Bacqueville-en-Caux
Bacqueville-en-Caux | |||||
La gare. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC Terroir de Caux (siège) |
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Maire Mandat |
Étienne Delarue 2020-2026 |
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Code postal | 76730 | ||||
Code commune | 76051 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bacquevillais (anciennement Bacquevillois) | ||||
Population municipale |
1 900 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 156 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 47′ 15″ nord, 0° 59′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 124 m |
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Superficie | 12,19 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Dieppe (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Luneray | ||||
Législatives | 10e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | http://bacqueville-en-caux.fr/ | ||||
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Bacqueville-en-Caux est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Bacqueville-en-Caux est une commune du pays de Caux située au nord du département dans le canton de Luneray. Cette commune comporte un hameau : « Pierreville » situé à 1,5 km entre celle-ci et Omonville.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La rivière Vienne[1] et son affluent la Saâne confluent sur le territoire de la commune.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 899 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bacqueville-en-Caux est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,5 %), prairies (18 %), zones urbanisées (10,8 %), forêts (10,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 976, alors qu'il était de 915 en 2014 et de 847 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 20,1 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bacqueville-en-Caux en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) supérieure à celle du département (4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 49,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (50,4 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Bacqueville-en-Caux[I 2] | Seine-Maritime[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 86,2 | 87,8 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,6 | 4 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,2 | 8,2 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Bascavilla entre 1040 et 1066, Ecclesie Sancte Mariae de Baschevilla en 1133[13], Balchevilla en 1142[14], Baskervilla en 1155, Baccheville en 1176, Bascervilla en 1179, In Baschevilla en 1180, Sancta Maria de Basquevilla en 1188, Capella Sancti Léonardi de Boschervilla en 1188[15], Ecclesia de Basquevilla vers 1240, Bacquevilla en 1256, Bakevilla et Baskevilla en 1268, Basquevilla en 1337, Basqueville en 1392, Besqueville la Martel entre 1420 et 1452, Basqueville en 1715 et 1788, Bacqueville-en-Caux en 1953[16],[17].
Apparemment sans rapport avec Bacqueville (Eure) : Baschivilla vers 1034 ; Baschitvilla en 1096[18].
Le pays de Caux est une région naturelle de Normandie.
Le nom de Bacqueville-en-Caux apparaît autour de 1050 lors de la cession des terres aux religieuses de St Armand de Rouen.
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le château de Bacqueville est livré aux Anglais en 1418 par les Bourguignons après la prise de Rouen.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Durant la Réforme, le bourg est pillé en 1590 par Villars-Brancas[19].
Au XVIIIe siècle, Jean-François Boyvin de Bonnetot (1688-1760) est marquis de Bacqueville[20], auquel succède son fils, Alexis-Madeleine-Paul Boyvin de Bonnetot (1715-1796), mousquetaire noir, mestre de camp de cavalerie, chevalier de Saint-Louis en 1746, maréchal de camp en 1759[21].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]-
La mairie et le monument aux morts.
-
La mairie.
-
La place de la mairie.
-
Entrée du Pays par Lamberville.
-
La route de Longueville.
-
L'église Saint-Pierre.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]Bacqueville-en-Caux a été récompensée en 2022 d'une deuxième fleur au Concours des villes et villages fleuris; dix ans après avoir obtenu la Première fleur. Cette récompense reconnait ainsi le travail de l'équipe de jardiniers municipaux, de leur politique zéro phyto et leur production de 17 000 plantes annuelles par an[25]
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2021, la commune comptait 1 900 habitants[Note 2], en évolution de +0,42 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles, sportives et festivités
[modifier | modifier le code]- Foire aux antiquités le 1er week-end de mars.
- Foire agricole le 8 mai.
- Marchés nocturnes, premier vendredi du mois entre juin et septembre.
- Fête du Tortill'Art, début juillet.
- Tournoi de football inter quartiers, juillet.
- Salon du mariage, octobre.
- Fête foraine le 11 novembre.
- Kermesse de la Saint-Eutrope en juin.
- Courses hippiques l'été.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre du XVIe siècle, endommagée durant la Seconde Guerre mondiale. Elle abrite des statues anciennes dont celles de saint Crespin et de saint Pierre et une œuvre moderne, le Christ en céramique du maître-autel réalisé par Georges Mirianon.
- Monument aux morts inauguré le 5 juin 1922 sur la place du village, sous la présidence du ministre de l'Agriculture Henry Chéron. La sculpture est signée Albert Guilloux, sculpteur parisien, qui fut chargé de camper un poilu victorieux mais résigné sortant d'une tranchée pour rejoindre l'arrière ; il tient son fusil sur l'épaule orné d'un bouquet de fleurs et porte un casque allemand dans sa main gauche.
