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Génial Olivier

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Génial Olivier
Série
Logo créé pour les albums Dupuis.
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Auteur Jacques Devos
Genre(s) Franco-belge
Humour

Thèmes École, génie, inventeur
Personnages principaux Olivier Delabranche
Flafla
M. Rectitude
Lieu de l’action ?
Époque de l’action Années 1960-1980

Pays Belgique
Langue originale française
Autres titres M. Rectitude et Génial Olivier
Éditeur Dupuis
Première publication
Format Couleur
Format normal,
souple et cartonné
Nombre d’albums 17

Prépublication Spirou
no 1321 du

Génial Olivier, ou anciennement M. Rectitude et Génial Olivier, est une série de bande dessinée humoristique franco-belge créée par l'auteur Jacques Devos pour l'hebdomadaire Spirou. Elle est apparue dans le no 1321 du , sous forme de mini-récit. Éditée par Dupuis, elle a été publiée en albums à partir de .

Descriptions

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L'élève Olivier Delabranche est un génie de l'électronique et de la cybernétique, inventeur d'un androïde à son image et d'une machine à remonter le temps. Il a aussi donné naissance à un chien-robot nommé Oméga. Mais comme c'est un véritable cancre en français, en histoire et en géographie, il se sert de ses gadgets électroniques pour tricher aux contrôles.

Personnages

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  • Olivier Delabranche, le génial Olivier, personnage principal de la série.
  • Flafla, meilleur ami d'Olivier, véritable tombeur, accompagne assez souvent son ami lors de ses punitions !
  • Arsène Rectitude, ou M. Rectitude par politesse, instituteur pédagogue au verbe haut, tentant en vain de mettre dans le droit chemin ce fieffé tricheur d'Olivier. À la fois admiratif et sincèrement inquiet pour ce dernier. Son intelligence et son sens de la déduction font qu'il arrive généralement à découvrir les astuces ou bricolages du jeune inventeur et même parfois à les retourner à son avantage.
  • Berthe, jeune fille dont Olivier est amoureux. Elle-même ne semble pas insensible à son charme. Elle essaie parfois de bénéficier des inventions d'Olivier, ce qui provoque des catastrophes.
  • Absalon, ennemi juré d'Olivier et son contraire, puisque Absalon préfère la force brute à la matière grise. Il est assez souvent la cible des inventions farfelues d'Olivier.
  • Casimir-Sigismond de la Tour-Penchée, surnommé Bille-de-Clown par ses camarades, est un marquis au physique ingrat.
  • Le Directeur, personnage autoritaire de l'établissement scolaire dans lequel est Olivier, attend fébrilement chaque visite de l'inspecteur scolaire en espérant que le jeune inventeur ne se fasse pas trop remarquer par ce dernier.
  • Le Proviseur, personnage au rôle semblable à celui du directeur.
  • Le concierge, ancien lancier, aujourd'hui concierge de l'établissement scolaire, son pire ennemi est… le seau d'eau qui, d'une manière ou d'une autre, a la fâcheuse tendance à toujours se verser sur sa tête — parfois avec un peu d'aide de la part d'Olivier.
  • M. Delabranche, père d'Olivier, ne s'intéresse pas du tout aux inventions de son fils, mais il lui arrive de l'aider.

Après avoir réalisé Whamoka avec Salvé[1], Jacques Devos crée en 1963[2] un personnage blond aux lunettes noires baptisé Olivier Delabranche pour Spirou, dont la première aventure paraît dans le no 1321 du dans un format de livret de trente-quatre planches, montées à partir des quatre pages centrales de l'hebdomadaire, dans la collection des mini-séries Mini-Bibliothèque Spirou no 177 sous le titre Génial Olivier. Au bout de trois ans, à partir du , le personnage devient récurrent dans les pages normales.

Constatant le succès des aventures du personnage, l'éditeur Dupuis décide d'en faire une collection d'albums souples, sous le titre générique de M. Rectitude et Génial Olivier. Le premier album, publié en , s'intitule : L'École en folie.

