Eclairage Dans L'automobile

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École Supérieur des

Ministère de
Ingénieurs de
l’Enseignement Supérieur
l’Équipement Rural de
Université Jendouba
medjez el bab

L’éclairage dans
l’automobile
Réalisée par : - LTAIF YOUSSEF
- ETTIH BADEREDDINE

Encadré par : Mr. KHARROUBI HASSEN A.U 2007-2008


Plan de travail

Historique des éclairages

Quelques notions de physique


Eclairage de route

Différents types des projecteurs

Différents types des lampes


Les nouvelles technologies de système d’éclairage

Les différentes signalisations


INTRODUCTION:
les circuits d’éclairage sont nombreux dans les véhicules modernes, ils
comprends les circuits suivants ;
- Les projecteurs de route qui sont utilisés en dehors des Agglomérations quand
aucune voiture ne vient en sens Inverse .
- les projecteurs code, qui sont utilisés de nuit ,quand une voiture vient en sens
inverse et en cas de brouillard.
- les projecteurs anti-bouillard.
- les projecteurs de recul
- les feux de position avant et arrière ou veilleuse utilisé en ville
- les feux arrière de brouillard
- Les feux de stop synchronisé avec la pédale de frein
- les feux d’éclairage de la plaque d’immatriculation
- toutes les lampes de contrôle et les lampes installées pour le confort des
automobiles; tableau de bord, niveau de carburant …
Historique des éclairages

1800- Guillaume Carcel invente une


lampe à huile, dont
le système d’horlogerie actionne un
piston qui fait
monter l’huile de manière régulière
jusqu’au bec.
1859-Le Français Gaston Planté met
au point une pile
réversible ou accumulateur : c'est la
première
batterie de l'histoire
1879-La lampe à incandescence est mise au
point par
Thomas Edison. Le fil de coton sera
progressivement
remplacé par un filament de fer.
1901-La lampe à mercure commence à être utilisée en
automobile. Sa particularité : une flamme blanche très vive.
1912-Aux Etats-Unis, le démarreur électrique et
l’éclairage électrique apparaissent en série sur les véhicules

1915-La première lampe automobile à filament apparaît en Europe.

1929-Cadillac monte des phares orientables sur ses véhicules.

1962-La première diode électroluminescente (LED) à spectre visible est


créée par Nick Holonyak .
1965-Apparition de la première lampe halogène mono filament de type H1.

1971-Première lampe halogène à deux filaments(croisement et route).

1992-Première application de la lampe à décharge de gaz (xénon)


sur la BMW Série 7.

2005-Assistant pleins phares (retour automatique en code) chez


BMW.
2006-Clignotant à LED avant sur
Porsche 911 Turbo.
Quelques notions de physique
Une onde est un déplacement d’énergie sans déplacement de matière

La longueur d’onde est caractérisée par la formule


suivante :
λ = c/f
λ: longueur d’onde (en mètre)
c: célérité de l’onde (en mètre/seconde)
f: fréquence de vibration de l’onde (en hertz)

Le son est une onde de pression. Sa vitesse de propagation


(célérité) est de 340 m/s dans l'air et sa fréquence va de
0 Hz à l’infini, mais l’oreille humaine ne perçoit que les
fréquences comprises entre 20 Hz et 20000 Hz.
La lumière, au sens commun du terme, ne représente que
la partie "visible" des ondes électromagnétiques.
En effet, en rencontrant de la matière, différents
phénomènes se produisent selon la valeur de la longueur
d'onde.
- Quand la longueur d’onde est faible
de 10-14 m à 10-8 m,
c'est-à-dire quand la fréquence est
élevée, les ondes vont interagir
avec le noyau des atomes et crées
des rayons X ou des rayons
gamma γ .
La radiographie est une application
de ces ondes électromagnétiques
"invisibles".
-Dans une zone intermédiaire la
longueur d'onde est de 10-8m à
10-3 m, les ondes vont interagir
avec les
électrons et créer une émission de
photons. Ces photons, en fonction Spectre électromagnétique
de leur fréquence de vibration,
vont de l’ultraviolet à l’infrarouge en
passant par
la partie visible par l’oeil humain

(40 .10-8m < λ < 0.7. 10-6m).


