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Montfrin

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Montfrin
Montfrin
Château de Montfrin
Blason de Montfrin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes du Pont du Gard
Maire
Mandat
Éric Tremoulet
2020-2026
Code postal 30490
Code commune 30179
Démographie
Population
municipale
3 129 hab. (2021 en évolution de −2,55 % par rapport à 2015)
Densité 205 hab./km2
Population
agglomération
12 308 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 36″ nord, 4° 35′ 39″ est
Altitude Min. 7 m
Max. 78 m
Superficie 15,29 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Montfrin
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Redessan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Montfrin
Liens
Site web montfrin.com

Montfrin est une commune française située dans l'est du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le canal d'irrigation de Remoulins à Tarascon, le Briançon et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises »), un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Montfrin est une commune rurale qui compte 3 129 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est ville-centre de l'unité urbaine de Montfrin. Ses habitants sont appelés les Montfrinois ou Montfrinoises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église Notre-Dame-de-Malpas, inscrite en 1926, le château, inscrit en 1956 puis classé en 1985, l'hôtel de Calvières, inscrit en 2003, et la commanderie, inscrite en 2003.

Géographie

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Les communes limitrophes sont Comps, Fournès, Jonquières-Saint-Vincent, Meynes, Sernhac, Théziers et Vallabrègues.

Localisation

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Commune membre de la Communauté de communes du Pont du Gard, située entre le Rhône et le Gardon et les villes de Nîmes et Avignon.

Pendant l’Ère secondaire[1], au crétacé, il y a -130M. d'années, la Méditerranée, les Pyrénées et les Alpes n'existaient pas. Notre région était occupée par un immense océan. La profondeur était variable et permettait la vie de récifs de coraux et d'animaux à squelette calcaire. Les déchets s'accumulaient sur le fond. Ils ont été transformés en une roche dure et compacte qui forme l'essentiel de nos garrigues et qu'on retrouve chez nous sous des roches plus récentes : le calcaire.

Au Miocène -28M. d'années, le plissement pyrénéo-provençal se produit, la mer est toujours là et nous trouvons sur un rivage attesté par la présence de roches à pholades visibles près des Orgnes.

La profondeur de l'eau permet le dépôt de sédiments mélangés argile et calcaire qui formeront une roche plus ou moins tendre, la molasse. On la retrouve à la Beaume, à Saint Roman… On peut la creuser et elle durcit à l'air.

Au pliocène -12M. d'années, l'eau revient. C'est de l'argile qui se dépose de façon irrégulière. C'est l'argile bleue que nous connaissons bien, colorée par des oxydes ferreux (bleus) qui s'oxydent à l'air devenant jaunes (oxydes ferriques).

Enfin, il y a 1M. d'années, les montagnes, Alpes et Pyrénées, sont sorties de l'eau bousculant les terrains du massif central. L'eau des océans s'est retirée. Les terres de nos régions sont émergées bordant la Méditerranée.

Un fleuve puissant coule depuis les Alpes - le Rhône - il emprunte une zone de failles (vallée du Rhône). Son delta est immense et il dépose des sédiments en divaguant entre Marseille et Montpellier. Ce sont des galets de quartzites rougeâtres et des alluvions argilo-calcaire : c'est le Gress que nous retrouvons sur nos plateaux. Nous sommes à l’ère IV, au villafranchien.

Lorsqu'il pleut, l'eau acidifiée par le CO2 de l'air s'infiltre dans le Gress et dissout le calcaire qu'elle entraîne jusqu'à la couche d'argile. Là arrêt de la circulation : le calcaire entrainé précipité et forme un ciment très dur, le Tapparas.

Des variations du niveau de la mer, en particulier son abaissement, ont entraîné un creusement des vallées coupant la série des terrains sous-jacents au Gress puis le dépôt d’alluvions récentes du Gardon et du Rhône au fond des vallées. Des colluvions issues de l'érosion des plateaux se sont déposées sur les bords vallées.

Hydrographie et relief

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Sur la commune de Montfrin nous disposons de l'eau de trois origines différentes :

1° les nappes phréatiques du Gardon et du Rhône qui imbibent les terrains autour des rivières et descendent en suivant la pente des vallées (puits de Saint Martin).

