Aller au contenu

Hellfest

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 9 mars 2014 à 15:19 et modifiée en dernier par 2a02:2788:74:860:c8a0:6605:5a4c:db71 (discuter). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Hellfest Summer Open Air
Hellfest
Image illustrative de l’article Hellfest
Scènes principales du festival en 2008.

Genre Metal, Hard rock, Punk rock, Punk hardcore, Grindcore, Stoner, Thrash metal, Death metal, Glam metal, Black metal
Lieu Clisson Drapeau de la France France
Coordonnées 47° 05′ 16″ nord, 1° 16′ 57″ ouest
Période Avant dernier week-end de juin. Autour de la Fête de la musique
Scènes Mainstage 01
Mainstage 02
The Altar
The Temple
The Warzone
The Valley
Metalcorner
Capacité Plus de 112 000 festivaliers sur 3 jours
Date de création 2006
Fondateurs Benjamin Barbaud et Yoann Le Nevé
Organisateurs Hellfest Productions
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
(Voir situation sur carte : Loire-Atlantique)
Hellfest Summer Open Air
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Hellfest Summer Open Air

Le Hellfest, appelé aussi Hellfest Summer Open Air, est un festival de musique français qui a eu lieu pour la première fois en 2006. Une partie de l'équipe organisatrice est issue du festival Furyfest. Le festival dure trois jours en juin et a lieu tous les ans en Loire-Atlantique à Clisson. À l'image du Wacken Open Air allemand, il accueille un très grand nombre de groupes essentiellement à racine metal et, dans une moindre mesure, punk hardcore. La dénomination du festival a été choisie en référence au festival américain punk et hardcore du même nom. Avec plusieurs dizaines de milliers de festivaliers et le passage de groupes cultes de renommée internationale comme Alice Cooper, Kiss, Motörhead, Ozzy Osbourne, Iggy & the Stooges et de nombreux autres, le Hellfest s'est imposé comme l'un des principaux festivals de musique européens et comme l'un des principaux évènements culturels en France.

Historique

La première édition du festival a lieu les 22, 23 et . Ce festival est la suite donnée par Ben Barbaud à sa première expérience en la matière qui finit par une escroquerie : le Furyfest[1].

Cette première édition ne rassemble que 72 groupes sur deux scènes, pour atteindre 167, sur 6 scènes principales et une scène "tremplin", devant 112 000 spectateurs, en 2012.

L'édition 2008 amène pour la première fois une scission entre metal et hardcore. La partie hardcore devait se dérouler en août, mais a été annulée.

En 2012, le festival se déplace, suite à la construction d'un lycée sur le site. Après accord, le festival se déroule toujours dans la même commune, mais 400 mètres plus loin[2].

Lieu et accès

Le festival se situe dans la cité médiévale de Clisson dans le sud de la Loire Atlantique à l'emplacement de l'actuel lycée Sud-Loire, au Val-de-Moine. Depuis 2012, il est implanté au Champ-Louet, où se trouvaient le camping et le Metalcorner des éditions 2008 à 2011, à côté de la discothèque Le Louxor.

Le festival est desservi depuis les gares de Nantes et Clisson par des navettes mises en place par l'organisation. Par la route, on y accède par la 4 voies de Nantes à Cholet, la N249/E62, à la sortie direction Mouzillon-Clisson, par la D763

Un camping est proposé aux festivaliers dans un pré à proximité des scènes. La programmation très éclectique conduit à de nombreuses rencontres entre amateurs de musique underground. Sont à disposition des douches, W.C., D.A.B., bars, restaurants, boutiques…

Portée du festival

L’édition 2008 du festival affiche une fréquentation record, de près de 45 000 personnes. En l’espace de 3 ans, depuis sa fondation, le Hellfest devient le plus gros festival des Pays de la Loire, et le plus international de France, avec près de 50 nationalités présentes, et 35 % d’étrangers.

L’année 2009 poursuit le succès du festival, avec une affluence de plus de 60 000 personnes sur trois jours.

Parallèlement aux polémiques entretenues sur le festival, la presse généraliste couvre le festival, à partir de 2010.

En 2010, ce sont plus de 72 000 personnes[3] (dont 67 000 payantes) qui se retrouvent pour ce festival, les organisateurs annonçant avoir vendu tous les billets le deuxième jour du festival[4].

L'édition 2011 marque une progression importante pour le Hellfest puisque c'est la première à afficher complet avant le festival  : 80 000 personnes, ce qui entraîne l'absence de ventes de tickets sur place[5]. Cette édition donne lieu à un reportage intitulé Le metal expliqué à ma mère, animé par Thomas VDB et diffusé par France 4.

En 2012, 115 000 festivaliers sont présents sur les 3 jours[6]. L'édition 2012 est le sujet d'un reportage sur Arte et le lieu de tournage du film, coscénarisé par Alexandre Astier, Pop Redemption[7], où les Dead MaKabés (Julien Doré, Jonathan Cohen, Grégory Gadebois et Yacine Belhousse) ont joué le titre du film, en fin de journée, après Guns N' Roses, devant environ 2 000 personnes[8].