- La croix Saint-Léonard fut érigée au XIIIe siècle à l'initiative de Guillaume IV Martel, puis fut relevée en 1756. D'après la croyance locale, elle aiderait à faire marcher les enfants. Il suffirait d'attacher un ruban autour de la croix, faire trois fois le tour de la croix à l'enfant en récitant une prière. Cette croix se trouve au bord de la route dans la plaine entre Bacqueville-en-Caux et le hameau d'Ablemont. Initialement, la croix se trouvait au cœur de la plaine mais fut déplacée par un agriculteur (il reste une plaque à l'emplacement originel). D'après la légende, cet agriculteur aurait perdu l'usage de ses jambes peu de temps après.
- La croix Mangea-Là fut érigée au XIIIe siècle à l'initiative de Guillaume IV Martel ; réédifiée en 1937 à l'initiative de l'abbé Demeillers.
- Plaque commémorative dans le Bas de Bacqueville en hommage aux libérateurx canadiens le .
- Hippodrome de Bacqueville-en-Caux. Société des courses de Bacqueville fondée en 1891. Les courses hippiques ont lieu 2 fois pendant le mois d'août.
- Gare de Bacqueville-en-Caux du chemin de fer de Normandie.
Pierreville
[modifier | modifier le code]Saint-Eutrope de Pierreville fut premièrement une chapelle dépendante de la cure de Bacqueville-en-Caux, l'église en briques fut construite en 1768 et bénite par le cardinal de La Rochefoucauld en 1770. Saint Eutrope, évêque d'Orange, y était l'objet d'un pèlerinage très fréquenté.
Lieu-dit de Varenville accolé à Pierreville, dans ce lieu-dit est présent la ferme des Écussons (manoir XVIe siècle), lieu de balade et de vie de monsieur Poulain.
Puis la ferme des « Toucheux de Vaques », ancien manoir du XVIIIe encore présent.
Et l'ancienne école des filles sur la place de Pierreville, construite entre 1882 et 1883, école encore active jusqu'en 2010 (transformée en école mixte) puis en habitat maintenant. Il est également important de noter que cet endroit est également utilisé par la mairie comme lieu de vote pour les habitants du hameau.
La place est un lieu de kermesse au mois de mai ou juin. L'ancien calvaire a été rénové le dimanche 3 mai 2014 par l'abbé Stéphane Ansart à l'issue d'une messe organisée dans l'église Saint-Eutrope.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean-François Boyvin de Bonnetot (né à Bacqueville-en-Caux en 1688-mort à Paris en 1760), marquis de Bacqueville, pionnier des hommes-volants.
- Pierre-Jean-Valentin Vastey (1762-1840). Agent national du district de Cany sous la Révolution, il entretint une longue correspondance avec son cousin, Jean-Louis Vastey, dit Pompée Valentin Vastey, l'idéologue de la révolution haïtienne. Ses archives ont ainsi permis d'établir en 2014 la première biographie du baron de Vastey.
- François Bonneville (1755-1844), dessinateur, peintre et graveur.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Parti: au 1er d'or à trois marteaux de gueules, au 2e d'azur à croisettes d'or[30]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | D’or aux trois marteaux de gueules. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Bacqueville-en-Caux (76051) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Bacqueville-en-Caux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Bacqueville-en-Caux » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Bacqueville-en-Caux ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Bacqueville-en-Caux » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bacqueville-en-Caux - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bacqueville-en-Caux - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Vienne (G4100600) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Bacqueville-en-Caux et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieppe », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Archives départementales de la Seine-Maritime, D 194.
- Archives de Seine-Maritime 16 H.
- Archives de Seine-Maritime, D 195.
- Archives de Seine-Maritime, G 739.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 38.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, 1981, page 58.
- Eugène Sauvagz, Histoire populaire du bourg de Bacqueville en Caux.
- Hugues Plaideux, « Un couple d'aventuriers au XVIIIe siècle : Madame Retau-Dufresne née Nicole Tanquerey (1712-1798, « première historienne de Cherbourg », et Joseph Beaudrap (1720-1802), alias baron de Gonneville », Revue de la Manche, t. 65, no 260, avril-mai-juin 2023, p. 46 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
- Revue de la Manche, 260, p. 51.
- SIVOS des écoles élémentaires et maternelles de Bacqueville-en-Caux.
- « Municipales 2020. Le maire sortant de Bacqueville-en-Caux, Étienne Delarue, organise une réunion : Bacqueville-en-Caux. Étienne Delarue, candidat aux élections municipales de mars 2020, présentera son programme lors d'une réunion publique », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire sortant Étienne Delarue, brigue un 4e mandat de maire aux élections municipales de mars 2020 avec sa liste « Ensemble bâtissons demain » qui compte sept conseillers sortants ».
- « Liste des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
- Maxime Cartier, « Dix ans après, Bacqueville-en-Caux obtient sa deuxième fleur : La municipalité de Bacqueville-en-Caux (Seine-Maritime) a obtenu sa deuxième fleur. Cette distinction a été célébrée le 2 décembre 2022en compagnie du personnel des espaces verts », Les Informations dieppoises, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.