-Quand la longueur d’onde est élevée (au-delà de
10-3 m), c'est-à-dire quand la fréquence est faible, les
ondes électromagnétiques vont interagir avec
les circuits électriques et électroniques : ce sont les
micro-ondes et les ondes radio.

Le spectre d'ondes visibles par


l'oeil humain va du violet
(λ = 0.4.10-6m) au rouge (λ =
0.7.10-6m) en passant
successivement par le bleu, le
vert, le jaune et l’orange.
*L'addition de plusieurs couleurs, c'est-à-dire de plusieurs
longueurs d'onde visibles, donne une autre couleur.
Suivant la source d’émission de lumière, le spectre est soit
continu, soit discontinu :
Une émission de lumière provoquée par une source
de chaleur (une lampe à filament par exemple) donne un spectre
de lumière continu, cela est dû à la forte interaction entre les
différents éléments de la matière mis en jeu.
La lumière est caractérisée par plusieurs grandeurs.
Le flux lumineux correspond à la puissance totale de
rayonnement d’une source lumineuse, fournie dans toutes
les directions. Il s’exprime en lumen (lm). Un lumen vaut un
candela par mètre carré (stéradian). Le flux lumineux exprime
donc la notion de "débit" de lumière.

Exemples :
-Lampe H4 en position de route 1600 lm.
-Lampe D2S 3200 lm.
-LED haute luminosité 240-350 lm.
*L’intensité lumineuse correspond à un flux lumineux rayonné
dans une direction déterminée. Elle s’exprime en candela (cd).
Cela exprime un "débit" de lumière dans une direction donnée.
*La luminance est l'intensité d'une source de lumière dans
une direction donnée, divisée par l'aire apparente de cette
source dans cette même direction. Elle s’exprime en candela
par mètre carré.
Lampe à incandescence 100 W claire
Lampe à incandescence 100 W dépolie
Lampe fluorescente 40 W

La densité de lumière reçue au niveau de l’objet éclairé d’une surface


déterminée s’exprime en lux. Cette grandeur
exprime donc une notion d’efficacité de l’éclairage. Un lux vaut un
lumen par mètre carré.
L’efficacité lumineuse mesure le flux lumineux produit en fonction de
l’énergie électrique consommée, elle s’exprime
en lumen par watt. L’efficacité lumineuse permet de comparer des
lampes.
Exemples :
Lampe H7 : 31 lm/W
Lampe R2 :13 lm/W
Lampe D2S : 91 lm/W
LED haute luminosité de 12 à 60 lm/W
-Eclairage de route
Les feux de route doivent être situés à l’avant du véhicule et
montés de telle façon qu’ils ne doivent pas causer de
gène pour le conducteur par l’intermédiaire des miroirs,
rétroviseurs et autres surfaces réfléchissantes. Il n’y a aucune
spécification particulière concernant la hauteur des feux de
route.
Les feux de route peuvent être intégrés avec les feux de
croisement sauf s'ils sont mobiles en fonction du braquage
de la direction et peuvent rester allumés avec les feux de
croisement. Le témoin d’enclenchement est obligatoire.
Un projecteur est l’association :
- d’une source de lumière ;
- d’un réflecteur pour n’émettre la lumière que dans la
direction voulue .
- d’une glace pour protéger la source lumineuse
et le réflecteur .
- et, si besoin, d’un dispositif de réglage.
Le filament de la lampe est
placé vert l’arrière en partant de
foyer on obtient de cette façon
une zone centré fortement
éclairé issue des rayons
lumineux de foyer et une surface
plus modérant éclairé ,issue des
rayons lumineux émanant de la
partie du filament placé en
arrière de foyer .
Eclairage de route

