Ambroise Comarmond
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Marie Ambroise Comarmond |
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Ambroise Marie Comarmond (parfois écrit Commarmond ou Caumarmont), né le à Saint-Symphorien-sur-Coise et mort le à Lyon, chirurgien, bibliothécaire et conservateur de musée français. Il a notamment été responsable des musées archéologiques de Lyon.
Biographie
[modifier | modifier le code]Enfance et études
[modifier | modifier le code]Il naît le à Saint-Symphorien-sur-Coise[1], dans une vieille famille de la petite bourgeoisie lyonnaise[2]. Une branche de cette famille porte de nos jours le patronyme de Comarmond[2].
Il fréquente deux précepteurs pendant les premières années de sa vie : l’Abbé Moiroux et l’Abbé Crozier. Ces derniers le forment à l’histoire, la grammaire et les mathématiques. Après la révolution, il intègre un pensionnat de l’Enfance à la Croix-Rousse composé de nombreux prêtres jésuites vivants sous de fausses identités jusqu’au directoire[3]. Parmi les nombreux élèves de son collège, il se lie d’amitié avec Antoine Jean Baptiste d'Aigueperse et Alphonse de Lamartine.
Mariage
[modifier | modifier le code]Le à Lyon, il épouse Jeanne Marie Augustine Chirat du Vernay[4], fille de Jeanne-Marie Berlié, aquarelliste et élève de l'artiste lyonnais Jean Pillement[5], et de Charles Bernardin Chirat, négociant, Président du tribunal de commerce de Lyon et membre du corps législatif français.
Postérité
[modifier | modifier le code]En 1815, le est déclarée Marie Charlotte Célina ou Sélina qui est née le [6]. Elle décède à l’âge de 11 ans et demi le [7]. Elle est enterrée au cimetière de Loyasse à l’emplacement no 26[8]. Les tombes respectives d’Ambroise Comarmond et d’Augustine Chirat demeurent inconnues.
Alliances
[modifier | modifier le code]Par la famille Berlié, Ambroise Comarmond est aussi le beau-frère[9] de Denis Charles Berlié (1785-1867), ingénieur vérificateur du cadastre de l’Ardèche connu comme le premier géomètre de la région[10]. Ce dernier est l’époux de Joséphine Comarmond (1782-1840), sœur d’Ambroise. En tant qu’inspecteur, Denis Charles Berlié sera auteur de plusieurs écrits sur des monuments historiques de l’Ardèche et notamment de monuments autour de Cruas.
Vie professionnelle
[modifier | modifier le code]Médecin à Lyon
[modifier | modifier le code]Après être entré en 1807 comme élève en chirurgie de l'Hôtel-Dieu de Lyon[11], Ambroise Comarmond passe sa thèse le à la Faculté de Médecine de Paris sur les probabilités de la vie humaine[12]. Parmi ces examinateurs se trouvent Philippe Petit-Radel, Anthelme Richerand et René-Nicolas Dufriche Desgenettes.
En 1818, avec Goubard et Jandard, il fonde le Dispensaire général de Lyon[13]. Il administrera ce lieu de 1818 à 1840, période durant laquelle il rédige de nombreux comptes-rendus dont l'existence transparaît auprès de différents documents relatifs au dispensaire, mais également à la santé publique comme la grippe et le choléra[14]
Bibliothécaire du Musée des Beaux-Arts
[modifier | modifier le code]De 1837 à 1840, Ambroise Comarmond est bibliothécaire de la ville de Lyon alors même qu'il est encore médecin au Dispensaire Général de Lyon. Durant son office, il pourvoit à l’enrichissement de la bibliothèque en accueillant de nombreux dons et legs dont il dresse le catalogue[15].
Parmi les nombreux livres de la bibliothèque, le fonds Léon Galle mentionne dans trois courriers de 1837 à 1840 quelques livres qui sont passés entre les mains d'Ambroise Comarmond.
C'est Jean-Baptiste Monfalcon qui lui succède en 1841 après que le nouveau maire de Lyon Jean-François Terme nomme Ambroise conservateur des musées archéologiques de Lyon.
Conservateur des musées archéologiques de Lyon
[modifier | modifier le code]Le , Ambroise Comarmond est nommé conservateur des musées Archéologiques de la ville de Lyon par le député du Rhône et maire de Lyon Jean-François Terme[16].