Presque toutes les histoires ont été écrites et dessinées par l'auteur, bien qu'un gag, que l'on pouvait apercevoir dans Spirou no 2430 du , eût été réalisé par Frédéric Jannin et Karen[3].

En 1988, Jacques Devos prit sa retraite avant de mourir quatre ans plus tard, le .

« La manière dont il a été traité est inimaginable, surtout qu'il était à deux ans de la retraite. Même s'il avait une certaine sclérose qui ne lui permettait plus d'avoir un graphisme percutant, il avait encore beaucoup d'idées. Il aurait pu devenir un excellent scénariste pour d'autres. Ses manières elliptiques de concevoir des séquences étaient tout à fait extraordinaires. »

— Al Severin[4]

Œuvre posthume

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Après la mort de l'auteur, son fils Jean-Jacques Devos décida de sortir en 2007 un portfolio de considérables ex-libris à cinquante exemplaires[5] dessinés par d’anciens collègues, amis du défunt, Roger Leloup, Christian Darasse, Raoul Cauvin, André Geerts, André Benn, Olivier Saive, Al Severin, Malik[5] et cetera. Dans la même année, un recueil d'histoires inédites de Génial Olivier Le Génie grand D[6] était publié par le fils, éditeur de la maison Bague à Tel.

« Ma fille Alix, une inconditionnelle de l’œuvre de son grand-père, m’a aidé à classer tous ses dessins, à recomposer les histoires. J’ai aussi été voir les amis de mon père pour qu’ils dessinent en son hommage. J’ai eu cinquante réponses. Preuve que c’était vraiment des amis. Cela m’a fait chaud au cœur de savoir qu’ils pensaient aussi que mon père était un homme vrai[7]. »

Postérité

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Les auteurs américains Alan Moore et Kevin Nowlan se sont sans doute inspirés du personnage Olivier Delabranche pour la création de Jack B. Quick[8] pour le magazine Tomorrow Stories en 1999, dont la ressemblance est frappante : blondeur, lunettes rondes et inventions farfelues.

Publications en français

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Années 1960
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1963-1969

Le premier récit complet du Génial Olivier paraissait dans le no 1321 du sous le titre 177 : Génial Olivier. L'année suivante voyait paraître un autre récit : 237 : Le Retour de Génial Olivier, dans le no 1381 du . À nouveau, deux ans plus tard, un récit 344 : Olivier baby–sitter, se plaçait dans le no 1494 du . Un premier gag, titré Qui peut le plus peut le moins, apparaissait dans le no 1627 du , puis un récit complet de trois pages L’Embarras du choix dans le no 1650 du .

Années 1970
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1970

Années sans titre pour le magazine no 1666 du dans lequel on trouvait un gag, ainsi que le no 1678 du et le no 1680 du , sauf que, la semaine suivante, les lecteurs pouvaient lire un récit de deux pages dans le no 1681 du , avant de retrouver un gag dans le no 1692 du .

1971

Au printemps brillaient un gag dans le no 1716 du , un récit de quatre pages Vanité des illusions dans le no 1721 du , un autre de quatre pages dans le no 1726 du , un gag dans le no 1727 du . En été ensoleillaient un récit de quatre pages Qui cherche schtroumpfe dans le no 1732 du , encore un récit de deux pages dans le no 1733 du 1er juillet. En automne, c'est la rentrée d'un gag dans le no 1745 du et un récit de quatre pages Olivier prend la pile dans le no 1746 du .

1972

Un récit de quatre pages À quelque chose, malheur est parfois bon ! dans le no 1771 du , de même que dans le no 1775 du avec pour titre Tout Toutou, mais pas celui–là et dans le no 1779 du avec Du tac au tac, avant de retrouver un gag dans le prochain no 1780 du . Huit semaines plus tard, se trouvent un récit de six pages Le Bébé–robot dans le no 1788 du et un autre de trois pages dans le no 1791 du . Apparaissait un gag dans le no 1802 du , avant un récit de quatre pages dans le no 1804 du , un autre de trois pages Un Sapin… ça peine parfois dans le no 1807 du et de quatre pages dans no 1808 du .