Le filament de la
lampe est placé
En avant de foyer ,

Eclairage de croisement
Circuit électrique de l’éclairage avant et arrière
Différent types des projecteurs

*Projecteur avec réflecteur


parabolique:

Il s'agit du réflecteur le plus


couramment utilisé. Il est
employé pour des applications en
éclairage et en
signalisation. Une source
lumineuse placée au foyer de la
parabole se réfléchit sur la
courbe et renvoie des rayons
parallèles à l’axe du réflecteur

*En jouant sur la différence de


position de la source
lumineuse et à l’aide d’un cache
on peut réaliser un
optique croisement / route avec
un seul réflecteur.
L’objectif du projecteur à
réflecteur avec surface complexe
est de donner
une définition particulière au
réflecteur. Chaque point
du réflecteur est une facette qui
renvoie la lumière sur
la surface concernée, c’est en fait
une évolution des
projecteurs multifocaux.
*Projecteur avec forme
elliptique :
Il s’agit d’une forme
géométrique particulière dont
l’avantage est de concentrer
beaucoup de lumière avec
une faible hauteur de
réflecteur, mais qui nécessite
une grande profondeur.
Une source lumineuse placée
au foyer F1 de l’ellipse se
réfléchit sur la courbe.
L'ensemble des faisceaux
obtenus repassent par le
foyer F2. Toute la répartition
de la lumière est obtenue par
la lentille convergente.
Le réflecteur elliptique est
employé comme projecteur
principale
Les projecteurs bi-fonction;
Pour les projecteurs bi-fonction, le
passage croisement /route se fait par
occultation d’une partie du faisceau.
Le volet d’occultation est déplacé grâce
à un moteur électrique ou à un
actionneur électrique.

Les projecteurs à éclairage indirect:

