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Aiffres

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Aiffres
Aiffres
L'espace Tartalin et l'église Saint-Pierre.
Blason de Aiffres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Niortais
Maire
Mandat
Jacques Billy
2020-2026
Code postal 79230
Code commune 79003
Démographie
Gentilé Aiffricains, Aiffricaines
Population
municipale
5 377 hab. (2021 en évolution de −2,64 % par rapport à 2015)
Densité 209 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 17′ 14″ nord, 0° 24′ 57″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 57 m
Superficie 25,72 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Niort
(banlieue)
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Plaine niortaise
Législatives Première circonscription
Localisation
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Aiffres
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Aiffres
Liens
Site web www.ville-aiffres.fr

Aiffres est une commune du centre-ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Située au sud-ouest des Deux-Sèvres et du Haut-Poitou, aux confins de l’Aunis et de la Saintonge, la commune d’Aiffres est située dans la banlieue de la ville de Niort, dont elle fait partie de l’unité urbaine.

Entre plaine Niortaise et Marais poitevin, à 50 kilomètres de l’océan Atlantique et de La Rochelle, la commune dont l’altitude varie de 13 m à 57 m, est traversée par la Guirande, un affluent de la Sèvre Niortaise. La Guirande forme, le long de son parcours, un coteau bocager qui rompt le paysage de plaine environnant. Le sud d’Aiffres fait partie de la zone de protection spéciale Natura 2000, dite de la plaine de Niort Sud-est, mise en place pour protéger 25 espèces d’oiseaux [1].

Communes limitrophes

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Voies de communication

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Depuis la fermeture de celle d’Aiffres, la gare la plus proche est la Gare de Niort. Cette dernière permet de rejoindre Paris, en TGV, en 2 heures. La Rochelle, Poitiers, Saintes et Royan y sont également desservies par TGV et/ou par les TER de la région Nouvelle-Aquitaine.

Aiffres est traversée par l’A10, reliant Paris à Bordeaux. Les échangeurs les plus proches sont le Sortie 32 (Niort Centre/Niort Est) et le Sortie 33 (Niort Sud/La Rochelle).

L’A10 se connecte à l’A83 (Nantes) à l’échangeur Sortie 31 (Niort Est).

La commune est par ailleurs desservie par 2 lignes de bus du réseau gratuit Tanlib géré par la Communauté d’agglomération du Niortais.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Niort à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 846,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Aiffres est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Niort[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,2 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), zones urbanisées (12,7 %), prairies (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %), forêts (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Aiffres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Guirande. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2010[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aiffres.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 62,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1996, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Variante de l’ancien provençal (ou ancien occitan) affre, signifiant effroi[21]. La linguiste Marie-Thérèse Morlet penche pour le nom germanique Aiffro (rude, revêche).

Deux autres hypothèses sont avancées par l’Abbé Autexier quant à l’origine du nom « Aiffres ». Selon lui, la commune pourrait tenir son nom d’une colonie d’Africains venus s’y installer ou bien d’un Gallo-Romain, nommé « Afer », y possédant une villa.

Le nom de la commune a revêtu plusieurs formes d’écriture :

  • 948 : Vicaria Afriacensis
  • 967 : Vicaria Africa
  • 988 : Aifre in pago Niortensi
  • 1166 : Aiffre, le nom de la commune a, alors, presque son orthographe actuelle.
  • Puis, les appellations continuent d’évoluer, et l’on peut retrouver d’autres orthographes comme : Afria, Ayfres, Effre, Esfres, Saint Pierre d’Aiffres ou encore Aiphres, à la fin du XVIIIe siècle.

Aiffres était, dès le milieu du Xe siècle (948), une viguerie du duché d’Aquitaine. Depuis 854, la région est dominée par la maison de Poitiers-Aquitaine de laquelle est issue la double lignée des comtes de Poitiers-ducs d'Aquitaine.

La viguerie d’Aiffres (vicaria Afriacensis puis vicaria Africa) constituait la limite entre le Poitou et l’Aunis-Saintonge. Cette limite reprenait ainsi la frontière naturelle que constituait la Guirande en séparant le territoire Gaulois des Pictons, situé sur la rive droite de la rivière, de celui des Santons, situé sur l’autre rive.

Le mariage d'Aliénor d'Aquitaine avec Henri II Plantagenêt, qui devient Roi d'Angleterre en 1154, fait basculer le vaste Duché d'Aquitaine sous la domination anglaise.

S'ouvre alors une longue période de troubles. La région, au contact de plusieurs provinces, est l'enjeu de nombreux conflits, opposant les Plantagenêt aux Capétiens puis aux Valois. Ces conflits culmineront lors de la guerre de Cent Ans. En 1453, ce qui restait des territoires d'Aliénor d'Aquitaine encore aux mains des anglais est définitivement intégré au royaume de France et Aiffres, à la province du Poitou.

De 1520 à 1598 le Poitou est victime des guerres de Religion opposant huguenots et catholiques. Après une accalmie, les persécutions contre les protestants reprennent sous Louis XIV, lors des dragonnades, particulièrement en 1681 et juillet 1685.

En 1790, Aiffres est rattachée au département des Deux-Sèvres. En 1793 la commune est intégrée au district de Niort, devenu arrondissement en 1801, et au canton de Prahecq.