Polémiques

Accusations de satanisme

Depuis l'édition 2008, un collectif nommé Bien Vivre à Clisson… sans Hellfest[9] a vu le jour et a essayé de faire définitivement annuler le festival, au nom de « la sauvegarde de l’ordre public et la protection de la jeunesse »[10]. Une plainte a été déposée contre eux pour calomnie et diffamation. Un certain nombre d'autres associations catholiques, notamment Civitas[11],[12] et/ou royalistes/d'extrême-droite, comme le Cercle des Trois Provinces[13], au nom de principes de tolérance[14], critiquent la « christianophobie »[15],[16] des groupes satanistes invités, et dénoncent l'influence néfaste que la musique metal aurait sur les jeunes[17],[18]. La Confédération nationale des associations familiales catholiques tient le même type de propos[19],[20] et décide, le 9 juin 2010, d’assigner en référé les organisateurs du Hellfest au tribunal de Nantes[21]. Elle demande l'interdiction du festival aux mineurs et la connaissance des textes des chansons qui seront interprétées. Le tribunal rend sa décision le 14 juin : leur requête est jugée irrecevable[22].

D'autres personnalités catholiques attaquèrent le festival, comme l'évêque de Nantes Georges Soubrier, qui fustigea les noms agressifs (envers la foi chrétienne) de certains groupes de l'édition 2008[23], ou encore le père Benoît Domergue, qui donne de nombreuses conférences consacrées à l'influence du satanisme sur les jeunes (il a écrit sur le sujet), et qui condamna la présence de groupes satanistes au festival et les "provocations anti-chrétiennes"[24],[25].

Mais d'autres prirent la défense du festival, à l'instar de Robert Culat, vicaire à Carpentras et grand amateur de metal[26], se rendant régulièrement au festival[27],[28], qui dénonça cette accusation de « satanisme » portée contre le metal, allant même jusqu'à la renverser : il retrouve dans la communauté des fans des valeurs authentiquement chrétiennes[29], et s'est érigé contre la censure du festival et même des groupes jugés extrémistes[29].

De fait, aucun scandale ou incident lié à la présence de groupes (ou de membres du public) « satanistes » n'a eu lieu depuis la première édition du festival[30],[31], l'ambiance du festival est jugée très bonne, le public « inoffensif »[32] et finalement apprécié par les habitants de Clisson[33], après les craintes lors des premières éditions. Il y eut en revanche des alertes à la bombe, notamment lors de l'édition 2012[34].

Accusations de nazisme

En 2011, le groupe Satanic Warmaster est retiré de l'affiche par les organisateurs en raison de leur appartenance supposée à la scène NSBM. En mars 2011, le maire de Clisson annonce le retrait du groupe Anal Cunt de l'affiche en accord avec les organisateurs à la suite de la plainte de la Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes concernant le titre de leur morceau "Hitler Was a Sensitive Man". De même, l'affiche de l'édition 2012 du festival créa la polémique, à cause de son caractère martial, et la forme des casques rappelant ceux de l'armée du IIIe Reich[35]. À l'occasion de cette même édition, en avril 2012, des associations et des personnalités catholiques (tels que le Collectif Provocs Hellfest ça suffit! ou l'abbé Pierre-Hervé Grosjean[36]) critiquèrent vivement la présence dans la programmation du groupe norvégien de black metal Taake, dont le chanteur avait fait l'objet de polémiques quelques mois plus tôt dans son pays d'origine, en raison de propos islamophobes et d'une photographie prise lors d'un concert, où il arborait un tatouage de croix gammée sur son torse [37].

Lobbying et pression contre les sponsors

En juin 2009, à la suite d'un appel des Jeunes indépendants réclamant l'arrêt des subventions publiques allouées au festival, une campagne de lobbying de groupes religieux et politiques à destination des sponsors et des collectivités locales demanda leur retrait du festival. Coca-Cola annonça quelques jours après la fin de l'édition 2009 qu'il ne soutiendra plus l'évènement[38]. Dans les faits, la multinationale soutiendra l'édition 2010 sous les couleurs de sa boisson énergisante Monster Energy.

Intervention de personnalités politiques

En mars 2010, durant un meeting de soutien au candidat UMP en Pays-en-Loire et en présence du premier ministre François Fillon, Philippe de Villiers attaqua le festival avec ces mots : « Nos valeurs ne sont pas celles qui poussent le conseil régional actuel (PS) à financer un festival sataniste ! »[39].

Le 17 mars 2010, Christine Boutin dénigre le Hellfest dans une lettre ouverte à l'intention du PDG de Kronenbourg (partenaire du festival), lui demandant « de cesser de financer ce festival ». Pour cela, elle dénonce « un festival qui promeut et véhicule la culture de mort »[40] pouvant « influencer négativement des jeunes en fragilités psychologiques au point de les amener à poser des actes graves et violents »[41].