La déviation de la lumière est faite


par des guides optiques
en plexiglas. La source de lumière
est soit une lampe, soit
des LED. Ce mode d’éclairage
permet de simuler les éclairages
xénon des enseignes lumineuses ou
des tubes
électroluminescents. L’application
la plus connue est le feu avant
"Angel eyes " et les feux arrière
apparus sur les
BMW Série 5 de 1996.
Projecteurs diurnes
Ces projecteurs se caractérisent par
une couleur de lumière proche de
celle du jour pour permettre la
reconnaissance des automobiles
dans des environnements sombres.
LES PROJECTEURS ADAPTATIFS
Avec l’évolution de la législation, les
constructeurs et les équipementiers
proposent à présent des projecteurs
adaptatifs en fonction des conditions
de roulage.
Parmi les différentes options
proposées, l’éclairage en
virage à basse vitesse est réalisé à
l’aide d’un miroir ou d’un petit
projecteur additionnel.
Le feu de virage ne s’enclenche
qu’en dessous de 40 km/h et
sous l’action des clignotants ou
de la rotation du volant de
direction. Les systèmes de
seconde monte
intègrent un "capteur inertiel de
virage" pour détecter
la prise d'un virage. Ils peuvent
également intégrer un
correcteur pour l’adaptation de
l’éclairage en fonction de la route
à suivre (virage) et de la vitesse
d’avancement.
L’orientation des projecteurs est corrigée en
fonction
des paramètres d’angle du volant de direction,
de la vitesse d’avancement, de la mise en
route éventuelle des clignotants et des
données de positionnement du véhicule
par le GPS.
Ces derniers systèmes ne sont proposés qu’en
première monte du fait de leur intégration à Eclairage adaptatif BMW
l’électronique du constructeur.
Feux de croisement
Feux de croisement doivent être situés à l’avant du
véhicule et montés de telle façon qu’ils ne doivent
pas causer de gène pour le conducteur par
l’intermédiaire
des miroirs, rétroviseurs et autres surfaces
réfléchissantes.
Ils doivent en hauteur entre 500 mm et 1 200 mm
du sol. Ils ne doivent pas se trouver à moins de 400
mm de l’extrémité hors tout du véhicule et être
écartés d’au moins 600 mm. La commande de
passage en faisceau
de croisement doit provoquer l'extinction
simultanée de tous les feux de route. Les feux de
croisement peuvent rester allumés en même temps
que les feux de route.
Les feux de croisement ne doivent pas pivoter en
fonction de l'angle de braquage de la direction. Les
feux de croisement munis de sources lumineuses à
décharge
seront permis uniquement si un nettoie-projecteurs
et un système de correction d’assiette sont installés.
Feux de brouillard avant:
Les feux de brouillard avant sont
facultatifs. Situés à
l’avant du véhicule, ils ne doivent
pas être à plus de
400 mm de l’extrémité de la
largeur hors tout et au
minimum à 250 mm au dessus du
sol. Les feux de brouillard
peuvent être groupés avec
d’autres feux avant et doivent
pouvoir être allumés et éteints
séparément des feux de
route ou des feux de croisement
et réciproquement. Le
témoin d’enclenchement est
facultatif.
Feu de marche arrière :
Situé à l’arrière du véhicule, placé entre 250 à 1200 mm
au dessus du sol, le feu de marche arrière peut être
groupé avec d’autres feux mais pas de façon combinée.
Il ne peut être allumé que si la commande de marche
arrière est enclenchée et le contact mis. Le témoin
d’enclenchement est facultatif.
Feux indicateurs de direction
Les feux de direction ne
doivent pas être situés à plus
de 400 mm de l’extrémité hors
tout du véhicule et être
écartés d’au moins 600 mm en
largeur. Ils doivent être à
une hauteur minimum de 500 mm
et maximum 1500 mm. Ils
peuvent être groupés avec un ou
plusieurs feux, ne peuvent
être combinés à aucun autre ni
incorporés, sauf avec les
feux de stationnement. Un témoin
de fonctionnement est obligatoire
(optique ). Ce témoin doit
prévenir le conducteur du
dysfonctionnement d’un ou
plusieurs feux par un
changement de fréquence.
Feux du stop:
Placés à l’arrière, ils doivent être à
une hauteur comprise
entre 350 et 1500 mm, la distance
séparant ces deux feux
doit être de 600 mm minimum pour
les véhicules de plus
1300 mm de largeur hors tout et de
400 mm minimum pour
les autres. Ils peuvent être groupés
avec un ou plusieurs feux
arrière et incorporés avec les feux
de position ou de
stationnement.
Feux de position avant et arrière
Les feux de position ne doivent pas être situés à
plus de 400 mm de la largeur hors tout et doivent
être séparés d’au moins 600 mm. Ils doivent être
situés à une hauteur comprise entre 350 et 1500mm.
Le témoin est obligatoire, non clignotant, mais pas
exigé si le dispositif d’éclairage du tableau de bord
ne peut être allumé qu’avec les feux de position
avant.
Feu de brouillard arrière
Lorsque le feu de brouillard est
unique, il doit être du
côté opposé au sens de
circulation prescrit dans le pays
d’immatriculation. Dans tous les
cas, la distance entre
le feu de brouillard et le feu stop
doit être supérieure
à 100 mm et être à une hauteur
comprise entre 250 et
1000 mm.
Exemple des projecteurs et lampes de signalisations

