Lépin-le-Lac
Lépin-le-Lac | |||||
Le chef-lieu sur les rives du lac d'Aiguebelette. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Chambéry | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Lac d'Aiguebelette | ||||
Maire Mandat |
Serge Grollier 2020-2026 |
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Code postal | 73610 | ||||
Code commune | 73145 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lépinois | ||||
Population municipale |
465 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 91 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 32′ 10″ nord, 5° 47′ 43″ est | ||||
Altitude | Min. 373 m Max. 1 363 m |
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Superficie | 5,11 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Le Pont-de-Beauvoisin (banlieue) |
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Aire d'attraction | Chambéry (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | canton du Pont-de-Beauvoisin | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Savoie (département)
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Lépin-le-Lac est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Lépin-le-Lac est situé dans le sud-est de la France, à l'ouest du département de la Savoie, sur la rive sud du lac d'Aiguebelette, à l'ouest de la chaîne de l'Épine. La commune fait partie de la petite région naturelle de l'Avant-Pays savoyard.
Le ruisseau du Thiez (ou Thiers), dans la partie nord de la commune, marque la limite avec la commune de Saint-Alban-de-Montbel, jusqu'au lieu-dit Le Gué des Planches[1]. Ce lieu marque le point de jonction de ces deux communes mais aussi de La Bridoire et d'Attignat-Oncin[1].
La commune est traversée par deux autres ruisseaux, le ruisseau du Bourg, qui se jette dans le lac au niveau du Grand-Pré, et plus à l'est celui de La Tuilerie[1].
Hameaux, lieux dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune se compose d'un chef-lieu et de plusieurs hameaux ou lieux-dits, pour certains inhabités[2].
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Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par une gare ferroviaire, la gare de Lépin-le-Lac - La Bauche (La Bauche étant une commune située au sud de Lépin-le-Lac) établie sur la ligne de Saint-André-le-Gaz à Chambéry. La gare est desservie par les TER Rhône-Alpes circulant entre Lyon et Chambéry (parfois prolongés vers Modane et Bourg-Saint-Maurice).
Un accès rapide à l'autoroute A43 est aussi disponible à une dizaine de kilomètres, au nord du lac d'Aiguebelette.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 328 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Novalaise », sur la commune de Novalaise à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 443,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lépin-le-Lac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine du Pont-de-Beauvoisin[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant treize communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,1 %), forêts (35,1 %), prairies (14,6 %), eaux continentales[Note 4] (12,3 %), zones urbanisées (3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune, Lépin-le-Lac, est fixé par décret le [15]. Le syntagme Lac est lié au lac d'Aiguebelette baigne la limite nord du territoire.
Les formes anciennes observées sont Ecclesia de Lepino en 1140, Lespenes en 1278, Prioratus de Lepins en 1308, Parrochia de Lespins au XIVe siècle, L’Epin en 1729, Lepin en 1732[2],[16],[17].
Le toponyme est tiré du latin spinus[16], « prunier sauvage », qui a dérivé en Lespin, Lépin, L'Epin, avec agglutination de l'article[2],[17].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Lepin, selon la graphie de Conflans[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Période antique
[modifier | modifier le code]Lépin a été un site antique. Samuel Guichenon (XVIIe siècle) signalait l'existence d'une « inscription dédiée à la victoire d'Auguste », que reprennent les auteurs de l'Histoire des communes savoyardes (1982), sans autres précisions[19]. Un sarcophage, comportant une inscription gréco-latine, a été retrouvée sur la Grande Île, de même que les traces d'un de ce qui pourrait être un temple[19],[20]. Ce dernier a été découvert lors de la restauration de la chapelle Saint-Vincent[20]. Enfin, au lieu-dit Tuillière, des restes de tuiles gallo-romaines ont été retrouvés[19].
Plus récemment, une étude a permis de voir dans la croix, installée à la sortie ouest du bourg, l'emplacement d'une borne romaine, permettant d'indiquer la position du tronçon de l'ancienne voie romaine permettant le passage à travers l'Avant-Pays savoyard, sur l'axe Mediolanum—Vienna (Milan–Vienne)[20].
Période médiévale
[modifier | modifier le code]La première mention de l'église — Ecclesia de Lepino — remonte à l'année 1140, d'après la Gallia Christiana[21],[16]. L'église du village est dédiée à la Sainte Trinité. Elle est édifiée dans un style de « premier art roman méditerranéen »[20].