Lors de la session de questions au gouvernement du 30 mars 2010, le député Patrick Roy, avec un exemplaire de Rock Hard à la main, dénonce, sous les huées générales des députés de l'UMP (et notamment de Patrick Balkany), les propos de Philippe de Villiers et de Christine Boutin avant d'interroger le ministre de la culture Frédéric Mitterrand sur cette question. Celui-ci incite les détracteurs du festival à « raison garder » et affirme que le festival aura bien lieu malgré les protestations conservatrices[42].

Collectif de riverains

En 2012, une association regroupant des riverains a été créée dans le but de protester contre les dérangements occasionnés par le festival, en particulier par rapport aux nuisances sonores et à des questions de salubrité[43].

Paradise Fest

L'association clissonnaise Val de Clisson expo a créé une réunion humoristique pour pasticher le festival : le Paradise Fest. Sans intention anti-Hellfest, les organisateurs ont fait une parade, déguisés en anges et en diables, afin de montrer que l'on peut aussi faire la fête en chantant des cantiques, sans pour autant faire partie des détracteurs de l'événement, pour « célébrer l'Ange Vin, Saint-(E)millions ou encore Saint-Gapour ». Ils invitent les participants, le , à la prière dans plusieurs chapelles de la commune[44].

Provocation anti-Hellfest

Le , le collectif Provocs Hellfest, ça suffit !, groupuscule intégriste religieux, publie, sur son blog, une lettre signée par le maire de Clisson, Mr Coudrais, avec l'en-tête de la mairie  : « En tant que maire et socialiste, je ne peux qu’être fier de cette initiative qui vient comme en écho au Hellfest dans une démarche constructive pour le bien commun et porteuse de valeurs positives fortes que sont le sarcasme, la moquerie et la raillerie, surtout quand elles visent la religion chrétienne ! Sachez le bien, chers Clissonnais, je suis heureux de ce « Paradise Fest » au cours duquel le culte catholique et ses représentants feront l’objet de moqueries et de dérision. C’est ainsi en effet que je conçois le bien vivre ensemble et le respect[45] ». Mr le Maire porte plainte pour usurpation d'identité[46], disant  : « Il n'est pas question d'humour ici, mais d'usurpation d'identité. C'est de l'irrespect total sur ma personne et une volonté politique affichée en attaquant aussi bien la Ville que les institutions partenaires comme la Région ou le Département. Je vais voir dès demain les suites à donner à cette affaire, mais cela ne restera pas en l'état »[47]. Une semaine plus tard, le collectif corrige sa publication en mentionnant que ce n'est que de l'humour[48].

Propos diffamatoires

L'émission Zone interdite, dans un reportage signé Matchpoint productions et intitulé Invasion de touristes : quand les habitants se révoltent ![49], du , dresse le portrait des metalleux qui participent au festival. Ces propos sont jugés diffamatoires par les fans de metal, décrits comme « des touristes très spéciaux …/… aux looks parfois effrayants …/… souvent alcoolisés », et qui, d'après une Clissonnaise interrogée, « ne vont pas dans les hôtels, les restaurants, qui ne vont pas voir notre château ».

Les journalistes décrivent ainsi les festivaliers et leur comportement : « Des hordes de zombies gothiques déferlent sur la ville. Ils se disent hard-rockeurs, metalleux, bikers ou satanistes ».

Deux pétitions[50], rassemblées en une[51],[52], demandant à M6 de faire des excuses publiques a été signée par près de 40 000 personnes[53].

Le , Hélène Bodenez[54], catholique convaincue, lance à son tour une contre-pétition[55]. Elle motive les futurs signataires par « Le festival "Hellfest" "Fête de l'Enfer" n'est pas comme un autre, en affichant ses provocations satanistes. Il contrevient au 1e article de la Constitution qui stipule que la République française respecte toutes les croyances. Ce festival attaque les croyants, en particulier la croix des catholiques qui apparaît enflammée et renversée sur scène. "Zone interdite" offre aux spectateurs un reportage édifiant, sur les pratiques en place : riverains obligés de partir de chez eux, agressés par les cris et les gestes des festivaliers, par le bruit des baffles, par des nuisances de tous ordres et que les images ont parfaitement montrés. Jusqu'aux gendarmes qui refusent de verbaliser[56] ». Au , sa pétition n'a pas reçu les 10 000 signatures espérées avant la diffusion d'un nouveau sujet de l'émission[55].

Malgré plus de 50 000 signatures[51], M6 a refusé de faire des excuses, disant, pour sa défense, sur son site officiel[57], qu'« il nous a semblé intéressant d'aborder le Hellfest qui réunit chaque année 115 000 festivaliers sur 3 jours, et engendre de nombreuses protestations (association de riverains contre les dérangements occasionnés par le festival, lobbying, etc …). Ce sujet ne cherche en rien à dénigrer les fans de metal mais met en évidence la perception qu'en ont certains habitants de la région[58] ».