Sous sa direction, le musée est enrichi de nombreuses collections dues aux fouilles de la Vaise, à la démolition du vieux pont du Change ainsi que de découvertes isolées et de dons des particuliers[17] passant de deux cents documents à huit cent cinquante quatre[18]. La crue exceptionnelle du Rhône en 1840 amène Jean-François Terme à engager d’importants travaux qui sont l’occasion de nombreuses trouvailles alimentant le musée.
À cette même époque, Ambroise devient l’interlocuteur local privilégié du ministre par l'intermédiaire du préfet et adresse deux rapports l'an sur l'état des monuments et des besoins en joignant dessin et notice afin de mieux convaincre[19]. Il correspond avec Prosper Mérimée, mais aucun des édifices proposés n'est classé de son vivant. Ce n'est qu'en 1862 qu'un classement des édifices antiques commencera et que la mise en place d’une nouvelle législation sur l’expropriation verra le jour.
En 1843, durant une séance du Comité historique des arts et monuments, il propose de créer des entrepôts à l’échelon départemental afin de conserver les découvertes archéologiques monumentales avant de les réinstaller dans de nouveaux lieux d’exposition, une proposition qui ne sera pas retenue[20].
À sa mort, il est remplacé le par Edmé Camille Martin-Daussigny (1805-1878).
Concurrence et controverse
[modifier | modifier le code]La concurrence est féroce et les revendications de paternité sont fréquentes au Milieu du XIXe siècle en matière de recherches archéologiques.
En témoignent les accusations de plagiat de l'archéologue et épigraphiste Alphonse de Boissieu (1807-1886) à l'égard d'Amboise Comarmond[21]. En 1855, leur différend sera porté sur la place publique par Ambroise Comarmond lui-même sous la forme de la lettre ouverte Réponse à la seconde attaque de M. de Boissieu par le Dr. Ambroise Comarmond qu'il fait imprimer chez F. Dumoulin[22]. En plus du plagiat, des erreurs dans les travaux de Comarmond apparaissent encore actuellement comme l'erreur de localisation situant l'entreprise Morel quai de Serin alors que cette fonderie de cloches se trouve quai Sainte-Marie-aux-Chaînes, en aval du fort Saint-Jean[23],[24].
Par ailleurs, les publications entrent quelquefois en concurrence. Dès 1846, Alphonse de Boissieu publie en même temps qu'Ambroise Comarmond des fascicules décrivant les antiquités rassemblées au musée de Lyon. Leurs querelles de personnes et d'interprétations est avivée par quelques autres personnes comme Jean-Baptiste Monfalcon qui publie également sur l'épigraphie et l'architecture avec notamment une Histoire monumentale de la ville de Lyon (1866-1869) ainsi que sa propre version d'un catalogue des pièces lapidaires du musée archéologique de Lyon.
Malgré une demande dès 1837 par le maire de Lyon Christophe Martin[15], la première tentative de vente de la collection d'Ambroise Comarmond à la ville fait ne fit pas l'unanimité. Dès 1841, la vente fait l’objet dans la presse locale d’une campagne de rejet en particulier par le trimestriel satirique Le Lutin qui fait d’Ambroise Comarmond sa cible régulière[25]. Pendant toute sa parution de 1841 à 1842, son gérant Léopold Curez, également sculpteur et professeur de sculpture aux Beaux Arts de Lyon, pique la ville et Ambroise sous différents traits satyriques.
Sa collection
[modifier | modifier le code]Pendant plus de trente ans, Ambroise Comarmond a collecté et classé de nombreux objets naturels ou façonnés par l’homme. Il s'est également intéressé à ses contemporains comme le dessinateur français Jean-Baptiste Muret à qui il fait réaliser différents dessins de sa propre collection qui sont conservées à l'Institut national d'histoire de l'art[26].
Son importante collection a fait l'objet de différentes ventes dont une au moins sans catalogue. Sur l'ensemble des ventes, sept ont été des ventes publiques thématiques s'étant déroulées à Paris et ayant fait l'objet d'un catalogue. Elles sont datées de 1847, 1849, 1851, 1857[27] et 1858. La vente de 1851 permet au British Museum d'acquérir un grand nombre d'objets[28], mais une partie a pu rejoindre les collections du musée des Beaux-Arts de Lyon.
D’autres objets ont également été vendus de gré-à-gré dont le suivi est difficile. La vente au mathématicien, historien et collectionneur Guillaume Libri du Psautier de la reine Mélisande de Jérusalem en témoigne. C'est l'achat par le British Museum en 1845 auprès des marchands anglais Payne et Foss qui permet de mettre en évidence la vente précédente.
