Morcourt (Aisne)
Morcourt | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Saint-Quentin | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois | ||||
Maire Mandat |
Rose-Marie Bucek 2020-2026 |
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Code postal | 02100 | ||||
Code commune | 02525 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Morcourtois(es) | ||||
Population municipale |
556 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 92 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 52′ 37″ nord, 3° 19′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 134 m |
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Superficie | 6,07 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Quentin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Quentin-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Morcourt est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Morcourt a un village homonyme Morcourt (Somme), commune de 287 habitants située sur la rive gauche de Somme en amont d'Amiens.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Somme la rivière, le canal de St-Quentin vers la Somme le canalisée, le fossé des fontaine ferree et un autre petit cours d'eau[Carte 1].
La Somme est un fleuve du nord de la France, en région Hauts-de-France, qui traverse les deux départements de l'Aisne et de la Somme. Il prend sa source dans la commune de Fonsomme et se jette dans la Manche par la baie de Somme entre Le Crotoy et Saint-Valery-sur-Somme[1].
Le canal de Saint-Quentin, long de 92,5 km, assure la jonction entre l'Oise, la Somme et l'Escaut et met en relation le Bassin parisien, le Nord de la France et la Belgique[2].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[3].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Morcourt est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,2 %), forêts (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,2 %), zones urbanisées (6,7 %), eaux continentales[Note 3] (2,5 %)[14].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village apparaît pour la première fois en 1145 sous le nom de Maurincurtis dans un cartulaire de l'abbaye d'Homblières. L'orthographe variera ensuite de nombreuses fois en fonction des différents transcripteurs : Morocurt, Moricurtis, Morecurt, Territorium de Mourecourt, Mourcourt, Moircourt, Maurcourt, Moriencourt en 1596, Maurecourt sur la carte de Cassini vers 1750 et enfin l'appellation actuelle Morcourt au XIXe siècle [15].
Histoire
[modifier | modifier le code] Carte de Cassini
La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Morcourt est situé sur la rive gauche de la Somme. Une importante retenue d'eau avait été créée pour faciliter la pêche; à son extrémité existait un moulin à eau représenté par une roue dentée.
Première guerre mondiale
Après la bataille des frontières du 7 au , devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Le , les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest[16]. Dès lors commença l'occupation qui dura jusqu'en . Pendant toute cette période, Morcourt restera loin des combats, le front se situant à une quarantaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne. Le village servira de base arrière pour l'armée allemande.
En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; cette ligne Hindenburg de fortifications s'appuie sur le canal de Saint-Quentin. Morcourt est dons située juste à l'arrière de cette ligne.
En , devant l'offensive des Alliés sur le front les Allemands cèdent du terrain peu à peu. Le , les troupes anglo-françaises se heurtent à l'armée allemande. Pendant plusieurs jours, le village sera l'objet de nombreux combats[17]. Le village sera finalement libéré le par le 47è bataillon de chasseurs alpins[18].
Au cours de ces combats, les bombardements ont provoqué de nombreuses destructions comme le montre l'état de la mairie à la fin de la guerre sur la photo ci-contre[19].
Après l'Armistice, peu à peu, les habitants évacués sont revenus, mais la population de 480 habitants en 1911 ne sera plus que de 310 en 1921 .
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [20].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 20 soldats de la commune morts pour la France ainsi que d'une
victime civile[21].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Quentin. Celui-ci a été scindé par décret du et la commune rattachée au canton de Saint-Quentin-Nord[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Saint-Quentin-2.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le , rassemblant à l'origine 11 communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles[23].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du [24] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[25].
Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[26].
Politique locale
[modifier | modifier le code]À la suite de la démission de 4 conseillers municipaux (dont deux maires-adjoints) en conflit avec le maire début [27], l'effectif du conseil municipal est devenu inférieur au minimum légal, entraînant l'organisation d'élections municipales le 3 et éventuellement le , puis, par voie de conséquence, l'élection du maire de la commune pour la fin de la mandature[28].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Village fleuri : trois fleurs attribuées en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[34]. En 2015, la commune n'est plus classée à ce concours[35].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2021, la commune comptait 556 habitants[Note 4], en évolution de −3,97 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
[modifier | modifier le code]L'association Sports et Loisirs organise une course nature, « À la découverte des sources de la Somme ». La 7e édition a eu lieu en , autour de deux circuits, de 19 et de 10 km comprenant beaucoup de chemins qui ont emmené les concurrents à la découverte des sources de la Somme (fleuve)[39].