Éditions du Hellfest

As I Lay Dying, en 2006

23, 24, 25 juin.

La prévente commence au mois de mai.

Têtes d'affiches : Agnostic Front, Arch Enemy, Celtic Frost, Dead Kennedys, Dead To Fall, The Haunted, Motörhead, Obituary, Opeth, Saxon, Soulfly, Zyklon.

Annulations : KoЯn.

Epica, Mainstage, 2007

22, 23, 24 juin.

L'organisation de la seconde édition du festival commence, dès le , avec une prévente de billets et une programmation indiquant une dizaine de groupes. Des conditions climatiques difficiles. Quatre-vingt-cinq groupes sont à l'affiche.

Têtes d'affiches : 1349, Blind Guardian, Cannibal Corpse, Coldworker, Defdump, Dream Theater, Emperor, Enslaved, Hacride, Immortal, Machine Head, Moonspell, Neurosis, Orthodox, Slayer, Sworn Enemy, Therion, Type O Negative.

Annulations : Comeback Kid, KoЯn, Lamb of God, Mayhem, Parkway Drive.

Venom, Mainstage, 2008

20, 21, 22 juin.

Les tickets sont mis en vente à partir du .

Cette édition devait être scindée en deux festivals, mais le second est annulé. Suite aux problèmes de logistique de 2007, d'importants investissement ont lieu, pour un meilleur accueil du public et des artistes. Les festivaliers se déclarent plus satisfaits au niveau accueil que l'année précédente. Cette année le Hellfest s'associe à Salomon Hazot, producteur français de Metallica, Iron Maiden et Slayer.

Têtes d'affiches : At The Gates, Belphegor, Bleeding Through, Cavalera Conspiracy, Carcass, Cult of Luna, Envy, Gamma Ray, Helloween, Impaled Nazarene, In Flames, Morbid Angel, Motörhead, Ministry, Slayer, Testament, Throwdown, Venom.

Annulations : Hardcore Edition, tendance hardcore, aurait dû se dérouler du 22 au  ; 7 Seconds, Angra, Coalesce, HIMSA, Red Sparowes, Soilwork.

Nashville Pussy, Maintage 01, en 2009

19, 20 et 21 juin.

Le site du Hellfest s'agrandit pour accueillir jusqu'à 16 000 personnes par jour et une quatrième scène (Punk, Hardcore et Gothique) est montée.

Une partie de la programmation de l'édition 2009 est dévoilée le [59]. Les autres groupes sont annoncés le , au Hard Rock Cafe de Paris.

Têtes d'affiches : Amon Amarth, Anthrax, Brutal Truth, Cro-Mags, Dream Theater, Electric Wizard, Enslaved, God Seed (ex-Gorgoroth, Heaven & Hell, Hatebreed, Jarboe, Killing Joke, Machine Head, Manowar, Marilyn Manson, Moonspell, Mötley Crüe, The Misfits, Parkway Drive, Repulsion, Sacred Reich, Saint Vitus, Suicidal Tendencies, Vision of Disorder.

Annulations : Black Stone Cherry, Bloodclot, Bring Me The Horizon, Deicide, Edguy, Kingdom of Sorrow, KMFDM, Nachtmystium, Slapshot, Suicide Silence.

Alice Cooper, Mainstage 01, 2010.

18, 19 et 20 juin.

Cette édition fait parler d'elle avec l'annonce des groupes Immortal, Kiss, Anvil, Slayer, Motörhead, Deftones, Alice Cooper, Fear Factory et Twisted Sister. Le , la liste complète des groupes a été annoncée[60]. Le 30 mars, Slash est confirmé. Le 26 avril, le running-order (ordre de passage) est publié[61].

Têtes d'affiches : Alice Cooper, Agnostic Front, Arch Enemy, Biohazard, Bloodbath, Carcass, The Devil's Blood, The Dillinger Escape Plan, Exodus, Fear Factory, Fields of the Nephilim, Garcia plays Kyuss, Godflesh, Immortal, Jello Biafra and the Guantanamo School of Medicine, Kiss, Marduk, My Dying Bride, Motörhead, Nile, Sepultura, Slayer, Twisted Sister, Ulver.

Annulations : 7 Seconds, Atheist, Dying Fetus, Architects, Earth Crisis, Nachtmystium[62], Overkill[63], Ratt[64], Skarhead, Count Raven .

Dødheimsgard, Rock Hard Tent, 2011.

17, 18 et 19 juin.

Les 29 premiers groupes sont annoncés le  ; une nouvelle annonce de 35 groupes est faite le 20 novembre 2010 ; le 7 décembre, les 2 mystérieux "Xmas bands" sont dévoilés : Judas Priest (tournée d'adieu) et de Trust mais annonce, via son label, qu'il ne donnera plus de concerts « pour une durée indéterminée »[65],[66]. 50 autres groupes sont annoncés le 27 janvier[67] ,[68],[69],[70],[71].