2° Dans le calcaire crétacé se trouve la nappe du Karst. L'eau de pluie s'enfonce et circule dans les failles, fissures et réseaux de cavités du calcaire. Cette eau suit la pente générale de ces terrains et rejoint finalement les nappes phréatiques des rivières. elle forme des veines dans la plaine entre les pentes des plateaux et le Gardon.

C'est là que les anciens ont foré leurs puits et ont permis l’établissement des Mas.

3° l'eau de pluie sur le Gress s'enfonce dans ce terrain meuble mais est arrêtée par la couche d'argile qu'elle suit jusqu’à ce qu'elle affleure à la surface et coule à l’extérieur. C'est l'origine des sources du Réal, des Orgnes, de Césérac, de la Malautiére et de Saint Jean.

Ouvrage lié à l'alimentation en eau dit Guérite[2].

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nîmes à 19 km à vol d'oiseau[6], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

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Axes ferroviaires

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Axes routiers

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Transports en commun

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  • Transports à la demande[10].
  • Réseau de bus départemental Edgard[11].

Transports aériens

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Les aéroports les plus proches sont :

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

Un espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[14].

Réseau Natura 2000

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Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »[16], d'une superficie de 13 479 ha, qui accueillait, en 2004, 300 mâles chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France[17].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[18] : le « Gardon aval » (1 106 ha), couvrant 6 communes du département[19], et la « plaine de Manduel et Meynes » (9 783 ha), couvrant 15 communes du département[20].

Au , Montfrin est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montfrin[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est ville-centre[Note 4],[I 2],[I 3]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,7 %), zones agricoles hétérogènes (37 %), zones urbanisées (7,6 %), forêts (5,7 %), terres arables (4,7 %), eaux continentales[Note 5] (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Projets d'aménagement

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Montfrin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gard, le canal d'irrigation de Remoulins à Tarascon et le Briançon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1988, 1993, 1994, 2002, 2003, 2005, 2010 et 2014[24],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montfrin.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 283 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1283 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 6] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

Provençal Mount-Frin, du roman Monfrin, du bas latin Mons Frenus, Mons Frinus[29].

Les habitants sont appelés les Montfrinois et les Montfrinoises.

Le village est mentionné Castrum de Montfrin en 1196, puis Locus Montis-Frini en 1461[30].

Époque moderne

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Révolution française et Empire

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Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Histoire des maires

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Origine, ancien Régime : on parle d’échevins, conseillers, Maire perpétuel, alternatif mitriennal.

  • De 1789 à 1799 : Révolution française, Première République, Directoire, les maires sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles.
  • De 1799 à 1848 : Consulat, Premier Empire, Restauration, Monarchie de Juillet, les maires sont nommés par le préfet.
  • Du à 1851 : Seconde République, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
  • De 1851 à 1871 : Second Empire, les maires sont nommés par le préfet.
  • De 1871 à aujourd'hui, les maires sont élus par le conseil municipal.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1er août 1944 19 février 1945 Robert Servan-Schreiber   Président de la délégation
20 février 1945 12 mai 1945 Albert Malafosse   Président de la délégation municipale
13 mai 1945 1953 ?    
1953 1959 Robert Servan-Schreiber    
1959 25 mars 1965 Ernest Matet SFIO Président du conseil général du Gard (1951 → 1957)
26 mars 1965 12 mars 1983 André Domergue DVG  
13 mars 1983 17 juin 1995 Jean-Marie Biot PS  
18 juin 1995 1998 René Trébillon    
1998 15 mars 2008 Jean-Marie Biot PS  
16 mars 2008 26 mai 2020 Claude Martinet DVD Cadre
Président de la CC du Pont du Gard (2014 → 2020)
26 mai 2020[31] En cours Éric Tremoulet SE Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité 2016

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En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[32] :

  • total des produits de fonctionnement : 2 781 000 , soit 860  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 2 723 000 , soit 749  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 772 000 , soit 239  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 952 000 , soit 294  par habitant.
  • endettement : 3 184 000 , soit 985  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 14,23 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 26,51 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 60,00 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 991 [I 6].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Pyramide des âges

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 3 129 habitants[Note 7], en évolution de −2,55 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9601 9992 0492 2412 3312 4102 5162 5442 639
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6782 6672 5802 4162 5412 5612 5452 5172 258
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1452 1352 1241 7081 6391 6121 6731 6471 616
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 7792 0552 0892 4042 6852 9343 0533 0103 117
2015 2020 2021 - - - - - -
3 2113 1493 129------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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  • École maternelle[37], élémentaire[38] et primaire[39].
  • Collèges à Aramon, Remoulins, Beaucaire[40],
  • Lycées à Meynes, Beaucaire, Tarascon.