Économie
[modifier | modifier le code]Commerces et services
[modifier | modifier le code]La commune ne comprend plus de commerces, si ce n'est un café. Celui-ci assure depuis 2015 la fonction de point poste, habilité aux fonctions postales (vente de timbres à usage courant, d'enveloppes prêtes à poster et d'emballages Colissimo, dépôt des objets y compris recommandés, affranchissement, retrait de lettre et colis en instance, services de proximité)[40].
Activités industrielles
[modifier | modifier le code]Une zone industrielle est située à Rouvroy-Morcourt.
Elle comprend notamment l'usine Décapage de l'Aisne, PME de 18 salariés en 2015 implantée sur le site depuis 1987, spécialisée dans l'élimination de peintures et laques sur tout type de métaux (bras d'essuie-glace, jantes, pièces d'assemblage de voiture, etc.)[41],[42].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Médard, reconstruite après la Première Guerre mondiale.
- Monument aux morts.
- Stèle d'un soldat mort au Sénégal, 1885.
- Sur la mairie, une plaque commémorant des déportés évadés, 1944.
-
Église Saint-Médard.
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Monument aux morts.
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Stèle soldat mort au Sénégal 1885.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Calixte de La Place né à Morcourt (Aisne) en 1729, député de Péronne à l'Assemblée Nationale en 1789[43].
- Louis Brassart-Mariage (1875-1933), architecte de l'église.
- Pierre Ernest Fernand Choquart ( à Neuilly-sur-Seine - à Morcourt), fondateur L'Aisne nouvelle[44].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Morcourt » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Sandre, « la Somme rivière »
- Sandre, « le canal de Saint--Quentin vers la Somme canalisée »
- « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Morcourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques », sur Gallica, (consulté le ).
- (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
- « Le 47e bataillon de chasseurs alpins pendant la grande guerre 1914-1918 », sur Gallica, (consulté le ).
- « Le 47e bataillon de chasseurs alpins pendant la grande guerre 1914-1918 », sur Gallica, (consulté le ).
- .
- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- « Rechercher dans le fonds iconographique - Geneanet », sur geneanet.org (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Loïc Rossignol, « Mise en place d'un service de transport à la demande : position de l'exploitant » [PDF], sur dumas.ccsd.cnrs.fr, (consulté le ), p. 25.
- « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
- « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
- Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ), p. 55-59.
- Câlin Loos, « Vers de nouvelles élections à Morcourt », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ).
- Camil Loos, « Les élections auront lieu le 3 septembre à Morcourt : Suite à la démission d'un tiers du conseil municipal de Morcourt, début juin, des élections complémentaires vont avoir lieu le 3 septembre », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ).
- « Les maires de Morcourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
- G. B., « Morcourt / Élection municipale Jean-Pierre Menet, nouveau maire », L'Union l'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
- « Morcourt : trois nouveaux adjoints au maire entrent au conseil : Jean-Pierre Menet, maire sortant réélu, l'avait promis lors de la dernière cérémonie des vœux : « Je me représente avec une nouvelle équipe composée de beaucoup de nouveaux… », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- « Morcourt : un projet de vidéoprotection à l'étude dans la commune », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- « Rose-Marie Bucek élue à l'unanimité à Morcourt », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,
- « Toutes les communes fleuries », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- {{Article Morcourt : les sources de la Somme pour Lenin et Rabeuf |périodique=L'Aisne nouvelle |date=6/7/2016 |url texte=http://www.aisnenouvelle.fr/region/morcourt-les-sources-de-la-somme-pour-lenin-et-rabeuf-ia16b108n391239 |consulté le=15 janvier 2017 }}.
- « Morcourt : enfin un point Poste dans le village », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- Laura Oudart, « Morcourt : Décapage de l'Aisne investit pour monter en puissance : La PME artisanale, présente à Morcourt depuis 28 ans, va mettre en marche son tout nouveau four, à la pointe de la technologie. Un tremplin pour passer au niveau supérieur », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- Olivier de Saint Riquier, « Morcourt: l'incendie fait exploser le voisinage », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- .
- « Sépulture Pointier / Choquart », Les cimetières, sur Société académique de Saint-Quentin (consulté le ).