Têtes d'affiche : Bad Brains, Black Label Society, Bolt Thrower, Converge, Coroner, Cradle of Filth, Dark Tranquility, Hawkwind, Iggy and the Stooges, In Flames, Judas Priest, Kreator, Kyuss Lives !, Mayhem, Melvins, Monster Magnet, Morbid Angel, Opeth, Ozzy Osbourne, Possessed, Rob Zombie, Scorpions, Therion, Triptykon.

Annulations[72] : Anal Cunt, Ancestors[73], Blackrain, Buzzov.En, The Damned Things[74]), Dark Tranquillity, Disturbed, Down, The Gates Of Slumber, Ken Mode[75], Lock Up, Master Of Reality, Headcharger, Satanic Warmaster, Street Dogs, Disturbed[76], Static-X, Trust[77], Unleashed, Wayne Static, Zuul FX[75].


Uriah Heep, Mainstage 01, 2012.

15, 16 et 17 juin.

Une compilation officielle sort le , en plus des playlists sur Spotify.

Cette édition se déroule sur un nouveau site, plus vaste : le Champ-Louet, là où étaient implantés le camping et le Metal Corner de 2008 à 2011. Le précédent site, le Val de Moine, ne peut plus l'accueillir car le Lycée Sud Loire est en construction là où se sont déroulés les six premières éditions. De nombreux travaux pour l'assainissement et l'aménagement ont été nécessaires pour transformer des parcelles de vigne et de champs en un lieu agréable, en partie boisé.

Le , les 44 premiers noms sont dévoilés sur le site officiel, ainsi que la confirmation des dates du festival : les 15, 16 et 17 juin 2012[78]. Le , Black Sabbath (dans sa formation de 1968) est annoncé comme première tête d'affiche. Le sont confirmés 49 autres groupes. Le , King Diamond est ajouté à l'affiche. Le , l'annonce finale est dévoilée : têtes d'affiches et autres groupes confirmés. Le , le running order est annoncé et le Metal Corner est dévoilé le .

Cette édition se compose de 7 scènes : Mainstage 01, Mainstage 02, The Altar (Death metal, Grindcore), The Temple (Black metal, Folk metal), The Warzone (Hardcore, Punk rock, Crust punk), The Valley (Doom metal, Post-hardcore, Stoner), Metal Corner (découvertes, le jeudi, et DJ, après les derniers concerts).

Têtes d'affiche : Amon Amarth, Arcturus, Behemoth, Biohazard, Cannibal Corpse, Children of Bodom, Colour Haze, Darkest Hour, The Devil's Blood, Dimmu Borgir, Dropkick Murphys, Edguy, Entombed, From Ashes Rise, Guns N' Roses, Hank 3, In Extremo, King Diamond, Lamb of God, Lynyrd Skynyrd, Machine Head, Madball, Megadeth, Mötley Crüe, Napalm Death, Obituary, The Obsessed, Ozzy Osbourne & Friends, Refused, Saint Vitus, Satyricon, Slash, Suffocation, Sunn O))), Tragedy, Within Temptation.

Annulations : All Pig Must Die, Black Sabbath, Strife, Whitechapel.

Ellips3, Metal Corner, 2013.

21, 22 et 23 juin.

Le line-up est dévoilé par une première annonce[79], puis une deuxième[80] et une troisième[81], suivies d'une annonce finale[82], par scène[83], puis la programmation du Metal Corner est annoncée[84].

Cette édition rassemble 167 groupes[85],[86],[87].

112 000 spectateurs[88],[89].

Tête d'affiches : Anti Flag, Avantasia, Atari Teenage Riot, At the Gates, Bad Religion, Bullet for My Valentine, Candlemass, Cradle Of Filth, Cult of Luna[90], Danzig (échange d'horaire et de scène, à la dernière minute, avec Ghost), Def Leppard[82],[91], God Seed, Ghost (échange d'horaire et de scène, à la dernière minute, avec Danzig), Helloween, Hypocrisy, Immortal, Kiss, Korn, Lordi[82], Manilla Road[90], Morbid Angel[82], Napalm Death[90], Neurosis, NOFX[82], Punish Yourself, Sick of It All, Six Feet Under, Sleep, Stone Sour, Swans, Volbeat, Whitesnake, ZZ Top.

Annulations : High on Fire, Master of Reality, Nachtmystium[92] ,[93],[87], The Acacia Strain, Arch Enemy[90].

20, 21 et 22 juin 2014.