Eclairage

Signalisation arrière
LES LED :
Les LED (light-emitting diod), ou DEL (diode
électroluminescente), sont composées de divers matériaux
agencés de la manière suivante :
Les caractéristiques propres aux LED sont :
- leur tension d’alimentation .
- leur couleur .
- leur longueur d’onde émise .
- leur angle de vue .
- leur consommation .
- leur intensité lumineuse .
- leur durée de vie .
- leur taille .
- leur rendement .
- leur forme .
- leur caractère fixe ou clignotant .
- une possibilité de changer de couleur.
Fonctionnement des LED
L'émission de lumière par une LED est
réalisée au niveau des atomes de la
puce semi-conductrice.
Sous l'effet d'une différence de
potentiel appliquée entre
les deux couches, des électrons
pénètrent dans la couche
de type N. Ce qui équivaut à une
injection de trous dans
la couche de type P.
À l'interface de ces deux zones, les
électrons et les trous
se recombinent en donnant naissance à
un photon, d'où l'émission de lumière.
En fonction de l'énergie de
recombinaison entre l'électron et le
trou, les longueurs d'onde des photons
seront différentes. A ce jour, les LED
commercialisées émettent des couleurs
rouges, vertes, bleues ou jaunes.
LED bleue + phosphore
Pour obtenir du blanc, on utilise
une LED bleue possédant
une couche à base de phosphore.
Les photons "bleus", au
contact de la couche
phosphorescente, engendrent des
photons "jaunes". Cela amène au
final la création d'une
lumière blanche (en optique, la
combinaison de jaune et
de bleu donne du blanc).
LED d'éclairage
Les LED d'éclairage ont une puissance
lumineuse supérieure
aux LED de signalisation.
AVANTAGE :
La LED est la technologie de signalisation la plus
appropriée.
pour les feux stop en raison de sa rapidité d’allumage
(10 ms au lieu de 200 ms pour une ampoule
conventionnelle).
La faible consommation électrique des feux de
position et des phares de jour basés sur des LED est
une donnée primordiale compte tenu que ces feux
restent allumés de longues heures.
DÉTECTION DES LAMPES HORS-SERVICE
Pour la sécurité et le confort du conducteur du
véhicule, certains constructeurs équipent leur
électronique d’éclairage d’un détecteur
d’ampoule "grillée". Il existe plusieurs méthodes,
mais la plus courante est basée sur la détection
de l’absence de courant quand la lampe est
commandée. La mesure du courant de
consommation se fait, comme dans un
multimètre, par la création d’une petite chute
de tension aux bornes d’une résistance. Cette
différence de potentiel est minimale pour ne pas
influer sur le fonctionnement de la lampe. Cette
méthode permet de détecter une sur et une sous
consommation des lampes. Une autre méthode
consiste à placer avant la lampe une bobine qui
crée un champ magnétique et fait contacter
un ILS (interrupteur à lame souple).
La centrale à relais s’est informatisée
et est devenue une unité de contrôle
de feux pouvant incorporer un contrôle
de lampes grillées et servant
d’interface pour l’allumage
automatique des feux et un
asservissement de la hauteur
des phares. Le réglage de la hauteur
des phares se fait grâce à un
servomoteur (moteur électrique
associé à un capteur de position) dans
la plupart des cas, ou grâce à un
moteur pas à pas (chez Porsche par
exemple). Cet asservissement est fait
en fonction de la charge du véhicule et
de la vitesse (les phares se relèvent
quand la vitesse augmente).
Les lampes halogène
Dans une lampe ordinaire , le filament en tungstène Porté à haute température, se détruit par
vaporisation Pour retarder ce phénomène , on limite la température, le filament au
détriment de l’intensité du flux lumineux .
Pour éviter cette inconvénient , on crée un cycle halogène à l’intérieur de l'ampoule
cycle halogène :
L’ampoule en verre de silice contient de crypton et un mélange halogène iode ,brome ,fluor,
Sous l’action de la chaleur dégagé par le filament ,un cycle halogène se réalise à l’intérieur de
l'ampoule en se combinant avec les halogènes , les particules de tungstène vaporisés se
déposent sur le filment et retarde sa destruction .
Lampe à incandescence