Professionnels de santé sur la commune[41].

Culte catholique, Paroisse d'Aramon, Diocèse de Nîmes - Uzès - Alès[42],[43].

Manifestations culturelles et festivités

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  • Arènes ou se déroulent les courses camarguaises en été[44]..
  • Stade Municipal.
  • Tennis Club.
  • Skatepark.
  • Parcours de santé du Gardon.
  • Boulodromes
  • Piste de BMX

La commune bénéficie d'un correspondant local Midi-Libre, depuis le , il s'agit de Monsieur Antoine Pierron[45].

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 303 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 3 121 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 960 [I 7] (20 020  dans le département[I 8]). 41 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (43,9 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 11,8 % 13,7 % 10,8 %
Département[I 10] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 859 personnes, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (64,7 % ayant un emploi et 10,8 % de chômeurs) et 24,4 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 12]. Elle compte 490 emplois en 2018, contre 547 en 2013 et 524 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 231, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,3 %[I 13].

Sur ces 1 231 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 243 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 89,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % les transports en commun, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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222 établissements[Note 11] sont implantés à Montfrin au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 222 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
20 9 % (7,9 %)
Construction 52 23,4 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
62 27,9 % (30 %)
Information et communication 2 0,9 % (2,2 %)
Activités financières et d'assurance 5 2,3 % (3 %)
Activités immobilières 8 3,6 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
29 13,1 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
24 10,8 % (13,5 %)
Autres activités de services 20 9 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,9 % du nombre total d'établissements de la commune (62 sur les 222 entreprises implantées à Montfrin), contre 30 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[46] :

  • SAS Douarou, supermarchés (10 587 k€)
  • Vignerons de Montfrin, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (1 057 k€)
  • Société de gestion des établissements Garcia, commerce et réparation de motocycles (702 k€)
  • See Voros, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (197 k€)
  • Cnr. Montfrinoise, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (179 k€)

Commerces, artisanat et industrie

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Commerces et services de proximité[47].

Outre la richesse de son patrimoine, la proximité du Pont du Gard (10 km des villes de Nîmes et d’Avignon (moins de 20 km) lui offre des atouts touristiques supplémentaires au sein du PETR (Pôle d'Équilibre Territorial et Rural)[48].

Agriculture

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La commune est dans la vallée du Rhône, une petite région agricole occupant la frange est du département du Gard[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 137 82 51 41
SAU[Note 14] (ha) 1 378 1 626 1 011 914

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 137 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 82 en 2000 puis à 51 en 2010[51] et enfin à 41 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 70 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[52],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 378 ha en 1988 à 914 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 10 à 22 ha[51].

Spécialités

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  • Le rucher de Montagnac[53].
  • Société coopérative agricole cave intercommunale des vignerons de Montfrin, Meynes, Comps et Théziers[54] Vins Côtes-du-rhône (AOC).
  • Le Mammouth (squelette) à la cave vinicole[55].
  • Moulin à vent[56].

Culture locale et patrimoine

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Édifices et patrimoine civils