Les premiers limited tickets[94] (2 500) sont mis en vente, le et sold-out peu après[95]. Un début de programmation est annoncé[96] : 1349, Annihilator[97], Behemoth, Brutality Will Prevail, Carcass, Conan, Crowbar, Dagoba, Death, Dordeduh, Downfall of Gaia, Downset, Dozer, Emperor[98], Equilibrium, First Blood, Fueled by Fire, Gehenna, Hatebreed, Iced Earth, Impaled Nazarene, In Solitude, Kataklysm, Last Resort, Loudblast, Lowrider, Mad Sin, Mars Red Sky, M.O.D., Nightmare, Powerwolf, Pungent Stench, Repulsion, Satan's Satyrs, Shining, Sólstafir, Tagada Jones, Terror, Toxic Holocaust, Trivium[99], Trollfest, Tsjuder, Ulcerate, Vreid / Windir Sognametal, Watain, Weekend Nachos, Year of the Goat et Zodiac. 120 autres groupes seront annoncés.

Aerosmith, Avenged Sevenfold, Black Sabbath, Deep Purple, Iron Maiden, Megadeth, Rob Zombie, Slayer et Status Quo sont les nouvelles têtes d'affiche annoncées en décembre[100],[101],[102].

L'organisateur du festival Ben Barbaud souligne que l'organisation du festival a évolué en 2013, par rapport aux années précédentes, du fait que les revenus des groupes dépendent de plus en plus de leur présence dans les festivals internationaux importants. Cela lui permet de construire l'affiche plus tôt, les organisateurs étant de plus en plus sollicités par les managers des groupes. Il met également en avant le côté exceptionnel de la réunion la même année de groupes à l'envergure mondiale. Il assume le fait que cela se répercute sur le prix du billet et la nécessité d'une organisation adaptée lors de l’événement pour gérer un afflux plus important de spectateurs[103],[104].