Par ailleurs, certains de ses propres travaux, comme ses estampages, sont conservés à la bibliothèque Mazarine.
Principales œuvres
[modifier | modifier le code]Ambroise Comarmond a écrit sur des sujets très divers liés autant à la médecine comme vu précédemment qu'à des activités de production[29] ou d'hydrographie et d'archéologie[30].
Ses œuvres principales demeurent la Notice du Musée lapidaire de la ville de Lyon[31] et la Description des antiquités et objets d'art contenus dans les salles du Palais-des-Arts de la ville de Lyon[32]. La première publication fut élaborée entre 1846 à 1854 alors que la seconde sera réalisée entre 1855 et 1857.
Publications à des dates inconnues
[modifier | modifier le code]En plus de ses publications référencées comme les deux précédentes et d'autres dont celle sur un écrin de dame romaine en 1844, un Hercule enfant en 1848, sur la mosaïque des Jeux du cirque en 1861 et bien d'autres, Ambroise Comarmond est un auteur prolixe à en juger par les nombreuses publications connues de façon indirecte[33] qui n'ont pas fait l'objet d'un référencement précis :
- « Mémoire sur les antiquités de l'Ardèche » ;
- « Mémoire sur l'abbaye et l'église de Cruas » ;
- « Mémoire sur l'église de Champagne» ;
- « Mémoire sur l'abbaye et l'église d'Ainay » ;
- « Notice sur l'état des aqueducs du Mont-Pilat » ;
- « Notice sur les fouilles de Vaise » ;
- « Mémoire sur les antiquités et les statues antiques de Lyon »;
- « Mémoire sur les débris d'une statue colossale en bronze, trouvée dans la Saône » ;
- « L'âge de pierre, l'âge de bronze, l'âge de fer » ;
- « Mémoire sur l'incendie » :
- « Notice sur une statuette d'Hercule enfant, en bronze » ;
- « Mémoire sur plusieurs inscriptions découvertes » ;
- « Description des objets antiques et du Moyen Âge contenus dans les salles du Musée » ;
- « Notice sur des bronzes gaulois trouvés à Vernaison » ;
- « Notice sur les découvertes faites dans les constructions de l'École Vétérinaire » ;
- « Notice sur les découvertes faites dans le nouveau cimetière de Loyasse » ;
- « Mémoire sur les découvertes faites à Lyon depuis plusieurs années et sur lé nivellement du sol gallo-romain » ;
- « Mémoire sur les contrepoids de lances gauloises, considérées jusqu'ici comme haches » ;
- « Notice sur la robe antique et les moyens employés par les faussaires pour la contrefaire » ;
Sociétés savantes et distinctions
[modifier | modifier le code]Il est membre de plusieurs sociétés savantes ainsi que titulaire de diverses fonctions, parmi lesquelles[34] :
- membre de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon de 1844 à 1857 ;
- membre correspondant de l'instruction publique ;
- inspecteur des Monuments Historiques des départements du Rhône et de l'Ardèche ;
- inspecteur de la Société française pour la conservation des monuments historiques ;
- membre correspondant de l'Académie des sciences de Rome, de l'Académie des sciences de Turin et de l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon ainsi que de l'Institut des provinces ;
- membre de la Société linnéenne de Lyon ;
- membre de la Société française d'archéologie et membre des sociétés archéologiques de Londres et d'Athènes ;
- membre de la Société nationale des antiquaires de France de l'académie de Lyon.
Le , il reçoit le diplôme de l'Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare de Sardaigne.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Antoine Jean-Baptiste d' Aigueperse, « Notice biographique sur Ambroise Comarmond, membre de l'Académie de Lyon, conservateur des musées archéologiques de cette ville, etc., lue dans la séance de l'Académie, du 24 mai 1859 », dans Antoine Jean-Baptiste d'Aigueperse, Œuvres archéologiques et littéraires, t. 1, Lyon, Auguste Brun, (lire en ligne)
Notes et références
[modifier | modifier le code]Sources
[modifier | modifier le code]- Les archives privées de la famille Comarmond sont conservées pour partie aux Archives municipales de Lyon, pour partie aux archives du département du Rhône et de la métropole de Lyon sous la cote 11 J, pour partie chez des collectionneurs privés dont certains peuvent être contactés via ArkéoTopia, une autre voie pour l'archéologie notamment pour les lettres accessibles sur Wikimédia Commons.