Par ordonnance du 21 décembre 1835, la commune de Saint-Maurice-du-Mairé fusionne avec celle d'Aiffres.

Depuis les années 1970, Aiffres connaît un essor démographique important en lien avec celui de la ville voisine de Niort. Aujourd'hui la commune fait partie de son unité urbaine et de la communauté d'agglomération du Niortais.

En 2015, disparaît le canton de Prahecq. Aiffres fait depuis partie du canton de la Plaine Niortaise.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1977 mars 2001 Bernard Terrière[22]   Maître d'œuvre
mars 2001 mai 2012[23]
(décès)
Alain Mathieu PS Cadre MAAF Assurances
Président de la CA de Niort (2002 → 2012)[24]
Conseiller général du canton de Prahecq (1998 → 2012)
1er vice-président du conseil général des Deux-Sèvres (? → 2012)
mai 2012[25],[26] mars 2014 Serge Morin[27] EELV Agriculteur
Conseiller régional de Poitou-Charentes (1998 → 2015)
Vice-président de la région Poitou-Charentes (2004 → 2015)
2e vice-président de la CA de Niort (2012 → 2014)[28]
mars 2014 En cours
(au 27 mai 2020)
Jacques Billy[29] DVD-MRSL Ancien directeur de l'ESAT d'Aiffres
9e vice-président de la CA du Niortais (2014 → 2020)
2e vice-président de la CA du Niortais (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 5 377 habitants[Note 5], en évolution de −2,64 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5504295565135309219359961 030
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9971 0191 0791 0651 0531 1371 1221 015970
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9829699539449619669321 0051 059
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1581 3231 8613 7564 1194 5984 9064 9755 229
2015 2020 2021 - - - - - -
5 5235 3595 377------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Avec une population variant de 429 à 556 habitants de 1793 à 1831 puis variant de 921 à 1137 de 1836 à 1954, Aiffres présentait une évolution démographique sans particularité notable.

Le nombre d’habitants en constante augmentation à partir des années 1960, par le développement d'une large zone résidentielle très proche de Niort, puis par l'extension de ce quartier décentré pour le reconnecter à l'ancien bourg historique, a passé la symbolique barre des 5 000 habitants en 2007.

  • Un bureau de poste.
  • Deux agences bancaires.
  • Un magasin hard discount.
  • Un bar-tabac-presse dans le centre-bourg incluant une supérette.
  • Un café-restaurant-pizzeria routier.
  • Un tabac-presse.
  • Deux boulangeries.
  • Une boucherie
  • Une rôtisserie.
  • Un caviste.
  • Un fleuriste.
  • Un cabinet vétérinaire.
  • Une auto-école.
  • Un garage avec station-service.
  • Trois vendeurs automobiles.
  • Une place de marché pour vendeurs itinérants

Lieux et monuments

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Pour mémoire
  • Motte de la seigneurie. La motte qui mesurait 30 mètres de diamètre à sa base, 15 mètres au sommet et 7 mètres de haut par rapport à la rue, se situait au centre du vieux-bourg avant sa destruction en 1980. Son arasement a permis la découverte d'une galerie souterraine large de 0,80 mètre, assez courte, maçonnée en pierres sèches et voûtée en claveaux. Sa rapide destruction n'a pas permis une étude plus approfondie. Aiffres est attesté au milieu du Xe siècle comme étant le centre d'une viguerie[37].
Le blason du Poitou est affiché par la commune d'Aiffres sur ses plaques de rue émaillées.

Le blason d'Aiffres (visible sur les plaques de rue émaillées installées par la commune) se blasonne ainsi :

« De gueules aux cinq châteaux d'or en sautoir, surmontés de trois tours du même. »

C'est en fait le blason du Poitou.

Des blasons plus spécifiques ont été proposés, reprenant les mêmes couleurs mais associant en charge une croix hosannière (dans le centre-bourg face à l'église Saint-Pierre) et une clé (comme celle visible dans le grand vitrail en façade de l'église), ou les deux mottes bien conservées et cernées de douves (sites archéologiques d'anciennes fortifications médiévales, près du hameau du Haut-Mairé au lieu-dit de la Garenne et du hameau du Bas-Mairé au lieu-dit de la Motte Saint-Denis).

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Niort comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Aiffres et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Niort » (commune de Niort) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Niort » (commune de Niort) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Niort », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Aiffres », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  21. Larousse: (site larousse.fr), consulté le 8 février 2017.
  22. « Les noces de diamant des époux Terrière », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  23. « Décès brutal d'Alain Mathieu, premier vice-président du Conseil général », Le Courrier de l'Ouest,‎ (lire en ligne).
  24. « Carnet Alain Mathieu », Le Moniteur,‎ (lire en ligne).
  25. « Municipales : Serge Morin conduira la liste unique », Le Courrier de l'Ouest,‎ (lire en ligne).
  26. « Election municipale partielle d'Aiffres (Deux-Sèvres) », Politiquemania,‎ (lire en ligne).
  27. Premier adjoint au maire, il est élu lors de l'élection municipale partielle du 10 juin 2012.
  28. « Serge Morin et Stéphane Pierron montent en puissance », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  29. « Jacques Billy élu maire », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  30. Le jumelage avec Amlamé.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Croix de cimetière à Aiffres », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  36. « Ancienne église Saint-Maurice-de-Mairé », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  37. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 358.

Articles connexes

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Liens externes

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