code commune 80035
Démographie
Gentilé Aubercourtois
Population
municipale
74 hab. (2021 en évolution de −15,91 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 40″ nord, 2° 32′ 58″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 101 m
Superficie 3,8 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Aubercourt
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Aubercourt
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Aubercourt

Aubercourt est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Communes limitrophes

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Communes limitrophes d’Aubercourt
Villers-Bretonneux Marcelcave
Hangard Aubercourt Ignaucourt
Démuin

Description

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Village picard du Santerre situé à 20 km au sud-est d'Amiens, dans la vallée de la Luce, aisément accessible par l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934) et l'autoroute A29.

Le village est situé à proximité de huit étendues boisées[1].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Luce et le ruisseau la Margot[2],[Carte 1].

La Luce, d'une longueur de 18 km, prend sa source dans la commune de Caix et se jette dans l'Avre à Thennes, après avoir traversé 13 communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Aubercourt[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[4].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 738 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Aubercourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), forêts (1,3 %), prairies (0,6 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Waubercurt en 1137[16] et en 1259[17] et , Auberti curia en 1239, le village se nomme définitivement Aubercourt dès 1567[18].

Aubércourt en picard.

Aubercourt est un terme de formation germano-romane. Le suffixe « court », dérive du terme latin Curtis désignant une cour de ferme, une ferme ou un village[19]. Le préfixe « Auber » serait un dérivé du nom germanique d'un des propriétaires après les Invasions barbares des Ve siècle et VIe siècle qui devait se nommer Odbertus[20], ou porter un nom proche de cet anthroponyme.

Le village se trouve dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale.

Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [21].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[22], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

Intercommunalité

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La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du 4 décembre 1992 et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du 6 mai 1996.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d'Avre, Luce et Moreuil[23], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la « des communautés de communes d'Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[24],[25]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[26] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[27] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[28], qui prend effet le .

La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

Politique locale

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Le premier tour des élections municipales de 2020 n'a pas été organisé au village, faute de candidats, ce qui a amené à envisager un rattachement futur avec la commune de Démuin, éloignée d'un kilomètre[1]. Pour le second tour, une liste de onze candidats néanmoins pu se constituer[29], permettant l'élection d'un conseil municipal.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Jean Mroz    
mars 2008[31] juillet 2020[29] Gilbert Bertrand SE  
juillet 2020[32],[33] En cours
(au 2 décembre 2020)
Gilles Charles   Agriculteur retraité

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 74 habitants[Note 3], en évolution de −15,91 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
108115124159162169177197190
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
170166152154156149155120105
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
967263294652464759
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
424337404243565885
2017 2021 - - - - - - -
8174-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Le village fait partie du regroupement pédagogique intercommunal de la Luce qui comprend les écoles de Thennes, Domart-sur-la-Luce et Berteaucourt-lès-Thennes. Les villages associés d'Hangard et Ignaucourt ne disposent pas de classe sur leur territoire.

Le regroupement est géré par un syndicat intercommunal scolaire dont le siège est situé à Démuin.

Une garderie à Domart accueille les écoliers des sept villages constituant le RPI[37].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Quentin[38], reconstruite après les démolitions de la Première Guerre mondiale. Elle contient des fonts baptismaux du XIIIe siècle[39], un christ de pitié en bois taillé polychrome de 1609[40], une statue de saint Quentin en bois taillé polychrome du XVIe siècle et une autre de la Vierge à l'Enfant en bois peint du début du XIXe siècle[41].

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

  • Section photographique de l'armée, « Photo : Aubercourt. L'église et le village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Aubercourt » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Nicolas Totet et Fabrice Julien, « Ces villages picards orphelins », Le Courrier picard,‎ , p. 8.
  2. Sandre, « le ruisseau la Margot »
  3. Sandre, « la Luce »
  4. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Aubercourt et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Dans une bulle d'Innocent II.
  17. Dans le cartulaire de l'abbaye de Saint Jean.
  18. Archives communales déposées, lire en ligne.
  19. Charles Rostang, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969
  20. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 882 - (ISBN 2600001336).
  21. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Cécile Latinovic, « Haute-Somme Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  24. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  25. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  26. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l'idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l'idée d'un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  27. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  28. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  29. a et b Nicolas Totet, « Picardie: plus un seul village sans candidat : Les Picards privés de premier tour d'élections municipales, faute de candidats, vont pouvoir voter le dimanche 28 juin », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour raison de santé, le maire sortant âgé de 67 ans, Gilbert Bertrand, n'a pas souhaité se représenter après trois mandats successifs, deux de maire et un plus ancien de premier adjoint ».
  30. « Les maires de Aubercourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
  31. « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  32. Aude Collina, « Rebondissement à Aubercourt, le seul village samarien sans candidat : Le premier tour devrait venir plus tard à Aubercourt. Sept personnes envisagent finalement de se présenter aux électeurs dimanche 22 mars », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'homme a déjà fait un mandat dans les années 1970 et a candidaté depuis, sans succès. Il justifie sa décision tardive : « Je ne voulais pas perdre mon temps, faire des frais, de déplacement, d'impression, etc. ».
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Sur le site de la mairie de Thennes.
  38. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église d'Aubercourt, canton de Moreuil, d'après nature, 1 juin 1875 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  39. « Les fonts baptismaux », notice no PM80000255, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  40. « Statue : Christ de Pitié », notice no PM80000256, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  41. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM80001918, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.