- Jean Burdy (dir.) et Dominique Saint-Pierre, « Comarmond, Ambroise », dans Dictionnaire historique des Académiciens de Lyon : 1700-2016, Lyon, ASBLA de Lyon, (ISBN 978-2-9559-4330-4), p. 353-355.
- Fonds : Société des Antiquaires de France. Cote : 36AS/51. Archives nationales..
Références
[modifier | modifier le code]- « Saint-Symphorien-sur-Coise » (1786) [imprimé]. Fonds : Registres paroissiaux et d'état civil du Rhône (sauf Lyon); Cote : 238 GG 7. Lyon : Archives du département du Rhône et de la métropole de Lyon (lire en ligne [visionneuse]).
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 11, page 248, Comarmond (de).
- Côme Simien, « Jean-Philippe Rey, Administrer Lyon sous Napoléon », Annales historiques de la Révolution française, no 374, , p. 220–222 (ISSN 0003-4436, lire en ligne, consulté le )
- « acte n°720 » (1812) [imprimé]. Fonds : Registre d'État Civil; Cote : 2E146. Lyon : Archives Municipales de la Ville de Lyon (lire en ligne [visionneuse]).
- J. Chasle Pavie, « Une élève de Pillement : Julie Chirat du Vernay », La Renaissance de l'art français et des industries de luxe, vol. 5, no 1, , p. 613-618 (lire en ligne, consulté le )
- « Acte 317 » (1815) [imprimé]. Fonds : Registre d'État Civil; Cote : 2E162. Lyon : Archives Municipales de la Ville de Lyon (lire en ligne [visionneuse]).
- « Acte 2556 » (1826) [imprimé]. Fonds : Registre d'État Civil; Cote : 2E235. Lyon : Archives Municipales de la Ville de Lyon (lire en ligne [visionneuse])., voir vue 7/251 - à noter : erreur de la table décennale qui place le décès au
- Pierre Beuf, Le Cimetière de Loyasse. Description de tous les monuments qui existent dans ce cimetière, avec le relevé exact des inscriptions qui y sont gravées suivi d'un plan topographique des lieux, Lyon, Pierre Beuf, (Le Cimetière de Loyasse sur WikiSource), Sépulture des catholiques, Première division, N 26
- « Familles Comarmond, Baroud et Liebhaber (Saint-Symphorien-le-Châtel, Lyon, Paris, Londres) 1371-1962 » (2004-2013) [numérique]. Fonds : Répertoire numérique détaillé établi par Simon-Pierre Dinard et Marion Duvigneau, conservateurs du patrimoine; Cote : 11 J 1-91. Rhône le département (lire en ligne [PDF]).
- Michel Lacroix, Histoire d'une erreur de limites entre l'Ardèche et la Haute-Loire : ou pourquoi le sommet du Mézenc et la croix de Boutières sont portés, à tort, entièrement en Ardèche (Synthèse d'un mémoire de Juillet 2015), s. l., M. Lacroix, , 44 p. (lire en ligne), p. 7, note 2 et pages suivantes
- Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise : 1700-2000. L'Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Lyon, Lyon, Éditions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, , 486 p. (ISBN 9782841470976, lire en ligne), p. 296
- Ambroise Comarmond, Essai sur la durée et les probabilités de la vie (Thèse de médecine soutenue à la Faculté de Médecine de Paris le 14 juin 1811), Paris, imprimerie Didot Jeune, (lire en ligne)
- Louis David, Trois siècles d'histoire lyonnaise : 1700-2000. L'Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Lyon, Lyon, Éditions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, , 486 p. (ISBN 9782841470976, lire en ligne), p. 294
- Louis Gubian, Histoire de la grippe à Lyon en 1837 : Rapport demandé par le mairie de Lyon, Lyon, imprimerie Louis Perrin, sd, 160 p. (lire en ligne), p. 31, Aigueperse 1862, p. 217.
- Aigueperse 1862, p. 214.
- J. B. Giraud, « Notes sur les origines des musées archéologiques de la ville de Lyon. Moyen Âge et Renaissance », Revue d'histoire de Lyon, vol. Année 1906, no 5, , p. 18-33 (lire en ligne, consulté le ) - voir p. 27
- Aigueperse 1862, p. 215.