Le tungstène, qui a un point de fusion de


3 410 °C.
La lampe à incandescence est constituée
d'un filament composé d'un matériau ayant
un point de fusion élevé, dans une ampoule
en verre sous vide ou remplie d'un gaz
inerte (gaz rare). Les filaments doivent avoir
un point de fusion élevé, car le rapport de
l'énergie lumineuse dégagée sur l'énergie
calorifique augmente avec la température, et
l'efficacité de la source lumineuse est
optimale à la température du filament la plus
élevée. Dans les premières lampes à
incandescence, on utilisait des filaments de
charbon. . Dans les lampes à
incandescence, le gaz inerte présente
un autre avantage : il permet de
ralentir l'évaporation du filament, et
de prolonger ainsi la vie de la lampe.
Lampe à décharge

Elles sont constituées d'une enceinte


étanche et transparente qui contient
un mélange gazeux susceptible de
rayonner c'est à dire d'émettre de la
lumière dans un domaine de
longueurs d'ondes désiré (couleur de
la lumière).Dans le domaine des
hautes pressions on va trouver les
lampes à vapeur de sodium haute
pression et les lampes à vapeur de
mercure
Lampe à fluorescente

Une lampe fluorescente se compose d'un


tube de verre recouvert d'une couche de
phosphore, et rempli d'un gaz inerte
additionné de vapeur de mercure. Lorsque
l'interrupteur est fermé (lampe allumée),
les deux électrodes placées aux extrémités
du tube sont chauffées par un starter qui
provoque la surtension des deux filaments.
Stabilisé par une bobine de fil appelée
ballast, un flux d'électrons parcourt alors le
tube, transformant le gaz inerte en un
plasma qui conduit le courant. Excités dans
ce plasma, les atomes de mercure émettent
de la lumière visible et des rayons
ultraviolets qui viennent frapper le
revêtement de phosphore. Ce dernier réagit
en produisant un intense rayonnement de
lumière visible.
TABLEAU RÉCAPITULATIF DES DIFFÉRENTES LAMPES
ÉVOLUTION DE L’ÉCLAIRAGE
ADAPTATIF:
En plus des paramètres d’angle du volant de
direction, de la vitesse d’avancement, de la mise
en route éventuelle des clignotants, l’orientation
des projecteurs sera corrigée par des données de
positionnement du véhicule par le GPS et de la
détection de l’environnement de la route
par une caméra.
La mécanique des phares directionnels
pourrait être simplifiée et améliorée grâce à
l'utilisation de LED.
En effet, les pièces mobiles pourraient
disparaître au profit de LED fixes orientées plus
ou moins vers les côtés qui s’allumeront
progressivement, alors que d’autres assureront
l’éclairage longue portée.
Existant déjà sur quelques véhicules haut
de gamme, l’assistant de vision de nuit
permet la représentation visuelle de la
route dans l’obscurité. Son but est de
permettre d’identifier les obstacles jusqu’à
plus de 200 mètres, bien avant que ceux-ci
ne soient visibles par les projecteurs
traditionnels. Le système actuel qui
pourrait se généraliser est composé de :
- d'une caméra, qui se trouve sur le pare-
brise au pied du rétroviseur intérieur ;
- d'antennes infrarouges, montées à
l’intérieur des projecteurs. La lumière
infrarouge est produite
par des lampes halogènes. Les antennes
émettent des infrarouges par intermittence
à une fréquence de 30 flashs par seconde
avec une durée de 8 ms ;
- d'un calculateur spécifique, qui
commande les antennes et la caméra. Il
effectue le traitement et envoie l’image
grâce à une liaison multiplexée optique ;
- d'un écran de visualisation. Cet écran est
coupé lors de vitesses inférieures à 15
km/h ou du passage de la marche arrière.
Les équipements de vision nocturne
pourront aussi s'appuyer sur des
projecteurs à base de LED qui sont
également en capacité de produire une
lumière infrarouge.
Les différents signalisations ;
MERCI

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