1973

Un gag dans le no 1818 du , un récit de quatre pages dans le no 1822 du , un autre de cinq pages dans le prochain no 1823 du , un gag dans le no 1824 du , un récit de six pages dans le no 1833 du , un autre de cinq pages dans le no 1834 du , un gag dans le no 1839 du , des gags apparaissaient dès le no 1844 du jusqu'au no 1848 du , un récit de cinq pages dans le no 1849 du , des gags dans trois numéros suivant du au , un récit dans le no 1855 du 1er novembre, trois gags dans les no 1856 du , no 1857 du et no 1859 du , un récit de sept pages dans le no 1860 du et un gag dans le no 1861 du .

1974

Ajoutait trois gags dans le no 1866 du , no 1867 du et no 1869 du , puis un récit de six pages dans le no 1870 du . À nouveau deux gags dans les no 1871 du et no 1872 du avant que cinq récits de cinq pages n'aient apparu Ah ! Le fat bêta ! dans le no 1875 du , Tout finit par des électrons dans le no 1885 du , La Guerre de sécession dans le no 1886 du , Ça gaze… Ça gaze dans le no 1889 du , Ne marchez pas sur le blason ! dans le no 1892 du et Un Coup… karaté dans le no 1899 du . Trois gags chacun s'ajoutaient à partir du no 1900 du jusqu'au no 1902 du , puis un récit de cinq pages Les Jeunes Ânées dans le no 1906 du , un gag dans le no 1907 du , un récit de cinq pages Farce reste à la loi dans le no 1908 du , un autre de six pages Rien ne se perd, rien ne se crée dans le no 1913 du .

1975
Logo apparu dans Spirou dans les années 1970-1980.

Le lendemain du nouvel an paraissait un récit de six pages Robot pour être vrai dans le no 1916 du , puis cinq pages Réaction en chaîne dans no 1918 du . Après un gag dans le no 1922 du , on retrouvait un récit de six pages Aphorismes et proverbes dans le no 1924 du et un autre de cinq pages La Mer amère dans le no 1926 du . Des gags se ralentissaient dans les no 1928 du , no 1934 du , no 1938 du et no 1947 du , mais progressaient mieux avec des récits dont six pages dans le no 1948 du , encore six pages L’Essai en tout est un défaut dans le no 1950 du et sept pages De latude à l’étude dans le no 1954 du . Un gag passait au no 1955 du , puis arrivent séparément deux récits de six pages dont Gym–notes au no 1958 du et C’est le fond qui manque le moins au no 1961 du . Noël approchaient avec un gag dans le no 1964 du et un récit de deux pages dans le no 1965 du .

1976

Après trois gags dans les no 1969 du , no 1972 du et no 1977 du , deux récits de six pages apparaissaient dans les no 1978 du avec pour titre Je vous ai apporté des bons bonds et no 1984 du Boomerang. Un gag dans le no 1985 du en attendant les deux récits de six pages dans le no 1987 du sous le titre Un Répétiteur à répétitions et le no 1990 du sans titre. Encore un gag au no 1991 du , puis un récit de six pages au no 1993 du et, à nouveau, deux gags suivant dans les no 1994 du 1er juillet et no 1995 du . Apparaissaient ensuite des récits dans les no 1998 du (six pages), no 2000 du sous le titre Chaque chose en son temps (six pages) et no 2003 du (sept pages). À nouveau deux gags sur les pages du no 2004 du et no 2006 du , un récit se complétait en six pages dans le no 2007 du . Après un gag au no 2013 du , le magazine commençait à se décorer Noël présentant un récit de sept pages Sur des roulettes dans le no 2016 du et un autre de cinq pages Mécompte de Noël dans le no 2017 du , puis laissant deux gags aux no 2018 du et no 2020 du .