Notes et références

  1. « Hellfest. Ben Barbaud, enfant du vignoble et patron du festival », sur ouest.france.fr,
  2. « Hellfest : Clisson, la bourgade qui a adopté les metalleux », (consulté le )
  3. Site officiel du Hellfest
  4. Site officiel du Hellfest
  5. Site officiel du Hellfest
  6. « HellPresse », (consulté le )
  7. « Tournage au Hellfest », sur allocine.fr (consulté le )
  8. « L'émission du 25/05/2013 (à 2,40 min) », sur allocine.fr, (consulté le )
  9. « Communiqué de presse en date du 06 mai 2008 », Bien Vivre à Clisson ... sans Hellfest, (consulté le )
  10. Hebdo Sèvres et Maine, 8 mai 2008, p. 3.
  11. « 650.000 euros pour financer la christianophobie du Hellfest ? », Civitas, (consulté le )
  12. « Le Hellfest commence aujourd'hui mais notre mobilisation ne s'arrête pas ici », (consulté le )
  13. (en) Guibert et Sklower 2011, p. 107-108
    « There was for instance the ‘Cercle des Trois Provinces’, a Catholic association politically and ideologically rooted in the extreme-right movement. They mainly used posters and sent letters to the media and festival’s supporters. Ben Barbaud received one, in which he was told that he would have to ‘answer before God for his deeds’. These messages mixed religious texts, prophecies, prayers, as well as odd articles, for example on AIDs in Africa and the solutions recommended by Pope John Paul II (abstinence). The tracts proposed many elements typical of the rhetoric we analysed above, but in an even more extreme and caricatured way: condemnation of ‘anti-Christian racism’; of the authorities’ ‘criminal’ behaviour, in financing an evil festival in the context of a ‘multiplication of tomb desecrations in cemeteries’. »
  14. (en) Guibert et Sklower 2011, p. 112
    « Among the extremists—in this case, Catholic fundamentalists—there was the antagonistic and closed assertion of a conservative value and belief system, and among the pragmatists, the search for some sort of ‘settlement’ between the ideological systems supported by the different agents of the polemic. This meant, for the anti-Hellfest Catholics, convincing the authorities to put limits on freedom of speech in the name of tolerance (a Republican, secular value), and thus accept the censorship of violently anti-Christian bands (their political goal). »
  15. « Du 15 au 17 juin, le « Hellfest » va de nouveau appeler à la haine des chrétiens », Riposte catholique, (consulté le )
  16. Guibert et Sklower 2011, p. 105
  17. Amélie Gaultier, « Le Hellfest, pour eux c'est l'enfer », TF1 News, (consulté le )
  18. « Le Hellfest, une bonne affaire d'enfer », 20 minutes,‎ (lire en ligne)
  19. « Le tribunal de Nantes soucieux de la protection des mineurs et de la liberté d'expression », Confédération nationale des associations familiales catholiques, (consulté le )
  20. « Le festival de metal "The Hellfest" assigné par des associations catholiques », Le Point,‎ (lire en ligne)
  21. « http://www.afc-france.org/component/content/article/189-medias/904-action-en-justice-de-la-cnafc-a-loccasion-du-hellfest »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  22. « Le festival de heavy metal «Hellfest» gagne son procès », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  23. « Le festival de metal Hellfest fait réagir l'Église », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  24. François-Xavier Maigre, « A Clisson, le Hellfest continue de diviser chrétiens et « metalleux » », La Croix,‎ (lire en ligne)
    « Sur une centaine de formations, une trentaine versent clairement dans le satanisme ou dans une vision apocalyptique du monde. »
  25. Benoît Domergue, « Père Benoît Domergue : Hellfest, une assimilation dangereuse », Liberté politique, (consulté le )
    « Si l'ambiance peut paraître très bon enfant lors de ces réunions, le type de comportement adopté là-bas peut également relever de la régression. Ce festival est un vecteur médiatique, folklorique et financier pour cette culture du metal, mais il sous-tend également des provocations antichrétiennes, anti-christiques et même parfois sataniques. »
  26. Robert Culat, L’Âge du metal, Rosières-en-Haye, Camion blanc,
  27. Sylvain Morvan, « Le Père Robert Culat, un diable de curé », L'Express,‎ (lire en ligne)
  28. (en) « Robert Culat - A Metal Priest », Metal Storm, (consulté le )
  29. a et b « Qui sont les vrais satanistes aujourd'hui », Prohellfest, (consulté le )
    « Enfin une phrase du Catéchisme semble correspondre de manière précise à ce que vivent des musiciens et des fans de metal dans leur rapport ambigu (Répulsion / attraction) à la religion : « Certaines oppositions, toutefois, peuvent être plus proches d’une véritable attitude religieuse que des conformismes sans âme ». Quelquefois des paroles « blasphématoires » proférées par des athées peuvent être l’expression d’une recherche spirituelle plus ou moins consciente… »
    « Alors il semble évident que les chrétiens ont à éviter ce genre d’interventions : censurer ou faire interdire. Ils peuvent dire leur désaccord quand leur foi est ridiculisée ou injustement critiquée. Mais nous avons toujours, dans la ligne de Paul VI, à privilégier le dialogue et à respecter la liberté d’autrui même quand elle blesse profondément nos convictions. »
  30. « Hellfest : ni torture, ni massacre, Satan n'est pas content du tout ! », Rue89,‎ (lire en ligne)
  31. Alexandre Hervaud, « Hellfest, la noblesse de l’hard », Libération,‎ (lire en ligne)
  32. Guibert 2012
  33. Alexandre Hervaud, « Hellfest : Clisson, la bourgade qui a adopté les metalleux », Rue89,‎ (lire en ligne)
  34. « Hellfest. Des alertes à la bombe : l'antiterrorisme est saisi », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  35. « La provoc borderline des hard rockers du Hellfest », L'Humanité,‎ (lire en ligne)
  36. http://www.rue89.com/rue89-culture/2012/04/10/taake-le-groupe-de-metal-provoc-invite-au-hellfest-231007
  37. http://www.guardian.co.uk/music/2012/jan/13/norway-top-music-prize