La seigneurie de Lépin est donnée en apanage en 1220 par le comte Thomas Ier de Savoie à sa fille Béatrice[22]. En 1260, elle passe aux Hospitaliers de ordre de Saint-Jean de Jérusalem[22] (cf. ci-après).
À partir de l'année 1630, la seigneurie appartient à la famille Perrin, qui possède également des terres et des propriétés dans la paroisse[23].
L'ancienne paroisse de Gresin appartient, au XVIIIe siècle, à celle de Lépin, jusqu'en 1837[15].
Les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]En 1260, la seigneurie est donnée à la commanderie des Échelles des Hospitaliers de ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui la possède jusqu'à la Révolution[22].
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]Au cours de la période d'occupation du duché de Savoie par les troupes révolutionnaires françaises, à la suite du rattachement de 1792, la commune appartient au canton de Pont-de-Beauvoisin, au sein du département du Mont-Blanc[24].
Le « château de Lépin » (XIXe siècle) est bâti vers 1760 par Noble Charles Perrin, issu d'une vieille famille de la bourgeoisie chambérienne[22], et sénateur au Sénat de Savoie[23]. Les biens de Louis Bonaventure Perrin, comte de Lépin, fils de Charles Perrin, sont confisqués comme biens d'émigré, en 1796[22], et rachetés par Benoit Burdin, homme d'affaires de ce dernier[23]. Le comte de Lépin les achète en 1804, après la loi d'amnistie[22],[23]. Après sa mort, le château et les terres passèrent à son petit-fils, Tancrède de Rivérieulx de Chambost dit le comte de Lépin[25],[26] qui restaura le château en 1882[22],[23]. Son fils, Albert de Rivérieulx de Chambost de Lépin, en hérita[23].
Durant la Seconde Guerre mondiale la commune, située en zone non occupée, a été le théâtre d'un évènement marquant avec l'assignation à résidence de nombreuses familles juives étrangères dans les structures hôtelières de l'époque. 70 lits en hôtel avaient été réservés au regroupement des juifs étrangers par la Préfecture de Savoie. Le ces familles ont subi une rafle organisée par la police française sous les ordres du gouvernement de Vichy. Plusieurs d'entre elles ont été déportées et assassinées à Auschwitz. Cette rafle massive, organisée dans toute la zone libre, a été préparée par le secrétaire général de la police René Bousquet, en collaboration avec la direction de la police nationale et les préfectures régionales et départementales. Les communes voisines d'Aiguebelette-le-Lac et Saint-Alban-de-Montbel ont, elles aussi, été concernées par cette politique de regroupement des juifs étrangers en vue de leur déportation[27]. Le 24 mai 1944, le cheminot Georges Besson (surnommée Théo), membre des Forces Françaises de l'Intérieur et auteur de nombreux sabotages sur la région lyonnaise, est arrêté en gare de Lépin-le-Lac La Bauche ; conduit à la prison de Montluc, il disparut sans laisser de trace[28].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Lépinois[15].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2021, la commune comptait 465 habitants[Note 5], en évolution de +2,42 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune de Lépin-le-Lac se situe dans l'académie de Grenoble. À la rentrée 2017-2018, elle administre une école élémentaire publique qui accueille 20 élèves[33].
Médias
[modifier | modifier le code]Presse écrite
[modifier | modifier le code]La presse écrite locale est représentée par la presse quotidienne ou hebdomadaire régionale, notamment le Dauphiné libéré, avec son édition du Chartreuse et de Chambéry, l’Essor savoyard ou encore la Vie Nouvelle.
Radio et télévision
[modifier | modifier le code]La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie ainsi que par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, Radio ISA et Radio Couleur Chartreuse. La chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie, notamment l'émission « La Place du village ». France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.
Économie
[modifier | modifier le code]Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[34],[35].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]L'église d'origine romane, avec une abside entourée de deux absidioles, a été entièrement restaurée en 1890 d'après les plans de M. Latoud, architecte à Chambéry[36].
Près de l'église, le prieuré est un bâtiment assez bien conservé qui dépendait de l'abbaye de Saint-Chef dès 1275[36].
Le « château de Lépin » est édifié vers 1760 par Noble Charles Perrin, issu d'une vieille famille implantée dans la commune au siècle suivant et encore en possession des descendants de la famille dans les années 1980[22],[23].