1977

Un gag dans le no 2026 du avant un récit de sept pages Vox Populi dans le no 2028 du pour retrouver des gags dans les no 2031 du , no 2032 du , no 2043 du , no 2046 du et no 2047 du . Après un récit de quatre pages dans le no 2049 du et un gag dans le no 2052 du , on découvrit pour la première fois un long récit d'à suivre Le Passé recomposé du no 2053 du au no 2060 du . Cinq semaines plus tard, se retrouvaient un récit de deux pages dans le no 2065 du et un autre d'une seule page Présentation des séries dans le no 2069 du .

1978

Deux récits de six pages dans les no 2075 du et no 2080 du , puis un gag dans le no 2084 du . Se prolongent les récits de huit pages dans les no 2088 pour Quarante–haine, no 2090 du pour Skateboard et no 2094 du 1er juin pour La "Coupe" de l’année. Dans le no 2105 du se trouve un gag titré Skateboard–supplys. Parviennent ensuite un récit de deux pages Skateboard’s Fantasy dans le no 2111 du et un gag dans le no 2120 du .

1979

Un récit de cinq pages dans le no 2127 du , puis deux gags dans les no 2131 du et no 2138 du . Encore deux récits de huit pages dans les no 2140 du et no 2144 du , puis un autre de six pages Vacances Touristiques dans le no 2149 du . Enfin un deuxième long récit dà suivre L’Électron et le blason du no 2162 du au no 2173 du , puis un récit de deux pages dans le no 2176 du pour bien finir l'année.

Années 1980
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1980

Commençait un récit de six pages dans le no 2179 du , puis deux gags dans les no 2184 du et le suivant no 2185 du . Après sept mois de silence, on retomba sur un récit de huit pages dans le no 2213 du et finalement un autre de six pages Surprises d’une nuit dans le no 2225 du .

1981

Un récit d'à suivre dans le no 2233 du jusqu'au prochain no 2234 du . De nombreux récits apparaissaient dans les no 2247 du (cinq pages), no 2252 du (deux pages), numéro Spirou-festival du (Le Muscle est roi !, six pages), no 2255 du (six pages), no 2264 du (Qu’est–ce qu’on fait’y ?, six pages), no 2272 du (six pages), encore numéro Spécial 81-82 du (Folâtreries, huit pages) et no 2280 du (quatre pages).

1982

Paraissaient quatre récits de six pages dans les no 2283 du , no 2289 du sous le titre Le Fameux Remontant, numéro Album+ 1 du , no 2296 du avec Langue verte et savon noir, puis deux gags dans les no 2301 du et no 2304 du . Encore un numéro spécial Album+ 2 du dans lequel se présenta un récit de six pages Les Nerfs en bulle avant les récits de six pages ne se reprirent dans les no 2306 du , no 2316 du et no 2325 du ainsi que, pour se satisfaire son jour férié de l'Armistice 1918, un gag dans le no 2326 du .

1983

Un récit de six pages dans le no 2339 du avant qu'un gag n'apparût, plus tard, pour la troisième fois, dans le numéro spécial Album+ 5 du . Deux semaines passées, on retomba sur un récit de trois pages Poisse et mesures dans le no 2346 du , puis, une semaine suivante, un gag dans le no 2347 du . Encore deux gags dans les no 2350 du et no 2355 du , puis une apparition du dessin dans le no 2360 du avant qu'on ne retrouvât un gag dans le no 2362 du . Un récit de six pages dans le no 2364 du , un gag dans le no 2367 du , puis un récit de six pages Intermède dans le no 2368 du 1er septembre.

1984

Génial Olivier sortit du silence, six mois après, dans un récit de deux pages Neige hâtive dans no 2396 du et encore deux pages Réflexion ou rêve laid ?, no 2398 du . Deux gags séparés dans les no 2400 du et no 2401 du , puis un récit d'une page Caisse à dire dans le no 2402 du . De nombreux gags apparaissaient jusqu'à la fin de l'année : no 2404 du , no 2405 du , no 2410 du jusqu'au no 2415 du , no 2419 du jusqu'au no 2422 du , no 2424 du , no 2428 jusqu'au no 2432 du dont dans le no 2430 du participa Frédéric Jannin et Karen.