- Nathalie Mathian, « L'aventure de l'archéologie dans la vallée du Rhône, entre Lyon et Vienne », Bulletin de la société historique de Compiègne, Compiègne, Société historique de Compiègne, t. 37, , p. 127-151 (lire en ligne, consulté le ) - voir p. 144
- Nathalie Mathian, « L'aventure de l'archéologie dans la vallée du Rhône, entre Lyon et Vienne », Bulletin de la société historique de Compiègne, Compiègne, Société historique de Compiègne, t. 37, , p. 127-151 (lire en ligne, consulté le ) - voir p. 139
- Comité historique des arts et monumens, « Sixième séance. Mercredi 29 mars 1843 - Conservation et découverte des monumens », Bulletin Archéologique publié Par le comité historique des arts et monumens, Paris, imprimerie De Paul Dupont, vol. 2, , p. 535-541 (lire en ligne, consulté le ) - voir p. 540
- Patrice Béghain, Bruno Benoit, Gérard Corneloup et Bruno Thévenan, Dictionnaire historique de Lyon, Lyon, Stéphane Bachès, , 1504 p. (ISBN 978-2-915266-65-8 et 2-915266-65-4, BNF 42001687)
- Ambroise Comarmond, Réponse à la seconde attaque de M. de Boissieu par le Dr A. Comarmond, Lyon, imprimerie F. Dumoulin, , 3 p.
- Éric Bertrand, Armand Desbat, Sandrine Élaigne et Anne Schmitt, « L'atelier de la Butte », Gallia, no 54 « Les productions des ateliers de potiers antiques de Lyon, 2e partie : Les ateliers du Ier s. après J.-C. », , p. 5-43 (lire en ligne [sur persee], consulté le ) - voir p. 6
- Nathalie Mathian, « L'aventure de l'archéologie dans la vallée du Rhône, entre Lyon et Vienne », Bulletin de la société historique de Compiègne, Compiègne, Société historique de Compiègne, t. 37, , p. 127-151 (lire en ligne, consulté le ) - voir p. 145
- Parmi d'autres exemples, voir Léopold Curez, « Magnétisme, mademoiselle Prudence », Le Lutin, no 16, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ) - le congrès fait référence à la vente de la collection
- Institut national d'histoire de l'art et Bibliothèque nationale de France, « Digital Muret - propriétaire est exactement : Comarmond, Ambroise (1786-1857) », sur Digital Muret, (consulté le ).
- Pouchet et Roussel, Catalogue d'une colloque d'antiquités égyptiennes, grecques, romaines et gauloises provenant du cabinet de M. Comarmond de Lyon (catalogue de vente aux enchères), Paris, Hôtel des ventes mobilières rue Drouot, , 23 p. (lire en ligne)
- Salomon Reinach, « La sculpture en Europe avant les influences gréco-romaines - suite 1 », L'Anthropologie, Paris, G. Masson, vol. 6, no 1, , p. 293-311 (lire en ligne) - voir p. 297
- Ambroise Comarmond, De la pisciculture de la truite : et en particulier de celle du lac de Saint-Front et des deux ruisseaux les plus voisins (mémoire lu à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon en juin 1852), Lyon, imprimerie F. Dumoulin, , 54 p. (lire en ligne) et Ambroise Comarmond, Aviculture. Des moyens pour engraisser l'oie et le canard afin d'en tirer les meilleurs produits, Lyon, imprimerie F. Dumoulin, , 47 p. (lire en ligne)
- Bibliothèque nationale de France, « Notice de personne : Comarmond Ambroise », sur BnF catalogue général (consulté le ).
- Ambroise Comarmond, Description du Musée lapidaire de la ville de Lyon, Lyon, imprimer F. Dumoulin, 1846-1854, 148 p. (lire en ligne)
- Ambroise Comarmond, Description des antiquités et objets d'art contenus dans les salles du Palais des arts de la ville de Lyon, imprimerie F. Dumoulin, , 934 p. (lire en ligne)
- Aigueperse 1862, p. 217 et Nathalie Mathian, « L'aventure de l'archéologie dans la vallée du Rhône, entre Lyon et Vienne », Bulletin de la société historique de Compiègne, Compiègne, Société historique de Compiègne, t. 37, , p. 127-151 (lire en ligne, consulté le ) - voir p. 144 et 145
- Martine François, « Comarmond, Ambroise, Marie », sur cths.fr, CTHS-La France savante, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes mentionnant Ambroise Comarmond
[modifier | modifier le code]Liens externes
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