  38. « Communiqué du Festival Hellfest 2009 », Prohellefest, (consulté le )
  39. « Le festival accusé de véhiculer la mort », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  40. Sébastien Marraud, « HellFest : la grande foire au metal », Sud Ouest,‎ (lire en ligne)
  41. Jean-Frédéric Tronche, « "A Clisson, même le curé aime le metal!" », Gala,‎ (lire en ligne)
  42. « Première séance du mardi 30 mars 2010 », Assemblée nationale, (consulté le )
  43. « Clisson : le collectif des riverains du Hellfest en colère », Ouest-France,
  44. « Et si la fête du paradis devenait plus populaire que le Hellfest ? », sur lhebdodesevreetmaine.fr, (consulté le )
  45. « Lettre du maire de Clisson », sur provocshellfestcasuffit.blogspot.fr, (consulté le )
  46. « Hellfest. Usurpation d'identité : le maire de Clisson porte plainte », sur presseocean.fr, (consulté le )
  47. « Il est pas frais mon poisson ? », sur vs-webzine.com, (consulté le )
  48. « Lettre du maire de Clisson (bas de page) », sur provocshellfestcasuffit.blogspot.fr, (consulté le )
  49. « Invasion de touristes : quand les habitants se révoltent ! », sur m6replay.fr, (consulté le )
  50. « Groupe M6 et Nicolas de Tavernost : Excuses publiques de la part du groupe M6 », sur change.org (consulté le )
  51. a et b « Adressée à : Nicolas de Tavernost - M6 : Excuses publiques pour les propos diffamatoires dans Zone Interdite à propos du #Hellfest, lancée sur internet », sur change.org, (consulté le )
  52. « Hellfest : les fans de metal remontés contre M6 », sur television.telerama.fr, (consulté le )
  53. « Le scandale du reportage Zone Interdite sur le Hellfest dans les médias généralistes », sur radiometal.com, (consulté le )
  54. « Signez la pétition "Non ! M6 n'a pas à s'excuser !" », sur leblogdhelenebodenez.com, (consulté le )
  55. a et b « Non, M6 n'a pas à s'excuser ! », sur change.org (consulté le )
  56. « Reportage sur le Hellfest : une catholique lance une contre-pétition », sur http://metronews.fr, (consulté le )
  57. « Hellfest : reportage de Zone interdite du 25/07/2013 », sur m6.fr (consulté le )
  58. « Polémique Zone Interdite Hellfest: M6 réagit », sur lexpress.fr, (consulté le )
  59. « Forum », sur hellfest.fr
  60. « News 153 », sur hellfest.fr
  61. « News 223 », sur hellfest.fr,
  62. « News 257 », sur hellfest.fr,
  63. « News 230 », sur hellfest.fr,
  64. « News 269 », sur hellfest.fr
  65. « Changement de programme !!! », sur hellfest.fr,
  66. « Thin Lizzy s'ajoute à l'affiche du Hellfest 2011 ! », sur hellfest.fr,
  67. « Annonce Finale 294 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hellfest.fr,
  68. « Changement de Line-Up ! », sur hellfest.fr,
  69. « Changement de Line-Up ! 359 », sur hellfest.fr,
  70. « - Site officiel du Hellfest , 22/04/2011
  71. « Hellfest News - Changement de Line-Up!, site officiel du Hellfest, 13/05/2011
  72. « Changement de programme !!! », sur hellfest.fr,
  73. « Changement de Line-Up ! », sur hellfest,
  74. « Changement de Line-Up ! », sur hellfest.fr,
  75. a et b « Changement de Line-Up! », sur hellfest,
  76. « Disturbed annule », sur hellfest,
  77. « Thin Lizzy s'ajoute à l'affiche du Hellfest 2011 ! », sur hellfest.fr,
  78. « Confirmations », sur hellfest.fr,
  79. « Hellfest 2013 : trois bonnes raisons d'aller voir Kiss. », sur france3.fr, (consulté le )
  80. « Deuxième annonce », sur hellfest.fr, (consulté le )
  81. « Line-up », sur hellfest.fr, (consulté le )
  82. a b c d et e « L'annonce finale », sur hellfest.fr, (consulté le )
  83. « Artistes », sur hellfest.fr, (consulté le )
  84. « Metal Corner 2013 », sur hellfest.fr, (consulté le )
  85. « Hellfest », sur infoconcert.com (consulté le )
  86. « Hellfest 2013 - Troisième annonce », sur hellfest.fr, (consulté le )
  87. a et b « L'annonce finale », sur hellfest.fr, (consulté le ) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « 15 février annonce-finale » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  88. « Hellfest : une vidéo pour fermer les portes de l'enfer date=24 juin 2013 » (consulté le )
  89. « 8e Hellfest : un bon cru avec 102 000 festivaliers. », sur nantes.maville.com, (consulté le )
  90. a b c et d « Annulation : Arch Enemy / Acacia Strain », sur hellfest.fr, (consulté le ) Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « 5 avril annulation » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  91. « Def Leppard, le retour », sur hellfest.fr,
  92. « Confirmations et annulations », sur hellfest.fr, (consulté le )
  93. « Confirmations et annulations », sur hellfest.fr, (consulté le )
  94. « L'événement - Hellfest 2014, en ligne, sont en vente », sur digitick.com, (consulté le )
  95. « Hellfest 2014 - Complet sur notre réseau », sur digitick.com (consulté le )
  96. « Witness the first revelation », sur hellfest.fr, (consulté le )
  97. « Hellfest 2014 », sur rockmeeting.com, (consulté le )
  98. « Hellfest 2014. Les premiers groupes dévoilés », sur ouestfrance.fr, (consulté le )
  99. « Hellfest 2014 », sur lastfm.fr (consulté le )
  100. « Hellfest 2014. Découvrez en avant-première la liste des 136 groupes », sur ouestfrance.fr, (consulté le )
  101. « Hellfest 2014: Iron Maiden, Aerosmith et Black Sabbath en têtes d’affiche », sur 20minutes.fr, (consulté le )
  102. « Lineup 2014 », sur hellfest.fr (consulté le )
  103. « Hellfest 2014. Tous les détails sur une programmation monstre », sur ouest-france.fr, (consulté le )
  104. « Hellfest 2014 : les 136 groupes en une image », sur pays-de-la-loire.france3.fr, (consulté le )

Bibliographie

  • Christophe Guibert, « Hellfest : des festivaliers bien inoffensifs », Place Publique, no 33,‎ .
  • (en) Gérôme Guibert et Jedediah Sklower, « Hellfest, the Thing That Should Not Be? Local perceptions and Catholic discourses on metal culture in France. Titus Hjelm, Keith Kahn-Harris & Mark LeVine (dir.), dossier "Heavy metal: Controversies and Countercultures" », Popular Music History, vol. 6, nos 1-2,‎ (résumé).

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Lien externe