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  • Château Logo monument historique Classé MH (1985)[57] : Il y eut en premier lieu un château ou une tour romaine. Le château lui-même fut construit en plusieurs étapes, la dernière étant réalisée au XVIIe siècle. Les jardins sont attribués à Jules Hardouin-Mansard. Il a appartenu ensuite à la famille des marquis de Monteynard. Il fut acquis par Robert Servan-Schreiber en 1925. Il a appartenu ensuite à sa fille, Marie-Claire Mendès France, puis à son petit-fils, Jean-René Claret de Fleurieu, oléiculteur, qui produit notamment une huile d'olive appelée Château de Montfrin. Ce château a également servi de centre de commandement pour la Luftwaffe lors de la Seconde Guerre mondiale. C'était le quartier général de la deuxième division aérienne. Deux généraux s'y sont succédé : Johannes Fink, de au , et ensuite, Hans Korte jusqu'au . Le village fut libéré par les chars de la 1re Armée française du maréchal de Lattre de Tassigny, en l'occurrence un peloton du 5e régiment des Chasseurs d'Afrique commandé par Jean-Claude Servan-Schreiber, fils de Robert.
  • Hôtel de Calvières Logo monument historique Inscrit MH (2003)[58].
  • Inventaire du petit patrimoine[59] :
    • Croix de chemins,
    • Croix de cimetière,
    • Oratoire,
    • Fontaines et abreuvoirs,
  • Monuments commémoratifs :
    • Édicule commémoratif de la République dédié à Marianne
    • Édicule commémoratif d'une personnalité dédié au Docteur Larrey,
    • Édicule commémoratif dit(e) : Robert Servan Schreiber (1880-1966),
    • Monument aux morts[60].

Édifices religieux

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Patrimoine culturel

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Patrimoine environnemental

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Personnalités liées à la commune

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  • Jean Mouton, ancien président du conseil général et député de la Drôme de 1986 à 1988, qui est né à Montfrin en 1929.
  • Ernest Matet, président du Conseil général du Gard. Il fut maire de Montfrin.
  • Laurence Chanfro, plasticienne (1959-2012).
  • Jean-Claude Servan-Schreiber (1918-2018), y est inhumé.
  • Gabriel Garrido, flûtiste, chef d'orchestre et musicologue spécialisé en musique ancienne, réside à Montfrin.

Héraldique

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Blason de Montfrin Blason
D'or au monde d'azur, cintré et croisé d'argent, soutenu de l'inscription MONSFRINUS en lettres capitales de sable[66],[67].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Montfrin, il y a cinq villes-centres (Comps, Meynes, Montfrin, Remoulins, Sernhac) et une commune de banlieue.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Montfrin », sur insee.fr (consulté le ).
  3. Insee, « Métadonnées de la commune de Montfrin ».
  4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Montfrin » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Montfrin » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Montfrin » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Montfrin » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources

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  1. L'atlas des paysages du Languedoc-Roussillon : Les paysages et la géologie
  2. Ouvrage lié à l'alimentation en eau dit(e) : Guérite
  3. L'eau dans la commune
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Montfrin et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  8. « Station Météo-France « Nîmes-Courbessac » (commune de Nîmes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. Transports à la demande Communauté de Communes du Pont du Gard
  11. Réseau de bus départemental Edgard
  12. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
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  14. « les « Costières de Nimes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montfrin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montfrin », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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  27. Article R214-112 du code de l’environnement
  28. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  29. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 365, t. 2
  30. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 141
  31. « Montfrin : le conseil municipal s'est installé », Midi Libre,‎ (lire en ligne).
  32. Les comptes de la commune
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. École maternelle dite Suzanne Crémieux
  38. École élémentaire dite Armand Peyrot
  39. Écoles
  40. Établissements d'enseignements
  41. Professionnels de santé
  42. Église: Notre Dame de Malpas
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  44. Édifice sportif (Arènes)
  45. Correspondant Midi-Libre
  46. « Entreprises à Montfrin », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  47. Commerces et services de proximité
  48. Pays Uzège / Pont-du-Gard
  49. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  51. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Montfrin - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  53. Le Rucher Troglodyte de Montfrin
  54. Cave des Vignerons de Montfrin
  55. Cave de Montfrin - Histoires Naturelles
  56. Moulin à vent
  57. Notice no PA00103083, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. Notice no PA30000049, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. Inventaire du petit patrimoine du Pays Uzège-Pont du Gard Montfrin
  60. Inventaire du petit patrimoine du Pays Uzège-Pont du Gard, Monument aux morts de la guerre de 14-18
  61. Notice no PA00103084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. Les horloges de l'église, pp. 13-14
  63. Usine d'horlogerie Arsène Cretin-l'Ange, actuellement usine de matériel d'équipement industriel des Anciens Ets Charles Peccaud
  64. Notice no PA30000048, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. « La commanderie de Montfrin », sur persee.fr (consulté le ).
  66. L'armorial des villes et des villages de France
  67. Site officiel de la ville de Montfrin