1985

Encore après trois mois d'absence, il réapparait dans des gags dès le no 2449 du jusqu'au no 2456 du , puis no 2458 du jusqu'au no 2460 du , no 2467 du , no 2469 du . Seul un récit de six pages se laissait offrir dans le no 2470 du avant de retrouver des gags sans titre au no 2471 du , no 2476 du , puis, avec titre, Os… t’es au génie ! dans le no 2477 du 1er octobre, Le Courant altère la natif no 2478 du , Deux dans la coque no 2482 du , La Rose et l’épine no 2483 du , Boule–versement no 2485 du , Chaussures molles, hier no 2487 du , Les Poids sont rosses no 2489 du et Robot grand et fort no 2490 du .

1986

Un gag pour commencer Au pied de la lettre dans le no 2492 du , un récit de trois pages Tifs au hit ! au no 2493 du , quatre gags dont un sans titre dans le no 2495 du , Bis tout rit ! no 2496 du , Mol air no 2497 du , Silence, on détourne no 2498 du . Après un récit de trois pages Miss au génie au no 2499 du , encore cinq gags : Aises pris, l’eau casse no 2500 du , L’Heure sort à bout, hein ? no 2501 du , Tel est faune sur prise no 2502 du , Dr Génie et Mr Hâte no 2503 du 1er avril, Go…rit ! no 2504 du . Trois récits dont deux pages Hé, les vents ? no 2506 du , deux pages Traque–cas no 2509 du , quatre pages Hi–fi génie no 2511 du et un gag Ire répressible no 2518 du . Trois récits dont deux pages Part à vent no 2521 du , cinq pages L’Habile ne fait pas le moine no 2523 du , six pages Nœud Tronc no 2525 du , puis deux gags : Le Fond du problème no 2527 du et Time is money no 2530 . Trois récits dont quatre pages Au temps, deux têtes, oh, rant de lavis no 2531 du , deux pages La Loi du bâton nié no 2536 du et six pages Gîte ou double no 2540 du .

Samedi-Jeunesse

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Génial Olivier apparaissait dans le no 97 du mensuel Samedi-Jeunesse de novembre 1965, avec une histoire complète de 18 pages en noir et blanc, intitulée Génial Olivier.

Génial Olivier apparaissait dans Tintin no 12 du de l'édition belge (no 184 du de l'édition française), où Jacques Devos rendait hommage à Hergé.

Albums originaux

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Dupuis en faisait la série en albums souples de en , puis cartonnés jusqu'en sous le titre M. Rectitude et Génial Olivier.

Le Génie grand D est un album inédit en couleur des éditions Bague à Tel, comprenant quarante-huit planches jadis publiées dans Spirou.

Publications à l'étranger

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Le personnage apparut dans Robbedoes, le Spirou en néerlandais, sous le titre Geniale Olivier, de 1963 en 1988.

Notes et références

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  1. « Salvérius », sur Dupuis (consulté le )
  2. « Jacques Devos dans le journal de Spirou », sur BD Oubliées (consulté le )
  3. « Le journal de Spirou en 1984 », sur BD Oubliées (consulté le )
  4. Nicolas Anspach et Marc Carlot, « Interview avec Alec Séverin », sur Auracan, (consulté le )
  5. a et b « Portfolio Jacques Devos », sur Graphivore, (consulté le )
  6. « Chronique d'extraterrestres "L'Étoile verte" du dessinateur jacques Devos », sur Jean-Jacques, (consulté le )
  7. Jean-Philippe de Vogelaère, « En hommage à mon père », sur Jean-Jacques, (consulté le )
  8. Didier Pasamonik, « Jack B. Quick, enfant prodige - Par Alan Moore, Peter Hogan et Kevin Nowlan - Editions USA », sur Actua BD, (consulté le )
  9. Henri Filippini, « Un ingénieux ingénieur génial », Schtroumpfanzine, no 21,‎ , p. 25.
  10. (nl) « Mr. Kweeniewa en Geniale Olivier », sur Strip Info (consulté le )

Bibliographie

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Liens externes

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