Festivités
[modifier | modifier le code]En 2021, le salon du chocolat vertueux Croq Ethiq, manifestation unique en France rassemblant les rares chocolatiers travaillant de la plantation à la tablette et développant des projets solidaires avec les planteurs de cacao est créé sur la commune[37]. A chaque édition, un pays producteur de cacao est mis à l'honneur et des acteurs de la filière cacao durable sont invités pour l'occasion[38]. Après 3 éditions, la manifestation n'est pas reconduite en 2023.
Cinéma
[modifier | modifier le code]- De nombreuses scènes du film Tristesse Club ont été tournées sur le lac d'Aiguebelette et à l'ancien hôtel rond, qui figure même sur l'affiche[39].
- La plupart des scènes de crépuscule du clip de Célébration 2 de Luv Resval & Alkpote (extrait de la B.O. inspirée du film En Passant Pécho) se déroulent sur le lac, au large de la plage communale[40].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Louis Bonaventure Perrin de Lépin, comte de Lépin (1768-1842), chevalier de l'Ordre des Saints-Maurice-et-Lazare[41] ;
- plusieurs membres de la famille de Chambost (propriétaire du lac d'Aiguebelette et jadis du château Perrin) et quelques représentants de la branche de Chambost de Lépin ;
- Claude Burdin, natif de Lépin-le-Lac, (1788-1873), ancien élève de l'École polytechnique (X 1807), ingénieur des mines, inventeur de la turbine[42] ;
- Claude Martin (1826-1906), natif, émigré en Argentine et revenu à Chambéry après avoir fait fortune dans l'élevage[43]. La salle communale a possédé un portrait de celui qui porta le « titre de bienfaiteur des pauvres de Lépin », de même qu'une rue de Chambéry porte son nom[44].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 295-298. ([PDF] lire en ligne)
Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site du Syndicat Mixte de l'Avant Pays Savoyard
- Site de l'Office de tourisme Pays du Lac d’Aiguebelette
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine du Pont-de-Beauvoisin comprend cinq villes-centres (Aoste, Le Pont-de-Beauvoisin, Domessin, Le Pont-de-Beauvoisin, Saint-Genix-les-Villages) et huit communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
[modifier | modifier le code]- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 295-296, « Situation ».
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 295, Présentation.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lépin-le-Lac et Novalaise », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Novalaise », sur la commune de Novalaise - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Novalaise », sur la commune de Novalaise - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 du Le Pont-de-Beauvoisin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lépin-le-Lac ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Lépin-le-Lac », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
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- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 21Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 296, « Archéologie ».
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- « La voie impériale romaine de Labiscone au col Saint-Michel », juin 2017, 14 pages ([PDF] lecture en ligne ou sur le site docplayer.fr).
- Gallia Christiana, tome XV, 1860, province de Besançon, preuve 307 lire en ligne).
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 296-297, « La seigneurie ».
- Ph. Falcoz, « Notice sur Aiguebelette et son lac », Mémoires et documents publiés par la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 2e série, t. 58, , p. 195-196, « Le Château de Lépin » (lire en ligne).
- Jules-Joseph Vernier, Étude historique et géographique sur la Savoie, Paris, Le Livre d'Histoire - Res Universis, (réimpr. 1993) (1re éd. 1896), 137 p. (ISBN 978-2-7428-0039-1 et 2-7428-0039-5, ISSN 0993-7129), p. 96-99.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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- [PDF] Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46.
- Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 297, « L'église et son prieuré ».
- « ADICAE et son salon du chocolat vertueux reviennent ce week-end », Le Dauphiné Libéré, (lire en ligne)
- Savoie News, « reportage sur la 2ème édition du salon du chocolat Croq Ethiq », sur YouTube, (consulté le ).
- « Dans les coulisses de "Tristesse Club" », sur France Bleue, .
- Kore, « clip "Célébration II" de Luv Resval & Alkpote », .
- Amédée de Foras, Armorial et Nobiliaire de l'Ancien Duché de Savoie (tome 4), Grenoble, Allier Frères, , p. 381.
- Notice biographique de Claude Burdin sur le site de l'école polytechnique.
- Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3), p. 364.
- Jean Exertier, « Histoire de nos rues... : Claude Martin (1826-1906) », Vieux Chambéry, no XV, , p. 45-81 (lire en ligne).